Category: Gens d’aujourd’hui

  • Ramona Horvath

    Ramona Horvath

    Virtuose du piano, magicienne de l’improvisation qui nous emmène vers des horizons insoupçonnés dans l’univers du jazz, Ramona Horvath adore rencontrer son public roumain. Elle a donc profité d’une brève embellie accordée par la pandémie pour nous proposer, avec le contrebassiste français Nicolas Rageau, son partenaire de scène, un voyage musical dans plusieurs villes de Roumanie. La tournée a eu lieu en septembre 2021, dans le sillage du Festival International George Enescu. Ramona Horvath et Nicolas Rageau en ont parlé au micro de RRI après leur retour en France.

  • Gregory Rateau

    Gregory Rateau

    Journaliste, cinéaste, ancien chroniqueur de la rédaction francophone de RRI, écrivain et, depuis quelque temps, poète, Grégory Rateau est revenu dans le studio de notre radio pour parler de son tout récent recueil de poèmes « Conspiration du réel » (paru cette année aux Éditions Unicité) et de son parcours poétique qui se précise. Une interview en toute sincérité. Bonus: Une belle lecture de son poème « Château Rouge », avec Chantal Bidet.






    Château Rouge de Grégory Rateau lu par Chantal Bidet :


  • Ana-Cosmina Popescu

    Ana-Cosmina Popescu

    Ana-Cosmina Popescu est une
    jeune ingénieure en informatique et francophone passionnée, auteure de
    Lecturino, l’application qui aident les élèves à cultiver leur goût de la
    lecture en roumain, français et anglais. Dans cette interview-portrait, elle parle de ses deux grandes passion – l’informatique, bien-sûr, et surtout la langue française.



  • Grégory Rateau

    Grégory Rateau

    Français vivant en Roumanie, formé à la
    réalisation de films, ex-chroniqueur à RRI, rédac en chef et, depuis peu,
    patron du média en ligne lepetitjournal.com/Bucarest, Grégory Rateau s’est
    aussi fait connaître en tant qu’auteur. Il a signé « Hors-piste en
    Roumanie », un volume de récits de voyage subjectif, et « Noir de
    soleil », un roman dont l’action est placée au Liban. Et puis, il y a
    aussi le poète Grégory Rateau.




  • Loredana Popi

    Loredana Popi

    Loredana Popi a découvert la langue française au sein de sa famille. Ce fut un coup de foudre qui s’est transformé en une passion pour toute la vie. Une passion complétée par une autre, celle de la profession enseignante que Loredana Popi a choisie sans la moindre hésitation. Proviseure du Lycée Voltaire, établissement bilingue français-roumain, de Craiova et présidente de la filiale du département de Dolj de l’Association des professeurs de français de Roumanie, elle a été nommée chevalier dans l’Ordre des Palmes académiques de la République Française. Loredana Popi est l’invitée de Gens d’aujourd’hui.

  • Hélène Roos, conseillère de coopération et d’action culturelle et directrice générale de l’IFR

    Hélène Roos, conseillère de coopération et d’action culturelle et directrice générale de l’IFR

    La diplomatie culturelle, tout comme
    la diplomatie tout court, est un domaine d’expériences professionnelles et
    humaines qui changent, qui se touchent et qui ne se ressemblent pas. C’est
    aussi un domaine de bilans récurrents et de mise en perspective, encore une
    fois, professionnelle et personnelle. Au bout de trois ans de mandat de diplomatie
    culturelle en Roumanie, Hélène Roos, conseillère de coopération et d’action
    culturelle à l’ambassade France et directrice générale de l’Institut français
    de Roumanie, tire sa révérence et s’apprête à découvrir d’autres horizons.


  • Chambéry à l’heure du livre

    Chambéry à l’heure du livre

    Le Festival du premier roman
    de Chambéry a été créé en 1987. Cela fait donc trente-quatre ans que cet
    événement littéraire découvre des auteurs européens et francophones, dont,
    depuis une dizaine d’années, des auteurs roumains aussi. Retour sur l’édition
    2021, grâce à la lauréate roumaine du Festival de Chambéry, Ioana Maria
    Stăncescu, journaliste à la rédaction en langue française de RRI et auteure d’un
    premier roman intitulé « Tout ce que j’ai promis à mon père », à
    Simona Ferrante et Florina Ionescu, deux
    membres du comité de lecture « DOR » de Chambéry, qui
    lit et vote les premiers romans en langue roumaine.


  • Ioana Stăncescu

    Ioana Stăncescu

    Il y a un petit peu plus
    d’un an, notre collègue de rédaction, Ioana Stăncescu, nous annonçait la
    parution de son premier livre – le roman « Tot ce i-am promis tatălui meu »
    (« Toute ce que j’ai promis à mon père ») – au lancement duquel nous
    étions tous invités. Mais la pandémie s’en est mêlée et tout a été reporté,
    avant d’avoir effectivement lieu…en ligne et tout le monde a découvert un livre
    et une auteure d’une qualité évidente. La présence d’Ioana dans « Gens d’aujourd’hui »
    tenait aussi de l’évidence, mais les planètes avaient du mal à s’aligner pour
    que cela arrive. Et puis, ce printemps, son roman est récompensé au Festival du
    premier roman de Chambéry. Les planètes se sont enfin alignées. Voici l’entretien
    avec Ioana Stăncescu.



