Tag: piqûre de bonheur

  • Le bonheur de se sentir enfant

    Le bonheur de se sentir enfant

    Le bonheur de l’enfance! Le confinement nous a lancé un véritable défi : gérer télétravail, famille et foyer, le tout en même temps. Il était déjà difficile de tout gérer par tranches horaires, lorsque chaque membre de la famille était à un autre endroit. Mais le confinement et la distanciation sociale ont obligé bon nombre de personnes de se retrouver à la maison, avec plein de travail à faire, des repas à préparer et en plus avec toute la vie d’un enfant à revivre. La seule solution : accepter la situation. Tout ne sera pas parfait. Mais c’est à nous de décider de voir la bouteille à moitié pleine.

    Alors, voici un petit conseil pour ceux qui ont des enfants en bas âge : prenez une demi-heure pour jouer avec eux. Les experts de l’enfance le confirment : il suffit de jouer effectivement une petite vingtaine de minutes pendant lesquelles les petits bénéficient de toute votre attention. Replonger dans le monde de l’enfance, cela libère l’esprit. Dans leur monde tout est permis : crier, rire, danser, chanter, courir… Se rappeler les jeux de notre enfance – voici une autre option ; car on le sait très bien les enfants d’aujourd’hui ne connaissent pas nos jeux d’antan. Mais ils seront tellement heureux de les découvrir, on vous assure !

    Bref : se sentir enfant pendant une demi-heure, c’est un vrai bonheur ! Profitez-en !

  • Le bonheur d’offrir

    Le bonheur d’offrir

    Histoire (vraie).


    C’est le matin.
    Quelqu’un sonne à la porte. Qui serait-ce ?


    Tu attends un
    livreur ? j
    e demande
    à mon mari. Non, pas du tout, répond-il. Moi non plus, j’ajoute.

    Qui serait-ce ? Un jeune homme m’apporte des fleurs. Des frésias, mes
    préférées. Madame … ? demande-t-il. Oui, c’est moi ! je lui dis. C’est
    pour vous !
    me dit-il et il
    part.


    Quelle surprise !
    Un superbe bouquet de fleurs ! C’est une amie qui me les envoie. Aucune occasion spéciale, juste
    pour avoir été là. Je suis émue. Elle est contente. Sa surprise lui a réussi. Je
    lui remercie, par téléphone, évidemment, je ne sais pas quand on pourra se
    revoir. Pour l’instant c’est impossible.

    La journée passe, j’admire les fleurs.
    Elles sentent tellement bon, les frésias ! Et puis je me rends compte. Oui,
    je suis heureuse de les avoir reçues, mais j’aurais été au moins tout aussi heureuse
    de savoir que quelqu’un souriait « à cause de moi ». C’est si simple
    que ça : parfois, le bonheur d’offrir est encore plus grand que celui de
    recevoir.