Tag: René et Louisette Pigeard

  • Le courrier des auditeurs du 24 février 2023

    Le courrier des auditeurs du 24 février 2023

    Bonjour à toutes et
    à tous ! Quoi de neuf de votre côté ? Même si la Saint Valentin est devenue
    célèbre dans la Roumanie postcommuniste, de plus en plus de Roumains lui tournent dernièrement le dos
    pour privilégier une fête de l’amour autochtone, à savoir le Drogobete. Marquée
    chaque année le 24 février, la Dragobete n’est pas une simple célébration de
    l’amour, mais aussi la célébration de la bonne santé et de la bonne humeur.
    Mais qui est donc le Dragobete? Dieu de la mythologie, proche d’Eros ou de Cupidon,
    le Dragobete est un jeune homme beau et charmant qui chaque année, le 24
    février, laisse les mortels l’apercevoir pour leur annoncer le nouvel ordre
    terrestre qu’il se prépare à mettre en place à l’approche du printemps. Delia
    Suiogan, ethnologue à l’Université de Nord de Baia Mare nous en dit davantage:


    Au Maramures, dans
    le nord de la Roumanie, le Dragobete est connu sous le nom de Dragomir ou du
    Cap Printemps. C’est un personnage qui s’attribue toutes les caractéristiques
    du Dragobete, sauf sa nature zoomorphe et anthropomorphe. Dans les régions
    extérieures à l’arc carpatique, le Dragobete est un personnage mythique, avec
    la tête d’un humain et les pieds d’un bélier. Il s’agit là d’une représentation
    ancestrale, d’origine trace, que l’on retrouve dans d’autres mythologies aussi.
    Dans la tradition roumaine, la fête du Dragobete se voit attribuer trois dates
    distinctes: le 24 février, le 28 février ou le 1e mars. Sur ces trois jours, le
    24 février est le plus rencontré. Mais bon, on va dire que la signification de
    ces dates a fini par se juxtaposer et les trois sont en rapport avec le
    printemps.




    Chez les Roumains,
    le nom de Dragobete s’associe à celui d’un personnage mythologique. Certaines
    légendes le mentionnent comme étant le fils de mère Dochia, un jeune homme beau
    et immortel, protecteur de l’amour. Son nom diffère en fonction de la région ethno-folklorique
    où l’on se trouve. Jadis, la tradition voulait que le jour de Dragobete, les
    jeunes filles se lavent le visage de neige fraichement fondue pour rester
    belles et en bonne santé tout le reste de l’année. Malheureusement, ces
    coutumes ont disparues, malgré les efforts des spécialistes de les faire
    renaître. Delia Suiogan affirme que:




    Le Dragobete est
    une fête très ancienne et très intéressante que malheureusement, nombre de
    Roumains ont délaissée, en privilégiant la Saint Valentin. Mais, à la
    différence de cette fête d’origine occidentale, celle roumaine tire sa source
    d’anciens rites païens annonçant le printemps. Dans la tradition de chez nous,
    le printemps commence à s’installer à partir du 15 février. Du coup, les fêtes
    qui l’annoncent comprennent des rituels de fertilité et d’amour. Voilà pourquoi
    le Dragobete est considéré comme une célébration de l’amour, du couple, bref,
    du renouvellement.




    Même si
    dernièrement, le côté commercial de cette fête a pris le dessus sur son côté
    symbolique, les Roumains l’apprécient de plus en plus, surtout que c’est par le
    Dragobete que commence la série de fêtes consacrées au printemps. N’oublions
    pas que quelques jours après la Dragobete, la Roumanie marque le 1er mars, la
    fête du Martisor avant de célébrer la Fête des mères et des femmes, le 8 mars.
    Hé oui, on est gâté mesdames, ne serait-ce que quelques jours par an!


