Tag: Francois Hollande

  • Nachrichten 24.01.2019

    Nachrichten 24.01.2019

    Bukarest: Rumänien hat am Donnerstag den 160. Jahrestag seit der Vereinigung der rumänischen Fürstentümer Moldau und der Walachei gefeiert. Am 24. Januar 1859 war der bereits zum Fürsten der Moldau gewählte Alexandru Ioan Cuza von der Bukarester Wahlversammlung einstimmig auch zum Herrscher über die Walachei gewählt worden. So wurde Cuza zum Fürsten der vereinigten Rumänischen Fürstentümer ausgerufen. Drei Jahre später, am 24. Januar 1862, wurde die Vereinigung der rumänischen Fürstentümer auch international anerkannt und der somit entstandene Staat bekam den Namen Rumänien. 59 Jahre später, im Jahr 1918 wurde der moderne Staat Rumänien durch die Vereinigung des Rumänischen Königreichs mit Bessarabien (Basarabia), der Bukowina (Bucovina) und Siebenbürgen (Transilvania) gegründet. Die Herrscherzeit Cuzas gilt aufgrund der eingeleiteten radikalen Reformen als Beginn der Moderne in Rumänien.


    Bei der Patriarchalischen Kathedrale in Bukarest wurden die Schöpfer der Vereinigung von 1859 durch einen Gottessdienst erwähnt. Bei der Statue des Fürsten Cuza wurden Blumenkränze gelegt. Im Pariarchalischen Palast haben wissenschaftliche Konferenzen stattgefunden, wo Staatspräsident Klaus Iohannis erklärte, im Jahre 1859 umarmten die Rumänischen Fürstentümer die europäischen Werte und starteten den Modernisierungs- und Stärkungsprozess des Staates. Im Jahre 2019 kann das Schicksal Rumäniens von der EU als Projekt des Friedens, des Wohlstands, der Sicherheit, der Gleichheit und Kohäsion für ihre Bürger nicht mehr getrennt werden. Die Rumänen nähern sich seit 160 Jahren den humanistischen Grundwerten Europas durch die Gründung eines Staates der Gesetze, der Demokratie, der Menschenwürde, der Freiheit und Gleichheit, fügte der Staatschef hinzu. Die rumänische Premierministerin Viorica Dancila erklärte, die Zelebrierung der Vereinigung nicht nur im Land sondern auch in Brüssel, sei eine Bestätigung der Tatsache, dass das rumänische Volk immer die Kraft und Weisheit hatte den richtigen Weg zu wählen. Besondere Feierlichkeiten haben auch in Iasi, einer Stadt die am Mittwoch zur historischen Haupstadt wurde, sowie in der moldawischen Hauptstadt Chisinau, stattgefunden.



    Brüssel: Die rumänische Premierministerin Viorica Dancila hat am Donnerstag in Brüssel in der Plenartagung des Europäischen Wirtschafts- und Sozialausschusses die Prioritäten der rumänischen EU-Ratspräsidentschaft vorgestellt. Eine kräftige und zusammenhaltende Union ist die Antwort mit der Rumänien vor den europäischen Bürgern kommt. Rumänien fördere das Motto Kohäsion, ein europäischer gemeinsamer Wert. Die gemeinsame Kohäsions- und Landwirtschaftspolitiken müssen die bedeutendsten Investitionspolitiken der Union bleiben. Viorica Dancila sagte desweiteren, Rumänien werde die Förderung der Maßnahmen für das Ansteigen der Kompetitivität und Förderung der Konnektivität und der Digitalisierung, der Anspornung des Unternehmergeistes und der Konsolidierung der Industriepolitik unter der Luppe haben. Die rumänische Premierministerin fügte hinzu, Rumänien beteilige sich an der Umsetzung der Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung.



    Paris: Der ehemalige französische Präsident François Hollande und Chefs von diplomatischen Missionen aus den EU- und OECD-Ländern haben am Mittwoch die Werkstatt des rumänischen Bildhauers Constantin Brâncuşi besucht. Sie haben ebenfalls die Werke anderer rumänischen Künstler, die im Pompidou-Zentrum in Paris ausgestellt sind, besichtigt, so eine Mitteilung der Botschaft an die Presseagentur AGERPRES. Im Pompidou-Zentrum sind Werke von Mihai Olos, Ciprian Mureşan, Şerban Savu, Adrian Ghenie. Andrei Cadere, Victor Brauner, Cornel Brudaşcu, Marcel Iancu, Eli Lotar, Tristan Tzara, Geta Brătescu, Mircea Cantor ausgestellt. Der französische Ex-präsident Hollande ist derjenige, der zusammen mit dem rumänischen Staatschef Iohannis den Start der Saisson Rumänien-Frankreich gegeben hat.



    Bukarest: Rumänien setzt sich mit einer Grippeepidemie auseinander. Die medizinischen Behörden warnen, dass Impfungen die wirksamste Schutzmaßnahme gegen das Grippevirus sind. Die Anzahl der durch die Grippe verursachten Todesfälle liegt in diesem Winter bei 34. Kinder sind am stärksten von der Krankheit betroffen. Das Bildungsministerium hat deshalb beschlossen, dass die Schulen und Kindergärten am Freitag geschlossen bleiben.

  • 24.01.2019

    24.01.2019

    Union – De nombreux événements religieux et militaires sont organisés ces jours-ci en Roumanie, pour marquer les 160 ans depuis l’Union des Principautés roumaines. Le 24 janvier 1859, les Assemblées électives de Moldavie et de Valachie ont désigné le même prince régnant, Alexandru Ioan Cuza. Ce moment a été suivi par un ample processus de modernisation du nouvel Etat créé. Lors d’une allocution présentée ce jeudi au Palais du Patriarcat de Bucarest, le président Klaus Iohannis a déclaré que l’année 1859 a marqué le début d’un processus de modernisation et d’européanisation des principautés roumaines. En 2019, a continué M. Iohannis, le destin de la Roumanie ne peut plus être envisagé séparément de celui de l’Europe (…). Cela fait 160 ans que les Roumains n’arrêtent pas de rapprocher les valeurs humanistes fondamentales a-t-il lancé. Pour sa part, la première ministre, Viorica Dancila a affirmé dans un message que la célébration de l’Union des Principautés roumaines non seulement en Roumanie, mais aussi à Bruxelles, vient comme une confirmation de la sagesse et de la force du peuple roumain de bien choisir. Des commémorations ont lieu aussi à Iasi et dans d’autres villes importantes de Roumanie, tout comme dans la capitale moldave, Chisinau.

    Bruxelles – La première ministre roumaine, Viorica Dancila, a présenté jeudi, à Bruxelles, les priorités de la présidence roumaine du Conseil de l’UE à la réunion plénière du Comité économique et social européen. Une union forte, fondée sur la cohésion est la priorité que se donne la Roumanie devant les citoyens européens. Aux dires de Mme Dancila, la politique de cohésion et la PAC doivent rester les principales directions de financement de l’UE. La Roumanie suivra de près les efforts censés promouvoir les mesures à mettre en place pour accroître la compétitivité, pour encourager la numérisation, l’entrepreneuriat ou encore la politique industrielle, a tenu à préciser la responsable roumaine. Par ailleurs, Bucarest est prêt à s’impliquer à la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable.

    Grippe – En Roumanie, le bilan des victimes de la grippe s’est alourdi à 34. Les autorités sanitaires avertissent que le pays est au bord de l’épidémie et que la vaccination demeure la meilleure solution pour se protéger. Pour limiter la propagation du virus, le Ministère de la Santé a décidé de suspendre les cours pour les élèves du cycle pré-universitaire le vendredi, 25 janvier, dans le contexte où le jeudi, 24 janvier, est férié. Saison France-Roumanie – L’ancien président français, François Hollande et d’autres responsables et diplomates des pays membres de l’UE et de la mission de l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE), ont visité mercredi l’atelier du sculpteur roumain, Constantin Brancusi et d’autres ouvrages des artistes roumains exposés au Centre Georges Pompidou de Paris. Parmi ceux-ci, mentionnons Adrian Ghenie, Victor Brauner, Cornel Brudascu, Tristan Tzara ou encore Mircea Cantor. La visite a figuré à l’agenda de la Saison culturelle France- Roumanie, inaugurée le 27 novembre dernier, à Paris, par le président français, Emmanuel Macron et son homologue roumain, Klaus Iohannis.

