Tag: Titus Corlatean

  • Rumänien könnte sich an der EU-Militärmission in Mali beteiligen

    Rumänien könnte sich an der EU-Militärmission in Mali beteiligen


    Rumänien könnte sich an der EU-Militärmission im afrikanischen Krisenland Mali beteiligen, bekräftigte am Donnerstag Au‎ßenminister Titus Corlăţean, nachdem die Europäische Union die Entsendung einer Ausbildungsmission nach Mali beschloss.


    Der Brennpunkt Mali gefährdet die Stabilität in der Region. Die islamistische Gruppierung Al-Qaida ist in Folge der Krise in Mali aktiver geworden. Mit der Geiselnahme in Algerien haben au‎ßerdem nordafrikanische Al-Qaida-Kämpfer den französischen Feldzug in Mali von einem regionalen in ein globales Problem verwandelt. Über 40 Ausländer aus 12 Ländern wurden am Mittwoch in Algerien, von einer der Al-Qaida angeschlossenen Gruppierung entführt. Dies soll als Vergeltungsschlag gegen den Luft- und Landeingriff der französischen Militärs gegen die islamistischen Kämpfer in Mali gelten. Das Auswärtige Amt in Bukarest bestätigte am Donnerstag, dass sich unter den in Algerien entführten Bürgern, auch Rumänen befinden.


    Der rumänische Nachrichtendienst kündigte folglich, die Gründung einer Krisenzelle auf nationaler Ebene im Kontext der Entführungen an. Auf einem Krisentreffen in Brüssel beschlossen die EU-Au‎ßenminister am Donnerstag eine Ausbildungsmission für Mali. 200 Militärsausbilder und 250 Soldaten will folglich die EU so rasch wie möglich nach Mali schicken. Diese sollen die einhemischen Regierungskräfte im Kampf gegen islamistische Rebellen ausbilden. Frankreich, das während der Kolonialzeit das afrikanische Land kontrollierte, stockte neulich seine Truppen massiv auf.


    Die Zahl der französichen Soldaten die in die Region entsandt werden, soll von 1400 auf 2500 steigen, wie das französische Verteidigungsministerium ankündigte. Am Brüsseler Sondergippfel beteiligte sich auch der rumänsiche Aussenminster Titus Corlăţean. Rumänien könnte an der EU-Militärmission in Mali teilnehmen, bekräftigte Corlăţean: “Wir befinden uns derzeit in einer fortgeschrittenen Phase einer genaueren Untersuchung der Möglichkeit, uns an der EU-Militäroperation in Mali zu beteiligen. Der Beitrag Rumäniens zur EU-Mission sieht insbesondere die Ausbildung und Training der Sicherheitskräfte vor, wir schliessen aber die Möglichkeit nicht aus, Mali im Bereich Ausrüstung und Logistik zu unterstützen. Die Brüsseler Gespräche bestätigten ohnehin meine Stellungnahme in Bezug auf den erforderlichen Beitrag Rumäniens zur Bekämpfung des Terrorismus.”


    Au‎ßenminister Titus Corlăţean verurteilte zudem die Aktionen der terroristischen Gruppierungen, die zur Gewalt und zum religiösen Fanatismus aufrufen. Die Europäische Union soll sich stärker für die Stabilität und die territoriale Integrität der afrikanischen Republik einsetzen, fügte Corlăţean hinzu.

  • La Roumanie et l’opération au Mali

    La Roumanie et l’opération au Mali


    La crise internationale du Mali, un des pays les plus pauvres d’Afrique, porte l’empreinte d’Al-Qaïda. Un groupe armé qui a des liens avec le réseau terroriste a pris de nombreux otages étrangers dans un centre gazier britannique dans l’est de l’Algérie, en représailles à l’intervention aérienne et terrestre des forces armées françaises contre les bastions islamistes du Mali.



    Figurant parmi les pays dont les ressortissants ont été pris en otage, la Roumanie a annoncé avoir constitué une cellule de crise chargée de la situation. Une réunion extraordinaire provoquée par cette crise a eu lieu aussi à Bruxelles, où les ministres des Affaires Etrangères de l’UE ont décidé de créer une mission de formation et de réorganisation de l’armée malienne. La mission des 200 instructeurs militaires et 250 agents de sécurité sera de préparer les forces du gouvernement de Bamako pour lutter contre les groupes rebelles islamistes. La France a annoncé que le nombre de ses forces mobilisés sur le terrain augmentera de 1400 hommes à présent, à 2500.



