Tag: Simona Neumann

  • Timişoara, Capitale européenne de la culture, mais quand ?

    Timişoara, Capitale européenne de la culture, mais quand ?

    La ville de Timişoara
    (ouest) aurait dû être Capitale européenne de la cultureen 2021. Mais comme les événements pourraient être reportés à
    cause de la pandémie de coronavirus, à en croire les acteurs impliqués au
    niveau européen, Timişoara se prépare à éventuellement tenir le titre en
    question en 2022 ou 2023. Il est vrai qu’il y a eu une courte interruption dans
    les envois de communiqués de presse de l’Association Timişoara 2021, qui laissait
    croire à une interruption de l’activité. C’était à la mi-mars, quand l’état
    d’urgence sanitaire avait été institué en Roumanie. Désormais, avec le déconfinement, les préparatifs ont repris leur rythme habituel. Toutefois, on ne sait toujours pas si les événements auront lieu l’année prochaine ou plus tard.

    Entre temps, les organisateurs roumains ont reçu
    une bonne nouvelle. Simona Neumann, présidente exécutive de l’Association en
    charge du projet Timişoara Capitale européenne de la Culture 2021, nous dit
    laquelle : « Il s’agit de ma reconfirmation en tant que membre du comité
    directeur de la plate-forme Culture Action Europe, dont le but principal est de
    promouvoir la culture dans l’UE. Il ne s’agit pas d’un succès personnel, mais
    d’une réussite de notre Association. Je suis fière de pouvoir représenter notre
    vision au sein de cette structure, notre concept étant fondé sur la promotion
    de la culture dans tous les milieux, sur l’ouverture et la transparence et sur
    la participation de citoyens de toutes les catégories sociales au développement
    de la culture. Voilà mes objectifs pour un deuxième mandat à la tête de cette
    plate-forme européenne. »


    « Il n’y a pas de vraie guérison sans culture » – de nombreuses
    personnes partagent cet avis publié sur le site de la plate-forme Culture
    Action Europe. Quels seraient les pas vers cette guérison ? En cherchant
    une réponse à cette question, on entre dans un tourbillon d’opinions,
    d’attitudes et de solutions, constate Simona Newmann. C’est alors que sa
    mission devient difficile, surtout quand on doit affronter les défis de cette
    période trouble. En ces temps difficiles, plusieurs chapitres de notre
    existence sont bouleversés : la culture, le tourisme, la liberté de se déplacer.
    Il faut s’adapter en permanence, affirme notre invitée. S’y ajoutent les
    incertitudes liées aux normes à respecter à l’avenir par les organisateurs d’événements
    culturels dans des espaces clos ou en plein air. Les discussions sont donc en
    cours avec les municipalités des villes – capitales européennes de la culture
    en 2021, 2022 et 2023, ainsi qu’avec les ministères de la culture de leurs pays
    respectifs. La conclusion a été unanime : il faut être flexible et il faut
    reprogrammer. Timişoara est d’accord de reporter à une date ultérieure les
    événements prévus pour 2021. A présent, c’est à la Commission européenne de
    redéfinir le calendrier des Capitales européennes de la culture. Plusieurs pas
    sont à faire, dont le vote du Parlement européen et du Conseil de l’UE.


    Pour l’instant, l’Association Timişoara Capitale européenne de la culture
    2021 poursuit ses projets qui précédent l’année culturelle. Parmi eux, la
    Journée internationale de la Lumière, qui comportera un manifeste vidéo en 26
    langues. Simona Neumann : « Il s’agit du Manifeste de la Lumière qui est en parfait
    accord avec slogan du programme Timişoara Capitale européenne de la culture
    2021 : « C’est toi qui éclaires la ville ! » Ce manifeste
    appartient en fait à l’écrivaine américaineKitty O’Meara qui signe une très connue poésie méditative
    à ce sujet intitulée « And the people stayed home ». Elle a voulu devenir
    l’ambassadrice de notre manifeste et nous l’avons accueillie très chaleureusement
    au sein de notre projet. »


    La ville de Timişoara sera-t-elle capitale européenne de la culture en
    2021 ? A en croire les informations disponibles en ce moment, la réponse
    est non. Mais les efforts de l’équipe en charge du projet n’auront pas été en
    vain, car les événements prévus seront reportés à 2022 ou 2023. Tant mieux,
    l’équipe de Simona Neumann aura le temps d’adapter son offre culturelle à la
    situation nouvellement créée et d’être prête au moment où tous les projecteurs
    seront fixés sur la ville de Timişoara. (Trad. Valentina Beleavski)

