Tag: rotation

  • Romania. Eastern Flank: Rotation of forces of the French detachment within the NATO Battle Group hosted by Romania

    The Defense ministers from the countries participating in the B9 Initiative met last week in Bucharest, to discuss allied measures to strengthen the deterrence and defense posture. Regarding the security situation in the Black Sea region and NATO’s Eastern Flank, the Romanian Defense Minister, Angel Tîlvăr, emphasized that the Russian Federation remained the most important threat to the security of the Allies. The B9 format (Bucharest 9) was launched in 2015 by Romania and Poland as a platform for dialogue and cooperation between NATO’s eastern allies. The initiative also includes Bulgaria, the Czech Republic, Estonia, Latvia, Lithuania, Slovakia and Hungary. Meetings in this format are held periodically, at the level of heads of state, foreign and defense ministers.

     

    Rotation of the forces of the French detachment within the NATO Battle Group hosted by Romania: Colonel Jean Michelin took over the command of the group from his compatriot, Colonel Louis-Marie Levacher, during a ceremony held on September 17 in the Cincu National Training Center (central Romania). The French troops in Romania thus reach the 9th rotation of the Aigle mission, carried out to strengthen the allied deterrence posture in the region. The Allied Battle Group located on the territory of Romania also includes forces from the armies of Belgium and Luxembourg, with a total of one thousand soldiers.

     

    The MAMBA system has recently participated in an air defense exercise planned by NATO’s Allied Air Command. Several aircraft participated, including Romanian, Greek and Turkish F-16s and a Spanish F-18, with the aim of testing their interoperability in space. The medium-range MAMBA surface-to-air defense system deployed in Romania was able to demonstrate its expertise in integrated air defense, working to defend its area of ​​responsibility with air defense fighters from several countries.

     

    The Romanian soldiers deployed within the Tactical Reserve Battalion of the KFOR mission under the auspices of NATO are being trained, together with their Hungarian and Swiss colleagues, in scenario-based exercises for crowd and riots control and for the protection of the force of the Swiss units, as part of their joint training at Camp Novo-Selo, in Kosovo. These periodic activities are essential to guarantee the highest operational standards of KFOR and the readiness to face all possible security scenarios. KFOR continues to implement its mandate based on UN Security Council Resolution 1244 of 1999 to contribute to a secure environment for all individuals and communities living in Kosovo and to ensuring the freedom of movement at all times.

     

    We also inform you that the Romanian Naval Forces are participating with ‘Mine sweeper 30’ in the second activation of the Task Force to combat sea mines in the Black Sea. The naval group also includes a minesweeper and a logistic support ship, both from Turkey, and a minesweeper of the Bulgarian Naval Forces. The mission will run until the end of this month, an interval during which the multinational exercise NUSRET 24 will also take place.  (Constantin Herțanu, LS)

  • Une première sur la scène politique roumaine 

    Une première sur la scène politique roumaine 

    Le long de plus de trois décennies de démocratie post-communiste roumaine, les politiciens autochtones ont expérimenté presque tout en matière de gouvernance : cabinets monocolores, de gauche ou de droite, dont certains minoritaires, mais soutenus par le Parlement, plus ou moins ouvertement, coalitions reposant sur des critères doctrinaires ou tout simplement sur des intérêts de conjoncture, grandes coalitions réunissant plusieurs partis. L’actuelle coalition, constituée par le PSD et le PNL à laquelle est venue s’ajouter aussi l’UDMR, est une telle alliance inattendue, puisqu’elle réunit la gauche à la droite. Ce n’est pourtant pas une première, puisqu’en 2012 l’Union social-libérale créée par les mêmes partis écrasait ses compétiteurs aux élections et arrivait à contrôler politiquement tant l’exécutif que le législatif.

