Tag: Tsipras

  • 24.07.2018 (mise à jour)

    24.07.2018 (mise à jour)

    Athènes — La première ministre roumaine, Viorica Dăncilă, a transmis, mardi, à son homologue grec, Alexis Tsipras, un message de solidarité et ses condoléances suite aux décès causés par les incendies qui ravagent la région grecque de l’Attique. Par ailleurs, la cheffe du Cabinet de Bucarest a exprimé la disponibilité de la Roumanie d’aider les autorités hellènes. Le ministre roumain de la Défense, Mihai Fifor, est en contact avec son homologue grec pour définir ensemble les moyens concrets pour venir en aide aux populations affectées. Au moins 60 personnes ont perdu la vie, et plus de 200 blessés ont été enregistrés dans de violents incendies de végétation. En outre, Athènes a activé le Mécanisme européen de protection civile, faisant ainsi appel à la solidarité de ses partenaires européens.



    Bucarest — Le président roumain, Klaus Iohannis, a reçu mardi à Bucarest le premier ministre irlandais, Leo Varadkar. L’occasion pour les deux officiels de se féliciter pour la formidable dynamique des échanges bilatéraux, dont le volume a doublé les 12 derniers mois. Le président Iohannis a remercié le premier ministre irlandais pour la manière dont la communauté roumaine qui vit en Irlande est accueillie dans ce pays. Des thématiques d’intérêt communautaire ont en outre été abordées, telles l’avenir de la construction européenne, la présidence roumaine du Conseil de l’UE au premier semestre 2019, le budget européen, le Brexit et la gestion des flux migratoires.



    Directives UE — La Roumanie doit encore transposer dans sa législation 45 directives européennes, a annoncé, ce mardi, le porte-parole de l’Exécutif de Bucarest, Nelu Barbu. Lors de la réunion du Cabinet de mardi, les ministères concernés se sont engagés à faire de leur mieux, et ce dans les plus brefs délais. La Commission européenne a classé trois procédures d’infraction ouvertes auparavant contre la Roumanie et concernant de retards enregistrés dans la mise en œuvre des directives européennes, 13 autres notifications ayant par ailleurs été envoyées à la Commission, concernant autant de dossiers.



    Référendum constitutionnel — Le référendum pour la modification de la Constitution de la Roumanie, afin d’y introduire le concept restrictif de famille formée par un homme et une femme, pourrait être organisé fin septembre ou début octobre, a annoncé mardi le leader social-démocrate, président de la Chambre, Liviu Dragnea. Plusieurs associations regroupées sous la bannière de la « Coalition pour la famille » et proches des milieux religieux avaient recueilli environ 3 millions de signatures visant à organiser ce référendum, pour bloquer toute possibilité d’introduire ultérieurement une loi qui légifère les mariages entre les personnes du même sexe. Pour l’instant, la constitution stipule que la famille est fondée sur le mariage librement consenti entre les époux, sans aucune référence au genre de ces derniers.



    Météo — La majorité des régions du pays font l’objet d’une alerte jaune aux pluies et aux phénomènes orageux jusqu’à ce mercredi en soirée. Le temps sera instable notamment sur le sud, l’est et le centre mais aussi sur le relief. Des orages, parfois accompagnés de chutes de grêle, sont également attendus, alors que les quantités d’eau préconisées tournent autour des 30 à 60 litres par mètre carré. Plusieurs vigilances jaunes aux inondations sont valables jusqu’à mercredi et concernent les bassins hydrographiques du centre et de l’ouest du pays. Mercredi, le mercure descendra jusqu’à 23°, alors que les températures maximum atteindront les 32° C.

  • A la une de la presse roumaine – 16.07.2015

    A la une de la presse roumaine – 16.07.2015

    De la politique, encore et encore, dans les pages des grands quotidiens roumains en ligne.



  • Grichenland: “Ja” oder “Nein”?

    Grichenland: “Ja” oder “Nein”?