    Comment va notre
    cher ami Paul Jamet ? J’adore les liens littéraires que vous m’envoyez par
    mail, cela m’intéresse beaucoup et ça me fait un immense plaisir. Déjà de
    savoir que nos amis s’intéressent à la littérature et aux coups de cœur de la
    rentrée littéraire, mais en plus, qu’ils sont prêts à échanger avec nous.
    Alors, permettez-moi, cher Paul Jamet de passer brièvement en revue les dix
    livres mentionnés par les deux auteurs de cet article, Laurence Houot et
    Mohamed Berkani. Prenez donc quelque chose à écrire pour savoir quoi acheter
    une fois dans les librairies. Il s’agit, comme vous allez le voir de cinq
    romans français et cinq étrangers. En voici les titres : La Maison en
    pierre, de l’écrivaine zimbabwéenne Novuyo Rosa Tshuma, Adieu
    Zanzibar, du prix Nobel, Albdulrazak Gurnak, À prendre ou à
    laisser, de l’Américaine Lionel Shriver, A qui la faute, de
    l’écrivain islandais Ragnar Jónasson, Matrix, de la romancière
    américaine Lauren Groff, Les sources, de Marie-Hélène Lafon,
    Le silence et la colère, de Pierre Lemaitre, Terminus
    Malaussène, de Daniel Pennac, Fille en colère sur un banc de
    pierre, de Véronique Ovaldé et enfin , Le chant du silence de
    Jérôme Loubry. Si vous n’avez pas eu le temps de tout noter, pas de souci, vous
    allez trouver tous les titres sur notre site internet, dans le coin réservé aux
    auditeurs.


    Merci encore une
    fois à notre auditeur, Paul Jamet, pour avoir pensé à m’envoyer ce lien très
    intéressant et qui me donne envie de me rendre au plus vite possible dans une
    librairie française pour avoir accès à tous ces titres que je viens de
    mentionner. Malheureusement, j’ai raté mon dernier voyage en France, il était
    prévu pour la mi-février et, deux jours avant de prendre l’avion j’ai commencé
    à me sentir mal, à avoir de la fièvre et des nausées. Et puis, le diagnostic
    est tombé : j’ai attrapé le virus de la grippe A. Du coup, j’ai tout annulé et
    j’ai passé ma petite semaine de vacances chez moi, au lit avec mon chat qui
    était tout content de m’avoir toute la journée à sa disposition.


    Comment allez-vous
    cher René et Louisette Pigeard ? Cela fait un petit moment qu’on n’a plus reçu
    de vos nouvelles, j’espère que nos salutations les plus sincères et les plus
    amicales vous fassent du bien. Même si vous ne nous écrivez pas, on espère
    vraiment que vous continuez à nous écouter et que nos programmes s’avèrent tout
    aussi intéressants comme d’habitude. Cher René, vous avez le bonjour de tout le
    monde, non seulement de ceux présents en ce moment à la radio, mais aussi
    d’Ileana et de Ligia qui se remettent à moi pour vous faire des gros bisous
    radiophoniques. On vous serre tous les deux dans nos bras et on vous souhaite
    une excellente fin de semaine !



    Bonjour à vous,
    cher Daniel Klotz de Marseille, en France et comment allez-vous ? Merci bien
    d’avoir suivi nos programmes consacré au piratage informatique, au musée de
    Golesti, d’arboriculture et de viticulture et à la musique de jazz. Je sais que
    nous avons enregistré du retard dans l’envoi de nos cartes QSL, mais jamais un
    retard si long comme celui que vous invoquez. Dans ce cas, je pense que nos
    cartes QSL se sont perdues en route, car sinon, ce n’est pas possible. Surtout
    que dernièrement, nous avons des renforts qui nous aident à bien avancer dans
    la correspondance. Alors, espérons que le prochain courrier qui vous sera
    destiné finira par vous parvenir. Merci de rester fidèle à nos émissions et à
    la prochaine !