    Mais la première absolue dans la politique roumaine n’allait arriver que plus tard : une rotation entre le Parti national libéral et le Parti social démocrate au niveau de la direction du gouvernement. Aux termes de l’accord conclu entre les deux poids lourds de la politique roumaine en novembre 2021, après une année et demi durant laquelle le gouvernement de coalition est dirigé par le leader libéral Nicolae Ciuca, celui-ci doit démissionner en faveur de son partenaire, le leader social-démocrate Marcel Ciolacu. Cette démission était initialement prévue pour la fin mai, mais les décideurs politiques ont choisi d’ajourner cette rotation afin de solutionner la crise générée par la grève générale de l’enseignement préuniversitaire.

    Lundi, après la suspension de la grève, Nicolae Ciuca a finalement dépose son mandat. Le prochain gouvernement devrait être investi jusqu’à jeudi, ou du moins c’est ce que les partis de la coalition gouvernementale se sont proposées. Nicolae Ciucă: « Les procédures pour la rotation ont démarré au sein de la coalition. Ce qui est important de souligner c’est que juste après un gouvernement par intérim prendra le relais, pour fonctionner jusqu’à l’investiture d’un nouveau gouvernement, espérons-le à la fin de la semaine. Nous nous sommes proposés d’investir le gouvernement avant jeudi, afin de nous occuper toujours des problèmes prioritaires figurant dans le programme de gouvernance et à l’agenda du gouvernement. » a déclaré Nicolae Ciuca.

    Le professeur des Universités Andrei Taranu affirme que la rotation gouvernementale se produira malgré les voix des quelques sceptiques qui rappellent que de nombreux engagements et arrangements politiques ont échoué à travers le temps. Andrei Ţăranu: « Elle se produira le plus probablement, autrement toute la construction politique des derniers temps deviendra caduque. La Roumanie a été disons pionnière en Europe centrale et de l’est pour avoir imaginé cette construction, insolite en quelque sorte. » affirme le professeur Andrei Taranu. Selon lui, le modèle roumain de la rotation pourrait s’avérer un modèle à succès, surtout pour les Etats de la région et il serait dommage que la Roumanie l’abandonne à la mi-chemin. Depuis l’Opposition, l’Union Sauvez la Roumanie affirme sans équivoque que la rotation des premiers ministres n’est pas une solution à tous les problèmes des citoyens. D’ailleurs, la presse internationale note aussi que le cabinet Ciuca n’a pas réussi à mener à bien aucune des réformes importantes, figurant dans le plan de redressement par le biais duquel la Roumanie se voit accorder des fonds européens.

  • La rotation gouvernementale reportée

    La rotation gouvernementale reportée

    Au terme de l’accord
    de novembre 2021 sur lequel repose l’actuelle coalition gouvernementale en
    Roumanie, le Premier ministre et leader libéral, Nicolae Ciucă, aurait dû, au
    bout d’un an et demie de mandat, céder
    sa place à la tête du gouvernement au chef de file du PSD, Marcel Ciolacu,
    actuellement président de la Chambre des députés. La passation du pouvoir était
    prévue pour le 26 mai. N’empêche, les représentants
    du PSD (Parti Social-Démocrate) – du PNL (Parti National-Libéral) et de l’UDMR
    (Union Démocrate Magyare de la Roumanie), les trois au pouvoir en Roumanie, ont
    décidé de reporter le moment à cause de la grève dans l’Education nationale.


    Il faut de la
    stabilité pour solutionner un conflit social sans précédent dans le courant des
    deux dernières décennies, ont lancé les responsables politiques. Le Premier
    ministre, Nicolae Ciucă, affirme:


    « Nous
    avons discuté hier, jusque tard dans la nuit, nous avons repris les pourparlers
    ce matin et nous avons décidé que je garde mon mandat jusqu’à ce que tous ces
    problèmes trouvent une solution. J’espère créer les conditions opportunes pour que
    nous puissions mettre en œuvre dans les plus brefs délais la rotation
    gouvernementale prévue au niveau de la coalition.
    »


    L’idée
    d’attendre la fin de la grève pour opérer le changement à la tête du
    gouvernement et le partage des fauteuils ministériels a été avancée par le leader
    social-démocrate, Marcel Ciolacu.


