Tag: Cretu

  • 16.02.2015

    16.02.2015

    Politiques régionales — La commissaire européenne aux politiques régionales, la Roumaine Corina Cretu doit présenter aujourd’hui à Bucarest le bilan des 100 premiers jours de son mandat, ainsi que ses priorités pour 2015. Avant cette visite en Roumanie, Corina Cretu a affirmé que jusqu’ici 80% des programmes opérationnels des pays membres avaient déjà été approuvés. La responsable européenne a également rappelé que la politique régionale contribuait au développement de plusieurs domaines : transports, efficacité énergétique, création de nouveaux emplois.



    Justice — La Haute cour de cassation et de Justice de Bucarest pourrait rendre aujourd’hui son verdict final dans un dossier où l’ex ministre roumaine de la Jeunesse et du sport, Monica Iacob Ridzi est accusée d’abus de fonction. Aux côtés de 11 autres personnes, elle avait été condamnée en janvier 2014 à 5 ans de prison ferme pour avoir approuvé le paiement de services fictifs aux sociétés organisatrices d’une évènement appelé la Journée de la Jeunesse. Après le lancement de l’enquête par les procureurs anti-corruption, Monica Iacob Ridzi aurait pris des mesures pour éliminer les preuves existant dans les archives électronique du ministère. Au sujet de Iacob — Ridzi, ministre du cabinet démocrate — libéral de l’époque, la presse roumaine a affirmé qu’elle avait transformé la Journée de la Jeunesse en une campagne électorale masquée en faveur d’Elena Basescu, la fille du président roumain de l’époque qui briguait un mandat de députée européenne.



    Bratislava — Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu fait aujourd’hui une visite officielle en Slovaquie, à l’invitation de son homologue Miroslav Lajcak. A l’agenda de cette visite figurent aussi des rencontres avec le président slovaque, Andrej Kiska et avec le premier ministre Robert Fico. Selon un communiqué du Ministère roumain des Affaires Etrangères, les réunions seront ciblées sur des sujets de l’actualité politique européenne, la sécurité dans la région avec un accent particulier sur la sécurité énergétique et le dossier ukrainien. L’avenir européen de la République de Moldova et la relation OTAN — Russie seront également évoquées, lit-on dans le communiqué de la diplomatie roumaine.



    Sondage — Près de deux tiers des Roumains, soit 65%, affirment que la guerre en Ukraine voisine est dangereuse pour la Roumanie aussi, révèle un sondage réalisé par INSCOP. Sur la toile de fond de ce conflit, près de 70% des Roumains approuvent la majoration des allocations budgétaires pour la défense. Le sondage réalisé du 5 au 10 février a été commandé par le quotidien Adevarul. Rappelons-le, en janvier, le président roumain Klaus Iohannis et les leaders des partis parlementaires ont signé un accord politique visant la majoration du budget de la Défense. Celui-ci devrait se chiffrer à 2% du PIB à l’horizon 2017.



    Handball — Le club champion de Roumanie au handball féminin HCM Baia Mare, a battu sur le score de 31 à 30 les Danoises de Viborg dans un match du groupe principal 2 de la Ligue des champions. Dans la prochaine étape, prévue pour le 1er mars, HCM Baia Mare doit rencontrer à domicile les Suédoises d’IK Savehof. Dans le classement du groupe, les championnes roumaines occupent la 5e place et préservent leurs chances de qualification dans les quarts de finale de la compétition.

  • Le président roumain, Klaus Iohannis, dans la capitale de l’Europe

    Le président roumain, Klaus Iohannis, dans la capitale de l’Europe

    Fraîchement installé à la tête de lEtat roumain, le président Klaus Iohannis sest rendu ces jeudi et vendredi à Bruxelles pour sentretenir avec les responsables communautaires et ceux de lAlliance nord-atlantique. Avant ce voyage, Klaus Iohannis affirmait dailleurs que la consolidation de lintégration européenne de la Roumanie, de même que le renforcement du statut de Bucarest en tant que membre de lOTAN étaient une priorité de son mandat, des propos quil a tenu aussi devant ses interlocuteurs – le président de la Commission européenne, Jean-Claude Junker, le président du Conseil européen, Donald Tusk, et le secrétaire général de lAlliance, Jens Stoltenberg.



