Tag: Valentin Tigau

  • Jurnalist Radio România Internaţional distins de Răsăritul Românesc

    Jurnalist Radio România Internaţional distins de Răsăritul Românesc

    Valentin Ţigău, jurnalist Radio România Internaţional, a fost distins cu Diploma de Excelenţă acordată de Răsăritul Românesc, organizaţie care recompensează, anual, contribuţia deosebită la păstrarea identităţii româneşti a românilor de pretutindeni.


    Alţi trei jurnalişti au primit Diploma de Excelenţă: Iulia Modiga, de la agenţia de presă Info-Prut, Liviu Fetter, de la TVR Moldova, şi Ilie Zegrea, de la Radio Cernăuţi.



    Asociaţia a mai acordat, anul acesta, Diploma de Excelenţă lui Viorel Stănilă, ambasadorul României în Republica Macedonia (FYROM), Constantin Codreanu, deputat, preşedintele Comisiei pentru comunităţile de români din afara graniţelor, Daniel Magdu, preşedintele comunităţii românilor din Serbia, Eugen Terteleac, preşedintele Asociaţiei Românilor din Italia, Nicolae Saramandu, lingvist, Academia Română etc.



    De-a lungul anilor, au mai primit distincţia, între alţii, Patriarhul Bisericii Ortodoxe Române, Daniel, Custodele Coroanei României, MS Margareta, Daniel Ioniţă, ambasador al României la Chişinău, Eugen Doga, compozitor, Nicolae Botgros, dirijor, Ivo Gheorghiev, preşedinte al Uniunii Etnicilor Români din Bulgaria, academicienii Dinu C. Giurescu şi Ioan-Aurel Pop, Viorel Badea, senator, Eugen Tomac, deputat, Dan Dungaciu, politolog, Nicolae Popa, preşedintele Consliului Româno-American.


  • Cum l-am cunoscut pe Radu Beligan

    Cum l-am cunoscut pe Radu Beligan

    Vă invităm să ascultaţi o confesiune audio realizată de Valentin Ţigău, Radio România Internaţional. Fotografiile ne-au fost puse la dispoziţie, cu generozitate, de către doamna Cristina Nichituş Roncea.



  • Premiu pentru ziaristul Radio România Internaţional Valentin Ţigău

    Premiu pentru ziaristul Radio România Internaţional Valentin Ţigău

    Reportajul Love Story pe frontul de Est, semnat de Valentin Ţigău, realizator la Radio România Internaţional, a fost premiat la Concursul UZPR (Uniunea Ziariştilor Profesionişti din România) pentru anul 2015, categoria radio. Reportajul radiofonic a fost difuzat pe 16 noiembrie 2015, în rubrica săptămânală Reporter la Radio România Internaţional.



    Avem din ce în ce mai puţine voci care pot relata fapte de arme din război. Modeşti, împovăraţi de vârstă, unii veterani au loc în istorie doar dacă le cunoaştem povestea. În cadrul acestui demers jurnalistic, am realizat un reportaj cu Moise Nica, în vârstă de 93 de ani. Luptător pe tanc, mai întâi, cu germanii, apoi, cu ruşii”, el ne-a surprins cu o suavă poveste de dragoste pe timp de război.



    Asumându-şi condiţia de militar român şi de simplu ţăran din Rucăr, Moise Nica nu ne spune de ce chemarea pământului natal a fost, pentru el, în final, mai mare decât iubirea pentru Katea şi decât promisiunea că, într-o zi, ar putea stăpâni lumea”. Ne rămâne nouă să aflăm de ce, argumenta jurnalistul Radio România Internaţional în reportajul premiat.rad

