Tag: volontariat

  • COVID-19, vaccins et volontariat

    COVID-19, vaccins et volontariat

    Confrontées à de nouveaux
    chiffres records des cas d’infection par le SARS-CoV-2
    dépistés quotidiennement, les autorités roumaines cherchent des solutions pour
    ralentir la progression de la pandémie, en attendant la mise au point d’un
    vaccin. Le président Klaus Iohannis, qui s’est entretenu avec plusieurs spécialistes
    de la santé, a estimé, après la réunion, que les premières doses d’un tel
    vaccin pourrait arriver en Roumanie dans les premiers mois de l’année 2021 et
    qu’il serait administré en priorité au personnel soignant et aux groupes de
    population à risque. « La
    Roumanie est un des signataires des accords conclus par la Commission
    européenne pour la fourniture de vaccins contre la COVID-19, au moment où ces
    vaccins seront prêts, et notre pays en recevra plus de 10 millions de doses. Puisque
    la demande mondiale en est très forte et les capacités de fabrication plus
    réduites, la livraison du vaccin aux pays européens se fera par tranches. Dans
    le cas de la Roumanie, le scénario le plus favorable est celui d’une première
    tranche de vaccin livrée au cours du premier trimestre de l’année prochaine. La
    vaccination de la population commencera au printemps, dans le meilleur des
    cas.
    », a-t-il dit.

    Le président Iohannis a ajouté qu’il n’y avait pas, pour
    l’instant, de raison de réintroduire l’état d’urgence sanitaire, mais qu’il
    était difficile de prédire l’avenir. Le chef de l’Etat a expliqué que les
    restrictions en vigueur pour endiguer la progression de l’infection par le
    nouveau coronavirus produisaient des résultats, sinon tous les systèmes de
    soins de santé, en Roumanie et dans toute l’Europe, se seraient effondrés. Par
    ailleurs, le président roumain a réaffirmé que le report des élections
    législatives prévues le 6 décembre prochain n’était pas une option. Il a appuyé
    son affirmation en citant l’exemple du scrutin présidentiel des Etats-Unis,
    pays frappé bien plus gravement par la pandémie que ne l’est la Roumanie.


    Dans le même
    temps, la société civile cherche à aider le système de santé et les autorités,
    à travers le volontariat. À Bucarest, par exemple, 250 étudiants dont 150 de
    l’Université de médecine, ont répondu à l’appel de la préfecture de la capitale
    et travailleront dans deux centres d’enquêtes épidémiologiques par téléphone. « Nous
    sommes heureux de constater que nos étudiants font preuve d’un esprit civique
    réel et qu’ils contribuent à rendre meilleure la réalité de ces temps
    difficiles », a affirmé le président de l’Université de médecine et de
    pharmacie de Bucarest. Le premier ministre Ludovic Orban a lui aussi remercié
    les volontaires pour leur travail extraordinaire. Les étudiants des 2-e
    et 3-e années d’études de l’Institut de médecine militaire feront
    également du volontariat dans les centres d’appel de la Direction de la santé
    publique, tandis que les étudiants des 4-e, 5-e et 6-e
    années d’études travailleront dans les hôpitaux militaires du pays. À Cluj
    (nord-ouest de la Roumanie), 100 étudiants volontaires effectuent, eux aussi, des enquêtes
    épidémiologiques. Mardi, une centaine de salariés du secteur de la santé ont
    manifesté à Bucarest contre le manque de réponse du gouvernement aux demandes
    de soutien financier, logistique et de ressources humaines avancées par le
    syndicat SANITAS. (Trad. : Ileana Ţăroi)



  • Bénévole en Roumanie

    Bénévole en Roumanie

    En décembre 2018, la Maison de coopération francophone Ille et Vilaine de Sibiu souhaitait la bienvenue à une jeune française qui venait compléter la très dynamique équipe qui œuvre depuis des années déjà au service de la langue et de la culture française, dans cette région de Roumanie. Recrutée par l’Association partenaire Solidarité 35 Roumanie, Violette Vercamer a entamé son expérience de volontariat il y a 6 ans déjà, à travers le Service civique, un engagement volontaire au service de l’intérêt général ouvert aux 16-25 ans, élargi à 30 ans aux jeunes en situation de handicap. A l’heure où l’on parle, ce service est connu par 94 % de la population. 90 % des jeunes, et 89 % des plus de 26 ans, en ont une très bonne image, puisque, ça les aide à acquérir de l’expérience, à rendre service aux autres et à s’engager socialement. D’après les informations publiées sur la page facebook de l’Association, la jeune française prendra part à différents programmes censés renforcer le rôle du français dans les écoles de Sibiu et des alentours, tout en contribuant à la mise en place d’une série de projets qui font déjà tradition : le Festival international de la BD ou encore l’Université d’été francophone. Découvrez en plus sur Violette et sur sa présence en Roumanie en l’écoutant s’entretenir avec Ioana Stancescu de RRI.

  • Suppenküchen in Rumänien: Spender und Freiwillige mittels App vernetzt

    Suppenküchen in Rumänien: Spender und Freiwillige mittels App vernetzt

    Für Menschen, die auf der Stra‎ße leben, für alleinstehende und kranke Menschen, für Kinder aus armen Familien kann eine tägliche oder zumindest wöchentliche warme Mahlzeit einfach einen Traum darstellen. Um sie diesem Traum, der für den Rest der Bevölkerung nichts Au‎ßergewöhnliches ist, näher zu bringen, hat ein Freiwilligenverband in Klausenburg im Jahr 2013 das Projekt Eine warme Mahlzeit“ ins Leben gerufen. Heute, fünf Jahre später, wurde diese Idee sozusagen in andere Städte importiert“. Die Zahl der Portionen, die den Hilfsbedürftigen gespendet werden, ist somit auf 900 in der Woche gestiegen. Raimonda Boian ist einer der Urhaberinnen dieses Projekts.



