Tag: putsch

  • L’année 2016 dans le monde

    L’année 2016 dans le monde

    Vague d’attentats terroristes dans le monde en 2016



    Le terrorisme a continué à être un sujet majeur dans le monde entier en 2016, année marquée par un nombre record d’attaques terroristes commises ou déjouées dans des pays de l’UE, du Moyen Orient et d’Afrique et dont une majorité a été revendiquée par l’organisation terroriste Etat islamique ou des groupes affiliés. Daesh avait déjà menacé au printemps d’attaquer tous les Etats participant à la coalition antiterroriste impliquée dans des opérations en Syrie et en Iraq, des menaces qu’elle n’a pas tardé à mettre en pratique. En mars, trois attentats suicides ont frappé l’aéroport international et une station de métro de Bruxelles. Le bilan, faisant état de 32 morts et de 340 blessés, a été le plus sanglant jamais connu par la Belgique. Le massacre a été revendiqué par Daesh.



    Fin juin, c’est l’aéroport Atatürk d’Istanbul qui a été la cible d’un triple attentat suicide, qui s’est soldé par 48 morts et plus de 230 blessés. D’autres attentats sanglants ont ensuite été perpétrés en France et en Allemagne. La France a été frappée le jour même de sa Fête nationale, le 14 juillet, lorsqu’à Nice, un poids-lourd a foncé sur la foule rassemblée sur la Promenade des Anglais, pour admirer les feux d’artifices. 86 personnes, y compris des enfants, y ont perdu la vie et plus de 400 ont été blessées. La dernière attaque terroriste majeure en Europe a eu lieu le 19 décembre, à Berlin, lorsqu’une douzaine de gens sont morts et 48 blessés également par un camion qui est entré à toute vitesse dans un Village de Noël. L’organisation terroriste Daesh a revendiqué cet attentat.






    Tentative de putsch en Turquie



    Une tentative de putsch s’est produite le 15 juillet en Turquie, organisée par une faction de l’armée. La révolte a été mise en échec par les forces loyales au président Recep Erdogan, mais les affrontements armés dans les rues d’Istanbul et d’Ankara ont coûté la vie à quelque 300 personnes et blessé plus de 2000. Après le coup d’Etat avorté, le président Erdogan a lancé une campagne contre les partisans de son adversaire politique, le prédicateur musulman Fehtullah Gülen, établi aux Etats Unis, qu’il a accusé d’avoir fomenté le coup. Gülen a nié toute implication dans ce qui s’était passé, accusant à son tour Erdogan d’utiliser ce complot comme prétexte pour consolider son pouvoir. Une ample purge s’en est suivie en Turquie, des dizaines de fonctionnaires, dont des militaires, des policiers, des magistrats et des universitaires, ayant été arrêtés ou suspendus de leurs fonctions et plusieurs médias ont été fermés.




    La sortie du Royaume Uni de l’UE



    Au bout d’une campagne ciblée sur les droits des migrants intracommunautaires, les Britanniques ont voté en juin pour la sortie de l’Union européenne. Leur choix a mis en question la viabilité même du projet communautaire. Suite à ce résultat, le premier ministre conservateur David Cameron a démissionné pour être remplacé par Theresa May. Suite au résultat du référendum, l’Union européenne s’est retrouvée face à une situation sans précédent que les décideurs de Bruxelles, ainsi que tous les autres leaders européens, devraient apprendre à gérer. Le gouvernement de Londres a annoncé que les procédures en vue de la sortie du bloc communautaire devraient commencer à l’été 2017. Ce qui plus est, les négociations à ce sujet devraient s’étendre sur deux ans.




    Elections présidentielles aux Etats Unis



    Aux Etats-Unis c’est le républicain Donald Trump qui a remporté les élections présidentielles au bout d’une campagne électorale marquée par des controverses, scandales, insultes et attaques personnelles. La victoire du sulfureux milliardaire américain a été inattendue puisque les chances de victoire de son adversaire, la démocrate Hillary Clinton, ont été importantes jusqu’à la fin de la campagne électorale. De l’avis des analystes, la période de transition à la Maison Blanche a été tout aussi tumultueuse que la campagne présidentielle. Trump prêtera le serment d’investiture le 20 janvier.




    Les grands disparus de l’année 2016



    Une longue série de vedettes et de personnalités ont quitté ce monde en 2016. Parmi eux, le légendaire boxeur américain Muhammad Ali, considéré comme le meilleur pugiliste au monde, ainsi que l’ex capitaine de la sélection nationale de foot des Pays Bas Johann Cruyff. C’est également en 2016 qu’est décédé le père de la Révolution cubaine, Fidel Castro, qui a contrôlé d’une main de fer ce pays pendant près de cinq décennies. Le monde du film est lui aussi plus pauvre suite au décès du célèbre acteur italien Bud Spencer, du Britannique Alan Rickmann et de Carrie Fischer, celle qui a joué le rôle de princesse Leia dans la série de « La Guerre des Etoiles ». Sa mère Debbie Fischer, célèbre pour son rôle dans la comédie musicale « Chantant sous la pluie » est décédée un jour après. Mais c’est le monde musical qui a perdu une longue série de grands noms parmi lesquels David Bowie, Prince, Leonard Cohen et George Michael. Et c’est toujours en fin d’année qu’une autre tragédie a frappé le monde musical. Une soixantaine de membres de la fameuse Chorale de l’armée russe sont morts dans le crash de leur avion en mer Noire. (trad. : Ileana Taroi, Alex Diaconescu)

