Tag: Electrica

  • La semaine du 9 au 14 juin 2014

    La semaine du 9 au 14 juin 2014

    Le FMI a reporté l’évaluation de l’accord avec la Roumanie



    Le FMI a reporté à novembre prochain l’évaluation de l’accord de précaution conclu l’automne dernier avec la Roumanie, afin de permettre au gouvernement de Bucarest de décider des mesures fiscales et d’élaborer le projet de budget 2015, a annoncé le premier ministre roumain, Victor Ponta. Selon un communiqué du FMI, rendu public jeudi, les pourparlers avec les officiels roumains ont été constructifs mais une série de sujets sont restés en suspens. Parmi eux, l’intention de l’exécutif de réduire de 5%, à partir du 1er juillet, les cotisations à la sécurité sociale payées par les employeurs, une mesure qui n’a pas reçu le feu vert des institutions financières internationales. Victor Ponta a annoncé que le gouvernement enverrait au Parlement la semaine prochaine le projet de loi visant la mise en œuvre de cet allègement fiscal à partir du 1er octobre. Il a aussi assuré que l’Etat roumain respecterait tous les objectifs macroéconomiques convenus avec les créanciers internationaux.



    Prévisions optimistes de la Banque mondiale sur l’économie roumaine



    La Banque mondiale a révisé à la hausse ses prévisions de croissance de l’économie roumaine en 2014, de 2,5% en janvier à 2,8% actuellement, l’avance économique en 2015 devant être encore plus importante, soit 3,2%. Les chiffres sont similaires pour tous les pays de la région et léconomie mondiale. Selon le rapport, la demande extérieure croissante entraînera une amélioration de la situation sur le marché de l’emploi de Roumanie et de la consommation. En même temps, un taux d’inflation bas permettra à la Banque centrale de mener une politique monétaire qui favorise la reprise économique, indique encore le rapport. Le gouvernement et le FMI tablent sur une hausse du PIB entre 2,2% et 2,5% en 2014 et de 2,5% en 2015. La Commission européenne, elle, s’attend à ce que l’économie roumaine progresse de 2,5% cette année et de 2,6% en 2015.



    Facilités pour les entrepreneurs de Roumanie



    Les Roumains de tout âge qui souhaitent se lancer dans les affaires peuvent désormais mettre sur pied gratuitement une micro-entreprise, grâce à une loi visant à stimuler la création et le développement de ce genre de sociétés, adoptée mercredi par la Chambre des Députés de Bucarest. Le document élimine la limite d’âge maximum de 35 ans que les entrepreneurs qui en étaient à leur première affaire devaient respecter pour bénéficier des facilités accordées. De même, la loi prévoit l’exemption de charges patronales pour les revenus de maximum 4 salariés en CDI ainsi que l’exemption de taxes pour les opérations d’immatriculation aux Offices du Registre du Commerce. De même, l’entrepreneur peut bénéficier d’une aide financière non remboursable de 50% – mais sans excéder les 10 mille euros – du montant total des dépenses éligibles du plan d’affaires, pour lesquelles l’entrepreneur peut apporter la preuve des sources de cofinancement.



    Plus de 50% des actions de la compagnie Electrica cotées en Bourse



    Le gouvernement roumain souhaite obtenir au moins 435 millions d’euros pour les 51% du paquet dactions du distributeur d’électricité Electrica, qu’il va coter en Bourse. Selon le calendrier fixé, les préparatifs en ce sens devraient s’achever d’ici le 26 juin, la transaction des actions de cette compagnie devant commencer le 3 juillet. Le premier ministre roumain Victor Ponta se dit confiant dans le succès de cette opération et affirme que les sommes ainsi obtenues seront orientées vers les investissements. Selon le ministre roumain délégué à l’énergie, Razvan Nicolescu il s’agit du processus de cotation le plus important sur le marché des capitaux de Roumanie, le prix d’une action allant de 11 à 13,5 lei. 85% des actions pourront être achetées par les grands investisseurs et 15% par les petits investisseurs. Si ces derniers manifestent un intérêt accru pour cette opération, le nombre d’actions dédiées pourra augmenter jusqu’à 22%. Tous les investisseurs pourront bénéficier de certains discounts. Par ailleurs, à partir du 1er juillet, les producteurs de gaz naturel seront obligés de coter en Bourse une partie de leur production. A partir de 2015 cette mesure visera aussi les distributeurs des gaz naturels.



