Tag: Iurie Leanca

  • 04.01.2018 (mise à jour)

    04.01.2018 (mise à jour)

    Objectifs – Bucarest a comme grands objectifs pour l’année 2019 -quand
    la Roumanie exerce, au premier semestre, la présidence tournante de l’Union
    européenne — une intégration dans l’UE meilleure et approfondie, la
    consolidation de sa position au sein de l’OTAN et une présence renforcée de
    l’Alliance sur le flanc est, la consolidation de l’Etat de droit et la
    continuation en force de la lutte contre la corruption, a déclaré vendredi le
    président roumain Klaus Iohannis. Le chef de l’Etat a par ailleurs affirmé
    qu’il n’accepterait pas les noms proposés par le Parti social-démocrate, Lia Olguţa Vasilescu et Mihai Drăghici, pour occuper les postes respectivement
    de ministre du développement régional et de ministre des transports. Le
    président Iohannis a précisé que ses arguments étaient de nature légale et
    d’opportunité et qu’il les rendrait publics la semaine
    prochaine, Rappelons-le, fin novembre, le chef de
    l’Etat avait accepté six propositions de remaniement avancées par la première
    ministre Viorica Dăncilă et concernant
    les titulaires des ministères de la Défense, Emploi, Education, Culture,
    Communications, Jeunesse et Sports. Il avait rejeté en revanche les
    propositions avancées visant les portefeuilles des Transports et du
    Développement régional. Ce jeudi, le président Iohannis avait signé les décrets de
    constat vacance des deux postes.M Iohanis
    avait par ailleurs affirmé vendredi qu’il ne signerait pas le décret de
    révocation du procureur général, Augustin Lazăr, dont l’activité est remarquable,
    à son avis. Ce qui plus est, la proposition de révocation du procureur général
    avancée par le ministre de la Justice ne remplit pas les conditions de la loi,
    a encore précisé le chef de l’Etat. Le parti social démocrate condamne les actions répétées, du président visant à bloquer l’activité
    gouvernementale. De même par le déni manifesté à l’égard de la constitution et
    de l’Etat de droit, le président est entré dans une complicité de nature pénale
    avec le procureur général, affirme le même parti social démocrate. Pour rappel,
    le ministre de la Justice avait avancé la proposition de destitution du
    procureur général pour sanctionner des écarts graves eu égard ses attributions,
    le non respect des droits fondamentaux et pour avoir outrepassé les lois.

    Ambassadeur – Le Sénat américain a renvoyé au président Donald Trump la nomination d’Adrian Zuckerman au poste d’ambassadeur des Etats-Unis en Roumanie, pour des raisons de procédure. Selon le règlement du Sénat américain, les nominations qui n’ont pas été examinées lors d’une session ne peuvent pas être reportées à une autre sans être envoyées par le président. Fin juillet 2018, le président américain avait envoyé au Sénat la nomination d’Adrian Zuckerman au poste d’ambassadeur. Dans sa présentation il est mentionné que M Zuckerman avait quitté la Roumanie pour les Etats Unis à l’âge de 10 ans et qu’il parle couramment le roumain. Il est actuellement partenaire au sein d’une société d’avocats de New York spécialisée dans les transactions immobilières. Il est un proche de la famille Trump depuis deux décennies et un membre connu du milieu des affaires de New York. S’il est voté par le Congrès Américain, Adrian Zuckerman remplacera l’actuel ambassadeur à Bucarest, Hans Klemm. Une nouvelle séance du Congrès américain a démarré jeudi.

    Chisinau – La présidence roumaine du Conseil de l’Union européenne est une
    occasion unique d’intensifier la relation de la République de Moldova voisine
    avec les structures communautaire – a affirmé Iurie Leancă, vice-premier
    ministre chargé de l’intégration européenne au gouvernement de Chişinău. Il a
    également exprimé son espoir d’assister à une amplification du dialogue
    politique entre l’UE et la République de Moldova, pour que cette dernière se voit
    offrir une perspective d’adhésion claire. Iurie Leancă a ajouté qu’il misait
    aussi sur un soutien au processus de réformes et à l’accélération de la mise en
    œuvre des projets d’interconnexion dans le secteur de l’énergie et des projets
    d’infrastructure reliant République de Moldova à la Roumanie. La Roumanie
    assure, pour la première fois, la présidence tournante du Conseil de l’UE, du
    1-er janvier au 30 juin 2019, l’agenda étant dominé par le Brexit, la
    négociation du futur budget communautaire et les élections européennes du mois
    de mai.












    Sport – La sélection nationale roumaine de volleyball féminin
    rencontrera samedi dans la ville d’Alexandria, dans le sud du pays, la sélection
    espagnole dans le match décisif des
    préliminaires du groupe F comptant pour le Championnat européen. L’équipe
    gagnante sera qualifiée au tournoi final qui se déroulera du 23 août au 8
    septembre, et dont l’organisation est partagée entre la Turquie, la Pologne, la
    Hongrie et la Slovaquie. A part la Roumanie et l’Espagne, le groupe F compte
    les sélections de Lettonie et de Bosnie-Herzégovine. Les deux premières
    classées de chacun des 6 groupes préliminaires sont assurées d’avoir leur
    ticket pour la finale.













    Météo – Les températures hivernales seront de mise les prochaines
    heures partout en Roumanie, mais notamment dans le nord, le Centre et les
    régions collinaires, où des chutes de neige sont attendues. Les températures
    minimum varieront entre – 14 et – 2°, alors que les maxima ne dépasseront pas
    les 2°C.





  • Nachrichten 04.01.2018

    Nachrichten 04.01.2018


    Bukarest: Die Prioritäten Rumäniens im Jahr 2019 sind die EU-Integration, die Konsolidierung der NATO-Mitgliedschaft, die Stärkung der NATO-Präsenz an der Ostflanke, die Verstärkung des Rechtsstaates und die Bekämpfung der Korruption, hat der rumänische Präsident Klaus Iohannis gesagt. Darüber hinaus betonte der rumänische Staatschef, er werde die Nominierungen von Lia Olguta Vasilescu für den Posten des Entwicklungsministers und Mihai Draghici für das Amt des Verkehrsministers nicht annehmen. Ende November letzten Jahres hatte Präsident Iohannis sechs Nominierungen bei einer Umbildung des Dancila-Kabinetts für die Ressorts Verteidigung, Arbeit, Wirtschaft, Kultur, Kommunikation und Jugend und Sport angenommenund und die Nominierungen für Verkehr und regionale Entwicklung abgelehnt.



    Bukarest: Die rumänische EU-Ratspräsidentschaft bietet Chisinau eine einzigartige Gelegenheit, seine Beziehungen zur Europäischen Union zu verbessern, sagte der stellvertretende moldauische Premierminister für europäische Integration Iurie Leanca. Im Anschluss äußerte er die Hoffnung, dass sein Land den Dialog mit der EU intensivieren werde und das Brüssel der Republik Moldau eine klare Perspektive für den Beitritt bieten werde. Ferner sagte Iurie Leanca, dass er mit der Unterstützung des Reformprozesses und der Förderung der Umsetzung von Projekten zur Vernetzung der Energie- und Infrastrukturnetze von Moldau und Rumänien rechne.



    Bukarest: Rund 12 Millionen Touristen haben Rumänien in den ersten elf Monaten des Jahres 2018 besucht, ein Plus von 6,4% gegenüber dem gleichen Zeitraum von 2017, berichtet das Nationale Statistikinstitut. Ein Großteil der Einnahmen sei demnach mit 78% auf inländische Touristen zurückzuführen, während ausländische Touristenbuchungen 22% erreichten. Was die Zahl der ausländischen Touristen angeht, so war Europa mit 74,6% der Buchungen der am meisten besuchte Kontinent. 85,7% dieser Touristen besuchten die EU-Mitgliedstaaten. Die meisten Touristen, die letztes Jahr einen Urlaub gebucht hatten, kamen aus Deutschland, Israel, Italien, Frankreich und den Vereinigten Staaten. Die Städte, die die größte Touristenzahl verzeichneten, waren im vergangenen Jahr Constanta, Brasov, Cluj und die Hauptstadt Bukarest



    Bukarest: Die Gesamtzahl der Polizeioffiziere lag 2016 EU-weit bei 1,6 Millionen, was 318 Polizeibeamten pro 100 000 Einwohner entspricht, wie ein Eurostat-Bericht zeigt. Es gibt jedoch große Unterschiede zwischen den Mitgliedstaaten, in Ungarn waren im Jahr 2015 90 Polizisten pro 100.000 Einwohner tätig, gefolgt von Finnland mit 137. Rumänien hatte 242 Polizisten pro 100.000 Einwohner. Die geringste Zahl der Polizisten pro Einwohner wird in Zypern mit 573, Malta mit 505 und Griechenland mit 492 verzeichnet.



