Tag: transplantation

  • Rumänien wird ein neues Transplantationsgesetz haben

    Rumänien wird ein neues Transplantationsgesetz haben

    Tausende schwerkranke Rumänen warten auf eine zweite Lebenschance durch eine Transplantation. Die Listen mit Patienten sind lang, aber die Zahl der Organspender wird mit jedem Jahr kleiner. Laut Angaben der Nationalen Agentur für Transplantation gab es im Jahr 2018 nur 55 hirntote Organspender von einer Gesamtzahl von 160 potentiellen Spendern. Leider waren viele Familien der potentiellen Organspender mit der Organentnahme nicht einverstanden, und bei anderen Organspendern gab es Krankheiten, die die Organentnahme unmöglich machten.



    2018 wurden in Rumänien 102 Nieren-, 46 Leber-, 3 Lungen- und 5 Herztransplantationen durchgeführt. Die rumänischen Behörden versuchen, das Problem zu lösen: Sie haben ein neues Transplantationsgesetz erarbeitet, das ab nächsten Monat zur öffentlichen Debatte stehen sollte. Die Gesundheitsministerin, Sorina Pintea, erörterte die wichtigsten Koordinaten des Projekts:



    Das neue Transplantationsgesetz wird die Transparenz sichern, die in unserem Gesundheitssystem extrem wichtig ist. Ferner gibt es neue Bestimmungen in Bezug auf die Einverständniserklärung der Bürger, die sich als Organspender anmelden wollen. Das neue Gesetz sichert also mehr Transparenz und sorgt auch dafür, dass die Organspende und die Organentnahme, ohne die keine Transplantation möglich wäre, schneller durchgeführt werden.“



    Durch das Nationale Transplantationsprogramm wurden in Rumänien 41 Krankenhäuser für Organentnahme akkreditiert, aber nur 11 Krankenhäuser haben solche Operationen durchgeführt. Gesundheitsministerin Sorina Pintea ist der Meinung, dass das Transplantationsprogramm nicht effizient umgesetzt wird:



    Normalerweise müssen alle am Transplantationsverfahren Beteiligten wie ein Team arbeiten, und damit meine ich die Landkreiskoordinatoren, die Regionalkoordinatoren, und selbstverständlich die Nationale Agentur für Transplantation. Ohne Organe können keine Transplantationen gemacht werden, und wenn man mit internationalen Organisationen Kontakt aufnimmt, wird das als Erstes ins Gespräch kommen. In Rumänien haben wir das Nationale Transplantationsprogramm, das, meiner Ansicht nach, sehr gro‎ßzügig gestaltet ist, aber manchmal ineffizient umgesetzt wird. Ich kann mir zum Beispiel nicht erklären, wie es dazu kommt, dass binnen eines Monats in einem Landkreis 48 Patienten für hirntot erklärt wurden, aber keine Organentnahme stattgefunden hat. Das kann nur eins bedeuten: Mangel an Interesse.“



    Das neue Gesetz sieht auch vor, dass die rumänischen Bürger sich als Organspender anmelden können und in ein Organspender-Register eingetragen werden. Rumänien ist leider eines der Schlusslichter in Europa in puncto Organspende und auch eines der wenigen europäischen Länder, die noch kein Gesetz in diesem Bereich haben.