    Les déclarations du président de la Commission européenne à Chisinau



    Le président de la Commission européenne, Jose Manuel Barosso s’est dit confiant dans l’avenir européen de la République de Moldavie et a précisé que la signature par Chisinau de l’accord d’association à l’UE prévue le 27 juin ne risquerait pas de porter atteinte aux relations économiques russo-moldaves. Et le chef de l’exécutif communautaire d’ajouter que l’accord susmentionné se propose d’améliorer les relations internationales de la Moldavie voisine sans influencer les rapports entre ce pays et les Etats partenaires y compris la Russie. Tout en saluant le soutien financier accordé à son pays, le premier ministre moldave, Iurie Leanca a pour sa part déclaré que le gouvernement moldave fera de son mieux afin d’obtenir au plus vite l’intégration européenne du pays.



    Des médailles pour la Roumanie aux Championnats d’Europe d’escrime de Strasbourg



    La Roumanie a décroché le titre de championne dEurope par équipes à lépée dames en dominant la Russie, championne du monde en titre, au score de 38 à 34 points lors de la sixième journée des championnats dEurope descrime, à Strasbourg. Menée par Anna-Maria Branza, la vice-championne olympique de 2008 et championne dEurope 2013, la Roumanie a livré une rude bataille pour conquérir cette nouvelle médaille dor avec une équipe composée de Simona Pop, Simona Gherman et Maria Udrea. (trad. : Alexandra Pop, Ioana Stancescu)

  • Die Woche 09.06.-13.06.2014 im Überblick

    Die Woche 09.06.-13.06.2014 im Überblick



    Der IWFs hat die Finalisierung der Evaluierung des Abkommens mit Rum’nien aufgeschoben




    Der Internationale Währungsfonds (IWF) hat die dritte Evaluierung des stand-by Abkommens vorbeugender Art mit Rumänien bis November aufgeschoben. Dies erklärte am Donnerstag der rumänische Ministerpräsident Victor Ponta in einem Interview für Bloomberg News“. Der IWF werde den Haushalt für 2015 abwarten, bevor er das stand-by Abkommen mit Rumänien revidiert, so Victor Ponta. Die guten wirtschaftlichen Ergebnisse Rumäniens im Jahr 2013 und im ersten Quartal 2014 hätten die Gespräche mit der IWF-Delegation leichter gemacht; dabei bekräftigten die rumänischen Behörden ihre Absicht, die Strukturreformen fortzusetzen, vor allem in den Bereichen Energie und Transportwesen, sagte noch der rumänische Ministerpräsident. Die gemeinsame Delegation des IWF, der Europäischen Kommission und der Weltbank befindet sich in Bukarest für die 3. Evaluierung des stand-by Abkommen vorbeugender Art. Die Mission endet am 16. Juni.




    Optimistische Prognosen für die rumäische Wirtschaft




    Die Weltbank hat die Weltwirtschafts-Wachstumsprognose für das laufende Jahr nach unten korrigiert. Die Prognose für Rumänien wurde jedoch nach oben von 2,5 % im Januar auf 2,8 % korrigiert. Nächstes Jahr sollte dann die rumänische Wirtschaft um 3,2 % wachsen. Ähnliche Prognosen gibt es für Zentral-und Osteuropa. Laut dem Bericht der Weltbank, werde die höhere externe Nachfrage die Lage auf dem rumänischen Arbeitsmarkt verbessern. Der Konsum wird ebenfalls wachsen.


    Zugleich werde die verminderte Inflation der Nationalbank erlauben, die Wirtschaft zu unterstützen. Die rumänische Regierung und der IWF prognostizieren ein Wirtschaftswachstum zwischen 2,2 und 2,5 % für dieses Jahr und von 2,5 % im nächsten Jahr.




    Die rumänische Regierung will 51 % der Aktien des staatlichen Stromproduzenten Electrica an die Börse listen




    Die Regierung möchte zudem 51 % der Aktien des staatlichen Stromproduzenten Electrica an die Börse listen und hofft dafür mindestens 435 Millionen Euro zu bekommen. Laut Plan, sollen die Vorbereitungen für den Börsengang bis zum 26 abgeschlossen werden. Am 3. Juli soll dann der Aktienverkauf anfangen. Ministerpräsident Ponta glaubt an den Erfolg dieses Börsengangs. Das einkassierte Geld soll investiert werden.Ich bin mir sicher, dass es ein erfolgreicher Börsengang sein wird. Wie auch im Falle von Romgaz, wird das ganze private Kapital auch im Falle von Transelectrica und Transgaz in die Energie-Infrastruktur investiert.” – so Ponta


    Der delegierte Minister für Energie, Răzvan Nicolescu, erklärte es handele sich dabei um den grössten Börsengang in Rumänien. Der Aktienpreise wird zwischen 11 und 13,5 Lei liegen. 85 % der gelisteten Aktien werden von Grossinvestoren gekauft werden können, 15 % von kleinen Investoren. Sollte das Interesse der kleinen Investoren höher sein, werde der Prozentsatz von 15 % auf 22 % angehoben werden. Răzvan Nicolescu sagte zudem, ab dem 1. Juli würden die Ergas-Produzenten gezwungen sein einen Teil der eigenen Produktion auf der Börse zu verkaufen. Ab 2015 soll diese Massnahme auch für Erdgas-Lieferanten eingeführt werden.




    Die Erklärungen des EU-Kommissionspräsidenten in Chişinău




    Der EU-Kommissionspräsident Jose Manuel Barroso und der moldauische Ministerpräsident Iurie Leancă haben am Donnerstag in Chisnau, zwei Wochen vor der Unterzeichnung des EU-Assoziierungsabkommens, zwei Abkommen zur finanziellen Unterstützung abgeschlossen. Das Geld zielt darauf ab, das rumänischsprachige Land dabei zu helfen, Reformen umzusetzen. Chisinau soll demzufolge 21 Millionen Euro für die Umsetzung des EU-Freihandelsabkommens erhalten, mehrere Millionen Euro sollen an den Energiebereich und 14 Millionen Euro an die Dorfentwicklung gehen. Der EU-Kommissionspräsident plädierte in der moldauischen Hauptstadt für nationale Kohäsion, die zu einer optimalen Umsetzung der Reformen führen könne und bezeichnete den europäischen Kurs der Republik Moldau als eine Priorität die jeder Bürger setzen soll. Anschlie‎ßend forderte der EU-Kommissionpräsident Russland, Republik Moldau keine Hindernisse in den Weg zum EU-Beitritt zu legen. Mit seinem Besuch in Chisinau, der eine der Stationen einer langen Reise am Ende seines Mandats ist, drückt der EU-Kommissionspräsident die Unterstützung der Europäischen Kommission für den europäischen Kurs des rumänischsprachigen Landes aus.




    Medaillen für Rumänien bei den Fechten-Europameisterschaft in Stra‎ßburg




    Bei der Fechten-Europameisterschaft in Stra‎ßburg erkämpften sich die rumänischen Degenfechterinnen am Donnerstag die Goldmedaille im Finale gegen Russland. Ana-Maria Brânză, Simona Pop, Maria Udrea şi Simona Gherman (die letzte gewann auch Bronze im Einzelkampf) hatten im Viertelfinale gegen die Ukraine und im Halbfinale gegen Italien durchgekämpft.

  • Weltbank korrigiert Wirtschaftsprognose für Rumänien nach oben

    Weltbank korrigiert Wirtschaftsprognose für Rumänien nach oben

    Die Weltbank hat die Weltwirtschafts-Wachstumsprognose für das laufende Jahr nach unten korrigiert. Die Prognose für Rumänien wurde jedoch nach oben von 2,5 % im Januar auf 2,8 % korrigiert. Nächstes Jahr sollte dann die rumänische Wirtschaft um 3,2 % wachsen. Ähnliche Prognosen gibt es für Zentral-und Osteuropa. Laut dem Bericht der Weltbank, werde die höhere externe Nachfrage die Lage auf dem rumänischen Arbeitsmarkt verbessern. Der Konsum wird ebenfalls wachsen. Zugleich werde die verminderte Inflation der Nationalbank erlauben, die Wirtschaft zu unterstützen.




    Die rumänische Regierung und der IWF prognostizieren ein Wirtschaftswachstum zwischen 2,2 und 2,5 % für dieses Jahr und von 2,5 % im nächsten Jahr. Derzeit befindet sich auch eine IWF-Prüfmission in Rumänien, die das Darlehens-Abkommen von 2013 überprüft. Die rumänischen Behörden haben hauptsächlich versucht den internationalen Kreditgebern zu beweisen, dass es ausreichende Ressourcen für die Senkung der Sozialbeiträge um 5 % gibt. Mitte dieses Jahr sollte diese Massnahme in Kraft treten.




    Die Regierung möchte zudem 51 % der Aktien des staatlichen Stromproduzenten Electrica an die Börse listen und hofft dafür mindestens 435 Millionen Euro zu bekommen. Laut Plan, sollen die Vorbereitungen für den Börsengang bis zum 26 abgeschlossen werden. Am 3. Juli soll dann der Aktienverkauf afangen. Ministerpräsident Ponta glaubt an den Erfolg dieses Börsengangs. Das einkassierte Geld soll investiert werden:




    Ich bin mir sicher, dass es ein erfolgreicher Börsengang sein wird. Wie auch im Falle von Romgaz, wird das ganze private Kapital auch im Falle von Transelectrica und Transgaz in die Energie-Infrastruktur investiert.”




    Der delegierte Minister für Energie, Răzvan Nicolescu, erklärte es handele sich dabei um den grössten Börsengang in Rumänien. Der Aktienpreise wird zwischen 11 und 13,5 Lei liegen. 85 % der gelisteten Aktien werden von Grossinvestoren gekauft werden können, 15 % von kleinen Investoren. Sollte das Interesse der kleinen Investoren höher sein, werde der Prozentsatz von 15 % auf 22 % angehoben werden. Răzvan Nicolescu sagte zudem, ab dem 1. Juli würden die Ergas-Produzenten gezwungen sein einen Teil der eigenen Produktion auf der Börse zu verkaufen. Ab 2015 soll diese Massnahme auch für Erdgas-Lieferanten eingeführt werden.

  • Neue Privatisierungen in dem Energiesektor

    Neue Privatisierungen in dem Energiesektor

    Ende letzen Monats haben die rumänischen behörden ein Abkommen vorbeugender Art mit dem IWF und der EU-Kommission mit einer Laufzeit von zwei Jahren und einem Wert von 4 Milliarden Euro vereinbart. Besagtes Abkommen soll im Herbst von dem IWF-Steuerkreis besprochen werden. In der Zwischenzeit ist eine Fassung des Intentionsbriefes der bukarester Exekutive in die Presse gelangt. Diese enthält alle Elemente, die die Parteien vereinbart haben: neue, aber auch alte, noch nicht erfüllte Verpflichtungen, Privatisierungen und Börsengänge.



    Kurzgefasst könnte die Regierung die Besitzsteuern für Privatpersonen erhöhen, die eine Wohnung zu geschäftlichen Zwecken benutzen; sie wird das Insolvenz- und das Zivilgesetzbuch abändern; sie wird ein strammes Haushaltsdefizit beibehalten; sie wird das Nationale Finanzamt umorganisieren; sie wird die Reform des Gesundheitswesen beschleunigen; das Liberalisierungsverfahren der Energie- und Erdgaspreise fortsetzen; den Börsengang von minderheitlichen Aktienpaketen bei staatlichen Gesellschaften veranlassen und eine Reihe von Privatisierungen durchführen. Zu diesen zählt auch die Privatisierung der Gesellschaft CFR Marfă, die weiter gehen soll. Dazu verpflichtete sich die Regierung vor dem IWF, die Auflagen bezüglich des Verkaufs des mehrheitlichen Aktienpakets zu erfüllen.



    Hier kommen auch weitere Einzelheiten, insbesondere mit Bezug auf den Energiesektor. Ursprünglich für dieses Jahr vorgesehen, wurde der Börsengang gro‎ßer staatlicher Gesellschaften auf den Herbst nächsten Jahres verschoben. Es handelt sich z.B. um Nuclearelectrica, die sich mit der Erzeugung von elektrischem Strom, Wärme und Kernbrennstoff beschäftigt. Genauer gesagt, wird der Staat, der über ungefähr 90% der Aktien verfügt, ein neues öffentliches Angebot von ursprünglich 10% dieses Portfolios bis ende September 2014 unterbreiten.



    Was Romgaz, die grö‎ßte Erdgasfördergesellschaft des Landes, die vom Wirtschaftsministerium verwaltet wird, anbelangt, soll das Angebot von 15% bis Ende Oktober dieses Jahres gestellt werden. Man muss au‎ßerdem die Besteuerung der Aktien der Gesellschaft regeln, die an einer ausländischen Börse gehandelt werden. Dazu muss ggf. noch die Gesetzgebung angepasst werden.



    Bis zum Sommer nächsten Jahres könnte auch ein ursprüngliches öffentliches Angebot im Falle der Gesellschaft Electrica — eines der wichtigsten Spieler im Energievertrieb, in der Energieversorgung und dem dazugehörigen Dienstleistungsbereich veröffentlicht werden. Man muss sehen, wie man im Falle von sechs regionalen Wartungsgesellschaften des Unternehmens vorgehen wird: mindestens drei davon, aber wahrscheinlich alle müssten zwecks einer möglichen Liquidation von der Electrica getrennt werden.



    Letztendlich soll für Hidroelectrica, die den 7. Platz in der Rangliste der 100 wertvollsten rumänischen Gesellschaften belegt, ein Regierungsbeschluss hinichtlich der Quotierung von 10% der Aktien verabschiedet werden. Dieser Prozess ist für Ende Juni 2014 vorgesehen.

  • Nouvelles privatisations dans le secteur énergétique

    Nouvelles privatisations dans le secteur énergétique

    Fin juillet, les autorités de Bucarest ont convenu avec le FMI d’un nouvel accord de type préventif sur 2 ans, sur une ligne de crédit de 4 milliards d’euros. L’accord doit être examiné par la direction de l’institution financière internationale cet automne.



    Une variante de la lettre d’intention que le gouvernement de Bucarest doit envoyer à Washington circule déjà dans la presse roumaine. Elle comporte tous les éléments sur lesquels les parties sont tombées d’accord : nouvelles promesses, mais aussi anciennes promesses non honorées, privatisations et cotations en bourse.



    Pour résumer en peu de mots le contenu de cette lettre, disons que le gouvernement de Bucarest pourrait majorer l’impôt sur la propriété pour les personnes physiques possédant un appartement qu’ils utilisent à des fins commerciaux. Le gouvernement s’engage également à : modifier le Code de l’insolvabilité et le Code civil, réorganiser l’Agence nationale d’administration fiscale (ANAF), accélérer la réforme du système sanitaire, continuer le processus de libéralisation des prix de l’énergie et du gaz, coter en bouse les paquets minoritaires des compagnies d’Etat et réaliser certaines privatisations. Il s’agit entre autres de la compagnie de fret ferroviaire « CFR Marfă », dont le cabinet de Bucarest s’engage à vendre le paquet majoritaire d’actions.



    Voici d’autres détails concernant notamment le secteur énergétique : prévues initialement pour cette année, les grandes cotations en bourse ont été reportées à l’automne 2014. C’est le cas, entre autres, de la compagnie Nuclearelectrica, productrice d’énergie électrique et thermique ainsi que de combustible nucléaire. Avant la fin septembre 2014, l’Etat, qui détient environ 90% des actions de cette compagnie, lancera un premier appel d’offres public pour 10% des actions. Pour la compagnie Romgaz — qui est le plus grand gazier de Roumanie, placé actuellement sous le contrôle du ministère de l’Economie, l’appel d’offres sera lancé fin octobre prochain.



    Avant l’été 2014, un appel d’offres public sera également lancé pour la privatisation de la société Electrica — une des plus importantes du domaine de l’approvisionnement en électricité et des services énergétiques de Roumanie. Reste à résoudre le problème de 5 des 6 sociétés régionales de maintenance de la compagnie. 3 d’entre elles, sinon toutes, devraient être séparées de la société Electrica et fermées. Quant à Hidroelectrica — qui occupe la 7e place parmi les 100 sociétés roumaines les plus profitables — une décision gouvernementale sera adoptée en vue de coter en bourse un paquet de10% des actions, le processus étant prévu fin juin 2014. (trad. : Dominique)

  • Relations entre la Roumanie et le FMI

    Relations entre la Roumanie et le FMI


    Comme nous vous avons déjà informé dans nos précédentes émissions, la Roumanie a conclu au printemps 2011 un accord du type préventif avec le Fonds Monétaire International et la Commission Européenne après un autre accord de type stand-by d’un montant de quelques 20 milliards d’euros qui s’est achevé avec succès fin mars 2011.


    L’accord de type préventif qui devrait parvenir à échéance en mars 2013 stipule le déblocage d’environs 5 milliards d’euros dont 3,5 milliards du FMI mais seulement au cas où la Roumanie aurait besoin d’urgence de financement international, ce qui n’est pas le cas actuellement. Néanmoins, la délégation du FMI qui s’est trouvée en visite à Bucarest pendant la seconde moitié du mois de janvier dernier va demander au Conseil d’Administration du Fonds de prolonger de trois mois l’accord préventif stand-by conclu avec notre pays, comme déclarait le chef de la mission du FMI en Roumanie, Erik de Vrijer.


    Compte tenu du fait que quelques cibles ont été ratées fin 2012 et puisqu’il y a eu des retards particulièrement en matière de reformes structurelles, le Gouvernement roumain a demandé une prolongation de trois mois pour bénéficier davantage de temps pour implémenter l’intégralité des mesures convenues lors de la dernière mission, la sixième, en été 2012.


    « Nous sommes tombés d’accord de demander au board du FMI d’accorder cette prolongation » – a dit Erik de Vrijer mentionnant qu’il y a eu quelques échecs dans l’atteinte des cibles à la fin de 2012 et des retards dans les réformes structurelles dont le déficit budgétaire en liquide, les arriérés du budget d’Etat et des autorités locales ainsi que des actifs extérieurs nets de la Banque Nationale Roumaine tout en soulignant, pourtant, que la Roumanie a rempli la cible la plus importante, celle concernant le déficit budgétaire calculé selon le méthode européenne, les estimations montrant que celui-ci a été en 2012 de moins de 3% du PIB.


    Parlant de ce qui a été convenu avec la délégation du FMI, le premier ministre roumain, Victor Ponta a dit : « Premièrement, nous avons convenu la forma finale du budget d’Etat et le budget des assurances sociales 2013, un budget apprécié par nos partenaires comme un budget réaliste et qui prévoit, selon la vision qui l’a guidé, les montants nécessaires tant pour couvrir les dépenses avec les salaires et les pensions de retraite que les dépenses d’investissement à un niveau accru vis-à-vis de l’année précédente et le co-financement des programmes utilisant des fonds européens et d’autres crédits remboursables. »


    Le premier ministre roumain a , aussi, exprimé sa satisfaction devant l’acceptation de la délégation du FMI de proposer au conseil d’administration de l’institution de prolonger l’accord de trois mois : « Pratiquement, c’est une bonne nouvelle pour la Roumanie car notre pays continue de se trouver sous le parapluie de l’accord avec le FMI ce qui nous permet de consolider les résultats obtenus fin 2012 et au début de cette année, des résultats qui représentent notre stabilité du cour-taux de change, de la confiance des investisseurs, surtout de ceux qui prêtent à l’Etat, des résultats tout à fait remarquables à l’égard des coûts que le gouvernement roumain doit payer pour ses emprunts des marchés privés. C’est la raison pour laquelle l’accord de principe concernant cette prolongation du côté du FMI est une bonne chose et nous permettra d’accélérer la cadence des reformes structurelles assumées par les gouvernements de Roumanie, jusqu’à la réunion de son conseil d’administration, à savoir la présence en Bourse de 15% de TRANSGAZ, le choix d’un consultant pour la présence en Bourse de 15% de la Compagnie Energétique OLTENIA, 10% de NUCLEAROELECTRICA et 15% de ROMGAZ. Pratiquement, dans ces sociétés où l’Etat demeure majoritaire, par la présence en Bourse de leurs paquets d’actions de 10-15%, on permet non pas seulement la présence du capital privé mais, également, l’utilisation des sommes ainsi obtenues pour des investissements. »


    En égale mesure, on va continuer la privatisation de la société de distribution ELECTRICA et on va achever la privatisation de la compagnie de transport ferroviaire de marchandises CFR MARFA. Le premier ministre a exprimé son désir que, l’été prochain, la Roumanie entame les négociations pour un nouvel accord, lui aussi de type préventif, après l’avis préalable de la Commission Européenne.


    D’ailleurs, le conseiller du gouverneur de la Banque Nationale Roumaine, Adrian Vasilescu, a plaidé pour la poursuite des accords par lesquels les bailleurs de fonds internationaux offrent l’assistance en vue du redressement économique: « Les marchés regardent d’autres yeux lorsqu’un accord existe avec le FMI. Si l’argent est nécessaire à un moment donné, la cassation de payements ne survient car on fait appel aux trois partenaires , FMI, CE et BM, qui fournissent l’argent. Mon pont de vue personnel est que nous continuons d’avoir besoin de ce feu vert. C’est une illusion de mieux vivre sans accord avec le FMI, la Roumanie a besoin de passer cet examen, d’être examiné chaque année à l’égard des performances économiques car, à nous seuls, nous ne sommes pas capables de performances. »


    Pour 2013, le FMI estime une croissance de l’économie roumaine de 1,5%. « La croissance économique de la Roumanie a été basse ces dernières années, sans être absente. Ceci n’est pas suffisant pour votre pays, il devrait y avoir une croissance de 3-4%. Nous estimons une croissance légère, lente, de 3% jusqu’en 2016 « – a affirmé le chef de la délégation du FMI, Erik de Vrijer. (trad.: Costin Grigore)

  • Finanzmaßnahmen der Bukarester Regierung

    Finanzmaßnahmen der Bukarester Regierung


    Eine gemeinsame Mission des IWF, der Europäischen Kommission und der Weltbank hält sich in Bukarest auf, um das Abkommen vorbeugender Art, das mit Rumänien unterzeichnet wurde, neu zu bewerten. Bis zum 29. Januar werden die internationalen Experten gemeinsam mit den rumänischen Behörden die neuesten Entwicklungen der Wirtschaft und den diesjährigen Haushalt analysieren.


    Rumänien verzeichnet Verzögerungen in der Erfüllung der Auflagen, die es vor seinem internationalen Kreditgebern bekommen hat und möchte eine Zusatzzeit von eingen Monaten, um die Situation zu beheben und um Gespräche hinsichtlich eines neuen Abkommens zu starten. So lautet der Standpunkt Rumäniens, der neulich von Ministerpräsident Victor Ponta geäu‎ßert wurde.



    Die Rückstände der Regierung beziehen sich hauptsächlich auf die Privatisierung der gro‎ßen staatlichen Unternehmen und auf die Durchführung des Privatisierungsprozesses einiger Gesellschaften, wie der nationalen Fluggesellschaft Tarom, des Energiekomplexes Oltenia oder des Stromanbieters Electrica. Weitere Rückstände beziehen sich auf die Verbesserung des Steuerwesens, die Steigerung der Ausgabeneffizienz im Gesundheitswesen, die Währungspolitik der Landesbank oder die Überwachungsma‎ßnahmen des rumänsichen Bankensystems.




    Eine gemeinsame Mission des IWF, der Europäischen Kommission und der Weltbank hält sich dieser Tage in Bukarest auf, um das 5 Milliarden-Euro-Abkommen vorbeugender Art, das mit Rumänien im Frühling 2011 unterzeichnet wurde, neu zu bewerten und all diese Themen zu besprechen. Laut dem delegierten Haushaltsminister Liviu Voinea sollen in der ersten Woche des Besuches, die am 29. Januar endet, die Gespräche über die Haushaltsvorlage 2013 zu Ende kommen. Es werden keine beträchtlichen Probleme erwartet, so die rumänsichen Behörden, es wurden alle Vereinbarungen betreffend das Haushaltsdefizit und die öffentlichen Ausgaben eingehalten.



    Liviu Voinea betonte, dass der diesjährige Haushalt kein Sparhaushalt mehr sein wird, sondern ein Entwicklungshaushalt, nachdem 2010 und 2011, das Haushaltsdefizit zum Nachteil des Lebensstandards der Bevölkerung reduziert wurde. 2012 hat man die uneffizienten Investitionen und die Verluste des öffentlichen Systems reduziert.



    Wirtschaftsanalyst Dan Suciu ist der Meinung, dass über die Erfüllung der eingegangenen Verpflichtungen hinaus, eine Weitere Herausforderung aufrecht bleibt, und zwar die der Rückkehr Rumäniens zu einem tragfähigen Wirtschaftswachstum. Das ist auch der Zweck aller Reformen der letzen Jahre.



    Vertreter der Exekutive werden mit den internationalen Finanzanstalten Gespräche über die Opportunität und über die Auswirkungen einiger Ma‎ßnahmen führen, die die bukarester Regierung bereits angekündigt hat, wir z.B. die Anhebung des Mindeslohnes aus Wirtschaftsebene von 700 Lei (155 Euro) auf 800 Lei (177 Euro) oder die Senkung der MWSt. bei Grundnahrungsmitteln. Arbeitsministerin, Mariana Câmpeanu, hat erklärt, dass die einzigen Renten- und Lohnerhöhungen, diejenigen sind, die die regierende Sozial-Liberale-Union, im Wahlkampf, bereits angekündigt hat — die Angleichung der Renten mit der Inflationsrate von 4% und die Wiederherstellung der Gehälter der öffentlichen Bediensteten bis auf den Stand von 2010.