Tag: carburant

  • 29.09.2022 (mise à jour)

    29.09.2022 (mise à jour)

    Carburant – Le gouvernement de Bucarest a décidé de prolonger à
    compter du 1e octobre et jusqu’au 31 décembre prochain, la mesure qui réduit de 10 centimes d’euros
    environ le prix du carburant au litre. C’est ce qu’a annoncé jeudi le premier
    ministre roumain, Nicolae Ciuca. A ces dires, la mesure a eu déjà des effets
    positifs, puisqu’elle a contribué à stabiliser, voire même diminuer le prix des
    carburants. Le chef de l’Exécutif a tenu à préciser que samedi, il sera présent
    aux côtés de plusieurs responsables dont la cheffe de la CE, Ursula von dr
    Leyen, à la cérémonie de Sofia, pour l’inauguration du gazoduc reliant la Grèce
    à la Bulgarie.




































    Gaz – La Roumanie ne procédera pas à
    des coupures de gaz et d’électricité, a rassuré jeudi, le secrétaire d’Etat au
    ministère de l’Energie, Dan Dragan. A l’heure où l’on parle, le pays annonce un
    taux de remplissage de ses réserves stratégiques de 80 % qui pourrait monter à
    90% d’ici novembre. Et lui d’appeler les autorités, les producteurs et les
    consommateurs de rester solidaires et en accord avec les efforts déployés au
    niveau international.




    Variole – Le Comité national pour les
    Situations d’Urgence a décidé jeudi d’activer le mécanisme européen de
    protection civile pour obtenir les doses de médicaments nécessaires à la prise
    en charge de quelque 150 cas de variole du singe. A l’heure où l’on parle, la
    Roumanie en a confirmé déjà 40 cas et elle s’est vu offrir mi-septembre, de la
    part de la Commission Européenne, 5000 doses de vaccin pour prévenir la variole
    chez les cas contact.

    Météo – En Roumanie, les températures restent au dessus des
    normales saisonnières. Vendredi, on aura même 30 degrés dans le sud-est du
    pays, y compris sur Bucarest.



  • Une  compensation de 50 bani par litre pour les carburants

    Une compensation de 50 bani par litre pour les carburants


    La coalition au pouvoir a adopté jeudi un décret d’urgence
    pour mettre en place un mécanisme de compensation partielle, de 50 bani par
    litre, du prix à la pompe du carburantpendant une période de trois mois. La
    décision est censée aider les citoyens et les entreprises à payer moins pour
    les carburants dont les prix n’arrêtent pas d’augmenter. A la fin de cette
    période de trois mois, le gouvernement examinera si un nouvel ensemble de
    mesures sera nécessaire. La moitié de la compensation sera prélevée sur le
    budget d’Etat et l’autre sera appliquée directement à la pompe. Pourtant, les Roumains
    devraient patienter encore un peu avant de pouvoir en profiter, le temps que les
    distributeurs actualisent leurs systèmes fiscaux et que les stations service se
    décident d’accepter oui ou non, d’appliquer une compensation de 25 bani par litre
    de carburant. Je suis certain que les entreprises de l’industrie pétrolières
    seront d’accord de mettre en place cette réduction, a rassuré le ministre de l’Economie,
    Virgil Popescu.


    Entre temps, les autorités roumaines doivent garder un
    oeil sur la façon dont les tarifs des carburants évolueront dans les trois mois
    à venir. Les hausses non justifiées seront considérées comme spéculatives et
    elles seront sanctionnées au terme de l’ordonnance d’urgence visant la lutte
    contre la spéculation.


    Interrogé sur le risque que la compensation de 50 bani
    par litre de carburant n’entraîne une hausse du déficit budgétaire, le
    secrétaire d’Etat au Ministère des Finances, Mihai Diaconu, a tenu à nous
    rassurer. Cette mesure est censée aider l’économie a-t-il précisé, en
    expliquant que si le gouvernement n’intervient pas pour compenser la hausse des
    prix à la pompe, la consommation baisse et implicitement les entrées de
    capitaux dûes aux accises. Selon le Ministère des Finances, l’Etat déboursera
    autour de 800 millions de lei pour compenser partiellement le prix à la pompe
    auxquels s’ajouteront 800 millions de lei de la part des compagnies du domaine. En fait,
    cette remise à la pompe de 25 bani par litre sera compensée par les taxes que
    les stations service ont à payer. Je vous assure que l’impact aurait été beaucoup
    plus grand si les prix continuent à se majorer, a précisé Mihai Diaconu. Et lui
    d’expliquer que le Ministère des Finances a cherché à trouver un mécanisme
    simplifié pour permettre la compensation des subventions accordées aux
    opérateurs économiques.


    Dans un délai de 15 jours suivant au vote du
    gouvernement et au terme d’un ordre du chef de l’Agence nationale antifraude,
    on mettra en place un modèle de déclaration à l’intention des distributeurs de
    carburant qui se verront compenser le prix remisé par des réductions sur leurs
    obligations fiscales TVA, impôt sur le profit, ainsi de suite. Selon nos
    estimations, cette aide à l’acquisition de carburants sera compensée notamment
    par la TVA a encore affirmé Mihai Diaconu.







  • Compensation partielle du prix du carburant

    Compensation partielle du prix du carburant


    Le prix du carburant a augmenté
    constamment ce dernier temps, en provoquant la colère des chauffeurs roumains
    qui ont protesté devant les stations-service. Suite à des discussions au sein
    de la coalition gouvernementale, le premier ministre roumain, Nicolae Ciuca, a
    annoncé jeudi que le prix du carburant
    sera compensé de 0.5 LEU (50 bani) par litre, 3 mois durant, à partir du 1er
    juillet. La compensation sera valable pour toutes les catégories de clients et
    elle apparaîtra sur le reçu fiscal. Nicolae Ciuca a affirmé: « Avec nos experts, on a identifié
    une solution de compensation de 50 bani, appliquée directement à la pompe. Ce
    mécanisme censé nous permettre d’assurer la stabilité des prix du carburant
    sera mis en place trois mois durant. La compensation apparaitra sur tous les
    reçus fiscaux délivrés par les stations-service ».


