Tag: Freedom House

  • 05.11.2019

    05.11.2019

    Gouvernement – Premier jour de travail, ce mardi pour les 16 membres du cabinet libéral de Bucarest dirigé par Ludovic Orban, après avoir reçu, lundi le vote favorable du Parlement. Lundi soir, après avoir prêté serrement en présence du président Klaus Iohannis, les nouveaux ministres ont eu une première réunion informelle, lors de laquelle, leur chef, Ludovic Orban, leur a demandé de faire rapidement l’inventaire des urgences. Il promet que son Exécutif sera en permanence ouvert au dialogue et tiendra compte des attentes des Roumains. Pour rappel, ce cabinet libéral, succède à celui social-démocrate, destitué par motion de censure le 10 octobre dernier.

    Mines – Retranchés depuis 9 jours dans les mines de la Vallée de la rivière Jiu (centre-ouest), les mineurs poursuivent leur contestation, malgré les problèmes de santé survenus pour certains d’entre eux. Deux d’entre eux ont été hospitalisés, les docteurs dépistant une tension artérielle et une glycémie dépassant les limites normales. Ces « gueules noires » qui feront l’objet d’un licenciement collectif au premier 1 janvier prochain, demandent au gouvernement d’émettre un décret d’urgence qui leur attribue les mêmes droits dont bénéficient les autres collègues qui ont perdu leur emploi dans le même secteur d’activité, à savoir : un revenu mensuel complémentaire accordé pendant deux ans et la prise en compte de cette période en tant qu’ancienneté au travail. Selon les syndicalistes, les mineurs ne souhaitent pas renoncer à leur protestation, qui est la plus longue des 15 dernières années, avant que l’acte normatif qui garantit leurs droits ne soit émis. Précisons que les deux mines dont il est question font l’objet depuis fin 2017 d’un ample processus de restructuration et d’écologisation.

    Chisinau – En République de Moldova voisine, le bloc ACUM de la première ministre pro-européenne, Maia Sandu, a remporté le plus grand nombre de mandats au second tour des élections locales qui a eu lieu dimanche. Selon le président de la Commission Electorale Centrale, Dorin Cimil, le groupe ACUM a remporté 91 des 384 sièges de maire des localités où le scrutin a été organisé. Suit le Parti des Socialistes, proche du président pro-russe Igor Dodon, avec 83 mandats, dont celui de la municipalité de la capitale moldave, Chisinau. Enfin, le Parti Démocrate de l’ancien premier ministre Pavel Filip, se classe 3e, avec 71 mandats de maires.

    Réseaux sociaux – Les gouvernements du monde font appel de plus en plus aux réseaux sociaux pour manipuler et espionner des électeurs du monde entier, une tendance inquiétante pour la démocratie. C’est ce que constate un rapport de l’ONG Freedom House, publié ce mardi. L’organisation affirme avoir trouvé des preuves de l’existence de «logiciels avancés de surveillance sur les réseaux sociaux» dans au moins 40 des 65 pays examinés. Dans certains pays, les pouvoirs publics choisissent carrément de bloquer l’accès à Internet si cela est dans leur avantage, alors que d’autres se servent de vastes équipes de professionnels pour manipuler les informations présentes en ligne et faire circuler de fausses informations jusqu’à ce que celles-ci ne deviennent virales, précise le même rapport. La Chine est donnée comme l’exemple négatif en ce qui concerne les abus contre la liberté sur Internet, vu que le gouvernement chinois a redoublé d’efforts pour contrôler les informations sur les manifestations de Hong Kong ou encore celles portant sur la 30e commémoration du massacre Place Tiananmen. Enfin, aux Etats-Unis, « les forces de l’ordre et les autorités chargées de l’immigration ont élargi leur action de surveillance, en contournant les mécanismes de transparence, de contrôle et des responsabilité qui auraient pu limiter leurs activités », lit-on dans le même rapport de l’ONG Freedom House.

    Météo – Temps extrêmement chaud en Roumanie pour cette période de l’année, avec des températures maximales qui grimperont jusqu’au 24 degrés ce mardi. Dans l’ouest et le nord-ouest du pays, tout comme à la montagne, le ciel est plutôt couvert et des pluies sont attendues dans la soirée. Le vent souffle surtout en altitude avec une vitesse de plus de 90 km/heure. 19 degrés et du soleil à midi à Bucarest.

  • Le rapport 2018 de Freedom House

    Le rapport 2018 de Freedom House

    Daprès le rapport 2018 de la célèbre organisation Freedom House, pour la 13e année de suite la liberté a connu un recul à l’échelle mondiale. Fondé en 1941 et financé par le gouvernement américain, l’Institut de recherche basé à Washington se donne pour but de promouvoir la démocratie libérale à travers le monde. Freedom House surveille et évalue chaque année le respect des libertés essentielles dans 193 pays et 15 territoires du monde entier. Un déclin est constaté dans toutes les régions du monde, depuis les démocraties qui ont une longue tradition, comme c’est le cas des Etats-Unis, jusqu’aux régimes autoritaires consolidés, tels la Chine ou la Russie. Les experts de l’organisation affirment que, pour l’instant, le déclin est plus faible en comparaison avec la fin du XXe siècle, plus précisément avec la période ayant précédé la chute des régimes communistes en Europe et des dictatures de droite en Amérique latine. Pourtant, la tendance est significative et génère des risques, mettent en garde les spécialistes.



    Selon le rapport 2018 de Freedom House, les démocraties scandinaves se trouvent toujours en tête du classement. La Finlande, la Norvège et la Suède ont obtenu un score de 100 sur 100, ce qui se traduit par « système politique assurant le plus haut degré de liberté ». Même s’ils n’ont pas obtenu le score maximal, des pays comme les Etats-Unis, le Canada, la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne et l’Italie, soit les piliers traditionnels de la démocratie de l’après – guerre, figurent dans la catégorie des nations libres. La Serbie et deux ex – républiques soviétiques – l’Ukraine et la République de Moldova- comptent parmi les pays « partiellement libres » . Ce qui inquiète c’est le fait que la Hongrie, pays membre de l’UE et de l’OTAN, soit elle aussi considérée comme partiellement libre. Freedom House entend sanctionner ainsi les poussées autoritaires du régime de Viktor Orban. Nombreux sont les pays classés « non libres ». Parmi eux, certains acteurs géopolitiques essentiels tels la Russie, la Chine et l’Arabie Saoudite.



    Avec un score de 81 sur 100, la Roumanie figure dans la zone verte de la carte élaborée par Freedom House, étant considérée comme un pays libre du point de vue des droits politiques et civiques. Selon les commentateurs, ce score est meilleur que celui que les Roumains s’attribuent eux-mêmes. Dans la guerre sans fin que se livrent les politiques de Bucarest, la majorité de gauche, formée par le Parti social — démocrate et par l’Alliance des démocrates et des libéraux, ne cesse de dénoncer le soi-disant Etat parallèle, une notion floue qui renvoie à une partie des groupes de médias, aux services secrets, à certains juges et procureurs, qui, en obéissant aux ordres, prononcent des sentences de condamnation à l’encontre des hommes politiques indésirables. En réplique, l’opposition de droite, les médias et la société civile pointent du doigt le pouvoir en place, l’accusant de vouloir se subordonner les magistrats et stopper la lutte anticorruption et d’avoir transformé la gendarmerie en une véritable garde prétorienne zélée, censée réprimer les manifestations antigouvernementales. (Trad. Mariana Tudose)


  • Freedom House International veröffentlicht Bericht für 2018

    Freedom House International veröffentlicht Bericht für 2018

    Laut dem jüngsten Bericht von Freedom House International war 2018 das 13. Jahr in Folge, in dem die Freiheit in der Welt nachlie‎ß. Das 1941 gegründete, in Washington ansässige Forschungsinstitut, das von der US-Regierung finanziert wird und dessen Hauptziel die Förderung der liberalen Demokratie in der Welt ist, überwacht und bewertet jährlich die Achtung der Grundfreiheiten in 193 Ländern und 15 Territorien Welt. Regressionen sind jedoch in allen Teilen der Welt zu verzeichnen, von langjährigen Demokratien wie den Vereinigten Staaten bis hin zu konsolidierten autoritären Regimen wie China oder Russland.



    Die Experten der Organisation sagen, dass der Rückgang im Vergleich zum Ende des 20. Jahrhunderts, vor dem Zusammenbruch der kommunistischen Diktaturen in Europa und der rechtsgerichteten Diktaturen in Lateinamerika, derzeit gering ist. Der Trend ist jedoch erheblich und bringt Risiken mit sich.



    Die skandinavischen Demokratien bleiben auch dieses Jahr die Gewinner des Freedom House-Rankings. In Finnland, Norwegen und Schweden gibt es 100 von 100 Punkten; das bedeutet ein politisches System mit dem höchsten Grad an Freiheit. Auch wenn sie nicht die höchste Punktezahl erreicht haben, stehen die traditionellen Säulen der Nachkriegsdemokratie, wie die Vereinigten Staaten, Kanada, Frankreich, Gro‎ßbritannien, Deutschland oder Italien ganz oben auf der Liste der als frei bezeichneten Nationen. Zu den Ländern, die als teilweise frei betrachtet werden, gehören Serbien und die ehemaligen Sowjetrepubliken Ukraine und Republik Moldau. Dazu ein besorgniserregendes Detail: Ein EU- und NATO-Mitgliedsland, Ungarn, wird ebenfalls als teilweise frei eingestuft. Da sanktioniert Freedom House International die autoritären Appelle des Viktor-Orban-Regimes. Viele Länder gelten als nicht frei, darunter wichtige geopolitische Akteure wie Russland, China und Saudi-Arabien.



    Was Rumänien angeht, so liegt unser Land im grünen Bereich der Landkarte, die vom Freedom House erarbeitet wurde. Somit wird Rumänien im Hinblick auf die politischen und bürgerlichen Rechte als ein freies Land betrachtet. Die Bukarester Demokratie sammelt 81 von 100 möglichen Punkten. Kommentatoren weisen darauf hin, dass die amerikanischen Experten von Freedom House International Rumänien besser einschätzten als die Rumänen selbst.



    Im Laufe des nie endenden politischen Krieges in Bukarest verurteilt die linksgerichtete Regierungskoalition der Sozialdemokratischen Partei PSD und der Allianz der Liberalen und Demokraten ALDE wiederholt den sogenannten Parallellstaat, eine nebulöse Gestalt, die den Rechtsstaat in Rumänien unterminieren würde. Zum Parallelstaat gehörten unter anderen Presseagenturen, Geheimdienste, Staatsanwälte und Richter, welche unerwünschte Politiker auf Bestellung verurteilen, um ihre Karrieren zu zerstören, so die regierenden Parteien PSD und ALDE.



    Als Reaktion darauf beschuldigen die rechtsgerichtete Opposition, die Medien und die Zivilgesellschaft die Machthaber, sich die Richter und Staatsanwälte unterordnen zu wollen, den Kampf gegen die Korruption zu stoppen und die Gendarmerie in eine pretorianische Garde zu verwandeln, die die bürgerlichen Proteste gegen die Regierung überwältigen sollte.

  • Raportul Freedom House pe 2018

    Raportul Freedom House pe 2018

    2018 a fost al 13-lea an consecutiv în care se
    înregistrează un declin în ceea ce priveşte libertatea pe glob – avetizează, în
    ultimul său raport, celebra organizaţie Freedom House. Institut de
    cercetare cu sediul în Washington, fondat încă din 1941, finanțat de guvernul
    american şi al cărui principal obiectiv este promovarea democrației liberale în
    lume, Freedom House monitorizează
    și evaluează, anual, respectarea libertăților esenţiale în 193 de țări și 15
    teritorii de pe întregul mapamond. Or, regresele sunt înregistrate în toate zonele lumii, de la democraţii cu
    tradiţie îndelungată, precum Statele Unite, la regimuri autoritare consolidate,
    precum China ori Rusia.


    Experţii organizaţiei spun că declinul este, deocamdată,
    redus comparativ cu finalul secolului XX, înainte de colapsul dictaturilor
    comuniste din Europa şi al celor de dreapta din America Latină, dar tendinţa
    este semnificativă şi generează riscuri.


    Democraţiile scandinave rămân şi anul
    acesta premiantele clasamentului realizat de Freedom House. Finlanda, Norvegia
    si Suedia au 100 de puncte din 100 posibile, fapt care însemnă sistem politic
    cu cel mai mare grad de libertate. Deşi fără punctaj maxim, printre
    naţiunile catalogate drept libere figurează, previzibil, piloni tradiţionali ai
    democraţiei postbelice: Statele Unite, Canada, Franţa, Marea Britanie, Germania
    sau Italia. Printre ţările considerate parţial libere se numără Serbia şi fostele
    republici sovietice Ucraina şi Moldova.
    Detaliu neliniştitor, tot parţial liberă e considerată şi o ţară membră a Uniunii Europene şi NATO, Ungaria,
    unde Freedom House sancţionează puseurile autoritare ale regimului Viktor
    Orban. Numeroase ţări sunt considerate ca nefiind libere, iar printre acestea figurează
    actori geopolitici esenţiali, precum Rusia, China şi Arabia Saudită.


    În
    ceea ce priveşte România, aceasta se află în zona verde a hărţii elaborate de
    Freedom House, fiind considerată o ţară liberă din punctul de vedere al
    drepturilor politice şi civice. Democraţia de la Bucureşti acumulează 81 de
    puncte din 100 posibile. Comentatorii remarcă faptul că experţii americani de
    la Freedom House cotează, astfel, România mai bine decât o fac românii înşişi.
    În războiul politic fără sfârşit de la Bucureşti, vocile majorităţii de stânga
    PSD-ALDE denunţă repetitiv aşa-numitul stat paralel, o nebuloasă din care ar
    face parte trusturi de presă, servicii speciale, procurori, judecători, ce
    condamnă la comandă politicieni indezirabili şi le ruinează carierele. În
    replică, opoziţia de dreapta, mass-media şi societatea civilă acuză Puterea că
    vrea să-şi subordoneze magistraţii, să stopeze lupta anticorupţie şi că a
    transformat Jandarmeria într-o gardă pretoriană, menită să reprime cu exces de
    zel protestele antiguvernamentale.

  • Звіт Freedom House за 2018 рік

    Звіт Freedom House за 2018 рік




    Згідно з останнім
    звітом Freedom House 2018 рік був 13-м
    роком поспіль, коли відмічається спад загального рівня світової свободи. Міжнародна організації, штаб-квартира якої знаходиться у Вашингтоні, заснована у 1941 році,
    фінансується урядом США, а її головним завданням є просування ліберальної
    демократії у світі. Freedom House щорічно проводить моніторинг та оцінює рівень
    дотримання основних свобод у 193 країнах і 15 територіях у всьому світі.


    Регресія зафіксована
    цього року у всіх країнах світу, починаючи з усталених демократій, таких як
    США, до консолідованих авторитарних режимів, як, наприклад, Китай та Росія.
    Експерти організації вважають, що зниження свобод в наш час є низьким у порівнянні
    з кінцем ХХ-го століття, до краху комуністичної диктатури в Європі та
    Латинській Америці, але ця тенденція все ж є значною і створює ризики.
    Демократичні системи Скандинавських країн – Фінляндії, Норвегії та Швеції
    залишаються лідерами і мають 100 балів із 100, очолюючи рейтинг політичних
    систем за рівнем свободи.


    Не з найвищою
    оцінкою, але все ж вільними, у порівнянні з іншими, очікувано, названі традиційні
    стовпи післявоєнної демократії: Сполучені Штати, Канада, Франція,
    Великобританія, Німеччина та Італія. Серед країн, які вважаються частково
    вільними, знаходиться Сербія та колишні республіки Радянського Союзу, такі як Україна та Республіка Молдова. До того ж, до
    частково вільних країн відноситься й Угорщина, яка є членом Євросоюзу та НАТО. У
    випадку Угорщини, Freedom House засуджує авторитарні заклики влади Віктора
    Орбана. Крім того, багато країн визнані невільними, включаючи ключових
    геополітичних гравців – Росію, Китай і Саудівську Аравію.


    Що стосується
    Румунії, то вона знаходиться в зеленій зоні карти Freedom House і вважається
    вільною країною з точки зору політичних і громадянських свобод. Демократія в
    Бухаресті отримала 81 бал зі 100 можливих. Коментатори відзначають, що
    американські експерти Freedom House краще оцінили ситуацію в Румунії, аніж самі
    її громадяни.


    У нескінченній румунській
    політичній боротьбі ліва керівна більшість Соціал-демократична партія-Альянс
    лібералів та демократів постійно говорить про так-звану «паралельну державу», незрозумілу
    структуру, що складається з медіа-трестів, спецслужб, прокурорів, суддів, які за
    політичним наказом засуджують «небажаних» політиків та руйнують їхню кар’єру.

    З
    протилежного боку, права опозиція, засоби масової інформації та громадянське
    суспільство звинувачують владу в бажанні підпорядкувати судову систему та
    зупинити боротьбу з корупцією, а також перетворити Жандармерію на «Преторіанську
    гвардію», необхідну для силового розгону антиурядових протестів.

  • 27.04.2016

    27.04.2016

    Elections – Les contestations des candidatures pour les municipales du 5 juin peuvent être déposées à compter de ce mercredi jusqu’au 1er mai. Le mardi 26 avril était le dernier jour du dépôt des candidatures par les partis politiques, les alliances électorales, les organisations des minorités nationales et les indépendants. La campagne électorale débutera le 6 mai et s’achèvera le 4 juin. C’est pour la troisième fois dans l’histoire post-communiste de la Roumanie que les élections sont organisées par un gouvernement de techniciens, après l’équipe de Theodor Stolojan en 1991-92 et celle de Mugur Isărescu en 1999-2000.

    Justice – Les procureurs anticorruption présenteront à la Cour la proposition de placer en détention provisoire pour 30 jours du maire de la ville de Baia Mare (nord), Cătălin Cherecheş, accusé de corruption passive. Il aurait proposé à une personne, qui, dans cette affaire, a la qualité de dénonciateur, d’occuper un poste de direction dans le club de foot FCM Baia Mare, de ligue 2. Ultérieurement, la mairie a appuyé financièrement ce club, mais une partie de l’argent est entrée en possession du maire. Cherecheş brigue un nouveau mandat, aux municipales de juin.

    Rapport – La branche roumaine de l’organisation Freedom House a rendu public un rapport concernant la réparation du préjudice et la confiscation des biens résultant d’infractions pénales. Selon cette ONG, seulement un tiers des préjudices constatés par les instances judiciaires est couvert de mesures conservatoires. Le document cite aussi une évaluation provisoire de l’Agence nationale d’administration fiscale, selon laquelle plus de 20 mille titres exécutoires enregistrés dans le pays totalisent un préjudice de près de 7 milliards de lei (soit plus de 1,5 milliards d’euros). Depuis novembre 2015, l’Agence nationale d’administration fiscale compte aussi un Département d’exécutions forcées.

    OTAN – La présence de l’OTAN dans la région de la mer Noire pourrait être solide, mais défensive, et elle reposerait sur la coopération accrue des pays de la région – Roumanie, Bulgarie et Turquie -, a déclaré à Bucarest le secrétaire général adjoint de l’Alliance, Alexander Vershbow. Même si l’organisation ne ferme pas les canaux de communication avec la Russie, on ne saurait rester sans réaction devant les actions agressives de Moscou, a souligné l’officiel otanien. Et lui de préciser que les possibles réponses au défi russe seraient débattues au sommet de l’Alliance qui aura lieu à Varsovie, en juillet. Alexander Vershbow a participé mardi à Bucarest à la réunion des directeurs politiques des ministères de la Défense des Etats membres de l’OTAN.

    Visite – Le sénateur Titus Corlăţean, président de la Commission spéciale pour l’adhésion de la Roumanie à l’espace Schengen et membre de la Commission de politique étrangère de la Chambre haute du Parlement de Bucarest, s’est entretenu à Washington, avec Hoyt Yee, adjoint de l’assistant aux Affaires européennes et eurasiatiques du secrétaire d’État américain. Titus Corlăţean a mis en exergue l’importance du partenariat stratégique roumano – américain pour la sécurité de l’Europe centrale et orientale. L’officiel roumain a également évoqué les attentes légitimes de la Roumanie relatives à son inclusion dans le programme américain d’exemption de visas, Visa Waiver. Hoyt Brian Yee a quant à lui apprécié le modèle que la Roumanie représente dans la région pour ce qui est du fonctionnement du système judiciaire et de la mise en place des normes d’intégrité.

    Radio – Pékin accueille la deuxième édition de la conférence Médias 2020, organisée par Radio Roumanie et la Radio nationale de Chine. Cette plate-forme unique de débats réunit plus de 300 représentants d’importantes sociétés de l’audiovisuel d’Asie, d’Europe, du Moyen Orient, des Amériques et d’Australie. Au menu des discussions, la mise en place des systèmes de télévision à ultra-haute définition (UHDTV) et la manière dont les nouvelles technologies peuvent aider les radios à rendre plus expressifs les contenus de leurs programmes. Les participants à la conférence Médias 2020 de Pékin se pencheront également sur des thèmes tels la numérisation des radios, le journalisme et les réseaux sociaux, la promotion de la culture par le biais des festivals. En clôture de la conférence, deux artistes roumains, le violoniste Gabriel Croitoru et le pianiste Horia Mihail, monteront sur la scène de la Salle de concerts de la Radio publique de Chine pour le récital « Le violon de George Enescu ».

    Météo – Il fait généralement beau et le ciel est plutôt dégagé. Les températures maximales, plus élevées que ces derniers jours, vont de 14 à 21 degrés. On relevait 14 degrés à la mi-journée dans la capitale, Bucarest.

  • April 27, 2016 UPDATE

    April 27, 2016 UPDATE

    Until May 1st, candidacies for the local elections of June 5th in Romania can be contested. The deadline for political parties, election alliances, ethnic minority organisations and independents to submit their candidacies was Tuesday. The election campaign begins on May 6th and is due to end on June 4th. This is the third time since the fall of the communist regime when a technocratic government has organized elections, after those organised by the Theodor Stolojan Cabinet in 1991 – 1992 and the Mugur Isarescu Government in 1999-2000.




    Freedom House Romania released a report on the recovery of losses and seizure of the proceeds of crimes. The NGO says that only one-third of the losses are subject to seizure or lien orders. The report also quotes a provisional assessment by the National Fiscal Administration Agency (ANAF) according to which all the 20,000 enforceable titles registered in Romania account for more than 1.5 billion euros. According to the report, in November last year, a special department was set up as part of the tax authority to enforce final rulings in criminal cases.




    The Romanian Culture Minister, Vlad Alexandrescu, announced his resignation on Wednesday via social media. The decision comes against the background of a scandal at the National Opera House in Bucharest, which has seen open conflicts these past few days between the new management, the conductors Vlad Conta and Tiberiu Soare, and the dancer Johan Kobborg, who was in charge with the institutions ballet company. Vlad Alexandrescu is the third member who left Dacian Ciolos technocratic Cabinet in the past two weeks, after the labour minister Ana Costea and the minister for European funds Aura Raducu. A professor at the University of Bucharest and former ambassador of Romania to Luxembourg, Vlad Alexandrescu was appointed Culture Minister in November 2015.




    In Romania, natural gas prices for household consumers will be cut by an average 1.5% as of May 1, according to the National Energy Regulatory Authority. The decision comes after natural gas distribution tariffs went down. According to the regulator, the price of imported gas will continue to drop and in the third and fourth quarters of this year it will get lower than the price of domestically produced gas, by an average 10%. The national demand at the moment is around 15-16 million cubic metres per day, and imports reach 1.5 million cubic metres.




    The executive committee of the Social Democratic Party, the largest left-wing party in Romania, Wednesday decided to expel Valeriu Zgonea, its executive president and also the Speaker of the Chamber of Deputies. The Social Democrats will also withdraw their support for Zgonea in Parliament. The decision came after Zgonea demanded the resignation of the Social Democratic leader Liviu Dragnea, who received a suspended sentence on Friday in an election fraud case. The Court ruled that in 2012, Dragnea, as secretary general of the Social Democratic Party, used a variety of methods to illegally get people to vote in a referendum on the impeachment of the former right-wing president, Traian Băsescu. The referendum eventually failed for lack of quorum.



    The Chinese capital city Beijing Wednesday hosted the second edition of a conference entitled Media 2020 staged jointly by Radio Romania and the Chinese national radio station. The conference was a unique debate platform for the 300 representatives of major audio-visual companies from Asia, Europe, the Middle East, America and Australia attending. High on the agenda were talks on implementing the UHDTV systems and the way in which new technologies can help radio stations, which cannot rely on images, to improve the coverage of events around the world. The way in which the digitization of radio stations, journalism and social networking are seen in Asia and Europe, and promoting culture through festivals also represented issues of topical interest for the participants in the Media 2020 conference. The conference ended with a recital entitled “Enescus Violin given by violinist Gabriel Croitoru accompanied by pianist Horia Mihail, at the Concert Hall of the Chinese public radio.

  • Freedom House veröffentlicht ihren neuesten Jahresbericht

    Freedom House veröffentlicht ihren neuesten Jahresbericht

    Die Nichtregierungsorganisation Freedom House hat anlässlich des Internationalen Tags der Arbeit ihren neuesten Jahresbericht veröffentlicht. Die Pressefreiheit erreichte 2014 ihren niedrigsten Stand seit mehr als 10 Jahren. Der Report macht deutlich, dass Journalisten im vergangenen Jahr einer Intensivierung des Drucks von allen Seiten ausgesetzt waren. Laut Freedom House wenden Regierungen Gesetze im Bereich der Sicherheit und der Korruptionsbekämpfung als Vorwand dafür an, um kritische Stimmen zum Schweigen zu bringen. Diejenigen Gruppen, die Druck ausüben, wenden skandalöse Einschüchterungstaktiken an. Die Medienmogule versuchen den Inhalt der Informationen so zu manipulieren, dass diese ihren politischen oder wirtschaftlichen Interessen dienen sollen. Von den 199 untersuchten Ländern und Territorien sind 63 als frei, 71 als teilweise frei und 65 als nicht frei eingestuft worden. Rumänien belegt mit einer teilweisen freien Presse Platz 84.



    Der rumänische Staatschef Klaus Iohannis hat in einem sozialen Netzwerk geschrieben, die Rolle der Medien sei für die Verteidigung des öffentlichen Interesses wesentlich. Er fügte hinzu, eine freie Pressekonsolidiere die Demokratie und führe zum Wohlstand der Gesellschaft. Bogdan Aurescu, Rumäniens Außenminister, sagte, eine freie Presse sei der Schlüssel einer funktionierenden demokratischen Gesellschaft. Der Außenminister meinte, am 3. Mai solle man den Journalisten ehren, die beweisen, dass der Stift eine stärkere Waffe als die Zensur oder die Einschüchterung ist. Er erwähnte Journalisten, Blogger, Publizisten von Satirezeitschriften, die zum Ziel sogar Opfer geworden sind, weil sie ihr demokratisches Recht auf freie Meinungsäußerung ausgeübt haben. In einigen Staaten werden Journalisten werden verfolgt, zensiert, sogar verhaftet.




    Der Geschäftsführer der US-Botschaft in Bukarest, Dean Thompson, erklärte in einer Mitteilung, der Beruf des Journalisten könne gefährlich sein. 2014 haben mindestens 60 Journalisten ihr Leben verloren, weitere wurden verletzt, verhaftet, verfolgt oder bedroht. Der Rumänische Presseklub machte darauf aufmerksam, dass die rumänischen Medien mit der Verschlechterung interner Probleme und den Auswirkungen eines unfreundlichen wirtschaftlichen Umfelds zu kämpfen hätten, was 2015 keine Wiederbelebung der Presse ermögliche. Die Chefredakteure sollen an Lösungen der Identitätskrise, wie zum Beispiel die Neuentdeckung und die Unterstützung des kreativen und Qualitätsjournalismus denken.

  • Press Freedom

    Press Freedom

    In 2014 global press freedom has hit its lowest level in over a decade, reveals a recent Freedom House report. The document shows that last year journalists were faced with mounting pressure. Governments particularly use security and anti-corruption legislation to silence critical voices, advocacy groups and criminal networks use outrageous tactics to harass the media, while media tycoons try to manipulate information in order to serve their own political or material interests.



    Of the 199 countries and territories included in the report, 63 were featured ‘free in terms of information media, while 71 were described as ‘partly free. 65 countries continue to be press freedom deprived. Romania ranks 84th in the standing, with a partially free media. President Klaus Iohannis described the role of the mass media as key to defending public interest. A free press contributes to consolidating democracy and developing a prosperous society.



    In turn, Foreign Minister Bogdan Aurescu said press freedom is instrumental for a functional democracy. Minister Aurescu went on to say that May 3 should also pay a tribute to journalists who prove that “the pen is a mightier weapon than censorship or intimidation. The Romanian official referred to the reporters, bloggers or satirical journalists who became targets and victims of violence for exercising their democratic right to free speech. In some countries journalists are even subject to intimidation, censorship or jail time for their courage to voice their opinions.



    The US charge daffaires Dean Thompson recently said that press freedom was ‘under siege, and that being a journalist can be a ‘dangerous trade. According to the US official, in 2014, over 60 journalists were killed and many others wounded, harassed, arrested or threatened. In another move, the Romanian Press Club has highlighted that in 2015 Romania is faced with aggravated internal crises and the effects of economic difficulties, which leaves little room for recovery. Beyond economic issues, Club officials argue, the editorial leadership should come up with solutions to solve the identity crisis gripping most publications. One such solution would be to promote an unbiased, innovative and consistent journalism.

  • Свобода преси

    Свобода преси

    Свобода преси в світі досягла, у 2014 році, найнижчого рівня за останні десять років, показує щорічна доповідь, опублікована правозахисною організацією Фрідом Хаус, з нагоди Всесвітнього дня свободи преси, який щорічно
    відзначається 3 травня. Документ показує, що минулого року журналісти
    зіткнулися зі зростаючим тиском з усіх боків.

    За данними Freedom House,
    уряди використовують закони про безпеку та боротьбу з корупцією для того, щоб змусити критичні голоси замовкнути, групи тиску та злочинні групи вдаються до різних тактик залякування журналістів, а власники ЗМІ пробують маніпулювати зміст інформації, яка б служила їх політичним чи економічним інтересам. З тих 199 країн і територій, включених у доповідь, 63 отримали оцінку вільні ЗМІ, в той час як 71 були описані як частково
    вільні ЗМІ, а 65 – невільні ЗМІ. Румунія продовжує бути країною з частково вільною пресою і
    займає 84 позицію в цьому списку. У своєму посланні
    президент Клаус Йоханніс написав, що роль румунських ЗМІ є важливим для
    захисту громадських інтересів. Він підкреслив, що вільна преса сприяє
    зміцненню демократії і розвитку процвітаючого суспільства.




    І глава зовнішньополітичного відомства Румунії Богдан Ауреску ствердив, що вільна преса є ключем для функціонального
    демократичного суспільства. Міністр вважає, що 3 травня нам слід було висловити пошану
    всім журналістам,
    які доводять, що перо є більш
    потужною зброєю, ніж цензура і залякування. Він нагадав про тих журналістів, блогерів та журналістів
    сатиричних публікацій, які стали мішенями і навіть жертвами, тому що скористалися їхнім демократичним правом на свободу слова.







    У деяких державах світу,
    журналісти піддаються залякуванню, цензурі або позбавленню волі за сміливість висловити свої думки.
    Повірений у справах США в Бухаресті, Дін Томпсон, сказав, що свобода преси є в
    облозі, і що поле
    журналістики може бути небезпечним. За словами американського дипломата, в 2014 році, принаймні, 60
    журналістів було вбито, і багато інші отримали поранення, були переслідувані, арештовані або залякані.

    З іншого боку, Румунський клуб преси попередив, що засоби масової інформації в Румунії стикаються в цьому році з погіршенням внутрішніх проблем таз наслідками існування у
    ворожому економічному середовищі, контекст, який не змінить ситуацію у 2015
    році. Відповідно до Румунського клубу преси, попри економічні питання, провідні видавці повинні
    знайти рішення для вирішення кризи
    ідентичності, з якою стикаються чимало редакцій, і одне з
    таких рішень є беззастережна підтримка якісній та творчій журналістиці.

  • Libertatea presei

    Libertatea presei

    Libertatea presei la nivel mondial a
    atins în 2014 cel mai scăzut nivel din ultimii zece ani, releva raportul anual
    publicat de organizaţia pentru apărarea drepturilor omului Freedom House, în
    apropierea Zilei Mondiale a
    Libertăţii Presei, marcată anual pe 3 mai. In document se arată că anul trecut jurnaliştii s-au confruntat cu o
    intensificare a presiunilor venite din toate părţile.

    Potrivit Freedom House,
    guvernele folosesc legile în domeniul securităţii şi al luptei anticorupţie ca
    pretext pentru a face să tacă vocile critice, grupurile de presiune şi
    grupările delincvente recurg la tactici din ce în ce mai scandaloase pentru a-i
    intimida pe ziaristi, iar proprietarii de media încearcă să manipuleze
    conţinutul informaţiilor pentru a le servi intereselor lor politice sau
    economice. Dintre cele 199 de ţări şi teritorii incluse în raport, 63 au fost
    calificate drept ‘libere’ pentru media de informaţii, în timp ce 71 au fost
    descrise ca ‘parţial libere’, iar 65 ‘private de libertate’. România continuă
    să rămână printre statele cu presă parţial liberă şi ocupă poziţia 84.

    În mesajul său, preşedintele român Klaus Iohannis a scris că
    rolul mass-media este esenţial în apărarea interesului public. El a subliniat că o presă liberă contribuie la
    consolidarea democraţiei şi la dezvoltarea unei societăţi prospere. Si şeful
    diplomaţiei de la Bucureşti, Bogdan Aurescu, a afirmat că o presă liberă este ‘cheia’ pentru o societate
    democratică funcţională. Ministrul consideră ca în data de 3 mai ar trebui să
    fie adus un omagiu jurnaliştilor care dovedesc că ‘stiloul este o armă mai
    puternică decât cenzura sau intimidarea’.

    El a amintit de jurnaliştii,
    bloggerii, ziariştii de publicaţii satirice care au ajuns într-un mod
    inacceptabil ţinte şi chiar victime pentru că şi-au exercitat dreptul
    democratic la liberă exprimare.

    În unele state ale lumii, jurnaliştii sunt
    supuşi intimidării, cenzurii sau riscă închisoarea pentru curajul de a se
    exprima. Însărcinatul cu afaceri al SUA la Bucureşti, Dean Thompson, afirma că
    libertatea presei este ‘sub asediu’, iar meseria de jurnalist poate fi una
    ‘periculoasă’. Potrivit diplomatului american, în 2014, cel puţin 60 de
    jurnalişti au fost omorâţi şi mulţi alţii răniţi, hărţuiţi, arestaţi sau
    ameninţaţi.

    Pe de altă parte, Clubul Român de Presă a atras atenţia că media din România se
    confruntă şi în acest an cu agravarea problemelor interne şi cu efectele
    existenţei într-un mediu economic ostil, context care nu permite redresarea în
    2015. In opinia CRP, dincolo de problemele economice, liderii editoriali
    trebuie să reflecteze la soluţii pentru rezolvarea crizei de identitate pe care
    o traversează majoritatea redacţiilor, iar una dintre aceste soluţii este
    redescoperirea şi susţinerea fără rezerve a jurnalismului de calitate, creativ
    şi de substanţă.

  • 03.02.2015

    03.02.2015

    Liberté de la presse — Les médias jouent un rôle essentiel dans la défense de l’intérêt public, a affirmé le président roumain Klaus Iohannis, s’exprimant sur un réseau de socialisation à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, marquée chaque année le 3 mai. Dans son message, le chef de l’Etat roumain souligne le fait qu’une presse libre aide à renforcer la démocratie et à développer une société prospère. Pour sa part, Dean Thompson, responsable américain chargé des affaires à Bucarest, affirme dans un message que le métier de journaliste peut être «dangeureux» et que la liberté de la presse était «assiégée». Selon le responsable américain, en 2014, au moins 60 journalistes ont été tués, alors que de nombreux autres ont été blessés, harcelés, arrêtés ou menacés. En même temps, dans son récent rapport sur la liberté de la presse dans le monde en 2014, l’organisation pour la défense des droits de l’homme, Freedom House mentionnait que la Roumanie restait parmi les pays ayant une presse partiellement libre, occupant la 89e place parmi les 199 Etats examinés. Sur le plan mondial, la liberté de la presse a atteint en 2014 son plus bas niveau des 10 dernières années, mettent en garde les auteurs du rapport.



    Visite — Le premier ministre roumain Victor Ponta s’est entretenu dimanche à Doha, avec de hauts responsables du Qatar sur un possible partenariat visant la restructuration de la compagnie aérienne roumaine Tarom et le développement de l’aéroport Otopeni de Bucarest. Toujours dimanche, le chef du gouvernement roumain a nommé un attaché commercial roumain à Doha et un autre chargé des Roumains qui vivent ou qui ont de contrats de travail au Qatar. C’est la deuxième étape de la tournée que le premier ministre roumain entreprend dans la région du Golfe, après l’Arabie saoudite. Et c’est la première visite d’un chef de gouvernement roumain au Qatar depuis l’établissement des relations économiques bilatérales il y a 25 ans. Victor Ponta doit se rendre encore au Koweït et aux Emirats Arabes Unis. Cette tournée, qui prendra fin le 5 mai, vise à relancer le dialogue politique et les relations économiques de la Roumanie avec les pays de la région.



    Canoë-kayak — La Roumanie a remporté aujourd’hui une nouvelle médaille d’argent aux Championnats européens de canoë-kayak de République tchèque, à l’épreuve de kayak double 500 m. La médaille d’argent a été adjugée par Petronela Borha et Elena Meroniac, classées premières, samedi, à l’épreuve de kayak double 1000 m de la même compétition. Toujours Samedi, la Roumanie a été récompensée de deux médailles d’argent grâce à Florentina Caminescu à l’épreuve de kayak simple 1000 m et à l’équipage masculin formé de Leonid Carp, Petre Condrat, Iosif Chirila et Stefan Strat, à l’épreuve de canoë 4 sur 1000 m.



    Tennis — La joueuse de tennis française Alizé Cornet (numéro 28 WTA) au eu raison dimanche de la Roumaine Simona Halep, numéro 2 mondiale doit rencontrer au tour inaugural du tournois de tennis de Madrid, doté de prix de 4,2 millions d’euros. Samedi, la joueuse roumaine Iriga Begu (numéro 33 WTA) s’est qualifiée dans le second tour du tournoi après avoir vaincu en deux sets la Japonaise Kurumi Nara. Le tournoi de Madrid est un des plus importants avant Roland Garros, deuxième Grand Chelem de l’année.



    Météo — Le temps s’améliore en Roumanie, les pluies s’arrêtent et les températures augmentent. Le ciel est toujours couvert sur le centre et le sud du pays où il pleut par endroits. Les températures maximales de ce dimanche iront de 16 à 26 degrés. 20 degrés et du soleil à midi à Bucarest.

  • Pressefreiheit 2013: Freedom House stellt generellen Rückgang fest

    Pressefreiheit 2013: Freedom House stellt generellen Rückgang fest

    Für die Pressefreiheit war das Jahr 2013 das dunkelste im letzten Jahrzehnt, insbesondere in Ägypten, in der Türkei und in der Ukraine, aber auch in den USA, in puncto Probleme der nationalen Sicherheit. Ein Bericht der Nichtregierungsorganisation Freedom House, der vor kurzem veröffentlicht wurde, zeigt, dass 44% der Weltbevölkerung in Ländern leben, in denen die Presse nicht frei ist. Zudem leben 42% der Weltbevölkerung in Regionen, in denen die Presse nur teilweise frei ist. Wir erleben einen generellen Rückgang der Pressefreiheit, mit Regierungen und privaten Akteure, die Journalisten angreifen oder deren Zugang zu Veranstaltungen durch die Zensierung des Inhalts einschränken. Manchmal werden Journalisten aus politischen Gründen auch gefeuert“, so Freedom House. Ein erheblicher Teil der Presse wird von den Eigentümern für politische und wirtschaftliche Zwecke benutzt. Die freieste Presse gibt es in den Niederlanden, Norwegen und Schweden. Die letzten Plätze der Rangliste werden von Turkmenistan, Usbekistan und Nordkorea eingenommen.



    Zu den Ländern, in denen die Presse nicht frei ist, zählt auch China. In Indien ist die Presse teilweise frei. In diesen beiden Ländern lebt über ein Drittel der Weltbevölkerung. Auch in Russland ist die Presse nicht frei und die USA verzeichnen einen Rückgang gegenüber dem Freedom-House-Bericht von 2012. Grund dafür sei die eingeschränkte Lieferung von Informationen an Journalisten und die gegen sie eingeleiteten Ermittlungen.



    71 Journalisten wurden getötet und mehr als 800 verhaftet. Im Jahr 2013 gab es zudem über 2000 Übergriffe auf Journalisten. Die EU-Kommission hat dieses Jahr vier spezielle Projekte für die Unterstützung der Pressefreiheit eingeleitet. Die Vertreter der EU-Kommission haben über die von Freedom House erstellte Rangliste debattiert. Ryan Heath, Sprecher der EU-Kommissarin für die digitale Agenda, erklärte:



    Wir sind stolz darauf, dass es in Europa einige der freiesten Länder in puncto Pressefreiheit gibt. Wir haben mehrmals beteuert, dass wir alles daran setzen werden, die Pressefreiheit zu unterstützen. Es ist jedoch besorgniserregend, wenn unabhängige Organisationen schlussfolgern, dass manche Länder in Europa nicht die ersehnten Standards erreicht haben. Die Europäische Union verfügt über eingeschränkte Macht, wenn es darum geht, weil es nicht nur um Gesetze geht, sondern um Kultur und Professionalismus der Journalisten-Gemeinde.“



    Rumänien nimmt in der Rangliste von Freedom House einen mittleren Platz ein, in der Kategorie der Länder mit einer teilweise freien Presse. Die rumänische NGO Active Watch hat ebenfalls einen Bericht über die Pressefreiheit veröffentlicht. Der Vorsitzende dieser Organisation, Mircea Toma, berichtet über die wichtigsten Probleme der rumänischen Presse.



    Die Medien-Unternehmer setzen ihre eigene politische und wirtschaftliche Agenda ihrer Medien-Institutionen durch. Es sind Informationen, die manipulieren. Der beste Weg, das Risiko der Manipulation zu umgehen, ist, mehrere Medien-Produkte unterschiedlicher Medien-Gruppen zu analysieren. Wenn auf dem Tisch 3-4 Informationen erscheinen, die miteinander nichts zu tun haben, muss man sich fragen, ob die Wahrheit vorliegt, oder ob man weiter nachhacken muss.“



    Im Bericht von Active Watch wird auch der Einfluss der Fu‎ßball-Clubs und deren Leitung erwähnt. Diese haben in der Presse eine positive Berichterstattung über sie durchgesetzt. Schwerwiegend ist auch die Tatsache, dass Journalisten ihre Kollegen warnen, sie nicht mehr zu kritisieren und mit der Justiz drohen. Einige Medien-Institutionen missbrauchen die Ausdrucksfreiheit, mit dem Ziel, Personen, soziale Gruppen, die Justiz und politische Gruppierungen einzuschüchtern. Der Koordinator des Projekts FreeEx, Razvan Martin, über die heutige Lage der rumänischen Presse:



    Die Medienlandschaft ist sehr gespalten und unfähig, sich eine Reihe von Werten und Berufs-Standards anzueignen. Sie ist unfähig, für die eigenen Rechte zu kämpfen, und verliert an Glaubwürdigkeit. Die Lage des Journalisten gegenüber dem Arbeitgeber ist verwundbar, und deshalb sind auch seine beruflichen Rechte, insbesondere die Ausdrucksfreiheit verwundbar. Diese hat unter dem Einfluss und den Interessen der Arbeitgeber zu leiden.“



    Audiobeitrag hören:



  • 2013, année sombre pour la liberté de la presse

    2013, année sombre pour la liberté de la presse

    Un rapport de l’ONG Freedom House récemment rendu public indique que 44% de la population mondiale vit dans des régions où la presse n’est pas libre, et 42% dans d’autres où les médias sont partiellement libres. «Nous assistons à un recul général de la liberté de la presse, avec des gouvernements et des acteurs privés qui attaquent les journalistes ou imposent des restrictions à leur accès aux événements, soit par la censure des contenus, soit par leur licenciement pour des raisons politiques »; c’est le signal d’alarme de Freedom House.



    Le document fait valoir qu’une bonne partie de la presse continue d’être utilisée par les patrons comme arme en vue d’obtenir des avantages politiques et économiques. La meilleure situation du point de vue liberté de la presse est à retrouver aux Pays Bas, en Norvège et en Suède, alors que les dernières places du classement réalisé par Freedom House sont occupées par le Turkménistan, l’Ouzbékistan et la Corée du Nord. Parmi les pays dont la presse n’est pas libre l’on compte la Chine, et parmi ceux où elle est partiellement libre, l’Inde, les deux pris ensemble représentant à eux seuls plus d’un tiers de la population mondiale. En Russie non plus, la presse n’est pas libre, et Freedom House a accordé une note moindre aux Etats Unis, par rapport à 2012, à cause du fait que les journalistes ont fourni des informations limitées et ont fait l’objet d’enquêtes pénales. 71 journalistes ont été tués, plus de 800 — arrêtés — et plus de 2000 ont été agressés l’année dernière au niveau mondial — c’est le signal d’alarme tiré par les organismes internationaux de profil à l’occasion de la Journée mondiale de la Liberté de la presse.



    Les représentants de la Commission européenne, organisme qui a lancé cette année quatre projets spéciaux pour soutenir la liberté de la presse, ont discuté le classement de Freedom House, et selon le porte-parole du commissaire pour l’agenda numérique, Ryan Heath: « Nous sommes fiers que l’Europe compte l’un des pays les plus libres du monde en matière de liberté de la presse et nous avons affirmé à maintes reprises que nous ferions tout ce qui est en notre pouvoir pour soutenir la liberté de la presse. C’est pourtant inquiétant lorsque des organisations indépendantes établissent le fait que certains Etats européens ne disposent pas encore des normes que nous voudrions tous voir mettre en œuvre. L’Union européenne a des pouvoirs limités en la matière parce que ce n’est pas seulement une question de lois, c’est aussi une question de culture et de professionnalisme de la communauté journalistique ».



    En Roumanie, pays situé par Freedom House vers la moitié du classement dans la catégorie des pays à la presse partiellement libre, l’ONG Active Watch a également rendu public un rapport FreeEx sur la liberté de la presse. Le président de l’organisation, Mircea Toma, se penche sur les problèmes les plus graves auxquels se confrontent les médias roumains: « Les patrons des institutions médiatiques imposent leur propre agenda politique et économique aux médias qu’ils dirigent. Du coup, la presse véhicule des informations qui manipulent et qui déclenchent différentes attitudes en faveur de petits profiteurs. La meilleure façon de contrecarrer la manipulation médiatique, c’est de consulter différents produits médias provenant de différents groupes médiatiques. Une fois devant trois ou quatre informations qui se contredisent, une question nous vient à l’esprit: est-ce que la vérité est là où faut-il faire encore des fouilles pour la dénicher? »



    Selon le rapport FreeEx, « les institutions médiatiques de Roumanie sont politiquement contrôlées et fortement touchées par les conflits d’intérêts, ce qui porte atteinte à l’objectivité et à la liberté de la presse ». Une situation nouvellement présentée en 2013 par la presse concerne les clubs de football dont les dirigeants ont imposé aux médias une couverture favorable. Par ailleurs, plusieurs médias se servent abusivement du droit à la libre expression afin d’intimider d’autres personnes, magistrats, groupes sociaux ou politiques.



    Le coordinateur du projet FreeEx, Razvan Martin, fait état de la presse actuelle de Roumanie: « Extrêmement divisée, incapable d’assumer des valeurs et des normes professionnelles, incapable de lutter pour défendre ses droits et en perte de crédibilité, telle est la presse roumaine. Le statut du journaliste par rapport au patronat est très vulnérable, ce qui porte sérieusement atteinte à ses droits, notamment à celui à la libre expression ».



    Dans son message à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, l’ONU a appelé les journalistes à faire leur métier sans contrainte aucune et en toute sécurité… (trad. : Ligia Mihaescu, Ioana Stancescu)


  • 2013 – чорний рік для  свободи преси

    2013 – чорний рік для свободи преси

    Свобода преси зазнала в 2013 році найчорнішого року за останнє десятиліття, особливо в Єгипті, Туреччині та Україні, але й і в США, з точки зору питань національної безпеки. У доповіді неурядової організації Freedom House, недавно оприлюдненій, відмічається, що 44% світового населення проживає в регіонах, де преса не є вільною, і 42% в регіонах де засоби масової інформації лише частково вільні. “Ми бачимо загальний занепад свободи преси, з урядами і приватними чинниками, які нападають на журналістів або обмежують їх доступ до подій, або цензурують зміст та звільнюють журналістів з роботи з політичних мотивів”, – застерігає Freedom House.



    З документу також випливає, що значна частина засобів масової інформації до цих пір використовується їх власниками як зброя для досягнення політичних і економічних переваг. Найкраща ситуація з точки зору свободи преси знаходиться в Нідерландах, Норвегії та Швеції, в той час як минулого року в списку Freedom House останні місця займає Туркменістан, Узбекистан і Північна Корея. Серед країн чия преса не є вільною числиться Китай, а серед країн з частково вільною пресою є Індія, обидві країни налічують понад однієї третини світового населення. Ані в Росії преса не є вільною, а в США преса зазнала занепаду порівняно з доповіддю Freedom House від 2012 року, через обмеження надання інформації журналістам.



    Сімдесят один журналіст був вбитий, більше 800 заарештовано і більше 2000 зазнали нападу в минулому році в світі – привернули увагу міжнародні інститути з нагоди Всесвітнього дня свободи преси. Представники Європейської комісії, орган, який оголосив цього року чотири спеціальні проекти для підтримки рейтингу свободи преси обговорили складений “Freedom House” список, і відповідно до прес-секретаря єврокомісара з цифрового порядку денного Райана Хіта: “Ми пишаємося тим, що Європа має одні з найбільш вільних країн у світі, коли мова йде про свободу преси і неодноразово я говорив, що ми будемо робити все від нас залежне, щоб підтримати свободу преси. Але нас турбує, коли незалежні організації встановлюють, що деякі європейські країни ще не мають стандарти, які ми всі хочемо бачити. Європейський Союз має обмежені повноваження, коли мова йде про це питання, тому що це не тільки питання закону, але й питання “культури і професіоналізму журналістської спільноти.”



    У Румунії — країна, яку Freedom House розмістила всередині таблиці, в категорії країн з частково вільною пресою, Active Watch опублікувала також доповідь про свободу преси FreeEx. Президент організації Мірча Тома розповідає про найбільш серйозні проблем, з якими стикаються ЗМІ в Румунії: “Власники ЗМІ накладають свій власний політичний та економічний порядок денний мас-медіа, які вони контролюють. Це інформація, яка маніпулює, і викликає у нас певну поведінку на користь невеликих груп. Найбільш важливий спосіб реагувати на небезпеку маніпуляції є перевірка кількох засобів масової інформації з різних медіа-груп. На лавці маємо кілька інформацій, які не збігаються, і тоді варто запитати, якщо правда там або ще слід розшукувати її.”



    FreeEx також вважає, що “засоби масової інформації в Румунії продовжують бути політизованими і страждають від потужних бізнес-інтересів, які послаблюють рівновіддаленість і свободу преси. Новим елементом представленим в доповіді про свободу преси є той факт, що минулого року футбольні клуби та їх керівні структури закликали до сприятливого висвітлення у ЗМІ. Також інша проблема, що стоїть перед ЗМІ є той факт, що деякі ЗМІ та люди, що мають зв’язок з пресою закликають своїх колег не піддавати їх критиці загрожуючи їм судовими процесами. Більш того, деякі ЗМІ зловживають правом на свободу слова, щоб залякати інших людей, соціальні і політичні групи, але й юстицію.



    Координатор проекту FreeEx Резван Мартін, розповідає про пресу в Румунії, в даний час: “ЗМІ дуже розділені, не в змозі взяти на себе цінності і професійні стандарти, не в змозі боротися за свої права, і таким чином, втрачають довіру людей. Статус журналіста по відношенню до роботодавців дуже вразливий, і це робить, щоб його професійні права, особливо право на свободу слова, були дуже вразливими, дуже залежними від впливу та інтересів роботодавців.”



    У своєму посланні з нагоди Всесвітнього дня свободи преси, Організація Обєднаних Націй повідомила, що журналісти мають працювати без тиску і залякування, в безпечному середовищі.