    Am Mittwochmorgen gab es Anzeichen für einen Kompromiss in der Griechenland-Finanzkrise. Die Regierung in Athen hätte, mit einigen Ausnahmen, den Vorschlag der internationalen Kreditinstitute angenommen und würde bereit sein auf das Referendum zu verzichten. Am Nachmittag kündigte jedoch der griechische Premier Alexis Tsipras, das Referendum vom Sonntag werde plangemäß organisiert. Er forderte auch seine Mitbürger auf Nein“ zu wählen und das von den Kreditgebern vorgeschlagene Programm abzulehnen. Folglich wurde die Kommunikation zwischen Athen und Brüssel gestoppt. Diese sollte am Montag nach dem Referendum wieder aufgenommen werden.



    Die EU-Anführer warnten, dass ein “Nein mit dem Verlassen der Euro-Zone gleichzusetzen ist. Tsipras weißt eine solche Interpretation ab. Der Anführer der konservativen Opposition, der Ex-Premier Antonis Samaras hat die Griechen aufgefordert ein klares Ja“ für Europa zu wählen. Die Verantwortung der Bürger müsse die Verantwortungslosigkeit der Regierung besiegen, sagte Samaras. Das Land befinde sich im kritischsten Moment der letzten Jahrzehnte.



    Die griechische Finanzkrise wird auch in Bukarest aufmerksam verfolgt. Der Chef der rumänischen Notenbank, Mugur Isarescu, forderte die Kunden der Banken mit griechischem Kapital aus Rumänien auf, nicht amotional zu handeln. Er erklärte alle Banken seien sicher und würden über Kapital verfügen. Zudem obliegen diese der Regelungen der rumänischen Zentralbank und nicht der Entscheidungen Griechenlands. In Panik-Momenten sei die Notenbank bereit mit allen Instrumenten, die ihr zur Verfügung stehen, einzugreifen.Mugur Isărescu:



    “Die Notenbank hat Massnahmen getroffen, die ihre Liquidität sichern, sollten die Banken, aus emotionalen Gründen – Gerüchte, Überreaktion – keine Liquiditäten auf dem Markt finden, auch wenn ihre Lage gut ist. Die Banken können die Liquidität sichern, sie können sich von der Nationalbank beliefern lassen, die Zinsen sind klein und die einzigen die verlieren sind die Einleger. Die verlieren Zeit, sie verlieren den Zins, sei er auch klein und sie zahlen auch Gebühren.




    Auch wenn Griechenland vor der Pleite steht und Rumäniens Finanzlage gut ist, sollte man mehr über die Beziehungen zum IWF und zur EU nachdenken. Mugur Isărescu:



    “Der unsichere internationale Kontext – die Lage in Griechenland und der Euro-Zone – das Konsolidierungs-Bedürfnis beantragt eine Aufrechterhaltung der Abkommen mit unseren internationalen Partnern, mit der EU und dem IWF, unter diversen Formen. Ich glaube die Verhandlungen werden weitergehen und es ist gut, dass sie weitergehen, es geht um Glaubwürdigkeit.




    So wie die EU-Kommission und der IWF glaubt auch Mugur Isarescu, dass die jetzigen Wirtschaftsdaten keinen Grund für eine Steuer-Herabsetzung, wie sie von der Exekutive angekündigt wurde, darstellt.

  • En attendant le référendum de Grèce

    En attendant le référendum de Grèce

    Un compromis salutaire pour la Grèce semblait prendre contour mercredi matin. Le gouvernement d’Athènes aurait accepté, avec certains amendements, la proposition des bailleurs de fonds internationaux, laissant entendre qu’il pourrait renoncer au référendum.

    Cependant, le château de cartes s’est à nouveau écroulé dans l’après-midi lorsque le premier ministre grec, Alexis Tsipras, a annoncé que le référendum de dimanche se déroulerait comme prévu, invitant ses concitoyens à rejeter l’arrangement proposé par les partenaires internationaux du pays. (La communication entre Athènes et Bruxelles a été, donc, coupée, et les chances qu’elle reprenne dépendent de l’avis des Grecs, en fin de semaine. Un non majoritaire serait un Grexit de facto, une sortie du pays de la zone euro, ont mis en garde les leaders européens, une interprétation que l’imprévisible Tsipras rejette.

    Pour sa part, le leader de l’opposition conservatrice, Antonis Samaras, a appelé ses compatriotes à dire un oui clair à l’Europe. La responsabilité des citoyens doit vaincre l’irresponsabilité du gouvernement, a-t-il martelé, ajoutant que son pays traversait le moment le plus critique des dernières décennies.)