  • 21.11.2018

    21.11.2018

    Remaniement – La direction du Parti Social Démocrate (PSD), principale formation de la coalition de gouvernement en Roumanie devrait proposer aujourd’hui de nouveaux ministres aux Transports et au Développement régional. Mardi, le président Klaus Iohannis a rejeté la nomination de Mme Lia Olguta Vasilescu (jusqu’ici titulaire du portefeuille de l’Emploi) au poste de ministre des Transports et celle de M Ilan Laufer à la tête du Développement régional, les considérant inappropriées. Par ailleurs, mardi toujours, les nouveaux titulaires de plusieurs portefeuilles ministériels, à savoir l’Education, la Défense, l’Economie, la Culture et l’identité nationale, les Communications et société informationnelle, la Jeunesse et le Sports, ont prêté serment. L’occasion pour le chef de l’Etat d’affirmer qu’à son avis, ce remaniement n’était pas « la bonne solution », car il aurait fallu remplacer l’ensemble du gouvernement vu ses faibles résultats. Il a précisé avoir signé le décret de nomination des 6 ministres uniquement parce que le mandat de la Roumanie à la tête du Conseil de l’UE approchait à grands pas. Pour sa part, M llan Laufer, qui est d’origine juive, a accusé le chef de l’Etat d’antisémitisme suite au refus de celui-ci d’accepter sa nomination. En réplique, Klaus Iohannis a dénoncé l’utilisation de sujets sensibles à des fins politiques, soulignant que les références à l’antisémitisme et au nazisme dans cette dispute politique étaient irresponsables, témoignant de graves lacunes en éducation, culture, diplomatie et histoire.

    UE – « Je crois qu’il est temps d’accélérer le processus d’adhésion de la Roumanie à l’espace Schegen », a déclaré ce mercredi à Bucarest, le président du Parlement Européen, Antonio Tajani, à l’issue de la Conférence des présidents du législatif communautaire avec le gouvernement roumain, organisée dans la perspective de la présidence tournante de l’UE que la Roumanie assumera au 1er janvier 2019. A son tour, la première ministre roumaine, Viorica Dancila, a assuré que Bucarest était prêt, y compris d’un point de vue logistique, pour son mandat, le Parlement de la Roumanie devant voter la forme finale du programme de la présidence roumaine dans les plus brefs délais. Un programme comportant de nombreux événements prévus en Roumanie et à Bruxelles, a encore ajouté la cheffe de l’Exécutif roumain. Notons que la Conférence des présidents du PE est un organisme du Législatif communautaire en charge des questions administratives et de l’agenda du PE. Elle réunit le président du PE, les présidents des groupes politiques et un représentant des parlementaires non affiliés. Cette délégation avec à sa tête Antonio Tajani, elle doit s’entretenir à Bucarest avec plusieurs hauts responsables roumains. Lors de la rencontre avec le président Klaus Iohannis, M Tajani a rappelé que un des moments clé du mandat de la Roumanie, à savoir les élections euro-parlementaires. Il est nécessaire de transmettre un message constructif aux citoyens européens en ce qui concerne le travail du PE, a-t-il précisé. A son tour, Klaus Iohannis a réitéré le fait que Bucarest souhaitait aider à promouvoir l’agenda européen commun, dans un esprit constructif et consensuel.

    Retraites – Le projet de loi sur les retraites doit être débattu et voté aujourd’hui par le Sénat de la Roumanie. La semaine dernière l’acte normatif a reçu l’avis favorable de la Commission chargée du travail. Selon le pouvoir de Bucarest, la nouvelle loi vise à éliminer les iniquités existant dans le système public des retraites, à cause desquelles des personnes ayant travaillé le même nombre d’années dans la même profession touchent des pensions de retraites différentes. Une augmentation par étapes du point de retraite est donc prévue d’ici 2021, alors que la période minimum de cotisation reste la même : 15 ans. Parmi les nouveautés, mentionnons le fait que les femmes ayant rempli cette période minimale de cotisation et qui ont donné naissance à 3 enfants bénéficieront d’une réduction de 6 ans de l’âge du départ à la retraite. L’ancienne ministre du Travail, Lia Olguta Vasilescu assurait pour sa part qu’aucune pension n’allait diminuer suite à l’entrée en vigueur de la nouvelle loi. Par contre, l’opposition a critiqué le projet de loi, estimant que l’iniquité ne serait pas éliminée tant que les retraites spéciales restaient en vigueur.

    Transplantation – En Roumanie, la nouvelle loi des transplantations a été finalisée et sera soumise sous peu au débat public. Selon la ministre de la Santé, Sorina Pintea, les nouvelles mesures sont censées révolutionner le domaine. Parmi elles : la possibilité d’exprimer son accord ou désaccord pour le don d’organes, cellules et tissus en vue des transplantations. En l’absence de l’accord, le don ne peut être réalisé qu’avec la permission de la famille. Par ailleurs, la loi interdit la vente d’orages.