    Le ministre roumain des Affaires Etrangères, Titus Corlatean, a également été présent à la réunion de Bruxelles. Il a affirmé que la Roumanie pourrait participer à la mission militaire européenne au Mali : « Nous sommes dans une phase assez avancée de réflexion institutionnelle, concernant une contribution concrète de la Roumanie à l’opération de l’UE. On peut parler de personnel chargé de l’instruction de l’armée malienne, peut-être quelques éléments d’Etat major, de l’équipement et de la logistique pour l’entraînement. Les discussions et les informations reçues pendant la réunion ont consolidé ma position favorable à la contribution de la Roumanie dans cet effort nécessaire de lutte contre le terrorisme » .



    Le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlatean a ajouté avoir parlé à ses homologues intéressés par la situation en Algérie. Le responsable roumain a condamné les actions des groupes terroristes qui soutiennent la violence et l’extrémisme religieux, amplifiant ainsi les risques de déstabilisation de toute la région subsaharienne. Rétablir la stabilité et l’intégrité territoriale de la République du Mali devrait compter parmi les principales priorités de l’UE, a également ajouté Titus Corlatean. Le chef de la diplomatie roumaine a souligné la nécessité de poursuivre l’appui que l’UE fournit aux autorités de Bamako pour revenir à l’ordre constitutionnel par l’organisation d’élections générales au plus vite. (aut.: Leyla Cheamil; trad.: Alex Diaconescu)

  • 17.01.2013

    17.01.2013


    FMI – Les experts du FMI s’entretiennent ce jeudi à Bucarest avec les représentants de la Banque centrale. A l’ordre du jour: la surveillance bancaire, le système bancaire et la prudentialité, les garanties éligibles ainsi que les progrès en matière de plans d’urgence et de procédures bancaires.

    La mission conjointe du FMI, de la Commission européenne et de la Banque mondiale a entamé mardi une nouvelle évaluation de l’accord de précaution conclu avec la Roumanie et qui se monte à 5 milliards d’euros. Les représentants des créanciers internationaux doivent examiner jusqu’au 29 janvier les évolutions récentes de l’économie roumaine ainsi que le projet de budget 2013.






    Economie – 2013 sera une bonne année pour la Roumanie, qui a la chance unique d’attirer plus d’argent européen et d’obtenir des crédits d’investissements à bas coûts, a déclaré aujourd’hui le vice président de la Banque européenne d’investissements, le Roumain Mihai Tanasescu. Selon lui, les fonds européens représentent le principal moteur de croissance économique en Roumanie. Viennent ensuite l’agriculture, la recherche et l’innovation, les exportations automobiles et les équipements. La Roumanie n’a pas besoin d’un nouvel accord de financement avec les institutions internationales, a encore précisé le vice-président de la Banque européenne d’investissements. Mais lui d’ajouter qu’une prochaine nouvelle collaboration avec le FMI et la Commission européenne est importante quand il s’agit de poursuivre les réformes.






    Schengen – Achever le processus d’adhésion à l’espace Schengen — c’est la priorité de la Roumanie pour la prochaine période, c’est ce qu’a déclaré le ministre roumain de l’Intérieur, Radu Stroe, qui participe à Dublin au Conseil Justice-Affaires intérieures. Le responsable roumain a également eu des entretiens avec les membres des délégations polonaise, finlandaise et bulgare. Selon un communiqué du ministère de l’Intérieur, son homologue finlandais a précisé que l’entrée de la Roumanie dans l’espace de libre circulation était une décision politique, le rapport qui sera publié fin janvier dans le cadre du Mécanisme de coopération et de vérification s’avérant essentiel à cet effet.






    Réunion – Réunion extraordinaire ce jeudi à Bruxelles du Conseil Affaires Etrangères de l’UE. C’est la chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, qui l’a convoquée en régime d’urgence, suite aux récentes évolutions au Mali. La Roumanie y est représentée par le ministre roumain des Affaires étrangères, Titus Corlatean. La crise au Mali a gagné mercredi une nouvelle dimension internationale, après la prise de 40 otages étrangers sur un site gazier en Algérie. Un groupe islamiste armé a revendiqué l’action, réclamant notamment “larrêt de lagression” au Mali.






    Coopération – La Roumanie se propose d’amener la relation avec le Turkménistan au niveau d’un partenariat stratégique, vu l’importance de la coopération énergétique avec ce pays. C’est ce qu’a déclaré le secrétaire d’Etat aux affaires stratégiques du Ministère roumain des Affaires étrangères, Bogdan Aurescu. Il s’exprimait à l’issue de ses entretiens avec Murat Atajanov, président de l’Agence présidentielle turkmène pour la mer Caspienne. Aurescu a également réitéré l’engagement de Bucarest visant la mise en place des projets communs, notamment dans les domaines énergétique et des transports, prévus dans le plan d’actions signé en octobre 2012 par les présidents des deux pays.