    Das Projekt ist sehr schön gewachsen. Die Zielgruppe oder die Nutznie‎ßer kommen aus allen Sozialschichten, die Mahlzeiten benötigen und sich diese nicht leisten können. In der Kantine, die ich koordiniere, wenden wir uns an jene, die auf den Klausenburger Museumsplatz kommen und nach einer Mahlzeit betteln. Es sind Stra‎ßenmenschen, aber auch Personen, die eine Wohnung haben, doch kein Essen. Wir sind aber keine Sozialarbeiter, wir führen keine Sozialermittlungen durch, wir überprüfen die Leute nicht, die hierher kommen, um Essen zu verlangen, denn es ist wichtig, dass sie dieses Essen bekommen.“




    Obwohl Eine warme Mahlzeit“ ein von den Verwaltungsbehörden unabhängiges Projekt ist, hätte dieses nicht ohne die Unterstützung der Lokalbürgermeisterämter oder der Sozialhilfeanstalten in Klausenburg, Constanţa, Adjud, Bistrita (Bistritz), Satu Mare (Sathmar) und Bukarest umgesetzt werden können. Die Lebensmittel kommen zu 100% aus Spenden. In Klausenburg gibt es weiterhin die meisten Orte, wo eine warme Mahlzeit serviert wird, ausschlie‎ßlich mithilfe der Freiwilligen. Überraschend oder nicht, gibt es sehr viele Bedürftige und diese kommen aus allen Sozialschichten und Alterskategorien. Raimonda Boian:



    In der Klausenburger Kantine, die ich koordiniere, habe ich Freiwilligenteams, die sich bis Januar 2019 eingeschrieben haben. Mit tut es bereits leid, dass ich womöglich Frustrationen unter hilfsbereiten Freiwilligen hervorrufen werde, da wir erst ab Januar nächsten Jahres weitere Bewerbungen entgegennehmen können. Sie sind auch von der Zubereitung des Essens angezogen. Auch wenn man sich nicht auskennt, möchte man dazugehören. Das ist auch eine Attraktion. Die Tätigkeit ist angenehm und die Freiwilligen sind nicht sehr beansprucht. Einige von ihnen haben maximal ein Sandwich zubereitet.“




    In Bukarest wurde das Projekt Eine warme Mahlzeit“ unlängst von einer der Freiwilligen, Monica Abagiu, umgesetzt.



    Ich habe dieses Projekt letztes Jahr im Oktober übernommen. Ich hatte mich als Freiwillige im Mai 2017 beworben und dann habe ich gemeinsam mit Raluca Apostol die Koordination in Bukarest übernommen. Wir wollten früher in ein solches Projekt einsteigen. Wir haben uns für »Eine warme Mahlzeit« entschieden, weil Kochen ein Hobby von uns ist, und wir wurden auch von dem Gedanken angezogen, jemandem zu helfen. Wir hatten sowieso gemeinsam auch an anderen Freiwilligenprojekten teilgenommen.“




    Das Volontariat ist eine Tätigkeit, die Monica Abagiu gleichzeitig mit ihren anderen Aktivitäten betreibt. Ihr fällt es nicht schwer, das Familienleben und die beiden Freiwilligentätigkeiten in Bukarest für das Projekt Eine warme Mahlzeit“ unter einen Hut zu bringen. Ein Ort, an dem sie tätig ist, ist die Kantine Ominis im 4. Bezirk, in einer benachteiligten Gegend der Hauptstadt. Der andere Ort befindet sich im Viertel Ferentari, einer weiteren Problemzone. Monica Abagiu:



    Dort haben wir eine mobile Kantine. Genauer gesagt einen Krankenwagen, der mit einer Küche ausgestattet ist und auf dem Hof einer Schule im Viertel Ferentari geparkt ist. Die Menschen, die in der Ominis-Kantine versorgt werden, sind überwiegend Erwachsene: zwischen 70 und 100 Menschen. Sie kommen auch unter der Woche in die Kantine, aber wir kochen nur am Wochenende. Was die Schule angeht, handelt es sich um die Kinder, die dort lernen. Dort bereiten wir das Essen auch samstags und sonntags zu.“




    Die warmen Mahlzeiten, die nur zweimal die Woche angeboten werden, sind bei den Hilfsbedürftigen sehr willkommen. Somit überlegt sich Monica Abagiu, das Projekt auch auf andere Orte in Bukarest zu erweitern. Dabei zählt man auch auf moderne Technologie. Zur Erweiterung des Projekts Eine warme Mahlzeit“ könnten die Freiwilligen von der App ShareFood Unterstützung bekommen. George Jiglău ist einer der Urheber in Klausenburg. Er hat die Entstehung der App unterstützt. Deren Ziel ist unter anderem auch die Bekämpfung der Lebensmittelverschwendung. George Jiglău:



    Es handelt sich um eine Anwendung, wodurch wir versuchen, die Kommunikation zwischen den Lebensmittelherstellern und -Verkäufern und den Gemeinden, die Lebensmittel benötigen, zu vermitteln. In den fünf Jahren, seitdem das Projekt »Eine warme Mahlzeit« in Klausenburg läuft, ist es uns gelungen, mit den Leuten in Verbindung zu treten, die Lebensmittel spenden. Sie haben viele Nahrungsmittel, die sie nicht mehr verkaufen können und sowieso wegschmei‎ßen würden. Obwohl sich keiner wünscht, Essen wegzuschmei‎ßen. Die Anwendung kommt beiden Seiten entgegen. Sie ist ein Mittel zur Bekämpfung der Lebensmittelverschwendung, das die Zusammenarbeit zwischen Spendern und Spendenempfängern vermittelt.“




    Die App ShareFood ist nur juristischen Personen gewidmet: einerseits mögliche Spender — Firmen — andererseits Verbände, NGOs oder Pfarreien, die das Essen an die Hilfsbedürftigen übermitteln können. Die Anwendung wurde von zwei Informatikern geschaffen, die mehr tun wollten, nachdem sie in das Projekt Eine warme Mahlzeit“ eingestiegen waren. Zwei Monate nach der Lancierung ist die App in allen Städten des Landes funktionsfähig.