    RadiRo – Le festival international des orchestres de radio, RadioRo, se poursuit à Bucarest. Ce soir, ce sera le tour de l’orchestre national de la Radiodiffusion roumaine de monter sur scène sous la baguette de Frédéric Chaslin, avec pour soliste le pianiste David Fray. Toujours ce mercredi, le Big Band de la Radio roumaine et la chanteuse Aura Urziceanu donnent un concert de jazz dans le cadre du même festival. Cette manifestation unique en Europe est organisée par Radio Roumanie.

    Football – La sélection nationale de football de la Roumanie a gagné mardi soir le match contre le Monténégro, score 1 but à 0. C’était son dernier match du Groupe 4 de la Série C de la Ligue des Nations, une compétition créée récemment. Avec 3 victoires et 3 matchs nuls, la Roumanie a cumulé 12 points se classe 2e dans son groupe, après la Serbie qui a 14 points. Ces résultats sont importants en vue des préliminaires du Championnat d’Europe de 2020.

    Météo – Temps morose ce mercredi en Roumanie. Il pleut sur la plupart du territoire, et il neige dans le nord-est et en montagne. Le vent est assez fort dans le sud, le sud-est et sur le relief. Les températures maximales de la journée iront de -2 à 9 degrés. 1 degré et un ciel couvert à midi à Bucarest.

  • A la Une de la presse roumaine 17.07.2018

    A la Une de la presse roumaine 17.07.2018

    România liberă constate
    « la situation désastreuse » de la transplantation et du don
    d’organes en Roumanie. Inquiet de la baisse
    accéléré de la population de la Roumanie, Gândul.info lance une campagne médiatique sur
    « la Roumanie qui a déménagé à l’étranger ». Jurnalul.ro s’intéresse au tourisme de fin de semaine qui aide la côte
    roumaine de la mer Noire à tenir debout. Adevarul.ro a choisi de
    présenter une « maison révolutionnaire en chanvre et chaux ».


  • 16.07.2018 (mise à jour)

    16.07.2018 (mise à jour)

    Investissements — Les investissements étrangers directs en Roumanie ont augmenté de 17,6%, sur les cinq premiers mois de l’année en cours, par rapport à la même période de 2017, totalisant 1,7 milliards d’euros, a fait savoir la Banque centrale du pays. Pourtant, le nombre des compagnies à capital étranger nouvellement créées, soit 2.362, est de 1,8% inférieur à celui enregistré l’an dernier, dans le même intervalle de référence, révèlent les données fournies par l’Office national du Registre du Commerce. Le 31 mai 2018, on dénombrait plus 218.000 sociétés à capital étranger, la plupart d’entre elles, à savoir 46.278, étant à capital italien. Ce sont les 5.184 entreprises néerlandaises qui occupent la première place au classement, leur capital social s’élevant à 12,5 milliards de dollars.



    Accident aérien — Un avion militaire s’est écrasé lundi dans le département de Bacau (est de la Roumanie), lors d’un vol d’entraînement, a fait savoir le ministère de la Défense de Bucarest. Selon la même source, les deux pilotes ont réussi à se catapulter. Le ministre roumain de tutelle, Mihai Fifor, s’est rendu sur les lieux de l’accident. C’est le deuxième accident aérien qui s’est produit en Roumanie ces 10 derniers jours. Le 7 juillet dernier, un avion de chasse MiG 21 Lancer s’est écrasé pendant un meeting aérien à Feteşti, dans le sud du pays.



    Santé — La ministre roumaine de la Santé, Sorina Pintea, a annoncé lundi que, d’ici deux mois au plus tard, elle proposerait une nouvelle loi sur la transplantation. Elle a également précisé qu’un ordre serait signé prochainement pour la création d’un groupe de travail relatif à l’élaboration du projet législatif en question. En feront partie spécialistes, hommes politiques, patients et donneurs. La nouvelle loi est censée accroître le nombre des donneurs aussi, vu qu’en 2018 on n’en a enregistré que 30.



