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  • Villes d’eaux dans le département de Vâlcea

    Villes d’eaux dans le département de Vâlcea

    Vâlcea, un repère du tourisme balénaire depuis le 19e sicèle

     

    Repère important sur la carte du tourisme balnéaire depuis déjà la fin du 19e siècle, le département de Vâlcea est toujours très recherché pour ses cures et ses stations thermales. Des milliers de touristes y affluent chaque année pour se faire soigner et pour se reposer. Chaque station à son charme à elle et chacune a déjà préparé ses offres pour les fêtes de fin d’année, invitant les visiteurs à profiter non seulement des bains thérapeutiques, mais aussi des activités en tout genre organisées dans les alentours.

     

    Cures et visites à Călimănești-Căciulata

     

    Des cures de prévention, de traitement ou de récupération, mais aussi des loisirs – autant d’atouts pour ce département, comme nous le dit Monica Gheorghiu, la directrice du Centre national d’information et promotion touristique de Vâlcea:

    « Vâlcea est un département très recherché pour ses quatre stations : Călimănești-Căciulata, Olănești, Govora et Ocnele Mari. La plus importante en est sans doute Călimănești-Căciulata, qui dispose d’une variété d’hôtels, parcs, ermitages, sentiers de randonnée, sans plus parler de ses eaux thermales. C’est ici que vous trouverez la plupart des piscines à eau géothermale de Roumanie. Côté loisirs, on peut faire des randonnées dans le Parc national de Cozia ou visiter des fameux monastères de Cozia, Turnu, Ostrov ou Stânișoara. D’ailleurs, la station de Călimănești-Căciulata est connue pour ses eaux minérales aux propriétés curatives depuis très longtemps. Par exemple, on sait que ses eaux ont été utilisées pour la première fois par les moines du monastère de Cozia, leur attestation documentaire datant de l’an 1520. On dit même que le prince valaque Mircea le Vieux s’est fait soigner à l’aide les eaux minérales de Călimănești, tout comme Franz Josef, le roi de l’Autriche-Hongrie. Cette station est recommandée non seulement pour les troubles de l’appareil digestif, mais aussi pour ceux de l’appareil urinaire, les rhumatismes, les affections dégénératives, neurologiques et gynécologiques. » 

     

    Effectivement, c’est justement à Călimănești-Căciulata que l’on trouve la base de cure thermale la plus grande de Roumanie. Elle compte plus de 5 000 places d’hébergement, pouvant soigner simultanément environ 1 500 patients. Rien qu’en septembre 2024, la ville a été visité par plus de 191 000 touristes, ce qui la place en 2e position de Roumanie en termes d’arrivées de touristes.

     

    Que peut-on faire ici à part les cures ? Monica Gheorghiu détaille :

    « Bassins thermaux, parcs, croisières en petit bateau, événement socio-culturels – tout cela est à retrouver dans cette station pas comme les autres que tous recommandons en toute saison. Et elle ne fait que se développer. En fait, une base sportive est en train d’être construite à Seaca, avec une nouvelle piscine et un parc-forêt qui viendront compléter l’offre touristique de la zone. Et puis, on ne saurait oublier non plus Olanesti les Bains, une autre station importante du département de Valcea. Ici on fait soigner les troubles de l’appareil digestif et rénal, mais aussi les allergies et les affections respiratoires causées par les différentes maladies professionnelles, comme l’exposition aux gaz ou substances toxiques. Deux facteurs de cure se marient harmonieusement à Olanesti : les facteurs climatiques et topo-climatiques. »

     

    Olănești et ses nombreuses sources d’eau

     

    C’est toujours la ville d’Olanesti qui s’enorgueillit d’avoir le plus grand nombre de sources d’eau, étant première en Roumanie du point de vue du débit des sources, de la variété de leur composition et de la concentration des eaux minérales. Monica Gheorghiu nous en parle :

    « Cette station recèle plus de 35 sources d’eau hydrominérales, réunissant tant des sources naturelles, que des sources qui ont été le résultat des travaux de forage. 15 sources sont captées pour les cures intérieures, deux – pour les cures extérieures et 4 – pour les traitements balnéaires. Et puis je dois vous dire que c’est par ici que l’on entre dans le Parc national de Buila-Vânturarița, où les touristes peuvent parcourir de nombreux sentiers de randonnée, visiter les ermitages des moines de la zone. Il s’agit de Iezer, Pahomie, Pătrunsa – autant d’endroits spectaculaires cachés dans un cadre naturel particulièrement beau. Enfin, passons aussi à Govora les Bains, une autre station importante pour le département de Vâlcea, où l’on peut se faire soigner l’asthme et la bronchite. C’est dire que le traitement des troubles respiratoires y a été très bien mis au point. Qui plus est, la ville est située dans une zone superbe, une dépression au pied des Carpates, entourée de collines et recouverte de forêts de chênes, hêtres et pins, à environ 400 m d’altitude. » 

     