  • Kristina Piškur aus Slowenien: „Rumänien braucht stärkere Zivilgesellschaft“

    Kristina Piškur aus Slowenien: „Rumänien braucht stärkere Zivilgesellschaft“

    Kristina Piškur hat in rumänischen Krankenhäusern und Sozialzentren als Freiwillige gearbeitet. Laut dem ursprünglichen Plan sollte sie ein Jahr in Rumänien bleiben. Das war vor zwei Jahren, derzeit arbeitet sie als Projektkoordinatorin von Jugendarbeit beim Verband Curba de Cultură“ im mittelrumänischen Landkreis Prahova. Die 28-jährige ist studierte Politikwissenschaftlerin. Sie wurde in Ljubljana geboren. Als sie nach Bukarest kam, wusste sie nicht viel über Rumänien:



    Im September 2015 kam ich für ein Projekt einer Nichtregierungsorganisation im Bereich der klinischen Animation und Jugendarbeit nach Bukarest. In Bukarest habe ich in einer WG mit anderen Freiwilligen zusammengelebt. Wir bildeten ein internationales Team. Ich habe aus diesem Anlass zahlreiche Rumänen kennengelernt, die mich bei der Jugendarbeit inspiriert haben. Somit konnte ich verstehen, was Youth Work bedeutet, und wollte so viel wie möglich lernen. Als ich die Chance gekriegt habe, aufs Land zu ziehen, habe ich gar nicht gezögert, denn es gefällt mir sehr hier im Dorf Izvoarele, wo ich jetzt wohne. Ich habe mich hier sehr schnell integriert, fühle mich jeden Tag willkommen und deswegen bin ich hier geblieben. Am Anfang war ich sehr neugierig zu wissen, ob ich mich in eine völlig neue Gemeinde integrieren kann.“




    Nach zweieinhalb Jahren in Rumänien möchte Kristina Piškur ihren Aufenthalt verlängern. Sie ist fest davon überzeugt, dass jede Änderung in einer Gesellschaft auf lokaler Ebene beginnt, darum versucht sie als Jugendarbeiterin den Kindern und Jugendlichen das kritische Denken und das soziale Engagement beizubringen:



    Ich liebe so viele Sachen hier in Rumänien und ich wei‎ß, dass ich hier noch einiges zu tun habe. Wie ich feststellen konnte, gib es unzählige Ähnlichkeiten zwischen Rumänien und Slowenien. Hier spüre ich dieselben Gefühle wie in meiner Kindheit in Slowenien. Wie gesagt glaube ich, dass man noch so vieles in Rumänien machen kann, und ich kann es nicht ertragen, wenn so viele Rumänen sagen, dass man in ihrem Land nichts mehr machen kann, dass alles verloren sei. Das bedeutet, dass Rumänien eine stärkere Zivilgesellschaft braucht. Eine wichtige Rolle spielt aus dieser Sicht die Jugendarbeit. Die Zivilgesellschaft kommt durch Bildung und direktes Handeln zustande.“




    Was sich der Verband Curba de Cultură“ zum Ziel setzt, ist, den ländlichen Raum lebensfähig zu machen. Durch seine Projekte versucht der Verband die Schwierigkeiten zu verringern, mit denen sich die Jugendlichen im ländlichen Raum konfrontieren. Eine wesentliche Rolle kommt dabei dem Zugang zur Bildung zu. Nicht zuletzt setzten sich die Freiwilligen zum Ziel, den Kindern und Jugendlichen im ländlichen Raum mehrere Chancen auf eine bessere Zukunft und ein besseres Leben in ihrem Heimatort zu geben. Kristina Piškur gibt uns Einzelheiten über die Projekte des Verbands:



    Hier im ländlichen Raum arbeiten wir mit neun europäischen Freiwilligen zusammen, deren Tätigkeit sich um die nicht-formale Bildung dreht. Sie machen bei Englisch- und Französischunterricht als Muttersprachler mit. Das ändert wesentlich die Dynamik der Unterrichtsstunden, aber das ist nicht der einzige Vorteil, denn in dieser geschlossenen Gemeinde öffnet dieser Unterricht den Geist der Jugendlichen. So zum Beispiel lernen sie zum ersten Mal einen Veganer aus Italien kennen und so finden sie heraus, was das bedeutet und warum er kein Fleisch und keine Milchprodukte isst. Es handelt sich eigentlich um interkulturelle Beziehungen, die wir fördern. Darüber hinaus hoffe ich, dass wir am Jahresanfang, im Januar oder Februar, ein neues Projekt ansto‎ßen, das Jugendliche und Entscheidungsträger, also Mitglieder des Lokalrates aus dieser Gemeinde zusammenbringt, damit sie einen strukturierten Dialog aufbauen. Bei solchen Gesprächen versuchen wir, gemeinsame Interessen zu finden, so zum Beispiel was sich die Jugendlichen wünschen und wie die Lokalverwaltung dabei helfen kann. Die Initiative wird durch das Programm Erasmus+ finanziert und ich hoffe, dass die Gemeinde die positiven Auswirkungen direkt zu spüren bekommen wird. Ich hoffe, dass dieses Programm viele Jugendliche anlockt und dass sie somit verstehen, was es bedeutet, sich mit Entscheidungsträgern im konstanten Dialog zu befinden, Argumente vorzubringen und zusammen Lösungen zu finden, d.h., aktive Bürger zu werden.“

  • Volontäre helfen bei Erneuerung der Bergwegmarkierungen

    Volontäre helfen bei Erneuerung der Bergwegmarkierungen

    Ein Freiwilligendienst ist eine institutionalisierte Form ehrenamtlicher Arbeit, die zeitlich von vorneherein befristet ist und nach vorheriger Vereinbarung über Ausma‎ß und Art der Tätigkeit stattfindet. Dabei werden gemeinnützige Arbeitsaufgaben gegen eine gewöhnlich geringe oder auch gar keine Entlohnung übernommen. Lange Zeit war der Freiwilligendienst in Rumänien verpönt, weil die Leute an den obligatorischen Arbeitsdienst in der kommunistischen Zeit dachten.