    Tous ces développements sont attentivement suivis en Roumanie, de nombreuses banques à capital grec étant très actives dans le pays. Le gouverneur de la Banque nationale, Mugur Isărescu, a de nouveau appelé leurs clients au calme et à la sagesse, les invitant à ne pas agir de manière irréfléchie en retirant leur argent. Toutes les filiales roumaines de ces banques sont sûres, disposent de capitaux suffisants et observent les réglementations de la Banque centrale de Bucarest, non les décisions d’Athènes, a précisé Mugur Isărescu. En cas de panique, la Banque nationale de Roumanie est prête à intervenir avec tous les instruments dont elle dispose, a-t-il encore indiqué.

    Mugur Isărescu: La Banque nationale a pris des mesures qui assurent à ces banques des liquidités suffisantes, en cas de rumeurs ou de sur-réactions émotionnelles qui les empêcherait de trouver du cash sur le marché, même si leur situation est bonne. Ces banques pourraient en acheter à la Banque centrale; les seuls perdants seront les clients. Ils perdront du temps, les intérêts, aussi bas qu’ils soient, de même que les commissions de retrait d’argent.

    La Grèce est au bord du gouffre financier, tandis que la Roumanie se trouve sur un terrain financier et bancaire ferme. Les situations ne sont nullement comparables, selon Mugur Isarescu, mais la crise grecque exige une réflexion sérieuse sur les relations de Bucarest avec des partenaires tels le FMI ou l’UE, estime-t-il encore.

    Mugur Isărescu: Ce contexte international incertain, avec la situation en Grèce et dans la zone euro, en général, de même que la situation interne, avec le besoin de consolidation, exigent le maintien, sous différentes formes, des accords avec nos partenaires internationaux, l’UE et le FMI. Je pense que les négociations avec eux se poursuivront et c’est très bien qu’elles se poursuivent; c’est une question de crédibilité.

    Le gouverneur de la Banque centrale roumaine a également rejoint les positions du FMI et de la Commission européenne précisant que la donne économique actuelle n’était pas un argument en faveur de l’allègement fiscal amorcée par l’exécutif, pomme de discorde entre ce dernier et les bailleurs de fonds internationaux. (Trad. Andrei Popov)

  • Greece, whereto?

    Greece, whereto?

    Europe is these
    days oscillating between anxiety and exasperation. Half of the Germans, for
    instance, are calling for ‘Grexit’, namely Greece’s leaving the Eurozone, as
    the country is on the brink of bankruptcy. On June 30th, Greece is
    supposed to reimburse some 1.5 billion Euros to the IMF, but the state’s
    treasury is empty, so the unblocking of the 7.2 billion Euro worth of aid that
    the IMF and the EU promised last year is imperative. Greece’s international
    creditors, however, have one condition: for Greece to get the money, it has to
    make savings and implement a number of reforms, especial with regard to the
    pensions system.

    The radical left, though, which is holding the reigns of power
    in Greece, seems engaged in a dialogue of the deaf. On the one hand, unlike the
    Germans, who plead for austerity and strict rules, the Greeks believe it’s
    illegitimate for anybody to force upon them a certain political and economic
    policy. On the other hand, they are counting on the European solidarity. But,
    the Europeans, who are now trying to find a solution, say’ enough is enough!’.
    Gathered in Luxembourg on Friday, the Eurozone finance ministers only needed
    one and a half hour to decide they could not authorize the disbursement of
    the financial aid to Greece.

    Subsequently, the Eurozone heads of state and government were summoned to an
    emergency meeting in Brussels on Monday, to discuss the situation from a
    political perspective. The usual summer summit is still due in late June, but
    there is not enough time left for the aid to be approved by the European
    parliaments. Without this help, though, Greece has no money to pay the IMF
    back, thus risking to default on all payments. In fact, the IMF Director
    Christine Lagarde was quite firm in stating that Greece will not benefit from
    any postponement. In the meantime, Athens has been looking for solutions,
    pendulating between the West and the East, more precisely between the EU and
    Russia, in an attempt to prove its economic and financial potency, apparently
    untouched by the sanctions imposed by Europeans against the background of the
    conflict in Ukraine.

