Tag: candidat

  • 15.01.2016 (mise à jour)

    15.01.2016 (mise à jour)

    Législatif — Le président roumain Klaus Iohannis a renvoyé au Parlement la loi qui modifie le statut des élus locaux. Le chef de l’Etat a motivé sa décision de ne pas promulguer l’acte normatif, par la possibilité que la forme actuelle de la loi produise des effets négatifs sur la lutte contre la corruption et sur l’efficacité de la législation en matière d’intégrité. Le texte législatif en question stipule que les maires, les conseillers départementaux et locaux ainsi que les présidents des Conseils départementaux perdront leurs mandats uniquement s’ils font l’objet d’une condamnation définitive à une peine de prison ferme. De l’avis du président Iohannis, cela devrait être le résultat de l’existence d’une condamnation et non pas de la manière de purger la peine décidée par une cour de justice.



    Candidat — Le président de la République de Moldova, Nicolae Timofti, a désigné, aux fonctions de premier ministre, le nouveau candidat de la majorité parlementaire déclarée à Chisinau, en la personne de Pavel Filip, actuel ministre des nouvelles technologies et des communications, informe Radio Chisinau. Le chef de l’Etat a expliqué sa décision par le changement de la situation intervenu jeudi soir, lorsque plusieurs signataires de la déclaration de soutien à un candidat de la majorité déclarée ont menacé de retirer leurs signatures si le parti démocrate continuait à soutenir la candidature de l’homme d’affaires controversé Vlad Plahotniuc. Si un nouveau gouvernement n’est investi avant le 29 janvier, la République de Moldova devra organiser des élections anticipées.



    Renseignement — Les attaques cybernétiques subies, cette dernière année, par la Roumanie ont été lancées depuis la Russie et la Chine, a fait savoir le Service roumain de renseignement, ce vendredi. Les ministères des affaires étrangères, de l’intérieur et de la défense ainsi que onze banques en ont été les cibles, a encore précisé le Service.



    Météo — La météo est en train de changer en Roumanie. Les températures baisseront et la neige reviendra en force : une vigilance jaune aux chutes de neige entrera en vigueur samedi soir et concernera 12 départements de l’est, du centre et du sud du pays ; tandis que 9 autres départements du sud-est et la capitale Bucarest feront l’objet d’une vigilance orange aux tempêtes de neige. Samedi, au lever du jour, le thermomètre indiquera des températures entre moins quatre et six degrés ; les températures de la mi-journée se situeront entre moins 1 et 8 degrés.

  • 08.01.2016 (mise à jour)

    08.01.2016 (mise à jour)

    Candidature — Cristian Popa est le candidat de la Roumanie à la vice-présidence de la Banque européenne d’investissements — a informé ce vendredi le ministre des finances publiques de Bucarest. M Popa travaille depuis 16 ans à la Banque nationale de Roumanie où il a rempli trois mandats consécutifs de vice-gouverneur. Il a également fait partie des équipes de négociations et de dialogue de la Banque centrale avec le FMI, la Commission européenne, la Banque mondiale, la BERD, la BEI et l’OCDE. Mihai Tanasescu, représentant de la Roumanie à la BEI depuis 2012, a dû renoncer à son mandat à cause d’une enquête de corruption dont il fait l’objet.



    Expulsion — Le citoyen jordanien Jamal Abdel Jabbar Khalil, sera expulsé samedi de Roumanie, après avoir été déclaré indésirable sur une période de 15 ans pour des raisons de sécurité nationale. La Haute Cour de Cassation et de Justice a rejeté vendredi le pourvoi en cassation contestant le jugement de la Cour d’appel Bucarest du 29 décembre 2015 concernant le ressortissant jordanien. Le Service roumain de renseignement précisait à ce moment-là que Jamal Abdel Jabbar Khalil, vivant en Roumanie depuis 1991, faisait l’objet d’une surveillance étroite depuis 2014, ce qui a permis de constater que certaines de ses activités étaient des menaces contre la sécurité nationale.



    Handball — La Roumaine Cristina Neagu a été élue meilleure handballeuse du monde en 2015, par un jury international de journalistes sportifs et par les fans qui ont exprimé leurs options sur le site handball-planet.com . Cristina Neagu, 27 ans, a gagné la médaille de bronze, avec la nationale de Roumanie, au dernier Championnat du monde, où elle a été désignée meilleure buteuse et meilleure joueuse du tournoi ; avec son club, Buducnost Podgorica du Monténégro, Cristina Neagu a remporté l’édition 2014-2015 de la Ligue des champions.



    Météo — Le ciel sera plutôt couvert sur l’ouest et le centre de la Roumanie où des pluies sont attendues et où il faudra faire attention au verglas. Des précipitations mixtes tomberont en montagne. Samedi, au lever du jour, les températures se situeront entre moins 10 et 2°, alors que les maximales de la mi-journée seront au-dessus des normales saisonnières et iront de 0 à 10°.

  • O nouă coaliţie pro-europeană în Republica Moldova

    O nouă coaliţie pro-europeană în Republica Moldova

    Liderii
    partidelor proeuropene de la Chişinău – liberal-democratul Vlad Filat,
    democratul Marian Lupu şi liberalul Mihai Ghimpu – au semnat, joi, acordul de
    constituire a noii coaliţii de guvernare în Republica Moldova – Alianţa pentru
    Integrare Europeană 3. Anunţul privind parafarea documentului fusese făcut încă
    de marţi seară, cu precizarea că PDLM va desemna premierul, iar PD preşedintele
    Parlamentului. Este un acord politic bun, echilibrat, care urmează
    să asigure o majoritate parlamentară stabilă pentru Republica Moldova şi să
    învestească în timpul cel mai apropiat Guvernul
    , a
    declarat liderul PLDM, Vlad Filat, subliniind că cele trei partide au convenit
    să facă o reformă profundă inclusiv la capitolul instituţii de drept, acestea
    urmând să fie depolitizate.