  • Maria Monalisa Pleșea

    Maria Monalisa Pleșea


    En temps de pandémie, la créativité des gens d’aujourd’hui est mise au service des gens de demain, pour notre avenir à tous. Rien qu’un exemple – un outil pédagogique et culturel, mis au point par une amie de RRI: Maria Monalisa Pleşea, qui a coordonné le Centre culturel francophone de Buzău et qui enseigne actuellement le roumain à l’Ecole internationale de Luxembourg, nous parle de LECTURINO, une plateforme en ligne imaginée pour encourager les enfants à lire. En roumain, pour l’instant, en français et en anglais un peu plus tard.



    Retrouvez l’application Lecturino ici:


    https://lecturino-firebase.web.app/






  • Roxana Pavnotescu

    Roxana Pavnotescu

    Roxana a commencé à écrire très tôt, un livre dans son enfance. « Tout ce que jai écrit est une forme dauto thérapie », déclare lauteure de cinq livres publiés. Ils se refusent tous à entrer dans une certaine catégorie, ils sont pleins de symboles et de renvois attestant dune culture extrêmement vaste. Le dernier publié est Cartea neiertăciunilor, titre que lon pourrait traduire par « Le Livre des non-adieux ». « A l’instar des précédents volumes de prose de Roxana Pavnotescu, Cartea neiertăciunilor comprend dans son fil narratif lyrisme, fantaisie, humour, psychologie (bien des fois abyssale), éléments fantastiques et oniriques. Le lyrisme est une composante constante maintenue par le symbole des bernaches « de la mère », qui suivent l’écrivaine partout », disait le critique Dumitru Micu dans le préambule à ce dernier livre en date. Entretien.


  • Colette Duquesne

    Colette Duquesne

    Créée en 1979 pour accompagner la rédaction de la Convention internationale sur els droits de l’enfant, jusqu’à l’adoption par l’ONU en 1989, l’association « Défense des Enfants International – France » fonctionne sous un slogan impactant : « Appliquer les droits de l’enfant pour construire une société respectueuse des droits de l’homme ». Sa présidente, Colette Duquesne, s’est trouvée en Roumanie, au début du mois de mars, dans le cadre d’un projet, actuellement suspendu en raison de la pandémie de coronavirus. Invitée au micro de RRI, elle a parlé des missions assumées par DEI-France et par son très bref voyage en Roumanie.



  • Rwanda – le génocide des femmes Tutsi

    Rwanda – le génocide des femmes Tutsi

    C’est en décembre dernier que le Centre Régional Francophone de
    Recherches Avancées en Sciences Sociales de Bucarest, en partenariat avec le Bureau
    pour l’Europe Centrale et Orientale de l’Organisation Internationale de la
    Francophonie et l’Institut de Sociologie de l’Académie Roumaine (Laboratoire
    Violence et criminalité. Médiation et prévention), a organisé une table ronde
    consacrée à un thème peu abordé en Roumanie : « Femmes et génocides en
    Europe Centrale et Orientale ». Les présentations de spécialistes des sciences humaines et sociales, évoquant des
    tragédies survenues dans cette région de notre continent, ont été complétées
    par un témoignage poignant, venu du continent africain. Yvette Rugasaguhunga
    Nyombayire, du Rwuanda, membre de la représentation diplomatique de son pays au
    Sénégal, y a parlé du génocide des femmes Tutsi, en 1994. Yvette
    Rugasaguhunga Nyombayire a aussi répondu aux questions d’Ileana Ţăroi, sur
    Radio Roumanie Internationale.


  • Maria Monalisa Plesea

    Maria Monalisa Plesea

    Le 1-er décembre, les Roumains
    célèbrent leur Fête nationale et certains le font un peu à l’avance, pour des
    raisons objectives. C’était le cas au Luxembourg, où les festivités consacrées
    à la Fête nationale de la Roumanie ont eu un chapitre « Spécial
    Enfants », comme nous le raconte Maria Monalisa Pleşea, professeure de
    roumain à l’Ecole internationale Luxembourg 2.



  • Frédéric de La Mure et ses photos

    Frédéric de La Mure et ses photos

    Après plus de trente ans
    de bons et loyaux services en tant que photographe officiel du ministère
    français des affaires étrangères, Frédéric de La Mure a décidé de se consacrer à d’autres projets, personnels cette
    fois-ci. Il part ainsi à l’aventure, suivant à vélo les 2973 km de l’ancien
    Rideau de fer, qui a séparé l’Est et l’Ouest de l’Europe jusqu’en 1989.
    Quelques-unes des photos prises pendant ce périple hors du commun sont exposées
    dans l’Atrium de l’Institut français de Bucarest, une véritable découverte pour
    le public roumain. Présent au vernissage de l’exposition « Cicatrices
    d’une déchirure. Voyage au fil du Rideau de fer », Frédéric de La Mure
    raconte son exploit au micro d’Ileana Ţăroi.



  • Grégory Rateau

    Grégory Rateau

    Spécialiste du cinéma converti au journalisme et à la littérature, Grégory Rateau a reçu le label Saison croisée Roumanie-France pour son ouvrage Hors-piste en Roumanie – Récit du promeneur, qu’il a présenté à Paris, ce printemps. L’ancien chroniqueur de Radio Roumanie Internationale a parlé de sa rencontre avec le public parisien et de son expérience culturelle francophone en Roumanie, au micro d’Ileana Ţăroi.