    CAE — Le ministre roumain des Affaires étrangères, Teodor Melescanu, a participé lundi à Bruxelles, à la réunion du Conseil Affaires Extérieures. L’occasion pour les ministres européens de se pencher sur des sujets d’actualité, tels le Partenariat oriental et la situation en Lybie. L’officiel roumain a réaffirmé l’appui de Bucarest au renforcement du Partenariat oriental et à la relation de l’UE avec les six Etats partenaires: Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Géorgie, Ukraine et République de Moldova. Il a également souligné l’importance majeure que la Roumanie prête à la coopération avec les trois pays qui ont signé des accords d’association avec l’UE, à savoir la République de Moldova, la Géorgie et l’Ukraine. En marge de la réunion de Bruxelles, le ministre roumain a eu un entretien avec la cheffe de la diplomatie européenne, Federica Mogherini. Les discussions ont été ciblées sur la future présidence roumaine du Conseil de l’UE, au premier semestre de 2019.



    Météo — Dans le prochain intervalle de 24 heures, le temps sera généralement instable. Des pluies à verse accompagnées de phénomènes électriques sont attendues dans le nord et le sud-ouest du pays. Les températures maximales atteindront 23°.

  • Les « maladies » du système médical roumain

    Les « maladies » du système médical roumain

    Le système roumain de santé, en mort clinique depuis longtemps, a été « réformé » par chaque gouvernement ces 25 dernières années, mais les résultats ne sont toujours pas visibles. Le sous-financement chronique, la corruption, des soins sans résultats, des programmes de prévention quasi-inexistants, des infections nosocomiales, un taux de mortalité élevé, des médecins en quête dune vie meilleure à létranger ne sont que quelques-uns des problèmes réels dun système de santé malade, mais qui se veut européen.



    Récemment, les patients roumains qui ont besoin de transplantation pulmonaire ont reçu un nouveau coup car ils ne pourront plus sadresser à lhôpital AHK de Vienne. En effet, ce dernier a résilié unilatéralement le contrat avec les pouvoirs publics de Bucarest, motivant que la capacité du centre de transplantations a baissé. De lavis du ministre de la Santé, Florian Bodog, le geste des Autrichiens est incorrect et illégal. Dautre part, lAgence nationale de transplantation (ANT) de Roumanie na pas, non plus, bien agi de la meilleure manière, a expliqué le ministre, qui a assuré être en quête de solutions. Florian Bodog : « Selon le protocole, la clinique autrichienne navait pas le droit de dénoncer unilatéralement ce contrat. En même temps, nous sommes aussi en contact avec les autres centres qui font des transplantations de poumons – ceux de Prague et dAllemagne. Normalement, lANT devait travailler avec deux centres au minimum. Jai compris quils ont déjà entamé des démarches, parce que ce nest pas le premier signal. Cela est déjà arrivé une fois lannée dernière, lorsque la clinique viennoise a bloqué la transplantation, mais ce fait de bloquer unilatéralement les interventions est hors la loi, selon moi. »



    Ces dix dernières années, une quarantaine de Roumains ont subi une procédure de transplantation à lhôpital AKH de Vienne, et cinq autres étaient sur la liste dattente pour des interventions similaires. Pour chacune des opérations, lEtat roumain a déboursé 120.000 euros. En Roumanie, on fait couramment des transplantations de reins, de foie et de cœur, mais actuellement, il nest pas possible de procéder à des transplantations de poumons dans des conditions de sécurité pour les patients.



    Ainsi, il nest pas surprenant que le système médical roumain occupe la dernière place en Europe, selon une récente étude faite dans 35 pays. Le document indique quen Roumanie, les patients doivent attendre beaucoup pour recevoir des médicaments innovants, que la mortalité générale est de 25% plus élevée par rapport à la moyenne de lUE et que le taux de mortalité infantile est deux fois et demie plus importante que la moyenne européenne. En plus, les patients ignorent le médecin traitant et vont directement à lhôpital. Tout cela ne fait que confirmer le coma profond dans lequel le système roumain de santé est plongé, le pronostic étant réservé. (trad. : Ligia Mihaiescu)