    Restons toujours en
    France et dirigeons-nous du côté de Biganos, pour un petit coucou amical à
    notre ami Philippe Marsan qui nous a envoyé un nouveau courrier riche en
    détails concernant nos émissions. A l’écoute le 17 février 2023, à 11h00 Tu sur
    15255 kHz avec un sinpo de 4/5, notre ami nous félicite de la bonne réception
    sur un récepteur de collection de 1951 ! Contente de vous savoir
    à l’écoute de nos actualités politiques, culturelles et sportives.
    Effectivement, la ville de Timisoara a commencé en force le weekend dernier la
    série de manifestations culturelles et artistiques qui font d’elle la capitale
    de la Culture européenne en 2023. Des centaines d’événements s’y dérouleront
    tout au long de l’année, donc, n’hésitez pas d’ajouter cette ville sur la liste
    de vos potentielles destinations de vacances. Cher Philippe
    Marsan, vous avez suivi aussi un programme que RRI a consacré aux nouveaux
    défis de cyber sécurité, à la guerre cybernétique, aux réseaux de satellites
    endommagés ou encore à la vague de piratages. Et puis, contente de voir que
    notre programme touristique Visiter la Roumanie a particulièrement suscité
    votre intérêt, notamment quand on a parlé du musée Golescu consacré à la
    viticulture et l’arboriculture. Quant au plat du
    jour qu’Alexandre a présenté sur les ondes, eh bien, en roumain le mot « aspic
    » désigne la gelée qu’on utilise pour préparer notamment des terrines à base de porc ou de dinde.
    Aucun rapport avec le serpent qui porte ce nom en France. Merci bien d’avoir
    écouté la rubrique de jazz qu’on a dédiée au grand musicien Johnny Raducanu. Et
    puis, Valentina se remet à moi pour vous faire un bisou radiophonique, tout en
    remerciant d’avoir suivi son Courrier des auditeurs où il a été question des
    vacances scolaires, mais aussi et surtout des participations à la Journée de la
    radio. Ceci dit, cher Philippe Marsan, veuillez recevoir nos amitiés les plus
    sincères et à bientôt de vous lire.


    Madame, Monsieur,
    c’est ici que ce courrier prend fin. Jusqu’à une nouvelle fois, prenez bien
    soin de vous et restez fidèles à nos émissions.









  • Le courrier des auditeurs 24.06.2016

    Le courrier des auditeurs 24.06.2016

    Quand on est en vacances, outre l’hébergement, on se demande où on va manger. Notre auditeur belge Michel Beine nous pose une question similaire, très belge dirais-je, sur les vendeurs de pommes frites et de menus aux pommes de terre. Je crois que vous pensez à des vendeurs dans la rue. Cela n’est pas chose courante par ici. Peut-être y en a-t-il dans certains grands parcs ou éventuellement à la mer, mais cela n’est pas dans les mentalités, c’est un business vu et venu d’ailleurs. Ce n’est pas très fréquent non plus d’avoir de tout petits commerces qui vendent quelques plats cuisinés, mais on en voit de temps en temps à Bucarest. Malheureusement, la réussite n’est pas assurée et beaucoup ne résistent pas très longtemps. En tout cas, la pomme de terre est l’accompagnement le plus courant pour les viandes, en Roumanie. Et comme c’est une toute petite réponse, j’enchaîne par une autre ; vous souhaitiez savoir comment les Roumains arrivent à joindre les deux bouts.

    Que font les Roumains de leurs revenus ? Découvrez la réponse ici :

    http://rri.ro/fr_fr/michel_beine_belgique_que_font_les_roumains_de_leurs_revenus-2549538

    Bien le bonjour en Inde à M Ramana Rao, ainsi qu’à tous les membres du Club DX de Hyderabad, en Inde. Merci pour votre petit message ; je me dois de vous signaler que nous n’avons pas de T-shirts au logo de RRI. J’espère que vous aurez bien reçu le matériel publicitaire dont nous disposons. Bonne écoute !

    Cette fois-ci, nous avons beaucoup d’auditeurs français. Je salue notre ami Jean-Michel Aubier, qui a partagé ces quelques pensées avec nous : « mauvaises surprises à répétition avec votre site web qui est très souvent en rade, comme ce dimanche. Heureusement, les flux audio sont disponibles via des sites externes. J’ai bien apprécié un récent Club Affaires qui a pointé l’inefficacité de l’agent versé par l’Etat pour développer le secteur énergétique. Mais je reste confiant dans l’économie roumaine qui finira bien par vaincre et à terrasser ses propres démons…. De plus, le taux de croissance de la Roumanie est plutôt satisfaisant. » C’est même parfois le plus élevé de toute l’Union européenne, mais comme je le disais au début de cette émission, il faut toujours avoir en tête que les revenus sont à moitié de la moyenne européenne. « Intéressant aussi le Société consacré à la pauvreté en Roumanie; mais là aussi, si le pays arrive à obtenir un taux de croissance satisfaisant, on peut espérer que ce fléau régressera…. » Jusqu’ici, avec les augmentations salariales obtenues, tout ou presque est passé dans la consommation, comme je le disais au début. Bien des fois, cela ne va pas au delà, mais il convient de garder notre optimisme. A bientôt, Jean-Michel.

    Quel travail minutieux que vos écoutes, M André Biot, de Belgique ! Merci bien pour tous ces rapports de réception, si détaillés. J’espère par ailleurs que les ennuis techniques sont réglés.