    Avec eux, le président roumain a évoqué le passage de la Roumanie à leuro, lamélioration de labsorption des fonds structurels mis à la disposition du pays ainsi que laccord visant une enveloppe budgétaire plus étoffée pour la Défense roumaine. Avec Jean-Claude Junker, Klaus Iohannis a discuté tout particulièrement de lentrée de la Roumanie dans lespace Schengen de libre circulation, une démarche appuyée par le chef de lexécutif européen, mais qui est soumise à des conditions strictes et précises – à savoir au progrès des réformes en justice, attentivement suivies par le Mécanisme européen de coopération et de vérification.



    A ce sujet, le président roumain affirmait: “Dans quelques jours un autre rapport du Mécanisme sera rendu public. Avec le président de la Commission, nous avons convenu que la situation nous encourage à dire que, durant nos mandats respectifs, nous allons réussir à finaliser ce processus, car la Roumanie a fait des progrès substantiels pour ce qui est du renforcement des institutions de lEtat et de lEtat de droit, la mise en œuvre des réformes structurelles et lindépendance de la justice.”



    Présente aux pourparlers de Jean-Claude Junker avec Klaus Iohannis, la commissaire européenne aux politiques régionales, la Roumaine Corina Creţu, a rappelé que la Commission avait mis en place un groupe de travail chargé dassister techniquement les pays membres ayant un faible taux dabsorption des fonds communautaires, dont la Roumanie.



    Corina Creţu: “Nous allons nous rendre sur place dans tous ces Etats membres. Nous avons dailleurs un dialogue permanent avec eux afin de pouvoir mettre à profit maximum les onze mois qui restent jusquen décembre 2015, dernier mois durant lequel on peut encore avoir accès aux financements alloués pour la période 2007-2013”, a dit la commissaire aux politiques régionales.



    A noter encore quaprès Bruxelles, le président roumain, Klaus Iohannis, doit se rendre la semaine prochaine en France et en Allemagne, les deux pays qui constituent le moteur de lUE. (trad Andrei Popov)

  • Parteneriat România – Uniunea Europeană

    Parteneriat România – Uniunea Europeană

    Mobilizaţi sub sloganul “Provocările Europei nu suportă amânare”, noii comisari europeni şi-au început mandatul, eforturile executivului Junker îndreptându-se spre priorităţile asumate: creşterea economiei şi a locurilor de muncă în ţările Uniunii Europene, măsuri mai ferme în privinţa imigraţiei şi mai multă coerenţă în politica externă şi de securitate. Obiectivul acestor demersuri: recucerirea încrederii cetăţenilor în construcţia europeană cu 28 de ţări.



    România, membră a Uniunii Europene din 2007, îşi va pune amprenta în realizarea obiectivelor noii formule legislative de la Bruxelles prin prestaţia comisarului pentru politici regionale, Corina Creţu. Portofoliul – unul dintre cele mai importante prin prisma alocărilor de fonduri europene – are de gestionat aproape 352 de miliarde de euro, bani de investit în regiunile statelor membre în perioada 2014 — 2020. Iar România se numără între ţările cele mai interesate să atragă astfel de fonduri.



    De aceea, poate nu întâmplător, Corina Creţu a avut prima întâlnire din mandatul său cu Eugen Teodorovici, ministrul român al Fondurilor europene, prilej cu care cei doi au anunţat noi reguli de finanţare pentru salariile personalului de management din cadrul proiectelor. La cererea Bucureştiului, Comisia Europeană a acceptat să modifice programul operaţional pentru perioada 2007 – 2013, astfel încât salariile celor din sistemul de absorbţie a fondurilor europene să devină eligibile şi să fie rambursate sută la sută de către executivul comunitar.



