Tag: sécurité informatique

  • 02.05.2019

    02.05.2019

    Europe – La première ministre roumaine, Viorica Dăncilă, participe
    aujourd’hui, en Pologne, à un événement international de commémoration des
    victimes de l’Holocauste. « La Marche des Vivants » est une
    manifestation annuelle au cours de laquelle les participants parcourent à pied
    la distance entre les anciens camps nazis d’Auschwitz et Birkenau. Mercredi, à
    Varsovie, lors d’une réunion avec ses homologues européens, la cheffe du
    gouvernement roumain a dressé un bilan de la première étape de la présidence
    roumaine du Conseil de l’Union. C’était l’occasion pour la responsable de
    Bucarest de rappeler la fin des négociations dans plusieurs dossiers très complexes
    tels la directive sur le gaz naturel, celle adoptée dans le domaine des droits
    d’auteur, le Règlement pour la mise en place d’une Autorité européenne du
    travail ou encore celui pour l’élargissement du mandat de l’Agence européenne
    de garde-frontières et de garde-côtes. La Roumanie continuera à soutenir le
    projet européen fondé sur des principes de convergence, de cohésion et de
    solidarité entre les Etats membres, a encore affirmé la cheffe du cabinet de
    Bucarest.






    COMPET – Une réunion informelle des ministres européens chargés de la
    compétitivité, COMPET, a lieu jeudi et vendredi à Bucarest, dans le contexte du
    mandat roumain à la tête du Conseil de l’Union. La réunion sera présidée par le
    ministre roumain de l’Economie Niculae Bădălău, et la Commission européenne sera
    représentée par Elżbieta Bieńkowska, commissaire européenne au Marché intérieur
    et à l’Industrie. Les ministres de ressort des 28, ainsi que des deux Etats
    membres de l’Association européenne de libre-échange, la Suisse et la Norvège,
    débattront de la compétitivité, de l’entrepreneuriat, du marché interne et de
    la contribution des petites et moyennes entreprises à la compétitivité européenne.




    Sécurité informatique
    – Les personnes physiques, morales et les institutions
    publiques de Roumanie peuvent appeler, à partir d’aujourd’hui, le numéro unique
    1191, pour rapporter des incidents de sécurité informatique. Le numéro peut
    être appelé depuis tous les réseaux de téléphonie. Le centre d’assistance offrira
    aux appelants du soutien et du conseil pour le diagnostique et la
    résolution des problèmes – annonçait, il y a une semaine, le ministre roumain des
    Télécommunications, Alexandru Petrescu. Il rajoutait que l’initiative venait
    dans un contexte où, au niveau national, l’éducation dans le domaine de la
    sécurité de l’information continue à être déficitaire. Alexandru Petrescu avait
    aussi précisé que l’année dernière la Roumanie avait été génératrice, mais aussi
    cible des incidents de sécurité de l’information. Le risque est évalué comme
    moyen, mais la tendance est à la hausse.






    Elections – Le Parti national libéral, le principal parti de l’opposition
    parlementaire en Roumanie, est en tête des sondages pour les élections européennes
    avec 25,6% des intentions de vote. Les libéraux sont suivis, en deuxième et
    troisième position, par le principal parti au pouvoir, le Parti social
    démocrate, avec 21,7% des voix et par la coalition d’opposition l’Alliance 2020, entre l’Union sauvez la
    Roumanie et PLUS, avec 16,4%. L’Alliance des libéraux
    et des démocrates, partenaire du PSD dans la coalition au pouvoir, est crédité
    de 12,2% des voix, le parti ProRomânia de 11,7%, alors que l’Union démocrate
    magyare de Roumanie et le Parti du mouvement populaire récoltent chacun 5,6%
    des intentions de vote. Les chiffres sont issus d’un sondage réalisé en avril par
    IMAS Roumanie, sur commande de la station privé de radio Europa FM, sur un échantillon
    de 1.010 personnes, avec une marge d’erreur de +/- 3,1%. Le 26 mai, simultanément
    avec le scrutin européen, est également prévu le référendum sur la justice
    convoqué par le président du pays, Klaus Iohannis.




    Conférence – Le chef de l’Etat, Klaus Iohannis, sera présent vendredi, en tant
    qu’invité d’honneur, à la Conférence sur l’état de l’Union, organisée par
    l’Institut universitaire européen de Florence. La présence du leader roumain
    intervient dans le contexte de la présidence roumaine du Conseil de l’Union
    européenne. Cette année, la conférence portera sur la démocratie européenne au
    XXIème siècle, à la veille des élections européennes. Klaus Iohannis aura également
    une entrevue avec le président du Conseil des ministres d’Italie, Giuseppe
    Conte.






