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  • Jacques Augustin (France) – Les premiers écrits littéraires roumains

    Jacques Augustin (France) – Les premiers écrits littéraires roumains

    Il faut savoir que le document le plus ancien écrit en roumain qui nous soit parvenu est la lettre du boyard Neacşu de Câmpulung au juge de Braşov, Hans Benkner. Il l’informait au sujet des actions des Turcs du sud du Danube sur les préparatifs de la campagne de conquête de la Hongrie par le sultan Soliman Ier le Magnifique. Il l’avertissait sur la nécessité de prendre d’urgence des mesures défensives et de maintenir la confidentialité sur le contenu de la lettre et son expéditeur. Même si le texte a été écrit en caractères cyrilliques et l’introduction et la formule de fin sont en slave, le contenu est en roumain.



    Pour ce qui est du premier texte littéraire en roumain, il faut attendre le début des années 1700. Jusqu’alors, on voit le premier livre imprimé en roumain, un catéchisme du diacre Coresi, de 1559, plusieurs livres d’histoire de la Moldavie, écrits par des chroniqueurs, la Bible dite de Şerban Ier Cantacuzène, donc une traduction, publiée en 1688. Le premier texte littéraire roumain est L’Histoire hiéroglyphique du prince de Moldavie Dimitrie Cantemir, savant et homme de lettres d’audience universelle. Il l’a écrite entre 1703 et 1705.

  • Modificarea legislaţiei penale

    Modificarea legislaţiei penale

    Codul Penal şi Codul de
    Procedură Penală au fost modificate şi
    completate, miercuri, de Guvernul de la Bucureşti prin ordonanţă de urgenţă. Măsura
    – spune Executivul tehnocrat – a fost necesară pentru a pune cele două
    documente în acord cu anumite decizii ale Curţii Constituţionale. A fost
    necesară şi transpunerea urgentă a unor acte normative ale Uniunii Europene în
    domeniu, după cum a explicat purtătorul de cuvânt al guvernului, Dan Suciu: ‘În mod normal, aceste transpuneri trebuiau să se facă în 45 de zile. Unele
    erau în discuţie în Parlament, dar nu au apucat să fie votate. În consecinţă,
    s-a decis ca Guvernul să dea această ordonanţă de urgenţă, care cuprinde
    inclusiv o parte din modificările deja discutate în Parlament, dar care nu au
    mai fost votate, plus alte câteva legate de recomandările Curţii Constituţionale.’

    Mai precis, potrivit lui Dan
    Suciu, de la intrarea în vigoare a unui nou Cod penal şi a unuia nou de
    procedură penală, au existat nu mai puţin de 15 decizii ale Curţii
    Constituţionale cu impact important asupra acestor acte normative. De exemplu, în cea mai recentă decizie s-a constatat că renunţarea
    la urmărirea penală de către procuror, fără ca aceasta să fie supusă
    controlului şi încuviinţării instanţei de judecată, echivalează cu exercitarea
    de atribuţii ce nu-i aparţin.

    Apoi, între altele, în baza modificărilor adoptate
    prin ordonanţă de urgenţă, violatorii şi agresorii de minori vor sta mai mulţi
    ani în spatele gratiilor. Se măresc pedepsele şi
    pentru furturi, înşelăciuni sau fraude financiare şi informatice. Astfel, dacă
    prejudiciul produs în urma acestor infracţiuni depăşeşte 2 milioane de lei,
    echivalentul a aproximativ 450 de mii de euro, numărul anilor de închisoare
    creşte cu 50%.

    Nu există predictibilitate în actul de justiţie în lipsa
    stabilităţii legislative – a declarat ministrul Justiţiei, Raluca Prună, în
    opinia căreia, prin ordonanţa de urgenţă a Guvernului se rezolvă restanţe
    importante.

    La rândul său, membru
    al Consiliului Superior al Magistraturii, judecătorul Horaţius Dumbravă afirmă,
    într-o postare pe pagina sa de Facebook, că prin adoptarea ”bruscă” a
    ordonanţei de urgenţă este ratată o dezbatere publică amplă. Într-o democraţie
    parlamentară, este firesc ca, prin această practică, Guvernul să uzurpe
    atribuţiile legislative ale Parlamentului? – se întreabă magistratul. Şi tot el
    furnizează un posibil răspuns: Legislativul este cel care a adoptat noile
    coduri Penal şi de Procedura Penală, ale căror texte sunt pe bandă rulantă
    declarate neconstituţionale.

    Cum parlamentarii nu dau socoteală pentru
    pasivitate, i se mai poate reproşa Guvernului că a optat, în disperare de
    cauză, pentru o ordonanţă de modificare?

  • Une semaine avec Wajdi Mouawad

    Une semaine avec Wajdi Mouawad

    Cette semaine, RRI ouvre des portes généralement verrouillés pour nous, public – ceux de lintimité de la création artistique. Produit de trois cultures (libanaise, française et québécoise), unies par une même langue, Wajdi Mouawad est de ces artistes francophones à avoir le plus changé la manière contemporaine de faire du théâtre. A linvitation de lIF de Roumanie et des ambassades du Canada et du Liban, cet auteur dramatique, metteur en scène et comédien hors du commun a récemment été de passage par Bucarest et Sibiu, pour deux représentations de « Seuls », un de ses spectacles les plus poignants, mais aussi les plus provocateurs en matière de réalisation. A cette occasion, Wajdi Mouawad s’est entretenu avec RRI et le magazine Regard sur lécriture théâtrale en tant quexercice de sincérité et de liberté. Une semaine avec Wajdi Mouawad veut dire sept jours, sept questions, sept réponses, sept pistes dapproche de la vie et de lart de notre époque…



    Le théâtre, qu’il soit écrit, mis en scène ou joué, porte Wajdi Mouawad au quatre coins de la planète. Le créateur est revendiqué, en égale mesure, par les trois cultures où il s’est formé et où il a travaillé – libanaise, canadienne et française. Mais tout espace culturel l’aide à s’enrichir et surtout à se mettre en perspective, dit Wajdi Mouawad, qui a trouvé en Roumanie, par exemple, des rapports inédits entre scène et public, lors d’une représentation de Seuls. Comment le théâtre change-t-il l’artiste qui le choisit?




    Exclusivité RRI et Regard, avec le soutien de l’Institut français de Roumanie, de l’Ambassade Du Canada et de l’Ambassade du Liban à Bucarest

  • Une semaine avec Wajdi Mouawad

    Une semaine avec Wajdi Mouawad

    Cette semaine, RRI ouvre des portes généralement verrouillés pour nous, public – ceux de lintimité de la création artistique. Produit de trois cultures (libanaise, française et québécoise), unies par une même langue, Wajdi Mouawad est de ces artistes francophones à avoir le plus changé la manière contemporaine de faire du théâtre. A linvitation de lIF de Roumanie et des ambassades du Canada et du Liban, cet auteur dramatique, metteur en scène et comédien hors du commun a récemment été de passage par Bucarest et Sibiu, pour deux représentations de « Seuls », un de ses spectacles les plus poignants, mais aussi les plus provocateurs en matière de réalisation. A cette occasion, Wajdi Mouawad s’est entretenu avec RRI et le magazine Regard sur lécriture théâtrale en tant quexercice de sincérité et de liberté. Une semaine avec Wajdi Mouawad veut dire sept jours, sept questions, sept réponses, sept pistes dapproche de la vie et de lart de notre époque…



    Homme de son temps, l’auteur et metteur en scène Wajdi Mouawad interroge beaucoup le réel, tout en identifiant les correspondances de situation entre passé et présent, comme dans le cas de l’intégrale des sept tragédies de Sophocle, à retrouver sur scène en 2015. Dans ses propres textes, l’artiste met à nu parfois les mécanismes de la création au quotidien, comme dans sa pièce Rêves, où il surprend deux dialogues qui s’entrecroisent, entre un écrivain, d’une part, et ses personnages et respectivement une hôtelière, de l’autre. Qu’est-ce que la réalité, qu’est-ce que l’imagination?





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  • Une semaine avec Wajdi Mouawad

    Une semaine avec Wajdi Mouawad

    Cette semaine, RRI ouvre des portes généralement verrouillés pour nous, public – ceux de lintimité de la création artistique. Produit de trois cultures (libanaise, française et québécoise), unies par une même langue, Wajdi Mouawad est de ces artistes francophones à avoir le plus changé la manière contemporaine de faire du théâtre. A linvitation de lIF de Roumanie et des ambassades du Canada et du Liban, cet auteur dramatique, metteur en scène et comédien hors du commun a récemment été de passage par Bucarest et Sibiu, pour deux représentations de « Seuls », un de ses spectacles les plus poignants, mais aussi les plus provocateurs en matière de réalisation. A cette occasion, Wajdi Mouawad s’est entretenu avec RRI et le magazine Regard sur lécriture théâtrale en tant quexercice de sincérité et de liberté. Une semaine avec Wajdi Mouawad veut dire sept jours, sept questions, sept réponses, sept pistes dapproche de la vie et de lart de notre époque…