  • Die Republik von Ploieşti: komischer Putsch mit nachhaltiger Wirkung

    Die Republik von Ploieşti: komischer Putsch mit nachhaltiger Wirkung

    Am 8. August des Jahres 1870 trafen sich in Ploieşti zwei Geheimbünde, um einen gewagten Plan auszulösen: Fürst Karl von Hohenzollern-Sigmaringen sollte abgesetzt, eine Republik dann ausgerufen werden. Die Verschwörer wollten das Telegrafenamt in der Stadt besetzen und hofften, dass die Armee und die Bewohner einiger wichtiger Städte sich mit der Bewegung solidarisieren werden. Die linksliberal — oder rotliberal, wie es damals hie‎ß — geprägten Gruppen waren von der Herrschaft Karls und von dem Regierungschaos unter ihm enttäuscht. Nicht weniger als Hintergrund wichtig war der am 19. Juli 1870 ausgebrochene Krieg zwischen Deutschland und Frankreich. Rumänien begegnete dabei den Franzosen mit Sympathie, der 1866 in Rumänien eingetroffene Deutsche Karl von Hohenzollern-Sigmaringen wurde stattdessen angefeindet.



    Die Führer der Verschwörung gingen zögerlich vor, auch weil einige Offiziere einen Rückzieher andeuteten. Eine Gruppe um den Anwalt und Journalisten Alexandru Candiano-Popescu hielt sich aber an den Plan und besetzte die Präfektur und das Telegrafenamt. Vor einer Menge von mehreren Tausend Menschen rief Candiano-Popescu die Absetzung von Karl und gleichzeitig seine eigene Einsetzung als Präfekt des Gebiets Prahova aus. Nach seiner Ansprache marschierte die Menschenmenge auf eine nahliegende Kaserne zu, um sich zu bewaffnen. Der Kommandeur verweigerte den Rebellen den Einlass, daraufhin marschierten diese zum Stadtgefängnis und befreiten die Gefangenen. Kurze Zeit später brach aber der Leiter des Telegrafenamtes in der Stadt Predeal die Verbindung zu Bukarest ab. Am gleichen Abend verhaftete die Armee rund 400 Verdächtige, aber auch mehrere Politiker von den Liberalen: Ion C. Brătianu, Eugeniu Carada und Nicolae Golescu. Alexandru Candiano-Popescu, der Rädelsführer, wurde in der Stadt Buzău aufgegriffen. Nach weniger als einem Tag Bestand löste sich die Republik von Ploieşti auf. Die Mächtigen schienen wenig nachtragend zu sein — 41 Verschwörer kamen vor Gericht, wurden aber freigesprochen.



    Die Episode wurde zum beliebten Gesprächsthema am Stammtisch; der just aus Ploieşti stammende Schriftsteller und spätere Wahlberliner Ion Luca Caragiale verarbeitete sie dramaturgisch und literarisch. Doch die Republik von Ploieşti hatte eine besondere Bedeutung für die Stabilisierung der rumänischen Politik. Silvia Marton von der Fakultät für Politikwissenschaften an der Universität Bukarest glaubt, dass die Rebellion aufgrund der Funktionsmängel des jungen rumänischen Staates unvermeidbar war:



    Zum damaligen Zeitpunkt herrschte eine Aufbruchsstimmung — alles war möglich, alles war offen. Alle Akteure — die Aufständischen, Karl, die Konservativen, die Liberalen, die Moderaten — standen vor einem riesigen Gestaltungsbedarf. Das führte zu unbedachten Handlungen mit durchaus kritisierbaren Ergebnissen. Sie wollten ein Parlament einrichten, vielleicht auch eine Republik, aber daran per se lag ihnen nicht sehr viel.“



    Ob Monarchie oder Republik war weniger wichtig, sagt die Politikwissenschaftlerin — wichtig war, dass das Parlament eine hohe Bedeutung hat. Auch Karl selbst war auf der Suche nach seiner richtigen Position im Machtgefüge, ihm war nicht sehr klar, was genau vor sich geht. Brătianu als liberaler Vordenker verhielt sich in allen Regierungen dominant, die Konservativen versuchten, ein Mitspracherecht durchzusetzen, in die Jahre gekommene Revolutionäre von 1848 hatten ihre eigenen Ideen.