    J’ai pu constater que la Rencontre des amis de la Radio du Radio Club du Perche s’est déroulée cette année aussi sous de bons auspices, à preuve les enregistrements que René et Louisette Pigeard, de France, m’ont gentiment fait parvenir, et j’en profite pour les saluer. Portez-vous bien et à bientôt !

    Merci d’avoir suivi Radio Roumanie Internationale en français et en anglais, Dr. Bhattacharya, président du Club d’auditeurs Chaitak d’Inde. C’est avec joie que nous vous envoyons notre grille en vigueur, et bonne écoute !

  • Le courrier des auditeurs 30.01.2015

    Le courrier des auditeurs 30.01.2015

    Je vous signale tout d’abord que nous avons une nouvelle série de carte QSL pour 2015. Une série consacrée aux grottes de Roumanie. Vous aurez donc le bonheur de découvrir en photos quelques merveilles de la nature dont la première est la grotte de Movile. Juste un petit rapport d’écoute pour le mois de janvier et la carte sera à vous !



    Chers amis, puisque la poste s’avère parfois plus lente qu’on ne se l’imagine, on continue à recevoir des cartes de vœux de votre part . Et donc, je voudrais remercier nos chers auditeurs Jacques Augustin, René et Louisette Pigeard, Daniel Thielin, Bernard Watelet, Marcel Lecerf, Pierre Marichal, Joel Houzelot, Maurice Mercier, Jean Spaeth, Jean-François Meile, Philippe Marsan, Jean Barbat, Roger Roussel, Dominique de Carcassonne et Michel Beine pour leurs vœux de bonheur et santé en ce début d’année! On vous remercie de tout cœur du fait d’exister en tant qu’amis de nos ondes. Nous sommes à la fois fiers et heureux que RRI figure sur la liste des chaînes de radio que vous écoutez et nous espérons pouvoir compter sur votre présence à l’avenir aussi.



    Avant de passer au sujet du jour juste un petit mot de la part de Valentina qui se remet à moi pour transmettre un message à notre ami Maurice Mercier : cher ami, sachez que la carte QSL est en route vers vous ! C’est le cas aussi des cartes de confirmation pour les mois de novembre, décembre et janvier destinés à notre cher Michel Beine de Belgique. Un peu de patience et votre collection sera au complet.



    Bonjour ou bonsoir cher Paul Jamet de France et merci à vous pour le courrier bien fourni comportant de nombreux rapports d’écoute riches en détails, y compris techniques, tout comme une lettre au sujet des attentats de Paris. Vous affirmez qu’à l’heure où l’on parle, il faut « tout repenser, reconstruire, de moins reconsidérer, car nos politiques d’intégration ont échoué ». Et vous continuez « penseurs et politiques ont totalement sous-estimé, voir éludé, les effets spirituels, sociaux et politiques de l’immigration, surtout de l’immigration musulmane ». Pourtant, cher ami, il est très important, voir essentiel, de ne pas oublier qui se trouve derrière ces attentats. Il s’agit de groupes terroristes, fondamentalistes, radicaux, adeptes de la violence et qui se servent de la religion pour accomplir des crimes. L’intransigeance dont vous parlez ne se rattache pas à la religion, mais au terrorisme. C’est lui l’ennemi numéro un et c’est bien contre lui qu’on doit se battre.



    Madame, Monsieur, dans les minutes suivantes, je voudrais m’attarder sur un sujet qui intéresse nombre d’entre vous et sur lequel notre ami algérien Nouari Naghmouchi a demandé des détails : l’histoire des relations roumano-russes. Puisque le sujet est très vaste et assez compliqué, j’ai invité au micro un expert : il s’agit du journaliste Alexandr Beleavski, le correspondant de Radio Roumanie à Moscou. C’est bien lui qui vous expliquera pendant deux ou trois éditions du courrier, l’évolution des rapports roumano-russe depuis la fin de la deuxième guerre mondiale et jusqu’à présent.



