Tag: prunes

  • La tarte aux prunes

    La tarte aux prunes

    Madame, Monsieur, bonjour et soyez les bienvenus dans la cuisine de Ioana, là où il fait très chaud et il fera encore plus chaud, puisque toute de suite, nous allons mettre en marche le four. Pourquoi ? Eh bien, pour faire cuire une super tarte aux prunes. Il convient de préciser que cette tarte peut se décliner au gré de votre imagination et que donc, les prunes peuvent être remplacées par des abricots, des pèches, des mirabelles ou des nectarines. Ou, par un mélange de plusieurs fruits, pourquoi pas. Surtout, si vous avez chez vous, des fruits qui risquent de devenir trop mous, cette recette peut vous aider à les utiliser, en limitant le gâchis.

    Alors, voyons d’abord la liste des ingrédients. Si vous avez envie de préserver vos forces, alors, optez pour une pâte brisée déjà préparée. Sinon, il vous faudra 300 grammes de farine préalablement tamisée, une pincée de sel, 150 gramme de beurre, un peu d’eau froide et une cuillerée à soupe de sucre en semoule. A tous ces ingrédients s’ajouteront 1 kg de prunes (quetsches, mirabelles, reine-claudes,…), 100 g de sucre en poudre, 2 œufs, 100 g de crème fraîche et 1 cuillerée à soupe de semoule fine.Premier pas : la pâte. Mélanger la farine, le sel et le sucre, dans un bol. Ajouter le beurre découpé en morceaux, puis l’incorporer à la farine en pétrissant rapidement et légèrement du bout des doigts. On doit obtenir une sorte de semoule grossière en 2 ou 3 min. Ajouter l’eau progressivement, en mélangeant jusqu’à former une boule souple sans être molle, en arrêtant dès que la pâte se met en boule et ne colle plus ! La recouvrir de film alimentaire et laisser la reposer une vingtaine de minutes dans le frigo.

    En attendant, je vous propose de nous occuper des prunes. Lavez, séchez, coupez les prunes en deux en les dénoyautant et égouttez-les dans une passoir, surtout si elles sont juteuses. Préchauffez le four à 180°. Sortez la boule de pâte du frigo et commencez par étaler la pâte sur un plan de travail fariné, puis étalez-la dans un moule. Saupoudrez la pâte d’une centaine de grammes de semoule, avant de placer dessus les demi-prunes, peau contre pâte. Saupoudrez avec 50 g de sucre, personnellement j’ai préféré du sucre roux et enfournez pour un petit quart d’heure. Pour un plus de goût, vous pouvez parsemer les demi-prunes de quelques noix concassées.

    En attendant que les fruits commencent à ramollir dans le four et que la pâte devienne dorée, préparons notre petit appareil que nous allons verser par-dessus les prunes. Pour cela, il faudra battre les œufs entiers avec la crème fraîche et 50 g de sucre. Une fois le mélange obtenu, versez -le sur la tarte et remettez la au four, pour une vingtaine de minutes. Saupoudrez-la de sucre en poudre, si vous voulez. Sinon, laissez la refroidir et dégustez-la, car elle est délicieuse. Faites-moi confiance, vous n’allez pas le regretter !

  • La horinca, un produit traditionnel roumain

    La horinca, un produit traditionnel roumain

    Vous vous souvenez tous que lalcool traditionnel roumain sappelle ţuică, avec la variante pălincă pour lalcool fort. La horinca du Maramureş est forte dune tradition de plusieurs centaines dannées, mentionnée dans des documents des XIIIe – XIVe siècles. Quelle différence y a-t-il entre la ţuica et la horinca ? Réponse avec Ştefan Gogotă, producteur traditionnel de horincă, au micro de Ligia Mihaiescu.



  • La tarte aux prunes et aux noix

    La tarte aux prunes et aux noix

    Madame, Monsieur, dans les minutes suivantes, je m’apprête à vous apprendre à faire un coup de cœur de mon cahier de recettes: la tarte aux prunes et aux noix, un must faire en automne. Cette tarte est facile à faire, même très facile, elle est assez bonne marché et pas trop riche en calories.Pour une belle tarte, il vous faudrait 600 grammes de prunes bien mûres, une pâte brisée – pour ma part, je l’ai faite moi-même, 50 grammes de beurre, 100 grammes de sucre, quelques noix et un œuf. Et puis, c’est tout.