    In den letzten Jahren haben die Rumänen aber verstanden, was der Freiwilligendienst wirklich bedeutet. Die nicht mehr von Kommunismus geprägte jüngere Generation nutzte die EU-Programme zur Unterstützung des sozialen Engagements aus und begann, freiwillige Arbeit in Bereichen wie Umweltschutz, Kultur oder Sozialhilfe zu leisten. Eine wichtige Rolle spielte dabei das 2014 erlassene Freiwilligendienstgesetz. Dieses Gesetz besagt, dass die Aktivitäten im Rahmen des Volontariatsvertrages als Arbeitserfahrung anerkannt werden, auch wenn die Laufzeit des Freiwilligendienstvertrages nicht zum Dienstalter angerechnet wird. Dementsprechend können junge Menschen den von ihnen geleisteten Freiwilligendienst als Argument bei einer Bewerbung bringen. Besonders wichtig war aber das Volontariat in letzter Zeit bei der Unterstützung der Gemeinden, die sich selbst helfen wollten, anstatt auf Hilfe vom Vater Staat zu warten.



    Ein Beispiel in diesem Sinne ist das jüngste Projekt des Verbandes ArtTour România in Zusammenarbeit mit dem Nationalen Zentrum für Information und Tourismusförderung Predeal und dem Bergrettungsdienst Salvamont Predeal. Bei dieser Aktion beteiligten sich mehr als 150 freiwillige Mitarbeiter an der Verbesserung und Erneuerung von 19 Bergwegen im Baiului-Gebirge, Piatra Mare, Postăvaru und Bucegi-Gebirge. Die Helfer haben eine Menge zu tun, um das Wegenetz in Schuss zu halten. Die Aktion wurde aus Liebe zu den Bergen gestartet und sollte auch bei vielen anderen Leuten die Lust zum Bergwandern erwecken. Mehr dazu vom Vizepräsidenten der Touristik-Werbeagentur ArtTour, Octavian Bodron:



    Ich liebe die Berge, in meiner Freizeit gehe ich im Gebirge wandern und versuche, viele schöne Regionen Rumäniens dem Publikum bekanntzumachen. Ich wünschte mir sehr, dass wir eine bessere Informierung und Orientierung anbieten, damit die Touristen sich nicht mehr im Gebirge verlaufen und keine Risiken eingehen. Unser Wunsch ist, dass die Touristen sich am Gebirge erfreuen und die frische Luft genie‎ßen können, dass sie richtig informiert auf sicheren, korrekt markierten Bergwegen und Pfaden wandern können.“




    Octavian Bodron hat mit seinem Enthusiasmus viele andere junge Leute angesteckt — diese haben sich entschlossen, in ihrer Freizeit freiwillige Arbeit im Gebirge zu leisten. Ionela ist auch dabei:



    Ich bin mit einer freiwilligen Mitarbeiterin des Verbandes ArtTour befreundet und helfe auch mit. Mir gefällt dieser Verband, die Projekte finde ich gut und ich bin gern dabei. Wenn ich auf Wanderung im Gebirge bin, möchte ich genau wissen, wo ich mich befinde — daher ist mir die Erneuerung der Markierungen auf den Bergwegen und Pfaden besonders wichtig. Ein korrekt markierter Weg ist lebenswichtig — keiner will sich im Gebirge verlaufen oder in eine Bärenhöhle geraten. Ich bin auch im Umweltschutz aktiv — wenn ich im Gebirge auf Müll sto‎ße, werde ich zuerst wütend, dann fange ich an, den Müll der leichtsinnigen Touristen zu sammeln, um die Berge sauber zu halten. Es ist wirklich keine gro‎ße Anstrengung. Ich möchte die Menschen erziehen, damit sie die Berge nicht mehr mit Abfällen verschmutzen.“




    In ihrer Freizeit beteiligt sich Ionela auch an anderen freiwilligen Aktionen:



    Ich gehe einer geregelten Arbeit nach und normalerweise hätte mein Leben nichts mit dem Volontariat zu tun. In meiner Freizeit habe ich aber andere Prioritäten, und eine davon ist eben das Volontariat. Ich stelle Handmade-Produkte her und ich helfe bei einem Verband, der Heimkinder unterstützt. Mein Leitwort ist »entscheiden«. Ich habe mich fürs Volontariat entschieden, und das zählt. Und mir ist auch etwas aufgefallen: In letzter Zeit haben sich viele Menschen dafür entschieden, sich an Volontariatsaktionen zu beteiligen, jeder auf seine Art, je nach seinen Interessen und Vorlieben. Es ist wichtig, dass diejenigen, die Freiwilligendienst leisten, auch ihre Freunde dafür gewinnen. Zusammen arbeiten wir besser, und wenn wir anderen helfen, helfen wir uns selbst.“




    Nach der Erneuerung und Markierung der Bergwege in der Gegend um Predeal wird der Verband ArtTour im Rahmen des Projekts ReMarking Romania“ auch weitere Aktionen derselben Art in anderen Regionen Rumäniens organisieren.