  • Le nouveau statut des parlementaires roumains

    Le nouveau statut des parlementaires roumains


    Les parlementaires roumains ont avalisé ce mercredi dernier la demande de la Cour Constitutionnelle de diminuer, de 45 à 15 jours, le délai pendant lequel un sénateur ou un député peut contester un rapport de l’Agence Nationale d’Intégrité à l’égard d’une situation d’incompatibilité. On a, également, diminué de 6 mois à 30 jours la période pendant laquelle un parlementaire en conflit d’intérêts est sanctionné par l’interdiction de participer aux séances du plénum. Ainsi, on a modifié la Loi concernant le Statut des parlementaires, document auprès duquel on a exercé des pressions de modification de certains articles presque pendant chaque législature. La modification opérée mercredi par la majorité social-libérale des deux Chambres a été critiquée par l’opposition démocrate-libérale.


    Le problème de l’immunité des parlementaires s’est souvent trouvé à l’attention de l’opinion publique de Roumanie après le recours à la qualité de député ou de sénateur, par une série de politiciens pour, ainsi, bénéficier d’un statut spécial dans leur relation avec la Justice. Le président du Sénat, le libéral Crin Antonescu, estime, pourtant que : « Les termes dramatiques ou exagérés à l’égard d’une super-immunité, du fait que les élus se placent en dessus des autres citoyens ne sont pas appropriés car rien de ce genre n’est arrivé. » (trad.: Costin Grigore)


    Se trouvant à Bucarest, le secrétaire général du Conseil de l’Europe, Thorbjorn Jagland, estimait mercredi que l’état politique de la Roumanie a été stabilisé et que le Parlement est en plein processus d’éclaircissement de la question de l’immunité parlementaire. Lors d’une interview pour Radio Roumanie, le dignitaire européen mentionnait que cette immunité ne doit pas être excessive et que les parlementaires puissent être indépendants vis-à-vis de toute force extérieure et contrôler le pouvoir exécutif. Il a affirmé, aussi, qu’il doit y avoir un mécanisme au sein , même, du Parlement dans lequel les gens puissent avoir confiance.


    « Certes – mentionnait Jagland – les parlementaires ont le droit d’être jugés par une Cour de Justice mais, par ailleurs, comme on a récemment vu en Slovénie, un organisme anti-corruption a dévoilé des informations sur le premier ministre et sur le leader de l’opposition qui ont mené à leur démission. Ceci n’a pas voulu dire qu’il ont été condamnés par un tribunal, mais l’intégrité d’un leader politique doit être indubitable. Les dignitaires devraient savoir ne pas s’impliquer dans des activités capables d’assombrir leur mandat au Parlement. »

  • Attentes et espoirs après l’élection du nouveau Pape

    Attentes et espoirs après l’élection du nouveau Pape


    Le 266e souverain pontife de l’histoire de l’Eglise catholique, élu mercredi par le conclave ayant réuni 115 cardinaux, est le cardinal argentin Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires. L’annonce a été faite lors de la cérémonie “Habemus Papam”, déroulée dans la loggia de la Basilique Saint-Pierre de Rome. Les armoiries pontificales, dont la bague et la tiare,seront désormais portées par le pape François. Il est le premier pape latino-américain, premier pape argentin et troisième pape hispanophone de la chrétienté. Agé de 76 ans, François, qui est également le premier membre de la Compagnie de Jésus à monter sur le trône de Saint Pierre, succède à Benoît XVI, 85 ans, qui a quitté le Saint Siège le 28 février pour des raisons de santé.


    Peu après l’annonce officielle, qui a pris de court bien du monde, puisqu’il ne figurait pas parmi les «papables», François a donné sa bénédiction urbi et orbi aux milliers de fidèles rassemblés Place Saint-Pierre: «Et maintenant, initions ce chemin: l’Evêque et le peuple. Ce chemin de l’Eglise de Rome, qui est celle qui préside toutes les Eglises dans la charité. Un chemin de fraternité, d’amour, de confiance entre nous. Prions toujours pour nous : l’un pour l’autre. Prions pour le monde entier afin qu’advienne une grande fraternité.»