    Vlad Filat: Am convenit împreună că vom
    asigura o reformă profundă, inclusiv la capitolul instituţii de drept. Urmează
    să organizăm şedinţa Parlamentului în care să fie învestit guvernul. Iar până
    la sfârşitul lunii iulie, Republica Moldova să aibă guvern.

    Semnarea
    acordului de constituire a Alianţei pentru Integrare Europeană înseamnă
    continuarea cursului european al Chişinăului, a subliniat şi liderul liberal
    Mihai Ghimpu: Semnarea acordului înseamnă de fapt acea garanţie
    pentru continuarea cursului european fără de care Republica Moldova, noi,
    cetăţenii, nu avem viior.

    În privinţa combaterii corupţiei, Mihai Ghimpu a
    anunţat că UE a acceptat să trimită la Chişinău misiuni care să contribuie la
    reforma justiţiei, iar experţii europeni vor activa în cadrul unor instituţii
    precum Ministerul de Interne, Procuratura Generală sau Centrul Naţional
    Anticorupţie. Noua coaliţie este unica formulă acceptabilă pentru dezvoltarea
    pe mai departe a Republicii Moldova – a declarat şi liderul Partidului
    Democrat, Marian Lupu: Alianţa pe care am constituit-o este
    îndreptată spre asigurarea întăririi ţării în faţa provocărilor. Această
    formulă este unica posibilă pentru ţara noastră.

    Conform algoritmului
    stabilit, a fost anunţat şi numele persoanei desemnate drept candidat pentru
    funcţia de prim-ministru – Maia Sandu, ministru în exerciţiu al Educaţiei.
    Licenţiată a Facultăţii de management din cadrul Academiei de Studii Economice
    din Chişinău şi cu studii în relaţii internaţionale la Academia de
    Administraţie Publică a Republicii Moldova, Maia Sandu a urmat, ulterior, un
    masterat în administraţie publică la Harvard şi a activat în calitate de
    consilier al directorului executiv al Băncii Mondiale.

    De o lună şi jumătate,
    guvernul moldovean, susţinut în Parlament de comunişti, este condus interimar
    de Natalia Gherman, după ce premierul Chiril Gaburici şi-a anunţat demisia, pe
    fondul unei anchete privind falsificarea diplomei sale de bacalaureat.

  • 04.11.2014 (mise à jour)

    04.11.2014 (mise à jour)

    Scrutin présidentiel – La coalition gouvernementale a défini ce mardi la stratégie de sa campagne électorale pour le second tour du scrutin présidentiel. Le candidat de l’Alliance formée par le Parti social-démocrate, l’Union nationale pour le progrès de la Roumanie et le Parti Conservateur, le premier ministre Victor Ponta, a déclaré que, s’il était élu à la tête de l’Etat, sa principale option pour le fauteuil de chef du gouvernement serait l’actuel président du Sénat, Calin Popescu Tariceanu, qui a ramassé 5,36% des suffrages exprimés au premier tour de scrutin. M. Ponta a également indiqué les noms de Florin Georgescu, vice-gouverneur de la Banque nationale, et de George Maior, directeur du Service roumain de renseignement. Le président du PRM (nationaliste), Corneliu Vadim Tudor, qui a obtenu 3,68% des voix, et le candidat indépendant Teodor Melescanu, ancien directeur du SIE, préféré par 1,08% des électeurs participants au vote, ont fait savoir leur soutien à Victor Ponta au second tour. L’adversaire de M Ponta, le libéral Klaus Iohannis, a annoncé qu’il ne négocierait pas avec ses anciens compétiteurs pour s’assurer de leur appui au second tour. Lors du premier tour, Victor Ponta a obtenu 40,44% des voix, et Klaus Iohannis 30,37%. Le taux de participation a été de 53,17%.


    Diaspora – Les représentants du ministère roumain des Affaires étrangères et du Bureau électoral central ont cherché ce mardi des solutions pour prévenir les files d’attente aux bureaux de vote aménagés à l’étranger lors du second tour du scrutin, le 16 novembre. Le ministre, Titus Corlăţean, a proposé que la déclaration sur l’honneur soit mise en ligne pour que les électeurs puissent la télécharger avant la votation et la signer devant le président du bureau de vote. Le ministre a aussi informé que le nombre d’isoloirs sera augmenté. Le chef de l’Etat, Traian Basescu, déclarait ce lundi que la démission du ministre roumain des Affaires étrangères et de celui chargé des Roumains de la diaspora étaient nécessaires pour ce qu’il a appelé « de graves défaillances d’organisation du processus électoral dans les bureaux de vote de l’étranger ». Aux dires du premier ministre roumain Victor Ponta, le ministre Titus Corlatean et son équipe des Affaires étrangères garantissaient avec leurs fonctions qu’au 16 novembre tous les ressortissants roumains qui souhaiteraient voter pourraient le faire. Les déclarations des responsables de Bucarest interviennent alors qu’au premier tour du scrutin, déroulé dimanche dernier, les Roumains de la diaspora ont dû attendre pendant des heures devant les bureaux de vote et plusieurs centaines, voire des milliers d’entre eux, n’ont pas pu exprimer leur choix. De telles situations ont été enregistrées dans les bureaux de vote de Londres, Munich, Chisinau et Stuttgart. A l’ambassade de Roumanie de Paris, la police a été appelée à intervenir.


    Croissance — La Roumanie devrait enregistrer une croissance de 2,4% en 2015 et de 2,8% en 2016, indiquent les prévisions économiques d’automne de la Commission européenne, publiées mardi. Le déficit budgétaire baissera jusqu’à 2,1% cette année, mais devrait s’accroître jusqu’à 2,8% en 2015 pour baisser à nouveau en 2016, estime la Commission européenne. Les prévisions prennent en compte une légère hausse de l’inflation dans les deux années à venir, après une baisse accentuée en 2014. Le chômage a légèrement diminué par rapport à l’année dernière, tendance qui devrait continuer à l’avenir aussi. Pour la zone euro, la Commission s’attend à une faible croissance de 0,8% pour l’année en cours et de 1,1% en 2015. L’inflation devrait atteindre 0,5% cette année et 0,8% l’année prochaine, à cause de la lenteur de la reprise économique.