    Alors, commencer par laver les prunes, les couper en deux et les dénoyauter. Réserver. Si vous avez déjà la pâte, préchauffer le four à 180°C (thermostat 6), étaler la pâte dans un moule à tarte et piquer la à l’aide d’une fourchette. Mettre un papier cuisson et des pois dessus puis enfourner la pour 10 minutes de précuisson. Si vous voulez faire la pâte, vous-même, alors du coup, ajouter sur la liste d’ingrédients, 200 grammes de farine, 100 grammes de beurre, une pincée de sel, trois cuillerées de sucre et quelque 400 mm d’eau. Dans un saladier, tamiser la farine, y ajouter le sel, le sucre et le beurre coupé en petits morceaux. Y pétrir du bout des doigts jusqu’à ce que le beurre soit entièrement incorporé. On doit obtenir une sorte de semoule grossière en 2 ou 3 min. Y ajouter progressivement de l’eau, tout en continuant à pétrir jusqu’à ce que vous obteniez une boule de pâte. Laisser la une demie heure dans le frigo avant de l’étaler dans un moule à tarte.

    Pendant que le fond de la tarte cuit un tout petit peu dans le four, fondre les 50 grammes de beurre sur le feu, y ajouter les 100 grammes de sucre et mélanger continuellement, jusqu’à ce que le sucre fonde complètement. Hors du feu, ajouter un œuf et fouetter énergiquement pour éviter que le blanc ne se transforme en omelette. Sur la pâte légèrement cuite, disposer les morceaux de prunes, verser le mélange sucre-beurre-œuf et placer par endroits, quelques noix concassées. Enfourner pour une vingtaine de minutes, jusqu’à ce que la pâte soit bien dorée et que l’appareil versé sur les fruits soit cuit. Laisser refroidir un tout petit peu avant de déguster.

    Cette tarte est excellente aussi bien comme dessert, qu’au petit déjeuner, accompagnée d’une bonne tasse de café ou de thé. Les enfants vont l’adorer ! En plus, une fois la saison des prunes terminée, vous pourriez la préparer avec d’autres fruits aussi tels mirabelles, pêches ou abricots. Bonne dégustation !

  • La recette de la tarte d’automne d’Ioana

    La recette de la tarte d’automne d’Ioana

    Bonjour ou bonsoir à toutes et à tous. Comme Alex s’absente un peu, j’en ai profité pour m’infiltrer dans sa cuisine pour vous faire goûter à une super tarte aux prunes et aux pommes. Elle est légère, elle est facile à faire et je vous assure que toute la famille va se régaler. En plus, elle est très bonne marché. Elle n’a pas de nom, alors on pourrait l’appeler la tarte d’automne de Ioana, puisque je l’ai pratiquement inventée un jour où j’avais envie d’un petit bout sucré et pas du tout envie de sortir faire des courses. Du coup, je me suis servie de ce que j’avais déjà à la maison. Ce que ça veut dire que vous pourriez remplacer les prunes et les pommes par d’autres fruits : des poires, par exemple, des abricots et des pêches en sirop, ou encore des mirabelles. Hein, pas mal, n’est-ce pas ?Pour la pâte, vous avez deux options : soit vous achetez une pâte brisée, soit, vous en faites une. C’est ce que j’ai fait moi, déjà parce que c’est mieux pour la santé et après, parce que chez nous, en Roumanie, on n’en trouve pas facilement.

    Pour la pâte, j’ai utilisé donc :

    200 grammes de farine

    90 grammes de beurre légèrement ramolli

    un œuf

    une pincée de sel

    un peu d’eau froide

    Tamiser la farine, ajouter le sel, le beurre coupé en petits cubes et commencer à pétrir rapidement du bout des doigts. Incorporer l’œuf et continuer à mélanger. Ajouter un peu d’eau pour permettre à la pâte de se lier afin d’en faire une boule. Etaler la pâte sur du papier cuisson à l’aide d’un rouleau pâtissier et ranger la dans un moule. Piquer la pâte à l’aide d’une fourchette pour empêcher que ça gonfle dans le four et enfourner pour quelques minutes afin qu’elle blanchisse.

    Entre temps, choisissez vos fruits, lavez-les, dénoyautez-les, si c’est le cas, pelez-les et coupez-les en tranches fines. Pour ma tarte, j’ai utilisé une pomme Golden et six prunes quetsche, mais vous pouvez les remplacer par d’autres variétés. J’ai pelé la pomme, je l’ai coupée en tranches fines et j’ai dénoyauté les prunes, avant de les couper en deux. Réservez.

    Sortir la pâte blanchie du four et laisser la se reposer quelques minutes le temps de préparer une crème. C’est une crème qui marche à merveille avec n’importe quelle tarte à fruits et en plus elle est très légère, car il n’y a pas de farine. Pour cette crème, il vous faut seulement trois ou quatre ingrédients : beurre, sucre et œufs, les trois obligatoires et un quatrième, facultatif, à savoir un peu de crème liquide. Donc, dans une casserole, sur le feu, commencez à faire fondre 50 grammes de beurre et quand il commence à devenir liquide, y ajoutez 100 grammes de sucre. Mélangez continuellement, jusqu’à ce que le sucre fonde. Retirez du feu et laissez refroidir un tout petit peu. Cassez deux œufs dans un bol et fouettez-les avant de les ajouter, hors du feu, sur le mélange beurre-sucre. Mélangez rapidement et énergiquement à l’aide d’une cuillère en bois. Pour un plus de saveur et de consistance, vous pourriez ajouter deux-trois cuillerées de crème liquide. Moi, j’ai opté pour un peu de crème amande et je me suis félicité pour mon choix. Franchement, le petit goût d’amande a relevé le goût de ma petite tarte.

    Disposer les fruits sur la pâte et verser par-dessus la crème. Enfourner à 180 degrés pour une quarantaine de minutes. Déguster tiède ou froid. Et surtout, faites-moi signe pour me dire si votre famille s’est régalée ! Bon appétit à toutes et à tous !

  • L’histoire de la tsuica

    L’histoire de la tsuica

    Même si la consommation et la production de cette boisson se perd dans la nuit des temps, les historiens ont toutefois réussi à identifier plusieurs repères de l’histoire de cet alcool apprécié par les paysans et les boyards en égale mesure. Radu Lungu, auteur du livre « L’histoire de la tsuica », publié aux maisons d’éditions Paideia, explique : « Les premières informations sur la distillation, puisque la tsuica est un alcool obtenu par la distillation des fruits fermentés, proviennent de Transylvanie et notamment des villes saxonnes. Là, c’étaient les pharmacies qui distillaient l’alcool pour faire des médicaments. Les premiers témoignages remontent au 14e siècle et proviennent des villes telles que Sibiu, Cluj et notamment Brasov. Généralement en Transylvanie, le produit final était le résultat de deux et même de trois distillations et c’est pourquoi leur tsuica est plus forte alors qu’en Valachie, l’alcool était distillé à une seule reprise et la teneur maximale en alcool était de 37 degrés tout au plus. Tous les fruits étaient utilisés, à commencer par les prunes, très importantes dans l’histoire de la tsuica, les pommes, les poires, les cerises, les griottes, les abricots, les pêches, les coings mais aussi les céréales, telles l’avoine, « secara » en Roumain, d’où le nom de secarica pour l’alcool. Le premier document mentionnant la l’eau-de-vie de prunes de Salaj, dans l’ouest de la Roumanie actuelle, date de 1450 et la première mention sur le territoire de la Roumanie de la distillation de la tsuica date de 1570 et vise la Tsuica de Turţ, une localité de la contrée d’Oas, où l’on produit un distillé d’une teneur en alcool de 50 degrés, donc un double distillé. »

    L’utilisation de la tsuica à des fins médicinales a continué pendant longtemps, notamment à la campagne, où les paysans l’utilisaient comme désinfectant. D’ailleurs, une anecdote provenant de Moldavie et devenue une véritable légende qui confirme les multiples utilisations de l’eau-de-vie. A l’époque du prince régnant Etienne le Grand, les peintres d’églises recevaient des tonneaux entiers de tsuica qu’ils utilisaient pour préparer les vernis et pour mélanger les peintures. Parfois, les peintres en consommaient pour rendre l’atmosphère de travail un peu plus joyeuse, avec des résultats assez rigolos sur les fresques des églises.

    Mais la consommation excessive d’eau-de-vie avait aussi des conséquences sérieuses. Radu Lungu raconte un épisode de l’époque lorsque la Transylvanie faisait partie de l’Empire des Habsbourg et la Russie et l’Autriche menaient d’innombrables guerres contre l’Empire ottoman. Un de ces conflits a été marqué aussi par un épisode inédit qui a eu lieu à Caransebes, dans la contrée de Banat, dans le sud-ouest de la Roumanie actuelle. Ce fut la bataille de la tsuica du 17 septembre 1788. Radu Lungu : « Une armée autrichienne comptant 100 mille soldats a établi son camp dans la région de Caransebes. L’avant-garde, constituée d’un régiment de hussards, a traversé la rivière Timis pour vérifier la présence de l’armée ottomane. Vu qu’aucune trace des Turcs n’a été trouvée, les hussards sont tombés sur un groupe de Tsiganes qui ont proposé aux soldats de boire un petit verre de « schnaps ». Les soldats ont acheté leur eau-de-vie et se son mis à boire. Mais juste après, un groupe de fantassins a également traversé la rivière pour participer aussi à la kermesse des hussards. Ceux-ci refusèrent de partager avec eux l’alcool si chèrement acquis. Une bagarre est apparue entre les deux côtés, bagarre qui s’est transformée en mêlée. Au milieu du combat, certains fantassins se sont mis à crier en Roumain « Les Turcs ! », faisant les hussards se retirer, convaincus de l’imminence d’une attaque de l’armée ottomane. Cette situation est due notamment au fait que l’armée de l’empire des Habsbourg était formée de toute sorte d’ethnies qui ne maitrisaient pas tellement bien l’allemand. »

    En effet, des officiers qui désiraient arrêter les heurts criaient « Halte ! Halte ! » Certains l’interprétèrent comme des Turcs chargeant au nom d’Allah. Voilà comment le mélange des langues et l’influence de la tsuica ont contribué à une véritable débâcle de l’armée autrichienne et deux jours plus tard, les Turcs sont arrivés sur les lieux pour découvrir qu’il n’y avait plus d’armée autrichienne à combattre.

    Enfin, la variété des types de tsuica témoigne non seulement de l’étendue géographique de la boisson, mais aussi des liaisons culturelles et ethniques qu’elle illustre. Par exemple, le mot « horinca » un autre nom de la tsuica, proviendrait du mot ukrainien « horilka », qui veut dire une eau-de-vie de faible qualité. « Rachiu » vient du turc « rakî », dérivé à son tour d’« araq », mot arabe qui signifie le processus de condensation des dattes. « Palinca », soit l’eau-de-vie typique de la Transylvanie, est un dérivé du mot hongrois « palinka », à son tour dérivé du Slovaque « paliti », qui signifie « brûler ». Ce qui est vrai, c’est que la « palinca » de prunes brûle la gorge quant on la boit, notamment celle que l’on prépare dans le nord-ouest de la Transylvanie, c’est-à-dire au Maramures et à Satu Mare.

  • A la Une de la presse roumaine – 19.09.2017

    A la Une de la presse roumaine – 19.09.2017

    Dans la presse en ligne de ce mardi,
    les sujets sont bien divers : tempête hors-normes dans l’ouest de la
    Roumanie, avenir des retraites, redistribution des inspecteurs d’académie ou
    encore production de prunes, il y en a pour presque tous les goûts.



  • Vălenii de Munte en fête

    Vălenii de Munte en fête

    Ancienne bourgade, Vălenii de Munte a également été la ville de résidence du grand historien et homme politique Nicolae Iorga. Au musée « Nicolae Iorga » ouvert dans la maison qu’il a habitée, s’ajoutent un musée ethnographique, un musée des sciences naturelles et un musée d’art religieux.



    Vălenii de Munte est un important centre de transformation des fruits, aussi, aussi le Conseil départemental Prahova y a-t-il développé le projet « La route des fruits », venant s’ajouter à deux autres projets touristiques : « La route du vin » et « La route des voïvodes ».« La route des fruits » relie entre elles des localités où la fabrication des confitures et des boissons à base de fruits connaît une longue tradition.



    Vălenii de Munte accueille chaque année, fin octobre, un festival de l’eau-de-vie qui réunit des producteurs de confitures et d’eau-de-vie et des touristes, excellente occasion pour vendre et faire connaître les produits traditionnels de la région.



    Nicolae Andrei, manager du Centre culturel de Vălenii de Munte, explique: « Le festival de l’eau-de-vie de Vălenii de Munte en est arrivé à sa 17e édition. Comme chaque année, nous attendons des visiteurs de la région et de tout le pays avec une eau-de-vie véritable, faite uniquement de prunes. A chaque fois pendant le festival, la ville s’anime et s’égaie. Pour tous ceux qui souhaitent passer une agréable fin de semaine dans un magnifique décor automnal, le festival de l’eau-de-vie de Vălenii de Munte est le choix idéal. Les producteurs attendent les visiteurs avec de la viande fumée, du fromage et des fruits et, bien sûr, avec de l’eau-de-vie d’une excellente qualité. Si vous voulez avoir un petit avant-goût de cette fête, imaginez une journée où le soleil nous caresse, mais où il fait tout même un peu frisquet, juste pour donner envie de goûter un verre d’eau-de-vie. C’est un va-et-vient incessant et vous flânez parmi les étalages, attirés par l’arôme des plats. Les produits de maroquinerie ne manquent pas non plus et ça sent un peu le cuir aussi. Autre attraction à ne pas rater : une vaste scène en plein air sur laquelle montent des artistes très connus et des ensembles de musique traditionnelle de toute la région. »



    Le fruit spécifique de la zone est la prune. Une bonne partie de la récolte est transformée en marmelades, confitures et eau-de-vie. Le reste et entreposé et servira à la consommation pendant l’hiver. C’est justement pour permettre aux visiteurs d’observer les activités liées à la transformation traditionnelle des fruits que l’on a mis en œuvre cette idée de la « Route des fruits ». Adunaţi, Cornu, Brebu, Aluniş, Scorţeni, Vărbilău, Vălenii de Munte, Teişani, Poseşti, voilà les noms des localités qui s’égrènent sur cette route. Tous les automnes, les producteurs d’eau-de-vie se donnent rendez-vous au festival organisé à Văleni. Chacune des localités figurant sur cet itinéraire est signalée par des panneaux, qui, en plus, guident le visiteur vers les sites touristiques. Vălenii de Munte accueille, par tradition, des hôtes venus des localités jumelles, à savoir Cimişlia, de République de Moldova, et Eaubonne de France.



    Repassons le micro à Nicolae Andrei, manager du Centre culturel de la ville de Vălenii de Munte: “Hormis la foire, une autre attraction touristique de Vălenii de Munte est représentée par les cinq églises, érigées aux 18e –19e siècles et classées monuments nationaux. On peut visiter aussi la maison musée Nicolae Iorga, installée dans lancienne demeure de lhistorien. Un autre musée incotournable est celui de la nature de Valea Teleajenului (La Vallée du Teleajen), qui vous fait découvrir la flore et la faune de la contrée. Les passionnés de nature seront comblés, car les randonnées pédestres sur les côteaux qui ceignent la ville font découvrir un panorama à couper le souffle sur la Vallée du Teleajen. Si vous souhaitez passer un super week-end à Vălenii de Munte, vous êtes les bienvenus au Festival de l’eu-de-vie de prune!”



    Côté hébergement, vous pouvez prévoir un séjour dans un gîte rural, histoire connaître aussi le quotidien des habitants de cette région sous-montagneuse. (Aut.: Ana-Maria Cononovici; Trad.: Mariana Tudose, Dominique)