    Govora et son climat parfait soigner certaines maladies

     

    A Govora, le climat est du type continental modéré, avec des étés plutôt chauds et des hivers assez doux. Ce climat est propice au traitement des maladies pulmonaires, explique notre invitée. Monica Gheorghiu :

    ” C’est une station importante pour nous, grâce à la variété et au caractère thérapeutique de ses eaux – certaines riches en clore, iode, brome, d’autres riches en magnésium, calcium et souffre. Elle est située dans une zone où il n’y a pas de pollens allergogènes et où l’humidité est relativement constante. Cela permet d’avoir des conditions optimales pour les cures. Plus encore, elle se trouve sur la route qui mène au célèbre monastère de Horezu et à la région de Horezu, fameuse pour sa céramique, berceau du folklore de Vâlcea. Je vous recommande aussi Ocnele Mari, une autre station de plus en plus recherchée par les touristes, notamment pendant la belle saison, grâce à ses piscines à eau salée. S’y ajoute la mine de sel de Ocnele Mari, autre point touristique à rôle thérapeutique. C’est l’endroit idéal pour les touristes de profiter des bienfaits de ce minerai qui est le sel. » 

     

    Des offres pour les fêtes d’hiver

     

    Et puisque les fêtes de fin d’année approchent et que les villes d’eau de Vâlcea sont particulièrement belles en hiver, voici un exemple pour vous faire une idée des tarifs de la zone: 570 euros pour un paquet de Noel comportant 3 nuitées pour deux adultes dans une chambre double dans un hôtel 3 étoiles à Călimănești-Căciulata, petit-déjeuner compris. Ce paquet inclut aussi le déjeuner traditionnel de Noël, dîner avec DJ, rencontre avec le Père Noël, concert de chants traditionnels de Noël et accès gratuit à au parc aquatique !  Bonne vacances ! (trad. Valentina Beleavski)

  • La Roumanie dans la 5e vague de la pandémie

    La Roumanie dans la 5e vague de la pandémie

    De toute évidence, la Roumanie est entrée dans la 5e vague de la pandémie – a annoncé le ministre de la Santé, Alexandru Rafila. Il a indiqué qu’à l’heure actuelle, il s’agit d’une transmission sporadique du variant Omicron et qu’il estime que nous assisterons à une transmission communautaire nourrie dans une à deux semaines. Rafila a expliqué que nous sommes passés de quelques centaines de cas par jour à plusieurs milliers, et même s’il semble que la situation s’est stabilisée, cela ne signifie pas que les choses sont revenues à la normale. « Nous sommes sur l’une des tendances de croissance les plus rapides d’Europe et je ne parle pas seulement de l’Union européenne. Nous sommes deuxièmes ou troisièmes, donc il n’y a pas encore de raison de nous détendre ; au contraire, nous devons être extrêmement prudents. Ce que nous espérons, c’est que ces nouveaux cas enregistrés ne mettent pas en danger le système de santé », a également déclaré le ministre à une chaîne de télévision.



    Il a indiqué qu’un circuit très clair du patient avait été mis en place et que la capacité de tester augmenterait. Ainsi, les démarches nécessaires pour permettre le paiement rapide aux médecins traitants des services de dépistage ont été finalisées et 160 centres d’évaluation en ambulatoire des patients atteints de formes moyennes de COVID-19 ont été identifiés. Il s’agit des centres ambulatoires intégrés des hôpitaux ou d’autres centres ambulatoires spécialisés, qui existent physiquement en ce moment mais n’ont pas été utilisés à cette fin dernièrement. Les critères permettant d’orienter les patients vers ces centres seront également élaborés sans délai. Les citoyens disposeront d’une carte interactive afin de savoir où ils peuvent s’adresser. Elle comprendra également tous les sites de dépistage qui deviendront opérationnels au niveau des cabinets des médecins traitants. Il est très important que les patients se rendent dans ces centres lorsqu’ils ne sont pas dans une situation critique, a souligné Alexandru Rafila.



    Il a annoncé qu’à la fin du mois en cours, les autorités roumaines disposeraient d’antiviraux innovants, qui ne seraient administrés qu’aux patients présentant des formes moyennes de la maladie et des facteurs de risque. Le traitement sera dispensé en ambulatoire et devra être pris les premiers jours de la maladie. Le ministre a également déclaré qu’à son avis, la vaccination ne deviendrait pas obligatoire en Roumanie, notant qu’il faudra œuvrer davantage pour informer les citoyens. Il a souligné que la vaccination est extrêmement importante à l’heure actuelle pour éviter les cas graves et les décès. En Roumanie, la vaccination continue de piétiner, le nombre de personnes qui se font inoculer la première dose n’étant que de quelques milliers par jour. Le pays est avant-dernier de l’Union européenne à ce chapitre, bien qu’il dispose, à volonté, de tous les vaccins approuvés dans l’espace communautaire.