    Politique monétaire – La Banque centrale de Roumanie a réduit à nouveau son taux directeur de 0,25%, soit à 2,75% par an, et préservé en même temps le taux de 10% des réserves minimales obligatoires pour les passifs en lei. La Banque nationale a également décidé de baisser les taux des réserves minimales obligatoires pour les passifs en devises de 16% à 14%. En septembre, la Banque centrale a procédé à une diminution de son taux directeur de 3,25% à 3%.

  • Quatorze pour la Roumanie

    “Votre vote façonne la Roumanie!” Voilà le slogan de la campagne dinformation lancée par lAutorité électorale permanente, en parallèle avec la campagne électorale pour lélection présidentielle de novembre prochain, dont le coup denvoi a été donné dans la nuit de jeudi à vendredi, à minuit.



    Mais où, comment et quand les Roumains sont-ils attendus aux urnes, cet automne? Des clips vidéo et audio, y compris sur limportance du droit de vote, devraient se faire voir et entendre un peu partout dans les médias afin de sensibiliser une population dont lapathie politique ne cesse de se renforcer au fil des ans. Les scandales politiques à la chaîne, le volume important daffaires judiciaires impliquant des politiciens corrompus, de plus en plus nombreux, confortent lindifférence voire la méfiance dun électorat majoritaire qui, à en croire les sondages, estime que le pays ne va pas dans la bonne direction, quels que soient ses dirigeants.



    En exerçant leur droit de vote, les Roumains doivent se montrer concernés par lavenir de leur pays et de la communauté au sein de laquelle ils vivent, exhorte, néanmoins, lAutorité électorale centrale, dans un de ses messages censés motiver les foules. Et la campagne électorale entamée le trois octobre ne lésinera pas sur les efforts pour attirer davantage de votants le 2 novembre, jour du premier tour du scrutin présidentiel.



    Ce sera alors le moment de vérité pour les quatorze candidats qui se disputent le fauteuil occupé depuis dix ans, presque jour pour jour, par lactuel chef de lEtat, Traian Băsescu. Parmi eux, le premier ministre social-démocrate, Victor Ponta, et Klaus Iohannis, un des leaders de lAlliance chrétienne-démocrate, de centre-droit, en opposition – ils ont les chances les plus importantes de se retrouver dans la finale de cette élection, qui devrait se jouer le 16 novembre. Sil est élu, Victor Ponta affirme vouloir changer lapproche présidentielle – un chef dEtat qui ne soit plus un faiseur de crises, mais un véritable représentant de lintérêt général, un médiateur du dialogue entre les différentes catégories sociales et les pouvoirs publics. Pour sa part, Klaus Iohannis promet “un autre type de politique”, avec moins de spectacle et de bruit mais plus de solutions pour les Roumains et le pays.



    Par ailleurs, cette année on assiste également à une première – deux femmes sont en lice pour le fauteuil présidentiel. Il sagit dElena Udrea, leader du Parti du mouvement populaire, de droite, et de leurodéputée Monica Macovei, ex-ministre de la justice, qui sest inscrite dans cette course en tant quindépendante. Et toujours pour la première fois, un ex-chef de services secrets se présente aussi – il sappelle Teodor Meleşcanu et il vient de quitter le Service de renseignement extérieur.



    Sils savent prendre conscience de limportance de leur vote et arrivent à se mobiliser, en novembre prochain, les Roumains seront attendus dans les 18.550 bureaux de vote aménagés à travers le pays, de même que dans les 294 autres qui seront ouverts dans les missions diplomatiques roumaines à létranger. Quelque 21 millions de bulletins doivent être imprimés et un peu plus de 94 mille tampons fabriqués. Qui sera celui ou celle qui inspire le plus de confiance aux Roumains? Réponse dans un mois, précisément. (trad.: Andrei Popov)

  • Candidatl’i la prezidentil’ia ali Romanie

    Candidatl’i la prezidentil’ia ali Romanie

    Biroulu Electoral Central dit România declara, dumanică, ca hiindalui bitisită, lista di candidaţ tra alidzerli prezidenţiale şi seamnili a lor electorali. Intrara, ufitial, tru antritearea tra Palatea Cotroceni 14 di candidaţ. Doi di naşi yin dit partea a nascantor alianţi, optu suntu andrupaţ di formaţiuni politite şi patru – independenţa. Lugursitu, tru sondaji, cu nai ma multi şanse la alidzerli dit brumar, prezidentul a PSD, Victor Ponta easti andrupat di alianta PSD-UNPR-PC, funcţională şi la guvernari. El s-pripuni s-alaxeasca profilu a prezidentului, di la un ti scoati tru migdani criza, la un reprezentantu a sinferurlor publite. Intrat şi el tru antritearea prezidenţială, prezidentul a PNL si primar a munitipiului Sibiu, Klaus Iohannis, di partea a Alianţal’ei Criştin Liberala, ari mirakea tra s-adara “una alta turlie di politică’. Liderlu UDMR, Kelemen Hunor, vitepremier şi ministru ali Cultura, va ca România s-agiunga un crat vartos tru regiune, chiro tru cari prezidentul a Partidlui Minarea Populară, Elena Udrea, ma ninti ministru tru Cabinetlu al Emil Boc, cundil’eadza tra democraţie şi dezvoltari. Ea ari andophiul declarat a prezidentului ali Românie, Trăian Băsescu, cari va ş-lu bitiseasca doilu mandat tru ipotisea supremă a cratlui.