    Loisirs – L’Ambassade de Roumanie en Turquie organise des vols en montgolfière
    dans la région de Cappadoce, au centre de la Turquie, un des lieux les plus renommés
    au monde pour ce type d’activité. Les vols peuvent être effectués jusqu’au 30 juin
    2019, qui marquera la fin du mandat de la Roumanie à la tête du Conseil de l’Union, informe
    la mission diplomatique roumaine dans un communiqué de presse. Les vols seront
    réalisés chaque jour, en fonction des conditions atmosphériques, à bord de la
    montgolfière « Fly RO – EU ! ». Le premier vol de ce type a eu lieu
    le 27 avril, a duré une heure et y ont pris part 20 passagers de nationalités
    différentes.






    Météo – En Roumanie, le temps, bien que légèrement instable, est en cours de
    réchauffement. Des orages et des pluies toucheront le sud-est et les régions de
    montagne et les températures maximales iront de 14 à 23 degrés. 20° et du
    soleil à midi à Bucarest





  • 13.05.2015

    13.05.2015

    Forêts – Les députés roumains doivent se prononcer aujourd’hui, par vote, sur la requête du président de la République, Klaus Iohannis, visant la révision du nouveau Code forestier. Mardi, les commissions réunies de la Chambre des députés de Bucarest, spécialisées dans les questions relatives à l’environnement, à l’agriculture et à la jurisprudence, avaient rejeté cette demande, grâce aux votes des élus de la coalition gouvernementale et des ceux de l’Union démocratique des Magyars de Roumanie, d’opposition. Si le projet législatif est repoussé, il ne pourra être attaqué qu’à la Cour Constitutionnelle, sinon il doit être promulgué par le président. Le chef de l’Etat avait appelé à la révision de ce document car, selon lui, le texte comportait des dispositions de nature à limiter l’activité des opérateurs économiques et à créer les prémisses d’un traitement discriminatoire. Le Sénat roumain avait auparavant rejeté les modifications exigées, mais c’est la Chambre des députés qui a le dernier mot. Par ailleurs, le gouvernement de Bucarest a saisi le Parquet national anti-corruption au sujet de dizaines de faits de corruption présumés dans le secteur sylvicole entre les années 2009 et 2012. Les déforestations illégales ont fait sortir dans la rue des milliers de Roumains des grandes villes du pays, samedi dernier. En réaction, le président Klaus Iohannis avait annoncé que le sujet serait débattu à la prochaine réunion du Conseil suprême de défense du pays.

    Cybersécurité – La Roumanie dispose, à partir d’aujourd’hui, d’un Centre d’innovation dans le secteur de la sécurité informatique, grâce à un projet -pilote financé par le gouvernement américain à hauteur de 800.000 dollars. Le projet-pilote du Centre d’innovation a été lancé lors du sommet régional sur la cybersécurité qui se tient ces jours-ci dans la capitale roumaine. Ce Centre à vocation régionale devra notamment tester des technologies de pointe. Le Sommet sur la cybersécurité a été organisé par l’exécutif roumain en partenariat avec le Département américain du Commerce. Responsables gouvernementaux, experts, compagnies publiques et privées spécialisées en sécurité informatique issus de 17 pays d’Europe centrale et du sud-est, membres ou non membres de l’UE et de l’OTAN, ont participé à cette réunion ciblée sur les politiques de sécurité informatique visant à renforcer les systèmes de défense contre les cyber-attaques.

    Réunion – Le ministre roumain des affaires étrangères, Bogdan Aurescu, participe, ces mercredi et jeudi, à Antalya, en Turquie, à la réunion des chefs de la diplomatie des Etats membres de l’OTAN, à laquelle est également invitée Federica Mogherini, Haut Représentant de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité. Les discussions seront ciblées sur les défis de sécurité qui se posent dans le voisinage oriental et méridional. La transition politique, ainsi que la situation sécuritaire en Afghanistan et dans la région figureront aussi à l’agenda de la réunion. Par ailleurs, la Commission OTAN – Ukraine se penchera sur la situation en Ukraine et son impact sur la sécurité euro-atlantique. En marge de la réunion ministérielle, Bogdan Aurescu, aura des entrevues ses homologues des Etats membres de l’Alliance et partenaires.

    Film – Le court-métrage indépendant « Ramona » réalisé par le Roumain, Andrei Cretulescu, a été sélectionné à la Semaine de la Critique du Festival de Cannes qui débute ce mercredi. Une autre Roumaine, Irina Trocan, représentante de la jeune génération des critiques de film a rejoint l’équipe rédactionnelle aux côtés de trois autres confrères d’Allemagne, France et Mexique. Deux long métrages roumains portant la signature des cinéastes Radu Muntean et Corneliu Porumboiu figurent à leur tour dans la section Un Certain Regard. Le film de Porumboiu s’appelle « Le trésor » et parle de deux hommes qui traversent un tas de péripéties dans leur tentative de découvrir un trésor. Quant au film de Muntean « L’étage d’en bas », il porte sur les problèmes de conscience que se fait le témoin d’un crime.