    La mesure attend maintenant le feu vert
    du gouvernement, à travers un acte normatif mis en place à partir de la semaine
    prochaine. Aux dires du premier ministre, le mécanisme de compensation disposera
    d’un budget de deux milliards de lei dont un versé par le budget public et l’autre,
    par les compagnies pétrolières. Nicolae Ciuca a encore précisé qu’à la fin des
    trois mois de compensation, son gouvernement examinera l’opportunité d’adopter
    un nouvel ensemble de mesures. Et lui d’ajouter que l’Exécutif de Bucarest
    dispose également d’un outil utile, à savoir une ordonnance d’urgence sur la
    lutte contre les effets spéculatifs. « Cette ordonnance nous permettra d’assurer
    une haute protection des consommateurs contre une hausse non justifiée des prix »,
    a encore précisé le premier ministre.


    Pour sa part, le PSD, membre de la
    coalition au pouvoir, soutient que la meilleure solution de lutte contre la
    flambée des tarifs des carburants serait de les plafonner. Nous
    respectons la décision du premier ministre, mais si les prix continuent à
    augmenter, on se voit obligé d’avancer sur la table de la coalition au pouvoir
    la proposition de fixer un prix maximal ou de limiter la marge commerciale
    , ont
    affirmé les sociaux- démocrates.


    Du côté de l’opposition, l’USR a
    critiqué la décision du gouvernement, en plaidant pour une baisse de la TVA sur
    le prix du carburant de 19 à 5%. A son tour, le chef de l’Etat, Klaus Iohannis
    a déclaré qu’une réduction des accises sur le carburant n’était pas possible,
    tout comme il n’était possible ni le plafonnement direct, ni la subvention des
    tarifs. « Le premier ministre m’a assuré que le budget public pourra
    supporter la compensation de 50 bani
    » a -t-il déclaré. « C’est juste
    une illusion de croire que la baisse des accises est à portée du main des
    gouvernements. En fait, elle ne l’est pas en raison des normes européennes
    en vigueur. Il est toujours possible de majorer les accises, en revanche, on ne
    saurait les diminuer en dessous d’un certain niveau
    » a expliqué Klaus
    Iohannis.



  • 31.08.2017

    31.08.2017

    Diplomatie – Le rôle à jouer par la communauté roumaine des affaires dans la diplomatie économique domine les débats daujourdhui des participants à la Réunion annuelle de la Diplomatie roumaine. Mercredi, le président Klaus Iohannis avait appelé les ambassadeurs et les consuls roumains accrédités à létranger à se poser en défenseurs des droits et des intérêts des roumains de partout et à militer en faveur de lEtat de droit où quils se trouvent sur la planète. En outre, le chef de lEtat a évoqué limportance du Partenariat stratégique avec les Etats-Unis et a demandé aux diplomates bucarestois à appuyer la relation transatlantique dans ce « monde en train de changer », syntagme qui gouverne aussi la réunion de cette année de la diplomatie roumaine.



    Langue – Ce 31 août lon marque la Journée de la langue roumaine, célébrée depuis 2013. A cette occasion, le Ministère pour les Roumains du monde et lAcadémie roumaine organisent à Bucarest un débat sur « La renaissance et le renouveau du roumain au sein des communautés de la diaspora ». Des rencontres, des colloques, des conférences, des lancements de livres, des expositions sont organisés aussi par les antennes de lInstitut culturel roumain dans les grandes villes du monde, dIstanbul et Madrid à New York et Tel Aviv. La Journée de la langue roumaine est marquée aussi en République de Moldova voisine, à population roumanophone majoritaire. De lavis de lambassadeur roumain à Chisinau, Daniel Ionita, cette fête commune met en exergue lunité ethnique, linguistique et historique des deux pays.



    Carburants – Les transporteurs roumains ont critiqué jeudi la décision du gouvernement de Bucarest de majorer la taxe sur les carburants, estimant que le secteur allait entrer dans une « étape noire » de son existence. La Fédération des opérateurs roumains des transports routiers a fait savoir que toute centime deuro de plus dans le prix de lessence et du diesel se répercute sur la compétitivité des compagnies roumaines spécialisées et amènera les chauffeurs de poids lourds travaillant sur des routes à létranger à alimenter leurs véhicules à lextérieur des frontières du pays. Le gouvernement de Bucarest a décidé mercredi de majorer en deux temps la taxe sur les carburants, le 15 septembre et respectivement le 1er octobre. Cet échelonnement est nécessaire afin de ne pas impacter la consommation, cette majoration pouvant engendrer des hausses des prix et dont une baisse de la consommation qui se répercuterait sur le budget de l’Etat, a expliqué le ministre des Finances, Ionut Misa.



    Justice – Le ministère de la Justice a publié jeudi son projet qui modifie la législation de la Justice roumaine. Le document entend notamment changer les critères dévaluation professionnelle des magistrats et les manières de promotion au sein des instances judiciaires et des parquets. Il réforme aussi les procédures de désignation des chefs des tribunaux et des parquets, offre des solutions aux situations où les magistrats ne peuvent pas exercer leurs fonctions et propose des moyens pour rendre plus efficace lactivité des parquets et des instances.



    Lune des mesures phare de ce projet annoncé par le ministre de la Justice, Tudorel Toader, vise la désignation par le Conseil Supérieur de la magistrature, sur proposition du ministre de tutelle, des procureurs en chef des parquets Général, Anticorruption et de la Direction dinvestigation des infractions liées à la criminalité organisée et au terrorisme. Cette procédure exclut toute implication du chef de lEtat dans ce processus, comme cest le cas actuellement. Le ministre de la Justice souhaite également créer une direction spécialisée dans les enquêtes pénales visant les magistrats.



    Ce paquet législatif attend désormais lavis du Conseil supérieur de la magistrature, organisme qui veille sur lindépendance du secteur judiciaire roumain. Les propositions ont été durement critiquées par les principaux acteurs du domaine et ont fait descendre les Roumains dans les rues de plusieurs grandes villes du pays. Le Parquet anticorruption a rejeté la plupart des propositions formulées par le ministre Tudorel Toader, les considérant comme une forme de pression sur lactivité professionnelle des procureurs. Pour sa part, le procureur général, Augustin Lazăr, a estimé que ces modifications affecteraient lindépendance de la magistrature et le fonctionnement des institutions judiciaires.



    Football – Léquipe nationale roumaine prépare son match avec la sélection arménienne de ce vendredi, à Bucarest, dans le cadre de la Poule E des barrages de la Coupe du monde qui sera accueillie par la Russie, lannée prochaine. En parallèle, les joueurs roumains sentraînent aussi pour la partie avec le Monténégro qui doit se dérouler lundi prochain, en déplacement. Cest la Pologne qui mène ce groupe, avec 16 points, suivie par le Monténégro et le Danemark, 10 points chacun, la Roumanie et lArménie, 6 points, et le Kazakhstan, 2 points. Léquipe roumaine est entraînée, pour la première fois dans cette compétition, par un sélectionneur étranger, lAllemand Christoph Daum.



    Tennis – Le joueuse roumaine de tennis, Ana Bogdan (108 WTA), rencontre ce jeudi sa compatriote Monica Niculescu (57 WTA) au deuxième round de lUS Open, dernier tournoi de Grand Chelem de lannée. Au premier tour, Ana Bogdan avait dépassé lAméricaine Taylor Townsend, alors que Monica Niculescu a eu raison de la Française Kristina Mladenovic. Les deux Roumaines ont déjà mesuré leurs forces à lUS Open de lannée dernière, Monica Niculescu sadjugeant le match. Dans le même temps, une autre roumaine, Sorana Cârstea (54e WTA), tentera dobtenir la qualification au troisième tour de la compétition américaine dans un match qui lopposera à la Lettone Jelena Ostapenko (12 WTA), celle ayant vaincu Simona Halep, lors de la finale de cette année de Roland Garros.




    Météo – Il fait beau et chaud aujourdhui en Roumanie, avec des températures à la hausse notamment dans louest et le sud-ouest du territoire. Les maximales de lair iront de 21 à 32 degrés, avec 24 degrés à midi à Bucarest.

  • Controverses sur la majoration des prix des carburants

    Controverses sur la majoration des prix des carburants

    Les députés et les sénateurs roumains ne se sont pas empressés d’être présents à la session parlementaire extraordinaire convoquée pour examiner et approuver les décrets d’urgence adoptés, la semaine dernière, par le gouvernement du social-démocrate Mihai Tudose. Parmi ces actes réglementaires, il y a notamment ceux qui visent le plafonnement à 8.500 lei (près de 1.900 euros) des indemnités parentales, qui lient l’évolution des retraites spéciales à celle de l’inflation, mais aussi une hausse de 10% des salaires des policiers et de 15% des salaires du personnel civil du ministère de la Défense.



    Le gouvernement envisage aussi d’opérer des modifications au Code fiscal, en proposant, entre autres, la majoration des taxes sur les carburants. Un projet de décret gouvernemental propose une hausse de presque 25% (24,9%) de la taxe sur le diesel et de près de 23% (22,8%) de celle sur le sans plomb, au 1er septembre. L’Exécutif justifie cette mesure par la baisse des recettes budgétaires et par le fait que les prix des carburants pratiqués en Roumanie sont parmi les plus bas de l’Union européenne.



    Le président du Sénat, Călin Popescu-Tăriceanu, dont le parti — l’Alliance des libéraux et des démocrates — est le partenaire du Parti social-démocrate, dans la coalition au pouvoir à Bucarest, considère que la majoration de l’accise n’aura qu’une très faible influence sur le prix à la pompe : « A présent, les taxes sur les carburants ne sont pas payées par les compagnies, qui ne font que facturer le consommateur final et verser les sommes à l’Etat. C’est ainsi que ça se passe partout, aussi bien en Roumanie, que dans d’autres pays. Cette majoration de l’eurotaxe n’aura qu’un effet très faible, négligeable, sur le prix à la pompe ».



    Pourtant, l’opposition parlementaire ne voit pas d’un bon œil cette majoration du prix des carburants. Pour les libéraux, elle va entraîner la hausse les prix et des tarifs de tous les biens et services. Ludovic Orban, président du Parti national libéral explique cette position : « Pour faire face à des majorations salariales et des retraites sans base économique réelle, le gouvernement Tudose prend uniquement des mesures qui aboutissent à la liquidation de l’économie roumaine. L’intention du gouvernement de majorer les taxes sur les carburants mènera à une majoration des prix et des tarifs de tous les biens et services, à cause des coûts plus élevés payés pour le combustible. »



    A son tour, le gouverneur de la Banque nationale, Mugur Isărescu, a averti qu’une éventuelle augmentation des taxes sur les carburants entraînerait une hausse de l’inflation. L’Union nationale des transporteurs routiers de Roumanie critique elle aussi l’intention du gouvernement et attire l’attention sur un autre effet : les transporteurs internationaux pourraient préférer faire le plein dans les pays voisins de la Roumanie, ce qui aurait un impact désastreux sur le budget de l’Etat. L’Union propose à l’Etat de restituer la TVA sans difficulté et de manière prédictible, aux Roumains et aux étrangers, pour faire augmenter la consommation de carburants et, par voie de conséquence, mieux collecter la taxe actuelle. (trad. : Ileana Taroi)

  • A la Une de la presse roumaine 09.08.2017

    A la Une de la presse roumaine 09.08.2017

    « Un séisme », « une bombe » – les deux fiscaux et très roumains – balayent de la Une des principaux journaux bucarestois les menaces de la Corée du Nord de bombarder les bases américaines de Guam, aussi inquiétantes fussent-elles. Les journaux passent en revue les conséquences de la hausse de 10% des taxes sur les carburants, à compter du 1er septembre prochain, alors que les caisses de l’Etat se vident suite aux récentes majorations salariales.




  • Informaţii pentru automobilişti

    Informaţii pentru automobilişti


    De la început, să notăm că pentru utilizarea
    drumurilor naţionale din România trebuie achiziţionate aşa-numitele roviniete
    electronice, care au fost introduse începând cu 1 octombrie 2010. Tariful de
    utilizare a drumurilor se achită numai prin intermediul unui sistem informatic
    care face posibilă controlarea tuturor vehiculelor, prin identificarea automată
    vizuală a numerelor de înmatriculare, înregistrată la momentul tranzitării, şi
    a poziţiei geografice de unde s-a făcut înregistrarea. Astfel, în cazul
    controalelor, vor fi oprite numai acele autovehicule pentru care există
    suspiciunea că deţinătorii nu au achitat taxa pentru rovinietă. În cazul
    autoturismelor, taxa este cuprinsă între 3 euro – pentru rovinieta valabilă o
    săptămână, şi 28 de euro, pentru rovinieta valabilă un an. Rovinieta valabilă
    30 de zile costă 7 euro, iar cea valabilă 90 de zile costă 13 euro. Rovinieta
    valabilă un an costă 28 de euro. Rovinietele pot fi cumpărate de la orice
    subunitate a Companiei Naţionale de Autostrăzi şi Drumuri Naţionale din
    România, de la benzinăriile MOL, Petrom şi OMV, de la filialele Automobil
    Clubului Român şi de la sediile Uniunii Naţionale a Transportatorilor Rutieri
    din România. Rovinietele pot fi achiziţionate şi online, de pe site-ul www.roviniete.ro,
    editat în bulgară, engleză, germană, italiană, maghiară, rusă, turcă şi română
    şi de pe site-ul www.e-rovinieta.ro, editat, de
    asemenea, în opt limbi.


    Amintim că, începând cu 1 noiembrie 2011, în
    România a devenit obligatorie echiparea automobilelor cu anvelope de iarnă
    atunci când temperatura atmosferică scade sub 7 grade Celsius sau carosabilul
    este acoperit de zăpadă, gheaţă sau polei. Potrivit Ministerului român al
    Transporturilor, anvelopele all season sunt asimilate anvelopelor de iarnă
    dacă au înscrise iniţialele M şi S. Conducătorii autovehiculelor care circulă
    pe drumurile publice din România acoperite cu zăpadă, gheaţă sau polei fără
    anvelope de iarnă sunt sancţionaţi cu reţinerea talonului şi amendă de până la
    4.000 de lei.


    În continuare, vă
    prezentăm câteva dintre prevederile legislaţiei referitoare la accesul în
    România al persoanelor care călătoresc la bordul autoturismelor. La punctele de
    trecere a frontierei este necesară prezentarea cărţii de identitate în cazul
    cetăţenilor din ţările membre ale Uniunii Europene sau a paşaportului, a
    certificatului de înmatriculare şi a documentului de asigurare a
    autovehiculului. Totodată, cetăţenii care circulă cu autoturisme închiriate
    trebuie să prezinte contractul de închiriere, cu valabilitate pe durata şederii
    în România. Iar în actul respectiv trebuie să fie menţionate ţările în care
    societatea de închirieri nu permite circulaţia autoturismului. Cetăţenii care
    călătoresc cu autoturismul firmei la care sunt angajaţi vor prezenta o
    adeverinţă eliberată de către conducerea respectivei firme din care să rezulte
    acceptul pentru călătoria în ţara noastră.



    În final, să precizăm că, în România, preţul
    mediu al unui litru de carburant echivalează cu 1,2 euro.

  • Hausse du salaire minimum, baisse de la TVA

    Hausse du salaire minimum, baisse de la TVA

    Réuni dans sa dernière séance de 2015, le Gouvernement de Bucarest a approuvé la majoration du salaire minimum national, qui passera, au 1er mai prochain, de 1.050 lei (environ 230 euros) actuellement à 1.250 lei (276 euros). Les partenaires sociaux (syndicats et patronats) ont donné leur accord à cette décision qui avait déjà reçu l’avis favorable du Conseil Economique et Social. L’impact social en sera important, affirment les experts, par l’amélioration du niveau de vie et la diminution des écarts entre les différentes catégories de population. Les statistiques officielles font état de 1,1 millions de bénéficiaires de la majoration du salaire minimum, dont près de 40.000 fonctionnaires.



    Cette majoration sera suivie par d’autres mesures qui préviennent les licenciements et des blocages dans l’activité des sociétés commerciales, explique le porte-parole du gouvernement, Dan Suciu : « Ce risque existe ; dès le début, nous nous sommes préoccupés de le réduire, mais nous considérons que, dans les mois qui viennent et dans le nouveau contexte créé par le Code fiscal et les facilités fiscales en vigueur à partir du 1er janvier, les entreprises pourront trouver les ressources nécessaires pour appliquer cette majoration salariale sans subir des dégâts collatéraux significatifs. »



    La réduction, au 1er janvier, de la TVA générale, qui passera de 24 à 20% est une autre mesure fiscale importante pour l’année 2016. Une réduction plus importante sera de mise pour des produits spécifiques : 5% pour les salles de cinéma, les musées, les livraisons de livres — manuels — journaux — revues, les événements sportifs et culturels. En 2016, la TVA sur les médicaments, les produits alimentaires, la fourniture d’eau potable et dans l’hôtellerie et restauration est de 9%. Le résultat en sera, du moins en théorie, une baisse des prix dans la première partie de la nouvelle année, d’après le modèle de 2015, lorsque la diminution de la TVA sur les denrées alimentaires a donné une inflation négative.



    Les prix des carburants pourraient baisser, eux aussi, mais ce chapitre doit également compter avec l’évolution internationale du prix du brut, sachant que l’Etat roumain a maintenu le niveau de l’accise ainsi que l’accise supplémentaire, celle-ci devant disparaître en 2017. Les taxes sur représentent plus de la moitié du prix des carburants à la pompe en Roumanie.



    L’année 2016 amène aussi une énergie électrique de 5-6% moins chère, un impôt sur les dividendes réduit à 5%, mais aussi des majorations de la taxe d’habitation et de la taxe foncière ainsi des assurances « au tiers ». Enfin, à commencer de la nouvelle année, les banques de Roumanie sont obligées à rapporter quotidiennement au Fisc, les noms des personnes physiques et morales qui ouvrent ou ferment un compte en banque, qui louent ou mettent fin à la location d’un coffre-fort. (trad.: Ileana Taroi)

  • 03.12.2014 (mise à jour)

    03.12.2014 (mise à jour)

    Budget — La partie roumaine ne formulera aucune proposition de majoration des taxes et impôts lors des discussions avec les grands bailleurs de fonds, a déclaré le ministre délégué au Budget du gouvernement roumain, Darius Vâlcov. Une mission commune d’experts du FMI et de la Commission Européenne se trouve à Bucarest jusqu’au 10 décembre pour des discussions avec les autorités roumaines au sujet du projet de la loi du budget 2015. Avant son élaboration, le gouvernement roumain a annoncé un dernier collectif budgétaire d’ici la fin de l’année.



    Economie — La Roumanie a enregistré une croissance économique de 1,8% au troisième trimestre de l’année en cours par rapport au trimestre précédent et une avancée du PIB de 2,8% sur les neuf premiers mois de l’année, selon les données préliminaires fournies ce mercredi par l’Institut national de la Statistique. Selon cette source, les contributions les plus importantes à la majoration du PIB sont dues à l’industrie – 30% du PIB et au secteur de la Communication et de l’Information – 5,2%. Par ailleurs, les intermédiations financières, les assurances et la diminution du volume des activités dans le secteur du bâtiment ont eu un impact négatif sur le PIB. Selon les données fournies à la mi-novembre par l’Institut national de la Statistique, l’économie roumaine a évité la récession technique, suite à une hausse de 0,5% du PIB.



    Corruption — Le député démocrate-libéral Cătălin Teodorescu fera l’objet de poursuites pénales sous contrôle judiciaire. La mesure du contrôle judiciaire a été imposée après que la Chambre des députés eut rejeté la demande formulée par la Direction nationale anticorruption de consentement à sa mise en détention provisoire. Par contre, les députés ont approuvé la demande similaire qui concerne un représentant de l’Union Démocratique des Magyars de Roumanie, à savoir Marko Attila. Les deux sont poursuivis dans une affaire relative au dédommagement accordé pour un terrain surévalué situé dans la capitale, Bucarest. Dans ce même dossier, l’ex procureure en chef de la Direction d’investigation du crime organisé et du terrorisme, Alina Bica, a été accusée et placée en détention provisoire. Le manque à gagner pour l’Etat roumain est estimé à plus de 60 millions d’euros.



    Classement – La Roumanie reste en 2014 aussi le pays européen le plus corrompu, selon le 20e rapport annuel de lONG Transparency International. Notre pays se situe 69ème dans le classement de 175 pays pris en compte, à égalité avec le Brésil, la Bulgarie, la Grèce, l’Italie et le Sénégal. Au niveau mondial, ce sont le Soudan, la Corée du Nord et la Somalie qui figurent en queue du classement, tandis qu’au pôle opposé se trouvent le Danemark, la Nouvelle Zélande et la Finlande. Malgré une croissance économique en flèche, la Turquie et la Chine sont confrontées, toutes les deux, à un niveau élevé de corruption, avertit Transparency International, qui insiste dans son rapport sur les difficultés auxquelles se heurtent les pays émergeants dans leur lutte contre le fléau de la corruption.



    Carburant – Selon une étude publiée par Bloomberg, la Roumanie pointe en tête de classement concernant le prix du carburant, classée 30e sur 61 pays à travers le monde. Elle est toutefois le onzième pays où lessence est la plus chère compte tenu du rapport entre le niveau de vie de ses habitants et les prix à la pompe. La Norvège est le pays en tête du classement, où lessence est la plus chère (2 euros le litre), tandis que le Venezuela est le pays où le carburant est meilleur marché, où le litre dessence ne coûterait quun centime deuro le litre. Des prix inférieurs à ceux pratiqués en Roumanie se trouvent en Bulgarie, Lituanie, Estonie et Hongrie.



    Coalition – Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, s’est entretenu mercredi à Bruxelles avec le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg. L’officiel roumain a déclaré que l’Alliance Nord-atlantique devait continuer à prêter attention à la sécurité dans la région de la Mer noire, y compris en poursuivant les exercices conjoints, l’échange d’informations et les évaluations. Bogdan Aurescu a également réitéré la disponibilité de Bucarest à accueillir sur le sol roumain des éléments otaniens de commandement et de contrôle. Le ministre roumain des affaires étrangères a également eu une entrevue avec son homologue français, Laurent Fabius. Les deux hommes ont décidé de la mise en place d’un mécanisme de consultations régulières entre les ministères qu’ils dirigent sur des questions européennes et de sécurité. Le ministre roumain des affaires étrangères, Bogdan Aurescu, a participé à Bruxelles à la première réunion de la coalition internationale de lutte contre l’organisation djihadiste Etat Islamique. La Roumanie s’est engagée à soutenir les efforts de la coalition notamment par des mesures d’aide humanitaire, sa participation ne comportant donc pas de volet militaire.



    Nucléaire — Le ministre roumain de l’environnement, Attila Korodi, a convoqué mercredi le Comité ministériel pour les situations d’urgence, afin d’examiner toutes les informations relatives à l’incident survenu à la centrale nucléaire de Zaporojie, dans le sud-est de l’Ukraine, à près de 500 km de la frontière avec la Roumanie. Cette centrale nucléaire, la plus grande d’Europe, avait subi une défaillance technique le 28 novembre dernier, mais il n’y a aucune menace démission de matières radioactives, selon le ministre ukrainien de lénergie, Volodymyr Demtchichine. La centrale devrait retrouver sa pleine puissance le vendredi 5 décembre. L’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire de France a lui aussi fait savoir que l’incident ne posait aucun danger pour la population ni pour l’environnement. L’Ukraine été le théâtre de la pire catastrophe nucléaire de lhistoire en 1986, lorsqu’une explosion à la centrale de Tchernobyl a relâché un nuage radioactif sur lEurope et lUkraine, la Russie et la Biélorussie.








  • 03.12.2014

    03.12.2014

    Budget — La partie roumaine ne formulera aucune proposition de majoration de taxes et d’impôts à loccasion des pourparlers avec les grands bailleurs de fonds, a déclaré le ministre délégué au Budget du gouvernement roumain, Darius Valcov. Une mission commune d’experts du FMI et de la Commission Européenne se trouve à Bucarest jusqu’au 10 décembre pour des discussions avec les autorités roumaines au sujet du projet de la loi du budget 2015. Avant son élaboration, le gouvernement roumain a annoncé un dernier collectif budgétaire d’ici la fin de l’année.



    Economie — La Roumanie a enregistré une croissance économique de 1,8% au troisième trimestre de l”année en cours par rapport au trimestre précédent et une avancée du PIB de 2,8% sur les neuf premiers mois de l’année, selon les données préliminaires fournies ce mercredi par l’Institut national de la Statistique. Selon cette source, les contributions les plus importantes à la majoration du PIB sont dues à l’industrie – 30% du PIB et au secteur des Communications et de l’Information – 5,2%. Par ailleurs, les transactions financières, les assurances et la diminution du volume des activités dans le secteur du Bâtiment ont eu un impact négatif sur le PIB. Selon les données fournies à la mi-novembre par l’Institut national de la Statistique, l’économie roumaine a évité la récession technique, suite à une hausse du PIB de 0,5%.



    Corruption — Les députés roumains décident ce mercredi s’ils approuvent ou non la demande formulée par la Direction nationale anticorruption de consentement à la mise en détention provisoire de leurs collègues Catalin Teodorescu er Marko Attila. Les deux sont poursuivis dans le cadre d’une affaire de rétrocession illégale dans laquelle l’ex procureure en chef de la Direction d’investigation du crime organisé et du terrorisme, Alina Bica a été accusée et placée en détention provisoire. Selon les procureurs, le préjudice porté à l’Etat dans ce dossier a été de plus de 60 millions d’euros.



    Classement – La Roumanie reste en 2014 aussi le pays européen le plus corrompu, selon le 20e rapport annuel de lONG Transparency International. Notre pays se situe 69ème dans le classement de 175 pays pris en compte, à égalité avec le Brésil, la Bulgarie, la Grèce, l’Italie et le Sénégal. Au niveau mondial, c’est le Soudan, la Corée du Nord et la Somalie qui figurent en queue du classement, tandis qu’au pôle opposé se trouvent le Danemark, la Nouvelle Zélande et la Finlande. Malgré une croissance économique en flèche, la Turquie et la Chine se confrontent, les deux, à un niveau élevé de corruption, avertit Transparency International qui insiste dans son rapport sur les difficultés auxquelles se heurtent les pays émergeants dans leur lutte contre le fléau de la corruption.



    Carburant — Selon une étude publiée par Bloomberg, la Roumanie pointe en tête de classement concernant le prix du carburant, classée 30e sur 61 pays à travers le monde. Elle est toutefois le onzième pays où lessence est la plus chère compte tenu du rapport entre le niveau de vie de ses habitants et les prix à la pompe. La Norvège est le pays en tête du classement, où lessence est la plus chère (2 euro le litre), tandis que le Venezuela est le pays où le carburant est meilleur marché, où le litre dessence ne coûterait quun centime deuro le litre. Des prix inférieurs à ceux pratiqués en Roumanie se trouvent en Bulgarie, Lituanie, Estonie et Hongrie.



    Coalition — La coalition internationale contre le groupe Etat islamique se réunit aujourd’hui, en première, à Bruxelles. Les ministres des Affaires étrangères des pays membres de la coalition et le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, discutent ce mercredi de la stratégie politique et militaire, de la participation des combattants étrangers aux côtés des forces djihadistes de Syrie et Irak, tout comme de l’aide humanitaire destinée aux réfugiés. La Roumanie est représentée à Bruxelles par le chef de sa diplomatie, Bogdan Aurescu. Rappelons que Bucarest a rejoint la coalition internationale contre le groupe Etat islamique pour offrir du soutien humanitaire et logistique.



    Moldova – Les leaders des partis pro-européens du Parlement de la République de Moldova poursuivent leurs négociations en vue de former un nouvel exécutif. Au scrutin législatif de dimanche, les partis libéral démocrate, démocrate et libéral, membres de la coalition gouvernementale en place, ont obtenu ensemble 55 mandats de député sur les 101 que compte le Parlement de Chisinau. Le gouvernement moldave espère obtenir pour la République de Moldova le statut de candidat à l’UE en 2017 et celui de pays membre, en 2020. Les 46 autres mandats de parlementaire ont été remportés par les socialistes et communistes pro-russes. Les communistes exigent la renégociation des accords d’association et de libre échange avec l’UE, tandis que les socialistes souhaitent abandonner définitivement le trajet européen au profit de l’union douanière contrôlée par la Russie.



    Intempéries – En Roumanie, il continue à faire froid. Le ciel est variable sur le nord-est et le centre du pays et plutôt couvert sur le reste du territoire. Il pleut sur le sud-ouest et il neige à la montagne. La vitesse du vent devra atteindre les 70, voire 80 km/h, et monter jusqu’à 90 km/h en haute montagne. En raison des fortes rafales de vent, des dizaines de navires restent bloqués sur le Danube, tandis que les manœuvres sont suspendus dans le port de Midia. Les maxima du jour vont de moins 4 à 11 degrés.

  • Comment peut-on soutenir la République de Moldova ?

    Comment peut-on soutenir la République de Moldova ?

    Enjeu majeur de la nouvelle Guerre Froide, la République de Moldova est maintenant un des polygones où se confrontent Bruxelles et Moscou. Lié, d’une part, à la Roumanie par la communauté de langue, d’histoire et de culture et partageant la même vocation occidentale mais, d’autre part, encore dépendant économiquement de la Russie, le petit Etat ex-soviétique majoritairement roumanophone joue ces jours-ci son avenir à long terme.



    La coalition gouvernementale tripartite installée il y a cinq ans a résolument choisi l’Occident et a ratifié en juin dernier ses accords d’association et de libre échange avec l’Union européenne. Bien côté dans les sondages concernant l’intention de vote et liée par un cordon ombilical de l’ex-métropole, l’opposition communiste et socialiste menace : si après les élections législatives de l’automne elle revient au pouvoir, elle va ramener Kichinev sur l’orbite de Moscou.



    Cependant, Moscou n’économise nullement sa munition pour saboter le trajet européen de son ex-colonie. De temps en temps, les membres du gouvernement fédéral lancent des menaces à l’adresse de Chisinau dans un chœur d’insultes grossières dont le premier soliste est, d’ores en avant, le célèbre vice-premier ministre Dmitri Rogozin. Les foyers de sécessionnisme pro-russe de Transdniestrie (dans l’est) et de Gagaouzie (dans le sud) sont périodiquement activés par télécommande et, dans le domaine économique, la stratégie de suffoquer les exportations moldaves devient plus évidente au jour le jour.



    Après avoir été depuis de longues années le principal fournisseur de vins, fruits et légumes pour le marché soviétique, la République de Moldova devint, brusquement, incompatible aux exigeantes normes phytosanitaires de la Fédération de Russie. D’abord on a institué l’embargo aux vins. Maintenant on a interdit les importations de produits agricoles et agroalimentaires sous le prétexte de contamination. Quoique anticipée par les analystes, cette décision est, selon le premier ministre Iurie Leancà, inexplicable.



    Son homologue roumain, Victor Ponta, annonce qu’il va plaider en faveur de la levée des cotas d’exportation sur le marché européen visant les produits agroalimentaires moldaves. Des 70 milliers de tonnes de fruits soumis à l’embargo, la Roumanie peut conserver dans les entrepôts de l’Etat ou avec l’aide des sociétés privées quelques 15 milliers de tonnes. Ces produits pourraient être conservés jusqu’à ce qu’ils pourraient être vendus sans taxes douanières sur le marché européen, le plus probablement au mois d’octobre dit le ministre de l’Agriculture de Bucarest, Daniel Constantin, après avoir consulté le commissaire du domaine, le Roumain Dacian Ciolos. Les produits refusés par la Russie pourraient, ainsi, se trouver sur les marchés des pays de l’UE, sur le marché arabe et sur celui de Bélarus.



    Le premier ministre Ponta a annoncé également que la fourniture de gaz depuis la Roumanie vers la République de Moldova vouée à réduire la dépendance de Chisinau vis-à-vis des hydrocarbures russes va démarrer, selon le calendrier établi, le mois prochain. Date à valeur symbolique car la République de Moldova va célébrer alors 23 ans depuis la proclamation de son indépendance vis-à-vis de Moscou. (trad.: Costin Grigore)

  • A la Une de la presse roumaine 15.04.2014

    A la Une de la presse roumaine 15.04.2014

    La Roumanie a utilisé des financements européens chiffrés à 15 milliards d’euros. Entre temps les Roumains se confrontent à des aberrations fiscales et payent pour le litre de gasoil plus que les Allemands. Enfin, cette année le budget que les familles roumaines consacrent à Pâques reste serré.


  • A la Une de la presse roumaine 01.04.2014

    A la Une de la presse roumaine 01.04.2014

    Regard sur les 10 années dappartenance de la Roumanie à lOTAN, guerre dopinions autour de laccise sur les carburants et bilan de lagriculture roumaine en 2013 – ainsi se présente ce mardi 1er avril selon la presse bucarestoise.


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  • 31.03.2014 (mise à jour)

    31.03.2014 (mise à jour)

    Accise — Le président roumain, Traian Basescu, a de nouveau exhorté le chef du Cabinet de Bucarest, Victor Ponta, à renoncer à la majoration de l’accise sur le gas-oil et l’essence, estimant qu’il s’agit d’une mesure « inutile » et avec « des conséquences négatives multiples » pour la population. Le président craint que la hausse de cette taxe n’entraîne une majoration des prix qui mène à une chute de la consommation. En réaction, le premier ministre a qualifié de « populistes » les propos du chef de l’Etat, soulignant que les prix de l’essence et du gas-oil avaient augmenté de 70% et respectivement de 90% durant les mandats des gouvernements appuyés par le président.


    Par ailleurs, Victor Ponta a déclaré que son cabinet allait reverser aux transporteurs de marchandises quatre des sept centimes d’euros de majoration, à partir du 1er avril, de l’accise par litre de carburant. Cette meure, précise-t-il, permettra aux transporteurs roumains de rester compétitifs par rapport à ceux des pays voisins. L’Union nationale des transporteurs routiers souhaite que le remboursement du supplément d’accise soit accordé aux transporteurs de personnes aussi, sinon le transport de passagers reviendra plus cher.



    Accidents — La Roumanie mène le classement des pays membres de l’UE pour ce qui est du nombre d’accidents mortels de la route, selon les chiffres rendus publics lundi par le commissaire européen aux Transports, Siim Kallas. En 2013, la Roumanie a connu 92 décès des suites d’un tel accident pour chaque million d’habitants du pays. Néanmoins, toujours l’année dernière, le taux des décès routiers a diminué de 9% par rapport à 2012. Dans ce classement noir, la Roumanie est suivie par la Pologne, le Luxembourg, la Lettonie et la Croatie. Les pays les moins touchés par ce fléau sont le Royaume Uni, la Suède et les Pays Bas.



    Coopération — La Roumanie souhaite être le premier Etat de l’UE à ratifier l’Accord d’association de la République de Moldavie à la communauté, a fait savoir lundi le chef de la diplomatier roumaine, Titus Corlăţean, en visite à Chisinau. Aux côtés de son homologue moldave, Natalia Gherman, le ministre roumain a dirigé les travaux de la Commission intergouvernementale Roumanie – République de Moldavie, ciblés sur l’intégration européenne de cette dernière. Les deux responsables ont par ailleurs signé aussi plusieurs accords de coopération bilatérale visant la justice, les médias et la sécurité alimentaire. En outre, le chef de la diplomatie roumaine s’est entretenu aussi avec le président moldave Nicolae Timofti et son premier ministre Iurie Leancă, devant lesquels il a réaffirmé l’appui de Bucarest au parcours européen de la Moldavie ex-soviétique voisine.



    Corruption — L’ex-ministre roumain de l’Economie, le conservateur Codruţ Şereş, a été condamné lundi par la Haute Cour de cassation et de justice à quatre ans de prison ferme pour complicité à l’abus de fonction. Codruţ Şereş a été mis en examen pour des faits survenus alors qu’il était ministre entre 2005 et 2006. Il avait alors dissimulé les activités illégales de la société Hidroelectrica, directement subordonnée au ministre, le préjudice porté à l’Etat se chiffrant à quelque 165 millions de dollars. Six autres membres de l’ancienne ou de l’actuelle direction de Hidroelectrica ont également été condamnés dans ce dossier, toujours pour abus de fonction. La décision des juges n’est pourtant pas définitive et peut être contestée.



    Nomination — Ancien député, ministre et chef de la filiale roumaine du groupe bancaire néerlandais ING, Mişu Negriţoiu a fait lundi un pas supplémentaire vers le fauteuil de président de l’Autorité roumaine de suivi financier. Sa nomination a été avalisée par les commissions pour le budget, les finances et l’économie du législatif roumain, mais sa candidature doit encore recevoir le feu vert de tous les sénateurs et députés roumains réunis en séance plénière. Mişu Negriţoiu doit remplacer à ce poste le libéral Dan Radu Ruşanu, placé en détention provisoire début mars pour association de malfaiteurs et complicité à l’abus de fonction.



    Football — L’ancien capitaine de la sélection nationale roumaine de foot, Cristian Chivu, a rompu son contrat avec l’équipe italienne Internazionale Milano, dont il est membre depuis 2007, mettant ainsi fin à sa carrière de joueur professionnel aussi. Dans un communiqué, le club milanais remercie le Roumain pour sa fidélité envers cette équipe, avec laquelle il a remporté trois titres de champion, deux coupes et deux supercoupes d’Italie de foot. Agé de 33 ans, Cristian Chivu a eu un parcours international très riche, évoluant également au cours de sa carrière à l’équipe Ajax d’Amsterdam et au club AS Rome. Aux côtés de la sélection nationale roumaine, il avait été présent dans les étapes finales de la Coupe européenne de football de 2000 et 2008.

  • 28.03.2014

    28.03.2014

    Accise — Poursuite aujourd’hui à Bucarest des discussions entre le gouvernement et les représentants des transporteurs sur les mesures visant à atténuer l’impact de la majoration de 7 centimes d’euro de l’accise sur les carburants à partir du 1er avril prochain. L’exécutif devra élaborer un acte réglementaire pour récupérer une partie de l’accise et proposera des modifications législatives afin de lutter contre l’évasion fiscale dans le domaine. Selon le secrétaire d’Etat au ministère des Finances, Dan Manolescu, le gouvernement se dit d’accord avec la récupération d’une partie de l’accise suivant le modèle d’autres Etats européens pour ne pas porter atteinte à la compétitivité des transporteurs roumains. L’argent obtenu suite à la majoration de l’accise sur les carburants, dont le montant est estimé à près de 2 milliards de lei d’ici la fin de l’année –, sera versé au budget consolidé de l’Etat. Au niveau de l’UE, l’accise sur le diesel peut être récupérée en Belgique, France, Espagne, Italie, Hongrie et Slovénie.



    Santé — La Banque mondiale envisage d’approuver aujourd’hui un prêt de 250 millions d’euros pour la réforme du système sanitaire de Roumanie, a déclaré la déléguée de la Banque pour la Roumanie, Elisabeta Capannelli, dans une interview à Bloomberg. Les 250 millions d’euros seront destinés à la modernisation des hôpitaux, l’amélioration de la gouvernance dans le système sanitaire et la lutte contre différentes maladies, tels le cancer. La Banque Mondiale œuvre à présent aux côtés de l’exécutif roumain à une nouvelle stratégie de partenariat pour la période 2014-2017, qui pourrait comporter un financement d’un milliard d’euros par an.



    Coopération — Le ministre roumain des AE, Titus Corlàtean, se rendra le lundi prochain en visite de travail à Kichinev à l’occasion de la deuxième session de la Commission Intergouvernementale République de Moldova – Roumanie pour l’intégration européenne. En marge de cette réunion on va signer plusieurs accords concernant la collaboration bilatérale dans des domaines tels la justice, les médias et la sécurité alimentaire. Corlàtean aura des entrevues avec le président de la République de Moldova, Nicolae Timofti, avec le premier ministre, Iurie Leancà, avec le président du Parlement, Igor Coman et avec son homologue de Kichinev , Mme Natalie Gherman. Rappelons que la Roumanie est un promoteur constant de l’intégration européenne de l’Etat voisin, ex-soviétique, majoritairement roumanophone.



    Exposition – L’exposition « Les trésors de Roumanie » qui sera vernie à Péquin au mois de septembre va comprendre des pièces de patrimoine de 25 musées de Bucarest et du pays — a annoncé vendredi le Ministère de la Culture de Bucarest. Les pièces seront transportées en chine par des aéronefs militaires. Cette exposition est conçue comme un pendant de l’exposition « Les trésors de Chine » qui a été organisée au usée national d’Histoire de Roumanie en 2013 et comprendra 500 à 700 objets archéologiques et d’art significatifs du patrimoine culturel roumain.



    Heure – Dans la nuit de samedi à dimanche la Roumanie passe officiellement à l’heure d’été. Les horloges seront avancées d’une heure, 3h00 devenant 4h00, la différence par rapport au TU étant de trois heures. Le dimanche sera le jour le plus court de l’année, avec 23 h. Le passage à l’heure d’été a été instauré en Roumanie en 1979. L’objectif du changement d’heure est principalement de mettre à profit les heures d’ensoleillement pour limiter l’utilisation de l’éclairage artificiel.



    Football — Le champion de Roumanie au football, Steaua Bucarest, s’est imposé jeudi soir 5 à 2 devant Dinamo Bucarest, dans le premier tour des demi-finales de la Coupe de la Roumanie. Le match, suivi par 50 mille spectateurs, s’est déroulé sur l’Arène nationale de Bucarest qui accueillera aussi le match retour. Dans l’autre demi-finale, le gagnant en titre de la Coupe, Petrolul Ploiesti, a fait match nul avec Astra Giurgiu. Les matchs retour sont prévus d’ici trois semaines.