    Découvrez la réponse ici:


  • Le courrier des auditeurs 10.10.2014

    Le courrier des auditeurs 10.10.2014

    Comment ça va ? Tout va bien de votre côté ? Chez nous, l’automne est de la compagnie, il s’est bien installé et il n’a plus envie de nous quitter avec ses pluies, son vent, ses feuilles mortes et son ciel si gris, comme disait Jacques Brel dans une de ses super chansons. Alors, comment s’amuser par un temps si morose ? Hé bien, une idée serait de rester à l’écoute de nos programmes, notamment du courrier qui vous propose dans les minutes suivantes une incursion dans les Carpates pour apprendre davantage sur un projet extraordinaire sur la protection des loups. Une question posée par notre ami français Jean Marie Monplot.



    Découvrez la réponse ici:


    http://www.rri.ro/fr_fr/jean_marie_monplot_france_la_protection_des_loups_en_roumanie-23453



    Je voudrais saluer notre cher auditeur français Christian Ghibaudo de Nice, qui nous a écrit un message bien sympa, grâce auquel on connaît mieux les préférences radiophoniques de notre ami. Il affirme « Je viens d’écouter le RRI spécial avec la présentation du livre “Bucarest démoli”. Comme toujours, ces rendez-vous culturels sont intéressants. Aujourd’hui, cela m’a permis d’en savoir un peu plus sur cette folie de Ceausescu. Pratiquement, 25 ans après sa mort, la Roumanie n’en finit pas de panser ses plaies. ». Tout à fait, cher ami. C’est très difficile d’oublier les horreurs que les communistes ont provoqué au pays et à ses habitants. Je ne sais pas si le livre sera édité un beau jour en France aussi.



    Par ailleurs, nous sommes contents d’apprendre votre intérêt à l’égard de l’édition de notre rubrique d’histoire Pro Mémoria consacrée aux dixième anniversaire de l’intégration de la Roumanie à l’OTAN. Difficile de répondre à votre question « La Russie tentera-t-elle une annexion comme en Crimée avec la Transnistrie, qui est de facto indépendante du reste de la Moldavie ? ». Difficile d’entrevoir les projets politiques de Poutine. Mais, il est très important pour un pays de rester assis à la table des grands, or c’est exactement ce que les structures euro-atlantiques peuvent nous offrir. Protection, importance sur la scène mondiale et bien sûr, un prix à payer. Il y en a toujours un, que l’on reste d’un côté ou de l’autre de la barricade, n’est-ce pas ? Par ailleurs, cher Christian Ghibaudo, nous sommes hyper contents d’apprendre que depuis la mise en service des nouvelles fréquences estivales, la réception de RRI sur les ondes courtes est parfaite surtout à 1000 et 1600 TU. Reste à voir ce qui se passera après l’entrée en vigueur des nouvelles fréquences. Merci à vous pour le rapport d’écoute. Andrei me confirme qu’il vous a bien envoyé les QSL de vérification, c’est donc la faute de la Poste de les avoir perdues en route. On les enverra encore une fois, pas de souci ! Ceci dit, gros bisous de Bucarest et à bientôt sur nos ondes !



    Bonjour ou bonsoir cher William Onkur, notre jeune auditeur français de Gonesse. Ca va ? Merci bien pour le rapport d’écoute qui sera confirmé par une carte QSL. On aimerait bien apprendre davantage sur tes préférences radiophoniques. Quelles sont tes émissions préférées ? Sur quels sujets aimerais-tu apprendre davantage ? Quelle musique aimes – tu écouter ? Si tu nous dis un peu plus sur toi, je pourrais, par exemple, te faire une petite dédicace musicale en fin de courrier. Cela te dirait ? En attendant une petite réponse de ta part, je te passe le bonjour de nous tous !



    Déplaçons-nous en Belgique d’où nous écoute M. André Biot, un de nos amis les plus fidèles si l’on prend en compte le nombre impressionnant de rapports d’écoute très détaillés. Malheureusement, je vois que de votre côté, le fading persiste, tandis que dans le sud de la France l’écoute est excellente. Apparemment, on n’a pas les moyens techniques pour assurer une bonne qualité de la réception partout dans le monde. Merci à vous pour tous les rapports d’écoute, merci de nous donner un feed-back sur nos programmes, cela est très important si l’on veut améliorer le contenu et la qualité de nos émissions ! Gros bisous de Bucarest.



