Tag: prostitution

  • 08.10.2024

    08.10.2024

    Commémoration – Une cérémonie de commémoration des victimes de l’attaque terroriste perpétrée par le Hamas dans le sud d’Israël le 7 octobre 2023 a lieu ce mardi à la Chambre des députés du Parlement roumain. Y participent le premier ministre roumain, Marcel Ciolacu, l’ambassadeur israélien à Bucarest, Lior Ben Dor, des ministres, des hauts dignitaires, des diplomates et des parlementaires. Lundi, le gouvernement roumain a réitéré la condamnation des attaques d’il y a un an et a appelé encore une fois à la libération immédiate de tous les otages. Dans un communiqué, l’Exécutif précise que la Roumanie soutient les efforts menés par la communauté internationale pour obtenir un cessez-le-feu immédiat afin de garantir la libération des prisonniers et l’acheminement de l’aide humanitaire vers la Bande de Gaza. « Bucarest continuera à soutenir les démarches pour une paix durable au Moyen Orient » précise-t-on à la fin du communiqué.

     

    Loi – La Chambre des députés de Bucarest a adopté mardi un projet de loi qui sanctionne par une peine de 7 à 15 ans de prison ferme les personnes qui déterminent ou facilitent la prostitution ou qui obtiennent des bénéfices patrimoniaux suite à la pratique de la prostitution par une ou plusieurs personnes mineures. S’y ajoute l’interdiction d’exercer plusieurs droits. Des peines allant de 10 à 20 ans de prison ferme viseront l’inculpé qui a déjà commis d’autres infractions qui transgressent la liberté ou l’intégrité sexuelle, des faits de pornographie infantile, traite des êtres humains, de mineur ou proxénétisme. Ce projet modifie et complète le Code pénal en vigueur en ce qui concerne l’incrimination du proxénétisme et de la traite des personnes. Aux termes du même document, le fait d’obliger une personne à commettre des actes de nature pénale est désormais considéré comme une l’infraction d’exploitation des personnes. La Chambre des Députés est la la chambre décisionnelle dans ce cas.

     

     Radars – Le département d’Etat américain a approuvé la vente à la Roumanie de quatre systèmes de radar sentinelle. L’achat se fera par l’intermédiaire du programme d’assistance de sécurité FMS et comportera le support logistique, les services de formation, les équipements de communication, l’assistance technique et les services de transport. Les radars sentinelle de dernière génération s’ajouteront aux capacités de défense aérienne détenues par la Roumanie et serviront notamment à détecter les drones qui se trouvent près des frontières nationales, dans le contexte de la guerre d’agression menée par la Russie en Ukraine” a déclaré le ministre roumain de la Défense, Angel Tîlvae. „L’achat par la Roumanie d’un système de radar sentinelle met en lumière le partenariat à long terme roumano-américain dans le domaine de la sécurité. Les systèmes de radar renforceront le niveau d’alerte précoce face aux potentielles menaces à l’adresse des villes et de l’infrastructure critique de Roumanie et protégeront le territoire et les citoyens roumains. Les radars sentinelles renforceront la sécurité de la Roumanie, allié des Etats-Unis au sein de l’OTAN et acteur important pour la stabilité politique et économique en Europe” a pour sa part déclaré l’ambassadrice américaine à Bucarest, Kathleen Kavalec.

     

     Patrimoine –  Réunis à Bucarest du 6 au 8 octobre, à l’occasion du Sommet européen du patrimoine culturel, les meilleurs experts européens et roumains discutent des priorités des futures politiques publiques pour la protection du patrimoine culturel en Europe et en Roumanie. Le Sommet de cette année est organisé par Europa Nostra, sous le patronage du chef de l’Etat et avec le soutien de la Commission européenne, du Ministère de la culture et de la Municipalité de Bucarest.  Des chercheurs, des artistes, des historiens et des personnalités marquantes de la société civile se réunissent ce mardi dans le cadre de l’événement « Agora de la politique européenne du patrimoine ». Les discussions porteront sur le concept de la qualité dans la restauration et la conservation du patrimoine culturel et les priorités du futur agenda de la CE. Les participants examineront les rapports entre les politiques majeures de l’UE, tels le Pacte vert européen et le nouveau Bauhaus européen et les documents clé visant la conservation du patrimoine, tels les principes européens de qualité et le système Davos de qualité pour la culture du bâti.