    (Trad. : Ligia)


  • Siddhartha Bhattacharjee (Inde) – Le coronavirus…

    Siddhartha Bhattacharjee (Inde) – Le coronavirus…

    En général, les patients sont assurés en Roumanie, donc le traitement est lui aussi assuré. En tout cas, cette maladie peut constituer une urgence, donc ils n’ont pas à débourser d’argent pour se faire soigner.



    Notre auditeur voudrait aussi savoir comment fonctionnent les transports publics en cette période de pandémie et s’il y a des précautions qui sont prises pour éviter la contamination. Oui, les transports publics ont toujours fonctionné, et le masque est obligatoire, même dans les arrêts des transports publics.



    Une autre question porte sur la popularité des cours en ligne parmi les étudiants. En effet, la pandémie a beaucoup perturbé les processus éducatifs en Roumanie. Si pour les étudiants, c’était plus simple de suivre des cours en ligne, pour les élèves, dont certains en bas âge, et manquant d’instruments adaptés, de connexion ou de compétences numériques, c’était plus difficile, voire impossible pour certains. Le gouvernement a fait des efforts pour doter les élèves de tablettes, mais toutes ne sont pas arrivées à temps. En plus, l’enseignement en ligne a constitué un défi pour les professeurs, qui ont dû acquérir des compétences sur le tas. Professeurs et élèves ou étudiants, tous préfèrent l’enseignement en présentiel, c’est clair. Les écoles, comme les facultés, ont dû modifier leurs programmations. Les écoles ont eu des vacances en plus, ce qui a posé des problèmes tant pour les élèves, qui ont eu du mal à assimiler les connaissances en ligne et d’autant plus avec des pauses pour des vacances encore’ plus longues que prévu, et aussi pour les parents, qui ont dû trouver des solutions pour les garder. Le tout en fonction du taux d’infection dans la localité en question. Certaines des facultés ont renoncé à organiser des examens d’admission en présentiel, d’autres pas.

  • Nouvelles capacités de soins anti- Covid 19

    Nouvelles capacités de soins anti- Covid 19

    La carte de l’évolution de
    la pandémie de Covid-19 en Roumanie passe de plus en plus au rouge, au fur et à
    mesure que des localités et des départements entiers dépassent l’inquiétante
    barre des trois cas positifs pour mille habitants. Le président Klaus Iohannis a
    reconnu que la situation sanitaire se dégrade et que la prochaine période s’annonce
    difficile. Mais les autorités ont mis au point un plan d’action pour augmenter
    les capacités de soins intensifs dans plusieurs villes, a informé le chef de l’Etat,
    qui répondait ainsi aux inquiétudes justifiées concernant la capacité du
    système de santé de faire face à l’assaut de la Covid-19. 1. « Le plan stratégique pour la prochaine
    période définit des étapes d’application précises et envisage d’ouvrir de nouvelles
    capacités de soins intensifs réparties au niveau national, comme celles d’Oradea,
    de Constanţa et de Craiova. Il s’agit d’unités de soins intensifs neuves ou transformées.
    J’ai demandé des données concernant Bucarest et je peux vous dire que nous y
    aurons une augmentation de la capacité de réanimation-soins intensifs de sept
    hôpitaux. D’ici dix jours maximum, nous aurons 123 lits supplémentaires en
    soins intensifs. »
    , a affirmé le président Iohannis. Selon lui, les
    établissements hospitaliers de Roumanie ont, ensemble, quelque 3.000 lits en
    réanimation-soins intensifs pour toutes les catégories de malades. Il existe
    aussi cinq unités de soins intensifs mobiles, deux hôpitaux modulaires et un
    module de réanimation-soins intensifs, le tout avec 169 lits. Le ministre de la
    santé, Nelu Tătaru, a rappelé que, lors de l’apparition du premier cas positif
    au SARS-Cov-2, il y a 8 mois, la Roumanie avait 740 lits en soins intensifs ;
    à présent, elle en a 1.200, et en aura 1.400 très prochainement.

    Dans l’opposition,
    les sociaux-démocrates affirment que le président Iohannis et le gouvernement
    libéral ont échoué lamentablement dans la gestion de la crise sanitaire. Le
    représentant de la Roumanie auprès de l’Organisation mondiale de la santé,
    Alexandru Rafila, récemment enrôlé dans le PSD, a déclaré que la situation
    était inquiétante, demandant une approche bien plus professionnelle. « Il est important d’accroître la
    capacité du système de santé publique d’identifier les personnes malades, d’avoir
    un accès facile aux tests de dépistage et d’être guidé pour les pas à suivre.
    Il est aussi important que l’on puisse traiter toutes les catégories de
    malades, non seulement les personnes infectées par le nouveau coronavirus et il
    est essentiel d’avoir une communication professionnelle, capable de convaincre
    la population qu’elle est un partenaire du système de santé et du système
    public en général. »
    , a affirmé Alexandru Rafila.