    « Cette décision, nous l’avons
    prise ensemble. Moi, en tant que président de la Chambre des députés,
    représentant du Législatif, et vous en
    tant que Premier ministre, représentant de l’Exécutif. Les revendications des
    professeurs sont légitimes. Nous essayerons de leur trouver solution le plus
    rapidement possible.Les problèmes des enseignants sont tout
    à fait légitimes, mais il faut aussi trouver les moments les plus favorables.
    De ce fait, nous avons décidé que les principales priorités du programme
    gouvernemental étaient les systèmes de l’Education et de santé.
    »


    Sans qu’il soit
    directement impliqué dans la rotation à la tête du gouvernement, le leader de
    l’UDMR, Kelemen Hunor, considère le report de celle-ci comme une mesure
    nécessaire. La coalition actuellement en place en Roumanie a la possibilité
    d’œuvrer au bénéfice du pays, selon Kelemen Hunor :


    « Moi, je reste optimiste. Je fais
    confiance à la coalition politique et je fais confiance aux Roumains qui comprennent
    que nous traversons une période difficile. En même temps, je sais que le pays,
    tel qu’il est actuellement, peut traverser et il traversera un chemin au bout
    duquel, la société sera mieux développée, avec de bons services publics, avec
    des institutions stables, avec des institutions qui répondent aux besoins des
    citoyens.
    »


    Depuis l’opposition,
    le leader de l’Union Sauvez la Roumanie, Cătălin Drulă, accuse les dirigeants
    de la coalition gouvernementale, qui négocient depuis des mois leurs positions au sein du futur exécutif, de
    tourner le dos à la réalité. Il affirme que le report de la rotation politique
    ne fait que prouver l’échec de l’actuelle gouvernance. Catalin Drula


    « Ils ont également raté le projet de la
    « La Roumanie éduquée », qui tient à
    cœur au président Klaus Iohannis. Aujourd’hui, alors que la rotation aurait dû
    avoir lieu, nous avons la première grève générale dans l’Education de
    s 18
    dernières années. Les enseignants sont dans la rue, les écoles sont fermées et
    les enfants restent chez eux», a conclu Cătălin Drulă.





  • 24.05.2023  (mise à jour)

    24.05.2023 (mise à jour)

    Visite – Le président roumain, Klaus Iohannis, a reçu mercredi son homologue allemand Frank-Walter Steinmeier, qui a commencé une visite de trois jours en Roumanie. Les deux hommes ont parlé du développement de la coopération politique sécuritaire et économique et ont transmis un message de solidarité et de soutien à l’Ukraine. Un message d’appui à la République de Moldova a également été transmis. M Iohannis a apprécié tout le soutien ferme de l’Allemagne au sujet de l’adhésion de la Roumanie à l’espace de libre circulation européenne. Pour sa part, M Steinmeier a déclaré que l’Allemagne était depuis longtemps d’avis que la place de la Roumanie était au sein de l’espace Schengen ». Le leader de Berlin a rencontré aussi le premier ministre Nicolae Ciuca. Les deux dignitaires ont souligné le caractère privilégié des relations roumano-allemandes, fondées sur un dialogue politique consistent et une composante économique solide. Le chef de l’Exécutif de Bucarest a apprécié l’activité des plus de 25 000 entreprises à participation allemande de Roumanie qui font de l’Allemagne, le premier investisseur dans l’économie roumaine, avec une présence dans les secteurs des technologues de pointe.

    Santé – Le déclenchement de la grève dans le système de santé de Roumanie dépend de la manière dont se dérouleront les négociations avec les représentants du nouvel exécutif, a déclaré le leader de la fédération syndicale Sanitas, Leonard Bărăscu. Il a rencontré ce matin le président de la Chambre des Députés, Marcel Ciolacu, celui qui devrait assumer les fonctions de premier ministre après la rotation gouvernementale qui devrait se dérouler prochainement. Leonard Bărăscu affirme qu’il faut respecter à la lettre la loi de la grille unique des salaires et que les revenus des aides soignants par exemple devraient être de deux à trois fois supérieurs au niveau actuel. La grève générale du système de santé de Roumanie a été annoncée pour le 15 juin.

