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  • Des conseils depuis la Via Transilvanica, de la part de Christine Thϋrmer

    Des conseils depuis la Via Transilvanica, de la part de Christine Thϋrmer

    Christine Thϋrmer est une voyageuse passionnante.
    Lorsqu’elle a entendu parler du projet Via Transilvanica, elle a écrit un livre
    intitulé « Des randonnées longue distance. » Christine Thϋrmer et
    Alin Uşeriu ont offert des détails sur ce projet au micro de Radio Roumanie.
    Ils ont parlé aussi des randonnées et de la coopération.


    Lorsqu’elle a découvert le projet Via
    Transilvanica, Christine Thϋrmer est partie toute seule sur les routes, sans
    peur. Elle a même appris ses premiers deux mots en roumain, « seule »
    et « ours ». Elle a parcouru le trajet avant qu’il soit ne soit
    balisé et est devenue amie avec Alin, après avoir bu deux bouteilles de
    « palinca »


    « Quand je suis arrivée ici, je ne connaissais pas un mot de roumain.
    Je pensais que j’apprendrais quelque chose en chemin. Mais en Roumanie j’ai
    appris le mot « seule » car tout le monde me posait la question
    « Est-ce que tu voyages seule ? » « Es-tu venue seule ici ? »
    D’ailleurs, une dame m’a accueillie sur Via Transilvanica. Elle avait fait de
    la cuisine pour 4 personnes. J’ai donc dû lui répondre « non, moi je suis
    seule, je peux manger pour deux personnes, mais pas pour quatre » Le
    deuxième mot que j’ai appris était « ours » parce que ce danger
    existait. Alors, pour moi le roumain sonnait « seule ? »
    « ours » ….


    Alin Useriu, le coordonateur de
    l’Association Tăşuleasa Social, initiateur du projet Via Transilvanica, appelé
    aussi « le chemin que l’on ne perd jamais », nous a raconté sa joie
    de rencontrer Christine :


    « Mois
    je suis amoureux de Christine pour tout la vie, car le projet que j’ai
    coordonné et mis en œuvre au cours des 5 dernières années avait besoin d’une ambassadrice.
    Presque tombée du ciel, Christine était cette ambassadrice. En fait, elle est
    la première femme qui a fini la Via Transilvanica, mais nous avons été étonnés
    par son projet, car elle a déjà parcouru plus de 60 milles kilomètres à pieds
    partout dans le monde. Ensuite, elle a écrit un chapitre entier sur la Via
    Transilvanica dans son livre. Même dans mes rêves les plus fous je n’imaginais
    pas que l’on puisse avoir meilleure ambassadrice. Nous sommes heureux qu’elle
    aime la Via Transilvanica, qu’elle porte l’attention de son public, très large,
    dessus et nous lui sommes reconnaissants pour sa grande générosité. Elle nous a
    fait cadeaux de son premier livre, que nous avons déjà traduit, car nous
    souhaitons avoir un tel public en Roumanie aussi. C’est pour ça que l’on a le
    livre de Christine dont on fera le lancement. »


    Alin Uşeriu nous a expliqué pourquoi il
    vaut la peine de lire le livre de Christine :


    « Christine arrive tout juste du Japon et elle dit que
    notre frère de route est au Japon en ce moment. Je veux dire qu’il n’y avait pas de meilleure décision dans
    ma vie que de suivre un chemin de longue distance.
    J’étais sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle,
    mais après avoir rencontré Christine, j’ai pris conscience que j’aurais dû
    faire les choses différemment. J’avais 17 kilos de bagages sur le dos, j’essayais
    de distancer tous ceux que je croisais sur la route, donc finalement je n’était
    pas tellement moi-même.
    Christine est venue me
    dire : tes bagages doivent peser 5 kilos, 6 maximum. Vous devriez laisser
    toutes ces choses dans votre tête et rentrer à la maison. Et puis je suis parti
    et je suis devenu vagabond sur la Via Transilvanica et, en effet, ce fut pour
    moi une expérience très profondément spirituelle. »


    Cette rencontre a été l’une des plus
    importante, a ajouté Alin :






    « C’est l’effet que produit un chemin
    longue distance : il vous rencontre, à un moment donné. Je suis arrivé à Caraş
    Severin et j’ai pris conscience que ma plante préférée était le lierre. Parce
    que j’ai réalisé que si cette plante n’avait pas un arbre lui permettant de
    grimper, elle ne serait qu’une plante rampante au sol. Il me semble que notre
    foi dans la Via Transilvanica a rendu la création de ce chemin possible en cinq
    ans, et j’étais en bonne santé pour le parcourir, lui et ses 1400 kilomètres et
    rencontrer presque dans chaque village des gens qui me disaient ce projet
    est formidable pour notre ville !. Christine possède une pierre dans la
    ville de Cugir, une très belle pierre taillée par un Bulgare, Ivan Ivanov, qui représente
    une femme debout sur un globe terrestre, comme elle, qui en a déjà fait une
    fois et demie le tour ! Je pense que le mot le plus important est coopération
    après tout, donc si nous voulons bâtir un monde meilleur, nous devons coopérer
    les uns avec les autres et trouver des solutions et c’est ce que nous faisons
    avec Via Transilvanica et c’est un projet que Christine, femme expérimentée, a
    eu envie de découvrir en Roumanie.
    Parce que nous
    avons pris très au sérieux ce slogan « La route qui unit » et nous œuvrons
    pour avoir en faire un chemin sur lequel on ne se perd pas. »