    Secrétaire d’Etat sans
    étiquette politique, le chef du Département pour les situations d’urgence, Raed
    Arafat, considère que le problème du personnel soignant est particulièrement
    important en ce moment. Il a rejeté l’opinion selon laquelle un médecin qui ne
    détient pas certaines compétences ne devrait pas soigner en cas de besoin des
    malades de COVID-19. (Trad. : Ileana Ţăroi)

  • Soins balnéaires à Govora-les-Bains

    Soins balnéaires à Govora-les-Bains


    Située dans le sud de la Roumanie, dans le département de Vâlcea, Govora-les-Bains est une des stations thermales les plus connues de Roumanie pour les propriétés curatives de ses eaux. Nous allons découvrir aujourdhui les qualités que ses eaux recèlent, mais nous allons déambuler à travers la région environnante, pour découvrir ses attractions. Car Govora-les-bains est une station en plein essor.



    Dannée en année, de nouvelles maisons de charme et des auberges coquettes voient le jour. Récemment encore, lune des villas utilisée par lancien dictateur communiste Nicolae Ceausescu a été ouverte aux touristes, nous informe Mihai Mateescu, le maire de Govora-les-Bains. Voilà les arguments mis en avant par notre interlocuteur pour nous faire passer un séjour agréable dans sa jolie ville deaux : « Il semblerait que ce soit la seule ville dEurope, et très certainement de Roumanie, où il existe dans lair un équilibre parfait entre les ions positifs et négatifs, offrant ainsi la possibilité de suivre une aérothérapie naturelle unique. Puis, noublions pas les qualités de nos eaux minérales, particulièrement bénéfiques dans le traitement de lasthme. A cet égard, Govora-les-Bains sest fait un nom en Europe. Quant aux loisirs, je ne puis passer sous silence les 7 km dallées pour la randonnée et les promenades, situées dans le parc balnéaire de la ville, et taillées selon les plans de larchitecte paysagiste français Emile Pinard. Je me dois aussi de mentionner le tourisme religieux. Parce que notre ville deaux est située à quelques encablures de toute une série de monastères, qui ont marqué profondément la vie de notre orthodoxie. Une autre attraction de la région, la mine de sel dOcnele Mari, et dont les galeries fouillent la terre à plus de 200 mètres, nest située quà dix kilomètres de notre ville. Enfin, comptons tout près aussi lune des régions viticoles les plus renommées de Roumanie, celle de Dragasani. Jinvite vivement vos auditeurs à venir passer quelques jours dans notre merveilleuse ville deaux, à profiter de la beauté de la région et des qualités thérapeutiques de lair et de nos eaux curatives. Ils ne seront pas déçus. », assure-t-il.



    Lun des bâtiments qui inscrit son cachet singulier dans larchitecture de la ville est, sans lombre dun doute, lhôtel Palace. Construit entre 1911 et 1914, en suivant les plans de larchitecte roumain dorigine française Ernest Doneaud, situé à mi-chemin entre les styles éclectique et Art nouveau, mais avec des relents inspirés du néo byzantin roumain, il sagit, comme son nom lindique, dun véritable palace de la Belle époque. Modernisé, il offre à présent un choix thérapeutique balnéaire complet, explique Alina Rusăndoiu, la directrice du Palace de Govora-les-Bains :



    « Il sagit dun véritable monument darchitecture, qui compte plus de cent ans de tradition balnéaire. Cest le premier hôtel de Roumanie disposant de sa propre base de traitement. Erigé selon les plans de larchitecte Ernest Doneaud, ses murs sont en liège, pour alléger le poids du bâtiment. La bâtisse compte 365 portes et fenêtres, autant que le nombre de jours dune année. Le rez-de-chaussée est érigé sur une chape de plomb, qui repose sur des rouleaux métalliques, censés amortir les mouvements sismiques. Lorientation des pièces est conçue de sorte quelle offre un ensoleillement quotidien de deux heures à toutes les chambres de lhôtel. Bref, cest un endroit merveilleux, construit dans le souci du détail, fait pour combler les désirs des plus exigeants et qui garantit des soins balnéaires efficaces pour venir à bout des maladies respiratoires et rhumatismales. »



    Remis à neuf en 2013, le Palace est doté en 2015 dun centre SPA dernier cri, ajoute Alina Rusăndoiu: « Nous disposons de plusieurs facilités thérapeutiques. Une partie est dédiée à lhydrothérapie de type Kneipp. Nous comptons aussi deux saunas, dont lun à base dinfrarouges, lautre à vapeurs, ensuite le hammam, le shock shower, lice bucket, des piscines destinées aux enfants et aux adultes, le jacuzzi. Dans la partie de SPA, les massages thérapeutiques sont très demandés. Mentionnons, à titre dexemple, les massages de détente, destinés à combattre le stress, lOriental Touch ou encore lExpressive Beauty. Les boues thermales, utilisées en cataplasme, sont également très recherchées pour soulager ceux qui souffrent de maladies rhumatismales. Le Palace est situé au bord du merveilleux parc de Govora-les-Bains et, si vous êtes en voiture, je ne puis que vous conseiller de faire un tour sur la « Voie royale », comme est surnommée la route la plus haute de Roumanie, située à une altitude de 2.145 mètres et qui offre une vue imprenable sur le paysage sauvage et pittoresque des montagnes environnantes. »