    Education – Le premier ministre roumain Nicolae Ciuca a refusé de rencontrer ce mercredi les représentants des syndicats de l’éducation nationale, en grève générale depuis lundi. Les ministres de l’Education, du Travail et des Finances ont été invités aux négociations, qui se prolongeaient dans la soirée de ce mercredi, tout comme le chef de file du PSD et président de la Chambre des députés, Marcel Ciolacu. Pour rappel, les principales revendications des enseignants tournent autour des salaires.

    Premier ministre – Le premier ministre libéral, Nicolae Ciuca a confirmé qu’il déposerait son mandat dans deux jours, conformément au calendrier de la gouvernance tournante établi entre le PNL et le PSD en 2021. Il a dit aussi que les négociations au sein de la coalition au pouvoir à Bucarest n’étaient pas achevés, et donc « toute formule, à commencer par le respect du protocole conclu jusqu’à sa modification, restait possible ». Il ne prendra pas la décision concernant sa position au sein du futur cabinet du social-démocrate Marcel Ciolacu avant ce vendredi.

    Bookfest – Le Salon international du livre Bookfest a ouvert ses portes ce mercredi à Bucarest en présence du ministre roumain de la culture, Lucian Romascanu et de l’ambassadeur d’Italie en Roumanie, Alfredo Maria Durante Mangoni. Le pays à l’honneur de cette édition est l’Italie, dont l’ambassadeur à Bucarest a souligné que les relations entre la Roumanie et l’Italie étaient très fortes sur tous les plans. Plus de 200 participants de tout le pays et de République de Moldova voisine, aux cotés d’instituts culturels de Bucarest seront présents au salon qui s’achève le 28 mai, selon son organisateur : l’Association des éditeurs de Roumanie. Une douzaine d’auteurs italiens participeront aux événements et débats le long du salon du livre, près de la moitié d’entre eux étant déjà présents sur le marché local avec des travaux traduits en langue roumaine. Un projet cofinancé par le ministre de la culture, Bookfest se déroule aussi au niveau local à Timisoara, Cluj, Târgu Mures, Brasov et une édition internationale à Chisinau.

    Photovoltaïques – Les inscriptions au
    programme « la maison verte photovoltaïque » pour les habitants du
    centre de la Roumanie se sont achevées. Le budget d’une cinquantaine de
    millions d’euros s’est épuisé en trois minutes. Plus de 12 mille maisons des
    départements : Alba, Braşov, Covasna, Harghita, Mureş et Sibiu seront
    dotées de panneaux solaires et les familles pourront ainsi réduire leurs
    factures et utiliser l’énergie verte, a fait savoir le ministre de
    l’environnement, Tánczos Barna. La semaine prochaine, c’est le tour des
    départements de Moldavie, soit la région nord-est, puis au cours de la deuxième
    semaine du mois de juin, les habitants de la région nord-ouest pourront se
    faire inscrire dans ce programme. L’édition de cette année du programme
    gouvernemental « la maison verte » a commencé il y a cinq jours par
    la région Bucarest – Ilfov et les fonds de quelque 20 millions d’euros ont été
    réservés intégralement en deux minutes seulement depuis le début de la session
    d’inscription.

    Bucuresti – Météo agréable durant les prochaines 24 heures sur la majorité des régions de Roumanie. L’instabilité sera pourtant au rendez-vous. On s’attend à des pluies et des orages notamment en montagne, sur l’ouest et sur le sud. Les maxima iront de 21 à 28 degrés.