  • A la Une de la presse roumaine – 23.11.2016

    A la Une de la presse roumaine – 23.11.2016

    Transplantations d’organes en suspens
    dans plusieurs hôpitaux roumains, notamment de province, font savoir à
    l’unisson les quotidiens roumains du jour. Des irrégularités graves seraient à
    l’origine de contrôles approfondis entrepris par les autorités. Dans le même
    temps, les journalistes tirent un autre signal d’alarme – les Roumains boivent
    des alcools dangereux, sachant pertinemment qu’ils sont toxiques. Mais qu’est-ce qu’ils mangent aussi ? La
    presse écrite examine la viabilité d’une loi en vertu de laquelle les
    supermarchés devront proposer sur leurs étals 51% de vivres produits en Roumanie,
    une loi qui enfreint le marché libre…



  • Medizin: Organverpflanzungen in Rumänien nehmen zu

    Medizin: Organverpflanzungen in Rumänien nehmen zu

    In Rumänien wurde vor 10 Jahren die sogenannte Nationale Transplantations-Agentur gegründet. Seitdem ist die Anzahl der Organ- und Gewebetransplantationen um 25-30% jährlich gestiegen. Allein im vergangenen Jahr wurden über 400 Transplantationen durchgeführt (275 Nieren-, 122 Leber- und eine Herztransplantation).



    Von allen Arten von Transplantationen verläuft die Lebertransplantation am schwierigsten. Die meisten Spender sind bereits hirntot. In den restlichen Fällen handelt es sich in der Regel um einen einwilligungsfähigen Familienangehörigen. Über 400 Personen sind auf der Warteliste für eine Lebertransplantation. Die meisten Spenden fanden im vergangenen Jahr statt, dabei wurde der Rekord im Bereich der Lebertransplantationen eingestellt, erklärt Irinel Popescu, der Leiter der Abteilung für Leberchirurgie und -transplantationen der Bukarester Fundeni-Klinik. Er leitete die erste in Rumänien durchgeführte Lebertransplantation.



    2013 war ein au‎ßerordentliches Jahr. Das bedeutet, im vergangenen Jahr haben wir einen regelrechten Sprung in der Statistik gehabt, es war keine progressive Entwicklung. Bei den Lebertransplantationen sprang die Zahl von 75 im Jahr 2012 auf 122 im darauffolgenden Jahr. Es war also ein absolut bemerkenswerter Sprung. Verglichen mit 2013 ist 2014 vor allem die Anzahl der OPs konstant geblieben. In der Klinik Fundeni hatten wir bislang 41 Lebertransplantationen, also wird bis Ende des Jahres eine ähnliche Zahl wie im Vorjahr erreicht, oder etwas darüber. Ein weiterer Erfolg ist der Start des zweiten Transplantationsprogramms beim St. Marien-Krankenhaus. Dort wurden bereits drei Transplantationen durchgeführt. Au‎ßerdem hat es uns eine Freude bereitet, die Kollegen in Chişinău zu unterstützen, die die ersten Transplantationen in der Moldaurepublik durchgeführt haben, mit Leberspenden von lebenden und hirntoten Patienten. Ich würde mir wünschen, auch andere Arten von Transplantationen einführen zu können. Bislang wurden in Rumänien noch keine Lungen- oder Dünndarmtransplantationen durchgeführt. Ich hoffe, dass dies in Zukunft auch möglich sein wird.“




    Etwa 2 Millionen Rumänen leiden an Hepatitis. Wird die Krankheit nicht behandelt, kann sie zu Leberzirrhose und Leberkrebs führen. Die ersten erfolgreichen Lebertransplantationen fanden bereits im April 2000 an der Fundeni-Klinik in Bukarest statt. Zwei Patienten berichten aus ihrer Erfahrung:



    Ich litt an einer Leberzirrhose und musste mich deshalb einer Transplantation unterziehen. Zu dem Zeitpunkt war in Rumänien kein derartiger Eingriff erfolgreich verlaufen. Dennoch hat mich Professor Irinel Popescu im März 2000 operiert und heute, nach 14 Jahren also, geht es mir sehr gut.“