  • Temeswar 2021: bereit, Europäische Kulturhauptstadt zu sein

    Temeswar 2021: bereit, Europäische Kulturhauptstadt zu sein

    Das westrumänische Timişoara wird 2021 europäische Kulturhauptstadt sein. Temeswar ist nicht nur die historische Hauptstadt des Banats, die Stadt ist auch das wirtschaftliche und kulturelle Zentrum dieser Region. Multikulturalität ist in der westrumänischen Stadt, auch als Klein-Wien bekannt, gelebte Realität. Diese Vielfalt spiegelt sich im kulturellen Leben der Stadt wider. Im Frühjahr 2011 wurde der Verein Temeswar — Kulturhauptstadt Europas 2021“ gegründet und schon im Jahr 2016, nur fünf Jahre später, erhielt man den offiziellen Zuschlag für die Kulturhauptstadt Europas im Jahr 2021. Kein Wunder, denn Temeswar hat viel zu bieten: Made in TM (Plattform für Temeswarer Designer), Timişoara Art Encounters (Kunst Biennale) und die aktive Theaterszene sind nur einige Beispiele für das boomende Kulturleben der Stadt. Die Kleinstadt am Bega-Fluss ist bereit, nächstes Jahr Gäste aus allen Ecken der Welt zu empfangen. Sollte die Coronavirus-Pandemie jedoch den Organisatoren einen Strich durch die Rechnung machen, erklären sie sich offen, die geplanten Events auf 2022 oder 2023 zu verschieben. Viele der Projekte seien an die neue Normalität angepasst worden, sagt Simona Neumann, Präsidentin des Verbands Temeswar — Kulturhauptstadt Europas 2021“:




    Ich wurde im Vorstand der Plattform »Culture Action Europe« bestätigt — das ist kein persönlicher Erfolg, sondern ein Erfolg der Stiftung Temeswar 2021. Die Plattform zielt darauf ab, die Kultur in der Europäischen Union zu fördern. Ich bin stolz darauf, dass wir auf dieser Plattform die Vision unserer Stiftung vertreten und bekanntmachen können. Unser Auftrag ist die Förderung der Kultur in allen Medien, Offenheit und Transparenz, der Zugang und die Teilnahme aller Bürger des Landes zur Kultur.“




    Es gibt keine Heilung ohne Kultur“ — steht auf der Webseite des Portals Culture Action Europe. Welche sind aber die Schritte zur Heilung? Diese Frage löst zahlreiche Debatten aus, denn die Kultur, genau wie andere Bereiche, bekommt die Auswirkungen der Coronavirus-Pandemie deutlich zu spüren. Über die Vorschriften und Verbote bei der Organisation kultureller Veranstaltungen in den kommenden Jahren angesichts des neuen Coronavirus wurde auch in Brüssel diskutiert. Die Teilnehmer, EU-Verantwortungsträger und Vertreter der Kulturministerien europäischer Staaten, halten hohe Flexibilität und Offenheit für entscheidend in der aktuellen Situation. Brüssel schlie‎ßt allerdings nicht aus, dass die für 2021 geplanten Veranstaltungen verschieben werden müssen.



    Die Stiftung Temeswar 2021 — Europäische Kulturhauptstadt“ setzt derzeit ihre Kulturprojekte fort. Eines davon ist der Internationale Tag des Lichtes. Einzelheiten haben wir von unserer Gesprächspartnerin Simona Neumann bekommen:



    Es handelt sich um ein sogenanntes Manifest des Lichtes. »Lass dein Licht leuchten, erleuchte die Stadt! « ist das Konzept, mit dem Temeswar im Kampf um den begehrten Titel der Europäischen Kulturhauptstadt überzeugt hat. Wir waren froh, dass sich unserem Projekt auch die amerikanische Autorin Kitty O’Meara angeschlossen hat. Auf diesem Thema hat sie ein bekanntes Prosagedicht geschrieben: »And The People Stayed Home«. Sie ist Botschafterin unseres Projektes.“