  • May 21, 2023

    May 21, 2023

    EDUCATION
    In Bucharest, the Liberal PM Nicolae Ciucă, the Social Democratic leader Marcel
    Ciolacu and the labour minister Marius Budăi invited trade unions in public
    education to talks in order to avoid an all-out strike announced for tomorrow. Unionists
    said protests could only end when the solutions to their demands, particularly
    concerning salaries, were introduced in officially endorsed legislation. The
    finance minister Adrian Câciu said the teaching staff’s demands could have been
    solved, if Romania had received the money in the second disbursement round
    under the National Recovery and Resilience Plan, which is currently suspended
    because of targets that have not been met in the field of energy, for which the
    National Liberal Party is responsible. On the other hand, PM Nicolae Ciucă said
    the solution to the unions’ demands has to do with the unified salary law that
    the labour ministry headed by the Social Democrats has failed to finalise in
    spite of the support of the entire ruling coalition. Amid these disagreements, the
    president of the Social Democratic Party, Marcel Ciolacu, demanded that
    negotiations on the new cabinet make-up following the PM rotation should be
    suspended until the issue in the education sector has been solved, and the Democratic
    Union of Ethnic Hungarians in Romania, a junior partner in the ruling
    coalition, agreed. The Liberals on the other hand argue that the government
    transition should be completed quickly in order to maintain stability and
    balance. Under a protocol signed by the 2 parties, on 26 May the Social
    Democrats should take over the prime minister post from the Liberals, for the
    next 1,5 years, until the next general elections.


    MOLDOVA
    A large-scale rally is held in Chişinău today, at the
    initiative of president Maia Sandu, in order to prove Moldovans’ support for
    the country’s EU accession. Europe is the Republic of Moldova. The Republic of
    Moldova is Europe. Moldova is not alone, the president of the European
    Parliament, Roberta Metsola said in Romanian at the European Moldova National
    Assembly. Participants adopted a resolution confirming the support of Moldovan
    citizens for the country’s EU accession efforts. The rally takes place as the Republic
    of Moldova, an EU accession candidate country, would like to begin accession
    negotiations by the end of this year. For this stage to begin, Moldova must
    complete 9 recommendations, which will be assessed by this autumn in a European
    Commission report. In Bucharest, the Organisation of Moldovan Students
    organised a similar rally in front of Moldova’s Embassy. Scores of people
    watched the speeches in Chisinau jointly with the Moldovan Ambassador to
    Bucharest, Victor Chirila.


    UKRAINE The US president Joe Biden Sunday announced new military aid
    measures for Ukraine, following talks with his Ukrainian counterpart Volodymyr Zelenskyy,
    on the sidelines of the G7 summit in Hiroshima. The new aid package will
    consist of ammunitions, artillery and armoured vehicles, Joe Biden explained, just
    days after approving the provision of F-16 fighter jets to Ukraine. According
    to Reuters, this new package is worth up to USD 375 mln and is designed to
    strengthen Ukraine’s defence in the war against Russia. The British PM Rishi
    Sunak also announced in Hiroshima that his country would start training
    Ukrainian pilots this summer, to support Ukraine’s air forces in the conflict.
    Rishi Sunak added that no one wants peace more than Volodymyr Zelenskyy, but
    the terms for peace, he added, should be based on Ukraine’s principles. In the
    3-day summit in Japan, the G7 nations voiced their willingness to stand by
    Ukraine in the long run.


    FLOODING
    In Italy, code red alerts for heavy rainfalls with landslide risks are valid
    today as well, in the Emilia Romagna region in the north of the country, already
    affected by unprecedented flash floods. Fourteen people died and 36,000 others
    were evacuated by the authorities. According to Radio Romania’s correspondent
    in Italy, in Ravenna province alone, the most severely hit by the floods, over 16%
    of the territory has been evacuated. A preliminary estimate by Confagricoltura,
    the association of Italian farmers, indicates that the flooding in Emilia
    Romagna caused crop damages of over EUR 1.5 bln.