    Elena Rădescu, infirmière en chef du service de physiothérapie et de thérapie balnéaire, confirme lexcellence du traitement appliqué à Govora-les-Bains, qui demeure à la pointe de ce qui se fait dans le domaine au niveau mondial. Dévidence, cest le climat et la qualité de son air et de ses eaux qui apportent lessentiel des bénéfices thérapeutiques de Govora-les-Bains, précise-t-elle : « Grâce aux facteurs naturels, notre ville deaux bénéficie dun prestige bien mérité dans le traitement des affections respiratoires, ainsi que dans le traitement des affections liées à la diminution de la mobilité de la personne. Les bronchites chroniques, lasthme, les bronchites liées au tabac, la broncho-pneumopathie obstructive chronique, les maladies des voies aériennes constituent une partie des maladies qui bénéficient de soins efficaces. Je ferais une mention particulière concernant les bénéfices de nos traitements sur les enfants qui ont des affections respiratoires ou qui sont affectés par limmunité déficitaire de leur appareil respiratoire. Les inhalations à eaux minérales les aident à récupérer leur immunité et à devenir bien plus résilients face aux viroses respiratoires. Laccroissement du degré de tolérance de lorganisme face à leffort, la résilience de lappareil respiratoire en saison froide constituent dautres bénéfices sûrs de nos thérapies. »



    Ceux qui choisissent Govora-les-Bains comme destination de vacances iront à la fois pour se dépayser et pour soulager certains maux dont ils peuvent souffrir. Des inconditionnels nhésitent pas à traverser le globe terrestre pour passer leurs vacances à Govora-les-Bains, raconte Elena Rădescu, infirmière en chef en physiothérapie: « Un patient originaire de Californie, des Etats-Unis vient sans faute deux fois par an chez nous, pour suivre notre traitement. Touché par une affection respiratoire, ayant aussi des problèmes de mobilité, cest grâce aux effets de notre traitement, mais aussi grâce à sa persévérance, quil a énormément récupéré. Cela fait 4 ou 5 ans depuis quil suit notre traitement. Parce quil faut le dire : une cure unique ne fera pas de miracles. Pour avoir des résultats positifs, nous recommandons un suivi étendu sur trois ans consécutifs au bas mot. »



    Sans plaider davantage, sachez que vous serez aussi les bienvenus à Govora-les-Bains.


    (Trad.: Ionut Jugureanu)


  • Théâtre et thérapie antidépressive

    Théâtre et thérapie antidépressive

    Période par excellence joyeuse et sans soucis pour beaucoup d’entre nous, la période des fêtes revêt pour d’autres des connotations sombres, qui font ressortir les idées noires et les pousse à la dépression. Maladie psychique aussi ancienne que l’humanité, il semblerait que la dépression soit de plus en plus répandue à présent, peut-être à cause des provocations tellement variées et consubstantielles à la société moderne. Selon l’OMS, la dépression constitue la principale cause de handicap au niveau mondial, touchant une personne sur six. En 2015, reprenant les dernières statistiques disponibles, la Roumanie enregistre un million de cas de dépression.

    Si, pendant des années, les Roumains se sont montrés plutôt réticents pour en parler ouvertement et en chercher un traitement, il semblerait que la situation change actuellement, selon la psychologue Flori-Ana Buzilă : « Il existe encore une certaine réticence, mais en même temps j’ai pu constater, y compris parmi mes patients, qu’elle commence à être mieux acceptée d’un point de vue social, avec aussi la figure professionnelle qui s’y rattache, celle du psychologue. Le psychiatre doit encore faire face à une réticence plus importante, car beaucoup considèrent que seuls les fous vont le voir. Mais il faut comprendre que cela arrive, qu’il s’agit d’un déséquilibre au niveau du cerveau, et qui affecte son fonctionnement normal. Dès lors, suivre un traitement adéquat est notre chance de guérison. Sinon, on peut traîner inutilement une maladie parfaitement guérissable, et qui ne fera qu’empirer, affectant notre qualité de vie ».

    Les symptômes de la dépression peuvent être facilement confondus avec des sautes d’humeur, de la tristesse, c’est pourquoi aller consulter est indispensable pour avoir un diagnostic exact. Et puis aussi, souvent, ceux atteints de dépression ne sont pas conscients de ce qui leur arrive. Ils ressentent surtout une période prolongée, de plus de deux semaines, de fatigue chronique, de manque d’énergie et de concentration, un bouleversement des heures de sommeil et de l’appétit.