    Wir stellen uns eine einzigartige Reise von Einsamkeit bis zur Zugehörigkeit, vom Licht über das Dunkel und wieder ans Licht, über drei der heutigen Herausforderungen Europas vor: Menschen, Orte und Verbindungen. Temeswar ist der richtige Ort, an dem ein gro‎ßangelegtes Kulturprojekt ins Leben gerufen werden kann und wo in den europäischen Gemeinschaften, die schwere Zeiten erleben, die Hoffnung wiederbelebt werden kann. Wir richten uns an unser Publikum, an Menschen, an unsere Bürger und ihre Stimmen, die nicht ausreichend gehört werden, aber nicht verstummt sind. Wir haben eine Geschichte zu erzählen, die Geschichte einer kosmopolitischen Stadt, die die Zeit überdauerte und sich selbst an der Grenze zwischen Mittel- und Südosteuropa wiedererfand.“



    Mit diesen Worten hat die westrumänische Stadt den Kampf um den Titel Europäische Kulturhauptstadt“ angetreten, ihren Trumpf ausgespielt, ohne ihre Probleme zu kaschieren, und sich den historischen Moment gewünscht, der zahlreiche Menschen zusammenbringt. Manchmal beginnen die gro‎ßen Änderungen auf der Stra‎ße“, stand anschlie‎ßend in den Bewerbungsunterlagen der Banater Stadt. Im Jahr 1884 war Timişoara eine der ersten europäischen Städte, die die elektrische Stra‎ßenbeleuchtung einführten.

  • Timisoara 2021: Verso Divina Commedia con il Teatro delle Albe di Ravenna

    Timisoara 2021: Verso Divina Commedia con il Teatro delle Albe di Ravenna

    Una Divina Commedia messa in scena con spettacoli che romperanno anche in Romania le barriere tra attori e i cittadini di Timisoara, capoluogo della provincia di Timis, che sarà Capitale Europea della Cultura nel 2021. Tutto sarà possibile grazie al progetto Dante21, che mette insieme l’Associazione Timisoara 2021, responsabile del gigantesco programma che darà risalto al patrimonio di questa bella città cosmopolita della Romania occidentale, e il Teatro delle Albe di Ravenna, dove Dante Alighieri passò gli ultimi anni della sua vita.



    D’altronde, nel 2021, ricorrerà anche il settecentenario della scomparsa del padre della lingua italiana. Il programma Dante21 include workshop e partecipazioni attive allo spettacolo Purgatorio, in programma quest’anno a Matera, Capitale Europea della Cultura nel 2019. Raggiungerà l’apice nel 2021 a Timisoara, con il megaspettacolo Paradiso, realizzato con la partecipazione diretta dei suoi cittadini. Una scelta che sposa perfettamente lo slogan Shine your light – Light up your city!, le parole d’ordine nel 2021. D’altronde, il 4 aprile, l’Associazione Timisoara 2021 organizza alla sede della Fondazione per la Gioventù della provincia di Timis il secondo atélier Verso Divina Commedia, che rientra nel progetto Dante21, che sarà diretto da Marco Martinelli ed Ermanna Montanari, direttori artistici e cofondatori del Teatro delle Albe di Ravenna.



    Un partenariato fondamentale, come ha spiegato a Radio Romania Internazionale la direttrice esecutiva dell’Associazione Timisoara 2021, Simona Neumann. Accanto al partner costante locale – la Fondazione Indipendente della Gioventù e a tantissimi volontari, al teatro e al Festival di Ravenna spetta un ruolo importantissimo. Perchè abbiamo scelto il Teatro delle Albe? Perchè noi non importiamo una produzione già pronta da presentare semplicemente al pubblico di Timisoara. Vogliamo che la Divina Commedia, proposta dal Teatro delle Albe, sia messa in scena con la partecipazione dei cittadini delle città in cui questi spettacoli vengono realizzati. L’Inferno è stato presentato a Ravenna nel 2017, il Purgatorio sarà quest’anno a Matera, Capitale Europea della Cultura, mentre il Paradiso verrà ospitato nel 2021 da Timisoara, poichè il Paradiso significa Luce, che è anche il nostro tema. Proprio per preparare lo spettacolo, questa settimana sono venuti a Timisoara i direttori artistici del teatro ravennate, Marco Martinelli ed Ermanna Montanari, i mentori spirituali di questa performance. Già dallo scorso anno hanno formato una squadra di 60-70 volontari che, in base al metodo della non scuola proposto dal teatro di Ravenna, prepareranno lo spettacolo, spiega Simona Neumann.