    Bonjour la France et bonjour à vous, cher Bernard Watelet de Clermont Ferrand. Comment allez-vous ? J’espère que tout va bien de votre côté. Je suis fort contente de voir que vous continuez à écouter nos programmes. Parmi eux, vos préférés restent les actualités sur RRI, la rubrique d’histoire roumaine Pro Memoria, le dossier économique Club Affaires, la rubrique de tourisme Visitez la Roumanie et la chronique cuisine Le plat du jour, un programme qui cartonne beaucoup auprès de nos amis du monde entier. En plus, Alexandru est un excellent chef sur les ondes et dans la vie de tous les jours. Cher Bernard Watelet, merci à vous pour la très jolie carte postale avec, en image, le Massif du Sancy. Qu’il semble loin, le printemps! Je n’aime pas du tout le mauvais temps, le froid, les jours très courts, l’hiver en général ! Ceci dit, gros bisous et à la prochaine !



    Comment vont nos chers amis René et Louisette Pigeard de Greez sur Roc ? Ca va bien ? Merci à vous pour les rapports d’écoute tellement riches en détails qui prouvent votre fidélité envers nos émissions. Une fidélité de longue date qui nous fait un grand honneur, notre très cher ami âgé de 81 ans. Je vous souhaite au nom de toute l’équipe une longue vie, pleine de bonheur et beaucoup de santé à vous et à votre cher Louisette. Bisous et au plaisir de vous lire !

  • Le courrier des auditeurs 26.09.2014

    Le courrier des auditeurs 26.09.2014

    Chez nous, l’automne s’est installé en force, un peu trop brutalement, je dirais. Des pluies et des rafales de vent ont balayé les derniers rayons d’un soleil estival qui a définitivement quitté le pays en début de semaine. Et chez vous, la météo s’avère plus clémente ? En attendant vos réponses, je donne le top départ de cette nouvelle édition du courrier. Nous aurons un peu de tout aujourd’hui : réponses, musique et des propos sur la formation professionnelle en Roumanie, un sujet proposé par notre ami français Jean Marie Monplot qui voudrait apprendre davantage sur lapprentissage des métiers manuels (plombier, électricien , boucher , etc ….), en Roumanie, surtout qu’en France il y a un désintéressement des jeunes pour les métiers manuels. Et bien, grâce à des informations trouvées dans la presse, je pourrais vous donner un peu plus de détails là-dessus.



    Découvrez la réponse ici :


    http://rri.ro/fr_fr/jean_marie_monplot_france_lapprentissage_des_metiers_manuels_en_roumanie-22803



    Je salue notre ami français, Didier Vasseur d’Amiens qui dit, et je cite « j’adore vos émissions et il me fait plaisir de vous écouter ». Merci, merci beaucoup, cela fait chaud au cœur de lire de petits compliments comme celui-là. Par ailleurs, merci à vous pour le rapport d’écoute confirmé déjà par une jolie carte QSL. A la fin, j’ai une toute petite demande : s’il vous plaît, pourriez-vous écrire plus lisiblement ? J’ai vraiment du mal à déchiffrer votre écriture et il est bien dommage car je suis certaine qu’il y a de belles choses dans vos lettres. Merci à vous et au plaisir de vous lire !



    Restons toujours en France pour une bise radiophonique à notre cher ami d’Argenteuil, Paul Jamet. Comment ça va ? Qu’est-ce que vous avez fait de beau ce dernier temps ? Je suis ravie de me retrouver devant un tas de rapports d’écoute qui prouvent, une fois de plus, votre fidélité envers nos programmes. Merci à vous, c’est impressionnant comme nombre et détails. Je vois que, qu’il existe, de temps en temps, des problèmes techniques, mais je constate aussi que la qualité de nos programmes vous satisfait entièrement.



    C’est gentil de partager avec nous la recette de crumble de champignons au thym frais. Hm, ça a l’air vraiment délicieux, surtout pour les amateurs de champignons. Et puisque le temps nous le permet, veuillez prendre quelque chose à écrire pour noter la petite recette. Comme ça, vous aurez de quoi vous gâter la famille dimanche quand la plupart d’entre nous ont le temps de préparer quelque chose de spécial. Alors, pour le crumble, il vous faut : 75 g de farine, 25 g de noisettes en poudre, 40 g de parmesan râpé, 1 branche de thym frais, 75 g de beurre demi-sel ramolli à température ambiante. Notez maintenant les ingrédients pour la garniture. Une quinzaine de champignons bruns de taille moyenne, 1 gousse d’ail, une branche de persil plat, un peu d’huile d’olive, un morceau de beurre demi-sel ramolli à température ambiante, sel et poivre.