     

    Enquête – La Roumanie a enregistré le plus sévère déclin en Europe de la production de services, avec une baisse de 1,6% en juillet par rapport au mois précédent, dans le contexte où la production de services a connu un bond de 1,2% en Europe, et de 1% dans la zone euro. Selon Eurostat, en juillet, les hausses les plus significatives de la production des services ont été enregistrées au Danemark, 8,6%, en Pologne, 3,4%, en Italie et en Slovénie, 1,8% les deux. La Roumanie, la Grèce et la Lettonie ont rapporté les déclins les plus sévères de 1,6%, 1% et respectivement 0,3%.Parmi les Etats membres, la production de services a suivi une courbe ascendante en ce qui concerne le transport et la logistique, l’information et la communication et les services d’hébergement et de restauration publique. En juillet dernier, la production de services a connu une hausse de 2,6% par rapport au mois de juin aussi bien au sein de l’UE que dans la zone euro.

     

    Schengen – La commissaire européenne chargée des Affaires Intérieures, Ylva Johansson, soutient la levée des contrôles aux frontières terrestres de la Roumanie et de la Bulgarie d’ici la fin de l’année. Lors d’une intervention lundi, au Parlement européen de Strasbourg, elle a déclaré que cette position, elle va la transmettre au Conseil Justice et Affaires Intérieures qui se réunira jeudi, à Luxembourg. La déclaration a été faite lors d’un débat sur la remise en place des contrôles aux frontières par certains Etats de l’Espace Schengen et sur les effets qu’une telle décision aurait sur la zone de libre circulation. Ylva Johansson a affirmé qu’une telle mesure devrait être temporaire.

     

     Biocombustible – La Commission européenne a approuvé un schéma d’aide publique réclamé par la Roumanie par lequel le Gouvernement est autorisé de verser 500 millions d’euros aux investissements dans la production de biocombustible en Roumanie. Le financement sera fait par subvention directe du Fond de modernisation et visera la production de combustibles avancés, tels le bioéthanol, le combustible pour l’aviation et les huiles végétales hydrotraitées dans le but de réduire les émissions de gaz à l’effet de serre. L’aide, qui pourrait être accordée d’ici le 31 décembre 2025, soutiendrait l’accélération du développement de l’énergie renouvelable et contribuerait à l’accomplissement des objectifs climatiques et énergétiques de l’UE.

     

    Météo – En Roumanie, il fait beau et les températures continuent à dépasser la normale du mois d’octobre. Nous avons entre 19 et 26 degrés à travers la Roumanie et 25 degrés à Bucarest.

  • Projets sociaux dans le quartier de Ferentari

    Projets sociaux dans le quartier de Ferentari

    Ferentari est le quartier le plus pauvre de la capitale roumaine, le plus mal famé et confronté aux plus grands défis : violence domestique, prostitution, consommation et trafic de drogues, analphabétisme. Les enfants qui naissent et grandissent dans ce quartier ont-ils vraiment des chances de mener une vie normale ? Plusieurs projets sociaux y sont menés pour venir en aide à ces enfants, ainsi qu’aux adultes roms qui y vivent. Ionuţ Oprea est acteur. Il y a 6 ans, il a commencé à organiser, en tant que bénévole, des ateliers de théâtre au Club d’éducation alternative. Ces ateliers font partie d’un projet de l’ONG Policy Center for Roma and Minorities.