    Flori-Ana Buzilă précise : « Ces symptômes peuvent durer jusqu’à deux mois. Lorsque l’on arrive à ce point, il faut se ressaisir, c’est dans notre intérêt, demander de l’aide, pour comprendre s’il s’agit d’une dépression. Ou alors intervenir lorsque l’on constate un état altéré de fonctionnement chez un proche. Les autres symptômes sont la difficulté de se concentrer, le fait de s’auto discréditer, le sentiment de culpabilité ou encore constater des difficultés à prendre des décisions, à faire des choix qui nous paraissaient autrefois faciles à faire. Tout peut aller jusqu’aux idées noires, penser à la mort, au suicide, que l’on voie alors comme seule issue possible. Là, une intervention d’urgence est nécessaire ; penser pouvoir guérir tout seul est irréfléchi ».

    Pour aider les dépressifs à mieux comprendre ce qui leur arrive mais, surtout, pour aider les bien portants à comprendre ceux qui en sont atteints, le théâtre constitue un outil intéressant. Inspiré de l’expérience Le chat de Schrödinger, réalisée par le physicien Erwin Schrödinger pour mettre en évidence les paradoxes de la mécanique quantique, Alexa Băcanu a composé un texte dramatique portant le même titre, mis en scène par Alexandru Berceanu et joué sur les planches de Unteatru. Un chat est enfermé dans une boîte avec à ses côté un flacon fermé, contenant du poison. Si l’on détecte des radiations à l’intérieur de la boîte, le flacon sera brisé, libérant le poison qui va tuer le chat, alors que la mécanique quantique prétend que le chat est à la fois vivant et mort, au même moment. Toutefois, lorsque l’on regarde dans la boîte, le chat est soit vivant, soit mort.

    Alexa Băcanu parle des paradoxes de son texte : « J’ai utilisé cette anecdote de Schrödinger pour étayer ma thèse. Un dépressif est à la fois mort et vivant. J’ai essayé de mettre le haro sur cette question. D’ailleurs, les artistes impliqués dans le projet ont bien dû approfondir ces sujets ».

    En Roumanie, la santé mentale n’est pas une priorité des politiques publiques, estime Alexa Băcanu. Cela ressort de manière évidente lors des focus groupes que l’on a utilisés dans la phase exploratoire. Alors, une pièce de théâtre peut mettre sous les feux des projecteurs non seulement une question tout aussi répandue que négligée, mais aussi la souffrance qui touche vos proches, qui vous touche parfois vous-même, et cela sans même vous en rendre compte. « Le chat de Schrödinger » invite par-dessus tout à l’empathie.

    Alexa Băcanu explique : « Les bien portants ont tendance à minimiser la souffrance des autres, tant qu’elle n’est pas visible. La dépression, l’anxiété peuvent avoir des symptômes qui passent inaperçus. Parfois, ces maladies s’accompagnent de souffrances physiques manifestes, parfois ce n’est pas le cas. Mais j’espère que cet appel à l’empathie de ce spectacle va fonctionner. Et pour ceux qui sont touchés, il est important qu’ils comprennent qu’ils ne sont pas seuls, que la dépression n’est pas la fin du monde, même si elle y ressemble à s’y méprendre. La vérité, c’est que la situation peut s’améliorer, à condition de demander de l’aide. »

    L’invitation semble porter. Alexa Băcanu parle des réactions des spectateurs : « J’ai été contente de constater que l’on pouvait rire à ce spectacle. On n’a pas voulu jeter les spectateurs dans la déprime, même si l’on aborde la dépression. J’ai voulu que le spectacle ait de l’humour. Et plusieurs spectateurs auxquels j’en ai parlé par la suite m’ont dit s’être retrouvés dans ce qu’ils ont vu et entendu. Les gens pensent qu’ils traversent une expérience unique lorsqu’ils sont affectés par la dépression, c’est pour quoi il leur est d’autant plus difficile d’en parler pour demander de l’aide. Mais ils ont compris que beaucoup d’entre nous passent par cette case de la dépression, mais aussi qu’il existe des traitements, des solutions ».

    Le théâtre ne vaut pas thérapie. Mais il aide à mieux saisir la maladie, à mieux se comprendre soi-même, nous assure la psychologue Flori-Ana Buzilă : « Pour parler de la valeur de l’acte dramatique en lien avec la dépression, il s’agit surtout de mieux comprendre cette maladie. Lorsque j’assiste à une pièce de théâtre, que les personnages me parlent des choses qui me sont familières, qu’ils agissent de même, j’arrive à m’y identifier. Et puis, une fois que je comprends qu’ils souffrent de dépression, je comprends que je traverse la même chose, éventuellement depuis un bon bout de temps déjà. C’est la raison pour laquelle le théâtre constitue un outil important pour comprendre la maladie, pour m’aider à devenir responsable et à me prendre en charge ». (Trad. Ionut Jugureanu)