    Sport: Die rumänische Tennisspielerin Sorana Cîrstea ist am Donnerstag beim mit 750.000 Dollar dotierten Tennistournier in Shenzhen ausgeschieden. Sie verlor in zwei Sätzen, 7-5, 6-1 gegen die US-amerikanische Spielerin Alison Riske. Monica Niculescu, Nummer 99 in der Weltrangliste, ist am Freitag im Viertelfinale ausgeschieden, sie verlor in drei Sätzen 2-6, 7-6, 6-1, gegen die Chinesin Yafan Wang (Platz 70 WTA).

  • 04.01.2019

    04.01.2019

    Objectifs – Bucarest
    a comme grands objectifs pour l’année 2019- quand la Roumanie exerce, au
    premier semestre, la présidence tournante de l’Union européenne- une
    intégration dans l’UE meilleure et approfondie, la consolidation de sa position
    au sein de l’OTAN et une présence renforcée de l’Alliance sur le flanc est, la
    consolidation de l’Etat de droit et la continuation en force de la lutte contre la corruption, a déclaré aujourd’hui
    le président roumain Klaus Iohannis. Le chef de l’Etat a par ailleurs affirmé
    qu’il n’accepterait pas les noms proposés par le Parti social-démocrate, Lia
    Olguţa Vasilescu et Mihai Drăghici, pour occuper les postes respectivement de ministre du développement
    régional et de ministre des transports. Le président Iohannis a précisé que ses
    arguments pour refuser ces candidats, qu’il rendrait publics la semaine
    prochaine, étaient de nature légale et d’opportunité.
    Rappelons-le, fin novembre, le chef de l’Etat avait accepté six propositions de
    remaniement avancées par la première ministre Viorica Dăncilă et concernant la défense, l’emploi, l’éducation, la
    culture, les communications et la jeunesse et les sports. Il avait rejeté les
    propositions visant les portefeuilles des transports et du développement
    régional. Ce jeudi, le président Iohannis a signé les décrets de constat vacance des
    deux postes.














    Déclaration
    – La présidence roumaine du Conseil de l’Union européenne est une occasion
    unique d’intensifier la relation de la République de Moldova voisine avec les
    structures communautaire – a affirmé Iurie Leancă, vice-premier ministre chargé
    de l’intégration européenne au gouvernement de Chişinău. Il a également exprimé
    son espoir d’assister à une amplification du dialogue politique entre l’UE et
    la République de Moldova, pour que cette dernière se voit offrir une
    perspective d’adhésion claire. Iurie Leancă a ajouté qu’il misait aussi sur un
    soutien au processus de réformes et à l’accélération de la mise en œuvre des
    projets d’interconnexion dans le secteur de l’énergie et des projets d’infrastructure
    reliant République de Moldova à la Roumanie. La Roumanie assure, pour la
    première fois, la présidence tournante du Conseil de l’UE, du 1-er janvier au 30
    juin 2019, l’agenda étant dominé par le Brexit, la négociation du futur budget
    communautaire et les élections européennes du mois de mai.




















    Tourisme
    – En Roumanie, les structures d’accueil du secteur du tourisme ont enregistré
    près de 12 millions d’entrées au cours des 11 premiers mois de l’année passée,
    ce qui représente une hausse de 6,4% par rapport à la même période de 2017,
    indique l’Institut national de la statistique. Les touristes roumains ont
    compté pour 78% du total, 22% étant des touristes étrangers. Dans cette
    dernière catégorie, les Européens de l’ouest du continent ont été les plus
    nombreux (près de 75%), dont une écrasante majorité (près de 86%) provenait des
    Etats membres de l’Union européenne. La plupart des touristes étrangers étaient
    originaire d’Allemagne, France, Israël, Italie et des Etats-Unis. Parmi les
    départements de Roumanie à avoir accueilli des nombres importants de touristes
    étrangers, il y a Constanţa (sud-est), Braşov (centre-ouest) et Cluj (nord-ouest),
    ainsi que la capitale, Bucarest.




    Frontière
    – L’Inspection générale de la police aux frontières de Roumanie informe que,
    ces dernières 24 heures, quelque 188.000 personnes ont traversé la frontière
    par les points de contrôle, la plupart pour sortir de Roumanie. L’Inspection
    générale rappelle que les temps d’attente et la fluidité de la circulation aux
    points de contrôle de la frontière roumaine sont disponibles sur l’application
    dédiée, sur le site de l’institution (à l’adresse http://www.politiadefrontiera.ro/traficonline/).
    Selon la même source, lors des contrôles effectués, les policiers aux
    frontières roumains ont constaté 27 illégalités ayant des auteurs aussi bien
    roumains qu’étrangers. 13 ressortissants étrangers se sont vu refuser l’entrée
    en Roumanie et 15 citoyens roumains – le départ du pays.


    Statistiques
    – L’Union européenne avait, en 2016, 1,6 millions d’agents de police, soit 318
    pour 100.000 habitants, indique Eurostat. Il existe des différences importantes
    entre les Etats membres. La Hongrie et la Finlande ont le moins de policiers
    pour 100.000 habitants – 90 et respectivement 137. La Roumanie en avait 242.
    Les Etats membres qui disposaient des plus grands nombres d’agents de police
    étaient Chypre (573 policiers pour 100.000 habitants), Malta (505) et Grèce
    (492).


















    Tennis
    – La joueuse roumaine de tennis Sorana Cîrstea a été éliminée aujourd’hui, en
    quarts de finale, du tournoi WTA de Shenzhen (Chine). Elle s’est inclinée
    devant l’Américaine Alison Riske, gagnante en deux sets. Sorana Cîrstea (84
    WTA) a essuyé sa troisième défaite, sur un total de sept rencontres avec l’Américaine
    (62 WTA). Aujourd’hui également et toujours en quarts de finale, la Roumaine Monica Niculescu (99 WTA) a concédé
    la victoire, au bout de trois sets, à la Chinoise Yafan Wang (70 WTA).




    Météo
    – Le temps se refroidit en Roumanie et les températures attendues seront
    inférieures aux normales de saison. Les maximales d’aujourd’hui vont de -8° à 2°.
    A Bucarest, le thermomètre affichait 1° à midi.

  • ONU cere retragerea armatei ruse din Republica Moldova

    ONU cere retragerea armatei ruse din Republica Moldova

    Fapt anticipat de analişti, Adunarea Generală a ONU a adoptat, cu un scor categoric, proiectul de rezoluţie avansat de Republica Moldova, care cere retragerea trupelor ruse din regiunea separatistă prorusă Transnistria. Coautori ai proiectului au fost 10 ţări, între care România şi Ucraina, vecine Republicii Moldova, cele trei state baltice, ele însele supuse unei jumătăţi de secol de ocupaţie sovietică, şi membri importanţi ai Uniunii Europene şi NATO, precum Marea Britanie ori Polonia. Apărător consecvent al independenţei şi integrităţii statului vecin, Bucureştiul a salutat prompt adoptarea rezoluţiei, cu 64 de voturi pentru, doar 15 împotrivă şi 83 de abţineri.



    Statele Unite, Germania, Franţa, Canada, Turcia ori Japonia figurează printre actorii internaţionali relevanţi care au votat pentru retragerea ruşilor. Voturi împotrivă au venit de la aliaţi fideli ai Moscovei, precum Armenia sau Belarus, ori din partea regimurilor dictatoriale din Coreea de Nord, Siria sau Cuba. Împotrivă a votat, bineînţeles, şi Federaţia Rusă, iar regimul separatist transnistrean şi preşedintele filorus de la Chişinău, Igor Dodon, nu şi-au ascuns iritarea faţă de adoptarea acesteia.