    Ich bin 64 Jahre alt, bin aus Buzău und fühle mich sehr gut, ich habe keine gesundheitlichen Probleme mehr. Ich hatte dasselbe Problem, hatte eine Leberzirrhose in der Terminalphase. Ich habe mich mit der Transplant-Abteilung in Bukarest in Verbindung gesetzt, wusste aber damals nicht, dass die Transplantation auch in Rumänien möglich war. Ich wollte ins Ausland gehen, weil ich dachte, wir verfügen hier über die notwendigen Mittel nicht. Aber Herr Professor versicherte mir, hier würden alle Standards für eine Transplantation erfüllt, wie überall auf der Welt auch. Damals waren nicht sehr viele Personen auf der Warteliste, es gab jedoch wenig Spender. Als eine kompatible Leber verfügbar wurde, haben sich mich angerufen und ich wurde operiert.“




    Die Herztransplantationen sind in Rumänien nach zweijähriger Unterbrechung in Neumarkt/Târgu Mureş und im Bukarester Notkrankenhaus Floreasca wieder aufgenommen worden. Ab 1999, dem Jahr der ersten Herztransplantation, und bis vor zwei Jahren hatten die Ärzte in Neumarkt beachtliche Leistungen erzielt: im Schnitt 10 Transplantationen im Jahr.



    Insgesamt stehen über 3600 Menschen auf den Wartelisten, die meisten auf der Suche nach einer kompatiblen Niere, andere warten auf eine Leber, eine Bauchspeicheldrüse oder ein Herz. Die aus der Staatskasse für das Transplantationsprogramm freigegeben Summen decken ein Fünftel des Bedarfs, man erwartet eine Haushaltskorrektur in Sommer. Ärzte sagen, dass die Transplantationsaktivitäten an sich schlecht entlohnt würden, lassen die Patienten aber gleichzeitig hoffen, wie Professor Dr. Mihai Lucan von der Nierentransplantationsklinik in Cluj/Klausenburg berichtet.



    Rumänien hat sich in diesem Bereich hervorragend entwickelt. Das Schicksal hat uns in eine Region Europas projiziert, die uns andere Denkweisen im Gesundheitsbereich näherbringen sollte. Nichtsdestotrotz gibt es einige Sturköpfe, die nach wie vor die Transplantationsaktivitäten auf demselben Niveau der entwickelten Länder halten wollen, was sicherlich viel mehr Geld kostet, als Rumänien derzeit zur Verfügung hat. Im letzten Jahr hat man in der Tat einen Riesenfortschritt erreicht, als die Spendenrate nach Hirntod viel höher war als in vielen entwickelten Ländern. Wir können also mehr erreichen, es geht auch besser.“




    2006 wurden im Institut für Transplantationen und Urologie die ersten Bauchspeicheldrüsen verpflanzt. Bislang fanden 11 Transplantationen statt, sagt Mihai Lucan.



    Die Entwicklung war am Anfang nicht sehr gut. Das ist ein Bereich der Transplantationsmedizin, der von sehr vielen Entwicklungsfaktoren abhängt. Die Bauchspeicheldrüse ist extrem empfindlich gegenüber jeglichen Eingriffen und in der postoperativen Phase gab es sogar 11 Neueingriffe wegen der akuten Schübe von Pankreatitis, den Patienten ging es aber am Ende gut. Beginnend mit diesem Jahr sind wir ein wenig anders vorgegangen, gemeinsam mit einem Team aus Italien und Österreich. Die Ergebnisse lassen sich sehen, es finden doppelte Transplantationen statt. Man verpflanzt eine Niere und die Bauchspeicheldrüse gleichzeitig. Auf der Warteliste stehen derzeit die Namen von 30 Patienten.




    Zurzeit gibt es in Rumänien 40 Zentren für die Organ-Entnahme. Auf europäischer Ebene entfallen auf 1 Million Einwohner jährlich 20-25 Spender. Es gibt Länder wie Spanien, in denen man eine Zahl von 40 Organspendern erreicht hat. Rumänien ist am Ende der Tabelle zu finden — vier Spender entfallen auf 1 Million Einwohner. Um den europäischen Durchschnitt zu erreichen, müssten sich landesweit 300 Spender anmelden. Und das ist bei einem einzigen Leberzentrum in Fundeni, drei Nierenzentren in Bukarest, Cluj und Iaşi und zwei Herzzentren in Bukarest und Neumarkt nur schwer zu erreichen.



