Tag: CIA

  • Le chef de la CIA à Bucarest

    Le chef de la CIA à Bucarest

    Les Services roumains d’informations extérieures et de renseignement sont remarquables et beaucoup appréciés aux Etats-Unis, affirmait mardi à Bucarest le directeur de la CIA, John Brennan. Venu en Roumanie pour des consultations avec une série de responsables roumains, il s’est entretenu avec les patrons des services spéciaux et a été reçu par le premier ministre Victor Ponta et par le président Traian Basescu.




    Le chef de l’Etat roumain a déclaré à cette occasion que la consolidation des rapports avec Washington était le principal objectif politique de son pays. Traian Basescu : « Consolider nos relations avec les EU c’est notre principale cible politique, même si, parfois, comme dans le cas du Kosovo, nous ne partageons pas le même point de vue ; cela ne pourrait pourtant pas remettre en question notre détermination à renforcer la relation avec votre pays. Je voudrais rappeler à ce point également le partenariat stratégique pour le 21e siècle, conclu par nos deux pays, qui a contribué à la hausse des investissements américains en Roumanie. »




    En plus des problèmes de sécurité produits par le Printemps arabe et de la situation au Moyen Orient et en Afghanistan, le président Traian Băsescu et le directeur de la CIA, John Brennan, ont aussi examiné le renforcement du niveau de sécurité suite à l’accord conclu par Washington et Bucarest sur l’installation, en Roumanie, du système américain de défense contre les missiles balistiques. John Brennan a tenu à souligner la bonne coopération qui existe entre les institutions de sécurité des deux pays, le professionnalisme du renseignement roumain et de l’échange d’informations et d’analyses sur lesquelles reposent les décisions prises dans le cadre de l’OTAN et de la relation bilatérale roumano-américaine.




    « A la différence de ma visite antérieure à Bucarest, quand nous étions au début de tout cela, cette fois-ci j’ai remarqué l’effort commun, le professionnalisme, la motivation, l’intégrité et le courage des agents du renseignement roumain. Le SIE tout comme le SRI sont vraiment remarquables et nous les apprécions beaucoup », a déclaré John Brennan. Le chef de la CIA a remercié la communauté d’informations de Roumanie de son soutien aux USA, dans la lutte contre le terrorisme, contre les risques et les menaces à l’adresse de la sécurité mondiale. Rappelons que cette visite à Bucarest du responsable américain a eu lieu au lendemain de celle effectuée par Nikolaï Patrouchev, secrétaire du Conseil de sécurité de la Russie. (trad. : Ileana Taroi)

  • A la Une de la presse roumaine du 19.06.2013

    A la Une de la presse roumaine du 19.06.2013

    La Roumanie dans le monde, la Roumanie et le monde. C’est ainsi que l’on pourrait résumer les principaux titres de la presse écrite en ligne d’aujourd’hui. Sous le titre : « La CIA et le FSB ont cohabité à Bucarest », Adevarul cite plusieurs spécialistes qui tentent de traduire « la coïncidence » qu’à été la présence en même temps des chefs de l’espionnage russe et américain à Bucarest. Lundi, le président Traian Basescu et le premier ministre Victor ponta ont reçu le chef du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, le général Nikolaï Patrouchev. Mardi ce fut le tour du chef de la CIA, John Brennan, de se rendre dans la capitale roumaine. « Dans le monde des services secrets, de telles visitent sont planifiées depuis longtemps et en détail. Il existe sans aucun doute un accord entre les trois gouvernements », estiment les analystes cités par le quotidien Adevarul. Evenimentul zilei évoque même un nouvel axe stratégique : Washington — Bucarest — Moscou, et rappelle que la Roumanie se situe entre l’Est et l’Ouest à proximité de conflits importants, tel celui de Transnistrie. Sous le titre « La Roumanie s’ouvre vers la Russie, alors que les Américains se ferment », Romania libera observe que la visite du responsable russe précède celle du chef de la diplomatie roumaine à Moscou et la nomination d’un nouvel ambassadeur roumain en Russie. Cette ouverture de Bucarest envers Moscou survient sur la toile de fond d’un gel des relations américano-russes, précise Romania libera, qui évoque notamment la rupture évidente entre Obama et Poutine sur le dossier syrien observée au récent sommet du G8. Le quotidien estime que la nouvelle politique de Bucarest envers la Russie est à nouveau déphasée par rapport à celle de Washington.



    Un déphasage par rapport aux politiques européennes, c’est ce que constatent aussi les journalistes du quotidien en ligne Gandul.info quand il s’agit de l’interdiction à la vente des cigarettes « slim », « longues » et « menthol ». Une telle mesure nuirait gravement à l’économie nationale, lit-on dans Gândul qui rappelle que le gouvernement roumain s’était opposé à la croisade de l’UE contre certains types de cigarettes. 330 millions d’euros par an, c’est le montant des accises que l’Etat roumain risque de perdre au cas ou la directive de l’UE est mise en application. Et pourtant, selon la Société roumaine de pneumologie, la facture que l’Etat roumain paye annuellement pour soigner les maladies provoquées ou aggravées par le tabac s’élève à presque 300 millions d’euros. Gândul conclut que selon les statistiques de la Société roumaine de pneumologie, le tabac tue un Roumain toutes les 15 minutes. Un Roumain sur quatre est dépendant de nicotine et presqu’un quart des personnes de 15 ans ou plus fument chaque jour. Des chiffres vraiment inquiétants.



    Des statistiques tout aussi inquiétantes sont à retrouver sur le site du quotidien Jurnalul national, selon lequel une femme roumaine est battue toutes les 30 secondes. Selon les chiffres du ministère de l’Emploi, de la famille et de la protection sociale, durant les 7 dernières années, près de 800 femmes sont décédées en Roumanie à cause de la violence domestique. Plus de 65 mille cas de violence entre époux ont eu lieu en Roumanie entre 2010 et 2012. Et pourtant, dans seulement 20% des cas les autorités judiciaires ont démarré des poursuites pénales, lit-on sur le site Jurnalul.ro. Le sujet de la violence domestique revient dans l’actualité après la parution dans la presse roumaine d’un sujet peuple : la chanteuse roumaine Alexandra Stan a été battue par son imprésario Marcel Prodan. A la surface, elle semble être une diva, mais en réalité, la chanteuse n’était qu’une jeune femme naïve et exploitée par l’équipe derrière son succès, explique Adevarul. Coup de théâtre : « Je lui pardonne, je sais qu’il regrette ce qu’il a fait. Cette expérience m’a rendue plus mûre » a déclaré Alexandra Stan, citée par Adevarul. Ainsi s’expliquent les statistiques.

  • CIA-Chef unternimmt Bukarestbesuch

    CIA-Chef unternimmt Bukarestbesuch

    Die rumänischen Informationsdienste SIE und SRI werden von den USA sehr geschätzt und gelobt, so der CIA – Direktor John O. Brennan, der am Dienstag einen Bukarest-Besuch unternommn hat. Er ist mit den Direktoren der rumänischen Informationsdienste, dem Premierminister Victor Ponta sowie mit dem Staatschef Traian Băsescu zusammengekommen. Der rumänische Staatspräsident erklärte, unser Land habe als politisches Hauptziel die Konsolidierung der Beziehungen mit den USA. Traian Băsescu dazu:



    Die Verstärkung der Beziehungen zu den USA ist unser politisches Hauptziel, auch wenn unsere Meinungen manchmal nicht übereinstimmen. Als Beispiel würde ich Kosovo nennen. Das stellt aber nicht unsere Absicht in Frage, die Beziehung zu den USA weiter zu entwickeln. Ich würde hier die strategische Partnerschaft für das 21. Jahrhundert erwähnen, die zu einem Anstieg der amerikanischen Investitionen in Rumänien geführt hat.“



    Ein weiteres Thema, das vom rumänischen Staatschef Traian Băsescu und dem CIA-Direktor John O. Brennan angegangen wurde, waren die Sicherheitsprobleme, die der arabische Frühling geschaffen hat, sowie die Lage in Afghanistan und im Nahen Osten. Analysiert wurde auch das Sicherheitsniveau, nachdem die USA Elemente des Raketenabwehrsystems in Rumänien installiert haben. John O. Brennan hat die Kooperation zwischen den Sicherheitsinstitutionen der zwei Staaten, die profesionelle Tätigkeit der rumänischen Sicherheitsdienste sowie den Informationsaustausch und die Analysen im Rahmen der NATO gelobt:



    Im Vergleich zu meinem vergangenen Bukarest-Besuch konnte ich jetzt die Anstrengungen, die Motivation, die Integrität und den Mut der rumänischen Informationsoffiziere bemerken. Sowohl SIE als auch SRI sind bemerkenswerte Institutionen, für die wir nur Lobesworte finden.“



    John O. Brennan bedankte sich für die Beteiligung der rumänischen Informationsgemeinschaft an der Unterstützung der USA in der Bekämpfung des Terrorismus, der Risiken und der Bedrohung der globalen Sicherheit. Der Besuch des CIA-Direktors fand ein Tag nach dem Rumänienbesuch des Sekretärs des Russischen Sicherheitsrates Nikolaj Patruschew statt.

  • Şeful CIA la Bucureşti

    Şeful CIA la Bucureşti

    Serviciile româneşti de informaţii, Serviciul de Informatii Externe şi Serviciul Roman de Informatii, sunt cu adevărat remarcabile şi sunt apreciate în Statele Unite, spune directorul Central Intelligence Agency, John O. Brennan, aflat, marti, la Bucuresti, pentru consultari cu o serie de oficiali romani. El s-a intalnit cu sefii serviciilor speciale din Romania, cu premierul Victor Ponta si cu presedintele Trian Basescu. Seful statului roman a afirmat ca tara sa are, ca obiectiv politic principal, consolidarea relaţiilor cu Statele Unite.



    Traian Basescu: “Este principala noastră ţintă politică, să consolidăm relaţiile cu SUA, chiar dacă, uneori, cum este cazul Kosovo, nu avem neapărat acelaşi punct de vedere, dar asta nu poate ridica vreun semn de întrebare în legătură cu determinarea noastră de a consolida relaţia cu ţara dumneavoastră. Aş dori să amintesc aici şi de parteneriatul strategic pentru secolul XXI, încheiat de cele două ţări, care a contribuit la creşterea investiţiilor americane în România.



    Preşedintele Traian Băsescu a mai discutat cu directorul CIA, John O. Brennan, despre problemele de securitate generate de primăvara arabă, situaţia din Afganistan şi cea din Orientul Mijlociu. De asemenea, a fost făcută o analiză asupra creşterii nivelului de securitate, ca efect al acordului dintre cele două ţări privind amplasarea sistemului american de apărare împotriva rachetelor balistice în România.



    John O. Brennan a ţinut să aprecieze, în mod special, nivelul de cooperare dintre instituţiile de securitate din cele două state, precum şi profesionalismul serviciilor de informaţii româneşti şi schimbul de informaţii şi analizele care stau la baza deciziilor în cadrul NATO, dar şi în relaţia bilaterală dintre România şi Statele Unite ale Americii. “Fata de ultima mea vizita la Bucuresti, a spus John O. Brennan, când eram la început, am remarcat efortul care a fost depus împreună, profesionalismul, priceperea, motivaţia, integritatea şi curajul ofiţerilor de informaţii din România. Atât SIE, cât şi SRI sunt cu adevărat remarcabile şi noi apreciem acest lucru.”



    John O. Brennan a mulţumit, totodată, pentru contribuţiile comunităţii de informaţii din România în ceea ce priveşte sprijinul acordat Statelor Unite ale Americii în lupta împotriva terorismului, combaterea riscurilor şi ameninţărilor la adresa securităţii globale.



    Mentionam ca vizita oficialului american în România are loc la o zi după cea efectuată de secretarul Consiliului de Securitate al Rusiei, Nikolai Patruşev.

  • Caplu al CIA, Bucureşti

    Caplu al CIA, Bucureşti

    Serviciili Româneşţâ di Informaţii, Servicilu di Informaţii ti Xeani şi Servicilu Român di Informatii, suntu dealihea ghini vidzuti ş-alâvdati tu Americhii, dtâţi directorlu al Central Intelligence Agency, John O. Brennan, ţi fu, Marţâ, Bucuresti ti consultari cu un grup di ofiţiali român’i. El s-andamusi cu şefii a serviciilor ahoryea dit Românii, cu premierlu Victor Ponta si cu prezidentul Traian Băsescu. Caplu a statlui român dzâsi că vâsâlia a lui ari, ca prot scupo di turlii politicâ, împrustarea a ligâtorilor cu SUA. Traian Basescu: “Easti prota noastrâ ţintâ di turlii politicâ, s-împrustăm ligâturli cu SUA, chiola maca, niscânti ori, cum eeasti catandisea al Kosovo, nu avem zorlea idyea opinii, ama aestu lucru nu poati s-yinâ cu vârâ semnul di antibrari tu ţi mutreaşti lucurlu ţi-l vrem, icâ împrusttarea a ligâturâl’ei vâsâlia a a dumniilor a voastri. Voi s-aduc aminti aoa şi di parteneriatlu strateghic ti secolu XXI, ti cari s-achicâsirâ dauli vâsâlii şi cari agiutâ la criştearea a investiţiilor americani tu Românii.“ Prezidentul Traian Băsescu mai zburâ cu directorlu CIA, John O. Brennan, andicra di problemili di securitati ţi furâ adusi di primuveara arabâ, di catandisea dit Afganistan şi di aţea dit Orientul di Mesi. Tutnâoarâ, fu adratâ unâ analizâ tu ţi mutreaşti criştearea a nivelului di securitati, ca efectu a achicâsearâl’ei dintrâ aţeali dauâ stati mutrinda bâgarea a sistemlui american di afireari contra a rachetilor balistiţi tu Românii. John O. Brennan ţânu s-aspunâ, maxus, di nivelu di cooperari dintri instituţiili di securitati dit dauli vâsâlii, di profesionalismul a serviciilor di informaţii româneştâ, di schimbul di informaţii şi di analizili pi cari s-întimil’ieadzâ apofasili dit NATO, ama şi di ligâtura dintrâ România şi SUA. “Andicra di aţea dit soni vizitâ a mea aoa, Bucuresti, cându earam tu ahurhitâ, vidzui ghini efortul ţi l-u adrat deadun, vidzui profesionalismul, motivaţia, integritatea şi curagiulu a ofiţerilor di informaţii dit Românii. Ahât SIE, cât şi SRI suntu dealihea multu buni şi noi alâvdăm aestu lucru.” John O. Brennan haristusi, tu idyul chiro, ti ahiutorlu a comunitatâl’ei di informaţii dit Românii tu ţi mutreaşti andruparea ti SUA tu alumta contra a terorismului, tu n’icşurarea a periculilor mutrinda securitatea dit tutâ lumea. “ Vâ spunem că vizita a oficialului american tu Românii avu loc la unâ dzuâ dupu aţea a secretarlui a Consiliului di Securitati ali Arusii, Nikolai Patruşev.



    Armâneaşti: Cristina Mina

  • 18.03.2013

    18.03.2013

    Prix – La pièce de théâtre radiophonique Suzana”, production de la Société Roumaine de Radiodiffusion a remporté la médaille de bronze au Festival International de la Radio de New York. Réalisé par Ilinca Stihi d’après un scénario qui porte sa signature, le spectacle présente sous une forme nonconventionnelle l’univers intérieur d”un personnage en marge de la société. Le spectacle Suzana” a décroché le prix de la meilleure pièce de théâtre radiophonique lors de l’édition 2012 du Gala de l’Union théâtrale de Roumanie.



    Proposition – Le Parlement de Bucarest a rejeté mardi la proposition du chef de l’Etat roumain d’organiser un nouveau référendum sur la constitution d’un parlement monocaméral à 300 sièges. Antérieurement, les conseils juridiques dont l’avis était purement consultatif, avaient donné leur feu vert à cette demande. Traian Basescu a affirmé que cette consultation populaire serait organisée au moins une semaine avant le référendum pour la validation de la Constitution au cas où le projet de révision de la loi fondamentale du pays qui fait actuellement l’objet d’un débat publique ne tiendrait pas compte du résultat du référendum de 2009. A l’époque, la plupart des électeurs s’étaient prononcés en faveur d’un Parlement monocaméral dont le nombre de siège soit réduit à 300.



    Constitution – Le processus de révision de la Constitution sera examiné en détail au niveau de la Commission européenne, a déclaré mardi sa secrétaire générale, Catherine Day, lors de sa rencontre à Bruxelles avec le ministre roumain de la Justice, Robert Cazanciuc. Selon un communiqué du ministère de profil, l’activité des institutions à rôle majeur dans la lutte contre la corruption a été appréciée, mais une accélération du rythme des arrêts dans les affaires de corruption est attendue. D’autre part, Catherine Day a souligné l’importance de l’observation par la Roumanie du délai pour l’entrée en vigueur du Code pénal et de celui de procédure pénale. Le ministre de la Justice a précisé que le délai-limite, c’est le 1er février 2014.



    Entretiens – La principale visée politique de la Roumanie, c’est de renforcer ses relations avec les Etats Unis, a déclaré mardi à Bucarest le président Traian Băsescu à la rencontre avec le directeur de la CIA, John O. Brennan. Le chef de l’Etat a mentionné par la même voie l’importance du partenariat stratégique agréé par les deux Etats. A son tour, John O. Brennan a affirmé que les services roumains du renseignement — celui des renseignements extérieurs et respectivement celui des renseignements internes — sont tout à fait remarquables et qu’ils sont appréciés aux Etats Unis. Le premier ministre Victor Ponta a également rencontré le directeur de la CIA, avec lequel il a discuté de la coopération entre les deux pays, dans le cadre du partenariat stratégique. La visite de l’officiel américain en Roumanie survient un jour après celle effectuée par le secrétaire du Conseil de sécurité de la Russie, Nikolaï Patrouchev.



    Démission – Le président de l’Institut Culturel Roumain, Andrei Marga, a présenté lundi sa démission au moment où le Sénat du pays s’apprêtait à le révoquer de ses fonctions. Andrei Marga a été critiqué dernièrement à maintes reprises pour le management défectueux de l’Institut. Ancien ministre des Affaires Etrangères, Andrei Marga, 67 ans, a remplacé à la tête de l’Institut culturel roumain l’écrivain et essayiste Horia Roman Patapievici. Celui-ci avait démissionné de ses fonctions en dénonçant ce qu’il avait considéré comme la démarche des autorités roumaines de faire de l’Institut un instrument de propagande nationale.



    Perception – Les Roumains ont une attitude ouverte à l’égard des étrangers se trouvant sur le territoire du pays et soutiennent les mesures prises pour les protéger, indique un rapport de la Fondation Soros rendu public mardi. L’étude fait valoir que l’apprentissage de la langue roumaine est un élément-clé de l’intégration et constitue un avantage pour trouver un emploi. A qualification professionnelle égale, la priorité à l’embauche appartient aux Roumains. Selon la Fondation Soros, il y a plus de 100.000 ressortissants étrangers en Roumanie, dont 50.000 environ proviennent d’Etats non-UE.