    Selon la presse internationale, le nouveau chef de l’Eglise catholique était connu en Argentine pour son implication dans des projets dédiés aux démunis, mais aussi pour sa position ferme sur les questions liées à l’avortement et à l’euthanasie. Le cardinal Bergoglio avait critiqué l’adoption, en 2010, d’une loi autorisant les mariages homosexuels. Toute en soutenant l’idée d’interdire à ces couples d’adopter des enfants, il s’est prononcé en faveur d’une attitude respectueuse envers les minorités sexuelles. De nombreux défis attendent d’être relevés par le successeur de Benoît XVI à la tête d’une Église de 1,2 milliard de fidèles. Parmi eux, la vague de contestation interne, la persécution des chrétiens dans le monde, les enjeux éthiques et les abus en tout genre. La messe inaugurale du pape François aura lieu le 19 mars, jour de la Saint Joseph, patron de l’Eglise catholique. Enfin, le dimanche 17 mars, Place Saint Pierre à Rome, aura lieu le premier Angélus du pontificat. (trad.: Mariana Tudose)

  • Régionalisation et développement

    Régionalisation et développement


    Le ministre du Développement Régional, Liviu Dragnea, a annoncé ce mercredi dernier, le démarrage du processus de régionalisation, un des projets de la plus grande envergure en Roumanie après 1989. Selon le ministre, les coûts de ce processus seront nuls et, en même temps, on fera des économies en matière de dépenses de personnel et de services publiques, précisant que les partis politiques, les syndicats, les ONG, les experts roumains et européens sont invités à participer à l’implémentation de ce projet national. Les objectifs stratégiques de la régionalisation et de la décentralisation envisagent attribuer des compétences aux régions dans les domaines de l’économie, des affaires, des fonds européens, d’infrastructure, d’éducation, de santé, d’environnement, d’agriculture, de protection sociale, de culture, de tourisme, de situations d’urgence, d’aménagement du territoire, de jeunesse et de sport.


    Pour gérer et dérouler ce processus, le gouvernement a institué un Conseil Consultatif et un Comité technique inter-ministériel. Aux termes du projet, les futures régions auront un Conseil et un président désigné par suffrage populaire qui vont gérer les budgets locaux, l’argent européen et les fonds du gouvernement ayant des compétences accrues vis-à-vis des actuelles autorités départementales car on préconise que ces transformations soient effectives jusqu’à la fin 2013. La direction des régions sera intérimaire, trois années durant, jusqu’aux prochaines élections locales. Le nombre, la configuration et la manière de fonctionnement des nouvelles entités de territoire seront peaufinées par consultations publiques. Le ministre Liviu Dragnea : « Aucun citoyen ne devra faire des déplacements supplémentaires, n’aura à supportes des coûts supplémentaires après l’achèvement du processus de régionalisation. Au contraire, aucune compétence départementale ne sera pas enlevée. En échange, les compétences qui existent, maintenant, à l’échelon central, au niveau du gouvernement, seront transférées au niveau des régions, des départements, ou, selon le cas, aux autorités locales. »


    Par ailleurs, le ministre précise qu’à travers la régionalisation, l’exécutif ne veut pas une séparation territoriale selon des critères ethniques. Il a donné l’exemple des départements du centre du pays, Harghita, Mures et Covasna à population majoritaire à ethnie hongroise : « J’ai dit que la régionalisation n’est pas un processus politique, ni un processus ethnique. Harghita, Covasna, Mures, je ne pense pas que ce sera une des régions de la Roumanie. »


    Les observateurs politiques remarquent qu’au sein de l’UE, de nombreuses démarches de re-centralisation se remarquent ainsi que des processus de décentralisation, comme dans le cas de la Roumanie et que, selon leur opinion, la responsabilité pour le choix du modèle d’organisation territoriale, comme prémisse pour assurer un développement plus dynamique, incombe à chaque Etat. (trad.: Costin Grigore)