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  • 03.01.2014

    03.01.2014

    Attaque – Le ministère roumain des Affaires étrangères condamne fermement l’attaque terroriste perpétrée jeudi dans la banlieue sud de Beyrouth et qui a fait quatre morts, « des civils innocents », selon un communiqué de la diplomatie roumaine. Celle-ci réaffirme son appui à la reprise du dialogue national au Liban ainsi qu’au maintien de l’intégrité, de la stabilité et de la sécurité de ce pays.



    Migration – L’eurodéputé allemand Elmar Brok, issu de l’Union chrétienne-démocrate allemande de la chancelière Angela Merkel, a proposé le rapatriement des immigrants est-européens arrivant en Allemagne pour échapper à la pauvreté. Depuis le premier janvier, les dernières restrictions imposées aux ressortissants roumains et bulgares sur le marché de l’emploi communautaire ont été levées dans tous les Etats membres, dont les plus industrialisés. « La levée de ces restrictions est une composante vitale pour l’intégration européenne », a par ailleurs souligné le chef de la diplomatie allemande, Frank Walter Steinmeyer. Lors d’un entretien au journal Suddeutsche Zeitung, il a précisé que la migration de la main d’œuvre avait largement profité à l’Allemagne, qui en avait « sûrement bénéficié davantage » que d’autres pays de l’UE, a encore dit le ministre allemand des Affaires étrangères.



    Dette – Cette année, la Roumanie doit rembourser environ un milliard 172 millions d’euros du prêt contracté en 2009 auprès du FMI, de l’UE et de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement, apprend-on de source gouvernementale. Le montant total de ce paquet financier se chiffre à près de 20 milliards d’euros, dont la Roumanie n’a utilisé que sept tranches. Sur la demande des autorités de Bucarest, la huitième tranche, la dernière, a changé de statut, étant considérée comme un filet de sauvetage et n’a plus été versée, tandis que le contexte macroéconomique s’est amélioré.



    Elections — En 2014, les Roumains seront appelés aux urnes pour deux scrutins, à savoir les élections européennes et présidentielles nationales. C’est en mai prochain qu’ils devront désigner les 32 eurodéputés qui doivent les représenter au Parlement communautaire. Vers la fin de l’année ils devront aussi élire le Président de la République. Deux candidats ont déjà annoncé leur participation à cette course — le leader libéral Crin Antonescu, représentant l’Union sociale-libérale, au pouvoir, et Catalin Predoiu, ex-ministre de la Justice et premier vice-président du Parti démocrate-libéral, d’opposition. Ils sont en lice pour un mandat de cinq ans à la tête de l’Etat, aux termes de la Constitution.



    Santé — Quelque 300 transplantations rénales, 120 hépatiques et une greffe cardiaque ont été réalisées en Roumanie en 2013, selon les données publiées par l’Agence nationale des transplantations et le ministère de la Santé. Ce dernier a d’ailleurs autorisé une cinquantaine d’établissements hospitaliers, sur l’ensemble du territoire roumain, pour le prélèvement et les greffes d’organes, de tissus ou de cellules. Selon les autorités de la Santé publique roumaine, les programmes nationaux de transplantation, de cancer et du diabète sont des priorités nationales pour 2014, de sorte qu’ils deviennent des modèles de bonnes pratiques pour les autres branches du secteur.



    Concerts — L’année artistique roumaine 2014 sonne bien, côté concerts à prévoir. Marc Anthony et Peter Gabriel se rendent cette année pour la première fois en Roumanie. S’y joindront des groupes ou des stars qui se sont déjà produits sur les scènes locales, tels Deep Purple, Cyndi Lauper, Al Bano, Mireille Mathieu ou Richard Clayderman. La saison des concerts, qui alimente d’ailleurs toute une infrastructure touristique, s’ouvrira le 16 janvier.