    Comisia Europeană va plăti aceste salarii în cadrul unei scheme care încurajează performanţa, noul sistem de evaluare urmând să se aplice de la 1 ianuarie. Întrevederea de la Bruxelles a fost centrată pe pregătirea lansării acordului de parteneriat cu România, care va avea loc vineri, la Bucureşti, în prezenţa comisarului Corina Creţu, şi care va prezenta modul în care vor fi folosite fondurile europene structurale şi de investiţii în următorii ani. Ministrul Eugen Teodorovici:



    Am avut o discuţie foarte utilă pentru noi ca ţară, pentru a închide actualul cadru financiar la un nivel cât mai ridicat anul viitor şi insist în a spune şi să subliniez încă o dată acel nivel de 80% pentru actualul cadru financiar. Este 44% azi ca nivel de absorbţie. Am convingerea că România, anul viitor, poate să închidă actualul cadru financiar la un nivel cât mai ridicat.”



    Potrivit Corinei Creţu, Comisia Europeană apreciază ca excepţională creşterea ratei de absorbţie realizată de România, de la 4% în 2012 la peste 40% în 2014, la aceasta adăugându-se reformele pe care Bucureştiul le-a făcut în ultimii ani.

  • Partenariat Roumanie – Union européenne

    Partenariat Roumanie – Union européenne

    Les nouveaux commissaires européens ont entamé leur mandat, mobilisés par l’idée que les défis de l’Europe ne peuvent être ajournés. Les efforts de l’exécutif Juncker se concentrent sur des priorités assumées: croissance économique et emploi dans les Etats de l’Union européenne, des mesures plus fermes au sujet de l’immigration et une cohérence accrue dans la politique étrangère et de sécurité. L’objectif de ces démarches c’est de reconquérir la confiance des citoyens en la construction européenne à 28.



    La Roumanie, membre de l’Union européenne depuis 2007, mettra son empreinte sur la réalisation des objectifs de la nouvelle formule législative de Bruxelles par la prestation de la nouvelle commissaire aux Politiques régionales, Corina Creţu. Ce portefeuille, un des plus importants si l’on considère l’allocation des fonds européens, est appelé à gérer presque 352 milliards d’euros, à investir dans les régions des Etats membres entre 2014 et 2020. Et la Roumanie compte parmi les Etats les plus intéressés à attirer de tels fonds. Ce n’est donc peut-être pas par hasard que la commissaire Corina Creţu a eu la première rencontre de son mandat avec Eugen Teodorovici, le ministre roumain des Fonds européens; à l’occasion, les deux officiels ont annoncé de nouvelles règles de financement pour les salaires du personnel de gestion des projets.



    A la demande de Bucarest, la Commission européenne a accepté de modifier le programme opérationnel pour la période 2007 — 2013, de manière à ce que les salaires des personnes travaillant dans le système d’absorption des fonds européens deviennent éligibles et qu’ils soient remboursés à 100% par l’exécutif communautaire. La Commission européenne payera ces salaires dans le cadre d’un schéma qui encourage la performance, le nouveau système d’évaluation devant être fonctionnel à partir du 1er janvier. La rencontre de Bruxelles a été ciblée sur les préparatifs de lancement de l’accord de partenariat avec la Roumanie, qui aura lieu vendredi, à Bucarest, en présence de la commissaire Corina Creţu, qui présentera la manière dont les fonds structurels et d’investissements européens seront utilisés les années à venir. Le ministre Eugen Teodorovici : « Nous avons eu une discussion très utile pour nous en tant que pays, afin de clôturer l’exercice financier à un niveau aussi élevé que possible ; j’insiste et je souligne encore une fois ce niveau qui est de 80% pour le cadre financier en place. Aujourd’hui, le taux d’absorption se situe au niveau de 44%. Je suis persuadé que l’année prochaine la Roumanie pourra clore au plus haut niveau possible l’actuel cadre financier».