    Liderlu a Partidlui România Mari, Corneliu Vadim Tudor s-pripuni, diznau, s-agiungă prezidentul ali Românie şi lugurseasti că problemili a vasiliil’ei suntu ftuhia şi lucurlu slabu faptu di instituţiili a statlui, a deapoa prezidentul thimil’iusitor a PPDD (populist), Dan Diaconescu sa spuni candidatlu a oamin’ilor di arada. Anamisa di independenţa, lu-aflam prezidentul a Senatlui ali Românie, Călin Popescu Tăriceanu, fostu premier liberal, cari yini dinintea a alegătorlor cu un proiectu di vasilie di mari hairi — România pi loclu 7 tru UE — a deapoa Teodor Meleşcanu, cari s-deadi demisia dit caplu a Servicului Român di Informaţii Externe ti ş-pripuni s-hiba prezidentul a tutulor român’ilor, s-hiba el’i di dreapa ica di stânga şi europarlamentarlu Monica Macovei ti ari ca proiectu tanearea ali Românie pi calea cata Ascapitata. Alţa candidaţ, cu una cotă ma n’ică tru antritearea a prezidentiabililor ili cabaia nicunuscuţ, suntu Constantin Rotaru, di partea a Partidlui Alternativa Socialistă, Mirel Amariţei di la Partidlu ProDemo, Szolágyi Zsolt, andrupat di Partidlu Popular Maghiar dit Transilvania, William Brânză – Partidlu Ecologistu Român şi Gheorghe Funar, independentu. Analiştil’i politit agiumsira pi isapea că, ma nu ari unui sinfer cadealithea tra programi electorali, alegătorl’ii va s-aleaga yinitorlu cap a cratlui andicra di popularitatea a liderlor politit. Aeşta va s-intra, pi 3 di sumedru, tru campania electorală tra protlu tur a alidzerlor prezidenţiali dit 2 di brumar 2014.



    Armanipsearea: Tascu Lala

  • Candidats à la présidence roumaine

    Depuis la gauche au centre-droit, depuis le populisme à la plus pure forme d’extrême droite classique, depuis les anonymes aux protagonistes de la scène politique, l’électorat roumain se voit présenter une offre généreuse de candidats aux présidentielles de novembre. Cette diversité est complétée par l’inflation de prétendants à la fonction suprême — 14.



    Le grand favori, dont la candidature a un peu dissipé le suspens de ces élections tant attendus, est le premier ministre Victor Ponta appuyé par le parti dont il est le leader — le Parti Social Démocrate (PDL) et par ses petits alliés de la coalition au co-gouvernement — L’Union Nationale pour le Progrès de la Roumanie (UNPR) et le Parti Conservateur (PC). Signe de sa potence électorale et de sa notoriété, non pas nécessairement de la performance, puisque sa prestation en tant que chef de l’orchestre gouvernemental soulève des signes d’interrogation. Victor Ponta a rendu officielle sa candidature soutenue par 2,3 millions de signatures. Cette multitude de signatures – commentent les analystes – est un coup voué à envoyer au plancher les espoirs de ses contre-candidats.



    Parmi ceux-ci, on distingue l’homme proposé par l’opposition de centre-droit représentée par l’Alliance Chrétien-Libérale au sein de laquelle se sont associés le Parti National Libéral (PNL) et le Parti Démocrate Libéral (PDL). Le co-leader de cette alliance, Klaus Iohannis, maire de Sibiu (au centre) et la plus connue figure de la minorité allemande, étant recommandé principalement par la manière très appréciée d’administration de la ville transylvaine.



    Désormais, pensent les observateurs, commence la catégorie des candidats qui ne conservent que des chances théoriques. Collègues, au un moment donné, au sein du PDL et parvenues dans leur carrière jusqu’à la hauteur du poste de ministre, Elena Udrea — actuellement leader du Parti du Mouvement Populaire (PMP- pro-présidentiel) et la parlementaire européenne Monica Macovei, comme indépendante, se donnent la main pour cette première : deux femmes candidates pour la fonction suprême de l’Etat. En plus de Iohannis et Udrea, la pléthore de candidats dont le CV comprend le PNL est complétée par l’actuel président du Sénat, Càlin Popescu Tàriceanu, ancien leader de la formation et premier ministre vers la moitié des années 2000, ainsi que le démissionnaire, cette semaine , de la position de chef du Service de Renseignements Etrangers (SIE), Teodor Melescanu.



    Le leader de l’Union Démocratique des Hongrois de Roumanie (au co-gouvernement), Kelemen Hunor et du Parti du Peuple Dan Diaconescu (PP-DD, populiste, extra-parlementaire), Dan Diaconescu, du Parti de la Grande Roumanie, Corneliu Vadim Tudor et son ex-aide de camp, l’indépendant Gheorghe Funar, ex-édile de Cluj (nord-ouest) dans les années ’90, autant de personnages politiques connues. Ceux qui se sont maintenus loin des yeux du public, donc, de l’électorat, mais qui aspirent au fauteuil présidentiel soutenus par des formations de poche, sont : Constatntin Rotaru, représentant le Parti de l’Alternative Socialiste, William Brânza (ex-parlementaire du PDL – représentant le Parti Ecologiste Roumain et envoyé par la diaspora), Mirel Amaritei représentant le Parti PRODEMO et Szilagy Zsolt du Parti Populaire Hongrois de Transylvanie.

  • Candidats aux élections présidentielles

    Candidats aux élections présidentielles

    Mardi matin, dernier jour d’inscription dans la course à la présidentielle de novembre. Une partie des noms connus de la scène politique roumaine ont officiellement déposé leur candidature, d’autres noms, tout aussi connus, ne l’ont pas fait, soit à cause de la nature presque exotique des personnages qui rêvaient d’occuper le fauteuil présidentiel, soit à cause d’un nombre insuffisant de signatures de soutien.



    La gauche est représentée par un seul candidat : Victor Ponta, leader du Parti Social Démocrate et premier ministre. Etant le candidat le mieux placé dans les sondages d’opinion, Ponta est sûr de passer au second tour de scrutin. En témoigne entre autres le lancement grandiose de sa candidature, à Bucarest, sur le plus grand stade du pays et le nombre immense de signatures ramassées, 2,3 millions pour être exacte, le tout dans le but précis de démoraliser ses adversaires.