    Un teatro che rompe le barriere tra attori e cittadini, che diventano protagonisti come in una sacra rappresentazione medioevale: così Marco Martinelli a Radio Romania Internazionale, spiegando in che cosa consiste la non scuola. Dopo sette secoli, la Divina Commedia è rimasta un’opera che parla all’essere umano, ha aggiunto il noto regista e drammaturgo, reduce da New York e Philadelphia, dove, insieme all’altrettanto gettonata attrice e scenografa Ermanna Montanari, ha messo in scena il capolavoro dantesco. Da parte sua, Ermanna Montanari ha offerto tutti i dettagli sull’atélier Verso Divina Commedia e sui preparativi concreti in vista dello spettacolo. (foto Soundcloud: Ermanna Montanari e Marco Martinelli – fonte: facebook.com/Teatro delle Albe)




  • Les projets de début d’année de l’association “Timişoara 2021, Capitale européenne de la culture”

    Les projets de début d’année de l’association “Timişoara 2021, Capitale européenne de la culture”

    « 2021 n’est pour moi que le début d’une
    transformation », déclare Simona Neumann, directrice exécutive de
    l’association Timişoara 2021, Capitale européenne de la culture. Une
    transformation qui demande des années de préparation bien réfléchie, une équipe
    soudée. Elle exige aussi du dialogue, le support des principaux financeurs et
    beaucoup de patience.

    L’association a démarré l’année par l’évaluation d’un
    appel à projets lancé en décembre 2018. Intitulé Searchlight, le projet est une
    initiative culturelle d’implication participative du public. Simona
    Neumann explique :« A travers l’appel
    à projets Searchlight, nous avons souhaité impliquer le public, les
    associations et les institutions de culture qui n’étaient pas encore engagés
    dans la programmation de Timişoara 2021. Notre désir était d’ouvrir les
    opportunités de participation au programme culturel de la capitale et de
    promouvoir de nouvelles idées par rapport à celles déjà incluses dans le
    dossier de candidature. Nous cherchions des projets novateurs et durables, qui
    pouvaient aussi continuer après 2021. Et, bien évidemment, il fallait une
    dimension européenne à ces projets pour pouvoir les inclure dans un programme
    comme celui d’une capitale européenne de la culture. Nous avons reçu 72
    candidatures pour les trois thématiques globales : Lieux, Gens, Connexions.
    Les trois jurys ont choisi 23 projets qui répondaient à tous les critères de
    sélection avec des budgets réalistes, basés sur du cofinancement
    . »


    Il suffit de regarder la liste des 23 propositions qui ont
    remporté l’appel à projets pour observer une concentration d’idées inédites
    pour les trois thématiques. La plupart des opérateurs sont très habiles à jouer
    avec les lettres et les concepts et les résultats sont des plus surprenants. Il
    faut retenir que l’association « Timişoara 2021, Capitale européenne de la
    culture » ne finance pas les projets. Elle a uniquement un rôle
    d’« aimant » : attirer les personnes et les idées qui seront
    intégrées dans un projet cohérent en 2021. C’est Simona Neumann qui nous détaille
    le parcours des projets ayant passé cette sélection :« Nous allons
    faire une analyse avec le comité de l’association dont font partie, évidemment,
    les trois financeurs publics – la Mairie de la ville de Timişoara, le Conseil
    départemental de Timiş et le représentant du ministère de la Culture ainsi que
    les représentants du secteur privé. Nous analyserons les sources de financement
    de cette année et en fonction des résultats nous allons décider s’il est
    possible de lancer un deuxième appel à projets. Ceci est très important pour un
    programme de l’envergure de Timişoara 2021 – car il n’a pas seulement une
    couverture locale et nationale, mais aussi européenne. Le fait d’avoir reçu,
    deux années d’affilé, seulement 30% des budgets alloués à ce programme, nous a
    empêché d’embaucher plus de collègues dans l’équipe exécutive de la Capitale. Ces
    personnes auraient dû mettre en place, parmi d’autres, une relation plus
    soutenue avec la presse classique, mainstream, mais aussi avec les influenceurs
    virtuels
    . »