    Selon Corina Creţu, la Commission européenne tient pour exceptionnelle l’augmentation du taux d’absorption réalisée par la Roumanie, de 4% en 2012 à plus de 40% en 2014, ce à quoi s’ajoutent les réformes mises en place par Bucarest ces dernières années. (trad.Ligia Mihaescu)

  • Nachrichten 01.11.2014

    Nachrichten 01.11.2014

    BUKAREST: Am 1. November 2014 wurde der öffentlich-rechtliche Rundfunksender Radio România 86 Jahre alt. Im Rahmen der Veranstaltungen anlässlich des 86. Jahrestages des öffentlich-rechtlichen Rundfunks Radio România konzertierten der Pianist Horia Mihail und das Orchester des Rumänischen Rundfunks am Freitag in Bukarest unter der Leitung des Dirigenten Tiberiu Soare. Das Programm begann mit einem rumänischen Werk, “Privelişti moldoveneşti” (“Moldauische Landschaften”) von Mihail Jora. Horia Mihail spielte das Klavierkonzert in a-Moll von Edvard Grieg. Im zweiten Teil des Konzerts spielte das Orchester des Rumänischen Rundfunks Ludwig van Beethovens 3. Sinfonie in Es-Dur, Eroica“. Die heutige Rundfunkgesellschaft Radio România besteht aus drei nationalen Sendern, neun regionalen Sendern, und einem internationalen Sender, der Sendungen in 10 Fremdsprachen, in Rumänisch und im aromunischen Dialekt ausstrahlt.



    BRÜSSEL: Die neue Europäische Kommission unter Präsident Jean-Claude Juncker hat am Samstag offiziell ihr Amt angetreten. Luxemburgs langjähriger Regierungschef zeigte sich in einer Mitteilung zum Beginn seines fünfjährigen Mandats entschlossen, “die Ärmel hochzukrempeln” und von Brüssel aus einen europäischen “Neustart” einzuläuten. Er und seine 27 EU-Kommissare nehmen ihre Arbeit am Montag richtig auf, zwei Tage später steht dann die erste Tagung in voller Runde an. Juncker folgt auf den Portugiesen José Manuel Barroso, der die EU-Kommission zehn Jahre lang geführt hatte. Unter seiner Führung war die Gemeinschaft von 15 auf 28 Mitgliedstaaten angewachsen, wobei die zweite Amtszeit ab 2009 im Zeichen der Euro-Krise stand. Der 59-jährige Juncker hat versprochen, die EU-Bürokratie zu entschlacken und mit einem 300 Milliarden Euro schweren Investitionspaket den Kampf gegen die Jugendarbeitslosigkeit zu intensivieren. Den rumänischen Kommissarsposten in seinem Team besetzt die sozialdemokratische EU-Abgeordnete Corina Cretu. Sie wird EU-Kommissarin für Regionalpolitik.



    BUKAREST: Samstag, der 1. November, ist für alle rumänischen Wahlberechtigten ein Überlegungstag vor der Präsidentenwahl am Sonntag, den 2. November. 14 Kandidaten kämpfen um die Präsidentschaft Rumäniens. Über 18 Millionen wahlberechtigte rumänische Bürger werden am Sonntag an den Urnen erwartet. Erhält keiner der Kandidaten 50% + 1 der abgegebenen und für gültig erklärten Stimmen, so wird am 16. November ein zweiter Wahlgang organisiert. Im ganzen Land stehen 18.550 Wahllokale bereit, während den wahlberechtigten rumänischen Bürgern im Ausland 294 Wahllokale zur Verfügung stehen. Etwa 3,2 Millionen Rumänen leben zur Zeit im Ausland. Die grö‎ßten rumänischen Gemeinden befinden sich in Italien, Spanien und den Vereinigten Staaten. Laut Verfassung wird der Präsident Rumäniens für eine Amtszeit von 5 Jahren gewählt. Die letzte Präsidentschaftswahl fand am 6. Dezember 2009 statt.