    Des adversaires de centre — droit pour la plupart, dont le plus important et considéré comme le principal rival de Victor Ponta, est Klaus Iohannis, d’ethnie allemande, maire de la ville transylvaine de Sibiu. Il représente l’Alliance Chrétienne Libérale, une formule de transition de ce que ses initiateurs — le Parti National Libéral et le Parti Démocrate Libéral — appellent le grand parti de droite de Roumanie. A noter que les deux formations politiques ont été d’abord alliées, puis sont devenues rivales, pour redevenir récemment amies.



    Trois autres candidats ont fait partie des libéraux ou des démocrates — libéraux jusqu’il y a peu, avant de quitter ces partis pour différentes raisons. Parmi eux – Călin Popescu Tăriceanu, ancien premier ministre et ancien chef du PNL, soupçonné de faire le jeu de la gauche, par sa candidature au nom d’un nouveau parti libéral.



    Pour sa part, l’ancienne ministre du Tourisme, Elena Udrea, est devenue présidente du Parti du Mouvement Populaire, après avoir fait ses adieux au PDL, accusant ses anciens collègues de ne plus respecter les ambitions du président Traian Basescu de réformer l’Etat. Elena Udrea se porte donc candidate à l’élection présidentielle, se donnant pour mission de continuer la politique de son mentor.



    Enfin, c’est toujours des rangs des démocrates — libéraux qu’est sortie la candidate indépendante, Monica Macovei. Cette ancienne ministre de la Justice est perçue comme une défenseuse intransigeante de l’Etat de droit et d’un système judiciaire épuré de toute influence politique.



    En lice également — deux autres candidats aux chances purement théoriques : Kelemen Hunor, leader de l’Union Démocratique des Magyars de Roumanie, qui partage le pouvoir avec le PSD, et Dan Diaconescu, controversé homme d’affaires et chef d’un parti populiste qui porte son nom. Pour le représentant des Magyars de Roumanie, cette candidature sert de plate-forme de négociation dans la perspective d’un second tour de scrutin. Pour sa part, l’ancien réalisateur et patron d’une télévision tabloïde, Dan Diaconescu a besoin d’exposition médiatique pour promouvoir des idées douteuses.



    Enfin, sur la dernière ligne droite, la liste des aspirants à la fonction suprême du pays a été complétée avec la candidature de Teodor Melescanu. Lundi il avait démissionné de son poste de chef du Service de renseignements extérieurs. Un candidat surprise, autour duquel tournent toute sorte de spéculations. (Trad.: Valentina Beleavski)

  • Candidaţ la prezidintil’ea ali Românie

    Cu excepţiile di arada, viniti dit arada a nascantor di atel’I ti s-nyisa tru ipotisea nai cama analtă, ama cari nu apraftasiră niti barim s-adună numirlu ti eara ananghi di semnături, tuţ pretendenţal’i cari au ti spuneari tiva pi stena politică s-ngrapsira ufitial tru competiţia dit brumar. Stânga easti reprezentată di un singur candidat, liderlu PSD şi premierlu tru ipotisi, tru aestu chiro, Victor Ponta. Unic exponentu ali aistei zona politica, ama naima ghini vidzut tru sondaji, Ponta easti sigura ca va s-intra tru turlu doi. Lansarea a lui grandioasă fapta Bucureşti, pi naima marli stadion dit vasilie şi numirlu cabaia mari di semnături adunati, aproapea 2,3 miliun’i, au scupolu tra s-tal;’e adil’iaticlu a contracandidaţlor. Nai cama mulţa şi ma tin’isits dit arada a aistor yin, tut, dit zona di tentru-dreapta. Favorit să s-antreaca cu Victor Ponta tru turul doi easti lugursitu actualu primar a casabalui transilvan Sibiu, etniclu ghirman Klaus Iohannis. El va s-candideadza dit partea-a Alianţal’ei Criştin Libearala, pan tru soni una formulă di tranziţie catra atea ti iniţiatorl’ii — PNL şi PDL, aliaţ un chiro ma ninti, ma amanat adversari şi, tora, diznau tru sutsata – vor tra s-hiba marli partid di dreapta dit România.



    Alţa trei candidaţ eara, nu di multu chiro, tru aradarichili a liberalilor ica a democrat–liberalilor, di cari s-ampartara di furn’ia a sinferurlor di len turlii. Fostul premier şi lider a PNL Călin Popescu Tăriceanu armasi fidel a disfaptal’ei alianţa cu Ponta şi cu PSD şi easti suspectat că, prit thimil’iusearea a unui nau partid liberal şi candidatura la prezidentil’e, fati agiocurli a stângal’ei. Di partea a l’ei, fostul ministru Elena Udrea, lider a Partidlui Minrea Populară, s-amparţa di PDL di furn’ia că aestu trapsi mana di la sutata tsi u avu cu liderlu suprem, actualu prezidentu Traian Băsescu, şi di ambiţiili a aistui di reformare a statlui. Udrea s-lugurseasti continuatoarea a mentorlui şi candideadză di pi aesta aradarichi programatica. Neise, tut di na ndreapta yini şi Monica Macovei, fostu ministru ali Justiţie. Candidat independentu după ieşearea dit PDL, easti vidzută ca una intransigentă alumtătoari ti statlu di dreptu şi un sistem judiciar nascarsitu di influenţa-a politiclui.



    Alţa doi candidaţ cu numa, ama cu nadii masi teoretiti suntu liderlu a UDMR, aliat la guvernare cu PSD, Kelemen Hunor şi controversatlu om di emburlachi Dan Diaconescu, aspirantu di partea a unui partid populistu ti-l’I poartă numa. Tra liderlu UDMR, candidatura easti una hairlatica platformă di pazarapseari ti perspectiva a turlui doi. Tru cazlu al Diaconescu, fostu realizator şi patron a nascantor televiziuni tabloidi, easti zborlu ti ananghea tra s-iasa tru videala mediatic cu nascanti idei lugursiti pi daua. Pi atea dit soni sută di meatri ş-dipusi candidatura Teodor Meleşcanu. Luni, el s-avea data demisa dit caplu a Serviciului di Informaţii Externe. Un candidat surpriză, cari alasă loc tra speculaţii di len turlii.



