Tag: Corneliu Porumboiu

  • Filmfestspiele in Cannes: Rumänien erneut mit mehreren Streifen vertreten

    Filmfestspiele in Cannes: Rumänien erneut mit mehreren Streifen vertreten

    Die Spielfilme Un etaj mai jos“ (Einen Stockwerk tiefer“) von Radu Muntean und Comoara“ (The Treasure / Der Schatz“) von Corneliu Porumboiu sind für die Sektion Un certain regard“ der Internationalen Filmfestspiele von Cannes selektiert worden.



    Un etaj mai jos“ (Einen Stockwerk tiefer“) ist eine deutsch-französisch-schwedische Koproduktion. Drehbuchautoren sind Radu Muntean, Alexandru Baciu und Răzvan Rădulescu. Es ist nicht das erste Mal, wenn die drei Autoren zusammenarbeiten. Davon zeugt der Spielfilm Marţi, după Crăciun“ (Dienstag nach Weihnachten“), der 2010 für Cannes ausgewählt wurde. Über die Teilnahme am renommierten Filmfestival sagte der Regisseur Radu Muntean:



    Ich glaube, Cannes ist der Ort, den man sich für die Erstaufführung seines Films wünscht. Meiner Meinung nach geht es um das bedeutendste Filmfestival in der Welt und es funktioniert wie ein Marketinginstrument. Der Film kann vielleicht verkauft und von den Filmliebhabern gesehen werden.“




    Der Spielfilm Comoara“ von Corneliu Porumboiu zählt zu den 20 meisterwarteten ausländischen Filmen im Jahr 2015, so die Internetseite IndieWire. Comoara“ (Der Schatz“) erzählt die Geschichte zweier Männer, die mehrere unerwartete Erlebnisse durchmachen, um einen Schatz zu finden. Toma Cuzin spielt die Hauptrolle. Die Amateurschauspieler Adrian Purcărescu und Corneliu Cozmei wurden nach einem strengen Casting gewählt. Hören wir nun die Filmkritikerin Iulia Blaga:



    Ich kenne keine Einzelheiten über den Film, weil Corneliu und der Produzent nicht viel darüber gesprochen haben. Ich habe verstanden, dass der Film die Geschichte zweier Freunde erzählt, die im Hof des Gro‎ßvaters einen Schatz suchen, der dort seit Jahrzehnten liege. Es scheint, dass Porumboiu zur Komödie zurückkehrt, obwohl es nicht um eine reine Komödie geht. Der Spielfilm »Der Schatz« geht ein Thema an, mit dem sich Porumboiu auch in anderen Filmen auseinandergesetzt hat, und zwar die Idee einer Generation und der Weiterführung einiger Ideen oder Bräuche, eines Erbes, das eine Generation der nächsten übergibt. Ich bin der Meinung, dass Porumboiu immer bessere Filme dreht. Seine Rückkehr zur Komödie bedeutet nicht, dass er sich dem Publikumsgeschmack gebeugt hätte. Sein jüngster Film, »Când se lasă seara peste Bucureşti sau Metabolism« (»Wenn der Abend in Bukarest einbricht oder Metabolismus«), hatte seine Premiere in Locarno und war viel abstrakter als die anderen. Ich glaube nicht, dass Porumboiu sich einen Bärendienst erweist, umso weniger beugt er sich dem Publikum. Porumboiu war 2009 in Cannes in der Sektion »Un certain regard« mit »Poliţist, adjectiv« präsent und wurde für den Streifen mit dem Preis der Jury und dem FIPRESCI-Preis ausgezeichnet.“




    Ramona“ ist der dritte Teil der Filmtrilogie Impromptu“ von Andrei Creţulescu. Die ersten zwei, Bad Penny“ (2013) und Kowalski“ (2014), erfreuten sich ebenfalls einem gro‎ßen Erfolgs. Filmkritikerin Iulia Blaga kennt die Kulissen der Cannes-Auswahl:



    Die Selektierung des dritten Kurzfilms von Andrei Creţulescu für die Abteilung »Semaine de la Critique« ist ein Erfolg. In diesem Jahr waren über 1000 Filme eingeschrieben. Davon wurden nur 10 ausgewählt. Es scheint mir wichtig, dass ein Filmkritiker, der die zeitgenössischen Filme sehr gut kennt, für »Semaine de la Critique« selektieren durfte. Die Auswahl seines Films bestätigt, dass Creţulescus Weg aufwärts führt.“




    In Ramona“ spielen Rodica Lazăr, Ana Ularu, Dorian Boguţă, Andi Vasluianu, Şerban Pavlu. Andrei Creţulescu schrieb das Drehbuch. Kameramann ist Andrei Butică. Für den Schnitt war Cătălin Cristuţiu verantwortlich. Das Bühnenbild trägt die Unterschrift von Mălina Ionescu. Mit dem Sounddesign beschäftigten sich Alex Dumitru und Marius Leftărache.




    Verigheta“ (Der Ehering“) von Gabriel Achim, Cristian“ von Doina Ruşti und Dumneavoastră, tu“ von Bogdan Theodor Olteanu zählen ferner zu den 16 Kurzfilmen, die in der Short Film Corner“ gesichtet wurden. Die Filme, die im Programm Romanian Short Waves“ aufgenommen wurden, werden in Cannes im Short Film Corner im Zeitraum 13. — 24. Mai gezeigt. Romanian Short Waves ist ein Programm des Secvenţe-Verbandes, das vom Nationalen Zentrum für Kinematographie und dem Rumänischen Kulturinstitut unterstützt wird.

  • 16.04.2015 (mise à jour)

    16.04.2015 (mise à jour)

    Menaces — Le premier ministre roumain Victor Ponta a catégoriquement rejeté jeudi ce qu’il a appelé «les menaces et critiques de certains responsables russes, avertissant que ces gestes n’intimidaient pas et n’allaient pas déterminer des changements de stratégie de la part de Bucarest». Cette déclaration est une réponse aux affirmations du chef de l’Etat majeur de l’armée russe, Valeri Gherasimov, selon lequel les pays qui accueillent sur leur territoire des éléments du bouclier antimissile américain, dont la Roumanie et la Pologne, deviennent des objectifs primordiaux des actions militaires russes. Par ailleurs, l’ancien chef des services roumains de renseignements, George Maior, a dénoncé «la guerre tacite de la Russie contre l’Occident». Chef des services roumains de renseignements intérieurs pendant 8 ans, George Maior a encore affirmé que la Roumanie a compté parmi les cibles des attaques cybernétiques russes aux côtés des Etats-Unis, de l’Allemagne, de l’Estonie, de l’Ukraine et de la Géorgie. Ces attaques n’ont été qu’une partie d’une série beaucoup plus ample d’actions contre les pays occidentaux, dont le financement de différents partis politiques, la création de blogs et sites pro-russes, la manipulation par le biais des réseaux sociaux et l’utilisation des agents d’influence. Le tout pour un seul objectif : déterminer à quitter le jeu les supposés ennemis de la Russie en semant des dissensions et par la désinformation, ajoute l’ancien chef des renseignements roumains.



    Consultations politiques — Nous devons nous assurer que le futur Parlement collaborera à 100% avec la Justice, a déclaré jeudi le président roumain Klaus Iohannis. Le chef de l’Etat a invité les partis et les formations politiques représentés au Parlement à des consultations lundi prochain. Klaus Iohannis a maintes fois critiqué l’attitude des parlementaires, qui, dans certains cas, ont rejeté les requêtes formulées par les procureurs anti-corruption pour le lancement des poursuites pénales, l’arrestation et la perquisition des élus. C’est le troisième round de consultations de ce type depuis le début du mandat présidentiel de Klaus Iohannis, le 21 décembre 2014.



    Investissements — Par les nouvelles mesures d’allègement fiscal, le gouvernement de Bucarest souhaite convaincre les sociétés étrangères que ça vaut la peine d’investir en Roumanie, a déclaré jeudi le premier ministre Victor Ponta. Et lui d’ajouter que l’année dernière l’Exécutif avait dispensé les sociétés de payer l’impôt sur le profit réinvesti. Le premier ministre a exprimé son espoir que la réduction de la TVA et la mise en œuvre des mesures du nouveau Code Fiscal encourageraient les investisseurs étrangers à opter pour la Roumanie ou bien à garder et à développer leurs investissements en terre roumaine. Et pour cause : la Roumanie est un des marchés les plus compétitifs en Europe, vu qu’elle dispose d’une main d’œuvre bien qualifiée et que le niveau des salaires y est plus bas par rapport au reste de l’Europe, a encore déclaré Victor Ponta.



    Diplomatie — Le ministre roumain des Affaires Etrangères, Bogdan Aurescu s’est entretenu jeudi avec le groupe des chefs des missions diplomatiques d’Amérique Latine et des Caraïbes accrédités à Bucarest. A l’agenda des discussions ont figuré entre autres les relations bilatérales, l’actualité régionale et les rapports entre l’UE et les pays d’Amérique Latine et des Caraïbes. La réunion a été une bonne occasion pour les diplomates d’échanger sur les modalités concrètes de diversifier la coopération entre la Roumanie et les pays latino-américains, lit-on dans un communiqué du ministère des AE de Bucarest.



    Tennis — Les joueuses de tennis de l’équipe de Fed Cup de la Roumanie ont invité les Roumains vivant au Canada à se rendre à Montréal pour les soutenir dans les matchs contre l’équipe canadienne, prévu samedi et dimanche et dont le gagnant jouera en 2016 dans le premier échelon de la Fed Cup, l’équivalent féminin de la Coupe Davis. La Roumanie sera représentée à Montréal par Irina Begu, Alexandra Dulgheru, Andreea Mitu et Raluca Olaru. Pour sa part, Simona Halep, numéro 3 mondiale, a décidé de ne pas y participer, en raison d’un agenda très chargé par les tournois individuels européens.



    Cannes — Les films «Le trésor» de Corneliu Porumboiu et respectivement « Un étage plus bas» de Radu Muntean seront présentés en première mondiale dans la section « Un certain regard du Festival de Cannes » qui se déroulera du 13 au 24 mai. «Un certain regard » est une section parallèle de la compétition officielle, réunissant des films qui présentent une vision spéciale des cinéastes du monde entier. Cette année, la présidente du jury de la section est l’actrice Isabella Rossellini.



    Météo — Les météorologues annoncent du beau temps en Roumanie dans les 24 prochaines heures. Des pluies sont attendues uniquement dans le nord du pays. Les températures maximales, plus élevées que la normale saisonnière, iront de 18 à 27 degrés.

  • Nachrichten 12.10.2014

    Nachrichten 12.10.2014

    Bucharest: The delegated Minister of the Romanian Diaspora Bogdan Stanoevici has beteligt in Munich at the opening of the 15th Romanian Cultural days. In addition Stanoevici came with representatives of the Romanian communities in Munich, Nuremberg and Ingolstadt to talks. In his speech at the cultural event in Munich, the Romanian Minister stressed the centuries of relations between the Romanian and German culture, as well as the potential for the expansion of cultural relations between the two countries, which could also lead to the further development of future joint projects.




    Bucharest : Bucharest welcomes the decision of the Canadian authorities to put Romania on the list of countries of origin, whose citizens do not need visas for entry to Canada. The measure is an important step towards the abolition of the visa requirement for Romanian citizens who wish to travel to Canada, said Romanias Foreign Minister Titus Corlăţean. The list is an instrument of the Canadian authorities, is to avoid any abuse of Canadas immigration and asylum system. The States which are recognized as countries with a secure democracy on this list that comply with the human rights, offer protection and constitute no emigration countries.





    Moreover, the Commission ruled against the imposition of the visa requirement for EU entry for citizens of Canada, Australia, Japan and the United States, even if the visa requirement when entering the said States for citizens of EU countries, including Romania was not abolished. The European Commission justified the decision by the fact that substantial progress was made in negotiations with the said non-EU countries. Consequentlym a full and perfect reciprocity face visa in view, Brussels added.




    Sibiu: The Big Prize Documentary Festival Astra in Central Romania Sibiu (Hermannstadt) has gone to the Ukrainian production “Majdan” which deals with the uprising in the Ukrainian capital Kiev and the Abestzung of President Viktor Ianukovici. As the best international documentary production “Master Of The Universe” the director Marc Bauder was honored. The strip takes a look at the glittering financial world with all its depths and its Skrupellosigkeiten. The Romanian production “The Second Game”, directed by Corneliu Porumboiu was awarded the Special Jury Prize. The prize for the best European documentary went to “Blood”, the director Alina Rudnitskaya, during the movie “Waiting for August” by director Ana Teodora Mihaia was awarded as the best Romanian Dokumentrafilm.




    Sports: Gymnastics: The Romanian gymnast Larisa Iordache has won the silver medal at the World Championships in Nanning China in floor exercise. On Friday Iordache had conquered in the individual all-around silver medal. At the bottom triuphierte the American gymnast Simone Biles and in third place came the Russian Aliya Mustafina. The 18-year-old Larisa Iordache has not captured the European title five times and also won a bronze medal in all-around team in the Olympics 2012th




    Sports: Football : The National Football Team Sheep Romania won the home match against Hungary for the European Championship qualifiers with an undecided one Saturday night: finished one. On Tuesday Romania abroad to compete against Finland. Romania belongs together with Northern Ireland, Faroe Islands and Greece to the group F of the qualifying matches for the European Championship to be held in 2016 in France. In the first group match, Romania away had prevailed over Greece with 1 to 0. In the last 14 years, the Romanian National Team participated only once at a World or Europe according Championship 2008 at the European Championships in Switzerland and Austria.

  • Rumänische Streifen bei den Filmfestspielen in Rotterdam

    Rumänische Streifen bei den Filmfestspielen in Rotterdam

    Când se lasă seara peste Bucureşti sau Metabolism“ (Wenn sich der Abend über Bukarest senkt oder Metabolismus“) von Corneliu Porumboiu, Bucureşti, unde eşti?“ (Bukarest, wo bist du?“) in der Regie von Vlad Petri und der Kurzfilm O umbră de nor“ (Der Schatten einer Wolke“) des Regisseurs Radu Jude sind die drei rumänischen Produktionen, die ausgewählt wurden, zwischen dem 22. Januar und dem 2. Februar um den gro‎ßen Preis der Internationalen Rotterdamer Filmfestspiele zu konkurrieren.


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    Weniger bekannt als die Filmemacher Corneliu Porumboiu und Radu Jude ist der junge Regisseur Vlad Petri, Absolvent der Bukarester Theater- und Filmhochschule. Er ist Dokumentarfilm-Regisseur und Fotograf. Petri recherchierte die Bukarester Sozialbewegungen 2012 und 2013 und veröffentlichte regelmä‎ßig auf Online-Plattformen vor Ort aufgenommene Filme und Bilder. Im Mittelpunkt seiner künstlerischen Tätigkeit steht die Erforschung unmittelbarer, persönlicher Wirklichkeit und der sozialen Unruhen.



    Der Platz als öffentlicher Raum für Debatten, Vorschläge und Proteste weckt mein besonderes Interesse. Wie entsteht überhaupt dieser Raum, wie hat er sich umgewandelt, welche ist seine soziale Auswirkung? All diese Fragen sind von gro‎ßem Interesse für meine Arbeit. Ich habe eine Leidenschaft für die Menschen, die sich daran beteiligen, für die Art und Weise, in der sie eine Botschaft an jemanden ausrichten. Ich habe vor, so oft wie möglich an den Protesten am Bukarester Universitätsplatz aktiv teilzunehmen, meine Filme ausschlie‎ßlich im Online-Umfeld zu verteilen und mit der Dynamik der Ereignisse Schritt zu halten“, sagte kürzlich der Regisseur.



    Aus diesem Interesse für den Platz als öffentlichen Raum für Debatten“ entstand auch der Dokumentarfilm Bucureşti, unde eşti?“ (Bukarest, wo bist du?“). Die Produktion des jungen rumänischen Regisseurs wurde für das Internationale Filmfestival in Rotterdam ausgewählt. Vlad Petri dazu:



    Ich habe zwei Jahre für diesen Film gearbeitet. Selbstverständlich freute ich mich riesig darüber, dass meine Produktion bei den Filmfestspielen in Rotterdam präsentiert wird, weil sie zu den wichtigsten europäischen Fachveranstaltungen zählt. Der Film präsentiert die Ereignisse in Bukarest 2012. Insgesamt hatten wir 60 Stunden Filmmaterial aufgenommen, das wir auf eine Stunde und 20 Minuten kürzten. In einer Stunde und zwanzig Minuten präsentieren wir aber eine strukturierte und inhaltsreiche Geschichte der sozialen Unruhen in Bukarest. Wir wollten, dass das auf der Stra‎ße gefilmte Material die Zuschauer auf eine gewisse Geschichte lenkt, und nicht, dass wir ihnen eine gewisse Richtung vorgeben.“




    Der Kurzfilm des Filmemachers Radu Jude Der Schatten einer Wolke / Shadow of a cloud“ erzählt die Geschichte eines Priesters, dessen Rolle vom Theaterregisseur Alexandru Dabija gespielt wird. An einem hei‎ßen Sommertag wird der Priester zu einer sterbenden Frau gerufen, um für ihre Seele zu beten. Hinter dieser Geschichte stecken sehr viele hintergründige Bedeutungen. Die wichtigste steckt wahrscheinlich hinter einem bestimmten Satz des Gebets: ‚Mein niederträchtiges Leben ist wie ein Schlaf, wie der Schatten einer Wolke vergangen‘“, erläutert der Regisseur Radu Jude den Titel seines letzten Films, der voriges Jahr ebenfalls in der Sektion Quinzaine des Réalisateurs“ der Cannes Filmfestspiele gezeigt wurde. Regisseur Radu Jude dazu:



    Es gibt etwas in meiner Seele, das mich dazu antreibt, die Sachen aus dieser Perspektive zu betrachten. Tschechow hat eine derartige Situation sehr gut zusammengefasst. Eine Gestalt aus »Onkel Wanja« sagt: ‚Lange habe ich geglaubt, dass das Schicksal des Menschen tragisch sein muss, letztendlich habe ich aber selbst entdeckt, dass es einfach lächerlich ist.‘ Und es gibt in der Tat etwas Lächerliches im Verhältnis eines Menschen zu sich selbst, zu seinen Problemen, etwas, was die Traurigkeit und das Leiden nicht ausschlie‎ßt. Aus dieser Sicht will ich die Geschichten betrachten. Es handelt sich um die Perspektive, in der die Traurigkeit, das Unglück und das Drama so tief ineinander flie‎ßen, dass man sie mit dem Lächerlichen nicht mehr verwechseln kann.“




    Ich möchte eine möglichst unreine Kinokunst. Ich entdecke in mir selbst eine Entwicklung oder eine Involution: Als ich die ersten Filme machte, wünschte ich mir sehr eine stilistische Kohärenz. Ich wollte der Verfilmungsart sehr bewusst sein. Es scheint mir nun, dass diese Kohärenz eigentlich dazu führt, dass alle Energien und Visionen um den Film blockiert werden. Ich rede von jenen Energien, die neue Richtungen des Films aufzeigen und den Akzent dort setzen, wo er nicht gesetzt werden sollte“, sagte Radu Jude ferner über seine Erfahrung als Filmemacher.




    Die jüngste Produktion des Regisseurs Corneliu Porumboiu hat das Publikum, genau wie seine frühere Produktion Poliţist, adjectiv“ (Police, adjective“), in zwei Kategorien geteilt: Die Zuschauer, die glauben, dass eine klare Handlung in ihrem klassischen Sinn einem Film unentbehrlich sei (und deshalb die beiden Filme ablehnen), und andere, die hingegen für ein weniger erzählerisches Kino plädieren.



    Der Filmkritiker Tudor Caranfil sagte über den neuen Spielfilm von Corneliu Porumboiu, Wenn sich der Abend über Bukarest senkt oder Metabolismus“ sei eine Herausforderung“ und der leidenschaftlichste Experimentalfilm des rumänischen Kinos“. Der Kritiker Andrei Gorzo bezeichnete seinerseits die Produktion als einen äu‎ßerst subtilen Anti-Liebesfilm“.



    Der Film erzählt die Geschichte des Regisseurs Paul (dargestellt von Bogdan Dumitrache), der gerade an seinem neuen Film arbeitet. Bevor er eine Nacktszene dreht, diskutiert er mit Alina (gespielt von Diana Avrămuţ), einer Schauspielerin, mit der er eine Liebesbeziehung hat, mit der Filmproduzentin (Mihaela Sârbu), einem Branchekollegen (Alexandru Papadopol) und mit einem Arzt, der ihn endoskopisch untersucht. So wie der Regisseur einräumte, hatte er sich vorgenommen, in seinem Film die Hemmungen zu schildern, mit denen ein Regisseur kämpfen muss, um einen Film zu machen. Corneliu Porumboiu:



    Mich interessierte insbesondere die Beziehung zwischen den Gestalten und der Geschichte. Die Idee kam vor drei Jahren, als ein neues Kinogesetz vorgeschlagen wurde, das neue Regelungen in Bezug auf den Filmschnitt durchsetzen sollte. Dies löste bei mir Erinnerungen aus meiner Studentenzeit aus, als ich immer mit einer gewissen Einschränkung leben musste. Ich ging zur Uni mit einem Filmschnitt, den ich selber zu Hause gemacht hatte, indem ich die genaue Zeit aller Szeneneinstellungen ma‎ß. So entstand der Film. Selbstverständlich handelt es sich auch um eine Art Hinterfragung der Anfänge meiner Arbeit als Filmemacher.“




    Die Filmfestspiele in Rotterdam locken jedes Jahr über 3000 Journalisten und Persönlichkeiten der Filmkunst weltweit an. Die Veranstalter setzen sich jedes Jahr zum Ziel, junge und talentierte Regisseure zu fördern.



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  • Der neue Film von Corneliu Porumboiu – „Wenn die Nacht über Bukarest hereinbricht oder Stoffwechsel“

    Der neue Film von Corneliu Porumboiu – „Wenn die Nacht über Bukarest hereinbricht oder Stoffwechsel“

    Beim neuesten Film von Corneliu Porumboiu haben sich die Gemüter einmal mehr geschieden. Es gab nach der Premiere von Wenn die Nacht über Bukarest hereinbricht oder Stoffwechsel“ ähnliche Standpunkte wie bei Polizist.Adjektiv“, Porumboius vorletztem Werk. Die einen glauben, dass der Erzählstoff im klassischen Sinne für einen Film unverzichtbar ist, während andere für ein weniger erzählerisches Kino plädieren.



    Nach der Premiere von Wenn die Nacht über Bukarest hereinbricht oder Stoffwechsel“ bezeichnete der Kritiker Tudor Caranfil den neuesten Film von Corneliu Porumboiu als Provokation“. Er sei der spannendste experimentelle Film eines rumänischen Regisseurs“. Andrei Gorzo, ebenfalls Kritiker, sprach von einer hyper-subtilen Anti-Romanze“.



    Und die Handlung? Der Regisseur Paul (gespielt von Bogdan Dumitrache) arbeitet gerade an einem neuen Film. Er ist gerade dabei, eine Nacktszene zu drehen und führt eine Reihe von Gesprächen: mit Alina, der Schauspielerin mit der er eine Liebesbeziehung hat (gespielt von Diana Avrămuţ), mit der Produzentin (Mihaela Sîrbu), mit einem Kollegen aus der Branche (Alexandru Papadopol) und einem Arzt, der seine Endoskopie untersucht. Der Film besteht aus nur 17 Einstellungen, die meisten davon unbeweglich.



    In einem Interview gestand Corneliu Porumboiu, dass es seine Absicht gewesen sei, über die Entstehung eines Films und die obligatorischen Zwänge zu erzählen.



    Ich war an der Beziehung zwischen den Charakteren und der eigentlichen Geschichte interessiert. Die Idee dazu kam mir vor etwa drei Jahren, als ein neues Gesetz zur Filmkunst vorgeschlagen wurde. Laut diesem, sollte der Wettberb um die Förderung seitens des Nationalen Filmzentrums nach Aufnahmeplänen der Regisseure veranstaltet werden. Und das weckte bei mir Erinnerungen aus der Studienzeit, aus der Zeit, als ich begann, mich mit dem Kino zu beschäftigen. Es gab in der Schule stets eine bestimmte Form von Zwang. Ich erinnerte mich auch daran, dass ich einen Aufnahmeplan mitbringen musste, den ich selbst zu Hause aufgestellt hatte, indem ich die Dauer der Einstellungen im Film ma‎ß. Und diese Erinnerungen waren die Ausgangsbasis für diesen Film. Sicherlich enthält der Film auch eine Fragestellung zu meinen Anfängen als Kinomacher.“



    Meine Ausbildung war auf den 35-mm-Film beschränkt, auf die Notwendigkeit, jede Einstellung zu planen. Ebenfalls aufgrund dieser Einschränkungen ist meine Vorliebe für Wiederholungen und lange Einstellungen entstanden“, erklärt der Regisseur noch, als er sich an seine Anfänge erinnert.



    Es gab sieben Fassungen des Drehbuchs bei diesem Film. Ich habe den Film aus einer gewissen Nostalgie gegenüber der Filmrolle gedreht, ich wollte, dass er als eine Art verkehrter Spiegel fungiert und deshalb haben mich die Charaktere und ihr Handeln weniger interessiert, das entdeckt man mit der Erzählung. ‚Wenn die Nacht über Bukarest hereinbricht’ ist auch eine Art Gemütszustand, es ist ein Moment des Tages, den man im Film nicht sieht, eine Art Dichtung, die dem ‚Stoffwechsel’ entgegenwirkt. Dieser Titel hängt irgendwie mit meiner Sichtweise über diesen Beruf zusammen.“



    Die Rolle des Regisseurs in Porumboius Film spielt Bogdan Dumitrache, der Hauptdarsteller aus Die Stellung des Kindes“, dem dieses Jahr mit dem Goldenen Bären in Berlin ausgezeichneten Film. Dumitrache wurde nach den Dreharbeiten für Wenn die Nacht über Bukarest hereinbricht…“ befragt.



    Es war eine Suche, die wir gemeinsam unternommen haben. Das war eines der Projekte, bei dem ich mich als sehr engagiert gefühlt habe, in dem wir gemeinsam gesucht haben und, wenn wir gute Dinge fanden, haben wir sie in den Film integriert. Es hat viele Diskussionen gegeben. Einen Monat lang haben wir alles geprobt, es hat keine Anweisungen im klassischen Sinne gegeben. Ich kannte den Text bereits, aber wir haben ihn beim Interpretieren stets neu geschrieben. Wir hatten Zeit, uns der Charaktere anzunehmen und sie zu bereichern.“



    Die Filmkritikerin Magda Mihăilescu erklärte, warum der Film fasziniert: Das Faszinierende an dem Film entstammt einer bestimmten Auflösung der Magie am Filmset. All diese Filme über den Film haben etwas gemeinsam. Der Regisseur ist ein einsamer Mensch. Weil die Hauptfigur, der Regisseur, obwohl er eine Affäre mit der Schauspielerin hat, ein einsamer Mensch ist. Genauso war die Figur aus der Amerikanischen Nacht, oder die Figur aus dem Film ‚Sequenzen’ von Alexandru Tatos. Das merkt man an dem Gang, an der Art zu rauchen, aus dem gesamten Verhalten der Figur.“



    Wenn die Nacht über Bukarest hereinbricht oder Stoffwechsel“, Corneliu Porumboius dritter abendfüllender Film, wurde bereits für die internationalen Filmfestivals in Locarno, Sarajewo, Toronto und New York ausgewählt. Mit seinem Debütwerk ‚12:08. Östlich von Bukarest’ hatte Porumboiu sich einen Namen als Regisseur und Drehbuchautor gemacht. Seitdem gilt er als Besitzer eines guten Spürsinns für Dialoge und als besonders interessiert an den weitläufigen Verzweigungen der Wahrheit“, schrieb die Zeitschrift Variety.



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  • Un nouveau film de Corneliu Porumboiu – « Quand le soir tombe sur Bucarest ou Métabolisme »

    Un nouveau film de Corneliu Porumboiu – « Quand le soir tombe sur Bucarest ou Métabolisme »

    Le dernier film de Corneliu Porumboiu a divisé les spectateurs en deux camps. Ceux qui estiment que l’histoire, dans son sens classique, s’avère indispensable et ceux qui plaident en faveur d’un cinéma moins narratif. Le critique Tudor Caranfil affirmait, juste après la projection du film, que le nouveau long-métrage de Corneliu Porumboiu « Quand le soir tombe sur Bucarest ou Métabolisme » est un défi et qu’il s’agit du film expérimental le plus passionnant du cinéma roumain. Pour sa part, le critique Andrei Gorzo le qualifie « de production anti-romantique hyper subtile ».



    Le film, on pourrait le résumer de la façon suivante : Paul est en train de travailler à un film dont il est le réalisateur. Alors qu’il tourne une scène de nudité, il s’entretient avec Alina, l’actrice avec laquelle il a une relation amoureuse, avec la productrice, avec un collègue et avec un médecin qui examine son endoscopie. Le film est formé de seulement 17 plans, dont la plupart sont fixes.



    Dans une interview, Corneliu Porumboiu avoue que son intention était de parler de la naissance d’un film et des contraintes imposées. Corneliu Porumboiu : « Ce qui m’intéressait, c’était la relation entre les personnages et l’histoire proprement-dite. L’idée m’est venue il y a trois ans lorsque l’on avait proposé une nouvelle loi de la cinématographie. Selon elle, le concours au Centre National de la Cinématographie prévoyait un découpage de réalisateur. Des souvenirs de la faculté ont refait surface, je me rappelle que durant mes années universitaires j’étais toujours limité par le temps. Je me présentais devant mes professeurs avec des découpages que je faisais tout seul à la maison, en chronométrant les plans du film. Et ce film est né à partir de ces souvenirs. Certes, il pose aussi une question sur la manière dont j’ai commencé à faire du cinéma. »



    « Je me suis formé dans les limites de la pellicule de 35 millimètres, du besoin d’organiser chaque plan. C’est grâce à ces restrictions que s’est développé mon penchant pour les répétitions et les plans plus longs, ajoute encore le réalisateur qui se souvient aussi de ses débuts : «Le film a eu 7 versions de scénario. Il dégage ma nostalgie pour la pellicule; j’ai voulu qu’il fonctionne comme une sorte de miroir renversé; les actions des personnages que l’on découvre progressivement, je les ai reléguées au second plan. Quand le soir tombe sur Bucarest est une sorte d’état d’esprit, un moment du jour que l’on ne voit pas dans le film, une sorte de poésie qui fonctionne en contretemps avec le métabolisme. Le titre renvoie en quelque sorte au regard que je porte sur ce métier ».



    Dans ce film, le rôle du réalisateur est joué par Bogdan Dumitrache. Cet acteur a compté parmi les protagonistes du film «La position de l’enfant», qui a décroché cette année l’Ours d’Or à Berlin. Bogdan Dumitrache raconte comment s’est déroulé le tournage du film «Quand le soir tombe sur Bucarest ou Métabolisme » : « Cela a été plutôt une quête à laquelle nous avons tous participé. Ce fut un de ces cas où je me suis senti très impliqué dans un projet ; nous cherchions tous ensemble et, lorsqu’on trouvait de bonnes choses, on les intégrait au film. Nous avons beaucoup discuté. Nous avons eu un mois de répétitions durant lequel nous avons tout discuté ; il n’y a pas eu d’indications dans le sens classique du terme. Nous connaissions le texte, mais nous l’avons réécrit, en le jouant. Nous avons eu le temps d’assimiler et d’enrichir les personnages. »



    Voici également l’avis du critique Magda Mihăilescu sur ce nouveau film de Corneliu Porumboiu: « La fascination de ce film vient justement d’une certaine désagrégation de la magie du travail sur le plateau de tournage. Tous ces films qui parlent du film ont quelque chose en commun. Le réalisateur est un être solitaire. C’est que le héros du film — le réalisateur — bien qu’ayant eu une relation avec l’actrice, est un homme seul. Tel était aussi le personnage de « La nuit américaine », tel était le personnage des « Séquences » d’Alexandru Tatos. On le voit à sa démarche, à sa façon de fumer, à tout son comportement. »



    «Quand le soir tombe sur Bucarest ou Métabolisme » est le troisième long métrage du cinéaste roumain Corneliu Porumboiu — après « 12:08 à l’Est de Bucarest » et « Policier, adjectif ». Son nouveau film a déjà été sélectionné pour les compétitions des festivals internationaux de Locarno, Sarajevo, Toronto et New York.



    Le film « 12:08 à l’Est de Bucarest », gagnant du prix «Caméra d’Or» en 2006, a valu à Porumboiu la réputation d’un réalisateur et scénariste très sensible au dialogue et intéressé par les vastes ramifications de la vérité’ — écrivait le magazine Variety. (Trad. : Alexandra Pop, Dominique)



  • Un nou film semnat Corneliu Porumboiu – “Când se lasă seara peste Bucureşti sau Metabolism”

    Un nou film semnat Corneliu Porumboiu – “Când se lasă seara peste Bucureşti sau Metabolism”

    Cel mai recent film al lui Corneliu Porumboiu a împărţit, aşa cum a făcut-o şi Poliţist, adjectiv”, spectatorii în două tabere. În cei care cred că povestea, în sensul ei clasic, este indispensabilă unui film şi în cei care pledează pentru un cinema mai puţin narativ. Criticul Tudor Caranfil, imediat după vizionare, a considerat că noul lungmetraj al regizorului Corneliu Porumboiu,

    ”Când se lasă seara peste Bucureşti sau Metabolism”, este o provocare”, cel mai pasionant film experimental din cinematografia românească”. La rândul său, criticul Andrei Gorzo îl consideră o hipersubtilă anti-romance”. Povestea din film sună aşa: Paul (Bogdan Dumitrache) e în toiul lucrului la filmul pe care îl regizează. Pe cale să filmeze o scenă nud, poartă o serie de discuţii cu Alina (Diana Avrămuţ) — actriţa cu care are o relaţie amoroasă, cu producătoarea (Mihaela Sârbu), cu un coleg de breaslă (Alexandru Papadopol) şi cu un doctor care îi examinează endoscopia. Filmul este compus din numai 17 cadre, majoritatea fixe.



    Într-un interviu, Corneliu Porumboiu mărturiseşte că intenţia sa a fost aceea de a vorbi despre naşterea unui film şi constrângerile impuse”. Corneliu Porumboiu. Mă interesa relaţia dintre personaje şi povestea propriu-zisă. Ideea mi-a venit în urmă cu vreo trei ani, când a fost propusă o nouă lege a cinematografiei, conform căreia concursul la Centrul Naţional al Cinematografiei se dădea după un decupaj regizoral. Asta mi-a provocat amintiri din facultate, din momentul în care m-am apucat de cinema, în şcoală trăind mereu cu un anume tip de limitare. Şi mi-am adus aminte că şi acolo mă duceam cu un decupaj regizoral pe care-l făceam singur acasă, cronometrând cadrele din film. Şi de la aceste amintiri a pornit acest film. Evident, filmul conţine şi o interogaţie asupra felului în care eu am început să fac cinema.



    M-am format în limita peliculei de 35mm, a necesităţii de a planifica fiecare cadru. Tot datorită acestor restricţii s-a dezvoltat şi preferinţa mea pentru repetiţii şi cadre lungi”, mai spune regizorul, amintindu-şi perioada sa de început.



    Filmul a avut şapte variante de scenariu. L-am făcut cu un fel de nostalgie pentru peliculă, am vrut să funcţioneze ca un fel de oglindă întoarsă şi m-au interesat mai puţin acţiunile personajelor, pe care le descoperi din mers. “Când se lasă seara peste Bucureşti” este un si un soi de stare, este un moment al zilei pe care nu-l vedem în film, un soi de poezie care funcţionează în contratimp cu “metabolismul”. Titlul acesta este legat cumva de cum văd eu meseria asta.



    Rolul regizorului din film este interpretat de Bogdan Dumitrache, protagonist şi în “Poziţia copilului”, distins anul acesta cu Ursul de Aur la Berlin. Bogdan Dumitrache vorbeşte despre cum au decurs filmările la ”Când se lasă seara peste Bucureşti sau Metabolism”: A fost o căutare pe care am desfăşurat-o împreună. A fost una dintre dăţile când m-am simţit foarte implicat într-un proiect, în care căutam împreună şi atunci când găseam lucruri bune, le intercalam în film. Au fost multe discuţii. A fost o lună de repetiţii în care am discutat tot, nu au fost indicaţii în sensul clasic. Ştiam textul, dar l-am tot rescris, jucându-l. Am avut timp să asimilăm şi să îmbogăţim personajele.”



    Criticul Magda Mihăilescu despre “Când se lasă seara peste Bucureşti sau Metabolism”: Fascinaţia filmului vine tocmai dintr-o anumită destrămare a magiei lucrului pe platoul de filmare. Există însă ceva comun în toate aceste filme despre film. Regizorul este un om singur. Pentru că personajul principal, regizorul, deşi are o aventură cu actriţa, totuşi este un om singur. Aşa era şi personajul din Noaptea Americană, aşa era şi personajul din Secvenţe” al lui Alexandru Tatos. Se vede asta din mersul lui, din felul în care fumează, din întregul lui comportament.”



    “Când se lasă seara peste Bucureşti sau Metabolism”, al treilea lungmetraj al cineastului român Corneliu Porumboiu (după A fost sau n-a fost?” şi Politist, adjectiv”), a fost deja selecţionat în competiţiile festivalurilor internaţionale de film de la Locarno, Sarajevo, Toronto şi New York. “Cu filmul câştigător al premiului Camera dOr din 2006, “A fost sau n-a fost”, Porumboiu şi-a câştigat reputaţia de regizor şi scenarist cu o ureche bună pentru dialog şi un interes în vastele ramificaţii ale adevărului” scrie publicaţia Variety.

  • 06.08.2013

    06.08.2013

    Croissance – La Banque centrale de la Roumanie a amélioré sa prévision de croissance pour l’année en cours à plus de 2%, suite à l’évolution des exportations, de la production industrielle et à une bonne année agricole, a annoncé le gouverneur de la Banque nationale, Mugur Isărescu. D’autre part, entrée en vigueur de la décision de l’institution d’abaisser son taux directeur à 4,5% – le plus bas jusqu’à maintenant. Selon Mugur Isărescu, la décision a été prise afin de donner un coup de pouce au crédit. Le gouverneur a exprimé son espoir qu’à partir de septembre, la baisse du taux directeur soit perceptible dans les taux d’intérêt pratiqués par les banques pour le crédit.



    Salaire – En Roumanie, le salaire moyen net s’est chiffré, en juin dernier, à un peu plus de 1600 lei, l’équivalent de 360 euros, selon les données publiées par l’Institut national des statistiques. Les meilleurs revenus ont été constatés dans l’extraction du pétrole et du gaz — environ 900 euros, et les plus bas — dans le domaine de l’hôtellerie — restauration, 200 euros. Par rapport à juin 2012, le salaire moyen net a connu un bond de 3,5%.



    Sondage – Selon un sondage d’opinion rendu public aujourd’hui, 43% des Roumains sont favorables à l’indépendance énergétique du pays, même si cela peut entraîner certains risques pour l’environnement. Ils pensent que la baisse des prix et la création de nouveaux emplois compteraient parmi les effets positifs de l’indépendance énergétique. En échange, 36,5% des sujets questionnés préfèrent que la Roumanie ne soit pas indépendante du point de vue énergétique, si cela peut présenter des risques pour l’environnement.



    Justice – L’ancien député social-démocrate Gabriel Bivolaru, retenu par les procureurs roumains, a été placé en détention provisoire pour 29 jours. Il est accusé de vol de produits pétroliers, d’évasion fiscale et de blanchiment d’argent. En 2004, Gabriel Bivolaru avait été condamné à 5 années de prison ferme pour avoir porté un préjudice de 50 millions d’euros à une banque. Il a bénéficié d’une libération conditionnelle pour bonne conduite en 2007, deux années plus tôt que prévu.



    Festival – Le nouveau long métrage du réalisateur roumain Corneliu Porumboiu Quand le soir tombe sur Bucarest ou Métabolisme” sera présenté en première mondiale à la 66ème édition du Festival de film de Locarno, en Suisse qui se déroulera du 7 au 17 août. Selon un communiqué de la CE, le film roumain figure parmi les 4 longs métrages dans la sélection officielle du festival ayant bénéficie d’un financement européen à travers le programme MEDIA. Parmi les nombreux invités de prestige, mentionnons Faye Dunaway, Jacqueline Bisset, Anna Karina, Douglas Trumbull, Werner Herzog et Otar Iosseliani.



    Football – La championne de Roumanie au football, Steaua Bucarest, joue ce soir à domicile contre Dinamo Tbilissi, dans le match retour du troisième tour préliminaire de la Ligue des champions. Dans le match aller, Steaua s’est imposé 2 à 0, et l’équipe a de grandes chances de se qualifier pour l’étape des éliminations directes, où elle devrait être tête de série. Dans l’autre compétition continentale, l’Europa League, trois autres représentantes de la Roumanie – Petrolul Ploieşti, Pandurii Tg. Jiu et Astra Giurgiu rencontreront Vitesse Arnhem (Pays-Bas), Hapoel Tel-Aviv (Israël), et respectivement AS Trencin (Slovaquie).