    BUKAREST: 700 Unternehmen aus 27 Ländern beteiligen sich bis Sonntag in Bukarest an der 19. Auflage der Internationalen Ausstellung für Landwirtschaft, Gartenbau, Weinbau und Viehzucht INDAGRA. INDAGRA ist die wichtigste Agrar-Fachmesse in Rumanien und hat als Ziel die Förderung der rumänischen Landwirtschaft in den Branchen Gartenbau, Landschaftspflege, Landwirtschaft, Tiere, Tierzucht, Veterinärmedizin, Weine, Weinbau. Eine Prämiere bei INDAGRA war dieses Jahr die 9. Auflage des Forums China – Mittel- und Osteuropäische Staaten, bei dem Kooperationsprojekte zwischen den teilnehmenden Ländern präsentiert wurden.

  • Die Woche 27.09.-03.10.2014 im Überblick

    Die Woche 27.09.-03.10.2014 im Überblick

    Der Wahlkampf für die Präsidentschaftswahl in November hat begonnen


    Der Wahlkampf hat am 3. Oktober begonnen. Dieser soll bis zum 1.November, durch Wahlkampfplakate, Broschüren, Märsche und Debatten, die Wählerschaft überzeugen, abzustimmen. Am 1. Wahlgang vom 2.November werden 14 Politiker für das Amt des Präsidenten kandidieren. Der jetzige Präsident Traian Basescu beendet nach 10 Jahren seine zweite Amtszeit. Die grössten Chancen auf die Stichwahl vom 16. November haben der jetzige sozialdemokratische Ministerpräsident Victor Ponta und der deutschstämmige Klaus Johannis, Kandidat der oppositionellen Christlich-Liberalen Allianz. Zu den Kandidaten zählen auch Senatspräsident Călin Popescu-Tăriceanu, der Führer des mitregierenden Ungarnverbandes Kelemen Hunor, die unabhängige Europaabgeordnete Monica Macovei und die Chefin der oppositionellen, präsidenten-nahen Volksbewegung, Elena Udrea. In Rumänien sollen 18.550 und im Ausland 294 Wahllokale organisiert werden.



    Die zur EU-Kommissarin für Regionalpolitik nominierte Corina Cretu erhält die Bestätigung des EU-Fachausschüsses


    Die rumänische EU-Abgeordnete Corina Cretu, von der Sozialdemokratischen Partei wurde für die Position als EU-Kommissarin für Regionalpolitik durch den Fachausschuss des Europaparlaments bestätigt. Bei ihrer Anhörung versprach Corina Cretu Null-Toleranz in punkto Hinterziehung von EU-Fonds. Im gegenwärtigen EU-Haushalt 2014-2020 verfügt der Bereich Regionalpolitik über Fonds in Höhe von über 350 Milliarden Euro. Die erwartungsgemä‎ß zukünftige EU-Kommissarin für Regionalpolitik Corina Cretu hat ihre Prioritäten bekanntgegeben — dazu gehören, selbstverständlich, das Wirtschaftswachstum und das Schaffen von neuen Arbeitsplätzen. Corina Cretu ist Europaabgeordnete seit 2007 und zurzeit Vizepräsidentin des Europa-Parlaments. Die neue EU-Kommission soll ihre Tätigkeit am 1. November aufnehmen.



    Ein neues Universitätsjahr hat begonnen


    Für mehr als 450.000 Studenten hat am 1. Oktober in Rumänien ein neues Universitätsjahr begonnen. Die Zahl der Studenten ist im Vergelich zum Vorjahr deutlich zurückgegangen. Die Studenten zeigen sich dieses Jahr gegenüber der Abschaffung einiger Universitäten oder Fachrichtungen im Studium und die niedrige Staatssubvention für Transport unzufrieden. In gro‎ßen Universitätszentren gibt es zudem nicht genügende Studentenheimplätze. Vertreter des Bildungsministeriums erklären, sie werden nach der jüngsten Haushaltsanpassung Stipendien für Praktika und einige Forschungsprojekte finanzieren können. Das neue Studienjahr startet mit einer Reihe von Gesetzesänderungen, wie die Wiedereinführung der Doktorstudien mit reduzierter Anwesenheit und die Möglichkeit der Universitäten Kollegien nach den Gymnasium zu organisieren.