    Die Anklage sprach von einem Staatsstreich, es ist aber eine antikonservative Reaktion gewesen. Es war weniger eine prorepublikanische Rebellion, sondern eher eine Bewegung gegen die Konservativen und teilweise auch gegen Karl von Hohenzollern, den einheimischen Preu‎ßen, wie er damals genannte wurde“, sagt Silva Marton. Die Verschwörer wollten ein Ende der Privilegien der Bojaren, die in der konservativen Politik viel mitbestimmten. Die bürgerlichen Aufständischen sprachen direkt von Demokratie, sie stritten den Konservativen die politische Geltungshoheit ab. So unsinnig die Republik von Ploieşti heute erscheint — sie wirkte lange nach. Der Umgang der Politik mit Staat, Reformen, Bürgern, Herrschern änderte sich nachhaltig.



    Wie Silvia Marton erklärt, glaubten viele, dass ein Aufstand gegen Karl automatisch einer Befürwortung seines Vorgängers Alexandru Ioan Cuza gleichkam. Doch die 1848er Revolutionäre, die Liberalen, Roten und Radikalen waren auch Cuzas Gegner. Für sie bestanden zwischen Cuza und Karl keine signifikanten Unterschiede. Karl war autoritär und ignorierte das Parlament, Cuza lehnte den Dialog ab. Karl war in ihren Augen zu Cuza geworden. Nach Ansicht der Liberalen war eine Konzentration von zu viel Macht in einer Regierung gefährlich. Sie wollten, dass die Regierung Rechenschaft ablegt vor dem Parlament. Und ab 1870-1871 setzte sich diese Idee langsam durch — auch eine Folge der Republik von Ploieşti. Die Demokratie wurde konsolidiert, die Republik von Ploieşti gilt so gesehen auch als letzte Geburtswehe“ des modernen rumänischen Staates, der 1877-1878 seine Unabhängigkeit vom Osmanischen Reich erkämpft. Pikant dabei: Der Rebell Alexandru Candiano-Popescu kämpft als General im Unabhängigkeitskrieg mit und wird später Adjutant von König Karl, dem Herrscher, den er 1870 absetzen wollte.

  • Nachrichten 26.07.2016

    Nachrichten 26.07.2016

    BUKAREST: Der Oberste Landes-verteidigungsrat hat am Dienstag in Bukarest getagt. Die wichtigsten Beschlüsse des NATO-Gipfels in Warschau und deren Auswirkungen für Rumänien bildeten den Themenschwerpunkt der Gespräche. Au‎ßerdem kamen die Ma‎ßnahmen zur wirksamen Umsetzung der beim NATO-Gipfel verabschiedeten Beschlüsse zur Sprache. Präsident Klaus Iohannis erklärte am Ende der Sitzung, dass die in Warschau beschlossene Gründung der multinationalen Kampfeinheit laut rumänischen Plänen im März oder April kommenden Jahres stattfinden könnte. Mindestens sechs alliierte Staaten, darunter Polen und Bulgarien, seien an einer Teilnahme interessiert, so der Staatschef bei einer Pressekonferenz. Er erklärte ferner, der Landesverteidigungsrat habe eine Abschätzung der Sicherheitslage vor dem Hintergrund der zunehmenden Terroranschläge in Frankreich und Deutschland präsentiert. In Rumänien gebe es derzeit keinen Grund für eine Erhöhung der Terror-Alarmstufe, erklärte der Präsident. Auf der Tagesordnung der Sitzung standen ferner die Entwicklung in der Türkei und im Nahen Osten. Au‎ßerdem ging es noch um eine Stellungnahme zum Gesetzentwurf über die Integration des rumänischen Bahnnetzes in den einheitlichen europäischen Bahnraum.



    ANKARA: Neun Tage nach dem gescheiterten Militärputsch hat der türkische Au‎ßenminister Mevlüt Çavuşoglu dem russischen Präsidenten Wladimir Putin persönlich für die bedingungslose Unterstützung“ gedankt. Russland hat uns bedingungslos unterstützt“, sagte Çavuşoglu dem TV-Sender Haber Turk. In erster Linie möchte ich Putin und anderen russischen Offiziellen danken.“ Bei ihrem für August angekündigten Treffen werden die Präsidenten beider Staaten, Recep Tayyip Erdogan und Wladimir Putin, über eine Wiederherstellung der Beziehungen, insbesondere im Handel, sprechen, so Çavuşoglu. Bei einem gescheiterten Putschversuch durch Teile des türkischen Militärs waren in der Nacht zum 16. Juli rund 250 Menschen getötet worden. Mehr als 2100 weitere Menschen erlitten Verletzungen. In den folgenden Tagen wurden mehr als 6.000 mutma‎ßliche Putschisten festgenommen, unter ihnen ranghohe Militärs, Richter und Staatsanwälte. Es gab au‎ßerdem Massenentlassungen.