  • Gemeinnütziger Verein veranstaltet Aufforstungskampagne

    Gemeinnütziger Verein veranstaltet Aufforstungskampagne

    Kinder, Jugendliche, Gendarmen, Einwohner mobilisieren sich gegen die Abholzung der Wälder, ein Phänomen, das seit vielen Jahren Rumäniens Natur zerstört. Es geht um die grö‎ßte Aufforstungsaktion in unserem Land. Die Organisatoren haben sich vorgenommen, mehr als eine Million Bäumchen auf die unproduktiven Flächen zu pflanzen. Liana Buzea, die Initiatorin des Projektes Plantăm fapte bune în România“, kommt mit Einzelheiten:



    Am 25. März fand in der Ortschaft Siliştea-Gumeşti im Kreis Teleorman die erste und einzige Aufforstung des Frühjahrs statt. Wir haben den Start gegeben und setzen fort, was wir im vergangenen Jahr begonnen haben. Wir hatten insgesamt 5000 Bäumchen und haben rund 1 Ha bepflanzt. 450 Volontäre haben sich daran beteiligt. Wir wollen durch dieses Projekt an der Aufforstung Rumäniens beitragen. Unsere Aufgabe ist, die Menschen zu sensibilisieren, zu mobilisieren. Wir pflanzen auf schlechtem Ackerland sowie dort, wo es Erdrutsch- und Überschwemmungsrisiko gibt. Danach pflanzen wir auch entlang der Stra‎ßen, wo Windschutzwälder notwendig sind.“




    Eine weitere Aktion wird im Herbst am 18. November stattfinden und wird in 15 Kreisen durchgeführt. Die Stadtverwaltungen und die Lokalräte werden die Flächen identifizieren, die aufgeforstet werden müssen, so dass die Freiwilligen an die Arbeit gehen können. Sie bekommen dafür ein Green Endorsement“-Diplom, das von mehr als 30 berühmten Unternehmen anerkannt wird. Liana Buzea dazu:



    Wir haben im Jahre 2011angefangen. Es war das Internationale Jahr der Wälder und das Europäische Jahr des Volontariats. Deshalb haben wir im ganzen Land eine Aufforstungsinitiative lanciert, die wir später »Plantăm fapte bune in România« nannten. Wir waren in mehr als 21 Landkreisen aktiv und haben 180 Ha aufgeforstet. Mehr als 27 Tausend Freiwillige haben im Frühjahr oder Herbst 600 Tausend Bäumchen gepflanzt. Wir helfen besonders im Sommer, wenn wir Unkraut jäten und mit dem Spaten den Boden um die Bäume lockern.“




    Wer an den Pflanzaktionen teilnehmen will, kann sich auf der Internetseite www.plantamfaptebune.ro einschreiben.

  • Volontariat: Hilfe für Pflegeheimkinder auf dem Weg ins Erwachsenenalter

    Volontariat: Hilfe für Pflegeheimkinder auf dem Weg ins Erwachsenenalter

    Gleich nach der Wende hat die ganze Welt erfahren, wie katastrophal die Verhältnisse in den rumänischen Waisenhäusern waren. Die Lage hat sich seitdem enorm verbessert. Probleme gibt es aber nach wie vor in den jetzigen Pflegeheimen. NGOs versuchen den Kindern zu helfen, ein normales Leben als künftige Erwachsene zu führen.



    Das Bildungsprogramm Ajungem mari“ — Wir werden gro‎ß“ wurde vor einem Jahr ins Leben gerufen. Ziel des Programms ist es, den Kindern aus den Pflegeheimen Bukarests zu helfen, verantwortliche, unabhängige und selbstbewusste Erwachsene zu werden. Durch langfristige und an ihre Bedürfnisse angepasste Bildungsprogramme können sie das Trauma ihres Lebens im Pflegeheim oder in einer Problemfamilie überwinden. Iarina Ştefănescu hat das Programm eingeleitet und erläutert:



    Das Bildungsprogramm »Wir werden gro‎ß« startete, nachdem ich in einem Englisch-Projekt in den sozialen Einrichtungen involviert war. Und ich sah, dass zwei Stunden spielerischer Bildung in der Woche für die Kinder, die von Volontären unterstützt werden und denen interaktiv neue Sachen beigebracht werden, sehr viel bedeuten. Es zählen sowohl die angeeigneten Kenntnisse und Werte als auch das Vertrauen und die Offenheit, die sie dann zeigen.“




    Iulia Blaga und Andreea Dumitru arbeiten als Volontärinnen für das Programm Wir werden gro‎ß“. Mit den Kindern sind sie ins Kino gegangen, sie haben Museen und Büchereien besucht, Blumen gepflanzt und gemalt, sind in den Park gegangen und haben ihnen die Stadt gezeigt. Das Fehlen der Motivation der Kinder und des Personals in den Pflegeheimen sei eines der grö‎ßten Probleme des Systems. Andreea Dumitru dazu:



    Die Kinder sind nicht motiviert, in die Zukunft zu blicken, vielleicht weil die nicht allzu viele Alternativen haben, im Pflegeheim oder au‎ßerhalb des Heimes. Mit 18 Jahren verlassen sie das Heim und gehen ins Unbekannte. Wir als Volontäre versuchen, ihnen zu zeigen, dass jeder von uns es irgendwie im Leben geschafft hat, dass jeder von uns letzten Endes seinen Weg gefunden hat. Ich möchte, dass diese Kinder verstehen, dass nicht alles vorherbestimmt ist, dass es auch andere Sachen au‎ßerhalb der Institutionen gibt, dass sie sich auch au‎ßerhalb dieses Systems entwickeln können. Manchmal haben wir den Eindruck, dass wir, die Volontäre, ein Tropfen im Ozean sind und dass alles, was wir mit den Kindern in der einen Stunde unternehmen, umsonst ist.“




    Iulia Blaga berichtet auch über ihre Erfahrung mit den Kindern aus den Pflegeheimen:



    Man muss mit ihnen viel arbeiten, aber mein Eindruck ist, dass sie sehr rezeptiv sind. Manchmal glaube ich, dass sie morgen alles wieder vergessen, aber andererseits denke ich, dass das, was wir ihnen sagen, für immer bleibt. Ich habe ihnen mal den Film »Der Vagabund« und »Das Kind« von Charlie Chaplin gezeigt, die haben ihnen sehr gefallen.“




    Andreea Dumitru erzählt über das nicht immer reibungslose Verhältnis zum Pflegepersonal und zu den Kindern selbst:



    Ich habe viel gegen die Einstellung des Personals und der Kinder gekämpft. Man sagt den Kindern oft: ‚Du wei‎ßt nichts, du kannst nichts, aus dir wird nichts.‘ Und ich habe mich gefreut, wenn ich eine Geste in die entgegensetzte Richtung gesehen habe. Manche Kinder habe ich lieb gewonnen, insbesondere zwei, die fast keine Familie haben, und ich möchte mit ihnen langfristig arbeiten. Es ist eine Herausforderung mit einem Kind zu arbeiten, dem man von Anfang an keine Chance eingeräumt hat. Ich möchte mit den Kindern so viel Zeit wie nur möglich au‎ßerhalb der Heime verbringen. Ich bin mir sicher, dass sie in ein paar Jahren viel nachholen werden.“




    Die Volontärin Iulia Blaga achtet im Umgang mit den Kindern auch auf die richtige Grammatik und vermittelt nicht selten soziale Kompetenzen:



    Sogar die kleinen Fortschritte in der Grammatik können als Fortschritte angesehen werden. Wenn man ihre Fehler ein paar Mal berichtigt, begreifen sie, wie es richtig hei‎ßt. Ich versuche, an die kleinen Sachen, die klappen, zu denken. Ich bringe einem Jungen Lesen und Schreiben bei. Ich habe ihn gebeten, die vereinbarten Stunden einzuhalten, und ich habe gemerkt, dass er begonnen hat, sein Wort zu halten. Wir haben das Naturkundemuseum »Grigore Antipa« und die Bücherei »Cărtureşti Carusel« besucht. Da hat er viele Leute gesehen und er hatte Angst, er wusste nicht, wie er reagieren soll. Ihm schienen alle Kinder schlauer, netter, beliebter und mit mehr Wertschätzung bedacht. Letztendlich haben wir uns hingesetzt und haben uns ein Motorrad-Album angeschaut. Jeder wählte sich ein Motorrad aus, so wie die Kinder das machen. Als ich mit ihm zum Internationalen Film-Festival »Next« gegangen bin, habe ich gemerkt, dass er handwerklich begabt ist. Eine Künstlerin bastelte Röcke aus Draht, so wie diese im Film zu sehen waren. Er bastelte auch einen Rock und hat ihn mir geschenkt. Ich möchte ihm helfen, dieses Talent zu entwickeln.“




    Iarina Ştefănescu, die Gründerin und Koordinatorin des Bildungs-Programms Wir werden gro‎ß“, hält die Förderung von Begabungen für besonders wichtig:



    Ich finde es sehr nützlich, wenn wir auch die Talente und Fähigkeiten der Kinder entdecken, um ihnen langfristig zu helfen. Der nächste Schritt ist das Projekt »Wage, zu träumen!«. Wir möchten sie in unterschiedliche Fabriken, Unternehmen bringen, um mit Menschen aus unterschiedlichen Bereichen in Kontakt zu kommen. In vielen Fällen haben sie keine Vorbilder und sie wissen nicht, was ein Beruf voraussetzt. Natürlich fällt es ihnen dann schwer, ihren eigenen Weg zu finden. Sie brauchen Menschen, die ihnen erzählen können, was sie erlebt haben, dass sie auch unsicher waren und Schwierigkeiten bewältigen mussten, es aber bis zuletzt geschafft haben.“




    Das Bildungsprogramm Wir werden gro‎ß“ wird in Zukunft auch au‎ßerhalb von Bukarest implementiert. Timişoara, Iaşi, Cluj und Buzău sind die nächsten Städte, wo die Volontäre des Programms demnächst tätig sein werden.

  • Le volontariat pour sauver les forêts

    Le volontariat pour sauver les forêts

    Source complexe d’air pur, de biodiversité, d’emplois, de denrées alimentaires ou encore de matières premières, les forêts occupent actuellement 6,4 millions d’hectares, soit un tiers du territoire de la Roumanie. La Régie nationale des forêts Romsilva détient la moitié de cette superficie, l’autre moitié appartenant à des propriétaires privés. Les restrictions légales concernant l’exploitation sont peu ou pas appliquées par les propriétaires privés, indique Alin Uşeriu-Ulhman, président de l’association Tăşuleasa Social”. D’ailleurs, il considère que le défrichage a atteint un malheureux niveau record ces dernières années. «Si nous faisons la comparaison avec les derniers 25 ans, jamais dans l’histoire de la Roumanie les forêts n’ont subi une telle agression. Notre association déroule son activité dans les Carpates, mais, malheureusement, nous n’avons aucun plan cohérent ciblé sur les 850.000 fermes de montagne; le seul plan est en fait le pillage des montagnes, qui est mis en œuvre par beaucoup de monde, mais avec la participation de ceux qui sont chargés de leur protection. (…) Je crois que, de ce point de vue-là, nous sommes très mal en point. Une agression constante a lieu contre la forêt depuis 25 ans. »