    Finances – Le rendement des obligations roumaines a reculé mercredi jusqu’à un niveau record d’environ 5,5 –5,6%, le plus bas depuis 1989. Par ailleurs, la monnaie nationale, le leu, s’est appréciée mercredi, jusqu’à son plus haut niveau ces 11 derniers mois, soit 4,33 unités pour un euro.

    La Banque américaine d’investissements JP Morgan a annoncé sa décision d’introduire la Roumanie dans l’indice de la banque pour les bons d’Etat sur les marchés émergents.

    L’agence Reuters note que l’annonce de la banque américaine ainsi que la décision similaire, en novembre dernier, de la banque britannique Barclays, vont contribuer au renforcement de la monnaie nationale, à la hausse des investissements étrangers et des liquidités sur un petit marché.






    Investissements – La compagnie allemande Karl Heinz Dietrich International Exped, spécialisée dans l’aménagement et la gestion d’entrepôts logistiques, investira 15 millions d’euros dans le parc industriel de Jucu, au centre de la Roumanie. Au total, 200 nouveaux emplois seront créés grâce à cet investissement. La compagnie allemande est implantée en Roumanie depuis 1997 et emploie plus de 500 personnes dans 5 villes du pays.






    Tennis – Le double dames formé des Roumaines Irina Camelia Begu et Monica Niculescu, tête de série n° 13, s’est qualifié mercredi au deuxième tour de l’Open d’Australie, le premier tournoi du Grand Chelem de l’année. Même performance pour le double messieurs formé du Roumain Horia Tecau et du Biélorusse Max Mirnyi. Notons que Sorana Cârstea, tête de série n° 27, est la seule joueuse roumaine de tennis à s’être qualifiée au troisième tour de l’Open d’Australie.

  • 16.01.2013

    16.01.2013


    Grève – Une grève spontanée des cheminots en Roumanie pour protester contre le retard dans le paiement de leurs salaires a bloqué plus de 130 trains mercredi matin et gravement perturbé le trafic, a indiqué la compagnie nationale de chemins de fer. Le nouveau gouvernement de centre gauche a promis de rendre plus efficace lactivité des chemins de fer et le ministre a indiqué sattendre à un dialogue « compliqué » avec les syndicats sur ce sujet.




    POSDRH – La ministre roumaine de l’Emploi, Mariana Câmpeanu, et celui des Fonds européens, Eugen Orlando Teodorovici, rencontrent à Bruxelles des responsables de la Commission européenne, afin de trouver des solutions pour la reprise des paiements dans le cadre du Programme opérationnel sectoriel de développement des ressources humaines. Les négociations visent également la nouvelle approche du ministère des Fonds européens pour ce qui est de l’absorption des fonds communautaires tant pour l’exercice financier 2007 — 2013, que pour l’exercice 2014 — 2020. Les allocations au Programme opérationnel sectoriel de développement des ressources humaines ont été bloquées pendant la seconde moitié de l’année dernière en raison de certaines irrégularités dans le déroulement des projets européens.






    JAI – Le ministre roumain de l’Intérieur, Radu Stroe, participe jusqu’à vendredi à la réunion du Conseil Justice – Affaires Intérieures organisé à Dublin, en Irlande, pays qui assure l’actuelle présidence tournante de l’UE. La migration, la sécurité intérieure, la croissance économique et le dossier syrien figurent à l’agenda des pourparlers. En marge de la réunion, le ministre roumain Radu Stroe signera un accord de coopération bilatérale avec l’Irlande dans des domaines tels la lutte contre le trafic de personnes et de stupéfiants, le blanchiment d’argent, la criminalité organisée et le terrorisme.






    Mali – Le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlatean, participera à la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’UE consacrée à la crise du Mali, qui aura lieu ce vendredi à Bruxelles. La Roumanie est préoccupée par les récentes évolutions dans ce pays et notamment par les opération militaires lancées par les groupes rebelles islamistes dans le nord-est du pays. Le ministère roumain des Affaires étrangères condamne fermement les actions des groupes terroristes qui soutiennent la violence et l’extrémisme religieux tout en amplifiant les risques de déstabilisation de toute la région sou-saharienne.






    Economie – A Bucarest, poursuite des négociations entre les autorités roumaines et les représentants de la délégation commune du FMI, de la Commission européenne et la Banque Mondiale. Il s’agit de la première mission d’évaluation depuis l’installation à la tête du pays du nouveau gouvernement de Victor Ponta. Notons qu’en 2012, le cabinet est arrivé à réduire le déficit budgétaire, sans arriver pourtant à combler les dettes, à restructurer les grandes compagnies d’Etat et à adopter une nouvelle loi de la Santé. L’intention du gouvernement d’accroître le SMIC de 700 à 800 lei, soit à environ 180 euros, et de baisser la TVA appliquée aux produits alimentaires de base comptera également parmi les sujets analysés par les deux parties. La délégation du FMI quittera Bucarest le 29 janvier.