    GREECE
    Greece is holding elections today for its single-chamber 300-seat parliament, with
    around 9.5 million people expected to take part in the vote. As many as 36 parties
    and political associations are running for parliamentary seats, for which they
    need at least 3% of the votes. The most likely to win is incumbent PM Kyriakos
    Mitsotakis’s party, New Democracy, with 33% of the voting intentions in polls. The
    left-of-centre Syriza party, headed by Alexis Tsipras, is predicted to carry
    26% of the votes. A novelty in this election is the scrapping of the 50-seat
    bonus for the winning party. Unless the parties manage to form a new
    government, early elections will be held in July, with a return to the previous
    bonus system. (AMP)

  • Parlament nimmt Tätigkeit wieder auf

    Parlament nimmt Tätigkeit wieder auf





    Im Vergleich zu den normalsterblichen Beschäftigten in der rumänischen Gesellschaft hatten die Politiker einen ungewöhnlich langen Urlaub über die Feiertage. Die Winterpause begann bereits vor Weihnachten, am 14. Dezember 2022, und wird erst am Mittwoch, dem 1. Februar 2023, enden. Somit kehren die Bukarester Senatoren und Abgeordneten zur ersten Parlamentssitzung des Jahres an die Arbeit zurück.



    Zu ihren Prioritäten gehören laut Presseberichten heikle Gesetzesentwürfe, wie der über die Spezialrenten, die das Gehalt während der aktiven Zeit nicht mehr übersteigen dürfen, oder Vorschläge zur Änderung des Bildungsgesetzes, über die sich die Parteien der Regierungskoalition PSD-PNL-UDMR noch nicht einigen konnten. Das Gesetz über die voruniversitären Bildungseinrichtungen und das Hochschulgesetz werden derzeit noch von den Bildungsexperten der drei Parteien analysiert.



    Beide Gesetze sind Teil des Projekts Bildungsstandort Rumänien“, das vor fast 10 Jahren von Staatschef Klaus Johannis ins Leben gerufen worden war und immer noch im Entwurfsstadium ist. Nach dem von den politischen Entscheidungsträgern festgelegten Zeitplan sollten die Gesetze im Februar von der Regierung verabschiedet werden und dann im März dem Parlament zur Debatte und anschlie‎ßenden Annahme vorgelegt werden. Doch darüber herrscht Uneinigkeit in der Koalition. Der PSD-Senator Vasile Dîncu erklärte kürzlich, er habe den Vorsitzenden der Sozialdemokraten, Marcel Ciolacu, gebeten, sich in der Koalition für die Verlängerung der Frist für die Vorlage der Bildungsgesetze stark zu machen, um weitere Konsultationen zu ermöglichen. Ionuț Stroe, der Sprecher der National-Liberalen Partei (PNL), die nach wie vor dem Staatspräsidenten nahe steht, besteht hingegen auf die Einhaltung des ursprünglichen Zeitplans.



    Ein weiterer Gesetzesentwurf, über den diskutiert und abgestimmt werden soll, betrifft die Dienstaltersrenten für verschiedene Nutznie‎ßer, darunter Richter und Staatsanwälte, Hilfskräfte der Gerichte und Militärangehörige. Im Vorfeld der Wahlen 2024 steht auch ein Gesetzentwurf über eine Frauenquote in der Politik zur Abstimmung im Parlament an; damit soll sichergestellt werden, dass mindestens ein Drittel der Kandidaten auf den Listen für die Parlaments- und Kommunalwahlen Frauen sind.



    Für Zoff in der Koalition könnte auch die geplante Rochade der Liberalen und Sozialdemokraten sorgen, d.h. die Rotation der Ministerpräsidenten und der Austausch von Ministerien zwischen den beiden Parteien. Laut Koalitionsprotokoll soll dieser Wechsel Ende Mai stattfinden, wenn der Sozialdemokrat Marcel Ciolacu den Liberalen Nicolae Ciucă als Regierungschef ablöst und der letztere den Vorsitz im Senat übernimmt, der zurzeit von seiner Parteikollegin Alina Gorghiu kommissarisch wahrgenommen wird. Die Liberalen bestehen darauf, dass das Protokoll buchstabengetreu eingehalten wird, während die Sozialdemokraten die Ressorts behalten möchten, in denen die bisherigen Amtsinhaber nach Auffassung der PSD gute Arbeit geleistet haben, so etwa Sorin Grindeanu im Verkehrsministerium oder Adrian Câciu im Finanzministerium.