    Les projets de Wajdi Mouawad lont poussé parmi les artistes incontournables du théâtre mondial contemporain. Une de ses œuvres les plus connues est la tétralogie « Le sang des promesses », réunissant « Littoral », « Incendies », « Forêts » et « Ciels ». Créé et modifié en une dizaine dannées, ce quatuor de pièces, comme il lappelle lui-même, porte sur lhéritage, les liens de sang, la transmission et la mémoire. Des textes grâce aussi auxquels Wajdi Mouawad se voit attribuer le prix de lAcadémie française pour lensemble de son œuvre dramatique. Et pourtant lartiste affirme assumer un rôle plutôt modeste dans la conception de ses projets…




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  • Une semaine avec Wajdi Mouawad

    Une semaine avec Wajdi Mouawad

    Cette semaine, RRI ouvre des portes généralement verrouillés pour nous, public – ceux de lintimité de la création artistique. Produit de trois cultures (libanaise, française et québécoise), unies par une même langue, Wajdi Mouawad est de ces artistes francophones à avoir le plus changé la manière contemporaine de faire du théâtre. A linvitation de lIF de Roumanie et des ambassades du Canada et du Liban, cet auteur dramatique, metteur en scène et comédien hors du commun a récemment été de passage par Bucarest et Sibiu, pour deux représentations de « Seuls », un de ses spectacles les plus poignants, mais aussi les plus provocateurs en matière de réalisation. A cette occasion, Wajdi Mouawad s’est entretenu avec RRI et le magazine Regard sur lécriture théâtrale en tant quexercice de sincérité et de liberté. Une semaine avec Wajdi Mouawad veut dire sept jours, sept questions, sept réponses, sept pistes dapproche de la vie et de lart de notre époque…



    Nous lavons vu, les jours précédents, Wajdi Mouawad utilise tout dans ses textes – mots, photos, sons, vidéo, des éléments qui sagencent dans ce quil appelle « une écriture polyphonique ». Mais, en définitive, qu’est-ce qui se passe dans la tête d’un auteur? Comment arrive lidée qui le fait s’asseoir devant sa feuille de papier ou devant son ordinateur pour y déposer le fruit de son imagination? Lauteur invente-t-il tout ce quil écrit ou bien ordonne-t-il des personnages et des situations qui simposent à lui et auxquels quil navait jamais pensé auparavant. Lartiste, est-il donc dans « limmaîtrisable », comme dit un autre grand dramaturge français, Rémi de Vos, ou bien dans le contrôle absolu ?





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  • Une semaine avec Wajdi Mouawad

    Une semaine avec Wajdi Mouawad

    Cette semaine, RRI ouvre des portes généralement verrouillés pour nous, public – ceux de lintimité de la création artistique. Produit de trois cultures (libanaise, française et québécoise), unies par une même langue, Wajdi Mouawad est de ces artistes francophones à avoir le plus changé la manière contemporaine de faire du théâtre. A linvitation de lIF de Roumanie et des ambassades du Canada et du Liban, cet auteur dramatique, metteur en scène et comédien hors du commun a récemment été de passage par Bucarest et Sibiu, pour deux représentations de « Seuls », un de ses spectacles les plus poignants, mais aussi les plus provocateurs en matière de réalisation. A cette occasion, Wajdi Mouawad s’est entretenu avec RRI et le magazine Regard sur lécriture théâtrale en tant quexercice de sincérité et de liberté. Une semaine avec Wajdi Mouawad veut dire sept jours, sept questions, sept réponses, sept pistes dapproche de la vie et de lart de notre époque…



    Le rapport aux textes de Wajdi Mouawad n’est pas toujours facile. Sur le papier, ses pièces ont parfois l’allure d’une oeuvre philosophique qu’un lecteur plus pointilleux ne verrait pas forcément transposés sur scène. Et pourtant, sous la lumière des projecteurs, dans la bouche du comédien, le même texte avec ses sens des fois obscures acquiert une fluidité insoupçonnée. Quel est le mécanisme d’un tel exploit?




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