    PARIS: Weniger als zwei Wochen nach dem Blutbad von Nizza ist Frankreich erneut von einem mutma‎ßlich islamistischen Anschlag erschüttert worden. Zwei Angreifer stürmten am Dienstag eine Kirche nahe der nordfranzösischen Stadt Rouen und nahmen fünf Geiseln. Während ihrer Attacke ermordeten sie einen über 80-jährigen Priester. Eine weitere Geisel wurde schwer verletzt und schwebte am Dienstag in Lebensgefahr. Polizisten einer Sondereinheit erschossen die Männer, als sie gerade die Kirche verlie‎ßen, wie ein Sprecher des französischen Innenministeriums sagte. Drei Geiseln seien “unversehrt” befreit worden. Frankreichs Staatschef François Hollande und sein Innenminister Bernard Cazeneuve reisten nach Saint-Etienne-du-Rouvray, um sich ein Bild von der Lage zu machen. Dort sprach der Präsident von “zwei Terroristen”, die sich zum IS bekannt hätten. Der “Krieg” gegen den IS müsse “mit allen Mitteln” geführt werden. In einer zeitgleich veröffentlichten Erklärung verurteilte die französische Präsidentschaft einen “niederträchtigen terroristischen Anschlag”. Auch die IS-Dschihadisten nahmen die Attacke für sich in Anspruch. Nach Angaben aus Ermittlerkreisen war einer der Angreifer womöglich den Anti-Terror-Behörden bekannt. Der Angriff auf die Kirche löste Schock und Entsetzen aus. Frankreichs Premierminister Manuel Valls verurteilte einen “barbarischen Angriff”. “Ganz Frankreich und alle Katholiken” seien schockiert, erklärte er auf dem Kurznachrichtendienst Twitter. Der Vatikan verurteilte den “barbarischen Mord” und sprach in einer Mitteilung von “grauenvoller Gewalt”. Papst Franziskus teile “Schmerz und Entsetzen” der Betroffenen. (AFP)



    SPORT-Tennis: Simona Halep hat sich im kanadischen Montreal an der Seite von Monica Niculescu für die zweite Runde des Doppelturniers der Damen qualifiziert. Die beiden setzten sich gegen die Kanadierin Gabriela Dabrowski und die Russin Alla Kudriawzewa deutlich, mit 6:3 und 6:2, durch. Halep und Niculescu, die bislang noch nie gemeinsam ein Turnier bestreitet hatten, treffen als nächstes auf das ukrainische Duo Katerina Bondarenko/Olga Sawtschuk.

  • Nachrichten 23.07.2016

    Nachrichten 23.07.2016

    Die rumänische Einwanderungsbehörde hat im ersten Halbjahr Verfahren für den rechtmä‎ßigen Aufenthalt von über 110 Tausend Ausländern betreut. 45 Tausend sind Bürger der EU, des EWR und der Schweiz, weitere 65 Tausend kommen aus Drittstaaten. Die meisten der Letzteren stammen aus der mehrheitlich rumänischsprachigen Republik Moldau, aus der Türkei und China. Italiener, Deutsche und Franzosen sind die EU-Bürger, die am häufigsten einen Aufenthalt in Rumänien anstreben. Ausländer kommen vor allem wegen der Familienzusammenführung, zum Studium oder um hier zu arbeiten.



    Der rumänische Staatspräsident Klaus Iohannis hat die Attacke in München, bei der am Freitag mehrere Menschen ums Leben kamen, verurteilt. Solche Verbrechen müssen schnell und mit maximaler Härte bestraft werden, sagte er. Die internationale Gemeinschaft müsse sich für mehr Prävention und Bekämpfung abstimmen, fügte Iohannis hinzu. Premierminister Dacian Ciolos drückte seine Solidarität mit dem deutschen Volk aus und kondolierte den Hinterbliebenen der Opfer. Gewalttaten, die unschuldige Menschenleben kosten, seien unannehmbar, sagte er. Die Hintergründe des Attentats bleiben inzwischen unklar. Bei der Durchsuchung der Wohnung des 18jährigen deutsch-iranischen Schülers, der neun Menschen und dann sich selbst erschoss, wurden keine Hinweise zu einer Verbindung mit der Terrormiliz IS gefunden. Er soll jedoch wegen psychischer Probleme in Behandlung gewesen sein.



    Der türkische Präsident Recep Tayyip Erdogan hat die Schlie‎ßung von 1000 Privatschulen sowie mehreren Universitäten und Krankenhäusern angeordnet. Zudem verlängerte er die Zeit, in denen Verdächtige ohne Anklage inhaftiert werden dürfen, von zuvor vier auf jetzt 30 Tage. Nach dem gescheiterten Militärputsch vor gut einer Woche war der Ausnahmezustand am Mittwochabend für mindestens drei Monate verhängt worden. Die Behörden setzten auch die Europäische Menschenrechtskonvention zeitweilig aus.