    Pour le crumble, versez la farine, la poudre de noisettes et le parmesan râpé dans un bol, émiettez le thym frais dessus et mélangez. Ajoutez le beurre demi-sel coupé en morceaux et incorporez-le du bout des doigts pour obtenir un mélange sableux. Mettez au frais.


    Nettoyez les champignons avec un torchon humide ou en les passant très rapidement sous l’eau pour éviter qu’ils ne s’imprègnent. Séchez-les avec du papier absorbant, coupez-les en tranches. Ciselez le persil, écrasez la gousse d’ail. Préchauffez le four à 200 degrés. Faites chauffer une poêle avec un peu de beurre et un filet d’huile d’olive. Ajoutez les champignons et l’ail, faites revenir à feu vif pendant deux minutes en remuant constamment. Quand ils sont tendres, retirez du feu, ajoutez le persil, le sel et le poivre et mélangez. Répartissez ce mélange dans des ramequins, ajoutez le crumble sur les champignons et enfournez pour 8 à 10 minutes jusqu’à ce que le dessus soit bien doré. Servez tiède ! Bon appétit et merci Paul Jamet pour cette recette délicieuse !



    Après avoir bien mangé, dirigeons-nous vers le Canada pour passer le bonjour de nous tous à Roger Roussel qui nous a envoyé un courrier bien fourni. Mon dieu, qu’est-ce qu’elle est belle la carte postale ! Magnifique ! C’est une image vraiment sublime du Parc national du Gros Morne ! Merci de partager avec nous les beautés de votre pays. Merci également de continuer à rédiger des rapports d’écoute riches et complets. Quant à nous, on s’engage à faire de notre mieux pour continuer « notre excellent travail » comme vous le dites ! A bientôt sur nos ondes !



    Retour en France pour un petit clin d’œil amical à nos chers amis René et Louisette Pigeard de Greez sur Roc. Comment allez-vous ? Ca fait du bien de vous savoir à l’écoute de nos émissions. Nous sommes désolés d’avoir raté l’édition 2014 de la Nuit de la Radio. Mais, parfois, il nous est impossible de quitter la section même pour quelques jours seulement. On a plein de boulot et on est loin d’être nombreux. Alexandra est partie, elle a changé de job et de carrière et donc, ce n’est pas facile d’avoir les mêmes résultats, quand le groupe est plus restreint. Mais bon, pour l’instant, on se débrouille. Et vous ? J’espère que tout va bien de votre côté. Même à la retraite, vous êtes pleins d’énergie, cela se voit ! Merci de continuer à écouter nos programmes et merci de nous encourager. Gros, gros bisous de la part de nous tous !



    Comment va notre cher auditeur Marcel Lecerf de Malzéville, en France ? Excellents rapports d’écoute, merci bien de continuer à en rédiger régulièrement. Je suis fort contente que le courrier des auditeurs figure parmi vos rubriques préférées, tout comme les Gens d’aujourd’hui d’Ileana, Dialogues, relations humaines de Costin ou encore les actualités. Et puis quelle joie de vous entendre vous exclamer « vous avez tellement de rubriques intéressantes, comment faire un classement ? » Merci bien de le dire, cela fait vraiment plaisir. Et puis, merci également pour nous avoir fait parvenir la petite photo de votre village. Il a l’air très sympa avec ses jolies maisonnettes et le pylône de radio-télécommunication qui domine les lieux. Cher M. Lecerf, merci à vous pour continuer à nous écouter et au plaisir de vous lire. Bisous de Bucarest !

  • Le courrier des auditeurs 02.08.2013

    Le courrier des auditeurs 02.08.2013

    En Roumanie, ça chauffe. La canicule y a été de la compagnie ces derniers jours ce qui a poussé les Bucarestois à chercher refuge soit au bord de la mer, soit à la montagne. Quant à moi, je voudrais vous inviter dans les minutes suivantes à Biertan, au cœur de la Transylvanie pour découvrir ensemble une belle cité saxone et son église, incluses depuis 1993 sur la liste du patrimoine de l’UNESCO. Un sujet proposé par notre ami Michel Beine, de Belgique et que RRI a déjà présenté lors de ses rubriques touristiques.