    Armanipsearea: Tascu Lala

  • 12.09.2014

    12.09.2014

    FMI — Les représentants du gouvernement de Bucarest et de la Banque Nationale se réuniront, en première, la semaine prochaine, à Bruxelles, avec les responsables du FMI et de la Commission européenne. Selon un communiqué du représentant du FMI pour la Roumanie et la Bulgarie, Guillermo Tolosa, les discussions porteront sur les évolutions récentes de l’économie roumaine et sur la manière dont les politiques convenues avec la Commission européenne et le FMI sont mises en œuvre par Bucarest. A l’agenda des pourparlers également le second collectif budgétaire de 2014 prévu par les autorités roumaines. Selon le premier ministre Victor Ponta, les ministres qui se rendront la semaine prochaine à Bruxelles n’auront que des discussions techniques avec les responsables internationaux. Les négociations officielles d’évaluation de l’accord de précaution conclu avec les bailleurs de fonds internationaux auront lieu fin novembre à Bucarest.



    Candidat — La direction du Parti Social Démocrate, principale formation de la coalition gouvernementale de Bucarest, se réunit aujourd’hui lors d’un congrès extraordinaire à Alba Iulia (ville du centre de la Roumanie), pour valider la candidature du leader social — démocrate, le premier ministre Victor Ponta, aux élections présidentielles. Pour sa part, l’Alliance Chrétienne Libérale, formée du Parti National Libéral et du Parti Démocrate Libéral, (de centre — droit, en opposition) a déposé une motion de censure contre le cabinet de Victor Ponta, lui reprochant d’encourager la migration politique par le décret d’urgence permettant aux maires de changer de parti sans perdre leur mandat. Dans les sondages d’opinion visant les intentions de vote des Roumains, le premier ministre Victor Ponta et le leader libéral, Kaus Iohannis, sont donnés favoris pour accéder au second tour du scrutin présidentiel, que le leader social-démocrate pourrait remporter. Parmi les autres candidats mentionnons entre autres l’ancien premier ministre libéral Calin Popescu Tariceanu, la présidente du Parti du Mouvement Populaire, pro-présidentiel, Elena Udrea et la députée européenne Monica Macovei qui vient de quitter le PDL.



    Théâtre — Le plus ample échange culturel entre les théâtres nationaux de Chisinau et Bucarest a lieu ce vendredi. La troupe du théâtre national de Bucarest présentera dans la capitale moldave des spectacles représentatifs pour son répertoire, alors que la troupe de moldave donnera à Bucarest des représentations de la dramaturgie contemporaine de la République de Moldova. L’événement est soutenu entre autres par l’Institut Culturel Roumain et la Radiodiffusion roumaine.



    Tennis — En tennis, la Roumanie et la Suède ouvrent ce vendredi à Bucarest la coupe Davis par les matches d’Adrian Ungur contre Christian Lindell et de Marius Copil contre Elias Ymer et dont l’enjeu est de rester dans le Groupe I de la Zone Europe/Afrique. Déroulée selon le système du meilleur joueur sur 5 matches, la compétition se poursuit samedi par les doubles, lorsque les Roumains Horia Tecău et Florin Mergea affronteront les Suédois Isak Arvidsson et Johan Brunstrom. Deux matches simples sont prévus pour dimanche: Adrian Ungur – Elias Ymer et Marius Copil – Christian Lindell. Selon la presse spécialisée, les joueurs roumains sont considérés comme favoris, étant plus expérimentés et mieux placés que leurs adversaires suédois dans le classement individuel ATP. L’équipe gagnante demeurera au premier Groupe, alors que les perdants disputeront le barrage de qualification avec la Lettonie ou l’Autriche.

  • 11.08.2014 (mise à jour)

    11.08.2014 (mise à jour)

    Candidat – Klaus Iohannis, maire de Sibiu, ville du centre de la Roumanie, briguera le mandat de chef de lEtat roumain soutenu par la droite unifiée – lAlliance chrétienne libérale, formée par les partis National Libéral et Démocrate-libéral. Suite à la décision des deux formations politiques, Klaus Iohannis a précisé que par cette candidature il entendait redonner aux Roumains la confiance dans leur pays, de même que proposer une stratégie à long terme pour la Roumanie. “Le président doit être un médiateur et un intégrateur, capable de générer du consensus entre les institutions et dans la société” et “quelquun de ferme face aux atteintes portées à lEtat de droit”, a encore estimé Klaus Iohannis, âgé de 55 ans.


    Selon les sondages commandés par lAlliance chrétienne libérale, cest le maire de Sibiu à être le mieux placé au sein de la droite pour affronter le candidat de la gauche au pouvoir, le premier ministre social-démocrate Victor Ponta, au second tour de lélection présidentielle. Elu maire de Sibiu pour un premier mandat en 2000, Klaus Iohannis a été reconduit à ce poste lors des municipales successives de 2004, 2008 et 2012. Cet ancien professeur de physique a notamment bataillé pour que Sibiu, ville de Transylvanie fondée par des colons saxons au XII siècle, soit désignée capitale européenne de la culture en 2007, note lAFP. Et toujours lundi, lalliance de droite a également dévoilé sa proposition pour le fauteuil de chef de lexécutif – à savoir le premier vice-président des démocrates libéraux, Catalin Predoiu, ex-ministre de la justice.