    Christine
    Thϋrmer a pour objectif d’encourager les
    femmes à prendre la route, car ce sont elles qui attendent le bon moment : être
    mieux préparées, récolter l’argent nécessaire, se faire accompagner, être plus
    en forme, etc. Christine estime que si elle, ni sportive, ni souple, portant
    des lunettes, ayant les pieds plats et quelques kilos en trop, pouvait le faire,
    alors nous en sommes tous capables ! Christine Thϋrmer a lancé un avertissement aux femmes pour qu’elles
    prennent la route, qu’elles se sentent en forme ou non :




    « Allez-y ! Prenez la route!
    N’attendez pas d’avoir l’argent nécessaire ! N’attendez pas que quelqu’un vous
    accompagne ! Allez-y ! C’est ce qui compte !
    »



  • July 2, 2022

    July 2, 2022

    Weather — The plain areas of western, southern and eastern Romania will see another scorching day today. In these regions, a yellow code alert for heat and high thermal discomfort is in place, the maximum temperatures ranging from 33 and 36 degrees Celsius. The noon reading in Bucharest was 32 degrees C. Meteorologists also issued a code orange alert for unstable weather, with heavy storms and heavy rains being expected in the mountainous areas, in the north, center, south and locally east of Romania, valid until this evening. While the authorities in the counties most affected by the heat have set up tents, doctors point out that the elderly, those with various health conditions and children are the most exposed to fainting and sunstroke. In the fields of constructions and agriculture, which involves long-term activities in the scorching sun, people have a hard time coping with hot temperatures.



    July 4 – The United States remains Romanias closest military ally, just as NATO remains the main guarantor of peace and security for all its members, the Prime Minister Nicolae Ciucă said on Friday evening. Attending the Party organized by the US Embassy in Bucharest on the occasion of the Independence Day, the Romanian PM welcomed the decision made by President Joe Biden to boost the presence of American troops in Romania. On the other hand, PM Ciucă said that the Romanian Government would continue to work with officials in Washington so that Romanias accession to the Visa Waiver program becomes possible as soon as possible. In his turn, the charge daffaires of the US Embassy in Bucharest, David Muniz, said that Romania leaves a positive mark on the world, recalling, among other things, the readiness of ordinary Romanians and of the authorities to provide humanitarian aid to neighboring Ukraine. David Muniz added that Romania was one of the strongest partners of the United States.



    Theater — Six personalities from the performing arts world receive, this evening, a star on the Star Alley – Aleea Celebrităţilor, as part of the International Theater Festival in Sibiu (center). The merit of two Romanians will be recognized: namely Ion Caramitru, one of the most important and appreciated theater and film actors in Romania, who passed away in September last year, and the cellist Götz Teutsch. Sasha Waltz, Claus Peymann, Éric-Emmanuel Schmitt and Krzysztof Warlikowski will also receive a star on the Star Alley. Sasha Waltz is one of the most respected choreographers of the moment, a dancer and director, a member of the Berlin Academy of Arts. The German Claus Peymann has directed numerous shows based on plays from the classical and contemporary repertoire, and Éric-Emmanuel Schmitt is a French-Belgian playwright, prose writer, novelist, screenwriter and director. His books are translated into 48 languages, and his plays are staged in over 50 countries. The Polish Krzysztof Warlikowski is the artistic director of the Nowy Theater in Warsaw. In 2021, he received the Golden Lion lifetime achievement award at the Venice Biennale.



    Tennis — Romania has only one representative left in the third round of the Grand Slam tournament at Wimbledon: Simona Halep (30 WTA), who meets, today, the Polish Magdalena Frech (92 WTA). In the doubles, the Romanian-Ukrainian pair Raluca Olaru / Nadia Kicenok qualified, on Friday, to the eighth finals, after defeating 3-6, 6-4, 7-6 the pair made up of the British Alicia Barnett and Olivia Nicholls.



    Via Transilvanica – The section of the Via Transilvanica road located in Hunedoara county, in the center of Romania, is open, today, to the public. A project initiated in 2018 by the Tășuleasa Social Association, Via Transilvanica is a tourist and pilgrimage route of over 1,000 kilometers that starts from Putna, in the northeast of the country, crosses Transylvania and ends up in Drobeta-Turnu Severin, in the southwest. Nature and sports enthusiasts can walk it partially or completely, with their backpacks on, or they can go by bike or on horseback, on country paths and roads. Via Transilvanica crosses 10 counties, highlighting the cultural, ethnic, historical and natural riches of Romania. (LS)