    Le club a été créé à l’intention des enfants en situation de risque qui vivent dans des zones précaires – de véritables ghettos – de ce quartier. Engagé par hasard dans ce programme, Ionuţ Oprea a réussi, au fil du temps, à dépasser les différences culturelles et à se rapprocher de ces enfants, pour lesquels le théâtre est devenu une sorte de thérapie : « Je suis venu avec mon système de valeurs et de connaissances, avec mon éducation, et je me suis retrouvé dans un monde un peu à l’envers, où mes valeurs n’étaient pas celles des autres. Dans « mon monde », l’éducation est considérée comme quelque chose de naturel et de bénéfique, dont on souhaite pouvoir bénéficier le plus possible. Or, ici, on doit convaincre les gamins avec lesquels on travaille et leurs parents que l’éducation est une voie à suivre et qu’elle peut être la solution pour sortir de leur situation difficile. Franchement, je ne sais pas si j’ai déjà réussi à les convaincre. Tout ce que je peux faire, c’est de m’y présenter chaque jour et de dire les mêmes choses. Et d’insister. Personne ne peut garantir mon succès, personne ne peut garantir que j’ai changé quoi que ce soit. »



    Et pourtant, les efforts de Ionuţ commencent déjà à porter leurs fruits et ses résultats confirment la valeur de son travail : « Nicoleta est un de mes plus grands succès. Dès le début, j’ai remarqué chez elle une attitude envers la vie, envers moi et envers le théâtre qui m’a fait penser qu’elle pouvait devenir leader. J’ai vu sa façon d’interagir avec les autres et la façon dont les autres interagissent avec elle… C’est bien elle qui me donne le plus d’espoir, car elle s’informe, elle a commencé à écrire, elle compose de la musique. Elle s’est déjà mise à écrire une pièce de théâtre… Et Nicoleta n’est qu’un exemple. Il y a dans la troupe d’autres gamins qui commencent, après plusieurs années de travail, à se découvrir des aptitudes, à trouver leur place au sein de la troupe : l’un d’entre eux a assumé le rôle de régisseur technique, un autre s’occupe de l’affiche et de l’image, un troisième est responsable de la discipline pendant les répétitions… Chacun découvre son rôle dans la troupe. Et ces choses-là m’incitent à continuer. »



    Nicoleta Ghiţă, un des grands succès de Ionuţ Oprea, a 18 ans et elle avait déjà commencé à suivre des cours de théâtre avant l’arrivée de Ionuţ dans le quartier de Ferentari. Toute petite, elle a senti que le théâtre était sa passion et elle a prouvé son grand talent. Elle a dû surmonter des moments très difficiles et elle travaille depuis l’âge de 15 ans : « A présent je peux dire que je me sens épanouie, d’une certaine façon, car j’ai beaucoup évolué. Cet enfant insupportable que j’étais, qui n’aimait personne et que personne n’aimait, est devenu un être agréable, gentil avec les autres et qui a des amis. J’en suis arrivée à aimer les autres ! C’est un changement radical. Et quand je vois que Ionuţ est fier de moi, cela me rend, à mon tour, fière de moi-même. Au bout de 3 ou 4 mois, durant lesquels Ionuţ n’a pas cessé de me dire que je devais commencer à écrire des histoires, j’ai fini par m’y mettre, puisqu’il insistait tant. Ce faisant, j’ai constaté que de cette façon je pouvais m’exprimer et me libérer. Certaines des histoires, je les poste sur Facebook, d’autres je les écris pour moi-même, pour me libérer de mes frustrations, de mes problèmes, pour savoir où j’en suis… A part l’écriture, je suis passionnée de musique. J’aimerais m’orienter vers la musique et le théâtre. »