    Prévisions – La Roumanie enregistrera une croissance économique de 1,6% en 2013, de 2,2% en 2014 et de 3% en 2015, par rapport à une avance économique estimée à 0,6% l’année dernière, selon un rapport de la Banque Mondiale rendu public ce mercredi. Le déficit du compte courant de la Roumanie se chiffrera à 4,3% du PIB en 2013, à 3,9% en 2014 et à 3,7% en 2015 par rapport à 3,6% du PIB en 2012. Selon ce document, les perspectives de la région dépendent des risques globaux et régionaux parmi lesquels la crise de la zone euro, l’évolution de l’économie chinoise et le niveau élevé des prêts non performants. Le milieu économique demeure fragile au niveau mondial et le redressement lent des pays développés influence la croissance de l’économie mondiale, lit-on dans le même rapport de la Banque Mondiale.






    Criminalité – Les procureurs et les forces de l’ordre de Roumanie ont démantelé un groupe de crime organisé impliqué dans le trafic international de cocaïne. Les membres du groupe — des citoyens colombiens, roumains, bulgares et italiens — transportaient à bord de bateaux de luxe des centaines de kilos de cocaïne d’Amérique du Sud vers l’Europe de l’Est. La valeur des stupéfiants avoisine les 6 millions d’euros.

  • Dialog româno-maghiar

    Dialog româno-maghiar


    La călisearea a omologlui a lui ungar, János Martonyi, şeflu a diplomaţiil’ei di Bucureşti, Titus Corlăţean, feaţi unâ vizită oficială tru Ungaria, moeabeţli avândalui tru arada di lucru ahândusearea a lucurlui deadun sectorial şi anamisa di sinuri, ama şi ti darea silâ a alâxerlor comerciale.


    Andamusili a ministrului român cu oficialităţile di Budapista s-ţânurâ tru contextul câ tru bitisita a meslui brumar va s-umplâ 10 ani di la simnarea a declaraţiil’ei di Parteneriat Strategic şi 16 di ani di la simnarea şi intrarea bâgarea tru lucru a Tratatului di achicâseari, coopiarare şi bună viţinătate anamisa di România şi Ungaria. Ama şi tru condiţiile tru cari relaţiile bilatearale eara tru unâ vahti di kiro ma sensibilă tru meşl’i dit soni, maxus di itia a nascantor chestiuni ligati di minorităţile naţionale. Ministrul Titus Corlăţean feaţi ma multi pripuniri a partil’ei ungară:


    Prota ş-prota s- marcăm simbolic, tru toamna aiştui an, tru meslu brumar, că yiurtusim 10 ani di parteneriat strategic, unâ relaţie importantă şi tra vâsiliili a noastri, ama şi tra reghiuni şi Europa tut cu tut. Deftura s-ndrupâm deadun organizarea, anlu yinitor, posibil tru protlu semestru a anlui 2013, a unâl’ei andamusi tru scara a proţlor miniştri şi a miniştrilor competenţâ tra sâ zburâm ti len turlii di proiecte, prota ş-prota tru plan economic, infrastructură, energie, agricultură, proiecte europene pi cari România şi Ungaria li promoveadză deadun.”


    Caplu a diplomaţiei di Bucureşti câftă di altâ parti, a autorităţlor ungare s-acaţâ tru isapi sensibilităţile a partil’ei române tru ligătură cu subiecti tru cazlu a curi România şi Ungaria au mindueri ahoryea. Titus Corlăţean: Suntem în favoarea unei abordări echilibrate di dauli părţi tra prezervarea idintităţii naţionale a atilor două minorităţi şi aici, bineînţeles, că am exprimat şi aşteptările noastri şi sprijinul tra proiectele şi solicitările minorităţii române dit Ungaria, di prezervare a idintităţii, fie că vorbim di Biserică, fie că vorbim di educaţie în limba maternă, fie că vorbim di mass-media sau di alte proiecte importante tra românii dit Ungaria.


    Este adivărat că există şi puncte asupra cărora avem viziuni diferite, cum este cazul drepturilor colective, respictiv drepturilor individuale şi, dit acest punct di vedire, am rugat, la rândul nostru şi am solicitat părţii maghiare, să ia în considiarare şi sensibilităţile părţii române.” Potrivit ministrului ungar di externe, sensibilităţile ligati di minorităţile naţionale sunt reciproce, iar îngrijorările, îndoielile, revendicările şi politicile comunităţii maghiare dit România sunt hotărâte şi formulate di această comunitate. În ceea ce priveşte parteneriatul strategic, dauli părţi considiră că el trebuie consolidat, iar interesele comune să rămână un factor dicisiv.