Tag: Thierry Repentin

  • Nachrichten 12.02.2014

    Nachrichten 12.02.2014

    Bukarest — Die Anführer der regierenden Koalitionsparteien haben am Mittwoch die Verhandlungen über die Zusammensetzung der neuen Regierung fortgesetzt. Der Vorschlag des sozialdemokratischen Ministerpräsidenten Victor Ponta sieht einerseits die Ernennung des liberalen Bürgermeisters von Hermannstadt, Klaus Johannis, zum Innenminister und Vize-Ministerpräsidenten vor. Die Regierung sollte allerdings vier Vize-Ministerpräsidenten haben, die alle vier Parteien der regierenden sozialliberalen Union vertreten. Die Liberalen äu‎ßern sich hingegen lediglich für die Ernennung von Johannis als Vize-Ministerpräsident und Innenminister. Nebem dem Geschäftsbereich Inneres, sind auch die Finanzen, Gesundheit und Wirtschaft derzeit unbesetzt.




    Bukarest — Der rumänische Automarkt wird derzeit mit einer katastrophalen Situation konfrontiert. 11 Gebrauchtwagen werden für jedes verkaufte neue Auto ins Land gebracht. Dies erklärte heute der Vizepräsident der Gruppe Dacia Renault und Präsident des Verbands rumänischer Automobilhersteller Constantin Stroe beim Geschäftsforum Frankreich-Südosteuropa, das in Bukarest stattfindet. Dacia Renault und Ford haben im Vorjahr in Rumänien nur 20.000 Autos aus einer Gesamtproduktion von 410.000 Autos verkauft. Die rumänischen Exporte haben jedoch eine bemerkenswerte Entwicklung verzeichnet, und die ersten Exportmärkte Rumäniens sind Frankreich, Deutschland, Algerien und die Türkei. Im Vorjahr wurden über 360.000 Ford und Dacia Renault-Wagen exportiert, 2004 belief sich der Wert der Exporte besagter Automarken auf 16.000. Der Vorstand der französischen Gruppe Renault kündigte allerdings an, er habe nicht vor, sich aus Rumänien zurückzuziehen. Renault inverstierte bislang in Rumänien über 2 Milliarden Euro. Die Entwiclung der rumänischen Infrastruktur sei jedoch wesetlich für die künftigen Projekte des franzöischen Automobilherstellers, so Renault-Vorstand anschlie‎ßend. Die Erklärung erfolgte nachdem der rumänische Präsident Traian Băsescu davor warnte, sollte der Korridor 4 nicht finalisiert werden, dann könnte die französische Gruppe das Automobilwerk im südrumänischen Pitesti schlie‎ßen.




    Bukarest – Rumäniens Aussenminister Titus Corlăţean hat das Votum von Mittwoch der Kommission für bürgerliche Freiheiten, Justiz und Innenangelegenheiten des Europäischen Parlaments für die Visaliberalisierung für moldauische Staatsangehörige begrüsst. Die Aufhebung soll nur für die Inhaber eines biometrischen Reisepasses gelten. Titus Corlăţean forderte von Europaabgeordneten, das EU-Assoziierungsabkommen mit der Moldaurepublik durch eine Dringlichkeitsverordnung zu ratifizieren, bevor die Abstimmung im Europaparlament am 25. Februar statfindet. Die europäischen Bestrebungen Chisinaus werden auch von Frankreich unterstützt, das durch Minister für Europaangelegenheiten Thierry Repentin die schnellstmögliche Aufhebung der Visumpflicht für moldauische Bürger forderte.

  • La semaine du 30 septembre au 05 octobre 2013

    La semaine du 30 septembre au 05 octobre 2013

    La Roumanie et l’espace Schengen



    Le chemin de la Roumanie vers l’espace européen de libre circulation est parsemé d’embûches. Cela fait deux ans déjà qu’elle attend, tout comme sa voisine, la Bulgarie, le feu vert lui permettant d’y adhérer, car certains pays de l’UE s’y opposent, en arguant de la corruption qu’ils pointent du doigt. Le ministre français des affaires européennes, Thierry Repentin, affirmait, cette semaine, que Bucarest et Sofia ne seraient pas acceptées bientôt, en raison du prochain rapport sur la justice qui doit être élaboré par la Commission européenne et qui, dit-il, ne leur sera pas favorable. En outre, bon nombre d’hommes politiques français, soient-ils au pouvoir ou en opposition, invoquent la question de rroms originaires de Roumanie, qui ont du mal à s’intégrer et dont ils craignent l’immigration massive. Pourtant, le vice-président du groupe d’amitié franco-roumain, Pierre Dufau, soutient que l’insertion des rroms au sein des communautés française ou européenne ne devrait pas être liée à cette autre question qu’est l’entrée de la Roumanie dans l’espace Schengen.