    In Kiew hat das trilaterale Treffen Rumänien-die Ukraina-die Republik Moldau stattgefunden


    Die Ministerpräsidenten Rumäniens und der Ukraine Victor Ponta und Arseni Iatsenjuk haben am Donnerstag in Kiew das Abkommen über den kleinen Grenzverkehr zwischen den beiden Nachbarländern unterzeichnet. Somit werden 2 Millionen Anwohner der Grenzregion ohne Visum, nur anhand eines Passierscheins über die Grenze reisen können. Premierminister Ponta wurde in Kiew von seinem moldauischen Gegenüber, dem proeuropäischen Ministerpräsidenten Iurie Leancă begleitet. Ponta und Leancă kam in der ukrainischen Hauptstadt auch mit dem Präsidenten Petro Poroschenko zu Gesprächen zusammen. Rumänien bekräftigte in Kiew durch Ministerpräsident Ponta seine Unterstützung als EU-und NATO-Land für die Bemühungen der Ukraine und der Republik Moldau zur demokratischen Entwicklung und EU-Integration.



    Die rumänische Exekutive hat die zweite Haushaltsanpassung für 2014 angenommen


    Die Regierung Rumäniens hat am Dienstag die zweite Anpassung des Haushalts für 2014 genehmigt. Es handelt sich dabei um eine positive Anpassung, so wie die erste im Sommer. Trotzdem werden die Fonds für einige Institutionen und Ministerien vermindert. Das Arbeitsministerium erhielt die höchste Summe (1,2 Milliarden Lei) für Löhne und die Bezahlung der Sozialhilfen. Dem Ministerium für Regionalentwicklung kamen 600 Millionen Lei zu, während das Innenministerium weitere 250 Millionen Lei bekommt. Der Haushalt des Ministeriums für öffentliche Verwaltung, des Verteidigungsministeriums und der Justiz wurden ebenfalls angehoben. Kürzungen gab es bei der Präsidentschaftsverwaltung, der Rumänischen Akademie, der Bildung, beim Sportministerium und bei der Kultur. Unterdessen traten am 1. Oktober einige finanzielle und wirtschaftliche Ma‎ßnahmen in Kraft. Dazu zählen die Reduzierung der Sozialbeiträge der Arbeitgeber um 5%, die Steueramnestie für Rentner und Mütter, die infolge einiger Fehler der Finanzverwaltung zuviel Unterstützungsgeld vom Staat bekommen haben.



    Die Antikorruptionsbehörde fordert das Aufnehmen der Strafverfolgung von neuen ehemaligen Ministern im sog. Microsoft”-Verfahren


    Die Antikorruptionsbehörde hat der Präsidentschaft, dem Bukarester Parlament sowie dem Europäischen Parlament die Aufhebung der parlamentarischen Immunität von neun Ex-Ministern verlangt, damit die Strafverfolgung beginnen kann. Die Ex-Minister werden der Annahme von Bestechung, der Geldwäsche, des Amtsmissbrauchs sowie der Einflussnahme verdächtigt. Die Antikorruptionsbehörde bezieht sich besonders auf einen Vertrag für den Kauf von Microsoft-Lizenzen zwischen der Bukarester Regierung und Fujitsu Siemens Computers, einem Unternehmen, das damals der einzige Händler für die betreffenden Produkte war. Die Vorwürfe bestehen aus 2012, als die rumänische Regierung angekündigt hatte, sie habe Software für Schulen, durch Vermittler, zu Preisen erworben, die um 30-40% als der Marktpreis waren.



    Zwei rumänische Fussball-Mannschaften wurden in der Europe-League besiegt


    Am Donnerstag hat Rumäniens Fu‎ßballmeister Steaua Bukarest mit 1 zu 3 auswärts gegen die Ukrainer von Dinamo Kiew im zweiten Spiel der Gruppe J der Europe League verloren. In der Gruppe D wurde der Vizemeister Astra Giurgiu im Heimspiel von den Österreichern von Red Bull Salzburg mit 1 zu 2 besiegt. Steaua belegt den zweiten Platz in der Gruppe J, während Astra auf den letzten Platz in einer Gruppe rangiert, zu der auch die Dänen von Aalborg und die Kroaten Dinamo Zagreb gehören.

  • Die Prioritäten der neuen EU-Kommissarin Corina Creţu

    Die Prioritäten der neuen EU-Kommissarin Corina Creţu

    Die rumänische EU-Abgeordnete Corina Creţu, von der Sozialdemokratischen Partei, ist nur noch einen prozedurellen Schritt entfernt von der offiziellen Übernahme ihrer neuen Position als EU-Kommissarin für Regionalpolitik. Die Kandidatur der sozialdemokratischen EU-Abgeordneten Corina Cretu wurde von der Bukarester Regierung vorgeschlagen, in der die Sozialdemokratische Partei die Mehrheit hat. Nach der Bestätigung durch den EU-Kommissionschef, Jean-Claude Juncker, und nach der Anhörung im Fachausschuss der Europäischen Kommission erhielt die Kandidatin Corina Cretu eine positive Beurteilung.



    Im gegenwärtigen EU-Haushalt 2014-2020 verfügt der Bereich Regionalpolitik über Fonds in Höhe von über 350 Milliarden Euro. Die erwartungsgemä‎ß zukünftige EU-Kommissarin für Regionalpolitik Corina Creţu hat ihre Prioritäten bekanntgegeben — dazu gehören, selbstverständlich, das Wirtschaftswachstum und das Schaffen von neuen Arbeitsplätzen. Corina Cretu sprach darüber in einem Interview mit dem RRI-Korrespondenten in Brüssel:



    Mit einem Viertel des EU-Haushaltes wird der Bereich Regionalpolitik entscheidend zu diesem Plan beitragen. Wir haben neue Regelungen, die sehr wichtig sind, und uns ermöglichen werden, uns aufs Wirtschaftswachstum und Schaffen von Arbeitsplätzen zu konzentrieren. Dazu gehören auch die Forschung und Innovation und die Unterstützung der kleinen und mittleren Unternehmen. In Bezug auf die Länder, die noch keine 50% der für die Zeitspanne 2007-2013 zugewiesenen EU-Fonds abgeschöpft haben (dazu gehört auch Rumänien) werden wir höchstwahrscheinlich eine Arbeitsgruppe bilden. Dadurch werden wir diesen Ländern helfen, die restliche Zeit zum Abschöpfen der EU-Fonds bis Ende 2015 am besten auszunutzen.”



    Andererseits ist die Regionalpolitik eines der besten Instrumente zum Sichern der Solidarität innerhalb der Europäischen Union. Corina Creţu:



    Das ist ein sehr wichtiger Grundsatz, auf dem sich die EU-Kohäsionspolitik stützt. Sowohl die entwickelten als auch die weniger entwickelten Länder können eins verstehen: Wenn sie in Regionen, in Realwirtschaft, in Menschen investieren, und ihnen helfen, ihr eigenes maximales Potential zu verwirklichen, bedeutet das in die gesamte Europäische Union investieren.”



    Darüber hinaus versprach Corina Creţu Null-Toleranz in puncto Hinterziehung von EU-Fonds. Ihr Engagement hat eine besondere Gewichtung, denn Corina Cretu kommt aus einem Land, in dem die Hinterziehung von EU-Fonds leider keine Seltenheit ist. In einer Rangliste der Europäischen Kommission belegt Rumänien den zweiten Platz, nach Italien, bei Betrug und den dritten Platz, nach Italien und Polen, bei der Höhe der unterschlagenen Summen.