    În numele guvernului pro-occidental al Republicii Moldova, fostul prim-ministru şi şef al diplomaţiei, actualul vicepremier Iurie Leancă apreciază că adoptarea rezoluţiei e un succes politic “Înţelegem cu toţii că o eventuală rezoluţie votată în cadrul Adunării Generale are un caracter simbolic, dar simbolismul în relaţia dintre ţări înseamnă foarte mult. Chiar dacă nu ne aşteptăm după asta la anumite mişcări imediate în zona respectivă şi începutul retragerii muniţiilor şi celor care păzesc aceste muniţii, oricum acest obiectiv este unul foarte important.”



    Transnistria a ieşit, de facto, de sub controlul autorităţilor centrale în 1992, după un conflict armat soldat cu sute de morţi şi tranşat odată cu intervenţia trupelor Moscovei de partea separatiştilor. Independentă de mai puţin de un an, Republica Moldova nici nu avea atunci armată, aşa că a trimis contra blindatelor ruseşti contingente de poliţişti şi detaşamente de voluntari. Cu independenţa proclamată unilateral şi nerecunoscută nici măcar de Moscova, Transnistria e calificată frecvent drept un paradis al criminalităţii la porţile Europei, o placă turnantă pentru traficul de armanent, droguri sau persoane.



    În 1999, la summitul OSCE de la Istanbul, Rusia, condusă pe atunci de preşedintele Boris Elţîn, s-a angajat să-şi retragă trupele şi arsenalele. Or, cinci ani mai târziu procesul a fost definitiv stopat, iar astăzi autorităţile de la Chişinău estimează că în estul rebel al republicii se mai află ilegal între 1.500 şi 1.700 de militari ruşi şi circa 21 de mii de tone de muniţie. Ceea ce a dat naştere şi butadei amare potrivit căreia Republica Moldova e cel mai lung stat din lume, fiindcă de două decenii se tot retrag ruşii şi încă n-au terminat.

  • Victor Negrescu, vizită în Republica Moldova

    Victor Negrescu, vizită în Republica Moldova

    Ministrul delegat pentru Afaceri Europene, Victor Negrescu, a făcut vineri, 18 mai 2018, o vizită în Republica Moldova, în contextul intensificării contactelor politico-diplomatice dintre cele două țări. El a avut întrevederi cu prim-ministrul Republicii Moldova, Pavel Filip, viceprim-ministrul pentru Integrare Europeană, Iurie Leancă, Daniela Morari, vice-ministrul Afacerilor Externe și Integrării Europene al Republicii Moldova, respectiv cu Valeriu Ghilețchi, vicepreşedintele Parlamentului Republicii Moldova.

    Negrescu a subliniat importanța prioritară pe care țara noastră o acordă dezvoltării relației cu Republica Moldova, reiterând angajamentul ferm al României pentru sprijinirea parcursului european al Republicii Moldova, în baza procesului de reforme și a priorităților asumate în contextul implementării Acordului de Asociere dintre Republica Moldova și Uniunea Europeană.

    Perspectiva organizării, la București, a unei noi sesiuni a Comisiei Interguvernamentale România – Republica Moldova pentru Integrare Europeană, a cărei activitate oferă un cadru adecvat pentru ca România să poată împărtăși din experiența pe care a dobândit-o în procesul de aderare la Uniunea Europeană, a fost un alt subiect despre care s-a discutat.

    Dezvoltarea relației cu Republica Moldova este o prioritate de prim rang pentru Guvernul României și un subiect asupra căruia există un larg consens la nivelul întregii societăți româneşti. Din această perspectivă, România va continua susţinerea fermă şi consecventă pe calea reformelor și a integrării europene, în consens cu aspirațiile cetățenilor acestei țări, a declarat Victor Negrescu.

    Întâlnirile cu oficialii din Republica Moldova au prilejuit totodată oportunitatea prezentării de către ministrul delegat a stadiului pregătirilor pentru preluarea de către România a Președinției Consiliului Uniunii Europene, în primul semestru al anului viitor.

    În calitate de viitoare Președinție a Consiliului Uniunii Europene, ne propunem să folosim orice oportunitate pentru valorificarea aspirațiilor europene ale Republicii Moldova, în concordanță cu nivelul de ambiție al Chișinăului în 2019. Pe parcursul mandatului său, România va promova o Uniune Europeană capabilă să proiecteze mai multă stabilitate, democrație și prosperitate în vecinătatea sa, în contextul momentului de bilanț al Parteneriatului Estic, la zece ani de la momentul lansării acestui cadru de cooperare, a mai spus ministrul delegat pentru Afaceri Europene .

  • February 21, 2018

    February 21, 2018

    MOTION – The simple motion against Labour Minister Lia Olguta Vasilescu, tabled by the National Liberal Party and debated upon in the Chamber of Deputies on Monday, has been rejected today by the Romanian MPs, with 157 votes against, 96 in favor and 16 abstentions. The signatories of the document, 60 Liberal MPs, have said that the transfer of social insurance contributions from employers to employees, starting January 1st, has resulted in pay cuts for around 2 million Romanians and that through the laws that she endorsed, Lia Olguta Vasilescu has created chaos in the public and private sectors. In turn, the Labour Minister has said that salaries cannot go down if the employer transfers the total expense with an employee to the latter’s gross salary, in keeping with the new salary law.




    PROTESTS — Romanian trade unions in education are today protesting in the street against a series of fiscal measures which they say cause thousands of employees in the education system lose important amounts from their salaries. Unionists also demand the renegotiation of the public system salary law saying it has created discrimination between employees. They also want the pension law to be revised, so that the teaching staff can retire three years before the standard age. Protest actions are also scheduled for tomorrow.




    VISIT — Romanian PM Viorica Dancila is today having a meeting with the European Commission President, Jean Claude Junker. This is the first official visit abroad of Romania’s new PM, Viorica Dancila. On Tuesday the Romanian PM held talks with the head of the European Parliament, Antonio Tajani and with the European Council President Donald Tusk, on the EU Council presidency that Romania is taking over starting January 1st, 2019. Dancila has reaffirmed Romania’s firm support for the consolidation of the European project. In turn, Antonio Tanjani has again called on the Romanian Government to continue the battle against corruption, for the consolidation of the rule of law.




    COURT — Romania’s Constitutional Court is today discussing several complaints submitted by the Save Romania Union (USR) about the revision in Parliament of the justice laws. The right-of-center Save Romania Union, in opposition, has signalled the unconstitutionality of some of the provisions of the law on the organisation and functioning of the Higher Council of Magistracy, the status of djudges and prosecutors and the law on the judicial organisation. According to the Save Romania Union, the three laws endorsed by Parliament undermine the independence of magistrates. The political power in Bucharest however, argues that the revision of the justice laws was needed, given that they have not been revised in over ten years. On the other hand, the political opposition, a part of the civil sociaty and the magistrates’ professional organisations are contesting the modifications, saying they only serve the vested inerests of some politicians and business people.




    MOLDOVA — Romanian President Klaus Iohannis is today meeting with the Moldovan deputy prime minister for European Integration, Iurie Leanca, who pays an official visit to Bucharest. On Tuesday, Leanca discussed with the Romanian Foreign Minister Teodor Melescanu about the importance of keeping Moldova on the European agenda. Minister Melescanu reiterated Romania’s support for Moldova’s EU integration. Previously, Iurie Leanca met with the Romanian minister-delegate for European Affairs, Victor Negrescu. The latter said that the strategic goal of the cooperation between Bucharest and Chisinau is Moldova’s EU integration.




    RROMA — Romania must speed up its efforts to combat discrimination, especially against the Rroma, and to protect all national minorities in a series of domains, according to a report of the Council of Europe’s Advisory Committee on the Framework Convention for the Protection of National Minorities. In the document, the Committee acknowledges the efforts of the Romanian authorities to promote the minorities’ culture and education, and guarantee the representation of national minorities in Parliament. However, the country should create a solid and coherent legal framework for the protection of minorities’ rights, given that the current legislation is confusing and makes room for contradictory interpretation, the report also says. (Translated by Elena Enache)






  • Lokalwahlen in Moldau: moskaunahe Sozialisten liegen vorn

    Lokalwahlen in Moldau: moskaunahe Sozialisten liegen vorn

    Voriges Jahr galt die Republik Moldau in Westeuropa als vertrauensvoller Partner der Ostpartnerschaft. In den letzten fünf Jahren setzte das rumänischsprachige Land unter Führung der proeuropäischen Regierungen von Vlad Filat und Iurie Leancă wichtige Reformen um. Dies belohnte die Europäische Union mit der Unterzeichnung von Assoziierungs- und Handelsabkommen. Damals erklärten die politischen Anführer des rumänischsprachigen Landes voller Optimismus, dass Republik Moldau im Jahr 2020, möglicherweise wenn Rumänien die EU-Ratspräsidentschaft inne haben wird, der EU beitreten könnte.