    Le déboisement massif a attiré l’attention de plusieurs ONG qui essayent de remédier à cette situation, avec les moyens qui sont les leurs: lobbying, protestations, plantations de plants forestiers. Aux côtés de Tăşuleasa Social”, le Fonds Mondial pour la Nature attire aussi l’attention sur l’importance de la sauvegarde des forêts. Csibi Magor, directeur du Fonds Mondial pour la Nature Roumanie, croit que les défrichements des dernières années s’expliquent par la mauvaise application des lois. Csibi Magor: «La législation roumaine en la matière et les principes sur lesquels repose l’actuel Code forestier sont bons. C’est pour ça d’ailleurs que nous avons encore des forêts primaires ou naturelles, avec une grande diversité d’espèces de la flore et de la faune. Le fait que ce Code forestier n’est pas appliqué ou que son application est lacunaire c’est un autre sujet. Dans le même temps, il faut se référer aussi au ministère de la Justice, puisque, tant qu’environ 95% des affaires d’infraction au Code forestier ne sont pas finalisés, il est très difficile de parler de lutte contre la corruption dans le domaine forestier. »



    Un autre problème législatif découle du fait qu’en Roumanie les opportunités offertes par l’UE ne sont pas valorisées comme elles le devraient. C’est le cas, par exemple, des financements européens mis à la disposition des 28, à travers le Fonds européen pour le développement rural, pour des projets de reboisement, de sauvegarde des écosystèmes et de développement des communautés rurales des zones boisées. Csibi Magor : «Au niveau de l’UE, il existe des fonds destinés aux forêts, mais ça ne veut pas dire que de tels fonds existent aussi en Roumanie. Moi, je pense que nous avons mal négocié avant l’adhésion de 2007, parce que le fonds de développement rural ne contient pas de chapitre ‘forêts’. Nous avons failli commettre la même erreur pour l’exercice budgétaire 2014-2020 et nous retrouver sans argent pour les forêts pendant 7 autres années. Les propriétaires forestiers ont protesté à Bucarest, nous avons soutenu leur action et le ministère de l’Agriculture nous a promis d’introduire les forêts dans le nouveau Plan de développement rural. »



    Les protestations civiques et l’implication sociale semblent donc résoudre le problème à moitié, du moins jusqu’à une implication plus ferme des autorités — ce que les membres de « Tăşuleasa Social » sont loin d’ignorer. Créée en 2001, cette organisation utilise des bénévoles, grâce auxquels des milliers de plants d’arbres ont été planté, au fils des années, notamment en Transylvanie, mais aussi aux alentours de Bucarest. « En Roumanie, on a une perception erronée du bénévolat/volontariat. Et de toute façon, cette activité, on ne peut l’expliquer, il faut la sentir. En outre, faire quelque chose pour les autres, c’est faire son devoir en tant qu’être humain — estime Alin Uşeriu-Uhlman, qui, par la force de la conviction, a réussi à mobiliser des milliers de personnes pour chaque boisement. Quelle superficie ont-ils réussi à reboiser ? Disposent-ils d’un nombre suffisant de plants d’arbres?


    Alin Uşeriu-Uhlman: « Pas assez, hélas ! Nous avons planté 115 hectares, bénéficiant de la participation de plus de 5 mille jeunes. Malheureusement, c’est toujours 115 hectares de forêts que l’on abat chaque jour en Roumanie. C’est pourquoi nous ne pouvons pas rester les bras croisés et cette initiative a été notre seule forme de lutte. Les forêts de Roumanie sont un bien européen, pas uniquement roumain. C’est pourquoi je dis toujours que le bois n’est pas uniquement la propriété de ceux qui l’exploitent, il est la propriété commune de tous les citoyens. La nature retrouve un équilibre d’une façon ou d’une autre, mais je n’ai aucune idée de ce que nous, les citoyens, allons faire. Ce que nous faisons est un début, mais, malheureusement, la « boîte de résonance » de ceux qui ont la nature en garde et qui devraient dire « non » à ces abus, n’est pas encore assez grande. »



    L’implication sociale est vitale et elle doit être maintenue et intensifiée actuellement, lorsqu’un nouveau Code forestier est en train d’être négocié au Parlement de Bucarest. Csibi Magor, directeur du Fond Mondial pour la Nature Roumanie. « L’implication sociale fera peut-être la différence. Le Code forestier, dans la première variante, proposait une entière ouverture aux demandes du marché en matière d’exploitation du bois. Nous sommes intervenus toute de suite et avons prié tous les partisans du Fonds Mondial pour la Nature Roumanie d’envoyer des SMS aux parlementaires ou de les appeler pour leur expliquer que ce n’est pas là l’avenir qu’ils souhaitent pour leur pays. Qu’est-ce qui est arrivé après ? Le premier jour, 9 députés ont retiré leur signature du projet de loi. Après de nombreuses campagnes, 4 variantes du Code forestier ont été renvoyées à la commission parlementaire. A présent, nous en disposons d’une rédigée suite à des consultations avec la société civile, mais le document est bloqué au Parlement. L’important, c’est que la première variante du Code, tellement nuisible, n’a pas été votée. Et cette pression doit être maintenue. »



    L’implication civique et le volontariat sont donc deux modalités de corriger les différentes situations négatives — qu’il s’agisse des défrichages ou d’autres problèmes sociaux. (Trad. : Ileana Ţăroi, Dominique)

  • Volunteers’ Fest – das erste Festival der Freiwilligen Mitarbeiter in Rumänien

    Volunteers’ Fest – das erste Festival der Freiwilligen Mitarbeiter in Rumänien

    Im Jahr 2011 wurden anlä‎ßlich des Europäischen Jahres der Freiwilligentätigkeit einige nicht gerade optimistische Statistiken veröffentlicht. Laut einer soziologischen Studie von 2007 erklärten nur 14,4% der Rumänen, sie hätten in den letzten 12 Monaten freiwillige Arbeit geleistet, während der EU-Durchschnitt im selben Jahr bei 23-25% lag. 2008 zeigte ein Meinungsbarometer, da‎ß die jungen Leute sich nur sehr wenig für freiwilige Arbeit in Nichtregierungsorganisationen interessierten. Mehr als die Hälfte der befragten Jugendlichen waren nicht bereit, als freiwillige Mitarbeiter in NGOs mitzumachen, etwa ein Drittel erklärten sich im Prinzip offen für eine Freiwilligetätigkeit, und nur ein kleiner Teil der Befragten arbeiteten de fakto als Freiwillige.