    This past weekend’s meeting in St. Petersburg between the
    Russian president Vladimir Putin and the Greek Prime Minister Alexis Tsipras
    was the second after the one held in Moscow in April. Prior to Friday’s
    meeting, the Kremlin leader had stated that his country was ready to offer
    Greece financial support, particularly thorough energy infrastructure projects,
    more specifically by extending across Greece the Russian – Turkish pipeline
    ‘Turkish Stream’, owned by the Russian energy giant Gazprom, a project that was
    launched last year. Washington, however, has already voiced disapproval of
    Athens’s participation in this project.

  • Nachrichten 13.03.2015

    Nachrichten 13.03.2015

    WARSCHAU — Rumäniens Staatspräsident Klaus Johannis hat am Freitag seinen Polenbesuch fortgesetzt. Johannis traf mit der polnischen Premierministerin Ewa Kopacz zusammen. Besprochen wurden die Zusammenarbeit auf regionaler Ebene und die bilaterale Kooperation. Am Donnerstag war Johannis mit seinem polnischen Gegenüber Bronislaw Komorowski zusammengekommen. Die zwei Staatschefs haben eine neue Erklärung zur Konsolidierung der strategischen Partnerschaft zwischen den beiden Ländern unterzeichnet. Mehr dazu nach den Nachrichten.



    BUKAREST — Eine der vier NATO-Schiffsgruppen hält sich von Freitag bis Sonntag im rumänischen Schwarzmeerhafen Constanţa auf. Die vier Fregatten, die einen Kreuzer und ein Hilfsschiff begleiten, laufen am Montag aus, um sich an einer Militärübung im Gebiet zu beteiligen, bei der auf die Verbesserung der Interoperabilität abgezielt wird.



    BUKAREST — Der rumänische Premierminister Victor Ponta hat den EU-Agrarkommissar Phil Hogan aufgefordert, Rumänien in der EU-Kommission zu unterstützen, um grünes Licht für das nationale Programm für ländliche Entwicklung für den Haushaltsrahmen 2014 – 2020 zu erhalten. Über die Abschöpfung der europäischen Mittel sagte Ponta, dass im Agrarbereich rund 90% der zugeteilten Summen ausgegeben wurden. Hogan traf sich bei seinem Besuch in Bukarest auch mit dem rumänischen Landwirtschaftssminister Daniel Constantin. Rumänien werde bis Mitte April von der Europäischen Kommission die Genehmigung für das Nationale Programm zur ländlichen Entwicklung für den Zeitraum 2014 – 2020 erhalten, teilte Constantin anschlie‎ßend mit. Bis Anfang Mai werden die Behörden alle Ma‎ßnahmen ausschreiben können, sagte er noch.



    BUKAREST — Der Bürgermeister des 5. Bukarester Bezirks, Marian Vanghelie, ist in der Nacht zum Freitag unter Verdacht auf Bestechlichkeit festgenommen worden. Justizkreisen zufolge habe er seit 2007 öffentliche Aufträge an bestimmte Unternehmen illegal zugewiesen. Der Bürgermeister habe als Gegenleistung eine Provision von 20% der Auftragsumme bekommen und so im Verlaufe der Zeit Bestechungsgelder von 90 Millionen Euro kassiert, so die These der Staatsanwälte. Vanghelie gilt als einer der einflussreichsten sozialdemokratischen Politiker. Er wurde allerdings Anfang des Jahres aus der regierenden sozialdemokratischen Partei ausgewiesen. Die sozialdemokratische Parlamentsabgeordnete Oana Niculescu-Mizil, die Lebensgefährtin des Bürgermeisters Vanghelie, hatte am Donenrstag nach der Vernehmung durch die Ermittler ihren Rücktritt aus dem rumänischen Parlament angekündigt. Gegen Oana Niculescu-Mizil besteht der Verdacht der Beteiligung an Handelsgeschäften, die mit der politischen Stellung einer Parlamentsabgeordneten unvereinbar seien. In einem anderen Verfahren hat die Nationale Antikorruptionsbehörde das Parlament aufgefordert, der Strafverfolgung und Verhaftung des sozialdemokratischen Senators Dan Şova zuzustimmen. Dem früheren Transportminister Şova wird Mittäterschaft bei Amtsmissbrauch vorgeworfen.



    BRÜSSEL — Die Europäische Union hat ihre Sanktionen gegen prorussische Separatisten in der Ukraine sowie mehrere Vertraute des Kreml-Chefs Wladimir Putin verlängert. Die am Freitag bei einem Ministertreffen in Brüssel getroffene Entscheidung sieht vor, Reise- und Vermögenssperren bis zum 15. September aufrechtzuerhalten. Betroffen von den Sanktionen sind 150 Einzelpersonen sowie 37 Einrichtungen, Unternehmen und Organisationen.



    BRÜSSEL – EU-Kommissionspräsident Jean-Claude Juncker und der griechische Ministerpräsident Alexis Tsipras haben bei einem Treffen in Brüssel eine engere Abstimmung zur Lösung des Schuldenstreits vereinbart. Auf beiden Seiten sollten dazu sogenannte Task Forces eingesetzt werden, sagte ein Sprecher der EU-Kommission am Freitag nach dem Treffen. Juncker hatte ein Ausscheiden Griechenlands aus der Eurozone vor dem Treffen ausgeschlossen. Die Euro-Länder hatten Ende Februar das Hilfsprogramm für Griechenland um weitere vier Monate verlängert. Das hochverschuldete Land muss im Gegenzug bis Ende April ein Reformprogramm vorlegen, um weitere finanzielle Unterstützung zu erhalten.



    BUKAREST — Der rumänische Leu hat sich am Freitag weiterhin abgewertet. Ein Euro kostet 4,4472, ein US-Dollar 4,2012 und ein Schweizer Franken 4,1728 Lei. Gold verbilligte sich dafür auf 156,0269 Lei für ein Gramm.


  • Nachrichten 28.01.2015

    Nachrichten 28.01.2015

    BRÜSSEL – Der neuste Überprüfungsbericht der Europäischen Komission bescheinigt Rumänien Fortschritte in der Justiz. Rumänien sei auf dem richtigen Weg, kommentierte Kommissionsvizepräsident Frans Timmermans. Die Fortschritte müssten aber weiter verfestigt werden. Die Bekämpfung der Korruption sei nach wie vor die grö‎ßte Herausforderung und die höchste Priorität. Die Kommission würdigte im Bericht vor allem die Tätigkeit der Nationalen Antikorruptions-Behörde, die insbesondere in Korruptionsfällen auf höchster Ebene zu einer Vermehrung der Ermittlungen und Urteilssprechungen beigetragen habe. Das Justiz-, Gesundheits- und Bildungswesen seien nach wie vor noch von Korruption betroffen, hie‎ß es. Gerügt wurde auch, dass das Parlament sich oft weigere, die Immunität beschuldigter Parlamentarier aufzuheben. Der rumänische Präsident Klaus Johannis begrü‎ßte die überwiegend positiven Schlussfolgerungen des Berichts und sagte, dass zur Unwiderruflichkeit der Justizreformen weitere Anstrengungen notwendig seien. Justizminister Robert Cazanciuc erklärte, dass der Fortschrittsbericht der Kommisison der bislang beste sei und unbestreitbare Fortschritte feststelle.



    BUKAREST – Präsident Klaus Johannis hat am Mittwoch Beratungen mit den Parlamentsparteien geführt. Die Vertreter der Fraktionen waren zu Gesprächen über die legislativen Prioritäten der aktuellen Sitzungsperiode eingeladen worden. Auf der Gesprächsagenda standen unter anderem Themen wie die Verbesserung der Durchführung von Wahlen im Ausland, die Wahlkampf- und Parteienfinanzierung und die Beschleunigung des Verfahrens zur Enthebung der Immunität von Parlamentsmitgliedern. Vereinbart wurde, dass bis Ende der Tagungszeit eine neue Rechtslage zur Organisierung der Wahlen im Ausland, zu den Kommunal- und Legislativwahlen, aber auch zur Parteien- und Wahlkampffinanzierung vorliegen soll, sagte der Präsident am Mittwochabend. Das ist die zweite Beratungsrunde des Präsidenten mit den Parlamentsparteien seit dem Amtsantritt Ende Dezember. Am 12. Januar hatte Johannis eine parteiübergreifende Zustimmung für ein politisches Abkommen über die Finanzierung der Verteidigung erreicht. Bis 2017 soll der Verteidigungshaushalt schrittweise bis auf 2% des Bruttoinlandsproduktes ansteigen.



    BUKAREST – Die Delegation der internationalen Kreditgeber Rumäniens hat am zweiten Tag ihres Evaluierungs-Besuchs die Gespräche mit den Behörden in Bukarest fortgesetzt. Die Vertreter von IWF, Weltbank und der Europäischen Kommission wollen in den kommenden zwei Wochen Themen wie die Entwicklung der Wirtschaftskennzahlen, den Stand der Privatisierungen oder das Steuergesetz erörtern. Als Schwerpunkt soll das Gesetz über die Privatinsolvenz zur Sprache kommen. Hintergrund ist die starke Aufwertung des Schweizer Franken gegenüber der Landeswährung Leu. Rumänische Kreditnehmer in der Schweizer Währung waren in Panik geraten, nachdem ihre monatlichen Raten um gut ein Fünftel gestiegen waren. Am Dienstag hatten die internationalen Kreditgeber mit Notenbank-Chef Mugur Isarescu über die Privatinsolvenz und die Konvertierung der Fremdwährungskredite diskutiert.



    ATHEN – Der neue griechische Ministerpräsident Alexis Tsipras hat nach der ersten Regierungssitzung in Athen erklärt, Griechenlands Schulden bezahlen, aber auch Neuverhandlungen mit Griechenlands Geldgebern führen zu wollen. Er versprach zudem realistische Reformen und die Bekämpfung der Korruption. Allerdings stoppte die Regierung die Privatisierung des Hafens von Piräus, obwohl die Privatisierung von Staatsbetrieben eine der Auflagen der Geldgeber für ihre Finanzhilfen ist.



    SYDNEY – Das rumänisch-niederländische Duo Horia Tecau und Jean Julien Rojer steht im Halbfinale der Australian Open. Im Viertelfinale des Doppelturniers setzten sich die beiden gegen den Rumänen Florin Mergea und den Briten Dominic Inglot mit 6:4 und 7:6 durch. Tecau und Rojer werden im Halbfinale gegen die Italiener Simone Bolelli / Fabio Fognini antreten. Im Einzel hatte die Weltranglistendritte Simona Halep das Viertelfinale erreicht. Dort unterlag sie allerdings der Russin Ekaterina Makarowa mit 4:6 und 0:6.



    WETTER — In Rumänien ist es zumeist bewölkt. Im Süden und Südosten sind vereinzelt Niederschläge zu erwarten. Höhere Windgeschwindigkeiten sind an der Schwarzmeerküste zu erwarten. Tageshöchsttemperaturen erreichen plus 8 Grad Celsius.



    WÄHRUNGSKURSE – Der rumänische Leu hat nach Berechnung der rumänischen Zentralbank BNR seinen Leitkurs zu den wichtigsten Devisen am Mittwoch verbessern können – der Kurs zum Euro lag bei 4,45 Lei. Auch der Franken verbilligte sich auf 4,36 deutlicher. Der amerikanische Dollar kostet 3,92 Lei, ein Gramm Gold ist 164,25 Lei wert.


  • Nachrichten 26.01.2015

    Nachrichten 26.01.2015

    BUKAREST: Eine Delegation des Internationalen Währungsfonds kommt am Dienstag nach Rumänien, um Gespräche über die dritte Evaluierung des Stand-by Abkommens vorbeugender Art zu führen. Bis zum 10. Februar wird die IWF-Delegation mit Vertretern der rumänischen Behörden, der Privatunternehmen, der Gewerkschaften, der politischen Parteien und der Zivilgesellschaft diskutieren, teilte der Internationale Währungsfonds mit. Zu den Themen gehören das Gesetz über die Privatinsolvenz und die Krise der Kredite in Schweizer Franken, berichtet die Bukarester Wirtschaftspresse. Inzwischen haben am Sonntag ungefähr 1.500 Rumänen bei einer Demonstration von den rumänischen Behörden eine Lösung für die Krise verlangt, die durch die starke Aufwertung des Schweizer Franken gegenüber dem rumänischen Leu um mehr als 20% entstanden war. Die Demonstranten lehnten die Lösungsansätze der Geschäftsbanken ab — diese hatten vorgeschlagen, den Wechselkurs einzufrieren oder die Zinsen zu senken. Stattdessen haben sie eine Gesetzvorlage eingereicht — die Kredite sollen nach Vorstellung der Kunden in die rumänische Landeswährung zum Wechselkurs des Tages der Vertragsunterzeichnung, zuzüglich einer Differenz von 20%, umschrieben werden.