    Diaspora — La communauté roumaine dUkraine se voit confronter à de graves difficultés liées à la perte de son identité, le risque dassimilation étant très important, ont estimé lundi les participants à la 12e édition de l’Université d’été des Roumains du monde, accueillie par la commune dIzvorul Muresului, au centre de la Roumanie. Les représentants de la minorité roumaine dUkraine ont tiré un signal dalarme à légard de la raréfaction de leur communauté, qui comptait jadis plus de 400 mille personnes, et de la fermeture des écoles en roumain. Une centaine d’étudiants, de professeurs, de représentants des communautés roumaines de l’étranger sont présents à cette Université dété, dont le thème est « la Roumanie européenne et les Roumains à la frontière de l’UE et l’OTAN ».



    Agriculture – Le secteur agricole européen est suffisamment flexible pour se réorienter rapidement vers dautres marchés, après que la Russie eut suspendu ses importations de produits agroalimentaires depuis les pays de lUE. Cest ce quà fait savoir le commissaire européen à lAgriculture et au développement rural, le Roumain Dacian Cioloş. Alors que les Européens sont en train dévaluer limpact de la décision de Moscou, le responsable européen doit sentretenir à ce sujet, mardi, avec le ministre polonais de lagriculture, Marek Sawicki, qui avait évoqué, la semaine dernière, une éventuelle exclusion de la Fédération de Russie de lOrganisation mondiale du commerce. Moscou avait mis au ban les importations de viande de bœuf, de porc et de volailles, de poisson, de produits laitiers, de légumes et de fruits en provenance des pays communautaires, des Etats-Unis, dAustralie, du Canada et de Norvège.



    Tennis — La joueuse roumaine de tennis Simona Halep (22 ans) est à partir de ce lundi la deuxième joueuse de tennis du monde, selon le classement WTA. Serena Williams demeure leader du classement mondial. L’ascension de Simona Halep a commencé en mai 2013, lorsqu’elle était 64e au monde et ne détenait aucun trophée WTA. Entre temps, Simona Halep a remporté 8 trophées WTA. Elle a pourtant perdu les finales de Madrid et de Roland Garros face à la Russe Maria Sharapova. Cette semaine, Simona Halep entrera directement au deuxième tour du tournoi de Cincinnati, aux Etats-Unis.

  • Extinderea Uniunii Europene

    Extinderea Uniunii Europene

    Confruntată în continuare cu probleme economice, Europa nu a abandonat, totuşi, proiectul extinderii. Aceasta este considerată de oficialii europeni drept una dintre cele mai eficiente politici ale Uniunii, pentru că întăreşte stabilitatea economică şi politică în ţările aspirante. Acestea au, însă, obligaţia de a progresa în domenii precum reforma judiciară, lupta împotriva crimei organizate şi a corupţiei, guvernarea economică solidă şi libertatea de exprimare.



    În cadrul bilanţului anual al procesului de extindere, CE a prezentat progresele realizate în procesul de aderare de către Turcia, Muntenegru, Serbia şi Macedonia precum şi pe cele făcute de cei trei potenţiali candidaţi – Albania, Bosnia Herţegovina şi Kosovo. Executivul european a propus acordarea statutului de ţară candidată Albaniei şi începerea negocierilor cu Macedonia. Despre Albania se afirmă că a continuat reformele şi a făcut primii paşi pentru o luptă mai eficientă împotriva crimei organizate şi a corupţiei. În consecinţă, Comisia a recomandat acordarea statutului de candidat, cu condiţia continuării acţiunilor de combatere a corupţiei şi crimei organizate.



    O situaţie aparte rămâne cea a Turciei, care este cea mai veche candidată la aderare, cererea sa fiind depusă încă din 1987. Negocierile au început după 18 ani şi doar 13 capitole au fost deschise până acum. Comisarul Ştefan Füle observa că, până în vara acestui an, negocierile, practic, au stagnat din 2010. Ştefan Füle: “A venit vremea să repunem procesul de aderare pe drumul său. UE şi Turcia au ajuns la o înţelegere privind deschiderea capitolului 22 privind politicile regionale. Acest pas are întregul nostru sprijin şi sper să nu mai aşteptăm o perioadă aşa de lungă pentru deschiderea şi altor capitole. Anul trecut spuneam că este foarte important ca UE să fie un reper pentru reformele care trebuie făcute în Turcia, prin procesul de aderare şi mă bucur să constat că şi preşedintele, şi premierul au îmbrăţişat această idee.”



    Pe de altă parte, Stefan Fule a transmis liderilor din Bosnia-Herţegovina că ţara lor se află în impas din cauza ambiţiilor politice şi etnice, care sunt puse înaintea interesului strategic al ţării şi al cetăţenilor. El a amintit că UE a început discuţiile cu Serbia şi negocierea Acordului de Stabilitate şi Asociere cu Kosovo. De asemenea, comisarul european a menţionat că Muntenegru avansează spre UE şi că în urmatoarele săptămâni se aşteaptă deschiderea de noi capitole de negociere.



    Pe agenda UE se află şi consolidarea Parteneriatului Estic, care include 6 ţări din fostul spaţiu sovietic: Armenia, Azerbaidjan, Belarus, Georgia, Rep.Moldova şi Ucraina. Chişinăul doreşte să parafeze acordul de asociere cu UE la summitul Parteneriatului Estic din noiembrie, de la Vilnius, urmând ca documentul să fie semnat în 2014.

  • De meilleurs résultats au Bac

    De meilleurs résultats au Bac

    Plus de 60% des lycéens de terminale et 30% des candidats issus des générations antérieures ont réussi à passer entre les fourches caudines de la session estivale du bac 2013, selon les chiffres rendus public par le ministère de l’Education nationale. Près de 190 mille jeunes Roumains étaient inscrits à cet examen qui soulève chaque année de grosses controverses à travers le pays.



    Cette année encore, le Bac a été mis à l’épreuve par plusieurs tentatives de fraude, révélées par les enseignants chargés de la surveillance des candidats ou même par la police. Avant cette session, le ministère de l’Education avait réaffirmé sa tolérance zéro contre la corruption et la fraude, invitant candidats, parents et enseignants à utiliser un numéro vert spécial ainsi qu’un site Internet spécialement créé pour ce genre de plaintes. C’est ainsi que plusieurs cas de détournement de l’examen sont actuellement enquêtés par la police.