    Im Herbst 2014 bekommt das Nachbarland Rumäniens aber einen Strich durch die Rechnung. Das proeuropäische Lager, gebildet aus Liberal-Demokraten, Demokraten und Liberalen, erzielte bei den Parlamentswahlen die Mehrheit, die es brauchte, um im Amt zu bleiben. Die Liberalen hatten vorher sehr stark um die Annäherung an Bukarest und Brüssel geworben, nach den Legislativwahlen sind sie doch in die Opposition gegangen und Iurie Leancă ist aus der liberal-demokratischen Partei ausgetreten.



    Die Regierungskoalition gebildet aus Liberal-Demokraten und Demokraten wählte erst im Februar 2015 mit den Stimmen der moskaunahen Kommunisten einen neuen Premierminister: den jungen Geschäftsmann Chiril Gaburici. Am Freitag ist Gaburici zurückgetreten. Er zog somit die Konzequenzen aus dem Skandal um ein gefälschtes Abitur-Zeugnis. Laut Ermittlungen der Polizei, habe Gaburici die Unterschrift des Direktors des Gymnasiuns sowie den Stempel auf der Urkunde gefälscht. Seine Regierung wurde für proeuropäisch erklärt, war dennoch wegen Unwirksamkeit und Korruption stark umstritten.



    Dutzende Menschen sind mehrmals auf die Straße gegangen, um den Rücktritt der Regierungskoalition zu fordern. Die Demonstranten warfen der Regierung das Verschwinden von einer Milliarde Dollar aus dem Bankensystem des Landes durch dubiose Geschäfte vor. Nicht überraschend war aus dieser Sicht die niedrige Wahlbeteiligung, insbesonders unter Jugendlichen, bei den Lokalwahlen am Sonntag. Dasselbe kann man nicht über die älteren und russlandnahen Wähler sagen.



    Im nordmoldauischen Bălţi wurden die Wahlen in der ersten Runde entschieden: Mit mehr als 70% der Stimmen ging der umstrittende Geschäftsmann Renato Usatîi als klarer Sieger aus der Wahl hervor. Usatîi erfreut sich der politischen und finanziellen Unterstützung Moskaus, ist stark populistisch und wird der Verbindungen zur Mafia verdächtigt. Der Geschäftsmann wird dennoch als Bürgermeister die zweitgrößte Stadt der Republik Moldau leiten. Am 28. Juni findet die Stichwahl um das Bürgermeisteramt in der Hauptstadt Chişinău statt, wo ein Drittel der Bevölkerung lebt und eine Hälfte des Bruttoinlandsproduktes des Landes produziert wird. Das Ergebnis der Wahlen spielt daher eine äußerst wichtige geopolitische Rolle.



    Im Kampf um das Bürgermeisteramt treten der Liberale Dorin Chirtoacă, promovierter Jurist in Bukarest und die ehemalige kommunistische Premierministerin Zinaida Greceanîi, die nun bei den Wahlen die moskaunahen Sozialisten vertritt. Es handelt sich eigentlich um einen Kampf zwischen Europa und Russland. Vom Wahlergebnis hänge laut Radio România Korrespondenten auch die Wiederherstellung der proeuropäischen Regierungskoalition ab, die die verheerende Bilanz des Kabinetts Gaburici wiedergutmachen könne.


  • Moldaurepublik: innenpolitisch konfus, außenpolitische Ziele unsicher

    Moldaurepublik: innenpolitisch konfus, außenpolitische Ziele unsicher

    Die Amtseinführung der neuen moldauischen Minderheitsregierung im Februar mit Hilfe der Stimmen der prorussischen kommunistischen Abgeordneten hat einen Schatten auf das europäische Engagement des Kabinetts von Chiril Gaburici geworfen. Die Minderheitsregierung — gebildet aus den Liberaldemokraten und den Demokraten — wurde lange nach den Parlamentswahlen vom 30. November 2014 eingeführt und sei politisch schwach und geopolitisch konfus, meinen Beobachter. Die Liberalen, die eine Annäherung an Bukarest und Brüssel am stärksten befürworten, blieben in der Opposition. Gaburici muss beweisen, dass er den Weg, der von seinen Vorgängern, den prowestlichen Ex-Regierungschefs Vlad Filat und Iurie Leancă, eröffnet wurde, weiter gehen kann.



    Die Reformen, die von den Letzteren eingeleitet wurden, ermöglichten die Unterzeichnung der Assoziierungs- und Freihandelsabkommen zwischen Kischinjow und Brüssel und haben der Moldaurepublik die Hoffnung erweckt, der EU in 2020 beitreten zu können. Leancă sagt jetzt aber, die Moldaurepublik sei nun wie ein den Wellen überlassenes Boot. Auch Politanalysten sind dieser Meinung. Die jetzige politische Lange überschatte die Annäherung an die EU und die Korruption sei grö‎ßer als anfänglich geahnt, so der Politanalyst Nicu Popescu vom Institut für Sicherheitsstudien der EU mit dem Sitz in Paris. Es wurde keine solide proeuropäische Mehrheit gebildet und knapp eine Milliarde US-Dollar sei aus dem Bankensystem verschwunden. Die Moldaurepublik erlebt im Moment eine Glaubwürdigkeitskrise, sie ist unglaubwürdig sowohl in den Augen der eigenen Bürger als auch jenen der europäischen Regierungen. Rumänien hat die europäischen Bestrebungen der Moldaurepublik konsequent unterstützt. Die politische Lage in der Moldaurepublik beschäftigt natürlich auch die Politiker und Analysten in Bukarest. Iulian Chifu, Berater des Ex-Präsidenten Traian Băsescu, dazu:



    Rumänien spielt die Rolle, die es immer gespielt hat, nämlich des Anwalts der Moldaurepublik innerhalb der EU. Zugleich ist Bukarest gegenüber allen Kategorien von Hilfe-Ansuchen der Moldaurepublik offen. Andererseits bleiben wir realistisch, wir sind EU-Mitglieder und jedwede Unterstützung basiert auf Argumente. Wie gewöhnlich kommen wir nach Kischinjow und sagen: Führt Reformen durch, gibt uns Argumente, euch auf dem Weg zur EU-Mitgliedschaft zu unterstützen. Die schwierigen Probleme müssen nach wie vor in Kischinjow gelöst werden, man muss die Reformen durchführen, den Rechtsstaat stärken, die Unabhängigkeit der Justiz garantieren und die Korruption bekämpfen, das sind die Hauptkriterien.“




    Im Moment erodieren die Gegenleistungen der prowestlichen Regierung die Popularität der Idee der EU-Integration und bringen die Ideen der populistischen und prorussischen Politiker in den Vordergrund. Die verfeindeten Bruderparteien in der moldauischen Opposition, die Kommunisten und die Sozialisten, kämpfen sowohl um die Gunst Moskaus als auch um die Wähler mit sowjetischen Nostalgien. Das sind etwa 50% der Wähler. Zudem bleibt die Souveränität Kischinjows fraglich, so lange die Moldaurepublik keine Autorität über die separatistische prorussische Region Transnistrien wiedererlangt. Faktisch ist diese Region seit 1992 unabhängig, damals wurden die Separatisten von russischen Truppen unterstützt. Gerade weil die Institutionen in Kischinjow so schwach sind, sei die Entfachung eines Konflikts wie jener in der Ostukraine nicht auszuschlie‎ßen, glaubt Iulian Chifu, jetziger Chef des Zentrums zur Konfliktprävention und Frühwarnung:



    Die legitimen Behörden der Moldaurepublik verfügen nicht über die militärischen Kapazitäten, über Waffen, Truppen und Ressourcen, um einem Konflikt in der separatistischen Region stand zu halten. Die Truppenbewegungen am Dnejstr, von einem Ufer zum anderen, sollten Kischinjow alarmieren. Der Haushaltsstruktur ist aber nicht zu entnehmen, dass man sich ernsthaft damit beschäftigt.“




    Brüssel und Washington haben immer ihre Unterstützung für die Unabhängigkeit, Souveränität und territoriale Integrität der Moldaurepublik gezeigt. Es gibt aber wenige Stimmen in Kischinjow, die sich für einen NATO-Beitritt einsetzen. Iulian Chifu dazu:



    Natürlich muss auch die Moldaurepublik ihre Interessen sehen. Die Sicherheitsoption der Moldaurepublik kann nicht in Bukarest, Washington oder Brüssel bestimmt werden, sondern in Kischinjow.“




    Analysten warnen: Die Moldaurepublik sei keine Schweiz, geopolitisch, militärisch oder wirtschaftlich kann man die beiden Länder nicht vergleichen. Zudem befindet sich die Moldaurepublik in einer Region, in der Russland seine expansionistischen Ambitionen zufrieden stellen möchte.