    Tennis – Le jeune tennisman roumain, Filip Jianu, 17 ans, s’est qualifié jeudi dans les demi-finales du concours de simple juniors de l’Open australien, premier tournoi de Grand Chelem de l’année. Le Roumain s’est imposé face à l’Américain, Cannon Kingsley et s’apprête à rencontrer un autre Américain, Emilio Nava. Par ailleurs, Filip Jianu fait équipe avec l’Espagnol Nicolas Alvarez Varona contre les Américains Cannon Kingsley/Emilio Nava dans les demi-finales de double qui ont lieu ce jeudi. Rappelons-le, la Roumaine Simona Halep, principale favorite du concours, a été éliminée dans les huitièmes de finale de Melbourne et du coup, elle sera détrônée à partir de lundi du sommet du classement mondial.

    Météo – Le temps demeure morose et le ciel nuageux partout en Roumanie et les pluies touchent notamment les régions collinaires et de montagne du sud du territoire. Il neige sur l’est et sur les sommets des Carpates orientales où les rafales peuvent dépasser les 70 km à l’heure. La pluie et la giboulée s’emparent en ce jeudi des Monts du Banat et des Carpates méridionales, tandis que des chutes de neige sont signalées en altitude. Le verglas est présent dans le sud et le sud-est du territoire où le trafic se déroule à ralenti pour éviter les collisions. Une route nationale a été fermée pour éviter les accidents. Les météorologues ont placé plusieurs régions de la Roumanie en alerte jaune ou orange au verglas. Par ailleurs, le brouillard s’est emparé d’un tronçon d’autoroute au centre de la Roumanie. Les températures maximales vont de -8 à 11 degrés. 0 degrés à midi, à Bucarest.

  • EU-Außenministertreffen: Europa der Geschwindigkeiten auch im Verteidigungsbereich?

    EU-Außenministertreffen: Europa der Geschwindigkeiten auch im Verteidigungsbereich?

    Die Au‎ßen- und Verteidigungsminister der EU-Staaten haben am Montag in Brüssel die Basis eines Führungszentrums für militärische Auslandseinsätze gelegt. Ihm sollen zunächst die militärischen Ausbildungsmissionen der EU in Mali, Somalia und der Zentralafrikanischen Republik unterstellt werden. Die EU-Au‎ßenminister besprachen die Beziehung zwischen der Union und Ägypten. Angegangen wurden Themen der Wirtschaft und politischen Entwicklung dieses Landes, die Ziele Brüssels und Kairos im Friedensprozess im Nahen Osten sowie die Lage in Libyen und Syrien. Die EU-Au‎ßenbeauftragte Federica Mogherini gab hinsichtlich Syrien bekannt, dass eine Konferenz in Brüssel in April stattfinden werde, wo über den Wiederaufbau des Staates debattiert werden soll.



    Vor dem heutigen, sehr komplizierten geopolitischen Hintergrund schenken die Staats- und Regierungschefs der EU der Verteidigung mehr Aufmerksamkeit. In den letzten Tagen sprach man sehr viel über eine Wiederankurbelung des gemeinschaftlichen Projektes, nach dem Beschluss Gro‎ßbritanniens, die EU zu verlassen. Man bemerkt ebenfalls, dass die populistischen Ideen und Parteien, die für die Auflösung des europäischen Blocks plädieren, immer mehrere Anhänger gewinnen. Gesprochen wurde auch über ein Europa verschiedener Geschwindigkeiten, in dem eine intensive Zusammenarbeit im Bereich Verteidigung notwendig ist.



    Europa könne sich durch diesen Bereich neuprofilieren, erklärte am Montag der französische Staatschef François Hollande, der in einem luxuriösen Dekor des Versailler Schlosses die deutsche Bundeskanzlerin Angela Merkel, den spanischen Premier Mariano Rajoy und den italienischen Ministerpräsidenten Paolo Gentiloni empfing. Als Ursache des neuen Vorsto‎ßes nannte Hollande die Wahl von Donald Trump an die Spitze der Vereinigten Staaten. Trump habe mehrfach sein Misstrauen gegenüber der EU und der NATO ausgedrückt. Hinzu komme der unermessliche Ehrgeiz Russlands.



    Die Idee der europäischen Zusammenarbeit ist willkommen, doch die Art und Weise, in der sie konzipiert ist, führt zu Unzufriedenheit. Daran könnten nur bestimmte Staaten, die in einem sogenannten harten Kern gruppiert sind, teilnehmen. Die osteuropäischen Mitgliedsstaaten, die weniger entwickelt sind, könnten für eine Zeit am Rande bleiben. Frankreichs Präsident François Hollande erklärte, Einheit bedeute nicht Einheitlichkeit. Er fügte hinzu, einige Länder könnten weiter und schneller fortschreiten. Die Zusammenarbeit soll durch die Verstärkung der wirtschaftlichen und der Währungsunion, durch die fiskale und soziale Anpassung oder durch gemeinsame Projekte für die Jugend und Kultur ausgeweitet werden. Die deutsche Bundeskanzlerin Angela Merkel meinte, die Europäer sollten den Mut haben, zu akzeptieren, dass einige Länder schneller als andere fortschreiten. Die entwickelten Staaten werden aber weiterhin für die anderen offen bleiben, so Merkel.

  • The meeting of the EU foreign ministers

    The meeting of the EU foreign ministers

    Defence and Foreign Ministers of EU states, including Romania, who gathered in Brussels on Monday, laid the foundations for “the general military headquarters” of the European Union, whose prerogatives will include, among other things, the planning and operational management of non-combat missions, such as those unfolding in the Republic of Congo, Mali and Somalia. The EU foreign ministers have also approached the EU-Egypt relations.



    Apart from tackling issues related to that country’ economic and political development, the ministers discussed some of the objectives that both Brussels and Cairo have earlier pledged to meet as part of the Middle East peace process, as well as the situation in Libya and Syria, respectively.



    As regards Syria, the EU High Commissioner for Foreign Affairs and Security Policy, Federica Mogherini, has announced that in April, Brussels will host a conference laying emphasis on the post-conflict reconstruction of a country that has weathered far too many storms. The defence field, which is considered of utmost importance in the current extremely complicated geo-political context, is in the focus of attention of the EU heads of state and government! In recent times there has been much talk on re-launching the community project, against the backdrop of Great Britain’s decision to leave the Union, on the one hand, and of the exponential growth of populist ideas and implicitly of populist parties, whose leaders go to such lengths as to plead for the dismantling of the European community bloc, on the other.



    Therefore, one of the scenarios that are currently being circulated refers to the idea of a Europe developing at different speeds. Its engine should be intense but drastically limited cooperation in the defence field. Europe can re-launch itself through this sector, French President Francois Hollande said on Monday, when he received the German Chancellor Angela Merkel, Spanish Prime Minister Mariano Rajoy and Italian Prime Minister Paolo Gentiloni at the Versailles Palace. According to the French President, some of the reasons which call for such a measure include the recent election as US President of Donald Trump, who has made an increasing number of declarations stating his lack of confidence in the EU and NATO, on the one hand, and Russia’s huge ambitions, on the other.