    En plus, il existe entre Bucarest et Paris un partenariat stratégique, sur la base duquel les officiels français ont exprimé leur appui à l’adhésion de la Roumanie à l’espace Schengen. Les objectifs de ce partenariat se soutiennent par la réciprocité, a pour sa part déclaré le ministre roumain des affaires étrangères, Titus Corlatean. « C’est ce qu’il a été convenu par le partenariat stratégique et la feuille de route que nous avons signée avec le premier ministre français à Paris, il y a quelques mois. On y retrouve un objectif commun, assumé par les deux parties, à savoir l’appui par la France des démarches de Bucarest en vue de son entrée dans l’espace Schengen, ainsi que certains autres objectifs fort importants relevant des domaines politique, stratégique, économique et culturel. Un tel partenariat se doit d’être soutenu par la réciprocité. A défaut de cette réciprocité, il conviendrait que le gouvernement français nous fasse connaître cette conclusion non pas par l’intermédiaire des médias, mais par les canaux officiels. »



    L’exploitation aurifère de Rosia Montana — source de dilemmes



    Le projet sur l’exploitation minière de Rosia Montana — au centre de la Roumanie, continue à susciter des controverses. Le gisement d’or de 300 tonnes est à présent considéré comme le plus important en Europe et le troisième au monde. Les contestataires du projet affirment que l’exploitation par cyanuration menacent l’environnement et les vestiges historiques. Les supporters, eux, soutiennent que l’ouverture de la mine créerait des emplois. Depuis plus de deux semaines, toutes les parties impliquées sont entendues par la commission spéciale, mise en place pour examiner le dossier, ainsi que par plusieurs commissions spécialisées. Le chef du Service roumain de Renseignement, George Maior, affirme que Rosia Montana est un problème de sécurité nationale mais qu’il ne peut pas se prononcer sur l’opportunité de la mise en route du projet.


    De l’autre côté, les représentants de l’investisseur canadien affirment que l’exploitation profitera à la Roumanie d’un point de vue économique, que l’environnement sera beaucoup plus propre qu’il ne l’est à présent et que le patrimoine culturel, dont notamment celui archéologique, sera mis en valeur.



    Temps extrême en Roumanie en ce début d’octobre



    Le mois d’octobre a débuté avec des températures beaucoup en-dessous des normales saisonnières. Par exemple, à Bucarest le 1er octobre 2013 a été le jour le plus froid de ces 80 dernières années, les maximales ne dépassant pas les 7 degrés. La moitié sud du pays a été touchée par des pluies abondantes et un vent fort. Le bilan des intempéries: routes et fermes inondées, localités privées d’électricité, arbres déracinés et toits arrachés, des dizaines de voitures endommagés. Les chutes de neige et les tempêtes de neige ayant frappé le centre du territoire et les régions de montagne ont provoqué des embouteillages et accidents de la route. En même temps, plusieurs trains internationaux et nationaux ont enregistré des retards importants.



    La Banque Nationale de Roumanie a abaissé le taux directeur de 4,5 à 4,25%



    Depuis le 1er octobre, la Banque Nationale de Roumanie a abaissé son taux directeur jusqu’à un nouveau minimum historique, pour la troisième fois de suite. Celui–ci est passé de 4,5 à 4,25% par an. La mesure est censée relancer les crédits en monnaie nationale. Toutefois, jusqu’ici les effets se sont fait attendre, les banques commerciales étant critiquées pour ne pas avoir suivi les recommandations de la Banque centrale et ne pas avoir diminué les prix des crédits en monnaie nationale. Pire encore, a souligné le gouverneur de la Banque centrale, Mugur Isarescu, au lieu de baisser les taux d’intérêts des prêts, les banques commerciales ont diminué ceux des économies.



    La première édition du Festival International de Théâtre Radiophonique Grand Prix Nova, organisé par la Radio publique roumaine



    Plus de 50 pièces de théâtre de 22 pays ont participé à la première édition du Festival International de Théâtre Radiophonique Grand Prix Nova accueilli cette semaine par la capitale roumaine, Bucarest. Organisé par la radio publique de Roumanie, sous le haut patronage de la princesse héritière Margareta de Roumanie, le festival compte parmi les événements marquant le 85e anniversaire de la radio publique roumaine, qui sera célébré le 1er novembre. La première pièce de théâtre radiophonique a été diffusée en Roumanie en février 1929. (trad. Alexandra Pop, Mariana Tudose)