    Daniela Vlăsceanu a 34 ans. Elle est née et elle a grandi dans ce quartier et elle a 3 enfants. Depuis plus de 8 ans, elle s’est engagée dans des projets en faveur des personnes qui ont besoin d’aide. En juin 2016, elle a contribué à la création, dans le quartier de Ferentari, d’un centre communautaire ouvert à toute la communauté, bien entendu. Elle y organise des activités éducatives et distractives avec les enfants, organise des fêtes, collecte des dons… A présent elle souhaite collecter de l’argent pour emmener les enfants dans une colonie de vacances. Elle travaille avec un groupe de 25 enfants, âgés, pour la plupart, de 6 à 12 ans. Elle souhaite les accompagner « jusqu’au bout », c’est-à-dire jusqu’à les voir inscrits au lycée et à la fac. De nombreux adultes viennent au centre communautaire, pour chercher de l’aide, soit parce qu’ils n’ont pas de papiers, soit parce que leurs enfants sont consommateurs de drogue. Le principal problème ? La pauvreté, bien sûr. Daniela Vlăsceanu : « A cause de la pauvreté, il n’ont pas d’assurance maladie, ils ne peuvent pas aller voir un médecin, bénéficier d’hospitalisation. Ils n’ont aucun revenu. Ils sont malades et démunis… Je n’ai pas changé le quartier de Ferentari et je ne pourrai pas le faire, mais je pense que chacun de nous peut contribuer d’une façon ou d’une autre: aider quelqu’un à obtenir des papiers d’identité, s’engager dans un projet proposé par d’autres organisations… A présent, une telle organisation offre de la nourriture à 5 personnes âgées une fois par semaine. Au moins ça ! Une fois par semaine, que quelqu’un leur porte deux sacs d’aliments, c’est pas beaucoup, mais c’est plus que rien. Ou quand ils n’ont aucun papier et qu’on les aide à obtenir un certificat de naissance ou une carte d’identité et qu’ils puissent ensuite aller se faire soigner ou demander une pension… »



    Depuis quelque temps, plusieurs ONGs sont actives dans le quartier de Ferentari, offrant un accompagnement aux gens qui ont besoin de papiers d’identité et les conseillant en tant que consommateurs. Quels changements seraient les plus nécessaires dans ce quartier ? « Je ne sais même pas par où commencer. On a besoin d’emplois, pour que les gens puissent gagner leur vie, d’écoles mieux entretenues, pour que le plafond des salles de classe ne s’effondre pas. Il y a plusieurs écoles dans le quartier, mais ce sont des écoles du niveau de… Ferentari. Les enfants vont à l’école, mais ils ne semblent pas y apprendre beaucoup de choses. Je pense qu’on a besoin d’enseignants avec une meilleure formation, de polycliniques, pour ne plus parler d’un hôpital, car ce serait trop pour Ferentari. »(Aut. : Luana Pleşea; Trad.: Dominique)

  • Die dunkle Statistik des Menschenhandels

    Die dunkle Statistik des Menschenhandels

    2007 wurde der 18. Oktober infolge der Empfehlung des Europäischen Parlaments sowie des Vorschlags der Europäischen Kommission zum Europäischen Tag zur Bekämpfung des Menschenhandels“ erklärt. Dies wurde als ein wichtiger Schritt im Kontext der langfristigen Verpflichtung der europäischen Exekutive gegenüber der Vorbeugung und Bekämpfung dieses besorgniserregenden Phänomens betrachtet. In der EU fielen 16.000 Frauen dem Menschenhandel zum Opfer.



    Rumänien belegt den ersten Platz in einer Rangliste der Länder wo dieses Phänomen auftritt. 15% der Opfer sind minderjährig und die Schmugglernetze sind in mehreren Staaten auf dem ganzen Kontinent tätig. Viele der ausgenutzten Menschen stammen aus Rumänien und werden in Spanien gehandelt. Die Behörden der beiden Staaten versuchen dieses Phänomen einzudämmen. Laut Statistik kommen 34% der Opfer der Menschenschmuggler, die diese sexuelle ausnutzen, aus Rumänien.



    Der Menschenhandel stellt eine hohe Verantwortung für die Behörden dar. Spanien und Rumänien haben eine enge Zusammenarbeit in diesem Bereich, bestätigt auch die Botschafterin Rumäniens in Madrid Gabriela Dancău. Diese glaubt, dass das Phänomen an der Quelle bekämpft werden muss, also in den Herkunftsortschaften.