  • A la Une de le presse roumaine 07.11.2018

    A la Une de le presse roumaine 07.11.2018

    Selon Gândul.info, le vice-président
    social-démocrate de la Chambre des députés, Florin Iordache, a déclaré que sa famille politique demandait au chef de l’Etat d’assumer un rôle de médiateur, après que celui-ci avait affirmé que la Roumanie aurait été mieux préparée à assurer la présidence tournante de l’Union européenne, s’il n’y avait pas eu de délinquants dans les rangs de sa classe politique. Le problème n’est pas le
    Parti social-démocrate, mais son leader, affirme, dans Evenimentul zilei, le député de Dâmboviţa, Adrian
    Ţuţuianu, fraîchement exclus des rangs sociaux-démocrates. România libera annonce que
    le ministère de la santé de Bucarest a trouvé une solution de crise pour le
    traitement des grands brûlés de Roumanie. Selon Adevărul, la municipalité
    de Bucarest risque des amendes de plus de 200.000 euros par jour, à cause de la forte pollution de l’air de la ville. Airbus Industrie et l’entreprise roumaine IAR Ghimbav viennent de signer un contrat définitif de
    collaboration sur une période de 15 ans, informe Hotnews.ro.


  • Dernière ligne droite du gouvernement de Dacian Ciolos

    Dernière ligne droite du gouvernement de Dacian Ciolos

    Le Cabinet de Bucarest a avalisé le plan d’action en vue de la présidence du Conseil de l’Union européenne que la Roumanie assumera au premier semestre 2019. Le document contient une première évaluation des ressources nécessaires et décrit le paquet de mesures techniques à prendre et appliquer dans les deux prochaines années. Un communiqué gouvernemental souligne que cette présidence est un objectif d’importance nationale, Bucarest ayant l’occasion de présenter, pour la première fois, « sa vision politique et sa capacité administrative, nécessaires pour gérer avec professionnalisme, cette haute responsabilité assumée, à tour de rôle, par les Etats membres de l’Union européenne ».



    L’Exécutif a par ailleurs décidé de maintenir en janvier aussi le niveau actuel de 1250 lei (275 euros) du salaire minimum. Le porte-parole gouvernemental Liviu Iolu précise : « Le montant du salaire minimum, garanti pour 2017, sera établi par le futur gouvernement. L’Exécutif sortant a décidé de maintenir le montant actuel, considérant que la future équipe gouvernementale aura la légitimité nécessaire pour décider d’un nouveau montant, à appliquer l’année prochaine. »



    Le gouvernement sortant a aussi pris des mesures pour que les blessés de l’incendie meurtrier produit en octobre 2015 dans la boîte de nuit bucarestoise Colectiv continuent à recevoir de l’aide sous forme d’argent pour les traitements médicaux, mais aussi pour le transport et l’hébergement des accompagnateurs.



    Dans le même temps, l’Exécutif a établi un mécanisme de restitution des dons faits pour l’achat de l’œuvre d’art « La sagesse de la terre » de Constantin Brancusi. Le gouvernement avait essayé d’acheter la sculpture aux héritiers du grand maître, en faisant appel à une souscription publique, mais la somme collectée a été inférieure au montant envisagé ; l’argent sera donc restitué aux plus de cent mille donneurs. Les donneurs non-identifiables peuvent déposer, au ministère de la Culture, jusqu’au 31 octobre 2017, une demande de restitution, accompagnée par des copies des justificatifs de paiement. Enfin, ceux qui ne souhaitent pas récupérer l’argent donné, doivent en informer par écrit le même ministère, jusqu’à la fin mars de l’année prochaine. Le processus de restitution s’arrêter le 31 décembre 2017. (trad. : Ileana Taroi)

  • Relaxation et traitement à Govora les Bains

    Relaxation et traitement à Govora les Bains

    Aujourd’hui nous allons passer en revue les principales cures que vous pouvez faire à Govora les Bains, une de meilleures villes d’eaux de Roumanie. Restez à l’écoute pour découvrir les réponses correctes aux questions de notre jeu concours “Govora les Bains, une oasis de santé”, avec à la clé un séjour de 8 jours, pension complète et traitement inclus.



    Notre première invitée d’aujourd’hui est Cristina Petrescu, médecin de soins primaires spécialiste en thérapie balnéaire à Govora les Bains. Elle affirme que les offres de traitement du centre où elle travaille sont destinées premièrement aux parents d’enfants aux affections respiratoires: “Bronchites, bronchiolite, rhinites, otites, asthme bronchique — ce sont des affections qui touchent un nombre assez important d’enfants à l’heure actuelle. Ces dernières années, nous avons constaté que l’âge des enfants qui nous rendent visite a baissé. Le plus jeune de nos patients n’avait que 5 mois. Mais notre offre ne se limite pas aux troubles respiratoires, elle couvre aussi les affections ostéoarticulaires, cardiaques, de la circulation et digestive. Pour ce qui est des maladies rhumatismales, nous traitons les différents types d’arthroses des articulations, tandis que pour les problèmes gastro-intestinaux, on offre des soins de crénothérapie par trois sources minérales. Ce type de soins s’adresse principalement aux personnes souffrant de pathologies du côlon ou d’insuffisance rénale.”