    Und doch sind die meisten freiwilligen Mitarbeiter von Nichtregierungsorganisationen hauptsächlich junge Menschen und sie werden in letzter Zeit immer zahlreicher. In Anerkennung ihrer Bemühungen und Hingabe wird der ganze Monat April den Freiwilligen gewidmet, mit dem ersten Festival der Freiwilligen Mitarbeiter, Volunteers’ Fest“, das von den Freiwilligen selbst durch ihren Verein Die Freiwilligenbrigade“ organisiert wird. Projektmanagerin Cristina Mercioniu, selbst Studentin und ehrenamtliche Mitarbeiterin in einem NGO, sagte uns, wie das Festivalprogramm aussieht:



    Der gesamte Monat April ist den Freiwilligen gewidmet. Das Festival beginnt und endet mit einer Theateraufführung. Das erste Theaterstück, das am 1. April aufgeführt wurde, trug den Titel »Blo‎ß ein Volontär« und ist eine Produktion des Theaters Forum. Dann hatten wir unsere kreative Woche mit vielen Workshops, die die Kreativität fördern — Origami, Malen und Zeichnen, Modedesign. Es folgte eine Bildungswoche, die mehrere Ausbildungskurse angeboten hat, darunter auch einen Kurs über Organisation und Durchführung von Veranstaltungen. In der zweiten Hälfte des Festivals veranstalteten wir die praxisorientierte Woche, mit einem Wettbewerb der NGOs, und die Sportwoche mit den Olympischen Spielen der freiwilligen Mitarbeiter. Wir haben auch ein Konzert vorbereitet, bei dem wir bis zum Morgengrauen feiern werden.“



    So werden die freiwilligen Mitarbeiter, die normalerweise während der Konzerte arbeiten müssen, und sich daran nicht richtig erfreuen können, auch ihre wohlverdiente Entspannung genie‎ßen. Abgesehen davon ist das Festival der Freiwilligen auch eine Motivation für die jungen Leute, doch eine ehrenamtliche Tätigkeit auszuprobieren. Über andere geplante Anregungen, die sich noch im Projektstadium befinden, spricht Cristina Mercioniu:



    Mit diesem Projekt wollen wir eine Freiwilligen-Mitgliedskarte mit Vorteilen für alle Freiwilligen implementieren. Es handelt sich um ein Pilotprojekt, das wir zuerst mit der Freiwilligenbrigade ausprobieren möchten. Die Freiwilligenkarte ist eigentlich ein kleines Buch, in dem die Erfahrung des freiwilligen Mitarbeiters, die Anzahl der Events, an denen er teilgenommen hat, und ähnliches notiert wird. Mit diesem Buch können die freiwilligen Mitarbeiter ihre Erfahrung beweisen und werden glaubwürdiger, wenn sie sich für einen Arbeitsplatz bewerben. Weitere Vorteile wären auch Preisermä‎ßigungen für die öffentlichen Verkehrsmittel, ähnlich wie für Studenten. Die ehrenamtlichen Mitarbeiter sind aber eine andere Art von Studenten, sie erwarten nicht nur Ermä‎ßigungen, sondern sie leisten auch etwas für die Gesellschaft.“



    Der 2008 gegründete Verband Die Freiwilligenbrigade“ stellt ehrenamtliche Mitarbeiter für Organisatoren von verschiedenen Veranstaltungen zu Verfügung. Die Freiwilligen sind bereit, bei der guten Durchführung der Veranstaltungen und Events zu helfen. Der Gründer der Freiwilligenbrigade“, Ionuţ Tunaru, beteiligt sich am Festival der freiwilligen Mitarbeiter, um den jungen Leuten einge Tipps und Tricks der Freiwilligentätigkeit zu verraten. Wir fragten Ionuţ Tunaru, wie er auf die Idee der Freiwilligenbrigade“ gekommen ist:



    Ein Event-Veranstalter fragte mich, ob ich ein Freiwilligenteam für ein Festival zusammenbilden könnte. Ich sagte sofort ‚ja‘, und ich dachte, ich könnte es allein durchziehen, aber ich schaffte es nicht. So begann ich, mein Team zu bilden. Wir hatten Erfolg mit unserem ersten Event, wir hatten auch ein zweites Event mit demselben Veranstalter in 2009 und seit 2010 arbeiten wir mit mehreren Event-Veranstaltern zusammen. Inzwischen haben wir sehr viele freiwillige Mitarbeiter, es gibt, glaube ich, etwa 800 Namen in unserer Datenbank.“



    Gibt es Vorteile für die jungen Leute, die als freiwillige Mitarbeiter tätig sind? Ionuţ Tunaru:



    Diese jungen Leute entwickeln gewisse Fähigkeiten und setzen ihre eigenen Ideen und Kenntnisse in die Praxis. Irgendwann werden sie weitergehen, eine Arbeit suchen. Auch wenn die angestrebte Stelle mit der Organisation von Veranstaltungen nichts zu tun hat, haben die jungen Leute gelernt, ihre Zeit und ihre Arbeitsweise besser zu organisieren. Man lernt, effizient zu sein, Verantwortung zu übernehmen, man wei‎ß, zum Beispiel, da‎ß, wenn einer sich verspätet, 30 oder 40 andere Leute nicht rechtzeitig in die Veranstaltung kommen. Solche Organisierungsfähigkeiten trainiert man als freiwilliger Mitarbeiter.“



    Das letzte Event im Rahmen des Festivals der freiwilligen Mitarbeiter Volunteers’ Fest“ ist ein Konzert mit mehreren neuen Musikgruppen, ganz nach dem Geschmack der jungen ehrenamtlichen Mitarbeiter.



    Audiobeitrag hören: