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  • La grippe saisonnière, de retour en Roumanie

    La grippe saisonnière, de retour en Roumanie

    Voilà plus de deux ans, depuis l’apparition du premier
    cas de covid en Roumanie, que beaucoup ont constaté la disparition des termes « rhume »,
    virose, ou grippe, du discours public. Toute notre attention s’est concentrée,
    tout au long de cette période, sur un seul phénomène : celui du virus
    Sars-Cov-2.


    La dernière épidémie de grippe saisonnière en Roumanie
    date de février 2020, juste avant le début de la pandémie. Or, après cette
    funeste parenthèse de deux ans, ces maladies de notre quotidien d’autrefois
    reviennent sur le devant de la scène avec un nombre croissant de malades. Les
    désormais célèbres « chiffres du covid » ont été remplacés par une
    avalanche de cas de « viroses ». Les hôpitaux sont débordés et les
    chambres prévues pour les gardes de nuits sont remplies de malades fiévreux,
    toussant et frissonnant.


    Le virus du Sars-CoV-2
    cohabite désormais avec tous les autres virus, expliquent les médecins. Comment
    faire la différence ? Cătălin Apostolescu, médecin au sein de l’Hôpital
    des maladies infectieuses « Matei Balş » de Bucarest nous explique :






    « Toutes les maladies provoquées par un
    virus sont nommées « viroses ». Certaines ont toutefois des
    particularités permettant de les reconnaitre. Nous connaissons déjà le Sars-CoV.
    Il y a aussi la grippe, qui peut parfois prendre des formes plus graves voire
    mortelles, les infections par le virus respiratoire syncytial qui peut prendre
    des formes particulièrement graves chez les enfants, et enfin tous les autres
    virus de la coqueluche, comme le rhinovirus ou le coronavirus indigène, comme
    nous l’appelons. Nous avons souvent à faire à des patients très vulnérables
    appartenant à des tranches d’âges plus extrêmes je dirais, c’est-à-dire très
    jeunes, très âgés ou atteints d’une maladie chronique qui peut les fragiliser
    encore davantage face au virus. Par exemple les patients ayant des maladies
    cardiaques, respiratoires, du diabète ou encore des maladies
    auto-immunes. »





    Que faire
    face à ses virus dont la capacité de nuisance est renforcée par des
    températures actuellement largement supérieures aux normales
    saisonnières ? Les autorités ont communiqué une liste de recommandations
    encourageant la population à éviter les lieux bondés ou à porter un masque dans
    les espaces couverts, à aérer les pièces, à conserver une bonne hygiène, à
    rester chez soi en cas d’infection respiratoire et à consulter un médecin
    généraliste dès les premiers symptômes. Dans les hôpitaux, le gouvernement recommande
    cette fois de quotidiennement trier les patients, de limiter les visites et
    d’encourager le port du masque et des blouses de protection pour toute personne
    entrant en contact avec un patient.


    « Nous ne souhaitons pas imposer des restrictions,
    nous voulons travailler main dans la main avec la population, afin de maintenir
    sous contrôle ce phénomène naturel et saisonnier qu’est la grippe.
    » a
    déclaré le ministre de la Santé, Alexandru Rafila:




    « Nous préférons émettre des
    recommandations plutôt que d’imposer des restrictions. Et vous savez
    pertinemment que notre expérience avec la pandémie a démontré que nous avions
    raison – les choses se sont bien mieux déroulées quand nous avons fait des
    recommandations. Les gens ont beaucoup mieux réagis que pendant la période où
    nous avions tenté d’imposer des restrictions qui ont provoqué de fortes
    tensions au sein de la société. Nous préférons travailler main dans la main
    avec nos concitoyens, plutôt que de générer des tensions, surtout dans le
    contexte économique actuel qui reste compliqué.
    »




    Les élèves ayant repris le chemin de l’école le 9
    janvier, la ministre de l’Education Ligia Deca a précisé à son tour qu’elle
    n’encourageait pas les élèves à rester chez eux. Personne ne souhaite revivre
    l’expérience de la suspension des cours ou l’organisation d’horaires partiels
    en ligne vécue pendant la pandémie. Ligia Deca s’exprime:




    « Nous n’encourageons en aucun cas les
    élèves à ne pas se rendre en cours. Nous considérons qu’après deux ans de
    pandémie, il est primordial que les élèves conservent un rythme avec un taux de
    présence élevé en cours. Pour nous, comme nous l’avons discuté avec monsieur le
    ministre de la Santé, l’accent doit être mis sur la prévention. Il existe une
    série de recommandations. Par exemple, vérifier quotidiennement que personne
    dans sa famille n’a de symptôme, et rester chez soi si tel est le cas. La même
    vérification doit être faite chaque jour lorsque les enfants arrivent à
    l’école. Il est normal qu’en cas de symptômes les parents ou représentants légaux
    soient informés. De même, nous recommandons – et ce n’est pas obligatoire – le
    port du masque pour les élèves et enseignants. Nous souhaitons que tous les
    enfants aient accès à l’enseignement, et, dans le cas où ils présenteraient des
    symptômes, nous les encourageons à rester chez eux et à récupérer les cours
    ensuite.
    »

    De quoi
    2023 sera-t-elle faite pour les Roumains ? D’un retour à la normale ou
    d’un nouvel épisode pandémique comme celui de février 2020 ? Nul ne le
    sait.


    Une chose est certaine. La Roumanie a toujours connu des
    épisodes de grippe saisonnière, même avant la pandémie. La seule différence
    réside dans le fait que le pic s’observait généralement en février. Cette année, les choses se sont
    accélérées et les cas d’infections se sont surtout multipliés au mois de
    janvier. Cette situation
    particulière est aussi imputable à la pandémie, durant laquelle la circulation
    des virus a été plus réduite en raison des mesures de restriction draconiennes imposées
    par les gouvernements, mais aussi parce que, pour la même raison, la population
    a une plus faible immunité.


    En d’autres termes, conclut le ministère de
    la Santé, la situation actuelle n’est ni inhabituelle ni dramatique.


    (Trad : Charlotte Fromenteaud)



  • La semaine du 9 au 15 janvier 2023

    La semaine du 9 au 15 janvier 2023


    La Roumanie touchée par grippe, le coronavirus et la
    pénurie de médicaments



    Dernièrement, le système
    sanitaire roumain est impacté par une recrudescence des cas de grippe et de
    coronavirus, notamment du dernier variant signalé depuis quelques jours en
    Roumanie aussi. Les experts prévoient que le pic de la grippe sera atteint dans
    les semaines à venir avant que les infections respiratoires ne s’inscrivent sur
    une pente descendante à partir de la mi-février. La flambée des cas de grippe
    intervient dans le contexte de la reprise, le 9 janvier, des cours d’école qui
    ont rouvert leurs portes en plein état d’alerte épidémiologique. Dans le
    contexte d’une majoration de nombre de cas de grippe, de plus en plus de pharmacies
    sont en rupture de stocks de certains médicaments tels le paracétamol,
    l’ibuprofène ou les antibiotiques. A l’issue d’une série d’entrevues avec les
    producteurs et les distributeurs de médicaments, tout comme avec les
    représentants de l’industrie pharmaceutique, le ministre de la Santé, Alexandru
    Rafila, est sorti sur le devant de la scène pour rassurer la population qui,
    dit-il, ne doit pas craindre une crise des médicaments antithermiques ou
    anti-inflammatoires.


    « A la différence d’autres
    pays européens qui se confrontent dernièrement à des ruptures
    d’approvisionnement en paracétamol, la Roumanie ne traverse aucune crise, ni de
    paracétamol, ni d’ibuprofène. Cette pénurie n’existe pas chez nous, puisque
    nous avons nos propres fabriques qui produisent ces médicaments aussi bien sous
    leur forme destinée aux enfants que sous celle conçue pour les adultes
    ».


    Pour leur part, les producteurs
    de médicaments se sont engagés à continuer d’approvisionner les pharmacies. En
    revanche, la situation s’avère plus compliquée dans le cas des patients
    oncologiques. Le président de la Fédération des personnes atteintes d’un
    cancer, Cezar Irimia, a déclaré qu’aux dires des patients, sept médicaments à
    usage oncologique sont en rupture de stock depuis le début de l’année. En
    réplique, le Ministère de la Santé affirme qu’il s’agitseulement de trois médicaments qui manquent
    sur les rayonnages et dans les tiroirs des pharmacies, dont deux se trouvent
    dans les dépôts.



    Des mesures économiques et un record de déficit commercial



    Dans une tentative de ralentir
    l’inflation et de mettre un terme à la majoration des prix, la Banque centrale
    roumaine a majoré le taux directeur à 7% par an. Les experts de la BNR estiment
    que cette mesure débouchera sur une baisse de l’inflation, plutôt légère durant
    le premier trimestre de l’année en cours et plus significative ultérieurement,
    de sorte que l’indicateur ne dépasse pas les 10 pourcents d’ici l’été.
    Pourtant, la nouvelle hausse du taux d’intérêt clé entraînera, le plus probablement,
    une majoration des taux fixés par les banques commerciales, notamment dans le
    cas des crédits. N’empêche, les spécialistes affirment qu’une baisse anticipée
    de l’inflation serait un signe que la majoration des taux d’intérêt touche à sa
    fin.


    De l’avis de l’analyste
    économique, Dragos Cabat, il est important que le taux directeur poursuive sa
    tendance à la hausse afin que l’inflation atteigne un plafond avant de
    s’inscrire sur une pente descendante. Dragos Cabat :


    « Il est important que la
    Banque continue cette tendance ascendante de son taux directeur, car c’est
    de cette manière qu’elle entraînera le plus rapidement possible, un
    ralentissement de la croissance de l’inflation. C’est ce qu’il y a de plus
    important pour l’économie roumaine, à l’heure où l’on parle ; plus
    important que la croissance économique ou les mensualités bancaires qui
    concernent quelque 600.000 Roumains affectés, bien évidemment, par cette
    majoration du taux d’intérêt.
    »


    Après deux ans de pandémie et
    une année de guerre à ses frontières, le déficit de la balance commerciale de la
    Roumanie s’est envolé, en se montant à 31 milliards d’euros durant les onze
    premiers mois de l’année dernière, soit un déséquilibre record, selon l’Institut
    national de la Statistique. L’analyste économique, Constantin Rudnitchi
    précise :


    « Nous avons un record
    unique dans l’histoire du pays, du partiellement à la période
    inflationniste qu’on traverse aussi bien en Europe que dans le monde. Donc, on
    a une valeur à la hausse des importations. Mais, en dehors de ça, la
    Roumanie se confronte à une réalité problématique, à savoir le fait que le
    niveau de ses importations reste extrêmement élevé, tandis que la production
    intérieure et les exportations ont du mal à répondre aux besoins de l’économie
    nationale ».


    Dans ce contexte, le
    Gouvernement de Bucarest cherche à s’emprunter aussi bien sur le marché interne
    qu’externe, pour combler aussi bien à un déficit budgétaire d’au moins 160
    milliards de lei, soit 32 milliards d’euros, estimé pour cette année qu’à une
    dette plus ancienne qu’il faudrait refinancer.





    Des discussions bilatérales



    Les discussions
    roumano-ukrainiennes portant sur la Loi des minorités nationales récemment
    adoptée et promulguée par Kiev se poursuivent. Les ministres des Affaires
    étrangères des deux pays, Bogdan Aurescu et Dmitro Kuleba, se sont entretenus
    par téléphone à ce sujet mercredi, après qu’un dialogue similaire a eu lieu la
    semaine dernière entre les présidents Klaus Iohannis et Volodimir Zelenski. La
    loi a suscité l’inquiétude des autorités bucarestoises, car les représentants
    de la communauté roumaine en Ukraine n’ont pas été consultés lors de la
    rédaction du document, qui a été adopté sans l’avis de la Commission de Venise.
    Fin 2022, les autorités roumaines ont fait parvenir à leurs homologues
    ukrainiens une liste de prévisions stipulées par la dite loi et qui ont un
    impact négatif sur les Roumains d’Ukraine. Cette semaine encore, le ministre
    roumain des Affaires Etrangères s’est entretenu par téléphone avec son
    homologue suédois, Tobias Billstrom au sujet de l’adhésion roumaine à
    Schengen. Selon le MAE de Bucarest, le responsable de Stockholm a réitéré
    le soutien de son pays à l’intégration de Bucarest à l’Espace de libre
    circulation. LaPrésidence suédoise est
    prête à s’impliquer activement et à tout mettre en œuvre pour aider Bucarest à
    atteindre son objectif, en identifiant des solutions concrètes, basées sur un
    dialogue constructif avec toutes les parties concernées. Pour sa part, le
    ministre Bogdan Aurescu a mis en lumière l’importance de la coordination par la
    présidence suédoise d’un dialogue entre tous les partenaires européens
    impliqués dans ce dossier. Un dossier extrêmement important pour la Roumanie,
    comme l’on a précisé lors de la cérémonie de lancement de la présidence suédoise
    de l’UE, organisée cette semaine, à Bucarest.







  • Pénurie de médicaments en Roumanie.

    Pénurie de médicaments en Roumanie.

    Le nombre de personnes souffrant d’infections respiratoires augmente en Roumanie d’une semaine à l’autre et un nombre plus élevé de malades que normalement arrive aux urgences. Les médecins viennent de signaler aussi des cas de double infection : au coronavirus et au virus de la grippe ainsi que des cas d’infection au nouveau variant du coronavirus, le Kraken.

    Selon les spécialistes, le pic de la vague d’infections au virus de la grippe sera atteint dans les semaines à venir et une baisse du nombre d’infections n’est prévue que pour la deuxième moitié du mois prochain. Ils relancent les appels à la population de ne pas utiliser des médicaments au hasard et de demander l’avis des médecins sur la toile de fonds d’une crise provoquée par l’absence de certains médicaments des pharmacies à cause de la demande particulièrement élevée. Il s’agit notamment de médicaments pédiatriques, à base de paracétamol, ibuprofène et même de certains antibiotiques.

    Le ministre de la Santé, Alexandru Rafila souligne pourtant que sur le marché roumain il existe toutefois plein de sirops antithermiques contenant ces substances et que le problème apparait lorsque les parents cherchent spécialement les marques consacrées. Pour leur part, les malades réclament les prix très élevés des remplacements. Alexandru Rafila assure à nouveau que la Roumanie n’est pas en crise de médicaments antiinflammatoires et antithermiques parce qu’il y a des fabriques roumaines qui produisent les substances à la base de ces produits. Le responsable roumain ajoute pourtant que l’absence partielle du marché de certains médicaments a été provoquée par les délais enregistrés dans la livraison de la matière première en provenance de la Chine.

    Rappelons aussi que le ministère avait proposé à la fin de l’année dernière de suspendre temporairement la distribution à l’extérieur de la Roumanie de certains médicaments antibiotiques et antithermiques. De l’autre côté, les producteurs affirment que le prix de certains médicaments ne couvre pas les couts de production et le coût réduit des comprimés, mais aussi la majoration des tarifs énergétiques mènerait carrément à la disparition de plusieurs types de médicaments.

    La situation est d’autant plus compliquée dans le cas des médicaments utilisés pour soigner les malades de cancer. Le président de la Fédération des Associations des malades de cancer, Cezar Irimia, a déclaré que les malades avaient réclamé dès le début de l’année l’absence de sept médicaments oncologiques. Cezar Irimia: « Ces médicaments manquent depuis l’année dernière. Nous avons présenté cette situation au ministère de la Santé dont les responsables nous ont promis de résoudre ce problème. Nous avons même présenté des preuves comme quoi ces médicaments font l’objet d’exportations parallèles et aucune action n’a été entreprise en ce sens. Depuis le début de l’année, les patients ont réclamé l’absence des pharmacies de pas moins de sept médicaments » déclare Cezar Irimia. Selon le ministre de la santé, cette situation de pénurie concerne seulement trois médicaments, dont deux sont à retrouver dans les entrepôts. Alexandru Rafila: « Nous l’avons vérifié : sur les trois médicaments en question deux existent dans les entrepôts et les quantités sont suffisantes. Certes, nous, en tant que ministère de la Santé, nous ne pouvons pas remplacer les managers des hôpitaux qui n’ont pas commandé ces médicaments en grande quantité. Il n’y a qu’un seul problème dans le cas d’un produit assez ancien du point de vue de l’utilisation dans la thérapie oncologique. » a déclaré Alexandru Rafila qui a également affirmé attendre une solution de la part de la commission spécialisée du ministère de la Santé dans le cas du médicament qui ne se retrouve pas dans les pharmacies. (Daniela Budu)

  • Lipsă de medicamente în România

    Lipsă de medicamente în România

    Numărul
    persoanelor diagnosticate cu infecţii respiratorii creşte în România de
    la o săptămână la alta, cum se întâmplă în această perioadă în majoritatea
    țărilor europene. Un număr de pacienți
    mult mai mare decât în mod obișnuit ajung la medicii de familie şi la camerele
    de gardă ale spitalelor din întreaga ţară.

    Recent, medicii au semnalat şi
    cazuri de infectare simultană cu coronavirus şi virus gripal, precum și oameni
    infectați cu noua tulpină de coronavirus denumită Kraken.

    Specialiştii
    estimează că vârful valului gripal va fi atins în săptămânile următoare şi că o
    scădere a numărului de îmbolnăviri va fi abia în a doua jumătate a lunii
    viitoare. Ei reiau apelurile către
    populaţie să nu ia medicamente la întâmplare şi să solicite sfatul medicilor,
    în condițiile în care îmbolnăvirile în număr foarte mare amplifică criza
    determinată de lipsa unor medicamente din farmacii. Vorbim în special de cele
    pediatrice, pe bază de paracetamol, ibuprofen sau chiar de unele antibiotice.

    Ministrul Sănătății, Alexandru Rafila, subliniază că pe piaţă sunt siropuri
    antitermice cu aceste substanţe şi că problema apare în momentul în care
    părinţii caută unele medicamente consacrate. La rândul lor, pacienții reclamă
    prețurile mari ale înlocuitorilor. Alexandru Rafila dă, din nou, asigurări că în
    România nu este criză de medicamente antiinflamatoare şi antitermice, pentru că
    avem fabrici proprii care produc substanţa de bază din astfel de produse, dar a
    adăugat că lipsa parţială de pe piaţă a unor medicamente a fost cauzată de
    întârzierile în livrarea materiei prime din China.

    Mai trebuie amintit că ministerul a propus, la finalul anului trecut, suspendarea
    temporară a distribuţiei în afara teritoriului României a unor medicamente
    antibiotice şi antitermice. La rândul lor, producătorii spun că prețurile unor
    medicamente nu acoperă costurile de producție, iar costul mic al pastilelor,
    dar și majorarea prețurilor la energie și utilități vor duce la dispariția mai
    multor medicamente.

    Situația este mult mai complicată în cazul medicamentelor
    pentru tratarea bolnavilor de cancer. Preşedintele Federaţiei Asociaţiilor
    bolnavilor de cancer, Cezar Irimia, a declarat că pacienţii au reclamat încă de
    la începutul anului că nu se găsesc şapte medicamente oncologice.

    Cezar Irimia: Lipsesc încă de anul trecut. Am sesizat acest lucru ministerului.
    Ni s-a promis că problema se va rezolva. I-am adus chiar dovezi că aceste
    medicamente pleacă la exportul paralel şi tot nu s-a făcut nimic în acest sens,
    iar de la începutul anului avem în call center-ul nostru şapte medicamente
    reclamate de pacienţi că nu se găsesc.

    Ministrul sănătăţii susține că
    lipsesc doar trei medicamente din care două sunt în depozite.

    Alexandru Rafila: Din cele trei medicamente, am verificat, două există în depozite
    în cantităţi mari. Sigur, nu putem noi, ca şi Minister al Sănătăţii, să
    înlocuim managerii spitalelor care nu au comandat aceste medicamente. Există o
    singură problemă la un produs, un produs mai vechi din punct de vedere al
    utilizării în terapia oncologică, la care avem o problemă
    . În
    acest caz, Alexandru Rafila a spus că aşteaptă de la comisia de specialitate
    din Ministerul Sănătăţii o soluţie pentru medicamentul care nu se găseşte de
    mult timp.


  • La saison des viroses bat son plein

    La saison des viroses bat son plein

    Ces derniers mois, du moins en Roumanie, le nouveau coronavirus semble
    avoir considérablement réduit sa virulence. Le bilan que le Ministère de la
    Santé a publié le lundi indique une légère hausse du nombre des cas pendant la
    semaine passée, par rapport à la semaine qui l’avait précédée. Près de 3 400 de
    personnes ont été diagnostiquées positives dans un intervalle de 7 jours. 950
    d’entre elles étaient des patients réinfectés.


    Le Ministre Alexandru Rafila a déclaré à la télévision publique qu’il ne
    s’attendait pas à une nouvelle vague d’infections au coronavirus, qui produise
    un grand nombre de cas graves en Roumanie.


    Quand même, la saison froide reste compliquée, parce que l’on a enregistré,
    particulièrement parmi les enfants, presque 100 000 de cas de viroses
    respiratoires. Puisque pour deux types de virus, c’est à dire le virus grippal
    et le SARS-CoV-2, il y a déjà des vaccins, les spécialistes recommandent l’immunisation
    par le surtout aux personnes vulnérables. Ces jours-ci, de plus en plus de personnes
    ayant des symptômes respiratoires, adultes et enfants en égale mesure, arrivent
    chez leurs médecins traitants en état fébrile et avec de troubles
    respiratoires. Cette situation a déterminé le ministre de la Santé de rappeler aux
    parents qu’ils avaient à leur disposition une liste aux centres d’évaluation
    pédiatrique, où ils pourraient emmener leurs enfants, s’ils présentaient des
    symptômes respiratoires. Le ministre a expliqué que c’était la meilleure
    solution, afin d’éviter l’agglomération excessive des salles des urgences ou
    des hôpitaux.


    Alexandru Rafila : « Ces jours-ci, le virus respiratoire
    syncytial (n. réd. un virus fréquent du tractus respiratoire, qui cause des
    symptômes faibles, semblables à un rhume commun) produit une épidémie, tant en
    Roumanie, que dans d’autres pays d’Europe et aux Etats Unis. C’est une maladie
    virale qui affecte les enfants. Elle peut produire des complications, dont notamment
    la bronchiolite. L’évolution de certains enfants peut être plus difficile.
    Pourtant, les enfants qui ont des formes faibles ou moyennes ne doivent pas se
    rendre à l’hôpital, car vaut d’éviter d’attendre des heures entières dans les Unités
    d’Accueil des Urgences, qui sont surchargées. J’ai fait un guide des bonnes
    pratiques sur les manières dont un parent doit prendre une décision informée
    concernant son enfant, en cas de virose respiratoire.
    »


    Par ailleurs, les autorités de Bucarest n’excluent pas la possibilité de
    faire appel aux médecins hors l’Union Européenne, afin de combler le déficit de
    personnel du système de Santé.



    Le Ministre Alexandru Rafila annonce que, l’année
    prochaine, en mars, la Roumanie organisera une rencontre régionale de haut
    niveau, justement au sujet du problème de la ressource humaine dans le domaine
    de la santé. Les représentants des 53 Etats membres de la région européenne de
    l’OMS et de la Commission Européenne y participeront. Le Ministre a également précisé
    que l’objectif en était de trouver des solutions légales de travail pour les
    médecins hors UE, car le processus de faire reconnaitre dans l’UE une
    qualification professionnelle obtenue en dehors de l’Union était très
    strictement réglementé. (trad. Andra Juganaru)

  • 3.432 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2, în perioada 19-25 decembrie

    3.432 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2, în perioada 19-25 decembrie

    3.432 de cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2 au fost înregistrate, în România, în perioada 19 – 25 decembrie, informează Ministerul Sănătății (MS).

    948 dintre cazurile din ultima săptămână au fost la pacienţi reinfectaţi, testaţi pozitiv la o perioadă mai mare de 90 de zile după prima trecere prin boală, potrivit MS.

    243 persoane au fost reconfirmate pozitiv, distinct de cazurile nou confirmate, în urma retestării pacienţilor care erau deja pozitivi,

    În România, au fost înregistrate, până în prezent, 3.308.480 de cazuri de infectare cu SARS-CoV-2, incidenţa înregistrată la 14 zile fiind de 0,24.

    În ultima săptămână au fost efectuate 9.458 teste RT-PCR şi 52.108 de teste rapide antigenice.

    Până la această dată, la nivel naţional, au fost prelucrate 13.676.704 teste RT-PCR şi 12.344.428 teste rapide antigenice.

    834 de persoane cu COVID-19 sunt internate în unităţile sanitare de profil. La Terapie intensivă sunt trataţi 114 pacienţi, dintre care 104 nu sunt vaccinaţi anti-COVID.

    70, din totalul pacienților internați, sunt minori. Niciunul dintre aceștia nu se află la ATI.

    În intervalul 19 – 25 decembrie au fost raportate de către INSP 33 de decese (18 bărbaţi şi 15 femei).

    Un deces a fost înregistrat la categoria de vârstă 50 – 59 de ani, şase decese la categoria 60 – 69 de ani, 14 la categoria de vârstă 70 – 79 de ani şi 12 la categoria peste 80 de ani. Toţi pacienţii decedaţi prezentau comorbidităţi. 10 dintre pacienţii decedaţi erau vaccinaţi, informează MS.

    67.374 de persoane diagnosticate cu COVID-19 au decedat în România, de la începutul pandemiei până în prezent,

  • En Roumanie, le Covid 19 n’est plus une urgence sanitaire

    En Roumanie, le Covid 19 n’est plus une urgence sanitaire

    Dimanche, le ministre roumain de la santé, Alexandru Rafila, a déclaré que le Covid 19 ne constituait plus un problème de santé publique en Roumanie. Au cours des derniers mois, quelques centaines de cas étaient rapportés quotidiennement et certains jours, aucun décès n’était comptabilisé. Le ministre a néanmoins souligné que l’évolution d’un virus est toujours imprévisible et que le vaccin demeure donc conseillé pour les catégories de personnes vulnérables comme les malades chroniques ou les personnes âgées de plus de 60 ans. D’autant plus que prochainement, le sérum adapté au variant Omicron sera disponible en Roumanie. Alexandru Rafila a déclaré : D’ici la fin du mois, nous aurons le vaccin adapté aux sous-variants B.A4 et B.A5 qui circulent actuellement. C’est la première fois que nous aurons un vaccin parfaitement adapté et moi personnellement, je vais me faire vacciner avec une quatrième dose. Je pense qu’il protège bien, tout comme le vaccin contre la grippe saisonnière que j’ai également fait. Il n’est pas exclu que dans le futur, il existe une vaccination saisonnière contre le covid comme elle existe déjà pour la grippe, et ceci sans lien avec la situation dramatique de l’année 2021, quand nous avons eu 26 mille décès pendant la quatrième vague pandémique.

    Selon le ministre de la Santé, la vaccination anti-Covid 19 se fera chez les médecins de famille ou dans les centres de vaccination ouverts dans la plupart des hôpitaux roumains. Alexandru Rafila a déclaré qu’il ne s’attendait pas à un pic important d’infections respiratoires. Il a précisé que jusqu’à présent le nombre de cas était proche de celui des années passées. Toutefois, selon lui, la saison actuelle est plus intense en ce qui concerne les virus et va probablement s’achever plus tôt que les autres années. Selon le ministre, une solution rapide pour faire face à cette augmentation du nombre de cas en cette saison pourrait être d’ouvrir des centres ambulatoires de pédiatrie dans les hôpitaux. Cette mesure qui avait déjà été mise en place pendant la pandémie permettrait de faire face à la situation sans ajouter de pression sur les urgences. Il a précisé : Seule une petite partie des enfants ont besoin d’une hospitalisation et d’une intervention dans les services d’urgence. Nous devons trouver une solution pour que les parents puissent avoir un endroit où aller avec leurs enfants, le médecin de famille en premier lieu mais s’il n’est pas disponible alors dans un centre ambulatoire spécialisé avec des pédiatres, avec la possibilité de faire des radios. Ainsi les problèmes pourront être résolus sans saturer les services d’urgence.

    Pendant toute la période d’état d’alerte pandémique qui a duré environ deux ans, du 18 mai 2020 au 9 mars 2022, les hôpitaux et centres de soin ont été confrontés à une surpopulation. Avant ça, la Roumanie avait été en état d’urgence pendant deux mois, après que l’OMS avait annoncé la pandémie de coronavirus. D’après les données officielles, au jour d’aujourd’hui, environ 3,3 millions de personnes ont été infectées par le Covid 19 en Roumanie et plus de 67 mille personnes sont décédées à cause du virus.

  • Covid 19 ist kein gesundheitlicher Notfall mehr

    Covid 19 ist kein gesundheitlicher Notfall mehr

    Zum jetzigen Zeitpunkt stellt COVID-19 in unserem Land kein Problem für die öffentliche Gesundheit mehr dar – so der rumänische Gesundheitsminister Alexandru Rafila am Sonntag. In den letzten Monaten haben die Behörden täglich mehrere hundert Fälle gemeldet, und es gibt auch Bilanzen ohne Todesfälle.



    Alexandru Rafila betonte jedoch, dass jedes Virus von der Entwicklung her unvorhersehbar sei, weshalb die Impfempfehlung für gefährdete Personengruppen wie chronisch Kranke oder Menschen über 60 Jahre aufrechterhalten wird, zumal in Rumänien bald ein Serum verfügbar sein wird, das an die Omicron-Variante des Coronavirus angepasst ist.



    Alexandru Rafila: Ende des Monats wird der an die zirkulierenden Stämme B.A4 und B.A5 angepasste Impfstoff eintreffen. Es ist das erste Mal, dass wir einen angepassten Impfstoff verwenden, und ich persönlich werde mich mit der vierten Dosis impfen lassen. Es scheint mir ein Schutz zu sein, so wie ich mich gegen die Grippe geimpft habe. Es ist nicht ausgeschlossen, dass wir in Zukunft auch eine saisonale Impfung gegen COVID haben werden, wie es sie für die Grippe gibt, ohne dass dies die gleichen Auswirkungen hat oder in irgendeinem Zusammenhang mit der dramatischen Situation im Jahr 2021 steht, als wir in der vierten Pandemiewelle über 26.000 Todesfälle zu beklagen hatten.




    Nach Angaben des Gesundheitsministers wird die Anti-COVID-19-Impfung bei Hausärzten und in den in mehreren rumänischen Krankenhäusern eingerichteten Impfzentren durchgeführt. In Bezug auf die Virussaison erklärte Alexandru Rafila, dass er keine Welle von Atemwegsinfektionen erwarte und dass sich die Zahl der Fälle nicht wesentlich von den Vorjahren unterscheide. Allerdings sei die aktuelle Saison in Bezug auf die Viren intensiver und werde wahrscheinlich schneller enden als in anderen Jahren.



    Eine schnelle Lösung wäre seiner Meinung nach die Eröffnung ambulanter pädiatrischer Zentren in Krankenhäusern, um die Notaufnahmen nicht zu belasten, eine Maßnahme, die auch während der Pandemie angewandt wurde.



    Alexandru Rafila: Nur ein kleiner Teil der Kinder muss ins Krankenhaus und in die Notaufnahme. Wir müssen eine Lösung finden, damit die Eltern mit ihren Kindern irgendwo hingehen können – in erster Linie zum Hausarzt, aber wenn der Hausarzt nicht verfügbar ist, in eine spezialisierte Kinderambulanz mit der Möglichkeit von Röntgenaufnahmen, damit die Probleme gelöst werden können, ohne dass die Bereitschaftsräume überfüllt werden.




    Während der Pandemie waren die Gesundheitseinrichtungen während des gesamten Warnzustands, der in Rumänien am 18. Mai 2020 verhängt und fast zwei Jahre später, am 9. März 2022, wieder aufgehoben wurde, überfüllt. Zuvor galt in Rumänien zwei Monate lang der Notstand, den die Behörden nur wenige Tage nach der Ausrufung einer Coronavirus-Pandemie durch die Weltgesundheitsorganisation verhängt hatten. Offiziellen Angaben zufolge haben sich bisher fast 3,3 Millionen Menschen in Rumänien mit Covid 19 infiziert, und über 67 Tausend sind an den Folgen der Infektion gestorben.

  • Info COVID: 323 de cazuri noi de infectare cu SARS – CoV – 2

    Info COVID: 323 de cazuri noi de infectare cu SARS – CoV – 2

    Ministerul Sănătăţii informează că în ultimele 24 de ore au fost înregistrate 323 de cazuri noi de persoane infectate cu SARS-CoV-2, cu 73 mai puţine faţă de ziua anterioară.

    De asemenea, la ATI sunt internate 93 persoane, cu 1 mai mult faţă de ziua anterioară. Din cei 93 pacienţi internaţi la ATI, 73 sunt nevaccinaţi.

    Din totalul pacienţilor internaţi, 56 sunt minori, 55 fiind internaţi în secţii şi 1 la ATI, la fel ca în ziua anterioară, mai indică sursa citată.

    Până în prezent, 67.253 persoane diagnosticate cu infecţie cu SARS-CoV-2 au decedat.

    În intervalul 18.11.2022 (10:00) – 19.11.2022 (10:00) au fost raportate de către INSP 3 decese (1 bărbat şi 2 femei), fără decese raportate anterior intervalului de referinţă.

    Dintre cele 3 decese, 2 au fost înregistrate la categoria de vârstă 50-59 de ani şi unul la categoria de vârstă 70-79 de ani. Toţi pacienţii decedaţi prezentau comorbidităţi şi unul era vaccinat.


    În ultimele 24 de ore au fost efectuate 1.743 teste RT-PCR ((1.174 în baza definiţiei de caz şi a protocolului medical şi 569 la cerere) şi 7.709 de teste rapide antigenice.

    Până la această dată, la nivel naţional, au fost prelucrate 13.616.170 de teste RT-PCR şi 12.057.447 teste rapide antigenice.

  • 490 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2

    490 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2

    490 de cazuri noi de persoane infectate cu SARS-CoV-2, cu 234 mai multe faţă de ziua anterioară, au fost înregistrate în România, în ultimele 24 de ore, informează, marți, Ministerul Sănătății (MS). 130 dintre aceste cazuri sunt la pacienţi reinfectaţi, testaţi pozitiv la o perioadă mai mare de 90 de zile după prima trecere prin boală.

    2.806 teste RT-PCR (1.858 în baza definiţiei de caz şi a protocolului medical şi 948 la cerere) şi 13.468 teste rapide antigenice au fost înregistrate în ultimele 24 de ore.

    Până la această dată, la nivel naţional, au fost prelucrate 13.607.642 teste RT-PCR şi 12.018.394 teste rapide antigenice.

    669 persoane cu COVID-19 sunt internate în unităţile sanitare de profil. La Terapie Intensivă sunt trataţi 92 de pacienţi, dintre care 80 nu sunt vaccinaţi anti-COVID. 52 din totalul pacienților internați sunt minori, dintre care 51 în secţii şi unul la ATI.

    Șase decese (cinci bărbaţi şi o femeie) a raportat INSP în ultimele 24 de ore: (patru înregistrate la categoria de vârstă de 70 – 79 de ani şi două la categoria de vârstă peste 80 de ani). Toţi pacienţii decedaţi prezentau comorbidităţi şi doi erau vaccinaţi anti-COVID, informează MS.

    De la începutul pandemiei şi până în prezent, 67.243 persoane diagnosticate cu COVID-19 au decedat în România.

  • 534 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2

    534 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2

    534 de cazuri noi de persoane infectate cu SARS-CoV-2, cu 54 mai puţine faţă de ziua anterioară, au fost înregistrate în România, ăn ultimele 24 de ore, informează Ministerul Sănătății (MS). 147 dintre aceste cazuri sunt la pacienţi reinfectaţi, testaţi pozitiv la o perioadă mai mare de 90 de zile după prima trecere prin boală.

    Cea mai mare incidenţă se înregistrează în continuare în Bucureşti – 0,74 şi în judeţul Cluj – 0,49.

    2.572 teste RT-PCR (1.712 în baza definiţiei de caz şi a protocolului medical şi 860 la cerere) şi 10.602 teste rapide antigenice au fost efectuate în ultimele 24 de ore.

    Până la această dată, la nivel naţional, au fost prelucrate 13.596.449 teste RT-PCR şi 11.968.599 teste rapide antigenice.

    615 de persoane cu COVID-19 sunt internate în unităţile sanitare de profil, cu şase mai puţine faţă de ziua anterioară, La ATI sunt trataţi 98 de pacienţi, 81 dintre aceștia nu sunt vaccinaţi anti-COVID. 52 din totalul pacienţilor internaţi sunt minori, toţi fiind în secţii.

    Trei decese (un bărbat şi două femei) a raportat INSP în ultimele 24 de ore: (unul înregistrat la categoria de vârstă 60-69 de ani şi două la categoria de vârstă peste 80 de ani. Toţi pacienţii decedaţi prezentau comorbidităţi şi niciunul nu era vaccinat, potrivit MS.

    67.220 persoane diagnosticate cu COVID-19 au decedat în România de la începutul pandemiei până în prezent.

  • 588 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2

    588 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2

    588 de cazuri noi de persoane infectate cu SARS-CoV-2, cu 330 mai multe faţă de ziua anterioară, au fost înregistrate în România, în ultimele 24 de ore, a informat, marți, Ministerul Sănătății (MS).

    145 dintre aceste cazuri sunt la pacienţi reinfectaţi, testaţi pozitiv la o perioadă mai mare de 90 de zile după prima trecere prin boală.

    Cea mai mare incidenţă se înregistrează tot în Bucureşti – 0,75 şi în judeţul Cluj – 0,48.

    2.840 teste RT-PCR (1.840 în baza definiţiei de caz şi a protocolului medical şi 1.000 la cerere) şi 13.037 teste rapide antigenice au fost efectuate în ultimele 24 de ore.

    13.593.877 teste RT-PCR şi 11.957.997 teste rapide antigenice au fost prelucrate la nivel național, până la această dată.

  • 258 de cazuri noi de COVID-19 în România

    258 de cazuri noi de COVID-19 în România

    În ultimele 24 de ore au fost înregistrate 258 cazuri noi de persoane infectate cu SARS – CoV – 2 (COVID – 19),
    cu 78 mai multe față de ziua anterioară. 56 din cazurile noi din 24 de ore sunt ale unor pacienți reinfectați, testați pozitiv la o
    perioadă mai mare de 90 de zile după prima infectare.

    Distinct de cazurile nou confirmate, în urma retestării pacienților care erau deja pozitivi, 26 persoane au fost
    reconfirmate pozitiv.

    În unitățile sanitare de profil, numărul de persoane internate în secții cu COVID-19 este de 648, cu 14 mai multe
    față de ziua anterioară. De asemenea, la ATI sunt internate 92 persoane, cu 2 mai multe față de ziua anterioară. Din cei 92
    pacienți internați la ATI, 83 sunt nevaccinați.

    Din totalul pacienților internați, 46 sunt minori, toți fiind internați în secții, cu 7 mai mulți față de ziua anterioară
    și 0 la ATI, la fel ca în ziua anterioară.

    Până astăzi, 67.213 persoane diagnosticate cu infecție cu SARS-CoV-2 au decedat.

    În intervalul 06.11.2022 (10:00) – 07.11.2022 (10:00) nu a fost raportat niciun deces.

    În ultimele 24 de ore au fost efectuate 1.009 teste RT-PCR (639 în baza definiției de caz și a protocolului
    medical și 370 la cerere) și 5.856 teste rapide antigenice. Până la această dată, la nivel național, au fost prelucrate
    13.591.037 teste RT-PCR și 11.944.960 teste rapide antigenice.

  • 180 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2

    180 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2

    180 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-CoV-2, cu 139 mai puţine faţă de ziua anterioară, au fost înregistrate în România, în ultimele 24 de ore, informează, duminică, Ministerul Sănătății (MS). 36 dintre aceste cazuri sunt la pacienţi reinfectaţi, testaţi pozitiv la o perioadă mai mare de 90 de zile după prima trecere prin boală.

    Cea mai mare incidenţă se înregistrează tot în Bucureşti – 0,78 şi în judeţul Cluj – 0,5.

    1.313 teste RT-PCR (624 în baza definiţiei de caz şi a protocolului medical şi 689 la cerere) şi 3.689 teste rapide antigenice s-au efectuat în ultimele 24 de ore. La nivel național au fost prelucrate 13.590.028 teste RT-PCR şi 11.939.104 teste rapide antigenice, până la această dată.

    634 de persoane cu COVID-19 sunt internate în unităţile sanitare de profil, cu 16 mai multe faţă de ziua anterioară. La ATI sunt trataţi 90 de pacienţi, dintre care 81 nu sunt vaccinaţi anti-COVID.

    Din totalul pacienţilor internaţi, 39 sunt minori, toţi fiind pe secţii.

    În ultimele 24 de ore, INSP a raportat două decese (bărbaţi), dintre care unul anterior intervalului de referinţă. Ambele decese au fost înregistrate la categoria de vârstă 70 – 79 de ani. Ambii pacienţi prezentau comorbidităţi şi erau vaccinaţi, potrivit sursei citată.

    De la începutul pandemiei şi până în prezent, 67.213 persoane diagnosticate cu COVID-19 au decedat în România.

  • 319 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2

    319 cazuri noi de persoane infectate cu SARS-Cov-2

    319 de cazuri noi de persoane infectate cu SARS-CoV-2, cu 51 mai puţine faţă de ziua anterioară, au fost înregistrate în România, în ultimele 24 de ore, informează Ministerul Sănătății (MS):

    70 dintre aceste cazuri sunt la pacienţi reinfectaţi, testaţi pozitiv la o perioadă mai mare de 90 de zile după prima trecere prin boală.

    1.906 de teste RT-PCR (1.258 în baza definiţiei de caz şi a protocolului medical şi 648 la cerere) şi 7.195 teste rapide antigenice au fost efectuate în ultimele 24 de ore.

    13.588.715 teste RT-PCR şi 11.935.415 de teste rapide antigenice au fost prelucrate, la nivel național, până la această dată.

    618 persoane cu COVID-19 sunt internate în unităţile sanitare de profil, cu 26 mai puţine faţă de ziua anterioară. 88 de pacienţi sunt la Terapie intensivă, 78 dintre aceștia nu sunt vaccinaţi anti-COVID.

    36 dintre pacienții internați sunt minori, toţi fiind pe secţii.

    Cinci decese a raportat INSP în ultimele 24 de ore (doi bărbaţi şi trei femei): două la categoria de vârstă 70 – 99 de ani şi trei la categoria de vârstă peste 80 de ani.

    Toţi pacienţii decedaţi prezentau comorbidităţi şi doi erau vaccinați anti-COVID.

    67.211 persoane diagnosticate cu COVID-19 au decedat în România de la începutul pandemiei până în prezent,