    Seit dem gescheiterten Putsch wurden in der Türkei rund 60.000 Soldaten, Polizisten, Beamte und Lehrer suspendiert oder sogar festgenommen



    In den USA hat sich die demokratische Präsidentschaftskandidatin Hillary Clinton für den Senator Tim Kaine aus Virginia als Partner im Wahlkampf entschieden. Kaine ist ein ehemaliger katholischer Missionar und Bürgerrechtsanwalt. Er ist Mitglied im Auswärtigen und im Streitkräfteausschuss des Senats und gilt als Verfechter einer harten Linie gegen den Islamischen Staat. In seiner Karriere war er unter anderem Bürgermeister von Richmond und Gouverneur von Viriginia. Er hat sich unter anderem für eine Liberalisierung des Einwanderungsrechts eingesetzt. Clinton soll beim Parteikonvent der Demokraten in der kommenden Woche offiziell zur Präsidentschaftskandidatin gekürt werden. Die Republikaner hatten am Donnerstag Donald Trump nominiert. Die Wahlen finden am 8. November statt.

  • Nachrichten 20.07.2016

    Nachrichten 20.07.2016

    Die Türkei ist ein Schlüsselpartner für Rumänien und die Europäische Union, daher sei Stabilität in diesem Land erforderlich. Dies erklärte am Mittwoch der rumänische Premierminister, Dacian Ciolos. Nach dem Schock des gescheiterten Putschversuches sei es nun wichtig, dass die Türkei zur verfassungsmä‎ßigen Ordnung, zur Achtung der Prinzipien des Rechtsstaates und der Menschenrechte zurückkehrt, sagte er. Das seien Werte, die wir alle innerhalb der EU teilen, Rumänien sei davon überzeugt, dass in Anbetracht der guten Beziehungen zur Europäischen Union, die Türkei diese Werte auch weiterhin teilt, so der rumänische Premierminister. Seit dem Putschversuch mit mehr als 260 Toten geht die Regierung in Ankara mit harter Hand gegen mutma‎ßliche Anhänger des in den USA lebenden Predigers Fehtullah Gülen vor. Die türkischen Behörden sehen in Gülen den Drahtzieher des gescheiterten Putschversuches und fordern seine Auslieferung. Gülen bestreitet die Vorwürfe und beschuldigt seinerseits Präsident Recep Tayyip Erdogan, den Putschversuch als Vorwand zu instrumentalisieren, um seine Macht zu stärken. Etwa Zehntausende Staatsbedienstete wurden suspendiert, mehr als 8500 Menschen festgenommen. Mindestens 24 Fernseh- und Hörfunksendern mit angeblicher Gülen-Nähe wurde die Lizenz entzogen.



    Nach dem Anschlag von Nizza verlängert Frankreich den Ausnahmezustand voraussichtlich um ein halbes Jahr. Die Pariser Nationalversammlung stimmte in der Nacht zum Mittwoch dafür, die teils umstrittenen Sonderrechte für die Behörden bis Ende Januar 2017 in Kraft zu belassen. Die Regierung wollte ursprünglich nur eine dreimonatige Verlängerung, lenkte dann aber gegenüber Forderungen der konservativen Opposition ein. Ursprünglich sollte der Ausnahmezustand Ende Juli auslaufen, doch nach der Attacke mit 84 Toten verzichtete Paris auf die Beendigung. Es werde im Rahmen des Rechtsstaats alles getan, um die Franzosen zu beschützen, versprach Präsident François Hollande. Der Ausnahmezustand war nach den Pariser Terroranschlägen vom 13. November verhängt und seitdem dreimal verlängert worden, zuletzt mit Blick auf die Fu‎ßball-Europameisterschaft und die Tour de France. Anders als bei der letzten Verlängerung sollen diesmal auch wieder Hausdurchsuchungen ohne Richterbeschluss möglich sein. Zudem sollen Ermittler Computer und Telefone der Verdächtigen auswerten dürfen. Bürgerrechtsorganisationen hatten die Sonderrechte wiederholt kritisiert und den Nutzen angezweifelt. Insgesamt starben bei dem Anschlag am vergangenen Donnerstag neben dem Angreifer 84 Menschen, die nach Angaben der Pariser Staatsanwaltschaft nun alle identifiziert sind. Unter den Toten ist auch ein rumänischer Staatsangehöriger, seine Familie gehört zu den vier Verletzten aus Rumänien. Ein 31-jähriger Tunesier hatte am französischen Nationalfeiertag einen Lastwagen in eine Menschenmenge auf der Strandpromenade von Nizza gelenkt.



    11 Terrorismusverdächtige sind letztes Jahr in Rumänien verhaftet worden. Das geht aus dem Terrorismus-Bericht hervor, den Europol am Mittwoch vorlegte. In ganz Europa wurden demnach über 1000 Verdächtige verhaftet, die meisten davon in Frankreich.