    C’est le lycée « Dimitrie Bolintineanu » de Bucarest qui en est la vedette. Plus de 100 élèves de cet établissement sont soupçonnés d’avoir offert des pots-de-vin aux enseignants afin de s’assurer un examen sans difficultés. La directrice du lycée a, de ce fait, été placée en détention préventive pour 29 jours. Toutefois, dans les premières étapes de cette affaire, le Parquet et la Police ont agi de manière contradictoire. Le Parquet a fait savoir que les élèves en question n’avaient reçu que des citations pour être auditionnés, n’ayant pas fait l’objet de mandats d’amener, comme l’avait affirmé la Police. Pour conduire ces élèves devant les magistrats, deux bus avaient été dépêchés au lycée, une situation qui a dégénéré en altercations et heurts entre les forces de l’ordre et les parents des jeunes suspectés de fraude. Le Premier ministre Victor Ponta a demandé des explications au ministre de l’Intérieur, Radu Stroe, le rendant responsable de la situation créée.



    Malgré ce genre d’incidents, force est de constater que les résultats du baccalauréat 2013 en Roumanie ont été meilleurs que ceux de l’année dernière. 55% des candidats ont décroché leur diplôme, tandis qu’ils n’étaient que 43% à le faire, en 2012. La différence est saisissante et l’optimisme ne saurait être que modéré. Une évaluation de l’ensemble du contexte est actuellement en train d’être réalisée par les spécialistes.



    Depuis 2011, le ministère de l’Education surveille de très près le bon déroulement du baccalauréat à travers plusieurs méthodes de contrôle draconiennes, ce qui a fait chuter le taux de réussite de manière dramatique. Néanmoins, le revirement de cette année pointe les fruits de ces démarches — les jeunes Roumains semblent mieux préparés et plus décidés à franchir haut la main cette étape de leur vie scolaire. (trad.: Andrei Popov)

  • Clinton. Hillary Clinton


    Mandatul lui Hillary Clinton se încheie. Nu cel de preşedinte al Americii, pentru care a candidat acum 4 ani, ci cel de şef al diplomaţiei americane. În anul de graţie 2008, SUA anunţa lumea că un tsunami nedesluşit dar cu semne grave de criză tocmai s-a pornit din bancile sale cele mai mari şi renumite şi va răscoli întreaga lume. Era anul miei de miliarde de dolari scoase din depozitele cele mai adânci şi aruncate pe piaţă, întru salvarea economiei.




    Şocul a fost enorm, nu numai teoria economică a liberei concurenţe s-a zguduit, alături de întreaga societate americană, cu unde de şoc în întreaga lume, dar şi clasa politică din Noul Continent părea debusolată. În 2008, preşedinţia de la Washington părea o sarcină de serviciu destul de confuză în care mulţi ezitau să se implice. Atunci, o serie de personalităţi puternice au înţeles că trebuie răspuns cu inteligenţă şi multă disponibilitate, aproape cu patriotism, la cerinţele continuării vieţii politice. Din partea democraţilor, unul dintre cele două partide care domină, de secole, scena politică americană, s-au detaşat doi politicieni a căror intenţie de a cuceri preşedinţia echivala cel puţin cu o premieră.




    Hillary Clinton şi Barack Obama au intrat în cursa pentru nominalizarea Partidului Democrat din SUA şi oricare dintre ei ar fi câştigat alegerile am fi avut în fruntea puternicului stat fie prima femeie, fie primul cetăţean de culoare. Toate acestea au fost constatări ale specialiştilor, istoricilor sau statisticienilor pentru că americanii obişnuiţi, sub presiunea uriaşă a vremurilor de criză au văzut în cei doi politicieni lideri puternici în momente nu numai dificile dar şi ciudate. Barack Obama, cel care a câştigat atât nominalizarea democraţilor cât şi şefia statului, tocmai a fost instalat pentru un al doilea mandat, cucerit fără mari emoţii. Iar Hillay Clinton, contracandidatul său la nominalizare dar partener esenţial în campania prezidenţială, încheie un mandat exemplar în fruntea diplomaţiei americane. Am putea spune că pentru prima se vorbeşte atât de mult şi chiar frumos despre finalizarea unui astfel de mandat, funcţiile guvernamentale având încărcătura lor birocratică care nu lasă prea mult loc momentelor festive.




    Hillary Clinton nu este doar o fostă posibilă femeie prima preşedintă a SUA şi nici doar soţia unui fost preşedinte american. Nu s-a mulţumit cu savoarea vieţii de Primă Doamnă şi nici nu s-a lăsat doborâtă de încărcătura negativă uriaşă a aceleiaşi poziţii. Întotdeauna a fost apreciată ca o personalitate puternică, un profesionist renumit în drept şi un lider eficient încât preşedintele Clinton putea să fie Bill, cum a şi fost, dar şi Hillary, cum s-ar fi putut întâmpla. A fost să fie secretar de stat şi performanţa sa în această poziţie va aduce multe analize şi dezbateri în viitor. Politica smart power anunţată de preşedintele Obama la preluarea mandatului său o caracterizează foarte bine şi pe Hillary Clinton, cea care a derulat activitatea diplomatică americană sub acest steag al prevalenţei inteligenţei asupra tradiţionalelor măsuri de forţă. Ultimele sale luni de mandat au fost umbrite de evenimentele sângeroase din oraşul libian Benghazi cărora le-a căzut victimă ambsadorul american. A fost un moment care, în alte vremuri, ar fi putut duce la o escaladare a conflictului soldată cu şi mai multe victime, violenţe şi suferinţe. America a făcut dovada, în acest caz da şi în anii de când revoluţiile arabe schimba faţa omenirii, de o raţiune de mare inteligenţă, care ne obligă pe toţi să gândim ca oameni ai secolului XXI, care au învăţat din greşelile trecutului dar au şi o perspectivă mult mai umană pentru viitor.