    La relation avec la presse s’est transformée de manière
    harmonieuse estime Simona Neumann. Si au début il existait pas mal de suspicions
    et il y avait aussi des voix pour affirmer que Timişoara n’avait aucune chance de
    remporter le titre de Capitale européenne de la culture, l’attitude des
    journalistes, surtout des journalistes locaux, a considérablement changé depuis.
    Les journalistes de la presse classique, ainsi que ceux du milieu virtuel ont
    parfaitement compris le fonctionnement du programme. Encore plus, ils ont
    décidé de prendre position contre les voix critiques qui « avaient dépassé
    les limites de la civilité », selon Simona Neumann, pour défendre, avec
    des arguments valides, toute la programmation de Timişoara 2021. « Au-delà d’être de simples canaux de
    communication, dans le meilleur sens de cette expression, les journalistes
    deviennent même des ambassadeurs de Timişoara 2021.
    » D’ailleurs, les membres de l’Association Timişoara 2021
    avaient été avertis que cette situation est habituelle pour les villes désignées
    à être Capitales européennes de la culture. Des accusations et des controverses
    apparaissent souvent. Simona Neumann :« Les attentes
    sont élevées et il y a des personnes qui n’ont pas le temps ou le désir de
    comprendre que ce type de programme est très bien surveillé depuis Bruxelles. Il
    existe des étapes que l’on ne peut pas brûler. Il y a des voix qui veulent tout
    ici et maintenant. Métaphoriquement parlant, les gens veulent déjà voir des
    feux d’artifices et des ballons.
    »


    Si 2021
    n’est qu’un début, alors il y en aura des ballons, plus colorés les uns que les
    autres, qui monteront dans le ciel de Timişoara. Et ceux qui éclateront en
    2021, pour toutes sortes de raisons, généreront d’autres dans les années à
    venir. Capitale européenne de la culture n’est pas qu’un titre, mais une grande
    opportunité de changement offerte aux communautés. (Trad. Elena Diaconu)





  • Promovare a capitalelor europene ale culturii – Plovdiv și Timișoara

    Promovare a capitalelor europene ale culturii – Plovdiv și Timișoara

    Volumul colectiv este elaborat
    de către cele două orașe Plovdiv și Timișoara în numele Bulgariei și, respectiv
    al României prin care se celebrează 10 ani de la aderarea celor două țări la
    Uniunea Europeană. În acest context, Timișoara și Plovdiv și-au asumat rolul de
    atragere a atenției către două capitale europene ale culturii destinate să
    ilustreze valorile comune europene. De această dată, printr-un volum care să
    prezinte analize dedicate artelor vizuale, arhitecturii, designului,
    literaturii, media, activităților editoriale, teatrului, prefațate de un amplu
    material introductiv ce așază datele în context.


    Simona Neumann, președinte al
    Asociației Timișoara Capitală Culturală Europeană 2021:
    Situația continentului nostru la 10 ani de la aderarea în Uniunea Europeană
    impune restaurarea artei dialogului și a unei atitudini critice dar
    constructive pentru a reinventa Europa la care visăm. Volumul pe care l-am
    lansat ne propune perspective diferite asupra ultimului deceniu: 10 perspective
    din Bulgaria și 10 din România, respectiv o privire de ansamblu despre cum au
    traversat cele două țări primul deceniu al integrării în Uniunea Europeană.
    Cei 20 de autori (10 din România, 10 din Bulgaria) reușesc să aducă în prim
    plan analize variate asupra unor domenii despre care s-a scris mult în ultimul
    deceniu. De la perspective panoramice cu privire la un anumit domeniu al vieții
    culturale până la mărturii subiective cu povești de nișă dar care, extrapolând,
    pot oferi date fidele cu privire la un anumit domeniu al vieții culturale din
    Bulgaria și România ultimului deceniu.
    Antologia nu este un raport exhaustiv, nu este o istorie clasică a unui
    deceniu de viață culturală a unui stat membru al UE. Putem să vorbim mai curând
    despre 20 de perspective subiective, un răgaz bine venit, perspective propuse
    de către cele două entități, Plovdiv 2019 și Timișoara 2021, care și-au asumat
    călătoria creării celor două capitale europene ale culturii și a moștenirii
    pentru o Europă mai liberă, mai integrată și mai stabilă.


    Editată în limbile
    română, bulgară și engleză, într-o formulă grafică deosebită, antologia este
    accesibilă tuturor cititorilor din Uniunea Europeană. Mai multe informații se
    pot obține accesând pagina de internet a Asociației Timișoara Capitală
    Culturală Europeană 2021.