    Tennis – 3 joueuses roumaines de tennis se sont qualifiées au deuxième tour du tournoi de Rome. Irina Begu (31e au classement WTA) doit affronter l’Allemande Angelique Kerber, tandis que la nouvelle favorite, Alexandra Dulgheru (72e au classement WTA) doit rencontrer la Tchèque Lucie Sarafova (14e WTA) Toujours à Rome, la deuxième favorite du tournoi, la joueuse roumaine Simona Halep (n° 2 mondiale ) doit disputer un match avec l’Américaine Alison Riske. Simona Halep est présente aussi dans l’épreuve de double aux côtés de l’Italienne Francesca Schiavone, les deux s’étant qualifiées pour les huitièmes de finale.

  • La semaine du 19 au 24 janvier 2015

    La semaine du 19 au 24 janvier 2015

    La loi de la sécurité informatique est non constitutionnelle



    La loi de la sécurité informatique est non constitutionnelle, a jugé la Cour constitutionnelle de la Roumanie. C’est le troisième texte du paquet législatif appelé « Big Brother » qui fait fi des dispositions de la loi fondamentale du pays. Les juges constitutionnels ont constaté l’absence d’un avis du Conseil suprême de défense de la Roumanie, ainsi que le mépris de plusieurs dispositions de la Constitution, dont le libre accès à la justice et à un procès équitable, le droit à l’intimité et à la vie privée et le secret de la correspondance. Pour sa part, le président de la Cour Constitutionnelle, Augustin Zegrean a dénoncé des pressions à l’adresse de la Cour et demandé que les décisions de l’institution ne soient plus critiquées ni par d’autres institutions de l’Etat ni par les hommes politiques.



    Le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, n’était pas frappé d’incompatibilité pendant son mandat de maire de la ville de Sibiu



    La Haute Cour de Cassation et de Justice a rejeté le pourvoi en appel de l’Agence Nationale d’Intégrité (ANI) et décidé que l’actuel président de la Roumanie, Klaus Iohannis, n’était pas frappé d’incompatibilité pendant son mandat de maire de la ville de Sibiu. En avril 2013, l’Agence avait affirmé que celui-ci se trouvait en état d’incompatibilité, vu qu’il était simultanément édile en chef et représentant de la municipalité au sein des assemblées générales des actionnaires de deux sociétés de Sibiu. Une cour de justice locale avait donné gain de cause à Klaus Iohannis dans l’action en justice ouverte par l’ANI, qui a fait appel de cette décision. Le jugement de la Haute Cour de Cassation et de Justice est définitif.



    Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, a participé à Bruxelles à la réunion de ses homologues des pays de l’UE



    Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu a participé à Bruxelles, à la réunion du Conseil Affaires Etrangères consacrée principalement à la menace terroriste en Europe suite aux attentats de Paris. De l’avis du responsable roumain, pour combattre les causes du terrorisme au niveau européen il faudrait régler les problèmes liés à l’intégration de la communauté musulmane.



    Bogdan Aurescu : « Il est nécessaire de mettre en place des programmes et des initiatives qui prennent en compte les problèmes liés à l’intégration économique, sociale et culturelle des communautés vulnérables à la radicalisation et propices au recrutement pour des initiatives terroristes. »



    Par ailleurs, le ministre roumain a souligné la nécessité d’une approche stratégique des relations entre l’UE et la Russie, plaidant pour le maintien des sanctions contre Moscou. Bogdan Aurescu a également mis en évidence l’impacte des actions de la Russie contre l’Ukraine sur la sécurité de la région, ainsi que l’importance d’une coopération étroite avec l’OTAN et les Etats-Unis dans ce contexte.



    Un juge de la Cour constitutionnelle est accusé de corruption et fait l’objet d’une enquête pénale



    En première en Roumanie, un juge de la Cour constitutionnelle, Toni Greblă, est poursuivi pour trafic d’influence, association de malfaiteurs et opérations financières illégales. Sept autres personnes font l’objet de poursuites pénales dans la même affaire, parmi elles — les députés du Parti Social Démocrate (au pouvoir) Iulian Iancu et Lucian Şova. Par ailleurs, la Haute Cour de Cassation et de Justice a admis la demande de la Direction nationale anti-corruption de placer en détention provisoire pour 30 jours un ex-ministre de l’Intérieur, le libéral Cristian David, accusé de corruption. Il aurait reçu en 2007 et 2008, 500 mille euros de pots de vin, pour intervenir auprès d’un président de conseil départemental récemment retenu, lui aussi, dans un autre dossier pour avoir émis un titre de propriété pour un terrain de 15 hectares. Dans une autre affaire de rétrocessions illégales de terrains, 17 personnes ont été envoyées devant les juges; parmi les accusés, on retrouve les noms de l’ancien député social-démocrate Viorel Hrebenciuc, de son fils, Andrei, du député du PSD, Ioan Adam, ou encore d’un ancien ministre libéral de la justice, Tudor Chiuariu. Les 17 sont accusés d’avoir formé, en 2013, une association de malfaiteurs qui envisageait la rétrocession illégale de plus de 43 mille hectares de forêt, causant un préjudice de plus de 300 millions d’euros à l’Etat.