    Gabriela Dancău: Wir haben eine besonders dynamische Zusammenarbeit auf juristischer Ebene zwischen Rumänien und Spanien. Auf polizeilicher Ebene gibt es Arbeitswerkzeuge, die sehr gut funktionieren. Durch unsere Zusammenarbeit zwischen unseren Behörden werden Netze zerlegt. Wenn wir und strikt auf den Menschenhandel beziehen, dann ist es offensichtlich, dass die Probleme an der Quelle entstehen. Wir müssen die erforderlichen Ma‎ßnahmen finden, damit der Menschenschmuggel nach anderen Ländern verhindert wird. Das muss natürlich, durch die Verbesserung der wirtschaftlichen Voraussetzungen in den Herkunftsregionen geschehen.“



    Der Menschenhandel ist eine vielseitige Straftat und ein illegales Geschäft, das den Rechtsstaat untergräbt und Instabilität und Unsicherheit herbeiführt. Entlang der letzten Jahrzehnte ist es zum drittgrö‎ßten grenzüberschreitenden Verbrechen geworden. Au‎ßerdem ist es eine Haupteinnahmequelle für internationale Verbrecherorganisationen, die jährlich Milliarden von Euro einkassieren.



    Obwohl diese Form der Verletzung der Menschenrechte von der internationalen Gemeinschaft anerkannt und verurteilt wurde, erarbeiten die Landesbehörden weiterhin Richtlinien, die der Dynamik des Phänomens auf Weltebene nicht gewachsen sind. Denn viele Regierungen verstehen diese komplexe Frage falsch und setzen ineffiziente Bekämpfungsmechanismen um. Die neue Strategie in diesem Bereich soll bis Jahresende von der Europäischen Kommission veröffentlicht werden.

  • Potosi, les rêves de prostituées et le diable

    Potosi, les rêves de prostituées et le diable

    Cette semaine nous continuons notre périple en Bolivie, dans les mines de Potosi. Nous allons nous intéresser plus particulièrement aux prostitués de Potosi et à leurs rêves. En effet celles-ci évoquent dans leur une figure bien connue des religions monothéistes : le diable. Blond, avec ses grands yeux bleus, ce personnage prend des couleurs très particulières dans cette situation.



  • 13.06.2014 (mise à jour)

    13.06.2014 (mise à jour)

    Economie — La Roumanie a de grandes chances de passer du statut de marché de frontière à celui de marché émergent d’ici les 12 à 18 mois — a apprécié vendredi Dragos Neacsu, président de l’Association de l’Administration des Fonds (AAF). Les représentants de l’industrie de l’administration des fonds soutiennent qu’il y a plusieurs indicateurs favorables pour que notre pays acquiert ce statut dont un déficit budgétaire en dessous des normes de l’UE de 3%, un des niveaux les moins importants d’endettement de l’Union (quelques 40%). O y ajoute la récente amélioration de la note nationale accordée par STANDRD & POOR’S. Les actifs gérés par le membres AAF et les fonds de retraites gérés de manière privée totalisent 9,2 milliards d’euros, plus les plus de 3 milliards d’euros du Fond PROPRIETATEA. La valeur cumulée de ces investissements équivaut à 10% du PIB roumain.



    Recherche — Le ministre roumain de l’Education, Mihnea Costoiu, en visite aux Etats Unis jusqu’au 16 juin a rencontré des membres du Congrès américain . les discussions ont visé le développement de la coopération entre les deux Etats en matière d’éducation et de recherche. La partie roumaine a présenté des détails concernant les plus importantes initiatives en matière de recherche tels le projet ELI-NP de Màgurele ou le projet Danube-Delta du Danube- Mer Noire. Le ministre roumain s’est rendu en visite au siège de la NASA où il a rencontré Christopher J. Scolese, directeur chargé aux Vols Spatiaux GODDARD.



    Prostitution — Un groupe de crime organisé qui exploitait des jeunes de Roumanie sur le territoire de la Grande Bretagne a été annihilé selon un communiqué de l’Inspection Générale de la Police Roumaine. Les policiers roumains ont transmis aux partenaires anglais des données et des informations relevantes concernant l’activité du réseau infractionnel formé par 12 personnes dont les plus importants membres ont été condamnés à des peines de prison totalisant 89 ans . A la suite de cette opération on a confisqué des biens valant plus de 200 milliers de livres sterling. Les investigations ont montré que le leader du groupe avait acheté un club en Roumanie où il recrutait ses victimes qui étaient, ensuite, transportées en avion en Grande Bretagne où on les forçait à se prostituer.


    (trad.: Costin Grigore)