  • República de Moldavia entre riesgos y aspiraciones

    República de Moldavia entre riesgos y aspiraciones

    La
    instalación el pasado mes de febrero del
    nuevo Gobierno minoritario de la República de Moldavia, con los votos de los diputados comunistas
    tradicionalmente rusófilos, ha puesto en duda el compromiso europeo del equipo
    de Chiril Gaburici. Finalmente formado por la coalición minoritaria entre los
    liberaldemócratas y los demócratas, tras
    un largo periodo de tiempo después de
    las elecciones legislativas del 30 de noviembre, el gabinete encabezado por un joven hombre de
    negocios es, en opinión de los analistas, políticamente frágil y confuso desde el punto de vista
    geopolítico. Los liberales, que son los promotores más firmes del acercamiento
    hacia Bucarest y Bruselas, han permanecido en la oposición.

    En consecuencia,
    Gaburici tiene que demostrar que podrá continuar el trayecto iniciado por sus
    predecesores a la cabeza del Ejecutivo, los prooccidentales Vlad Filat e Iurie
    Leanca. Las reformas promovidas por éstos han facilitado la conclusión de los
    acuerdos de asociación y libre comercio entre Chisinau y Bruselas, y han alimentado
    las esperanzas de que la República de Moldavia podría llegar a ser miembro de
    la UE, en 2020. En el presente, Leanca no vacila en afirmar que la República se
    parece a un barco a la deriva. Más allá
    de la explicable dosis de rencor de alguien que ha sido depuesto del cargo, la
    evaluación del primer ministro es compartida también por los expertos. El
    acercamiento a la UE ha sido ensombrecido por la situación política y de manera
    especial, por el hecho de que el nivel de corrupción ha resultado ser mayor de
    lo que pensaba Bruselas, declara con severidad el analista Nicu Popescu, del
    Instituto de Estudios de Seguridad de la UE con sede en París.

    Este acusa de
    manera especial, la falta de una mayoría proeuropea firme, así como la desaparición
    de unas enormes cantidades de dinero del sistema bancario, alrededor de 1000
    millones de dólares que llegaron a compañías fantasmas, lo que ha planteado interrogantes en relación
    con el funcionamiento de las instituciones estatales en su conjunto. La
    República de Moldavia, ha concluido Nicu Popescu, atraviesa una grave crisis de
    credibilidad en los ojos de sus propios
    ciudadanos y de las cancillerías occidentales. Defensor consecuente en nombre
    de la comunión de idioma, historia y cultura, de la entrada del estado vecino en la órbita ocidental,
    Rumanía no ha ocultado su preocupación frente a las vacilaciones contraproducentes
    de la clase política de Chisinau. Consejero de especialidad del expresidente
    Traian Basescu, a quien nisiquiera los adversarios le han negado la pasión por
    la República de Moldavia, Iulian Chifu
    nos ha declarado lo siguiente:



    Rumanía
    sigue desempeñando el papel de siempre, el de defensor de la República de
    Moldavia dentro de la UE. Al mismo tiempo, Bucarest ha manifestado su apertura
    hacia todas las solicitudes de
    asistencia, de respaldo, que la República de Moldavia podría formular. Por otra
    parte, somos realistas, somos miembros de la UE y todo apoyo se obtiene en base a unos argumentos. Como de costumbre, llegamos a Chisinau y les
    pedimos que hagan reformas y nos proporcionen argumentos para poder respaldar
    su avance hacia la UE. En consecuencia, mientras se hagan las reformas, se
    fortalezca el Estado de derecho, la independencia de la justicia y se combata
    la corrupción, la carga pesará sobre las espaldas de Chisinau.



    Por el
    momento, advierte el analista Nicu Popescu, los
    fracasos del gobierno prooccidental erosionan la popularidad de la idea
    de integración europea y alimentan la de
    unos políticos populistas o rusófilos. Hermanos y enemigos, los comunistas y
    los socialistas de la oposición parlamentaria se están disputando tanto los
    favores de Moscú, como a los electores con nostalgias soviéticas, que totalizan
    casi la mitad del electorado. Además, la soberanía de Chisinau seguirá siendo
    discutible, mientras éste no restaure su autoridad sobre la región separatista
    rusófila de Transnistria, independiente de facto desde 1992, tras un conflicto
    armado cerrado a la vez con la intervención de las tropas de Moscú de parte de
    los secesionistas. En su calidad actual de presidente del Centro para la Prevención
    de Conflictos y Advertencia Temprana, el antiguo consejero presidencial Iulian
    Chifu piensa que en el contexto de la fragilidad de las instituciones de
    Chisianu, el riesgo de que la República de Moldavia se confronte con un
    escenario similar al de Ucrania no se puede descartar:



    Las
    autoridades legítimas de la República de Moldavia no cuentan con capacidades
    militares que puedan afrontar la concentración de armamento, tropas y recursos
    que existen en la zona separatista y los desembarcos de una orilla a otra del
    río Dniéster sólo deberían alertar a Chisinau,
    pero el modo en que éste está gestionando su presupuesto no demuestra una
    preocupación real.



    A
    través de emisarios de alto rango de Bruselas y Washington, Occidente ha
    manifestado siempre su apoyo a la independencia, la soberanía y la integridad
    territorial de la República de Moldavia. Al mismo tiempo, son escasas las voces
    del abanico político de Chisinau dispuestas a renunciar al tabú constitucional
    de la neutralidad y abogar por la admisión en la OTAN. Iulian Chifu destaca que:



    Es
    obvio que también la República de Moldavia tiene que hacer sus propios
    cálculos. La opción de seguridad de la República de Moldavia no se puede
    establecer ni desde Bucarest ni desde Washington o Bruselas, sino en la propia ciudad de Chisinau.


    Desde
    ningún punto de vista, geopolítico, militar oeconómico, la República de
    Moldavia es como Suiza, advierten los analistas que califican de caduco el
    principio de la neutralidad en una epoca en que Rusia trata de satisfacer sus ambiciones expansionistas y
    revanchistas en los estados del área postsoviética.


  • Der neue moldauische Premierminister zur Gesprächen in Brüssel

    Der neue moldauische Premierminister zur Gesprächen in Brüssel

    Im Februar wurde in Chişinău eine neue Regierung ins Amt eingeführt. Neben den pro-europäischen Regierungsparteien, den Liberaldemokraten und den Demokraten, waren die Stimmen der prorussischen Kommunisten bei der Abstimmung für das Kabinett von Chiril Gaburici entscheidend. Dies stellte aber das künftige europäische Engagement der Regierung Gaburici infrage. Der neue Premierminister muss jetzt beweisen, dass er den proeuropäischen Kurs seiner Vorgänger Vlad Filat und Iurie Leancă weiter verfolgen wird.



    Die Reformen, die sie umsetzten, hatten die Assoziierungs-und Freihandelsabkommen zwischen Chişinău und Brüssel in die Wege geleitet und somit die Hoffnungen des Nachbarlandes Rumäniens auf den EU-Beitritt im Jahr 2020 gesetzt. Am Montag traf der neue moldauische Premierminister bereits zum zweiten Mal in Brüssel ein, wo die Eröffnungssitzung des EU-Republik Moldau Assozieerungsrates stattfand. Dabei plädierte der rumäniche Au‎ßenminister Bogdan Aurescu erneut dafür, dass die Europäische Union die Chancen der sechs ehemaligen Sowjetrepubliken als Mitglieder der östlichen Partnerschaft auf einen Beitritt im Zusammenhang mit ihren wirklichen Fortschritten betrachtet.



    Republik Moldau habe im Vergleich zu den anderen Ostpartnern der Europäischen Union die grö‎ßten Fortschritte erzielt, sagte Bogdan Aurescu: Bemerkenswert ist die positive Auswirkung des Freihandelsabkommens, die sich in der Republik Moldau spüren lie‎ß. Die Zahlen bezeugen beträchtliche Änderungen in der moldauischen Wirtschaft. Die Handelsbeziehungen der Republik Moldau haben sich verstärkt auf den europäischen Markt umorientiert. Die Exporte in EU-Länder sind deutlich gestiegen. Laut Statistik bleibt Rumänien der wichtigste Handelspartner der Republik Moldau.” Der rumänische Au‎ßenminister regte erneut an, dass alle Mitglieder der Europäischen Union das Assozieerungs-und Freihandelsabkommen mit Chişinău, sowie mit der Ukraine und Georgien ratifizieren.



    Rumänien gilt als das erste Land, dass die besagten EU-Abkommen mit den ehemaligen Sowjetrepubliken ratifizierte. Nicht nur die sozialdemokratische Regierung, sondern auch die mitterechtsgerichtete Opposition plädiert konsequent für die EU-Annäherung der Republik Moldau. Der Europaabgeordnete Siegfried Mureşan erklärte diesbezüglich gegenüber Radio Rumänien in Brüssel: Russland möchte, dass sich die ehemaligen Sowjetrepubliken für den Druck Moskaus als besonders anfällig erweisen, damit sie unter seiner Kontrolle bleiben. Das war auch der Fall der Ukraine.



    Die Ukraine war stark von Russland abhängig, es handelte sich aber um eine kurzfristige und durch verschiedene Interessen bedingte Unterstützung, die Russland jederzeit einstellen konnte. Die Europäische Union hat hingegen einen deutlichen Beitrag zur Entwicklung der mittel-und osteuropäischen Staaten gebracht. Darin liegt der Unterschied. Jetzt müssten wir den moldauischen Bürgern, einschlie‎ßlich der russischen Minderheit erklären, welche die konkreten Vorteile der EU-Annäherung ihres Landes sind.”



    Bei seinem ersten Treffen mit dem moldauischen Premierminister Gaburici, hat der NATO-Generalsekretär Jens Stoltenberg seinerseits seinem Gesprächspartner die uneingeschänkte Unterstützung der Nordatlantischen Allianz für die Modernisierung des moldauischen Verteidigungssektors zugesichert.

  • Moldaurepublik: Auf schwankendem Europakurs

    Moldaurepublik: Auf schwankendem Europakurs

    Am 30. November haben in der Moldaurepublik Parlamentswahlen stattgefunden. Drei prowestliche Parteien, die bis November 2014 die Allianz für europäische Integration bildeten, haben die Wahlen gewonnen. Man nahm an, die Allianz werde weiter eine Regierung bilden. Die Realität war jedoch eine andere.



    Politisch schwach und geopolitisch konfus — so haben sie meisten Politanalysten die neue Regierung der Moldaurepublik beschrieben. Das Minderheitskabinett unter der Leitung des jungen Unternehmers Chiril Gaburici wird von den prorussischen Kommunisten unterstützt. Und das verstärkt die Ungewissheit bezüglich der europäischen Zukunft des Landes. Die Regierung wurde Mitte Februar eingeführt, knapp drei Monate nach den Parlamentswahlen vom 30. November. Die Wähler haben für den europäischen Weg abgestimmt. Nach der Wahl schien das Szenario entschieden. Die drei prowestlichen Parteien, die die ehemalige Regierung gebildet haben — die Liberaldemokratische Partei, die Demokratische Partei und die Liberale Partei — hatten 55 der insgesamt 101 Plätze im Parlament gewonnen.



    Die Allianz für Europäische Integration (AIE) kam 2009 an die Macht, nachdem die prorussischen Kommunisten acht Jahre lang regiert hatten. Man hatte angenommen, dass die Allianz weiter funktionieren werde. Der damalige Ministerpräsident, der Liberaldemokrat Iurie Leancă, in dessen Amtszeit 2014 die Assoziierungs- und Freihandelsabkommen mit Brüssel unterzeichnet wurden, schien die erste Option für die Regierungsleitung zu sein.



    Die Liberalen, die stärksten Befürworter der westlichen Orientierung der Moldaurepublik, haben sich jedoch entschieden, in der Opposition zu bleiben. Das neue Kabinett der Minderheitskoalition, gebildet aus der Liberaldemokratischen Partei und der Demokratischen Partei, wurde vom Parlament nicht akzeptiert und die Exekutive von Chiril Gaburici brauchte anschlie‎ßend die Unterstützung der kommunistischen Abgeordneten. Im benachbarten Rumänien, dem traditionellen und energischen Befürworter der europäischen Bestrebungen Kischinews, hat der neue Staatschef Klaus Iohannis seine Enttäuschung gegenüber dieser Lösung nicht verheimlicht. Der Präsident wünsche sich aber, dass das Kabinett von Chiril Gaburici die proeuropäische Orientierung nicht hinschmei‎ßt:



    Ich werde meine Hoffnung äu‎ßern, dass diese neue Regierung unter einem jungen Ministerpräsidenten und Unternehmer die Moldaurepublik weiter nach Westen bringen wird. Ich glaube, jedwelche verantwortungsvolle Regierung ist sich dessen bewusst, dass, wenn eine Mehrheit proeuropäisch abgestimmt hat und es diese Möglichkeit gibt, diese die zukünftige Richtung sein muss.“




    Die ersten Reaktionen der Regierung und des Au‎ßenministeriums in Bukarest waren leicht widersprüchlich. Ministerpräsident Victor Ponta hat die Ernennung eines neuen Amtskollegen in Kischinew begrü‎ßt. Mit offensichtlicher Umsicht hat die rumänische Diplomatie unter Leitung von Bogdan Aurescu die Bestätigung der neuen Regierung in Kischinew nur zur Kenntnis genommen. Der Politanalyst Robert Schwartz, Leiter der rumänischen Abteilung von Radio Deutsche Welle, hat seine Unzufriedenheit geäu‎ßert. Er erklärte in einem Interview mit Radio Rumänien:



    Was jetzt in Kischinew passiert, ist wieder eine typische Farce für die Politszene in der Moldaurepublik — ich kann es mir leisten, das so klar zu sagen, weil die Wähler am 30. November bei den Parlamentswahlen sich etwas komplett anderes vorgestellt haben. Sie haben für proeuropäische Parteien gestimmt, jetzt hat das Parlament eine neue Regierung mit Hilfe der Stimmen der Kommunisten eingeführt. Es ist eine von der Zivilgesellschaft beanstandete Regierung. Die Reaktion der EU war auch zurückhaltend. Auch die USA haben sich nicht beeilt, das, was jetzt in Kischinew geschehen ist, zu begrü‎ßen. Interessant ist auch, dass der Ministerpräsident Rumäniens, Ponta, die Bestätigung im Amt der neuen Regierung und des neuen Ministerpräsidenten Gaburici begrü‎ßt hat. Viel mehr zurückhaltend war das rumänische Au‎ßenministerium. Minister Aurescu wei‎ß wahrscheinlich viel besser als Ministerpräsident Ponta, worum es geht. Er hat sich nicht beeilt, die Entwicklungen von dort schnell zu begrü‎ßen, weil wir jetzt eine sichtbarere Umstellung der Politik Richtung Moskau erwarten können. Mit anderen Worten bleibt Kischinew eine graue Zone, mit einem eingefrorenen Konflikt in Transnistrien. Eine Lösung für die Europäisierung der Moldaurepublik scheint jetzt, nach der Bestätigung dieser Regierung, ferner gerückt zu sein.“




    Im Nachhinein hat Ponta selbst erklärt, ihn würde die Lage in der Moldaurepublik nicht freuen. Er sagte, im Jahr 2014 habe er ausgezeichnet mit dem Kabinett von Iurie Leancă, der von allen drei proeuropäischen Parteien unterstützt wurde, zusammengearbeitet. Der heutige moldauische Ministerpräsident Gaburici warnte, die Moldaurepublik sei arm, schlecht verwaltet und korrupt und daher noch sehr weit entfernt von den europäischen Standards:



    Es ist unsinnig, über europäische Integration in einem Land, das sich seit mehreren Jahren mit Skandalen und nichttransparenten Privatisierungen konfrontiert, zu sprechen, ohne einen normalen Rechtsstaat zu erreichen. Das ganze Gerede von der europäischen Perspektive ist eine sterile Demagogie.“




    Gaburici hat jedoch seinen ersten Besuch nach dem Amtsantritt in Brüssel unternommen. Nach dem Treffen mit ihm hat die Au‎ßenbeauftragte der EU, Federica Mogherini, erklärt, die Bestätigung der neuen Regierung in Kischinew sei ein Signal der Wiederaufnahme des Engagements gegenüber den europäischen Prinzipien. Wir vertrauen der Exekutive in Kischinew, dass sie die Bemühungen bei der Durchführung der Schlüsselreformen, insbesondere im Justiz- und Finanzsektor und in puncto Korruptionsbekämpfung, wieder aufnehmen wird“, fügte Mogherini hinzu.

  • Un nou premier

    Un nou premier

    Parlamentul
    Republicii Moldova a evitat alegerile anticipate, acordând un vot de încredere
    guvernului condus de omul de afaceri Chiril Gaburici, învestit cu susţinerea
    deputaţilor din alianţa minoritară formată din două partide pro-europene, PLDM
    şi PD, dar şi cu sprijinul comuniştilor. Gaburici a fost propus la funcţia de
    prim-ministru de Partidul Liberal Democrat, după ce, săptămâna trecută,
    ex-premierul Iurie Leancă nu a reuşit să obţină majoritatea voturilor
    deputaţilor. Noul cabinet, aprobat cu 60 de voturi din 101 posibile şi în care
    se regăsesc majoritatea miniştrilor din executivul precedent, a depus
    jurământul în faţa preşedintelui Nicolae Timofti, potrivit căruia, Parlamentul
    a dat un semnal puternic că Republica Moldova intră într-o perioadă de
    stabilitate politică. Premierul Chiril Gaburici, despre obiectivele pe care şi
    le-a asumat noul guvern :

    Va asigura continuitatea proceselor de
    democratizare, reformare şi integrare europeană. Consolidarea statului de drept
    va fi o prioritate absolută pentru cabinetul de miniştri pe care-l voi conduce.
    Eliminarea constrângerilor ce împiedică buna funcţionare a mediului de afaceri
    va fi un alt obiectiv. Lupta cu corupţia, de asemenea, va fi o prioritate
    pentru guvernul pe care-l voi conduce.

    Chiril Gaburici a vorbit despre
    îmbunătăţirea climatului de afaceri şi înlăturarea practicilor care împiedică
    dezvoltarea economiei. El a punctat şi necesitatea continuării apropierii
    Republicii Moldova de UE, dar a menţionat şi dezvoltarea relaţiilor bilaterale
    cu partenerii tradiţionali, precum şi continuarea negocierilor privind
    reglementarea conflictului transnistrean şi retragerea armatei ruse de pe
    teritoriul ţării. Iurie Leancă, membru al PLDM, nu a votat pentru guvernul
    condus de Gaburici pentru că, spune el, un guvern minoritar, bazat pe o alianţă
    cu comuniştii, va afecta angajamentul pentru integrarea europeană şi reforme
    veritabile.

    Iurie Leancă: Astăzi este o zi care înseamnă un pas
    înapoi în parcursul nostru european, un guvern minoritar construit pe o
    coaliţie cu Partidul Comuniştilor, formaţiune a cărei aliere la principiile
    democraţiei şi ale statului de drept sunt cel puţin discutabile, la fel cum e
    discutabil angajamentul acestei formaţiuni pentru integrare europeană şi
    reformele veritabile. Votarea guvernului a survenit într-un context
    economic destul de complicat, în condiţiile în care importurile şi exporturile
    scad, iar situaţia de pe piaţa financiar-bancară este tot mai instabilă. Leul
    moldovenesc s-a depreciat cu peste 30% faţă de dolar şi euro de la începutul
    acestui an, iar preţurile au crescut.

  • Nachrichten 15.02.2015

    Nachrichten 15.02.2015

    Bukarest: Rumäniens Au‎ßenminister Bogdan Aurescu trifft am Monntag in Bratislava auf Einladung seines slowakischen Gegenübers Miroslav Lajcak ein. Auf der Agenda des rumänischen Au‎ßenministers stehen auch Gespräche mit dem slowakischen Präsidenten Robert Fico. Aktuelle au‎ßenpolitische Themen wie die derzeitige Situation in der Ukraine, der europäische Kurs der Republik Moldau, die Beziehung zwischen Russland und NATO dürften dabei diskutiert werden, hei‎ßt es in einer offiziellen Mitteilung des Bukarester Auswertigen Amtes.



    Bukarest: Rumäniens Präsident Klaus Iohannis verurteilt in aller Schärfe die Terroranschläge in Kopenhagen und bekräftigt das Engagement Rumäniens im Kampf gegen internationalen Terrorismus. Der rumänische Au‎ßenminister Bogdan Aurescu verurteilte seinerseits die Terrorangriffe und betonte, es sei besonders wichtig, dass alle EU-Staaten im Kampf gegen Terrorismus zusammenstehen. Die dänische Polizei wurde nach den tödlichen Angriffen auf ein Kulturzentrum und eine Synagoge in Kopenhagen in höchste Alarmbereitschaft versetzt. Der mutma‎ßliche Täter, der die beiden Angriffe verübt haben soll, ist Sonntagfrüh von der Polizei erschossen worden. Bei den beiden Angriffen am Samstagnachmittag und in der Nacht zu Sonntag war jeweils ein Mann getötet worden und insgesamt fünf Polizisten wurden verletzt.



    Der Angreifer hatte zunächst dutzende Schüsse auf eine Podiumsdiskussion über Meinungsfreiheit und Islam in einem Kulturzentrum in Kopenhagen verübt, tötete dabei einen Zuschauer und verletzte drei Polizisten. Nur wenige Stunden später kam es zu einem ähnlichen Angriff auf eine Synagoge im Kopenhager Stadtzentrum. Die Presseagentur Reuters sieht eine Parallele im Ablauf der Anschläge in Kopenhagen und Paris.



    Berlin: Der rumänische Filmemacher Radu Jude wurde bei der 65. Berlinale für seine Produktion Aferim!” mit dem Silbernen Bären für die beste Regie ausgezeichnet. Der Streifen von Radu Jude feierte seine Weltpremiere im Wettbewerb der diesjährigen Internationalen Filmfestspiele in Berlin. Den Preis für die beste Regie teilte sich Radu Jude mit der polnischen Regisseurin Malgorzata Szumowska, die in Wettbewerb mit der Produktion Body” antrat. Der Goldene Bär wurde in diesem Jahr für den Film Taxi” an den iranischen Regimekritiker Jafar Panahi verliehen. Die Silbernen Bären der 65. Berlinale für die besten Schauspieler gingen an das Hauptdarsteller-Duo des Dramas 45 Years”, von Regisseur Andrew Haigh: Tom Courtenay und Charlotte Rampling.



    Kiew: Die im Kriegsgebiet Ostukraine in der Nacht zu Sonntag in Kraft getretene Waffenruhe wird im Allgemeinen” eingehalten, schätzen die Organisation für Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa und die ukrainischen Behörden. Kiew wirft dennoch den prorussischen Separatisten Brüche der Feuerpause vor. Diese sollen Stellungen der Regierungstruppen nach Beginn der vereinbarten Waffenruhe bombardiert haben. Am Samstag hatte der rumänische Verteidigungsminister Mircea Duşa seine Hoffnung geäu‎ßert, dass das Minsker Abkommen und die damit verbundene Waffenruhe in der benachbarten Ukraine eingehalten werden. Ferner bekräftigte Duşa den Wunsch Rumäniens, dass der bewaffnete Konflikt in der Ostukraine auf diplomatischem Weg gelöst wird. Über 5.300 Menschen sind seit Beginn des Konflikts im benachbarten Land Rumäniens ums Leben gekommen.



    Chişinău: Der moldauische Präsident Nicolae Timofti hat den Liberal-Demokraten Chiril Gaburici zum Premierminister nominiert. Der von der Minderheitskoalition aus Liberal-Demokraten und Demokraten vorgeschlagene Kandidat ist ehemaliger Geschäftsführer eines der grö‎ßten Handy-Untenehmens in der Republik Moldau. Gaburici soll in den nächsten 15 Tagen die Vertrauensfrage im Parlament überstehen. Am Donnerstag war das Programm und das Kabinett des amtierenden Ministerpräsidenten Iurie Leancă an der Vertrauensfrage im Parlament gescheitert. Leancă und sein neues Kabinett waren ebenfalls von der Minderheitskoalition der Liberal-Demokraten und Demokraten vorgeschlagen worden.



    Bei den Parlamentswahlen vom 30. November 2014 erhielten die Liberal-Demokraten und die Demokraten 42 der 101 Parlamentssitze. Um das von ihnen unterstützte Kabinett ins Amt zu führen, benötigen sie aber auch die Stimmen ihrer ehemaligen Koalitionspartner, der proeuropäischen Liberalen, oder der prorussischen Kommunisten. Sollte sich die moldauische Legislative bis zum 9. März auf eine neue Regierung nicht einigen, werden folglich in Republik Moldau vorgezogene Wahlen stattfinden.


  • Dificultăţile constituirii unui nou guvern la Chişinău

    Dificultăţile constituirii unui nou guvern la Chişinău

    Fapt anticipat de cvasitotalitatea analiştilor de la Chişinău, premierul desemnat, Iurie Leancă, nu a primit, joi, votul de încredere al Parlamentului. Cum aritmetica e mai puternică decât speranţele pioase, programul şi echipa executivă cu care s-a prezentat Leancă în faţa deputaţilor au adunat doar 42 de voturi favorabile, din partea coaliţiei minoritare, formată din partidele Liberal-Democrat şi Democrat.



    Pentru învestire, noul guvern ar fi avut nevoie de 51 de sufragii, adică de susţinere din partea majorităţii celor 101 deputaţi. Negociatorii PLDM şi PD au sperat, până în ultima clipă, să strângă diferenţa necesară fie de la liberalii alături de care guvernaseră până anul trecut sub umbrela Alianţei pentru Integrare Europeană, fie de la comuniştii pro-ruşi care, cu jumătate de gură, anunţaseră că ar putea susţine un Cabinet din care nu fac parte.



    Asumându-şi eşecul, Leancă l-a calificat drept cel mai jenant moment politic din ultimii şase ani, de când tripleta pro-occidentală PLDM-PD-PL a preluat guvernarea de la comunişti. El a subliniat necesitatea reluării negocierilor cu liberalii, pentru formarea unei alianţe funcţionale, fiindcă: Ceea ce s-a întâmplat astăzi a demonstrat că acest joc netransparent cu comuniştii nu este unul funcţional. S-a văzut foarte clar că nu există o susţinere reală din partea comuniştilor, că nu există o şansă pentru ca această alianţă minoritară să funcţioneze cu eficienţă.”



    Atât şeful de partid al lui Leancă, liderul PLDM Vlad Filat, cât şi cel al PD, Marian Lupu, i-au acuzat pe liberalii conduşi de fostul şef interimar al statului, Mihai Ghimpu, de iresponsabilitate, pentru refuzul lor de a vota Guvernul.



    Comentatorii afirmă, însă, că, probabil, celor doi le-ar fi plăcut să împartă cu PL doar voturile de învestitură, nu şi portofoliile ministeriale. Mai ales că, prin obiectivele lor maximale, liberalii nu sunt nişte aliaţi tocmai comozi. Ei doresc nu doar admiterea în UE, ci şi în NATO, continuă să considere viabilă ideea reunirii cu România şi, promotori intratabili ai luptei anticorupţie, îşi doresc un procuror general importat de la Bucureşti.



    În numele României — avocatul cel mai tenace şi fidel al europenizării Chişinăului -, ministerul de Externe a cerut, din nou, forţelor prooccidentale din Republica Moldova să manifeste responsabilitate şi solidaritate, astfel încât să constituie o alianţă solidă, care să continue procesul de integrare europeană.



    În acest moment, Parlamentul, format în urma alegerilor de pe 30 noiembrie, mai are la dispoziţie doar 45 de zile pentru a vota un nou executiv, în caz contrar urmând să fie dizolvat. Un scrutin legislativ anticipat ar fi o catastrofă pentru cele trei formaţiuni pro-occidentale, care, după ce anul trecut au obţinut încheierea acordurilor de asociere şi liber-schimb cu Bruxellesul, promiteau să aducă Republica Moldova în UE în 2020.

  • 12.02.2015 (mise à jour)

    12.02.2015 (mise à jour)

    Visite — Le président roumain Klaus Iohannis participe à Bruxelles à la réunion des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE, ciblée sur la lutte contre le terrorisme et la situation en Grèce dont le gouvernement continue à refuser la mise en place des mesures d’asutérité imposées par le FMI et l’UE. Le président Klaus Iohannis s’est entretenu jeudi matin avec le président du Parti populaire européen, Joseph Daul de la situation géopolitique actuelle dans le contexte des négociations de paix déroulées, à Minsk. Les discussions ont porté également sur la politique intérieure de la Roumanie depuis l’installation de Iohannis à la tête du pays.



    Vote — Le Ministère roumain des Affaires Etrangères a pris acte jeudi du fait que le Parlement de Chisinau a échoué dans sa tentative d”investir un nouveau gouvernement à la tête de la république. La diplomatie de Bucarest affirme que les forces pro-européennes moldaves devraient être solidaires et responsables afin de créer une alliance solide censée continuer le processus d”intégration européenne. L’équipe gouvernementale proposée par le premier ministre désigné, le libéral-démocrate, Iurie Leanca, n’a pas reçu le vote de confiance du Parlement. Les seules 42 voix favorables sur les 51 nécessaires sont venues de la part de la coalition minoritaire formée du Parti libéral démocrate et du Parti démocrate, tandis que les libéraux et les communistes ont refusé de soutenir le nouveau gouvernement. Aux termes de la Loi fondamentale du pays, le président de la République désignera un nouveau chef de gouvernement. Si celui-ci est rejeté par le Parlement, le chef de l’Etat doit dissoudre le Législatif et annoncer des élections anticipées.



    Justice — Le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, a écrit sur sa page fb s’attendre à ce que le Sénat approuve la demande des procureurs de la Direction nationale anti-corruption de lancer des poursuites pénales contre l’ex ministre libéral de l’Economie, Varujan Vosganian, accusé d’avoir constitué un groupe criminel organisé, d’abus de fonction et de complicité à dilapidation. Iohannis a précisé que par sa décision de rejeter la demande des procureurs, la Chambre supérieure du Parlement a montré avoir mal compris le besoin de changement en faveur duquel il s’est prononcé à plusieurs reprises. Selon Iohannis, la justice ne peut prendre qu’une seule mesure et chacun d’entre nous doit respecter la loi quelle que soit la fonction qu’il occupe. En échange, le Sénat a approuvé jeudi la demande de lancer des poursuites pénales contre l’ex ministre de l’Economie, le démocrate-libéral Ion Ariton, accusé d’abus de fonction et d’avoir usé de son influence pour une prise illégale d’intérêts.



    Tennis — La joueuse roumaine de tennis Monica Niculescu rencontre jeudi l’Espagnole Carla Suarez Navarro, dans les huitièmes de finale du tournoi d’Anvers, en Belgique. Monica Niculescu et sa compatriote, Simona Halep, numéro 2 mondial après Serena Williams ont intégré le tableau principal du tournoi WTA de Dubai qui débute lundi et dont les prix totalisent plus de 2 millions de dollars. Une autre Roumaine sera en qualifications. Il s’agit de Alexandra Dulgheru, 95ème mondiale.



    Météo- Il continuera à faire doux en Roumanie. Le ciel demeura variable et plutôt dégagé. Les températuresiront de –2 à 9 degrés.