    La crise des crédits en francs suisses et la loi de la faillite personnelle en Roumanie



    Le gouvernement, le Parlement, la Banque centrale de Bucarest, les banques commerciales et les Roumains ayant contracté des crédits en francs suisses sont en quête de solutions aux problèmes engendrés par l’envolée de la monnaie helvétique. Les 75.000 Roumains ayant contracté des crédits en francs suisses ont constaté que leur mensualités ont augmenté de 20% par rapport à la semaine dernière. L’appréciation du franc suisse s’est poursuivi cette semaine. Pour la première fois, jeudi, son taux de change face au leu a dépassé l’euro. Le premier ministre roumain, Victor Ponta a déclaré que pour prévenir de telles crises, on avait besoin d’une meilleure information, par les banques, de leurs clients potentiels, de conditions législatives claires concernant la conversion des crédits en lei ou en euros et de mesures obligeant les banques à supporter une partie des éventuelles pertes. Afin de venir en aide aux débiteurs, le Parlement de Bucarest envisage d’adopter le plus rapidement possible un projet de loi de l’insolvabilité personnelle. La commission « budget — finances » de la Chambre des députés a examiné la possibilité d’étendre aux débiteurs en francs suisses les dispositions d’une ordonnance adoptée l’année dernière qui accorde des déductions fiscales aux personnes gagnant moins de 450 euros par mois pour le refinancement de leurs crédits. (Trad. Ileana Taroi, Ioana Stancescu, Valentina Beleavski, Dominique)

  • 21.01.2015 (mise à jour)

    21.01.2015 (mise à jour)

    Législation — La loi de la sécurité informatique est non constitutionnelle — a décidé, ce mercredi, la Cour constitutionnelle de la Roumanie. Selon la Cour, qui avait été saisie par un groupe de parlementaires libéraux, d’opposition, cette troisième loi du paquet appelé « Big Brother » contrevient au libre accès à la justice, au droit à un procès équitable, au droit à la vie privée et au secret de la correspondance. La loi de la sécurité informatique, proposée par le gouvernement, a été adoptée par le Sénat, en décembre dernier, après l’approbation tacite de la Chambre des députés. De l’avis de ses critiques, conformément à ce texte législatif, les services de renseignement et les procureurs n’auraient plus besoin d’une autorisation émise par un juge pour avoir accès aux données de tout système informatique soupçonné d’implication dans une activité illégale, une simple sollicitation motivée leur suffirait. Les partisans de la loi insistent, quant à eux, sur le fait qu’elle préviendrait des incidents et des attaques informatiques et que ses dispositions ne s’appliqueraient pas aux particuliers. Deux autres textes législatifs concernant, l’un, le stockage des données des utilisateurs de réseaux de communication par le fournisseur de connexions sur une période de six mois et l’autre la vente des cartes de téléphone pré-payées, ont également été déclarés non constitutionnels.


    Corruption — La Haute Cour de Cassation et de Justice de la Roumanie, qui aurait dû se prononcer, ce mercredi, sur l’affaire des privatisations stratégiques dans laquelle ont été condamnés, entre autres, les anciens ministres Codruţ Şereş et Zsolt Nagy, a reporté sa décision au 27 janvier. En décembre 2014, les procureurs avaient demandé la peine maximale pour les deux anciens responsables. Ancien chargé du portefeuille économique, Codruţ Şereş a écopé dune peine de prison ferme de 6 ans, tandis que lancien ministre des Communications et des Technologies de linformation, Zsolt Nagy, sest vu condamner à 5 ans de prison. Ils sont accusés dassociation de malfaiteurs transnationale et de trahison par transmission de secrets dEtat, parce quils auraient fourni des informations classifiées et confidentielles à plusieurs opérateurs privés, souhaitant acquérir des compagnies roumaines.


    Tennis — A Melbourne, la joueuse de tennis roumaine Simona Halep s’est qualifiée, ce mercredi, au troisième tour de l’Open d’Australie, grâce à sa victoire en deux manches (6-2, 6-2) sur l’Australienne Jarmila Gajdosova (62 WTA). Simona Halep, numéro 3 mondial et troisième favorite du tournoi de Melbourne, rencontrera au prochain tour l’Américaine Bethanie Mattek-Sands.