    Découvrez le sujet ici – http://www.rri.ro/fr_fr/michel_beine_belgique_la_cite_de_biertan-5003



    Coucou cher Christian Ghibaudo de Nice et comment ça va ? Je pense qu’à l’heure où je vous parle, il fait beau et chaud de votre côté. Bientôt, des vagues de vacanciers commenceront à déferler sur la Côté d’Azur, une des destinations estivales les plus privilégiées au sein des Européens. Quant aux Roumains, depuis quelques années déjà, disons deux ou trois, la Bulgarie et sa côte à la Mer Noire ont commencé à chuter dans les classements des préférences estivales et à leur place, on voit avancer vers le sommet du top les îles grecques, la Croatie, l’Espagne, le Portugal et pour les plus aisés, la République Dominicaine, le Mexique, les Ténériffes ou encore l’Indonésie. Et encore un petit détail : depuis que les hôtels bulgares n’offrent plus le même rapport qualité- prix, la côte roumaine à la Mer Noire a gagné du terrain. Bonne nouvelle donc pour le Ministère du Tourisme ! Par ailleurs, sachez, cher Christian, que tout le monde de la rédaction se remet à moi en cette fin de semaine pour vous passer son bonjour, il fut un réel plaisir pour nous d’avoir fait votre connaissance, je suis désolée de ne pas eu avoir un peu plus de temps pour bavarder avec vous, peut-être une prochaine fois quand le temps sera plus clément, espérons-le bien ! A propos, est-ce que vous avez trouvez finalement du cozonac ?



    Dirigeons-nous vers la France pour une bise amicale à nos chers René et Louisette Pigeard de Greez sur Roc. Comment allez-vous ? Merci bien pour votre fidélité envers nos programmes, prouvée par des rapports d’écoute réguliers, riches en détails. En fait, je n’ai jamais entendu parler d’un tel poisson, je ne sais pas vraiment à quoi rime-t-il. En Roumanie, il n’est pas du tout connu, donc difficile pour moi de vous dire comment s’explique sa présence dans l’Est de la France. Ne vous en faites pas pour votre écriture, je dois vous dire que même moi, au bout d’une dizaine d’années passées devant l’ordinateur, j’ai souvent du mal à écrire sur un bout de papier. La technique et l’innovation nous font souvent oublier les choses simples et naturelles, si je peux dire ainsi. A lire vos courriers, je comprends que vous avez passé ou bien vous êtes en train de passer de belles vacances sur la Côte d’Azur ! Super destination ! J’espère que vous vous amusiez bien et nous attendons de vos nouvelles une fois rentrés à Greez sur Roc ! Gros bisous de Bucarest !



    Je me retrouve devant une petite enveloppe surprise envoyée par notre ami français Régis Lallau ! Merci à vous, cela nous fait grand plaisir de se voir offrir tant de choses : autocollants, cartes de collection, cartes postales, dépliants et ma favorite, une petite carte avec une recette délicieuse : du Lapin aux Pruneaux. En fait, les Roumains ne mangent pas beaucoup de lapin. On préfère le poulet, le porc, le veau, la dinde, le poisson, mais le lapin, pas vraiment. Il est assez cher chez nous et en plus, nous sommes plutôt réservés quand il s’agit de consommer un animal tellement mignon. Et pourtant, sa viande est bonne pour la santé. Moi, j’ai bien noté la recette et puisque j’ai remarqué de la viande de lapin dans les supermarchés, je vais essayer d’en préparer ce plat pour voir l’opinion de ma famille. Mais, peut-être que je ne vais pas dire à ma gamine ce qu’elle mange vraiment, car comme tout enfant de 8 ans, elle adore les lapins. Pour les recettes de Roumanie, pas de problèmes, j’ai déjà présenté plusieurs au micro et je vais le faire de nouveau à partir des semaines prochaines. D’accord ?



    Direction la Tunisie d’où nous écoute, espérons-le bien, notre auditeur Ben Amor Mohamed Jrad. Bonjour ou bonsoir et comment ça va ? Je suis très contente de vous savoir à l’écoute de nos programmes, comme j’ai pu le remarquer en ouvrant le courrier envoyé. Effectivement, le magazine Regard est une publication qui vaut la peine d’être lise. Elle est très intéressante, s’attaque aux différents domaines, présente des personnalités, et a une super page culture que vous avez d’ailleurs fort apprécié. Et à propos de culture, je voudrais vous dire que le poète dont vous parlez s’appelle Mihai Eminescu et il est considéré comme notre grand poète national. Merci de toutes les appréciations et à bientôt sur nos ondes !