    Whether the idea of boosting European cooperation is welcome, the way it is conceived definitely stirs discontent: only some member states might be involved, making up a so-called “hard core”, somehow sidelining, at least temporarily, the East European countries, considered to be less developed. “Unity is not uniformity”, the French President François Hollande has underlined, adding that some countries can go faster and farther away, apart from defence, as cooperation might later be boosted by deepening the economic and monetary Union, by means of harmonizing fiscal legislation and social standards or by developing joint programs devoted to youth and culture. In turn, Angela Merkel also believes the Europeans should have the courage to accept that some countries are advancing at a faster pace than others, without however shutting out those lagging behind. (Translated by D. Vijeu)

  • Ein Europa mehrerer Geschwindigkeiten

    Ein Europa mehrerer Geschwindigkeiten

    Die Information sorgt für Schüttelfrost im Osten: Brüssel wünsche eine differenzierte Europäische Union. Anders gesagt, gebe es die Möglichkeit, dass ein Teil der Mitgliedsstaaten sich zusammen schneller entwickeln, ohne dass der Rest der EU-Staaten den Schritt halten muss.




    Frankreichs Präsident François Hollande gab bekannt, die Chefs der vier großen EU-Staaten Deutschland, Italien und Spanien werden am 6. März zusammenkommen, um über die notwendigen Reformen in der Union zu sprechen. François Hollande, der von Euractiv.com zitiert wird, fügte hinzu, es geht nicht darum, dass wir vier bestimmen werden, wie Europa aussehen muss. Wir sind vier bedeutende Länder und wir haben die Aufgabe, zu beschließen, was wir mit den anderen zusammen tun . Ein Europa der unterschiedlichen Geschwindigkeiten in gibt es schon! Laut einer rumänisichen Journalistin, die für Adevărul schreibt, sei die EU aus drei Arten von Ländern gebildet, einige sind Mitglieder des Euroraums, andere nicht. Einige Staaten sind Mitglieder des Schengener Abkommens, andere sind non-Schengen usw. Rumänien gehört zur letzten Kategorie und hat sich gar nicht bemüht, einen Platz nach vorne zu erreichen, so wie andere Ostländer gemacht haben, und glaubte vielleicht, dass die EU- und NATO-Zugehörigkeit den Platz der Außenpolitik und der Diplomatie einnehmen könnte.




    Nachdem der Präsident der EU-Kommission Jean-Claude Juncker, seine Vision über das Europa nach dem Brexit, vorgestellt hat, forderte der sozial-demokratische Euro-Abgeordnete Victor Boştinaru den Staatschef Klaus Iohannis auf, eine Debatte mit den Vertretern Rumäniens im Europäischen Parlament und im rumänischen Parlament zu organisieren, die das Thema Europa der unterschiedlichen Geschwindigkeiten angehen soll. Dieses Konzept vertiefe die schon existierenden Differenzen zwischen den Ländern, die zum harten Kern gehören, und den anderen europäischen Staaten. Die Euroabgeordnete Renate Weber von der ALDE, erklärte, es sei nicht normal, dass Klaus Iohannis nach Büssel fahre und alleine bestimmen soll. Die liberale Adina Vălean sagte, ein Europa der verschiedenen Geschwindigkeiten, könnte in der EU zu Missverständnissen und Unzufriedenheiten führen. Heute solle die EU einig und koherenter vor den Drohungen und Herausforderungen sein.



    Monica Macovei, die keiner Partei angeschlossen ist, meint, die EU müsse sich reformieren; gleichzeitig sei eine größere Transparenz nötig, das Geld solle sorgfölltiger ausgegeben werden und natürlich es soll keine EU der unterschiedlichen Geschwindigkeiten geben. Im vergangenen Herbst wurde in Bukarest eine Präsidialkommission gegründet, die ein Landesprojekt herausarbeiten soll. Der Landeschef erklärte damals, das Projekt werde in einem Jahr finalisiert. Die Freunde und die Feinde müssen Verständnisvoll sein und warten, bis das Landespropjekt beendet wird, schlussfolgerte die Journalistin von Adevărul, die wir am Anfang des Beitrags erwähnt haben.

  • Spre o Europă cu două viteze?

    Spre o Europă cu două viteze?

    Informaţia provoacă frisoane
    în Est: Bruxelles-ul ar avea în vedere o
    Uniune Europeană cu două viteze sau, mai puţin depreciativ spus, o Europă
    diferenţiată. Cu alte cuvinte, ar exista posibilitatea ca o parte din statele
    membre să se dezvolte împreună mai rapid, fără ca restul blocului comunitar să
    fie nevoit să urmeze acelaşi ritm.

    În semn că aşa ar sta lucrurile, recent,
    preşedintele Franţei, François Hollande, a anunţat că, pe 6 martie, el şi
    liderii Germaniei, Italiei şi Spaniei se vor întâlni la Versailles, pentru a
    discuta despre reformele necesare Uniunii. Citat de Euractiv.com, liderul de la
    Elysée a simţit nevoia să menţioneze că: nu e vorba să decidem noi patru
    cum trebuie să arate Europa. Suntem, totuşi, patru ţări importante şi ne revine
    nouă să decidem ce vrem să facem cu celelalte, împreună.

    O Europă cu mai
    multe viteze există, însă, deja! Potrivit unei cunoscute editorialiste a
    cotidianului Adevărul de la
    Bucureşti, prin forţa
    împrejurărilor, blocul comunitar este alcătuit din ţări de prima, a doua şi chiar
    a treia mână – unele euro, altele non-euro, unele Schengen, altele non-Schengen
    etc. România – spune ziarista – face parte din ultima categorie, cu observaţia
    că, spre deosebire de vecinii estici, nici nu s-a străduit să obţină un loc mai în faţă, crezând că
    apartanenţa la UE şi la NATO ţine loc de program de politică externă şi de
    diplomaţie.

    Pe fondul prezentării, miercuri, de către preşedintele Comisiei
    Europene, Jean-Claude Juncker, a viziunii sale privind Europa post-Brexit, europarlamentarul
    social-democrat Victor Boştinaru, i-a solicitat preşedintelui Klaus Iohannis să
    organizeze o dezbatere cu reprezentanţii României în Parlamentul European, dar şi
    în Parlamentul naţional pe marginea conceptului Europei cu două viteze, care ar
    adânci decalajele între ţările din
    aşa-numitul nucleu tare şi celelalte state
    europene. Chiar dacă preşedintele Iohannis are atribuţii
    constituţionale, nu este normal ca el să meargă la Bruxelles şi să decidă de
    unul singur – a atras atenţia şi europarlamentarul ALDE Renate Weber.

    Liberala
    Adina Vălean spune că o Europă cu mai multe viteze ar crea disensiuni în
    interiorul unei Uniuni care ar trebui, dimpotrivă, să fie mai unită şi mai
    coerentă în faţa ameninţărilor şi provocărilor vremurilor în care trăim. La
    rândul ei, independenta Monica Macovei crede că, da, UE are nevoie să se
    reformeze; da, este
    necesară o mai mare transparenţă;
    da, banii trebuie cheltuiţi cu grijă; dar nu, în niciun caz, Uniunea nu
    poate fi cu două viteze.

    Toamna trecută, la Bucureşti a fost înfiinţată o
    comisie prezidenţială care să elaboreze un proiect de ţară. Şeful statului a
    anunţat, atunci, că acesta va fi finalizat în aproximativ un an. Amicii şi inamicii vor fi
    înţelegători să aştepte până se va finaliza ! – conchide aceeaşi editorialistă
    de la Adevărul.

  • UE, încotro?

    UE, încotro?


    Amplificarea populismului în Europa, criza provocată de ieşirea Marii Britanii din Uniune, riscul ca noua administraţie de la Washington să rupă acordurile comerciale cu europenii sunt identificate de cancelarul german, Angela Merkel, şi preşedintele Franţei, Francois Hollande, drept ameninţări majore pentru stabilitatea continentului. Acestor provocări nu le vom putea face faţă decât dacă statele membre, instituţiile europene, principalii actori economici şi societatea civilă colaborează pentru asigurarea stabilităţii şi prosperităţii cetăţenilor europeni, spun cei doi lideri, făcând apel la unitate. În toată această ecuaţie, şi partea financiară joacă un rol esenţial.



    Uniunea economică şi monetară presupune coordonarea politicilor economice şi fiscale ale ţărilor membre, o politică monetară comună şi circulaţia unei singure monede: euro. Dar, deşi toate cele 28 de state ale Uniunii participă la uniunea economică, unele dintre ele au dus integrarea mai departe prin adoptarea monedei unice, formând aşa-numita zonă euro, în timp ce altele – Marea Britanie, Danemarca şi Suedia – nu au fost de acord să treacă la euro. În acelaşi timp, ţările care se află în proces de adoptare nu dau semne că s-ar grăbi prea tare.



    Criza a scos la suprafaţă defectele euro, vine cu o posibilă explicaţie economistul Joseph E. Stiglitz, laureat al Premiului Nobel. Stiglitz arată modul în care, în opinia sa, structura actuală conduce mai degrabă la divergenţă decât la convergenţă – este vorba de rezultatul direct al provocărilor existenţei unui grup divers de ţări cu o monedă comună – euro, în condiţiile în care integrarea economică este depăşită de cea politică. Din punct de vedere economic, perspectivele par îmbucurătoare.



    Potrivit prognozei de iarnă dată publicităţii în aceste zile de către Comisia Europeană, aşteptările cele mai importante spun, în esenţă, că toate economiile din UE vor creşte în 2017 şi 2018, pentru prima dată în ultimii nouă ani. “Economia europeană şi-a dovedit rezistenţa în faţa numeroaselor şocuri cu care s-a confruntat pe parcursul anului trecut. Creşterea economică se menţine, iar nivelul şomajului şi al deficitelor este în scădere. Totuşi, cu un grad de nesiguranţă atât de ridicat, este mai important ca oricând să utilizăm toate instrumentele politice pentru a sprijini creşterea economică”, consideră Pierre Moscovici, comisar pentru afaceri economice şi financiare, impozitare şi vamă. Anul trecut, explică, Moscovici: “PIB-ul UE a progresat cu 1,9% şi va continua să crească într-un ritm de 1,8% atât în 2017, cât şi în 2018. Creşterea în zona euro va fi de 1,6% în acest an şi 1,8% anul viitor, după 1,7% în 2016. Asta înseamnă că este al cincilea an la rând când creşterea UE rezistă şi asta în ciuda numeroaselor provocări cu care ne-am confruntat cu toţii. E vorba de provocări atât interne cât şi internaţionale. Anul trecut, UE a trebuit să facă faţă celui mai scăzut ritm de creştere a activităţii şi comerţului mondial din ultimii 7 ani. Însă a trebuit să facă faţă şi unor tensiuni geopolitice şi, bineînţeles, atentatelor teroriste cunoscute pe teritoriul nostru şi în alte părţi ale lumii. Deci, contextul este dificil şi, în plus, avem şi alte provocări – mă gândesc la votul britanic pentru ieşirea din UE şi la o nemulţumire sau chiar la tensiuni majore din partea cetăţenilor europeni împotriva mondializării. Acest lucru s-a văzut prin nişte alegeri care vor avea nişte efecte asupra economiei mondiale. Şi, să nu uităm, bineînţeles, fragilitatea sistemului bancar căreia trebuie să-i facem faţă.”



    Coeziunea UE pare să fie afectată atât de hotărârea luată de Marea Britanie de a părăsi UE, cât şi de alte decizii, precum cea de impunere a unor cote de refugiaţi, remarcă analiştii. Din ce în ce mai des, presa publică comentarii despre posibilitatea ca noi ţări să părăsească blocul comunitar. Iar în anul electoral 2017 acesta pare să fie un subiect de campanie pentru diferite partide.



    Eurodeputatul Iuliu Winkler, vicepreşedintele Comisiei pentru Comerţ Internaţional din Parlamentul European, explică: “Măsurile împotriva crizei evident că au deschis uşa populismului, au deschis uşa sau au adâncit anumite falii care existau, dar erau mult mai puţin adânci, poate în urmă cu mai mulţi ani, mă gândesc aici la faliile dintre Est şi Vest, faliile dintre Nord şi Sud în ceea ce priveşte cultura muncii, în ceea ce priveşte disciplina financiară bugetară, dar şi în ceea ce priveşte pur şi simplu reacţia societăţilor din estul Europei, care au trăit 50 de ani de partea greşită a cortinei de fier. Toate aceste lucruri, însă, au primit un avans şi mai mare, au primit o lovitură mare în urmă cu doi ani de zile atunci când criza migraţiei a venit şi a intensificat toate celelalte crize.” Iuliu Winkler aminteşte şi el faptul că 2016 a fost marcat de două evenimente neaşteptate – rezultatul referendumului legat de ieşirea Marii Britanii din UE şi rezultatul alegerilor prezidenţiale dincolo de Atlantic. În plus, spune el, în câteva săptămâni vom vedea anunţul primului ministru Theresa May legat de declanşarea procedurilor privind Brexitul, vor veni mari schimbări şi atunci e greu de crezut că ne putem aştepta la un 2017 liniştit.


  • EU-Reaktionen auf Donald Trumps Interview- Aussagen zu EU und NATO

    EU-Reaktionen auf Donald Trumps Interview- Aussagen zu EU und NATO

    Der neu gewählte US-Präsident Donald Trump hat die Leitlinien seiner Außenpolitik in einem Interview mit der Bild“-Zeitung und der Londoner Times bekanntgegeben. Donald Trump erklärte, er wünsche kräftige Grenzen und gerechte Handelsabkommen für die USA. Er behauptet des weiteren, in Syrien müssten Sicherheitsgebieten gegründet werden. Bundeskanzlerin Angela Merkel habe einen äußerst katastrophalen Fehler gemacht, als sie den syrischen Flüchtlingen erlaubt habe, nach Deutschland zu kommen, fügte Donald Trump hinzu, der dadurch in Deutschland für Unzufriedenheiten sorgte. Die Kritiken des US-Staatchefs haben den Bundesvizekanzler Sigmar Gabriel empört. Dieser antwortete, Amerikas falsche Intervention in den Nahen Osten habe die Flüchtlingskrise ausgelöst.




    Andererseits lobt der designierte US-Präsident den Beschluss Großbritanniens, die EU zu verlassen. Donald Trump meint, mehrere Staaten werden aus der EU austreten. Die europäische Einigkeit sei die beste Verteidigung vor Trumps Kritiken, antwortete Angela Merkel. Sie fügte hinzu, Europa müsse weiterhin für seine eigene Identität durch die Umsetzung einer Politik die den Herausforderungen des 21. Jahrhunderts“ gewachsen sei, kämpfen. Die EU- Staaten müssen gemeinsam den Terrorismus bekämpfen.




    Der französische Präsident François Hollande antwortete, die EU brauche niemanden, der ihr sagen soll, was sie tun müsse. Federica Mogherini, die Hohe Vertreterin der EU für Außen- und Sicherheitspolitik erklärte :




    Wir erwarten eine Partnerschaft, die auf den mit den USA gemeinsamen Interessen beruht. Die Europäische Union führt eine eigene feste, unabhängige und entschiedene Politik durch. Es ist möglich, dass es Divergenzen gibt, wie dies in der Vergangenheit war und auch in Zukunft sein kann. Wir werden sehen, nachdem die neue Administration ihre Arbeit beginnt. so die EU-Außenbeauftragte.




    Donald Trump nannte die NATO obsolet, was für Besorgnis in den Reihen der NATO-Staaten sorgte. Diese widersprechen den von Trump designierten stellvertretenden Verteidigungsminister. Bundesaußenminsiter Frank-Walter Steinmeier antwortete, es sei die Zeit, dass Washington ein besseres Abkommen durch die Erhöhung der Beiträge der NATO-Staaten zum NATO-Haushalt erziele. Zu beobachten sei ebenfalls die Entwicklung der Beziehungen zwischen den USA und Russland. Politkommentatoren meinen, Donald Trump könne die Sanktionen gegen die Russische Föderation mildern.

  • Elections for the Future of Europe

    Elections for the Future of Europe

    The European Commission President Jean-Claude Juncker has stated that the result of the referendum in Italy is disappointing, but not catastrophic. Some 60% of the Italians rejected the reforms proposed by the Prime Minister Matteo Renzi, and the voting was interpreted as a display of Euro-skepticism. In an interview on the Dutch public television, Jean-Claude Juncker voiced worries over the increasing number of those who are turning their backs to European integration and termed the populists ideas as dangerous. Sometimes the responses are not correctly articulated, in spite of the right question. We are living dangerous times, adding that the pro-Europeans do not always have the right solutions, nor do anti-Europeans, Juncker went on to say.



    Juncker admitted that there were colleagues of his in the European Commission who believed that the Union was going to fail as a project, but he voiced his conviction that the European spirit would prevail. According to Jean-Claude Juncker, people will eventually understand that it is better to stay united, rather than repeat the tragic experiences of this continent.



    2017 is going to be a tough year for Europe. The joy triggered by the outcome of the presidential elections in Austria, where the far-right wing lost to the pro-European contender, might dissipate quite rapidly, because of the referendum in Italy. The defeat suffered by the Italian Prime Minister Matteo Renzi is further encouragement to the extremist and euro-skeptic movements. And all this against the background of presidential and parliamentary elections to be held in several European countries. So, the electoral stakes are going to be pretty high in France, Germany and the Netherlands, and very likely in Italy too. The echoes of the anti-elite voting in Italy are being heard all across the EU, because Matteo Renzi was the last of the prime-ministers of the big European states who was still talking about a future of the EU.



    In Germany, Chancellor Angela Merkel is too caught in the domestic political games and she will have to work hard to get support for a fourth term in office. She will have to do that both within her own party, and also at the next year parliamentary elections. In France, Francois Hollande leaving the presidential race left an empty space in the pro-European camp, and Prime Minister Manuel Valls decision to enter the race is no guarantee for success against the National Front and its president Marine Le Pen.



    Great Britain too might see early elections, if Theresa May wants more parliamentary support as a result of the Brexit. As regards the relation between the EU and the US, Jean-Claude Juncker believes that the surprise victory scored by Donald Trump is a threat. According to the EC President, Trump knows nothing about the EU and its mechanisms.


    (Translated by M. Ignatescu)

  • Die Woche 12.09.2016-16.09.2016 im Überblick

    Die Woche 12.09.2016-16.09.2016 im Überblick

    Frankreichs Präsident auf Rumänienbesuch



    Rumäniens Landespräsident Klaus Iohannis und der französische Staatschef François Hollande haben vereinbart, die Zusammenarbeit auf der Ebene des Au‎ßen- und Verteidigungsministeriums auszuweiten. Bukarest und Paris werden auf europäischer Ebene für die EU zusammenarbeiten. Bezüglich der Sicherheit erklärte der rumänische Staatschef Klaus Iohannis, Rumänien unterstütze die Idee der gemeinsamen Verteidigung und fügte hinzu, eine Armee der Union würde die NATO weder schwächen noch verzweifachen. Frankreichs Präsident François Hollande hat sich jahrelang dem Beitritt Rumäniens zum Schengenraum widersetzt. Am Dienstag aber erklärte er, ein möglicher Beitrag Rumäniens an der Sicherheit des Schengenraums solle besprochen werden. Nach den Gesprächen im Cotroceni-Palast, dem rumänischen Präsidialamt, haben Klaus Iohannis und Francois Hollande in Magurele das Forschungszentrum für Kernphysik und Ingenieurswesen in Măgurele bei Bukarest besucht. Dort wird an dem leistungsstärksten Laser der Welt gearbeitet. Präsident Iohannis teilte den französischen Investoren mit, dass sie der rumänischen Wirtschaft vertrauen können. Seinerseits sagte Frankreichs Staatschef, sein Rumänien-Besuch sei der Beweis der besonderen wirtschaftlichen, kulturellen und wissenschaftlichen Beziehungen zwischen den beiden Ländern. Rumäniens und Frankreichs Verteidigungsminister würden in Zukunft regelmä‎ßig zusammenkommen, um die Partnerschaft in diesem Bereich zu vertiefen, kündigte Hollande ferner an. Hollande und der rumänische Ministerpräsident Dacian Cioloş haben auch die Hubschrauber-Fabrik von Airbus in Ghimbav bei Kronstadt eingeweiht. Der letzte Besuch eines französischen Präsidenten in Bukarest war der von Francois Mitterrand 1991.



    Preise für Haftpflichtversicherungen sinken



    Die rumänischen Stra‎ßen-Spediteure haben am Donnerstag eine Vereinbarung betreffend die Preise der Haftpflichtversicherungen mit der Finanz-Aufsichtsbehörde getroffen. Laut einer Mitteilung der Spediteure würden die Preise der Versicherung drei Mal billiger werden als jetzt. Ein Teil der rumänischen LKW-Spediteure haben am Donnerstag weitgehende Protestaktionen veranstaltet. Über 5.000 Fahrzeuge fuhren in Bukarest auf die Stra‎ßen, weitere 100.000 im ganzen Land, gaben die Fachverbände bekannt. Die Regierung hatte am Mittwoch eine Dringlichkeitsverordnung zur Einfrierung der Haftpflichtversicherungspreise für die kommenden sechs Monate erlassen. Nur zwei der sechs Fachverbände zeigten sich zufrieden mit der Dringlichkeitsverordnung der Regierung bezüglich der Haftpflichtversicherung. Derweil hat die Exekutive am Mittwoch den sogenannten Allgemeinen Masterplan für den Transportbereich in Rumänien verabschiedet. Ressortleiter Sorin Buşe erklärte, der Masterplan sehe den Bau von etwa 6800 Stra‎ßenkilometern vor, darunter gut 1500 Autobahnkilometer. Ferner sollen gut 5000 Schienenkilometer, 15 Flughäfen und 30 Häfen saniert werden.



    Probleme im öffentlichen Wesen



    Die Gefängnisangestellten bereiten Protestaktionen vor. Sie sind unzufrieden, da sie die Beträge nicht erhalten die ihre Kollegen in anderen Anstalten des Systems für Verteidigung und öffentliche Ordnung bereits zugezahlt bekommen. Die Gewerkschaften behaupten, dass die Auswirkung auf den Staatshaushalt nicht gro‎ß sei. Au‎ßerdem könne der diesjährige Haushalt des Gefängnissystems eine eventuelle Anhebung der Gehälter tragen. Die Angestellten initiierten einige Protestaktionen, wie die Weigerung Überstunden zu leisten. Dies würde zur Blockierung der Tätigkeit in den Haftanstalten wegen des Personaldefizits führen. Unzufrieden sind auch die Angestellten des Gesundheitswesens wegen der Entlohnungsunterschiede im öffentlichen System. Sie fordern die Angleichung der Gehälter im Haushaltssystem. Au‎ßerdem fordern sie die Beseitigung der Ungleichmä‎ßigkeiten der Regierungsverordnung, die nur die Gehälter bestimmter Angestelltenkategorien angehoben hat. Die Gewerkschaftler des Gesundheitssystems kündigten an, dass sie nächste Woche die Proteste einleiten werden. Deren Höhepunkt wird ein Generalstreik am 31. Oktober sein. Vorbereitungen auf die Parlamentswahlen



    Diese Woche ist die Frist abgelaufen, in der die im Ausland lebenden Rumänen sich in den Wahlregister einschreiben konnten, um bei den Parlamentswahlen vom 11. Dezember zu wählen. Laut den zentralisierten Daten der Ständigen Wahlbehörde wurden über 10 Tausend Anträge validiert. Davon sind 7.200 der Briefwahl assoziiert. 2.800 der Anträge betreffen die Stimmvergabe in Wahllokalen. Fünf Tage nach Ablauf der besagten Frist, können die Rumänen, die sich für die Briefwahl entschieden haben, online prüfen, ob sie registriert wurden. Nach der Einschreibung ins Wahlregister, werden die Wähler, die sich für die Briefwahl entschieden haben, zuhause, per Post, spätestens 30 Tage vor dem Stichtag, die erforderlichen Unterlagen erhalten.


    Das neue Schuljahr hat begonnen



    Diese Woche haben über drei Millionen Schüler die Schule begonnen. Die Wiederaufnahme des Unterrichts findet dieses Jahr viele Lehrstühle ohne Lehrer. Die Hälfte der Lehranstalten funktioniert ohne Funktionsgenehmigung. Das Schuljahr 2016 -2017 wird 35 Unterrichtswochen haben.



    Misserfolge in der Europa League



    Die beiden rumänischen Teams, die in den Gruppen der Europa League anwesend sind, der Meister Astra Giurgiu und Vizemeister Steaua Bukarest, erzielten Misserfolge bei ihrem Debüt. Astra wurde zuhause mit 2-3, von Austria Wien besiegt. Steaua verlor im Auswärtsspiel 0-2, gegen die Türken von Osmanlispor. In dieser Saison der Europa League wurde Rumänien auch durch Viitorul Constanţa, Pandurii Târgu Jiu und CSMS Iaşi vertreten, die in den Vorrunden ausgeschieden sind.

  • September 12-17

    September 12-17

    The French President paid a state visit to Romania


    Romania’s President, Klaus Iohannis, and his French
    counterpart, Francois Hollande, agreed in Bucharest that their countries should
    boost the strategic partnership and develop cooperation in the fields of
    economy, defence, education and research. On this occasion, Klaus Iohannis said
    that France is a priority of Romania’s foreign policy. In turn, the French
    President said his visit is proof of the privileged economic, cultural and
    scientific relations between the two countries. He announced that, from now on,
    the Romanian and French defence ministers would have regular meetings, in order
    to boost the strategic partnership in the field. The two presidents also
    approached such issues as Romania’s Schengen accession and the situation in
    neighbouring Ukraine. The common agenda also included a visit to the National Institute of Research and Development in Physics
    and Nuclear Engineering, in Magurele, near Bucharest, which hosts the most
    powerful laser in the world. The two presidents also attended the opening of
    the economic forum French-Romanian Partnerships for the Future. Also,
    President Hollande and Romanian technocratic PM, Dacian Ciolos, visited the
    Airbus helicopter factory in Ghimbav, central Romania. The latest state visit
    by a French President to Bucharest had been paid by Francois Mitterrand, in 1991.








    Lower prices for mandatory
    liability insurances for car owners

    Romanian road carriers have reached an agreement with
    the Financial Surveillance Authority (ASF) on the price of mandatory liability
    insurance for car owners (RCA). The level of prices, the carriers have
    announced, will be three times lower than the current ones. Trade unions in the
    field staged big rallies across the country. In another move, the cabinet
    adopted an emergency ordinance freezing the prices of mandatory liability car
    insurances for car owners set by ASF for six months. Also this week, the Government
    adopted Romania’s General Transport Master Plan. The line minister, Sorin Buse, has said the Master Plan provides for building some 6,800 km of
    highway and upgrading over 5,000 km of railway, 15 airports and over 30
    bridges.




    Problems in the budgetary system

    The employees of penitentiaries are
    preparing for rallies, in protest at not receiving the sums of money that their
    colleagues from other institutions in the defence and public order system are
    already cashing in. Trade unions claim that, overall, the impact on the state
    budget is not significant and that this year’s budget for the penitentiary
    system can cover a possible pay-rise. The employees of the system have started
    various forms of protest, such as the refusal to work extra hours, which might
    block activity in penitentiaries, because of the shortage of staff. The
    employees in the healthcare system are also unhappy with the significant wage
    gaps in the budget system. They call for the
    elimination of inequities from a government ordinance under which only the
    salaries of some specific categories of employees have been increased. Trade unions in the healthcare system have
    announced they will stage protests next week, to culminate in an all-out
    strike, on October 31.




    Preparations
    for the parliamentary elections

    The deadline by which
    Romanian citizens living abroad could have enrolled in the Electoral Register,
    in order to be allowed to vote in the parliamentary elections scheduled for
    December 11, has expired this week. According to the centralised data made
    public by the Permanent Electoral Authority, over 10,000 requests have been
    validated. Of them 7,200 refer to postal voting and 2,800 to
    voting in polling stations. Five days after the closing of electoral
    registrations, Romanian citizens who opt for postal voting can check online to
    see whether or not they have been registered. Once registered, they will
    receive the necessary documents at home, via the Romanian Post, 30 days ahead
    of the elections, at the latest. Delivery confirmation is required.





    A new school year

    Over
    three million Romanian pupils started a new school year, this week. This year,
    too, schools have been faced with problems such as an insufficient
    number of teachers or the lack of sanitary and operation permits. The 2016-2017 school year will have 35
    weeks, divided into two semesters.



    Failures in the Europa League


    The two Romanian teams playing in the Europa League
    group stage, the defending champion Astra Giurgiu and vice-champion Steaua
    Bucharesti, started on the wrong foot. Astra was defeated on home turf, 2-3, by
    Austria Vienna, whereas Steaua lost the away match against the Turkish team
    Osmanlispor, 0-2. During the current
    Europa League football season, Romania has also been represented by
    Viitorul Constanta, Pandurii Targu Jiu and
    CSMS Iasi, which got eliminated in the qualifiers.



  • Retrospectiva săptămânii  11.09-17.09.2016

    Retrospectiva săptămânii 11.09-17.09.2016

    Preşedintele Franţei, în România


    Preşedintele României, Klaus Iohannis, şi omologul său francez,
    Francois Hollande, au convenit, la Bucureşti, ca ţările lor să îşi intensifice
    parteneriatul strategic şi să dezvolte colaborarea în domeniile economic,
    apărare, educaţie şi cercetare. Cu această ocazie, Klaus Iohannis a declarat
    că, pentru România, relaţia cu Franţa este o prioritate a politicii externe. La
    rându-i, preşedintele francez a afirmat că vizita sa este dovada legăturilor
    speciale, economice, culturale şi ştiinţifice, dintre cele două state. El a
    anunţat că miniştrii român şi francez ai Apărării vor avea, de acum înainte,
    întâlniri regulate, menite să întărească parteneriatul în domeniu. Cei doi au
    mai discutat, între altele, despre aderarea României la Spaţiul Schengen şi
    situaţia din Ucraina. Agenda comună a celor doi
    şefi de stat a mai inclus o vizită la Institutul Naţional de
    Cercetare-Dezvoltare pentru Fizică şi Inginerie Nucleară de la Măgurele, care găzduieşte cel mai puternic laser din lume, şi
    participarea la deschiderea forumului economic Parteneriatele
    franco-române de viitor. De asemenea, preşedintele Hollande şi premierul
    tehnocrat al României, Dacian Cioloş, au vizitat fabrica de elicoptere Airbus
    de la Ghimbav. Ultima vizită de stat a unui
    preşedinte francez la Bucureşti a fost cea a lui Francois Mitterrand, în 1991.



    Scad preţurile la RCA



    Transportatorii
    rutieri din România au ajuns la un acord cu Autoritatea de Supraveghere
    Financiară (ASF) cu privire la preţurile poliţelor de asigurare auto obligatorie
    (RCA). Tarifele, au anunţat transportatorii, vor fi de
    aproape trei ori mai mici faţă de cele actuale. Sindicatele din domeniu au
    organizat ample proteste în ţară, inclusiv în Capitală. Pe de altă parte, Guvernul de la Bucureşti a
    adoptat o ordonanţă de urgenţă prin care tarifele la politele RCA stabilite de
    ASF sunt îngheţate pe o perioadă de şase luni. Tot săptămâna aceasta,
    Executivul a adoptat Master Planul General de
    Transport al României. Ministrul de resort, Sorin Buşe, a declarat ca Master
    Planul prevede construcţia a circa 6.800 de km de drum, din care peste 1.500 de
    km de autostradă, şi modernizarea a peste 5.000 de km de cale ferată, a 15
    aeroporturi şi a peste 30 de porturi.




    Probleme în sistemul bugetar




    Angajaţii din penitenciare se
    pregătesc de proteste, nemulţumiţi că nu le sunt acordate sume pe care colegii
    lor din alte instituţii ale sistemului de apărare şi ordine publică le
    încasează deja. Sindicatele susţin că, în general, impactul bugetar nu este mare şi că
    bugetul din acest an al sistemului penitenciar poate să acopere o eventuală
    creştere a salariilor. Angajaţii din sistem au iniţiat unele forme de protest,
    cum ar fi refuzul de a face ore suplimentare, ceea ce ar putea duce la blocarea
    activităţii în penitenciare, din cauza deficitului de personal. Nesatisfăcuţi sunt şi angajaţii din
    Sănătate, din cauza diferenţelor de salarizare din sistemul bugetar. Ei cer
    eliminarea inechităţilor din ordonanţa de guvern prin care au crescut doar
    salariile anumitor categorii de angajaţi. Sindicaliştii din sistemul sanitar au
    precizat că, săptămâna viitoare, vor începe protestele, care vor culmina cu o
    grevă generală, pe 31 octombrie.




    Pregătiri
    pentru alegerile parlamentare


    Săptămâna
    aceasta a expirat termenul până la care cetăţenii români din străinătate s-au
    putut înscrie în Registrul Electoral, în perspectiva alegerilor parlamentare
    din 11 decembrie. Potrivit
    datelor centralizate de Autoritatea Electorală Permanentă, peste 10 de mii de
    solicitari au fost validate. Dintre acestea, peste 7.200 sunt asociate votului
    prin corespondenţă, iar circa 2.800 celui în secţii. La cinci zile de la
    expirarea termenului de înscriere în Registrul Electoral, cetăţenii români care
    s-au înscris cu opţiunea de vot prin corespondenţă pot verifica online dacă au
    fost înregistraţi. După înscrierea în Registrul
    Electoral, alegătorii care au optat pentru a-şi exercita votul prin
    corespondenţă vor primi acasă, prin Poşta Română, cu confirmare de primire, cel
    mai târziu cu 30 de zile înaintea datei alegerilor, documentele necesare.




    Un nou an şcolar


    Săptămâna aceasta, peste trei milioane de elevi au
    început şcoala. Reluarea cursurilor găseşte, şi în acest an, multe catedre fără
    profesori titulari, iar jumătate din unităţile de învăţământ, fără autorizaţie
    de funcţionare. Anul şcolar 2016 -2017 va avea 35 de săptămâni de cursuri.





    Eşecuri în Liga Europa


    Cele doua echipe româneşti de fotbal prezente în grupele Ligii
    Europa, campioana Astra Giurgiu şi vicecampioana Steaua Bucureşti, au debutat
    cu stângul. Astra a fost învinsă, pe teren propriu, scor 2-3, de Austria Viena,
    în timp ce Steaua a pierdut, în deplasare, scor 0-2, în faţa turcilor de la
    Osmanlispor. În acest sezon al Ligii Europa, România a mai fost reprezentată de
    Viitorul Constanţa,
    Pandurii Târgu Jiu şi CSMS Iaşi, eliminate în tururile preliminare.

  • De ce nu este România în Spaţiul Schengen?

    De ce nu este România în Spaţiul Schengen?

    Recurentă în ultimii ani, tema
    aderării României la Schengen a fost atinsă recent şi în cadrul reuniunii
    anuale a diplomaţiei române, de la Bucureşti, premierul Dacian Cioloş amintind,
    cu acest prilej, că, de mai bine de 5 ani, României îi este negat accesul la
    spaţiul de liberă circulaţie europeană pentru motive politice. Motive politice
    care în acest moment par total depăşite de realităţile cu care ne confruntăm cu
    toţii, consideră Cioloş.

    Consecventă realizării acestui obiectiv de politică
    externă, Bucureştiul a făcut eforturi considerabile şi a îndeplinit criteriile
    tehnice, fapt recunoscut, de altfel, de decidenţii de la Bruxelles. Prevăzută
    pentru martie 2011, aderarea rămâne încă un obiectiv de realizat. Nici măcar
    variantele ulterior vehiculate privind o aderare etapizată, în primă fază cu
    frontierele aeriene şi cele navale, nu au fost concretizate.

    Subiectul
    Schengen a fost discutat şi în cadrul discuţiilor pe care preşedintele
    României, Klaus Iohannis, le-a avut la Bucureşti cu omologul său francez,
    Francois Hollande, şeful statului român reiterând cu acest prilej faptul că
    Bucureştiul acţionează de mult timp ca membru de facto al spaţiului Schengen
    şi a făcut faţă foarte bine crizei migranţilor. Este în beneficiul Uniunii ca
    România să vină cu expertiza ei în acest spaţiu. Din motive practice, acest
    lucru nu se poate realiza dintr-odată. Trebuie să facem cât de curând
    demersurile potrivite la Bruxelles pentru a beneficia toată lumea de
    securitatea aeroporturilor româneşti, consideră Iohannis. România a investit
    în controlul circulaţiei persoanelor care tranzitează prin aeroporturi,
    dotându-se cu o structură importantă pentru securitatea noastră. Pentru noi
    este un punct esenţial în lupta împotriva terorismului, de aceea discuţiile
    trebuie purtate la Bruxelles pentru a vedea cum pot aduce aeroporturile române
    o contribuţie în spaţiul Schengen prin eficacitatea lor, a susţinut şi
    preşedintele francez.

    La
    fel ca în cazul aderării la Uniunea Europeană, concretizată în 2007, România
    merge în tandem cu Bulgaria şi în procesul de includere în spaţiul Schengen. Va fi România întotdeauna pe aceeaşi foaie cu
    Bulgaria sau ar putea fi vorba de negocieri separate vreodată? Profesorul universitar Iulian
    Chifu, directorul centrului de Prevenire a Conflictelor explică: Posibilitatea
    decuplării presupune complicaţii mai largi, ceea ce nu înseamnă că sunt
    imposibile, cu excepţia cazului în care argumentele sunt suficient de slabe încât
    să nu permită decuplarea. Adică, este mai simplu de mers pe o variantă
    consacrată, obişnuită, decât partenerii europeni să accepte o schimbare majoră,
    dacă nu ai argumente cu adevărat puternice, care cu adevărat separă cele două
    state. Nu suntem acolo. În momentul de faţă, practic, suntem în acelaşi tip de
    abordare din punctul de vedere al partenerilor europeni.

    Dacă
    Bucureştiul beneficiază de susţineri importante în Europa în privinţa accederii, în aceeaşi măsură probleme
    vin de la ţările în care liderii trebuie să obţină aprobare în Parlament pentru
    decizii importante de politică externă. Una dintre acestea, şi poate cea mai
    vehementă, este Olanda, obţinerea aprobării acesteia reprezentând una dintre
    pietrele de încercare. Opozanţii de la Haga consideră că Bucureştiul nu a
    implementat toate cerinţele iniţiale pentru a deveni stat membru al Uniunii
    Europene. România nu era pregatită în momentul aderării. Era
    pregatită din multe puncte de vedere, dar nu în cele esenţiale – de legislaţie,
    de sistemul judiciar, de funcţionarea lui, de eficienţa şi imparţialitate în
    modul de aplicare a legilor, de corupţia instituţională, spun aceştia,
    insistând asupra legăturii între Schengen şi respectarea standardelor UE.

    În
    plus, dincolo de opoziţia manifestată preponderent de partidele eurosceptice,
    vorbim în momentul de faţă de o agendă de probleme a Uniunii Europene care
    începe cu teme extrem de complicate, de la existenţa Uniunii Europene,
    schimbarea sa, reenergizarea proiectului european, elemente de leadership european
    care ar putea fi asumate, deci, elemente care ţin chiar de existenţa sau de
    forma de existenţă şi de dezvoltare şi de flexibilitate, de relansare a Uniunii
    Europene. Astfel descrie Iulian Chifu contextul actual, în care Bucureştiul şi
    Sofia speră, totuşi, într-o rezolvare în ceea ce priveşte aderarea la Schengen: Pe o agendă
    care începe aşa, continuă cu terorism, migraţie, luptători străini,
    insecuritate, generic vorbind, şi apariţia partidelor xenofobe, populiste,
    antisistem, islamofobe, în întreaga Europă, deja în miezul, în prim-planul
    vieţii politice, cele două haideţi să le spunem categorii de probleme sunt atât
    de importante, încât temele care ţin de acum de extindere, iată, de reformele
    din Balcanii de Vest sau de probleme restante de integrare, cum este integrarea
    României şi Bulgariei în Schengen, din păcate, revin foarte greu pe această
    agendă, tocmai pentru că este extrem de aglomerată. Din nou, Brexit-ul, iată,
    vorbim din nou de situaţia Greciei, care nu a ajuns să performeze la nivelul
    aşteptat, sunt teme cu adevărat importante, sunt unice – vezi Brexit-ul,
    Uniunea Europeană însăşi nu s-a mai confruntat cu o asemenea situaţie, nu ştie
    cum să iasă din ea.

    Altfel spus, un context complicat, care dă
    mici şanse de rezolvare unei probleme – aderarea de Schengen – care trenează
    deja de câţiva ani.

  • Rumänien und Frankreich intensivieren strategische Partnerschaft

    Rumänien und Frankreich intensivieren strategische Partnerschaft


    Rumäniens Landespräsiden Klaus Iohannis und der französische Staatschef François Hollande haben vereinbart, die Zusammenarbeit auf der Ebene des Außen- und Verteidigungsministeriums auszuweiten. Auf Wirtschaftsebene hat François Hollande zusammen mit dem rumänischen Premierminister Dacian Cioloş die Hubschrauber-Fabrik von Airbus in Ghimbav bei Kronstadt eingeweiht. Die Eröffnung der Fabrik führt dazu, dass die traditionelle Beziehung zwischen Rumänien und Frankreich im Bereich der Aeronautik auf ein neues Niveau steigt, so François Hollande. Der Super Puma H215, der in Rumänien hergestellt wird, wird Rumänien zu einem Lieferanten der gemeinsamen europäischen Verteidigung entwicklen. Der rumänische Ministerpräsident Dacian Cioloş hob hervor, die Regierung in Bukarest analysiere die Möglichkeit, Militärhubschrauber, die in Rumäanien hergestellt werden, zu kaufen:




    Es geht um eine Investition von über 50 Millionen Euro, die für Braşov und für diese Region sehr bedeutend ist und gleichzeitig 350 neue Arbeitsplätze schafft. Es gibt schon 160 Arbeitsplätze, die die Reparaturarbeiten an den Hubschraubern sichern. Rumänien wird auf der Karte der Hubschrauberhersteller mit einem neuen Produkt präsent sein.




    Frankreichs Präsident erklärte Wenn die Franzosen und Rumänen Laser bauen, sind sie die besten in der Welt . Er besuchte zusammen mit seinem rumänischen Gegenüber Klaus Iohannis das Forschungszentrum für Kernphysik und Ingenieurswesen in Măgurele in der Nähe von Bukarest. Dort wird an dem leistungsstärksten Laser der Welt gearbeitet. Präsident Iohannis teilte den französischen Investoren mit, dass sie der rumänischen Wirtschaft vertrauen können.




    Was die Investitionen in Rumänien anbelangt, belegt Frankreich eines der ersten Plätze mit direkten Investitionen von über 7 Milliarden Euro. Die Tatsache, dass die französischen Firmen in unsere Wirtschaft investieren und Technologie bringen, beweist, dass Rumänien für die französischen Investoren Stabilitätsgarantien bietet und eine Wohlstandsressource ist.




    Bukarest und Paris werden auf europäischer Ebene für die EU zusammenarbeiten. Bezüglich der Sicherheit erklärte der rumänische Staatschef Klaus Iohannis, Rumänien unterstütze die Idee der gemeinsamen Verteidigung und fügte hinzu, eine Armee der Union würde die NATO weder schwächen noch verzweifachen. Frankreichs Präsident François Hollande hat sich jahrelang dem Beitritt Rumäniens zum Schengenraum widersetzt. Am Dienstag aber erklärte er, ein möglicher Beitrag Rumäniens an der Sicherheit des Schengenraums solle besprochen werden.

  • România – Franţa, parteneriat strategic intensificat

    România – Franţa, parteneriat strategic intensificat

    Vizita de stat
    de marţi, din România, a
    preşedintelui francez François Hollande a acoperit toată diversitatea relaţiei bilaterale şi
    europene: legăturile politice şi economice strânse, cooperarea în domeniul
    noilor tehnologii sau al culturii, precum şi preocuparea pentru viitorul
    Europei. În baza Parteneriatului strategic care leagă cele două ţări,
    preşedinţii Klaus Iohannis şi François Hollande au convenit să extindă
    colaborarea sporită existentă,deja, la nivelul ministerelor de Externe şi la
    cele ale Apărării.

    În plan economic, liderul de la Elysée a inaugurat,
    împreună cu premierul Dacian Cioloş, o fabrică Airbus de elicoptere. Deschiderea acestei fabrici de
    lângă Braşov, în centrul
    ţării, va face ca relaţia tradiţională româno-franceză din domeniul aeronautic
    să treacă la un nou nivel – a declarat preşedintele Hollande. Potrivit
    acestuia, elicopterul Super Puma H215 care va fi produs aici va face din
    România un furnizor al unei importante componente a conceptului de apărare
    europeană comună. La rândul său, premierul Dacian Cioloş a punctat că guvernul de la Bucureşti analizează
    posibilitatea de a cumpăra elicoptere de intervenţie şi militare fabricate la
    această fabrică: Este o investiţie importantă pentru Braşov şi pentru această regiune de
    peste 50 de milioane de euro care creează 350 de locuri de muncă noi ce se
    adaugă la cele 160 de locuri de muncă, deja, existente pentru partea de
    reparaţii elicoptere şi care dincolo de investiţia ca atare pune România pe
    harta producătorilor de elicoptere din lume cu un produs nou.

    Când
    francezii şi românii se
    apucă să facă lasere, sunt cei mai buni din lume – a afirmat preşedintele
    François Hollande, care a vizitat împreună cu omologul Klaus Iohannis, la
    Măgurele, lângă Bucureşti, Institutul şi Centrul de Cercetare care va găzdui
    cel mai puternic laser din Europa. Liderul român a profitat, totodată,
    de organizarea unui forum de afaceri româno-francez pentru a le transmite, din nou, investitorilor din
    Hexagon că pot avea încredere în economia românească: În planul investiţiilor în România,
    Franţa este pe unul dintre locurile fruntaşe, cu investiţii directe de peste 7
    miliarde de euro. Faptul că firmele franceze investesc şi transferă tehnologie
    în economia noastră arată că, pentru investitorii francezi, România oferă
    garanţii de stabilitate şi este o resursă de prosperitate.

    În plan
    european, Bucureştiul şi Parisul vor continua să conlucreze pentru binele
    Uniunii Europene. La capitolul securitate, preşedintele Klaus Iohannis a
    declarat că România sprijină ideea de apărare comună europeană, apreciind că o
    armată a Uniunii nu ar dubla sau slăbi NATO. După ce, ani la rând, Franţa s-a opus
    aderării României la spaţiul Schegen, preşedintele François Hollande a apreciat, la rândul lui, că trebuie discutată posibila
    contribuţie a României la securitatea zonei de liberă circulaţie.