    CHISINAU: Hunderte Menschen haben am Montag in Chisinau gegen den Beschlu‎ß der Liberal-Demokraten und Demokraten in der ex-sowjetischen, mehrheitlich rumänischsprachigen Republik Moldau protestiert, auf die Koalition mit den Liberalen zu verzichten und die parlamentarische Unterstützung der russlandnahen Kommunisten zu akzeptieren. In Bukarest sagte der ehemalige Au‎ßenminister, Titus Corlatean, die zukünftige moldauische Regierung sollte keine Kompromisse machen, wenn es um die Priorität der EU-Integration geht. Rumänien habe die Republik Moldau bei ihren Bestrebungen um den EU-Beitritt immer unterstützt, so Corlatean weiter. 2014 unterzeichnete die Republik Moldau ein Assoziierungs- und Freihandelsabkommen mit der Europäischen Union. Mehr dazu nach den Nachrichten.



    ATHEN – Ein Tag nach nach dem Wahlsieg der Bündnisses SYRIZA in Griechenland ist ihr Vorsitzender Alexis Tsipras vor Präsident Karolos Papoulias als Ministerpräsident vereidigt worden. Der Syriza-Chef hatte sich zuvor mit der nationalistischen Partei der Unabhängigen Griechen (Anel) auf eine Koalition geeinigt, nachdem seine Partei am Sonntag zwar stärkste Kraft geworden war, aber mit 149 Sitzen knapp die absolute Mehrheit von 151 Mandaten verfehlt hatte. Der 40jährige Politiker hatte den Griechen bereits am Sonntagabend ein Ende der “desaströsen Sparpolitik” versprochen und Verhandlungen mit den Kreditgebern über einen Schuldenschnitt angekündigt. Er werde mit den Gläubigern eine “neue machbare Lösung” aushandeln. Entgegen Spekulationen über einen Austritt seines hochverschuldeten Landes aus der Eurozone hatte Tsipras wiederholt versichert, dass Griechenland den Euro behalten werde. Das hochverschuldete Griechenland wurde seit dem Beginn der Krise 2010 mit 240 Milliarden Euro vor dem Staatsbankrott gerettet. Im Gegenzug musste sich Athen jedoch zu schmerzhaften Reformen und Sparma‎ßnahmen verpflichten, die äu‎ßerst unpopulär sind.



    KIEW – Die ukrainische Regierung hat beschlossen, den Notstand in den Gebieten Donezk und Lugansk auszurufen, wo prorussische Kräfte eine neue Offensive gegen die ukrainischen Truppen gestartet haben. Auf dem gesamten Gebiet der Ukraine gilt zudem höchste Alarmbereitschaft. Auf Antrag der Ukraine hat die NATO am Montag vor diesem Hintergrund ein Sondertreffen der gemeinsamen Kommission auf Botschafterebene in Brüssel organisiert. Das Bündnis werde die Ukraine sowohl politisch als auch praktisch unterstützen, sagte NATO-Generalsekretär Jens Stoltenberg. Der Konflikt in der Ostukraine war am Samstag eskaliert, als ein Raketenangriff auf die Stadt Mariupol, zu dem sich die Separatisten in der Region bekannt haben, 30 Tote und rund 90 Verletzte forderte. Die EU-Au‎ßenministerin Federica Mogherini warnte Russland, dass die Eskalierung die bilateralen Verhältnisse noch mehr verschlechtern werde.



    WÄHRUNGSKURS: Die rumänische Zentralbank BNR ermittelte am Montag einen Kurs von einem Euro zu 4,48 Lei. Der Franken liegt mit 4,4840 Lei nur leicht darüber. Der amerikanische Dollar kostet 3,98 Lei, ein Gramm Gold ist 164,42 Lei wert.



    DAS WETTER: Im Süden vereinzelt Nieselregen. Es schneit im Gebirge, sowie in der Landesmitte und im Norden. Tageshöchsttemperaturen liegen zwischen plus 1 und plus 7 Grad Celsius.