    Cela fait plus de 30 ans que le médecin Cristina Petrescu travaille à Govora les Bains et au fil des années, elle a soigné des patients venus des 4 coins du monde: Nouvelle Zélande, Australie, Asie, Europe et Amérique du Nord. Quant aux petits patients, ils viennent pour la plupart des pays nordiques. Docteur Cristina Petrescu: “Sur l’ensemble de mes patients, un millier étaient des enfants venus faire des cures d’aérosols. Imaginez la distance à parcourir entre la Nouvelle Zélande et Govora les Bains, pour ne plus parler des différences culturelles ou météorologiques. J’ai eu des petits patients vénus le visage couvert par un masque d’oxygène et qui au bout de deux ans de soins, ont arrêté complètement la thérapie médicamenteuse. Leur évolution a surpris aussi bien leurs parents que leurs médecins. Le cas le plus récent dont je me suis occupée est celui d’un gamin des Etats-Unis, dépendant de son masque d’oxygène et donc difficilement transportable par avion. Au bout de deux ans de thérapie, il a pu renoncer à la bouteille d’oxygène de son sac à dos et trois ans plus tard, il a abandonné sa masque faciale.”



    Loin d’être invasive ou douloureuse, la thérapie réservée aux petits patients est conçue de sorte à éviter complètement les piqûres et à encourager le jeu et le mouvement. Car, à part la procédure de l’inhalation, il faut que ces enfants fassent du sport, selon Cristina Petrescu, médecin de soins primaires, spécialiste en thérapie balnéaire.



    Aurelian Cebanu est médecin spécialiste cardiologue à la clinique CardioMetabolica ouverte à l’intérieur de l’Hôtel Palace, construit entre 1911 et 1911 à Govora les Bains. Sur l’ensemble de ses patients, pas mal ont subi des interventions chirurgicales sur le cœur pour se faire implanter une prothèse cardiaque. Après l’opération, ces patients de voient conseiller à suivre un programme de physiothérapie et de kinésithérapie: “On leur apprend les mouvements qu’ils doivent faire, on leur enseigne la gymnastique respiratoire et on leur fourni un programme de nutrition mis au point par un spécialiste. Celui-ci leur explique ce qu’ils peuvent manger, les quantités permises et les heures des repas à respecter. Les patients doivent apprendre à calculer leur besoin journalier en calories, à éviter les graisses et l’excès de caféine et de sucre. Par la suite, on informe nos patients sur les facteurs de risque associés aux maladies cardiovasculaires. Le microclimat de Govora les Bains crée un rapport d’égalité entre les ions et les cations ce qui s’avère bénéfique pour la santé. Nous mettons à la disposition de nos clients des procédures d’inhalation d’anions de iode et de brome. On a eu des patients d’Israël, d’Ukraine et même de Russie. L’important c’est de ne pas oublier qu’il est toujours plus facile de prévenir que de soigner. Alors, évitez les abus et faites du sport au mois 30 minutes par jour pour rester en forme le plus longtemps possible.”



    Mihai Handolescu, manager de l’Hôtel Palace de Govora les Bains, nous propose dans les minutes suivantes un petit tour guidé de cet édifice imposant, construit au cœur du parc aménagé par l’architecte paysagiste français, Emile Pinard: “Imaginé comme un hôtel de luxe, le monument se veut un mélange de trois styles d’architecture: éclectique, art nouveau et néo-byzantin. Construit entre 1911 et 1914, il est le premier hôtel doté d’un centre de cure de Roumanie s’adressant notamment aux patients souffrant d’affections respiratoires, rhumatismales, digestives et rénales. Son histoire fut très tourmentée, puisqu’il a assisté à deux conflagrations mondiales. Durant la deuxième guerre, ce fut à Govora les Bains que le gouvernement polonais en exil a choisi d’envoyer une partie de ses officiels et de son trésor. Après avoir été voué à l’oubli par les communistes, l’hôtel a fait peau neuve grâce à des fonds non remboursables et il a été rouvert, en 2013, sous le nom de Palace-Govora. Depuis son inauguration, l’édifice a accueilli quelque 7000 touristes de monde entier. Comme objectifs, nous nous proposons de faire de notre mieux pour augmenter le nombre de touristes venus du Moyen Orient. Nous collaborons avec différentes agences de tourisme afin d’entrer sur le marché des Emirats Arabes Unis.”



    A 22 kilomètres seulement de Govora les Bains, au bout d’un petit voyage en voiture d’une trentaine de minutes, vous arrivez à Râmnicu Vâlcea, chef lieu du département de Vâlcea. Si vous voulez mélanger balades dans la nature et visites culturelles, alors on vous conseille de faire un tour des monastères de la région: Govora construit au 15e siècle, Surpatele ou encore Mânastirea dintr-un lemn. (trad.: Ioana Stancescu, Valentina Dumitrescu)