    Das rumänische Verfassungsgericht hat am Mittwoch entschieden, dass das Sondergesetz über die Renten der Kommunalpolitiker verfassungswidrig ist, und somit zum zweiten Mal der Bukarester Regierung Recht gegeben. In Februar hatte die Exekutive das Verfassungsgericht angerufen und beanstandet, dass die Sonderrenten für Kommunalpolitiker den Haushalt stark belasten. Bereits im Dezember 2015 hatte die Regierung in einer ersten Verfassungsbeschwerde gerügt, dass das Gesetz durch die Einführung von Privilegien etliche Verfassungsartikel verletze. Au‎ßerdem hatte die Regierung die rückwirkende Gewährung von Zahlungsansprüchen angefochten und auf den Mangel an Haushaltsressourcen hingewiesen. Die über 16.000 möglichen Nutznie‎ßer — Bürgermeister, Vizebürgermeister, sowie Vorsitzende und Vizevorsitzende der Kreisräte — sollten Sonderrenten zwischen monatlich umgerechnet 350 und 1.500 Euro im Monat kassieren.



    Eine Petition, in der gefordet wird, dass in der rumänischen Verfassung die Ehe als Verbindung zwischen Mann und Frau verankert wird, ist am Mittwoch von den rumänischen Verfassungsrichtern als rechtmä‎ßig erklärt worden. Drei Millionen Menschen hatten die Petition unterschrieben, die praktisch ein Verbot der gleichgeschlechtlichen Ehe durchsetzen soll. Im Moment definiert die Verfassung die Ehe als Verbindung von zwei Ehegatten.



    In Rumänien ist mit Radu Beligan eine gro‎ße Theaterlegende gestorben — er verstarb am Mittwoch in einem Bukarester Krankenhaus im Alter von 97 Jahren. Am 15. Dezember 2013 wurde er ins Guiness Buch der Rekorde als langlebigster aktiver Bühnenschauspieler aufgenommen. Zwischen 1969 und 1990 war Beligan Intendant des Bukarester Nationaltheaters. Im Jahr 2002 wurde er als erster rumänischer Schauspieler mit der französischen Ehrenlegion ausgezeichnet.


  • Nouvelle Turquie

    Nouvelle Turquie

    Une nouvelle Turquie est en train d’émerger aux portes de l’Europe. Elle surgit de cette masse de fumée et d’interrogations que fut le putsch militaire avorté de la nuit du 15 au 16 juillet 2016. Dans l’est du Vieux Continent, cet événement a très vite relégué l’attentat de Nice au second plan. Le coup d’Etat manqué, les prises de position et les mesures ultérieures des responsables turcs se sont fait la part belle dans les médias de la région et le traitement de l’information a été plutôt alarmiste, la presse roumaine n’y faisant pas exception. Et pour cause, la Turquie est quasiment voisine à la Roumanie, un partenaire commercial de poids, l’allié otanien le plus important de la région, sur lequel Bucarest compte pour mettre en œuvre ses projets sécuritaires à la mer Noire. Toutefois, ces projets restent-ils d’actualité, dans ces nouvelles conditions, alors qu’Ankara hausse le ton face notamment aux Etats-Unis ? Quelles conséquences de cette crise pour la Roumanie et sa région ? En fin de compte, la situation est-elle si « délicate », voire « grave », voire même « apocalyptique », comme les médias la présentent ?



    Pistes de réflexion avec deux spécialistes des relations internationales — Stefan Popescu, chargé de cours associé à l’Ecole d’études politiques et administratives de Bucarest, et, par téléphone, Sergiu Miscoiu, maître de conférence à la Faculté d’études européennes de l’Université Babes-Bolyai de Cluj, dans le centre ouest de la Roumanie.



  • Blutige Tage voller Gewalt und Unsicherheit in Frankreich und in der Türkei

    Blutige Tage voller Gewalt und Unsicherheit in Frankreich und in der Türkei

    Am Donnerstagabend, als ganz Frankreich den Nationalfeiertag feierte, hatte ein Mann in Nizza einen 25-Tonnen Lastwagen in eine Menschenmenge gesteuert, die sich das Feuerwerk zum Abschluss des Nationalfeiertags anschaute. 84 Menschen, einschließlich Kinder, haben dabei ihr Leben verloren; mehrere Hundert wurden verletzt. Medienberichten zufolge, waren unter den Opfern auch Bürger aus anderen EU-Staaten, einschließlich aus Rumänien, und aus Russland. Zu dem Anschlag bekannte sich die Terrormiliz Islamischer Staat (IS). Der Fahrer des Lastwagens wurde von der Polizei erschossen. Es handelte sich um den 31 Jahre alte Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, ein französischer Bürger tunesischer Abstammung. Der UNO-Sicherheitsrat bezeichnete den Anschlag als einen barbarischen und feigen Angriff. Der US-Präsident Barack Obama sicherte Frankreich seine Solidarität zu. Auch der rumänische Präsident Klaus Iohannis sprach den Familien von Opfern sein Beileid aus. Klaus Iohannis hat am Freitag in das Kondolenzbuch bei der französischen Botschaft in Bukarest geschrieben. Der Premier Dacian Cioloş verurteilte den barbarischen Anschlag auf das französische Volk. Der rumänische Aussenminister Lazar Comanescu verurteilte seinerseits scharf den Angriff, den er als barbarische Terrorakte bezeichete und betonte, dass die internationale Gemeinschaft ihre Bemühungen im Kampf gegen Terrorismus intensivieren müsse. Andererseits sind die Sicherheitsmaßnahmen bei allen offiziellen französischen Institutionen in Rumänien verstärkt worden. In Frankreich hat der Präsident Francois Hollande nach dem Anschlag von Nizza eine dreitägige Staatstrauer angeordnet. Mehr als 500 Menschen meldeten sich bis jetzt in Nizza an den Stellen für psychologischen Beistand für die Zeugen des Terroranschlags. Die Französischen Behörden haben mehrere Verdächtige festgenommen, die den Anschlag geplant haben sollten.



    Bei einem gescheiterten Putschversuch am Freitagnacht in der Türkei sind etwa 300 Militärs und Zivilisten ums Leben gekommen; mindestens 1.400 Menschen wurden verletzt. Ein Teil der turkischen Armee hat am 15. Juli versucht, den Staatspräsidenten Recep Tayyip Erdogan zu stürzen. Die von den Putschisten bekanntgegebenen Gründe waren die Aufbewahrung der Säkularisierung und der demokratischen Freiheiten, sowie die Wiedereinführung der verfassungsmäßigen Ordnung in der Türkei. Nach dem Scheitern des Putschversuches erklärte der türkische Staatspräsident Recep Tayyip Erdogan in einer Stellungnahme, dass die Regierung die Lage wieder unter Kontrolle habe, und ermunterte die Bürger, auf die Straße zu gehen, was auch anschließend geschah. Es folgten Tausende Festnahmen und Amtsentlassungen. Die türkische Führung setzt nach dem gescheiterten Putschversuch die von Präsident Recep Tayyip Erdogan angekündigte «Säuberung» des Militärs um und geht auch hart gegen Richter vor. Offiziellen Angaben zufolge wurden in einer ersten Aktion auch mehr als 2800 Putschisten aus den Reihen der Streitkräfte festgenommen. Fünf Generäle und 29 Oberste sollen nach Angaben aus Regierungskreisen ihrer Posten enthoben worden sein. 2700 Richter wurden abgesetzt – fast ein Fünftel der schätzungsweise rund 15 000 Richter in der Türkei. Auch wenn Recep Tayyp Erdogan demokratisch gewählt wurde, wird ihm eine beabsichtigte Islamisierung des türkischen Staates vorgeworfen. Der in der Türkei populäre Erdogan wurde in den letzten Jahren kritisiert, weil er die Freiheit der Presse blockierte, Kritiker, einschließlich Journalisten, zum Schweigen brachte, die Einführung des Islamismus in säkularen Strukturen förderte und die Machtbefugnisse des Präsidenten erweiterte. Nach dem Putschversuch gab es Chaos auf den Flughäfen in Ankara und Istanbul. Die rumänische Botschaft und die rumänischen Konsulate in der Türkei unterstützen die etwa 10.000 rumänischen Urlauber bei ihrer Rückkehr in die Heimat. Bislang wurden mit Hilfe des Auswärtigen Amtes mehrere zwei Sonderflüge für rumänische Staatsbürger auf der Route Istanbul-Bukarest getätigt. Das Bukarester Außenministerium empfiehlt weiterhin den Rumänen, Reisen in die Türkei zu vermeiden.

  • Die öffentliche Wahrnehmung der rumänischen Revolution von 1989

    Die öffentliche Wahrnehmung der rumänischen Revolution von 1989

    Eine Obsession der rumänischen Revolution vom Dezember 1989 waren die sogen. Terroristen. Die mutma‎ßliche Verwicklung ausländischer Geheimdienste im Verlauf der Ereignisse hat zudem tief enttäuscht. Die Terroristen wurden zu einer wahrhaften Neurose, die die Wahrnehmung des wichtigsten Moments in der jüngeren Geschichte Rumäniens beeinflusst hat. Die Opfer vom Dezember, der nachfolgende langwierige Wandel und die enttäuschten Erwartungen brachten einige dazu, die rumänische Revolution mit Bedauern oder sogar mit Verachtung zu betrachten.



    Der Historiker Adrian Cioroianu von der Fakultät für Geschichte in Bukarest hat versucht zu erläutern, wer die sogenannten Terroristen waren, die damals aus dem Hinterhalt auf Menschen schossen:



    Es ist ein Begriff, an den viele damals geglaubt haben. Was wir heute als Terroristen bezeichnen, hätten Söldner-Truppen aus mehr oder weniger arabischen Ländern, es hätten die berüchtigten sowjetischen ‚Touristen‘ sein können. Was wir jetzt geschichtlich mit Gewissheit sagen können, ist, dass ein gro‎ßer Teil derjenigen, die bis zum 25. Dezember und sporadisch auch nach diesem Datum geschossen haben, Ceauşescu treu gebliebene Elemente der internen Sicherheitspolizei Securitate gewesen sein könnten. Wenn wir die Verschwörungstheorie befolgen, können wir natürlich Vermutungen anstellen, dass alles gro‎ßartig in Szene gesetzt wurde, um den Eindruck einer Revolution zu erwecken. Das ist eine Interpretation, vor der ich Angst habe, und ich wünsche mir, dass diese in Zukunft nicht bestätigt wird. Es würde zynisch sein, bei den Gefechten sind Menschen ums Leben gekommen.“



    Von Historikern erwartet man gewöhnlich eine klare Antwort betreffend die Terroristen. Aber ihre wohlüberlegten Erklärungen besitzen nicht die Überzeugungskraft der Verschwörungstheorien. Adrian Cioroianu über die Schwierigkeiten, auf die Historiker bei der Deutung geschichtlicher Ereignisse sto‎ßen:



    Solange wir keine glaubwürdigen Berichte von den Zeitzeugen bekommen, die damals die Situation kontrolliert haben, ist die Aufgabe des Historikers eine ziemlich undankbare. Wir können nur Zeugenaussagen von damals sammeln, ihre Glaubwürdigkeit ist aber streitbar. Damals, im Schock und Chaos, war es schwer, zwischen tatsächlich Erlebtem und Eingebildetem, zwischen wahren Eindrücken und falschen Wahrnehmungen zu unterscheiden. Der Historiker ist aber dazu verurteilt, nach der Wahrheit zu suchen. In einer chaotischen Periode ist es praktisch unmöglich, die Wahrheit zu finden, wenn diejenigen, die die Situation verwaltet haben, ihren Teil der Wahrheit nicht sagen. Veteranen der Geheimdienste, diejenigen, die im Dezember 1989 die Macht verloren haben, sprechen von einem Komplott, das vorbereitet gewesen wäre, manche sagen in der Sowjetunion. Wir können nur spekulieren, so lange wir keine minimale Dokumentations-Basis haben.“



    In der Geschichte der Revolutionen spricht man von konterrevolutionären Bewegungen, die sich der Revolution widersetzen. Manche Historiker meinen, die rumänische Revolution sei wegen der Anwesenheit der Terroristen atypisch gewesen. Adrian Cioroianu ist anderer Meinung:



    Ich glaube nicht, dass die rumänische Revolution atypisch war. Sie unterscheidet sich von den anderen in Osteuropa, wenn wir uns mit der Tschechoslowakei, mit Ungarn oder mit der DDR vergleichen. Wir müssen akzeptieren, dass die Existenz eines kommunistischen nationalen Regimes, so wie dieses in Ungarn, Polen oder der Tschechoslowakei nicht existierte, uns von Anfang an zu solchen Auseinandersetzungen verurteilte: Menschen, die gegen Ceauşescu ein Komplott schmiedeten, und Menschen, die Ceauşescu verteidigten. Wenn wir das heute mit klaren Augen betrachten, hätten wir diese Polarisierung und diese Trennung in zwei Konflikt-Parteien erwarten müssen. Und ich möchte dabei nur auf den Fall Jugoslawien verweisen: Dort gab es auch einen nationalen Kommunismus, und wir wissen, wie lange die Trennung von dem noch als kommunistisch angesehenen Regime von Milošević gedauert hat. Der National-Kommunismus hat immer solche Probleme verursacht und hat zu internen Konflikten geführt.“



    Gibt es eine Chance, dass die Rumänen den wahren Wert der Revolution vom Dezember 1989 erkennen werden? Adrian Cioroianu ist optimistisch:



    Ich bin mir sicher, dass immer mehr Rumänen zu der vernünftigen Schlussfolgerung kommen werden, dass diese Energiefreisetzung vom Dezember 1989 — zumindest aufgrund ihrer Folgen — eine Revolution war. Neutral sprechen wir ja von den ‚Dezember-Ereignissen‘, gerade weil wir vermeiden möchten, einen generischen Namen zu finden. Ich glaube, wir müssten es Revolution nennen, weil die Folgen denen einer Revolution entsprechen, ungeachtet dessen, was sich diejenigen vorgestellt haben, die möglicherweise einen Putsch gegen Ceauşescu vorbereitet hatten. Wenn solche Ereignisse in einem Land passieren, treten normalerweise die Geheimdienste der Nachbarländer in Alarmbereitschaft. Wir dürfen uns nicht vorstellen, dass die sowjetischen Geheimdienste, die Geheimdienste Jugoslawiens und Ungarns die Ereignisse in Rumänien nicht aufmerksam verfolgten. Das war ihre Pflicht. Natürlich muss man zwischen Aufmerksamkeit und Verwicklung unterscheiden. Für uns ist es aber noch nicht klar, inwieweit die Sowjetunion verwickelt war. Ich bin mir aber sicher, dass die Zeit alles heilt, auch in der Geschichte.“



    Die Revolution vom Dezember 1989 hat nach 45 Jahren Kommunismus die Freiheit und die Demokratie zurückgebracht. Die heutige Unzufriedenheit der Rumänen ist unbedeutend gegenüber dem Leben unter der kommunistischen Tyrannei.



    Audiobeitrag hören: