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  • Les gagnants du jeu “Constantin Antonovici, génération Brancusi”

    Les gagnants du jeu “Constantin Antonovici, génération Brancusi”

    140 ans après la naissance de Constantin Brancusi, le créateur ayant changé l’art moderne, RRI s’intéresse, tout au long de cette année 2016, à son héritage humain et matériel. C’est pourquoi nous vous avons invités à participer à un jeu-concours consacré à un des disciples les plus intéressants du sculpteur roumain – il s’agit de Constantin Antonovici (1911 – 2002), qui a fait une brillante carrière en Europe et aux Etats-Unis. Parmi tous les artistes avec lesquels Brancusi a travaillé, il a été le seul possesseur d’une recommandation écrite et signée par le grand sculpteur lui-même.

    Vous avez aimé ce défi artistique – pour preuve les centaines de messages qui nous sont parvenus, mais dont seulement 210 comportaient les réponses correctes. Merci à vous tous pour l’intérêt porté à ce sujet et ne soyez pas déçus si vous découvrez que vous vous êtes embrouillés dans les réponses – nous vous attendons, les bras ouverts, à nos prochains jeux.

    Le Grand Prix de ce concours consiste en un séjour de 7 jours (6 nuitées) en pension complète, du 15 au 30 avril 2016, dans le département de Gorj, contrée d’origine de Constantin Brancusi. Cette fois-ci nous aurons 2 grands gagnants.

    Ce jeu a été organisé en coopération avec le Centre de recherche, de documentation et de promotion Constantin Brancusi de Targu Jiu ainsi qu’avec d’autres partenaires locaux: le Conseil départemental de Gorj, la Municipalité de Târgu Jiu, les antennes de Gorj et de Craiova de l’Union des artistes plasticiens, le Conseil départemental de Dolj, la Municipalité de Craiova, le Centre pour la promotion de la culture traditionnelle du département de Gorj, le Théâtre National Marin Sorescu, l’ensemble folklorique Maria Tănase et le Musée d’art de Craiova.

    Les réponses correctes à nos questions étaient contenues dans nos programmes, mais aussi dans les articles publiés sur notre site Internet www.rri.ro, ainsi que sur nos profils sur Facebook, Twitter, Pinterest, Flickr, Google+ et LinkedIn. Mais avant de passer aux listes de gagnants, il n’est pas superflu de passer en revue les questions qui vous avaient été adressées et les réponses que nous attendions de votre part.

    – Quel est le motif central de l’œuvre de Constantin Antonovici ? Il s’agissait du hibou, un oiseau qui se retrouve dans la plupart de ses créations, sous des formes et dans des hypostases diverses.


    – Qu’est-ce qui rend Constantin Antonovici unique parmi tous les disciples de Brancusi ? Il était le seul à détenir une recommandation écrite et signée par son maître.


    – Combien de temps et où Constantin Antonovici a-t-il travaillé aux côtés de Constantin Brancusi? Les deux ont collaboré pendant quatre ans, à Paris.


    – Quelles sont les sculptures célèbres qui forment l’ensemble monumental «la Voie des héros» de Targu Jiu ? Il s’agit de 4 grandes composantes – la Table du silence, l’Allée des chaises, la Porte du baiser et la Colonne sans fin. S’y ajoute l’église des Saints Apôtres Petru et Pavel (Pierre et Paul)


    Et maintenant, que les gagnants entrent en scène!

    Nous avons, tout d’abord, une quinzaine de mentions qui vont à: Mahmoud Hamzaoui, d’Egypte, Rachid Dahmani, d’Algérie, Guo Yanxin et Zhou Fei, de China, Valeri Luhovski, du Belarus, Klaus Karusseit, de Suède, Vladimir Stadik et Aleksandr Abramov, de Rusia, José Luis Corcuera et Miguel Ramón Bauset, d’Espagne, Henk Poortvliet, des Pays-Bas, Michael Whing, de Grande-Bretagne, John Rutlege, des Etats-Unis, Abdulkarim Ahmed Ali, de Libye, et Anthony Teyssieux, de France.

    Anthony Teyssieux qui nous écrit d’ailleurs – J’écoute votre radio car j’apprends le roumain – je vais bientôt partir en stage en Roumanie. Félicitations, Anthony, nous espérons que cette mention sera une mise en bouche agréable pour le stage qui suivra. Nous vous attendons à Bucarest!

    Passons maintenant à la dizaine de troisième prix que nous avons mis en jeu. Leurs titulaires sont désormais: Salim Sabah Saray, d’Irak, Jonathan, de China, Olexandr Kozlenko, d’Ukraine, Werner Hoffmann, d’Allemagne, Nikolai Larin, de Russie, Juan Franco Crespo, d’Espagne, Nouari Naghmouchi, d’Algerie, Jonathan Murphy, d’Irlande, Bibi Z. Shah, du Pakistan, et Deepita Chakrabarty, d’Inde.

    Un prix bien mérité pour Nouari Naghmouchi d’Algérie, qui précisait, dans sa motivation: Je participe souvent aux concours de RRI puisque je souhaiterais visiter un jour la Roumanie et surtout ma belle station RRI, discuter avec les animateurs et animatrices. Je reste fidèle à RRI que je capte souvent avec un code sinpo de 5, ici, en Algérie. Le programme est varié et j’ai appris beaucoup de choses sur la Roumanie et sa culture. RRI représente pour moi l’amour, l’amitié, la culture. Je ne vous cache pas que je resterais toujours un de vos fidèles auditeurs et espérant un jour je serai parmi les gagnants à un concours pour voir la capitale Bucarest. Merci! Merci à vous surtout, Nouari pour votre fidélité – nous espérons aussi vous accueillir un de ces jours en Roumanie! Surtout persévérez!

    Nous sommes arrivés aux 8 deuxième prix qui seront bientôt envoyés aux gagnants désignés par tirage au sort: Stefano Citterio, d’Italie, Abdel-Kader Hasan, d’Egypte, Wu Xuan, de Chine, Aleksei Veselkov, de Russie, Henrique José Dantas Felinto, du Brésil, Paul Jamet, de France, Bezazel Ferhat, d’Algerie, et Binarani Mondal, d’Inde.

    C’est un plaisir que de vous retrouver sur cette liste, M. Paul Jamet. Dans votre message de participation vous nous disiez – Voilà déjà plusieurs années que je participe à vos concours et j’ai déjà eu la chance de gagner un merveilleux séjour d’une semaine dans le Delta du Danube en juillet 2009. Néanmoins, je continue de participer car les concours de RRI me permettent toujours de découvrir de nouveaux sujets, de faire des recherches et ainsi d’accroître mes connaissances dans différents domaines. Même si j’ai eu l’occasion de le préciser à plusieurs reprises, j’écoute RRI depuis plus de 20 ans maintenant pour l’intérêt des contenus du programme français, des programmes qui permettent de mieux connaître la Roumanie dans tous les domaines et bien sûr pour soutenir un programme francophone et une station internationale. Depuis quelque 10 ans, le paysage radiophonique francophone sur OC s’est rétréci considérablement et donc appauvri. Merci beaucoup, M. Jamet pour vos encouragements! Nous espérons que notre travail œuvre au maintien et au renforcement de ce secteur radiophonique en français, tout en apportant un complément d’information attendu sur ce pays est-européen, dont on parle beaucoup d’une certaine manière, mais qui reste néanmoins très méconnu.

    Nous montons maintenant sur la première marche du podium, pour découvrir les 15 premiers prix qu’ont décrochés: Boudoukha Mohamed, d’Algérie, Shan Jinhai, de Chine, Volodymyr Gudzenko, de Russie, Friedrich Frede, d’Autriche, Valeri Rubin, du Canada, José Balbino Cruz Menjivar, du Costa Rica, Amady Faye, du Sénégal, Mofizur Rahman, du Bangladesh, Jayanta Chakrabarty, Mitul Kansal et Chaitali Sarkar, d’Inde, Amir Jameel et Asghar Shah, du Pakistan, Jaroslaw Jedrzejczak, de Polonia, et Martin Rogan, du Royaume-Uni.

    Bon travail cher Amady Faye du Sénégal! Merci d’avoir tenté votre chance! Vous nous écrivez: En participant au jeu consacré à Constantin Antonovici, je rends donc un vibrant hommage au virtuose de la sculpture roumaine, Constantin Brancusi. Pourquoi j’écoute vos programmes? RRI m’informe tous les jours sur le quotidien des Roumains. Elle est une fenêtre ouverte sur le monde. RRI, c’est aussi les agréables chansons des émissions étalant ainsi toute la musicalité du roumain; une langue très bien euphonique! Merci encore pour votre confiance et au plaisir de vous lire bientôt! Nous sommes contents que, grâce aussi à RRI, la Roumanie se rapproche un tout petit peu plus de l’Afrique…

    Encore quelques moments avant d’annoncer les gagnants du Grand Prix de ce jeu concours Génération Brancusi – le sculpteur Constantin Antonovici. Nous avons juste le temps de passer en revue les gagnants des 10 Prix spéciaux que nous avons préparés: Ben Chohra Ali, d’Algerie, Lin Shan, de Chine, Ihor Karivets, d’Ukraine, Ralf Urbanczyk, d’Allemagne, Vasili Guliaev, de Russie, Enric Ballester Burcet, d’Espagne, Gilles Gautier, de France, Mohammad Shamim, d’Inde, Ashik Eqbal Tokon, du Bangladesh, et Hans Verner Lollike, du Danemark.

    Toutes nos pensées à vous, M. Gilles Gautier de France, avec nos félicitations! Et merci beaucoup pour vos mots: Comme à chaque concours, féru d’histoire et de géographie, le vôtre me permet à chaque fois d’en connaître d’avantage sur votre pays. C’est la raison principale de ma participation. Je le fais pour participer, vous le méritez bien, ainsi que pour m’informer – c’est quand même à mes yeux deux bonnes raisons! C’est réjouissant de savoir qu’on remplit notre mission d’une manière plutôt satisfaisante à vos yeux! Merci encore et à bientôt sur les ondes!

    Et maintenant, passons au point d’orgue, le Grand Prix.

    Qui est-ce qui remporte, donc, le séjour en pension complète, du 15 au 30 avril 2016, dans le département de Gorj? Cette fois-ci, le hasard a jeté son dévolu sur l’Algérie. C’est de là que viennent Khalil Abdel-Kader et Mohamed Goumidi. Bravo et bonne visite des terres d’origine de Constantin Brancusi.

    Les prix et les mentions seront envoyés par la poste dans les prochains mois. Nous vous prions de confirmer, par lettre, e-mail ou fax, l’arrivée de l’envoi postal ainsi que son contenu. Toutes nos félicitations et, une fois de plus, un grand merci à vous tous qui avez participé à ce jeu consacré au sculpteur Constantin Antonovici, disciple de Brancusi! Nous vous attendons nombreux à nos prochains défis culturels! (Alecu Marciuc, Răzvan Emilescu, Eugen Cojocariu; trad.: Andrei Popov)

  • Les gagnants du jeu “Constantin Antonovici, génération Brancusi”

    Les gagnants du jeu “Constantin Antonovici, génération Brancusi”

    140 ans après la naissance de Constantin Brancusi, le créateur ayant changé lart moderne, RRI sintéresse, tout au long de cette année 2016, à son héritage humain et matériel. Cest pourquoi nous vous avons invités à participer à un jeu-concours consacré à un des disciples les plus intéressants du sculpteur roumain – il sagit de Constantin Antonovici (1911 – 2002), qui a fait une brillante carrière en Europe et aux Etats-Unis. Parmi tous les artistes avec lesquels Brancusi a travaillé, il a été le seul possesseur dune recommandation écrite et signée par le grand sculpteur lui-même.



    Vous avez aimé ce défi artistique – pour preuve les centaines de messages qui nous sont parvenus, mais dont seulement 210 comportaient les réponses correctes. Merci à vous tous pour lintérêt porté à ce sujet et ne soyez pas déçus si vous découvrez que vous vous êtes embrouillés dans les réponses – nous vous attendons, les bras ouverts, à nos prochains jeux.



    Le Grand Prix de ce concours consiste en un séjour de 7 jours (6 nuitées) en pension complète, du 15 au 30 avril 2016, dans le département de Gorj, contrée dorigine de Constantin Brancusi. Cette fois-ci nous aurons 2 grands gagnants.





    Ce jeu a été organisé en coopération avec le Centre de recherche, de documentation et de promotion “Constantin Brancusi” de Targu Jiu ainsi quavec dautres partenaires locaux: le Conseil départemental de Gorj, la Municipalité de Târgu Jiu, les antennes de Gorj et de Craiova de lUnion des artistes plasticiens, le Conseil départemental de Dolj, la Municipalité de Craiova, le Centre pour la promotion de la culture traditionnelle du département de Gorj, le Théâtre National “Marin Sorescu”, lensemble folklorique “Maria Tănase” et le Musée dart de Craiova.



    Les réponses correctes à nos questions étaient contenues dans nos programmes, mais aussi dans les articles publiés sur notre site Internet www.rri.ro, ainsi que sur nos profils sur Facebook, Twitter, Pinterest, Flickr, Google+ et LinkedIn. Mais avant de passer aux listes de gagnants, il nest pas superflu de passer en revue les questions qui vous avaient été adressées et les réponses que nous attendions de votre part.



    – Quel est le motif central de lœuvre de Constantin Antonovici ? Il sagissait du hibou, un oiseau qui se retrouve dans la plupart de ses créations, sous des formes et dans des hypostases diverses.



    – Quest-ce qui rend Constantin Antonovici unique parmi tous les disciples de Brancusi ? Il était le seul à détenir une recommandation écrite et signée par son maître.



    – Combien de temps et où Constantin Antonovici a-t-il travaillé aux côtés de Constantin Brancusi? Les deux ont collaboré pendant quatre ans, à Paris.



    – Quelles sont les sculptures célèbres qui forment lensemble monumental «la Voie des héros» de Targu Jiu ? Il sagit de 4 grandes composantes – la Table du silence, lAllée des chaises, la Porte du baiser et la Colonne sans fin. Sy ajoute léglise des Saints Apôtres Petru et Pavel (Pierre et Paul)



    Et maintenant, que les gagnants entrent en scène!



    Nous avons, tout dabord, une quinzaine de mentions qui vont à: Mahmoud Hamzaoui, dEgypte, Rachid Dahmani, dAlgérie, Guo Yanxin et Zhou Fei, de China, Valeri Luhovski, du Belarus, Klaus Karusseit, de Suède, Vladimir Stadik et Aleksandr Abramov, de Rusia, José Luis Corcuera et Miguel Ramón Bauset, dEspagne, Henk Poortvliet, des Pays-Bas, Michael Whing, de Grande-Bretagne, John Rutlege, des Etats-Unis, Abdulkarim Ahmed Ali, de Libye, et Anthony Teyssieux, de France.



    Anthony Teyssieux qui nous écrit dailleurs – “Jécoute votre radio car japprends le roumain – je vais bientôt partir en stage en Roumanie”. Félicitations, Anthony, nous espérons que cette mention sera une mise en bouche agréable pour le stage qui suivra. Nous vous attendons à Bucarest!



    Passons maintenant à la dizaine de troisième prix que nous avons mis en jeu. Leurs titulaires sont désormais: Salim Sabah Saray, dIrak, Jonathan, de China, Olexandr Kozlenko, dUkraine, Werner Hoffmann, dAllemagne, Nikolai Larin, de Russie, Juan Franco Crespo, dEspagne, Nouari Naghmouchi, dAlgerie, Jonathan Murphy, dIrlande, Bibi Z. Shah, du Pakistan, et Deepita Chakrabarty, dInde.



    Un prix bien mérité pour Nouari Naghmouchi dAlgérie, qui précisait, dans sa motivation: “Je participe souvent aux concours de RRI puisque je souhaiterais visiter un jour la Roumanie et surtout ma belle station RRI, discuter avec les animateurs et animatrices. Je reste fidèle à RRI que je capte souvent avec un code sinpo de 5, ici, en Algérie. Le programme est varié et jai appris beaucoup de choses sur la Roumanie et sa culture. RRI représente pour moi lamour, lamitié, la culture. Je ne vous cache pas que je resterais toujours un de vos fidèles auditeurs et espérant un jour je serai parmi les gagnants à un concours pour voir la capitale Bucarest. Merci!” Merci à vous surtout, Nouari pour votre fidélité – nous espérons aussi vous accueillir un de ces jours en Roumanie! Surtout persévérez!



    Nous sommes arrivés aux 8 deuxième prix qui seront bientôt envoyés aux gagnants désignés par tirage au sort: Stefano Citterio, dItalie, Abdel-Kader Hasan, dEgypte, Wu Xuan, de Chine, Aleksei Veselkov, de Russie, Henrique José Dantas Felinto, du Brésil, Paul Jamet, de France, Bezazel Ferhat, dAlgerie, et Binarani Mondal, dInde.



    Cest un plaisir que de vous retrouver sur cette liste, M. Paul Jamet. Dans votre message de participation vous nous disiez – “Voilà déjà plusieurs années que je participe à vos concours et jai déjà eu la chance de gagner un merveilleux séjour dune semaine dans le Delta du Danube en juillet 2009. Néanmoins, je continue de participer car les concours de RRI me permettent toujours de découvrir de nouveaux sujets, de faire des recherches et ainsi daccroître mes connaissances dans différents domaines. Même si jai eu loccasion de le préciser à plusieurs reprises, jécoute RRI depuis plus de 20 ans maintenant pour lintérêt des contenus du programme français, des programmes qui permettent de mieux connaître la Roumanie dans tous les domaines et bien sûr pour soutenir un programme francophone et une station internationale. Depuis quelque 10 ans, le paysage radiophonique francophone sur OC sest rétréci considérablement et donc appauvri.” Merci beaucoup, M. Jamet pour vos encouragements! Nous espérons que notre travail œuvre au maintien et au renforcement de ce secteur radiophonique en français, tout en apportant un complément dinformation attendu sur ce pays est-européen, dont on parle beaucoup dune certaine manière, mais qui reste néanmoins très méconnu.



    Nous montons maintenant sur la première marche du podium, pour découvrir les 15 premiers prix quont décrochés: Boudoukha Mohamed, dAlgérie, Shan Jinhai, de Chine, Volodymyr Gudzenko, de Russie, Friedrich Frede, dAutriche, Valeri Rubin, du Canada, José Balbino Cruz Menjivar, du Costa Rica, Amady Faye, du Sénégal, Mofizur Rahman, du Bangladesh, Jayanta Chakrabarty, Mitul Kansal et Chaitali Sarkar, dInde, Amir Jameel et Asghar Shah, du Pakistan, Jaroslaw Jedrzejczak, de Polonia, et Martin Rogan, du Royaume-Uni.



    Bon travail cher Amady Faye du Sénégal! Merci davoir tenté votre chance! Vous nous écrivez: “En participant au jeu consacré à Constantin Antonovici, je rends donc un vibrant hommage au virtuose de la sculpture roumaine, Constantin Brancusi. Pourquoi jécoute vos programmes? RRI minforme tous les jours sur le quotidien des Roumains. Elle est une fenêtre ouverte sur le monde. RRI, cest aussi les agréables chansons des émissions étalant ainsi toute la musicalité du roumain; une langue très bien euphonique!” Merci encore pour votre confiance et au plaisir de vous lire bientôt! Nous sommes contents que, grâce aussi à RRI, la Roumanie se rapproche un tout petit peu plus de lAfrique…



    Encore quelques moments avant dannoncer les gagnants du Grand Prix de ce jeu concours “Génération Brancusi – le sculpteur Constantin Antonovici”. Nous avons juste le temps de passer en revue les gagnants des 10 Prix spéciaux que nous avons préparés: Ben Chohra Ali, dAlgerie, Lin Shan, de Chine, Ihor Karivets, dUkraine, Ralf Urbanczyk, dAllemagne, Vasili Guliaev, de Russie, Enric Ballester Burcet, dEspagne, Gilles Gautier, de France, Mohammad Shamim, dInde, Ashik Eqbal Tokon, du Bangladesh, et Hans Verner Lollike, du Danemark.



    Toutes nos pensées à vous, M. Gilles Gautier de France, avec nos félicitations! Et merci beaucoup pour vos mots: “Comme à chaque concours, féru dhistoire et de géographie, le vôtre me permet à chaque fois den connaître davantage sur votre pays. Cest la raison principale de ma participation. Je le fais pour participer, vous le méritez bien, ainsi que pour minformer – cest quand même à mes yeux deux bonnes raisons!” Cest réjouissant de savoir quon remplit notre mission dune manière plutôt satisfaisante à vos yeux! Merci encore et à bientôt sur les ondes!



    Et maintenant, passons au point dorgue, le Grand Prix.



    Qui est-ce qui remporte, donc, le séjour en pension complète, du 15 au 30 avril 2016, dans le département de Gorj? Cette fois-ci, le hasard a jeté son dévolu sur lAlgérie. Cest de là que viennent Khalil Abdel-Kader et Mohamed Goumidi. Bravo et bonne visite des terres dorigine de Constantin Brancusi.



    Les prix et les mentions seront envoyés par la poste dans les prochains mois. Nous vous prions de confirmer, par lettre, e-mail ou fax, l’arrivée de l’envoi postal ainsi que son contenu. Toutes nos félicitations et, une fois de plus, un grand merci à vous tous qui avez participé à ce jeu consacré au sculpteur Constantin Antonovici, disciple de Brancusi! Nous vous attendons nombreux à nos prochains défis culturels! (Alecu Marciuc, Răzvan Emilescu, Eugen Cojocariu; trad.: Andrei Popov)

  • La navette du métier à tisser poursuit son chemin

    La navette du métier à tisser poursuit son chemin

    Une semaine en Transylvanie, voilà un cadeau désiré par tout un chacun. Véritable aimant à touristes, cette province historique de la Roumanie attire de nombreux passionnés de beauté du monde entier. Parmi les destinations incontournables, il convient de mentionner la cité médiévale de Sighişoara, le château de Bran, rendu célèbre par le roman de Bram Stocker, qui évoque la légende du comte Dracula, le château de Peleş, somptueuse résidence royale ou bien les églises évangéliques fortifiées, sises au pied des Carpates, dont certaines sont inscrites au patrimoine mondial de l’UNESCO. On peut aussi découvrir la Transylvanie profonde. Pour ce faire, il faut sillonner les villages et franchir le seuil des maisons des habitants des parages.



    RRI et la station locale l’Antenne des villages se sont proposé de récompenser trois de leurs fidèles auditeurs par un séjour d’une semaine au cœur de la Transylvanie. Jamila Bekkaï, du Maroc, Gilbert Dupont, de France, et Anca Balaban, de Roumanie, sont les heureux gagnants du jeu concours « Voyage avec la navette de Mamie Ruta », lancé cet été par ces deux stations de la radio publique roumaine. Début septembre, ils sont arrivés à la maison de la Mamie Ruta, qui avait laissé en héritage à ses petits-enfants, entre autres, une navette pas comme les autres. En signe de respect pour sa vie exemplaire, les descendants de Mamie Ruţă décident de porter la navette à travers le pays et partout sur la planète, histoire daccomplir le rêve de voyager à travers le monde de celle qui n’avait jamais quitté Mândra, son village natal. Cette navette à tisser tellement particulière a jusqu’ici parcouru plus d’un million de km. Qu’est ce qui a interpellé nos hôtes de l’étranger ? Ecoutons Jamila Bekkaï du Maroc :






    Ce fut une semaine au cœur de la Transylvanie, durant laquelle les trois fidèles auditeurs ont visité non seulement le village de Mândra, où nos auditrices ont eu l’occasion de porter les habits de mariage de Mamie Ruta, mais aussi au village de Sona, du grand peintre roumain Stefan Câltia. Les deux musées nationaux du village de Bucuresti et de Sibiu, la ville de Fagaras, avec sa cité médiévale devenue prison politique à l’époque communiste, la ville de Brasov, la route appelée Transfagarasan et le monastère brancovan de Sambata de sus ont également figuré parmi les repères de ce voyage. Ecoutons Gilbert Dupont de France :






    Sept jours de voyage en Transylvanie, des expériences inédites et pas du tout ennuyantes. Nos auditeurs ont admiré les monuments historiques et d’architecture de la capitale culturelle européenne de l’année 2007, la ville de Sibiu, mais ils ont également été enchantés de l’accueil qui leur a été réservé au village de Sibiel, où ils ont été logés chez la famille Luca. Ils ont activement participé à la reconstitution d’un mariage paysan durant lequel ils ont endossé eux-mêmes les rôles de jeunes mariés, parents et beaux-parents. Le caractère interactif des visites s’est poursuivi aussi dans les ateliers de manufacture traditionnelle où nos auditeurs ont tissé et travaillé le fer et le verre. A l’aide d’artisans et d’artistes plasticiens, ils ont réussi à mieux comprendre la technique traditionnelle de la transformation des matériaux locaux.



    Si pour Anca Balaban, certains endroits visités étaient plutôt inconnus, d’autres lui ont produit de véritables révélations: « Je veux vous remercier pour l’occasion que j’ai eue de visiter des endroits inédits. J’ai également vu d’un autre œil certains endroits connus et j’ai aussi découvert une autre manière de penser les choses. Les soirées passées au village de Sibiel, la reconstitution d’un mariage paysan et de certaines traditions de Marginimea Sibiului m’ont encouragée à découvrir d’autres aspects de l’histoire et des traditions du peuple roumain. »



    La dernière journée de ce voyage initiatique a été surprenante. Elle a commencé avec une visite dans une bergerie traditionnelle de la région de Fagaras, dans le centre du pays, où le groupe a pu observer la fabrication de produits traditionnelle à base de viande et de lait de brebis, qu’ils ont pu déguster par la suite. Plus tard, la visite aux châteaux de Peleş et de Pelişor, dans la ville de Sinaia, a conclu la série des découvertes d’une très belle Roumanie que les gagnants de notre concours comprendront et aimeront davantage.



    De retour en Roumanie après un périple sur l’île de Bali, la navette de Mamie Ruţă, du village transylvain de Mândra, a accompagné nos auditeurs tout au long de leur parcours transylvain. Ils souhaitent maintenant faire voyager la navette à travers leurs pays d’origine, question de raconter des histoires et des légendes des villages traditionnels roumains. La navette à tisser de Mamie Ruţă est désormais prête pour de nouvelles aventures. (trad.: Mariana Tudose, Alex Diaconescu)

  • Sur les traces de la navette de Mamie Ruta

    Sur les traces de la navette de Mamie Ruta

    Elle est de nature voyageuse – elle bougeait déjà beaucoup à lépoque où elle était en activité, mais, à présent, elle ne se contente plus de va-et-vient entre les fils de laine et fait le tour du monde. Elle est légère, bien que sa silhouette soit en bois, et elle sest déjà fait une petite renommée internationale grâce à ses voyages… Elle sappelle “la navette de Mamie Ruţă” et sest trouvée à lorigine dune compétition qui a passionné les auditeurs de RRI, aux quatre coins du monde. Le petit objet a porté chance à deux auditeurs de la Rédaction française, ce qui est plutôt rare pour le tirage au sort dun jeu-concours.



    Ce sont Mlle Jamila Bekkaï du Maroc et M. Gilbert Dupont de France qui ont décroché le gros lot – le voyage dans le sud de la Transylvanie offert par RRI, par le sponsor principal de cette aventure, Scorilo Turism, et par tous les autres partenaires du jeu. A noter aussi que ce concours a été organisé par notre station en partenariat avec lAntenne des villages, une station du bouquet RR dédiée au monde rural, qui, à son tour, a désigné deux gagnants, les épous Balaban, suite à un tirage aux sorts. Ce qui fait que nous avons un petit groupe roumano-franco-marocain de gagnants du Grand Prix, qui explorent actuellement la contrée de Făgăraş, au centre de la Roumanie, région dorigine de Mamie Ruţă et de sa fameuse navette… Impressions à mi-parcours.





    Un grand merci à Scorilo Turism, sponsor principal, et à tous les partenaires de RRI et RRAV ayant rendu possible cette aventure – les conseils départementaux de Braşov et Sibiu, les municipalités de Făgăraş et Râşnov, l’Archevêché de la Transylvanie — l’Archevêché de Sibiu, le monastère Brâncoveanu de Sâmbăta de Sus, la filiale de Sibiu de l’Union des Plasticiens, le Musée National Brukenthal, le Musée national ASTRA de Sibiu, le Centre départemental pour la conservation et la promotion de la culture traditionnelle « Cindrelul-Junii Sibiului », le Musée départemental d’histoire de Braşov, le Lycée d’art de Sibiu, S.C. Libris S.R.L., Ion Art Glass de Şelimbăr, et le sculpteur américain d’origine roumaine Gheorghe Zaharia, né dans la contrée de Făgăraş.



    Retrouvez les photos du voyage sur les profils Facebook de la Rédaction française:


    – https://www.facebook.com/RadioRomaniaInternationalFR


    – https://www.facebook.com/serviciul.francez

  • Vacances dans le sud du littoral roumain de la mer Noire

    Vacances dans le sud du littoral roumain de la mer Noire


    Chers amis, RRI vous invite à participer à un nouveau jeu-concours, intitulé « Vacances d’été sur la côte roumaine de la Mer Noire ». D’ici fin avril, vous découvrirez les stations du sud du littoral roumain, à savoir Jupiter, Saturn, Venus, Neptun, Olimp et Cap Aurora, ainsi que la ville de Mangalia, qui se dresse sur l’ancien emplacement de la cité antique Callatis.



    Notre voyage commence dans la ville-station littorale de Manglia, destination idéale pour ceux qui souhaitent profiter de vacances sereines au bord de la mer Noire et des cures balnéaires, mais aussi pour les passionnés d’histoire. En matière d’attractions touristiques, la liste est longue. Parmi elles, les ruines de la cité Callatis, ancienne colonie grecque au bord du Pont Euxin, la mosquée d’Esmahan Sultan, les grottes Movile – qui est une réserve spéléologique – et Limanu, avec son labyrinthe souterrain s’étendant sur près de 4 km, ainsi que le fameux vignoble de Murfatlar, dont les vins sont primés aux concours internationaux. Il convient de mentionner aussi qu’en 1959, à Mangalia était découvert le plus ancien papyrus d’Europe, datant du IVe siècle avant Jésus-Christ. Après avoir passé un demi-siècle à Moscou, pour être restauré, il peut être de nouveau admiré au Musée d’Archéologie de Mangalia.



    Dumitru Filip, directeur du département du tourisme de la Municipalité de Mangalia, nous parle de ce chef-lieu qui gère six stations littorales aux noms de planètes: Jupiter, Saturn, Venus, Cap Aurora, Neptun et Olimp: Elles ne sont pas nombreuses les villes qui puissent s’enorgueillir d’une richesse de stations littorales aussi grande que la nôtre. Notre atout principal c’est justement le fait d’être une destination importante dans le paysage touristique roumain. Nous disposons d’une capacité d’hébergement d’environ 120.000 places dans des hôtels offrant tous les degrés de confort. Le chef-lieu de Mangalia et les stations adjacentes sont reconnus en tant que destinations balnéaires. Cela veut dire qu’en dehors du tourisme estival, nous proposons des cures thermales. Nos établissements disposent d’excellentes facilités en matière de physiothérapie. En plus, nombre d’hôtels offrent des procédures de balnéothérapie. Certains d’entre eux proposent également des cures de remises en forme et de beauté. Mangalia n’a pas un grand nombre d’habitants et puis une douce sensation de vacances éternelles flotte dans l’air de ses stations littorales. Le séjour y est d’autant plus agréable que l’on a l’embarras du choix parmi la multitude de terrasses, de restaurants gastronomiques ou traditionnels, d’aires expressément aménagées pour accueillir des activités sportives.



    Il y a de bonnes raisons pour choisir Mangalia, affirme Cristian Radu, le maire de la ville: Nous avons au total 9 kilomètres de côte. La région et également réputée pour la forêt de plus de 500 hectares, les six lacs, la boue sapropélique et les dix sources thermales. Nous avons démarré une série de projets financés par les fonds européens. Les travaux ont déjà commencé pour la construction d’un bord de mer piéton de 9 km, soit la longueur de notre segment du littoral. Une autre attraction touristique est le haras de Mangalia, vieux de plus de 90 ans, qui abrite des pur-sang arabes. Nous essayons donc d’améliorer le positionnement de nos stations sur la carte touristique du monde. Mangalia passe pour le plus ancien site d’habitat humain de Roumanie. Par ailleurs, nous sommes en train de mettre en valeur les vestiges de la cité antique de Callatis, au travers d’un projet européen. Nous souhaitons aussi avoir à nouveau à Mangalia la grande affluence de visiteurs de l’étranger qui, par le passé, venaient profiter, entre mai et fin septembre, des vertus thérapeutiques de nos sources chaudes et des soins prodigués dans nos établissements thermaux. Les tarifs de nos services sont accessibles et puis la boue sapropélique de Mangalia est unique en Europe.



    Tatiana Odobescu est directrice du complexe culturel Callatis, qui réunit la Maison de la culture, le Musée d’archéologie, la Bibliothèque municipale et la Bibliothèque française Arthur Rimbaud: Nous avons des vestiges importants, dignes de l’intérêt de nos hôtes venus de l’étranger. Le Musée d’archéologie de Mangalia leur fera découvrir l’histoire de ces parages. Plusieurs cités datant de l’antiquité grecque s’égrènent le long de la côte ouest de la mer Noire. Callatis en est une. C’est une cité dorienne vieille de plus de 2.500 ans, à l’histoire fort intéressante. Une flânerie dans les rues de Mangalia vous fera découvrir une partie des vestiges mis au jour par les fouilles archéologiques. Le projet Callatis – Histoire au bord de la mer Noire se propose justement de conserver et de mettre en valeur trois attractions touristiques situées aux environs de Mangalia. Ces vestiges ont une longue histoire. Au début du XXe siècle, les démarches visant à déplacer l’aire urbaine loin du site historique n’ayant pas abouti, ces vestiges éparpillés dans la ville moderne de nos jours constituent de véritables îlots d’antiquité. Trois d’entre eux sont facilement visibles. Il s’agit des flancs nord et est et de l’angle nord-ouest de la muraille de la cité Callatis, ainsi que des nécropoles paléochrétiennes. Les recherches sur ces vestiges désormais achevées, nous sommes parvenus à des conclusions très intéressantes, qui seront rendues publiques ultérieurement. Nous allons entamer l’étape d’étude architecturale, qui devrait déboucher sur l’identification des modalités permettant une meilleure mise en valeur de ces vestiges. Nous envisageons de créer un parc archéologique en plein air. Il en racontera l’histoire à tout visiteur du musée Callatis de Mangalia. Muni d’une carte, le touriste pourra les repérer aisément, à proximité de ce musée.



    Les hôtels situés dans le sud du littoral de la mer Noire s’adressent à toutes les catégorie de touristes. Il y en a qui pratiquent, depuis peu, le tourisme de niche, privilégiant les offres destinées aux jeunes, aux familles avec des enfants ou aux personnes désireuses de tester les bienfaits des facteurs thérapeutiques de la contrée.



    Andrei Ţigănaş, directeur des hôtels Delta et California, situés dans les stations littorales de Jupiter et respectivement Cap Aurora: Cela fait des années que nous ciblons les familles avec des enfants. Nos petits clients sont traités comme des rois. Nous avons conçu pour eux des activités à longueur de journée et leur avons réservé tout un segment de plage. A cela s’ajoute l’aire de jeu « Baby Land », les ateliers de création, le centre de danse moderne et classique, l’école de théâtre et le théâtre pour enfants. Toutes ces activités sont gratuites et constituent un complément de l’offre d’hébergement. (Trad. Mariana Tudose)


  • Les gagnants du jeu-concours « Voyage avec la Navette de Mamie Ruţă »

    Les gagnants du jeu-concours « Voyage avec la Navette de Mamie Ruţă »

    Chers amis, RRI vous a invité à participer, jusqu’au 15 juillet — le cachet de la poste faisant foi — à un nouveau jeu concours intitulé « Voyage avec la Navette de Mamie Ruţă », organisé aux côtés de nos collègues de lAntenne des villages, la station de la Radio publique roumaine destinée au monde rural. Un projet simple et ingénieux est né au cœur de la Roumanie, dans la contrée de Făgăraş, qui a fait parler de lui dans le monde du village de Mândra : «La Navette de Mamie Ruţă ». Nous vous avons donc proposé un jeu-concours qui vous fasse découvrir la région de Făgăraş ainsi que Mărginimea Sibiului, une contrée superbe qui lavoisine.



    Ce jeu a suscité un grand intérêt. Sur plusieurs centaines de réponses envoyées à RRI, 197 ont été correctes et complètes, étant prises zen compte pour le tirage aux sorts. Nous vous en remercions à toutes et à tous et nous attendons vos participations à nos prochains jeux-concours.



    Nous navons pas changé nos bonnes habitudes et nous avons préparé un grand prix spécialement pour vous. Il sagit de deux séjours de 8 jours, soit 7 nuitées, en pension complète, du 1er au 8 septembre 2015, dans une pension de Sâmbăta de Sus, région de Făgăraş, département de Brasov, ou bien dans un gîte de Marginimea Sibiului, au département de Sibiu. Ces prix seront partagés entre les gagnants désignés par tirage aux sorts parmi les auditeurs de RRI et de lAntenne des Villages participant à ce jeu. Comme dhabitude, les frais de voyage en Roumanie et de visa, si nécessaire, sont à la charge des gagnants du grand prix.



    Le sponsor de notre jeu est SC SCORILO TURISM SRL. Le jeu vous est proposé par RRI en coopération avec ses partenaires locaux des départements de Braşov et Sibiu : les conseils départementaux de Braşov et Sibiu, les municipalités de Făgăraş et Râşnov, l’Archevêché de la Transylvanie — l’Archevêché de Sibiu, le monastère Brâncoveanu de Sâmbăta de Sus, la filiale de Sibiu de l’Union des Plasticiens, le Musée National Brukenthal, le Musée national ASTRA de Sibiu, le Centre départemental pour la conservation et la promotion de la culture traditionnelle « Cindrelul-Junii Sibiului », la Musée départemental d’histoire de Braşov, le Lycée d’art de Sibiu, S.C. Libris S.R.L., Ion Art Glass de Şelimbăr, et le sculpteur américain d’origine roumaine Gheorghe Zaharia, né dans la contrée de Făgăraş.



    En suivant nos émissions, en consultant notre site Internet www.rri.ro, ainsi que nos profils sur Facebook, Twitter, Google+, LinkedIn, vous avez pu trouver les réponses correctes aux questions de ce jeu-concours.



    Le jeu-concours s’est achevé le 15 juillet — le cachet de la poste faisant foi. Avant de vous faire connaître les noms des gagnants, rappelons les questions auxquelles nous vous avons invités à répondre:



    1. Doù est partie en voyage la «Navette de Mamie Ruţă» ? Réponse correcte : du village de Mândra.



    2. Combien de km cette navette a-t-elle parcourus jusquici ? Réponse correcte : un million de kilomètres.



    3. Comment sappellent les deux régions que les gagnants du grand prix auront loccasion de visiter ? Réponse correcte: Făgăraş (Sâmbăta de Sus), du comté de Braşov, et Mărginimea Sibiului, du comté de Sibiu.



    4. Nommez 5 villages ou endroits inédits que la « Navette de Mamie Ruţă » a visités. Là, vous pouviez choisir parmi les dizaines de pays, de villes et d’endroits qui ont accueilli la navette et que vous avez pu découvrir sur Internet, à partir des nombreuses photos postées sur le site de RRI et sur nos profils sur les réseaux sociaux.



    Et maintenant, place aux gagnants !



    Voici tout dabord les 25 mentions : notre compatriote Delia Biţă, d’Italie, Atef Salama et Sami Ahmad Mosad, les deux d’Egypte, Liuben Rosales Arevalo, de Cuba, Christian Canoën, de France, Xue Fei, de Chine, Viktor Varzin, de Russie, Hans Verner Lollike, du Danemark, Grant Skinner et Matthew Loughlin, les deux du Royaume Uni, Ronny Forslund, de Suède, Keith Simmonds, de France, qui a écrit au Service Anglais, tout comme Jaroslaw Jedrzejczak, de Pologne, récent gagnant du jeu-concours de RRI « Vacances sur la côte de la mer Noire », Asghar Shah et Maaz Shahzad, les deux du Pakistan, Abdulkarim Alhouseini, de Libye, qui a écrit au Service Anglais, Abur Rashid Biswass, Eyamin Hosain, S.B. Sharma, Jayanta Chakrabarty, Priyanka Paul, Chitturi Venkataramana, Shivendu Paul, Syamapada Sarkar et Najim Udin, tous les 9 d’Inde.



    “Je félicite le professionnalisme de léquipe du service francophone pour le travail effectué quotidiennement sur les ondes, équipe dont on sent lattachement réel pour son pays”, nous écrivait Christian Canoën de France.



    Notre compatriote Delia Biţă, résidente en Italie, avouait: « J’écoute avec plaisir les émissions de RRI et je suis vos programmes en ligne car j’ai la certitude que vous faites la promotion des valeurs roumaines à l’étranger, ce qui fait que la Roumanie sorte un peu plus de l’anonymat ».



    Passons maintenant aux 15 troisième prix que voici: Dejan Mijatovic, de Serbie, Natalia Zabolotna, d’Ucraine, Cătălina Constantinovici, de Roumanie, Ben Chohra Ali, d’Algérie, Ziyad Ahmad Aqil, de Jordanie, Juan Antonio Morales, d’Espagne, Claude Unsinger, de France, He Xige et Zhang Xiaohua, les deux de Chine, Nikolaï Prigodici, du Bélarus, Brian Kendall, du Royaume Uni, Muhammad Shamim et Deepita Chakrabarty, les deux d’Inde, Hamad Kiani, du Pakistan, et Oscar Machuki du Kenya.



    Dejan Mijatovic, de Serbie, argumentait de manière claire et précise: « Chers amis, c’est avec un très grand plaisir que j’ai lu l’histoire concernant la navette de Mamie Ruţă. J’ai également été enchanté par le parallèle avec le nain d’un de mes films préférés, sur le destin fabuleux d’Amélie Poulain, surtout après avoir vu, en janvier dernier, le nain à 2750 m dans les Alpes françaises, où je m’étais rendu pour mes vacances. »



    Natalia Zabolotna, d’Ukraine, a écrit: « J’ai été particulièrement impressionnée par l’histoire de Mamie Ruţă, qui n’a pas réussi à accomplir son rêve de voyager à travers le monde, mais qui a souhaité que sa navette le fasse à sa place. Ce concours parle des rêves… et les rêves sont si différents ! Certains rêvent de voir des pays éloignés, d’autres de voler en ballon ou de devenir célèbres, tandis que d’autres ne rêvent que d’un peu de temps libre pour leurs hobbies ou pour se reposer. Tout le monde rêve de quelque chose et il nous semble à tous que nous manquons de quelque chose — de temps, d’argent etc. La plupart des fois, les rêves sont considérés moins importants et sont placés au second plan, mais il faut prendre conscience que les rêves font partie de la nature humaine, ils sont une projection de la vie que nous souhaitons avoir. Par conséquent, ils doivent être respectés et méritent l’effort de chacun de les réaliser. »



    Cătălina Constantinovici, de Roumanie, nous écrivait: « J’écoute avec plaisir la voix roumaine diffusée partout dans le monde, lorsque le temps me le permet. Je trouve là beaucoup de choses intéressantes que je n’ai pas entendues sur les radios commerciales. Le site est accessible, beau, il comporte beaucoup d’informations, beaucoup d’infos intéressantes en chacune des langues. C’est ainsi que je peux perfectionner la langue étrangère qui me préoccupe et que j’étudie à la faculté. Je participe au concours pour en savoir davantage et pour découvrir les beautés qui ont été léguées à notre pays. »



    Notre ami de longue date, Claude Unsinger, de France, indiquait dans son message de participation: « Je voyage régulièrement en Roumanie depuis un certain nombre dannées, mais je nai encore jamais visité la région des Monts Făgărăş. Lhistoire de cette navette me touche car cest à travers celle-ci que les Roumains essayent de présenter leur pays, la vie des paysans roumains, les traditions rurales. Je souhaiterais que cette navette puisse un jour faire le voyage à Strasbourg, capitale de lEurope. Cela est dans la droite ligne de ce je jessaie de faire en France, en présentant la Roumanie à travers dexpositions photos et de diaporamas numériques. » Merci beaucoup et bon succès!



    He Xige, de Chine, argumentait: « La navette de Mamie Ruţă et son voyage à travers le monde donnent l’occasion à tous de comprendre la beauté et la richesse de la vie dans le petit village de Mândra de la Contrée de Făgăraş, invitant tout un chacun à ouvrir grande la merveilleuse fenêtre avec vue sur la Roumanie. Ce concours n’est qu’une autre manière dont la navette de Mamie Ruţă peut faire encore une fois le tour de la Terre, et moi, cela me donne l’occasion de me sentir comme si je voyageais dans une contrée à nulle autre pareille, celle de Făgăraş. »



    Nikolaï Prigodici, du Belarus, nous avoue: « Les émissions de RRI me plaisent pour leur individualité et leur expressivité. Votre équipe fait une chose merveilleuse, facilitant un pont d’amitié et de paix entre les écouteurs de tant de pays du monde. Les émissions de RRI sont très intéressantes, instructives, différentes et véridiques, et aussi très accessibles à un public large! »



    Nous arrivons maintenant aux 10 deuxième prix: Sara Souberan, d’Italie, Beate Hansen, d’Allemagne, Miodrag Ristic, de Serbie, Ihor Gurovoi, d’Ukraine, notre compatriote Cătălina Dejois, de France, Farid Boumechaal, d’Algérie, Carlos Campos Aldana, de Cuba, Jean-Michel Aubier, de France, Ji Yuan, de Chine, Oleg Voronov, de Russie.



    Sara Souberan, dItalie, nous a envoyé la motivation suivante : « Jai travaillé dans plusieurs restaurants de Turin et ça ma permis de rencontrer un grand nombre de Roumains. Je suis restée en contact avec quelques-uns, qui mont invitée en Roumanie mais loccasion ne sest pas présentée. Jai donc gardé cette curiosité de connaître un peu votre pays. Jécoute RRI en ligne à mon travail. De temps en temps, je surfe sur votre site, où je trouve des articles de culture générale bien intéressants. »



    Beate Hansen, dAllemagne, elle-même gagnante du Grand Prix de notre jeu-concours « Govora-les-Bains, une oasis de santé », écrivait : « En fait, je navais pas lintention de refaire si vite lexpérience dun jeu-concours de RRI, après avoir gagné un magnifique prix au précédent. Mais ma curiosité et votre motto, Gagner – cest simple ont eu raison de mes hésitations. Et à la dernière raison, qui est toujours vraie, le fait que jécoute les émissions de RRI, est venue sajouter une autre : les souvenirs de mes dernières vacances en Roumanie, en juin-juillet. »



    Miodrag Ristic, de Serbie, a eu les arguments suivants : « Ce fut avec le plus grand plaisir que jai décidé de participer au jeu-concours de votre radio, dont les émissions en langue serbe sont très bonnes, concises, complexes et objectives. Je vous écoute depuis un certain temps déjà et je peux affirmer que cette qualité de lémission est caractéristique permanente de RRI en langue serbe. »



    Ihor Gurovoï, dUkraine, nous a expliqué: « Je voudrais apprendre le plus de choses sur le pays voisin le plus proche de lUkraine, la Roumanie. Nous partageons tant de choses, par exemple la foi et le désir de préserver les traditions et les coutumes. Les deux peuples ont les mêmes aspirations et souhaitent arriver au niveau de développement des pays européens avancés, en préservant leur identité et leur spécificité. La page Internet et les émissions de RRI me fournissent des informations intéressantes sur la Roumanie moderne, sur son histoire et sa culture, sur son niveau de développement et sur son expérience dintégration européenne. Le jeu-concours “Voyage avec la navette de Mamie Ruţă” témoigne du respect des Roumains pour leurs parents et leur famille. Pour réussir à répondre aux questions, jai dû traduire du roumain, une langue dont la musicalité ressemble tellement à celle de langue ukrainienne. Jai été impressionné par loriginalité de la démarche par laquelle les gens ont voulu accomplir le rêve de Mamie Ruţă. »



    Cătălina Dejois, de France, avançait les arguments suivants : « Radio Roumanie Internationale est un lieu de rencontre des Roumains de la diaspora, où les émissions culturelles, éducatives, sociales, nous rapprochent les uns des autres. Promouvoir les valeurs roumaines partout dans le monde est un objectif nécessaire. Cest un moyen dapporter plus dunion au sein de la communauté roumaine de France et dailleurs. »



    Jean-Michel Aubier, de France, a été très intéressé par la thématique de ce concours et surtout par les pistes de réflexion quil ouvre. Et il nous dit: « C’est un concours un peu inédit, cette fois, que nous propose Radio Roumanie Internationale. Je n’avais jamais entendu parler du mot, « navette », un élément du métier à tisser. C‘est donc un retour en arrière que RRI amorçait avec ce quiz. RRI propose de nombreuses émissions permettant à l’auditeur de découvrir un pays encore loin des itinéraires du voyageur lambda, lequel est souvent persuadé que la Roumanie est encore un pays sous-développé. Bien sûr, le pays souffre toujours d’un retard dans son développement, et la corruption qui la gangrène freine son essor. Mais Klaus Iohannis, héraut de la lutte anti-corruption, semble être en mesure de remettre le pays sur le bon chemin. Même si je ne suis pas aussi souvent à l’écoute que je le souhaiterais, RRI m’a fait découvrir un pays s’ouvrant sur la démocratie, malgré les embûches inhérentes à ce processus et je suis persuadé que dans une vingtaine d’années, la Roumanie sera totalement amarrée à l’Europe. Souhaitons que RRI y soit toujours présente pour nous faire partager ces moments d’histoire. »



    Ji Yuan, de Chine, avait les arguments suivants : « Je suis un passionné de Roumanie et de RRI, profondément attaché à la culture et à la civilisation roumaines. Jaimerais énormément arriver, grâce à un tel jeu-concours, à une connaissance plus profonde et plus complète de lhistoire, de la culture et de la civilisation roumaines. La navette de Mamie Ruţă est une concentration dapplication au travail du peuple roumain, une mise en lumière de son effort et de sa créativité; dans le même temps, il exprime le désir des Roumains de faire connaître au monde leur bonté, leur beauté et leur cordialité. La navette de Mamie Ruţă a emporté avec elle, dans son voyage, la patrie elle-même, celle qui vous attend, qui vous regarde, un voyage des cœurs sincères qui montrent le meilleur et le plus beau au monde entier. Partie dun petit village, la navette de Mamie Ruţă a tissé une histoire de randonnées enchantées, témoignant toutes de lamour pour la mère-patrie. »



    Nous montons maintenant sur la première marche du podium, pour retrouver les cinq gagnants du premier prix: Mohamed El-Sayed Abdel-Rahim, d’Egypte, Enric Ballester Burcet, d’Espagne, Xu Fei, de Chine, Mikhaïl Bahynov, de Russie et Gita Chakrabarty, d’Inde.



    Mohamed El-Sayed Abdel-Rahim, d’Egypte, expliquait : « J’ai participé à ce jeu-concours parce que son thème, ainsi que les informations sur le village de Mândra et la contrée de Făgăraş que j’ai accumulées en écoutant vos programmes — comme d’ailleurs l’histoire de la navette de Mamie Ruţă — je les ai trouvées très intéressantes et d’une grande valeur. Je ne vous cache d’ailleurs pas mon désir de gagner le grand prix de ce jeu-concours ou un autre prix et dans ce cas, j’aimerais que ce soit un objet d’art traditionnel. Enfin, et pas en dernier lieu, je souhaiterais rejoindre la grande famille des auditeurs de RRI, car votre radio réunit autour d’elle de nombreuses personnes de tous les coins du monde, désireuses de participer à ses activités et c’est magnifique. »



    Enric Ballester Burcet, d’Espagne, nous a écrit : « J’ai souhaité participer à ce jeu-concours car l’histoire et la culture roumaines m’intéressent et les concours nous offrent la possibilité d’en apprendre davantage sur la Roumanie. J’écoute régulièrement les programmes de RRI, car ils sont une fenêtre ouverte sur les actualités et sur les informations culturelles et touristiques concernant la Roumanie. »



    Xu Fei, de Chine, nous a envoyé le message suivant : « Pour moi, ce n’est ni la France ou le Royaume Uni, ni les Pays-Bas ou la Suède qui représentent tout ce que l’Europe a de meilleur, mais ce petit pays du sud-est du continent. J’aimerais, un soir d’été, m’asseoir dans un bistrot d’une des petites ruelles de Roumanie pour boire une tasse de café ou écouter de la musique dans un club ou bien aller tout seul, contempler le coucher du Soleil et le lever de la Lune, dans un moment de calme et de simplicité ressentir la mélancolie sud-est européenne. Je souhaite vraiment me rendre un jour en Roumanie et lors de ce voyage, passer des moments qui puissent rester gravés à jamais dans ma mémoire. »



    Mikhaïl Bahynov, de Russie, expliquait, entre autres : « J’ai décidé de participer à ce jeu-concours, car la vie à la campagne me rappelle mes grands-parents. Mes grands-parents ont gardé une touche rurale unique dont ils ont teinté toute leur vie et qui transparaît dans les contes qu’ils me racontaient dans mon enfance. J’écoute les émissions de RRI depuis 13 ans et je ne cesse de découvrir de nouvelles choses sur la Roumanie. J’aime les émissions sur ce magnifique pays, que je souhaiterais visiter avec ma bien-aimée. »



    Enfin, Gita Chakrabarty, d’Inde, nous écrivait: « Ce jeu-concours m’a séduite par le mystère tissé autour de la navette de Mamie Ruţă. Je pense que c’est un sujet inhabituel pour un concours international. RRI m’a ainsi aidée à mieux comprendre la beauté de ce genre de valeurs humaines. (…) Quel que soit leur âge, leur position sociale, l’étape de la vie qu’ils sont en train de parcourir, les gens ont porté un drapeau de la paix et de la solidarité partout où ils ont voyagé. Mamie Ruţă a prouvé au monde que sa navette est une force vivante, plus puissante que beaucoup d’autres moyens par lesquels on peut transmettre les plus belles valeurs humaines. Ecouter les programmes de RRI – soit en ondes courtes, soit en ligne – est une expérience des plus agréables. J’écoute RRI depuis assez longtemps et je tiens à exprimer mon appréciation pour votre travail. Grâce aux voix amicales de ceux que nous entendons, à la haute qualité du contenu de vos programmes et transmissions, l’expérience de l’écoute devient un véritable plaisir. »



    Juste quelques instants avant de dévoiler les gagnants du Grand Prix de ce concours, mais, pour prolonger un peu le suspense, passons en revue les cinq prix spéciaux que nous avons mis en jeu, gagnés par: Khalil Abdel–Kader, d’Algérie, Aylton José Cordeiro Gama, du Brésil, Anatoli Klepov, de Russie, Debaki Biswas, de Bankura, au Bengal Occidental, Inde, et Jahangir Alam, du Bangladesh.



    Khalil Abdel–Kader, d’Algérie: « Ce qui m’a déterminé à participer à ce jeu-concours, c’est l’envergure historique et sociale du thème proposé ainsi que le rêve de visiter la Roumanie, ce beau pays aux braves gens dont j’ai fini par m’éprendre et de rencontrer mes chers amis, membres de la Section arabe de RRI. J’écoute votre radio depuis de nombreuses années, en raison de l’objectivité et du sérieux qui la caractérise, car elle est un fidèle miroir des réalités roumaines dans tous les domaines d’activité : politique, économique, culturel, social, historique, touristique, sportif. »



    Aylton José Cordeiro Gama, du Brésil, partage avec nous ses arguments: « J’aime beaucoup écouter RRI sur Internet, car les langues et les littératures néo-latines m’intéressent tout particulièrement. Le roumain étant la langue que je connais le moins, je tâche de l’apprendre, y compris par l’intermédiaire de votre radio, car le matériel didactique est très difficile à trouver. Je souhaite visiter la Roumanie un jour et arriver à parler le roumain couramment. En écoutant les programmes de RRI, je me suis rendu compte que la Roumanie est un beau pays. J’écoute RRI en plusieurs langues, notamment en espagnol, italien, français et roumain et je lis régulièrement le matériel de RRI posté sur Facebook. »



    Voici ce qu’écrivait Debaki Biswas, d’Inde: « La principale raison qui m’a poussé à y participer a été le thème du jeu-concours. J’ai été impressionné par le fait que cette femme, qui n’a pas pu assouvir son rêve de voyager à travers le monde, l’ait légué à ses descendants. Cette histoire me rappelle en quelque sorte ma grand-mère. C’est en 1970, à l’époque de mes études universitaires, que je suis tombé amoureux de la Roumanie. J’écoutais beaucoup de stations de radio émettant en ondes courtes et Radio Roumanie était déjà ma préférée. Je me souviens de la première QSL, reçue en 1972, ensuite de la série de prix que j’ai obtenus, dont albums de musique, cartes postales, disques. J’ai eu la chance de remporter le 2e Prix aux jeux-concours ‘Radio România 85’ et ‘Festival Enescu 2013’. C’étaient des prix extraordinaires: des albums illustrés représentant des sites pittoresques de Roumanie et des CDs avec de la musique. »



    Voici maintenant l’argumentation de Jahangir Alam, du Bangladesh: « La motivation de ma participation à ce jeu – concours est toute simple. En auditeur fidèle de RRI depuis 26 ans, j’ai développé une affinité pour la Roumanie. Je nourris l’espoir qu’un jour je pourrai explorer ce pays aux innombrables valeurs culturelles et historiques et jouir de l’hospitalité du peuple roumain. C’est grâce à Internet que j’ai découvert le voyage fascinant autour du monde de la navette de Mamie Ruţă. Je trouve que c’est le plus intéressant projet de voyage et de promotion des valeurs à l’échelle internationale. C’est là un symbole des traditions et des vieux métiers de l’artisanat, ainsi qu’une excellente modalité de promouvoir les valeurs et les beautés de Roumanie. »



    Nous remercions tous ceux qui ont répondu aux questions et qui nous ont expliqué ce qui les a déterminés à se laisser tenter par ce jeu-concours.



    Et maintenant, le dénouement de ce jeu. Lors du tirage au sort, la navette de Mamie Ruţă a porté chance – chose très rare – à deux auditeurs de la Rédaction francophone de RRI. Ce sont Mlle Jamila Bekkaï du Maroc et M Gilbert Dupont de France qui remportent les Grands Prix, les séjours de 7 nuitées en pension complète dans les régions de Făgăraş (du département de Braşov) et de Mărginimea Sibiului (département de Sibiu). Toutes nos félicitations et au plaisir de vous accueillir le 1er septembre, en Roumanie. Nos deux gagnants rejoindrons deux autres auditeurs lauréats par Radio Roumanie Antena Satelor, chaîne avec laquelle ce jeu est réalisé en partenariat.



    « A travers ce genre de concours japprends toujours davantage sur la Roumanie », nous écrit Mlle Bekkaï. « A chaque fois je découvre les facettes cachées de la Roumanie, ses diverses belles régions; jai acquis tout au long de mon écoute de vos diverses, intéressantes et si enrichissantes émissions beaucoup de connaissances sur la Roumanie (politique, histoire, culture, tourisme etc….). Ces concours sont une occasion de faire mieux connaître la Roumanie et dattirer davantage dauditeurs, dont le nombre est dailleurs en augmentation dannée en année », estime Mlle Jamila Bekkaï, la gagnante du Grand Prix. Vous avez raison, le public des programmes en français connaît une hausse spectaculaire, depuis lannée dernière, et nous souhaitons saisir cette occasion pour remercier, une fois de plus et de tout cœur, tous ceux, de plus en plus nombreux, qui témoignent de leur fidélité à notre station.



    Pour sa part, M Gilbert Dupont nous félicite pour « le thème très original de ce concours. » « La Rédaction française très dynamique, joue parfaitement son rôle de vitrine de ce beau pays si accueillant et trop méconnu des Français », nous écrit notre auditeur. Merci beaucoup pour vos encouragements et vos mots chaleureux.



    Au plaisir, Mlle Bekkaï et M Dupont, de vous faire découvrir bientôt ce dont nous vous parlons sur les ondes.



    Les prix et les mentions seront envoyés par la poste dans les prochains mois. Nous vous prions de confirmer, par lettre, e-mail ou fax, l’arrivée de l’envoi postal ainsi que son contenu.



    Merci une fois de plus d’avoir tenté votre chance et d’avoir répondu correctement à ce jeu-concours de RRI consacré aux régions de Făgăraş et de Mărginimea Sibiului. Nous vous attendons nombreux à nos prochains jeux-concours !



    (Aut. : Alecu Marciuc, Roxana Iorgulescu-Bandrabur, Răzvan Emilescu, Valentin Ţigău, Eugen Cojocariu; trad: Dominique, Ligia Mihăiescu, Ileana Ţăroi, Andrei Popov)

  • Les gagnants du jeu “Govora les Bains, une oasis de santé”

    Les gagnants du jeu “Govora les Bains, une oasis de santé”


    Chers amis, RRI vous a invités à participer, jusquau 30 avril 2015, le cachet de la poste faisant foi, à un jeu-concours de culture générale « Govora les Bains, une oasis de santé». Le concours a été consacré à lune des principales stations de tourisme balnéaire de Roumanie, sise dans le département de Valcea, dans la moitié sud du territoire.



    Notre jeu-concours a suscité votre intérêt. A preuve, les 258 de réponses correctes et complètes que nous avons reçues de votre part. Merci à vous, et nous vous invitons à participer à dautres jeux-concours organisés par RRI.



    Le grand prix consistera en un séjour pour 2 personnes, 7 nuitées en chambre double, en pension complète, auquel sajoutera une cure thermale de six jours avec deux types de traitements quotidiens. Le séjour est prévu du 15 au 30 juin à lHôtel Palace, un édifice historique dont la construction remonte à la période 1911-1914, de la station Govora les Bains. Comme dhabitude, les frais de transport jusquen Roumanie et de visa, si nécessaire, sont à la charge des gagnants.



    Le concours a été sponsorisé par lHôtel Palace – S.C Govora les Bains S.A et organisé avec lappui de la Mairie de la station Govora les Bains, de lArchevêché de Ramnic et de la filiale de Valcea de lUnion des Artistes Plasticiens.



    Nous vous avons invités à suivre nos émissions, à consulter notre site Internet et nos profils Facebook, Twitter, Google+ et LinkedIn pour répondre correctement aux questions.



    Le jeu-concours a pris fin le 30 avril, le cachet de la poste faisant foi. Avant de vous dévoiler les noms des gagnants, rappelons les questions auxquelles vous deviez répondre:



    – Quand a été construit lHôtel « Palace » de Govora les Bains? Réponse correcte: de 1911 à 1914.



    – Quest-ce qui fait la renommée de la station de Govora les Bains? La renommée de la station est due aux eaux salées, iodurées et à la boue sapropélique, recommandées dans le traitement des affections respiratoires, rhumatismales et digestives.



    – Comment sappelle le chef-lieu du département où se trouve Govora les Bains? Réponse corecte: Ramnicu Valcea.



    – Nommez 5 attractions touristiques du département de Vâlcea. Là, vous auriez pu choisir parmi les attractions mentionnées aussi bien dans les programmes de RRI que retrouvées sur Internet ou sur les réseaux sociaux, quil sagisse de stations thermales, de monastères célèbres, dateliers de maîtres artisans ou de musées de la région.



    Voici maintenant la liste des gagnants.



    Les Mentions sont allées vers 50 de nos amis qui nous écoutent à la radio ou sur Internet: Idriss Bou Oudina, des Etats Unis, Herbert Jörger dAllemagne, Mohamed El-Sayed Abdel-Rahim et Mary Magdi Youssef, les deux dEgypte, nos auditeurs africains Abdelilah Boubchir dAlgérie et Volodimir Bondar, dUkraine, Nina Şevciuk, du Bélarus, Dmitri Kotenev et Vasili Guliaev, de Russie, Xue Fei, Li Lili, Fan Hongjie, He Xige, tous les quatre de Chine, Enric Ballester Burcet, José Luis Corcuera et Juan Franco Crespo, dEspagne, Massimo de Muro, Marco di Leo, Raffaele Ponticelli et Agide Melloni, tous les quatre dItalie, Bernardino Atilio Orellana du Japon, Raïf Chaaban du Liban qui a écrit au Service anglais, Hamad Kiani du Pakistan, Fachri dIndonésie, Chitturi Vamsi, dInde, M. A. Waheed, dOman, Henk Poortvliet, des Pays Bas, Mofizur Rahman, du Bangladesh, Hans Verner Lollike, du Danemark, Syed Ali Akbar du Pakistan.



    Nina Chevciuk (Bélarus) : « Je participe à ce concours parce que je suis toujours au courant de ce qui se passe en Roumanie. Jécoute RRI par simple curiosité, surtout les infos, les émissions musicales et les jeux-concours que je trouve très éducatifs. »



    Le Troisième Prix a été remporté par 20 de nos auditeurs ou usagers dInternet: notre cher ami Paul Jamet de France, Werner Hoffmann dAllemagne, Abdelillah Izou du Maroc, Olexandr Kozlenko dUkraine, Prigodici Nikolaï du Bélarus, Ji Yuan de Chine, Miguel Ramón Bauset, dEspagne, David Iurescia dArgentine, Cinzia Colo et Stefano Riccardi, les deux dItalie, Jaroslaw Jedrzejczak de Pologne, Obaid Alam et Asghar Shah, les deux du Pakistan, Radhakrishna Pillai N eti P. Sivashanmugham, dInde, Ashik Eqbal Tokon du Bangladesh, Keith Simmonds de France qui écoute les programmes en anglais de RRI, Kamlesh Gautam, Sourodeep Sarkar et Chaitali Sarkar, tous les trois dInde.



    Paul Jamet (France): « Vous le savez, jécoute RRI pour le contenu très intéressant de ses émissions, pour soutenir une station qui soutient le français et qui émet en DRM, ce qui constitue un véritable exploit et surtout un pari sur lavenir de la diffusion internationale alors que beaucoup de ses consœurs sombrent dans la facilité que leur offre Internet et deviennent des web radios qui ne « touchent » que ceux qui ont un accès facile au réseau. »



    Keith Simmonds, qui habite en France mais figure parmi les auditeurs du Service anglais a noté: « Jai participé à ce jeu tout simplement parce que jaime bien les concours, surtout ceux qui offrent aux participants la possibilité dexplorer de nouveaux territoires à travers leur histoire et leur culture. Jaime bien utiliser différents moyens dinformation pour apprendre davantage sur la Roumanie qui mimpressionne par sa beauté, sa diversité culturelle et lunicité de son peuple. »



    Voici maintenant les noms des 20 gagnants du Deuxième Prix: nos amis algériens : Meriem Sabine Amrane et Bezazel Ferhat Ben Rabah, Iacob Corneliu George de Roumanie, Eugeniusz Krzemieńczucki qui sest adressé à la section ukrainienne, Vladimir Andrianov, auditeur des programmes en russe, Alexandr Abramov de Russie, Shan Jinhai de Chine, Roberto Álvarez Galloso des Etats-Unis et Adervall Lima Gómez du Brésil qui figurent parmi les auditeurs du service espagnol, Simona Baj, Gabriele Meregalli et Cristina Risso, tous les trois dItalie, Jahangir Alam Manto du Bangladesh, Surendra Kumar, Binarani Mondal et S. B. Sharma, dInde, Mattew Weitendorf et Weldon Walles, des Etats-Unis, Christer Brunstrom de Suède et Sola James Agboola, du Nigéria.



    Meriem Sabine Amrane (Algérie): « Jaimerais beaucoup voyager pour découvrir, un jour, votre beau pays situé en Europe et connaître le peuple roumain que je trouve chaleureux. Quand aux programmes de RRI, cest depuis des années que jessaye de suivre régulièrement la rédaction française de RRI et japprécie beaucoup le contenu même si souvent je nai pas toujours suffisamment de temps pour réagir et envoyer des rapports découte !… Je vous trouve formidables et vous faites un très bon travail radiophonique… longue vie à RRI ! »



    Simona Baj, (IItalie): « Je participe à ce jeu-concours, puisque jai plein damis roumains et jaimerais bien visiter un beau jour la Roumanie, un pays de gens actifs. Je suis vos émissions sur Internet et je trouve que RRI est une chaîne de radio très sincère qui touche beaucoup ses auditeurs. »



    Weldon Walles (Etats-Unis): « Je suis un auditeur fidèle de vos émissions. Je suis écrivain de romans policiers et il marrive souvent de vous écouter au moment où je me mets à écrire. Les paysages décrits, larchitecture et la culture minspirent dans mes fictions. Parfois, je voyage les yeux ouverts à travers des villes imaginaires qui ressemblent à celles décrites sur vos ondes. Parmi mes programmes préférés, notons la leçon de roumain et les infos. Par ailleurs, disons que jaime aussi participer aux concours. Jespère visiter la Roumanie un beau jour afin dy trouver de nouvelles sources dinspiration pour mes romans. Je crois sincèrement que lexpérience des lieux sur lesquels on sy rend nous offre une nouvelle perspective sur les choses qui nous inspirent dans la vie ».



    Voici la liste des 10 gagnants du Premier Prix: notre cher ami Christian Ghibaudo, de France, Alexandru Buşneag dAllemagne, Boudoukha Mohamed dAlgérie, Volodimir Gudzenko de Russie qui sest adressé à la section ukrainienne, Alexandr Kuzeminski dUkraine qui sest adressé au service russe, Wu Xuan de Chine, Julio Mora Sánchez de Cuba,Giovanna Zagni dItalie, Mogire Machuki du Kenya et Mitul Kansal dInde.



    Christian Ghibaudo (France): « Les émissions sont toujours très bien réalisées avec un très bon maniement de la langue française. Léquipe francophone est très réactive aux événements en relation avec la France, par exemple suite aux attentats récents en France. De plus, il y a depuis de nombreuses années une très bonne relation avec toute léquipe francophone. Ce sont maintenant mes amis de Roumanie. »



    Alexandru Buşneag (Allemagne) : « Radio Roumanie Internationale est lune des rares chaînes de radio à offrir un programme informatif varié et intéressant tant en roumain quen plusieurs langues étrangères et que lon peut facilement écouter sur Internet que sur les ondes courtes. Jai 19 ans et je suis né et je vis en Allemagne, mais cela fait des années que jécoute les émissions de RRI. Non seulement les programmes en roumain, mais aussi ceux en allemand, français et dautres. Les réalisateurs sont très impliqués, ils offrent plein dinformations sur la culture roumaine, sur les attractions touristiques. Javoue que RRI est restée mon unique source dinformation à chaque fois que je ne peux ou je ne veux pas utiliser Internet. »



    Giovanna Zagni (Italie): « Jécoute les programmes de RRI parce quils sont très originaux et maccompagnent dans mes moments de solitude. Jai décidé de participer à votre concours dans lespoir de gagner un séjour auquel je rêve depuis toujours ; de belles vacances dans une station de cure au cœur de la nature dans un joli hôtel où je me sente dorlotée et doù je parte réconfortée. »



    10 Prix spéciaux seront remis à nos auditeurs ou internautes fidèles : Marco Schaa dAllemagne, Ben Chohra Ali dAlgérie, Nikolai Larin, de Russie, Ge Shaopeng de Chine, Alexis Rocas Ramírez du Vénézuela, Hugo Calderón Carbajal du Mexique, Michela Citro dItalie, Per Allan Olsson de Suède, Muhammad Shamim dInde et Jonathan Murphy dIrlande.



    Ge Shaopeng (Chine): « En écoutant les émissions de RRI japprends un tas de choses sur la civilisation roumaine, sur lhistoire et la culture de votre pays. Voilà pourquoi je tiens à remercier les journalistes pour leur travail! Je souhaite que vous réalisiez des émissions toujours plus intéressantes et vous transmets un salut chaleureux. Peu importe si je gagne un prix à ce jeu-concours où je participe pour la première fois. Je suis content davoir fait un nouveau pas qui me rapproche de vous. »



    Hugo Calderón Carbajaln (Mexic) : « Je pense que cest une bonne idée que dorganiser de tels concours, car nous autres auditeurs nous voulons connaître davantage sur votre histoire, votre culture, sur les traditions et les objectifs touristiques de Roumanie. Je vous salue chaleureusement et je continuerai à écouter les émissions de RRI en ondes courtes. »



    Michela Citro (Italie): « Depuis quune amie à moi ma signalé lexistence de RRI, je consulte votre site Internet et votre page de Facebook. Jai toujours été fascinée par les stations thermales et avant de participer au concours jai cherché des informations sur Internet relatives à Govora les Bains. Jai appris que cette ville deaux est recommandée dans le traitement des affections respiratoires, ce qui la rend idéale pour moi. »



    Jonathan Murphy (Irlande) : « Je participe à ce concours parce que jaimerais visiter Govora les Bains et la contrée de Vâlcea! Je ne me suis jamais rendu dans ce coin de Roumanie. Les régions les plus proches où je suis allé sont celles de Curtea de Argeş et de Târgovişte. Pendant que je me renseignais pour répondre aux questions du concours, jai appris que le comté de Vâlcea est lendroit idéal pour des vacances équilibrées, grâce à sa nature, son histoire, son art et son architecture, et son folklore. Jai même découvert quil y a aussi un Zoo! Je suis les programmes de RRI en ondes courtes et sur Internet pour mieux comprendre la Roumanie, pays qui mintéresse depuis un certain temps et où jai habité en 2014. (…) Japprécie vos émissions dactualité, les commentaires et votre amitié. Merci dorganiser de tels concours et doffrir ainsi aux auditeurs lopportunité de sinformer et daccomplir leur rêve de visiter la Roumanie! »



    Un grand merci à tous ceux qui ont répondu à nos questions et qui nous ont fait part de la motivation de leur participation à notre jeu-concours.



    Et maintenant, le moment le plus attendu, à savoir le nom du gagnant du Grand Prix consistant en un séjour de 8 jours et 7 nuitées pour 2 personnes, en pension complète, 6 jours de cure thermale, avec 2 procédures par jour. Tout cela du 15 au 30 juin 2015, à lHôtel « Palace », monument historique bâti entre 1911 et 1914, de Govora les Bains, dans le comté de Vâlcea.



    Eh bien, nous avons une gagnante du Grand Prix…. Beate Hansen, dAllemagne. Félicitations! Nous vous attendons en Roumanie dans la seconde moitié du mois de juin!



    Beate Hansen: « Je participe à ces jeux-concours pour plus dune raison. Dabord, la grande probabilité de gagner. Aux concours antérieurs, il y a eu relativement peu de participants, qui se sont disputé un assez grand nombre de prix. Je ne souffre pas de toutes les maladies que lon peut traiter à Govora les Bains ou à Mangalia, mais toute raison de revenir en Roumanie est bienvenue. Je voudrais bien descendre en vélo la route de grande altitude de Transfăgărăşan. Je veux bien me tenir au courant des choses intéressantes et optimistes qui se passent en Roumanie. Et puisque les médias allemands nous en parlent avec parcimonie, les seules sources dinformations qui me restent sont Internet et RRI, mais je préfère écouter la radio, car je peux faire autre chose en même temps. »



    Les prix et les mentions seront expédiés par la poste. Nous vous prions de confirmer par lettre, email ou fax la réception de lenvoi et son contenu! Merci, encore une fois, davoir tenté vos chances et davoir participé au jeu-concours consacré au tourisme balnéaire, avec un accent particulier sur la station de Govora les Bains. Nous espérons que vous participerez nombreux à nos futurs jeux-concours! (Trad. Ioana Stancescu, Mariana Tudose)




  • Relaxation et traitement à Govora les Bains

    Relaxation et traitement à Govora les Bains

    Aujourd’hui nous allons passer en revue les principales cures que vous pouvez faire à Govora les Bains, une de meilleures villes d’eaux de Roumanie. Restez à l’écoute pour découvrir les réponses correctes aux questions de notre jeu concours “Govora les Bains, une oasis de santé”, avec à la clé un séjour de 8 jours, pension complète et traitement inclus.



    Notre première invitée d’aujourd’hui est Cristina Petrescu, médecin de soins primaires spécialiste en thérapie balnéaire à Govora les Bains. Elle affirme que les offres de traitement du centre où elle travaille sont destinées premièrement aux parents d’enfants aux affections respiratoires: “Bronchites, bronchiolite, rhinites, otites, asthme bronchique — ce sont des affections qui touchent un nombre assez important d’enfants à l’heure actuelle. Ces dernières années, nous avons constaté que l’âge des enfants qui nous rendent visite a baissé. Le plus jeune de nos patients n’avait que 5 mois. Mais notre offre ne se limite pas aux troubles respiratoires, elle couvre aussi les affections ostéoarticulaires, cardiaques, de la circulation et digestive. Pour ce qui est des maladies rhumatismales, nous traitons les différents types d’arthroses des articulations, tandis que pour les problèmes gastro-intestinaux, on offre des soins de crénothérapie par trois sources minérales. Ce type de soins s’adresse principalement aux personnes souffrant de pathologies du côlon ou d’insuffisance rénale.”



    Cela fait plus de 30 ans que le médecin Cristina Petrescu travaille à Govora les Bains et au fil des années, elle a soigné des patients venus des 4 coins du monde: Nouvelle Zélande, Australie, Asie, Europe et Amérique du Nord. Quant aux petits patients, ils viennent pour la plupart des pays nordiques. Docteur Cristina Petrescu: “Sur l’ensemble de mes patients, un millier étaient des enfants venus faire des cures d’aérosols. Imaginez la distance à parcourir entre la Nouvelle Zélande et Govora les Bains, pour ne plus parler des différences culturelles ou météorologiques. J’ai eu des petits patients vénus le visage couvert par un masque d’oxygène et qui au bout de deux ans de soins, ont arrêté complètement la thérapie médicamenteuse. Leur évolution a surpris aussi bien leurs parents que leurs médecins. Le cas le plus récent dont je me suis occupée est celui d’un gamin des Etats-Unis, dépendant de son masque d’oxygène et donc difficilement transportable par avion. Au bout de deux ans de thérapie, il a pu renoncer à la bouteille d’oxygène de son sac à dos et trois ans plus tard, il a abandonné sa masque faciale.”



    Loin d’être invasive ou douloureuse, la thérapie réservée aux petits patients est conçue de sorte à éviter complètement les piqûres et à encourager le jeu et le mouvement. Car, à part la procédure de l’inhalation, il faut que ces enfants fassent du sport, selon Cristina Petrescu, médecin de soins primaires, spécialiste en thérapie balnéaire.



    Aurelian Cebanu est médecin spécialiste cardiologue à la clinique CardioMetabolica ouverte à l’intérieur de l’Hôtel Palace, construit entre 1911 et 1911 à Govora les Bains. Sur l’ensemble de ses patients, pas mal ont subi des interventions chirurgicales sur le cœur pour se faire implanter une prothèse cardiaque. Après l’opération, ces patients de voient conseiller à suivre un programme de physiothérapie et de kinésithérapie: “On leur apprend les mouvements qu’ils doivent faire, on leur enseigne la gymnastique respiratoire et on leur fourni un programme de nutrition mis au point par un spécialiste. Celui-ci leur explique ce qu’ils peuvent manger, les quantités permises et les heures des repas à respecter. Les patients doivent apprendre à calculer leur besoin journalier en calories, à éviter les graisses et l’excès de caféine et de sucre. Par la suite, on informe nos patients sur les facteurs de risque associés aux maladies cardiovasculaires. Le microclimat de Govora les Bains crée un rapport d’égalité entre les ions et les cations ce qui s’avère bénéfique pour la santé. Nous mettons à la disposition de nos clients des procédures d’inhalation d’anions de iode et de brome. On a eu des patients d’Israël, d’Ukraine et même de Russie. L’important c’est de ne pas oublier qu’il est toujours plus facile de prévenir que de soigner. Alors, évitez les abus et faites du sport au mois 30 minutes par jour pour rester en forme le plus longtemps possible.”



    Mihai Handolescu, manager de l’Hôtel Palace de Govora les Bains, nous propose dans les minutes suivantes un petit tour guidé de cet édifice imposant, construit au cœur du parc aménagé par l’architecte paysagiste français, Emile Pinard: “Imaginé comme un hôtel de luxe, le monument se veut un mélange de trois styles d’architecture: éclectique, art nouveau et néo-byzantin. Construit entre 1911 et 1914, il est le premier hôtel doté d’un centre de cure de Roumanie s’adressant notamment aux patients souffrant d’affections respiratoires, rhumatismales, digestives et rénales. Son histoire fut très tourmentée, puisqu’il a assisté à deux conflagrations mondiales. Durant la deuxième guerre, ce fut à Govora les Bains que le gouvernement polonais en exil a choisi d’envoyer une partie de ses officiels et de son trésor. Après avoir été voué à l’oubli par les communistes, l’hôtel a fait peau neuve grâce à des fonds non remboursables et il a été rouvert, en 2013, sous le nom de Palace-Govora. Depuis son inauguration, l’édifice a accueilli quelque 7000 touristes de monde entier. Comme objectifs, nous nous proposons de faire de notre mieux pour augmenter le nombre de touristes venus du Moyen Orient. Nous collaborons avec différentes agences de tourisme afin d’entrer sur le marché des Emirats Arabes Unis.”



    A 22 kilomètres seulement de Govora les Bains, au bout d’un petit voyage en voiture d’une trentaine de minutes, vous arrivez à Râmnicu Vâlcea, chef lieu du département de Vâlcea. Si vous voulez mélanger balades dans la nature et visites culturelles, alors on vous conseille de faire un tour des monastères de la région: Govora construit au 15e siècle, Surpatele ou encore Mânastirea dintr-un lemn. (trad.: Ioana Stancescu, Valentina Dumitrescu)

  • Govora les Bains, une oasis de santé

    Govora les Bains, une oasis de santé

    Chers amis, RRI vous invite à participer à un nouveau jeu concours intitulé «Govora les Bains, une oasis de santé». Il est consacré à une des principales villes d’eaux de Roumanie, se trouvant au département de Vâlcea, dans le sud du pays. Comme d’habitude des prix intéressants sont à la clé.



    Située à 22 km de Râmnicu Vâlcea, chef — lieu du département de Vâlcea, la station de est renommée pour ses traitements à base d’eaux salées et iodurées et de boue sapropélique. Et ce n’est pas tout. Les facteurs naturels (tels que l’air et l’eau) ont transformée Govora les Bains en une des principales destinations pour le traitement des troubles respiratoires, digestifs et rhumatismaux. Mais c’est aussi une région riche en attractions touristiques — paysages à couper le souffle, monuments d’architecture, monastères, poterie.



    L’exploitation des sources d’eau aux propriétés thérapeutiques remonte à 1879, lorsque l’on utilisait des cuves en bois aménagées au monastère de Govora, qui avoisine la station. Le premier établissement de cure est construit en 1887et comptait une trentaine de cabines pour les bains chauds. L’inauguration officielle de la station Govora les Bains a lieu au moment de l’ouverture de l’Hôtel Palace, qui a comme particularité un positionnement des chambres qui assure à chacune d’entre elles une heure d’ensoleillement par jour. En même temps, une base de traitement dotée de baignoires en fonte est mise en fonction. Au fur et à mesure que la station se développe, on y construit de nouveaux hôtels et gîtes ruraux. Govora les Bains accède au statut de ville dans les années 1950.



    Nous vous invitons à suivre nos émissions, à consulter notre site Internet www.rri.ro, ainsi que nos profils sur Facebook, Twitter, Pinterest, Flickr et Google+. Toutes ces sources d’information vous aideront à répondre correctement, par écrit, à nos questions. Le jeu se déroule jusqu’au 30 avril 2015, le cachet de la poste faisant foi.



    Nous n’avons pas changé de bonnes habitudes et donc nous avons un grand prix spécialement pour vous. Il s’agit d’un séjour de 8 jours et 7 nuitées pour 2 personnes, en pension complète. Pendant le séjour vous bénéficierez aussi de 6 jours de cure thermale, avec 2 procédures par jour. Tout cela du 15 au 30 juin 2015, à l’Hôtel « Palace » de Govora les Bains, monument historique bâti entre 1911 et 1914.



    Comme dhabitude, les frais de voyage en Roumanie et de visa, si nécessaire, sont à la charge des gagnants du grand prix.



    Le sponsor de ce jeu-concours est l’Hôtel « Palace » — SC Baile Govora SA. Le jeu vous est proposé par RRI en partenariat avec le Conseil Départemental de Vâlcea, la Mairie de la ville de Govora les Bains, l’Archevêché de Râmnic et l’Union des Artistes Plasticiens — la filiale de Vâlcea.



    Voici maintenant les questions:



    1. Quand a été construit l’Hôtel « Palace » de Govora les Bains?


    2. Qu’est-ce qui fait la renommée de la station thermale de Govora les Bains?


    3. Comment s’appelle le chef-lieu du département où se trouve Govora les Bains?


    4. Nommez 5 attractions touristiques du département de Vâlcea.


    5. Nous vous invitons également à nous dire la raison de votre participation et pourquoi vous écoutez les programmes de RRI.



    Nos coordonnées, vous les connaissez bien:



    – Radio Roumanie Internationale, Service Français, 60-64 rue du Général Berthelot, Boîte Postale 111, secteur 1, Bucarest, Roumanie, code postal 010165



    – numéro de fax 00.40.21.319.05.62;



    – email: fran@rri.ro, service_francais_rri@yahoo.fr .



    Nous attendons vos réponses jusquau 30 avril 2015, le cachet de la poste faisant foi. Les noms des gagnants seront annoncés peu après la fin du concours, pour que les grands gagnants aient le temps de préparer leur voyage en Roumanie.


    Bon succès !

  • Sur les traces de Constantin Brancusi et de Milita Petrascu

    Sur les traces de Constantin Brancusi et de Milita Petrascu

    Notre destination d’aujourd’hui est Târgu Jiu, dans le sud–ouest de la Roumanie. Chef-lieu du département de Gorj, c’est une ville riche en histoire, et connue notamment pour les œuvres en plein air appartenant au plus grand sculpteur roumain, Constantin Brancusi. Vous le savez déjà, RRI a récemment organisé un concours consacré à l’artiste Milita Petrascu, une des élèves de Constantin Brancusi. Le grand gagnant de ce jeu est un ami très proche de RRI. Il s’appelle Jean-Marc Olry et il a commence ce jeudi son voyage à la découverte de la ville de Târgu Jiu. Il est accompagné par notre collègue Ileana Taroi.


  • Le jeu du Festival international des Orchestres de radio, RadiRO

    Le jeu du Festival international des Orchestres de radio, RadiRO

    Chers amis, RRI vous invite à tenter votre chance à un nouveau jeu-concours consacré à la deuxième édition du “Festival international des Orchestres de radio, RadiRO”, avec des prix à la clé, bien sûr. Le concours porte sur un événement musical unique en Europe qui amènera sur la scène de la salle de concerts de la Radiodifusion roumaine et en direct, sur les chaînes de radio publiques, 5 orchestres célèbres accompagnés de solistes réputés et placés sous la baguette de grands noms de la musique mondiale.



    Fort du succès d’une première édition en 2012, le Festival débarquera dans la capitale roumaine, Bucarest, le 20 septembre, pour une deuxième édition organisée par Radio Roumanie, une radio placée au service de la musique classique depuis ses débuts sur les ondes, en 1928.



    Nous vous rappelons que lors de la première édition du Festival RadiRo, plusieurs orchestres célèbres se sont donnés rendez-vous à Bucarest, tels BBC Symphony Orchestra, l’Orchestre symphonique national de la RAI ou encore l’Orchestre Philharmonique de Radio France.



    Organisé une semaine durant, du 20 au 27 septembre, la deuxième édition du Festival accueillera cinq orchestres. Il s’agira de l’Orchestre symphonique de Radio Finlande, l’Orchestre symphonique de Radio Prague, l’Orchestre national de France, l’Orchestre symphonique de Radio Stuttgart et l’Orchestre National de la Radio placés sous la coordination de plusieurs chefs célèbres tels Joshua Weilerstein, Ondrej Lenárd, Stéphane Denève, Case Scaglione, Vassily Sinaisky, ou encore Tiberiu Soare et Cristian Mandeal.



    L’actuelle édition s’enorgueillira de la présence sur scène de plusieurs solistes réputés tels les pianistes Jonathan Biss et Jan Simon, le soprano Katarina Jovanovic, les violonistes Nikolaj Znaider et Vadim Gluzman et les artistes roumains la mezzo-soprano Ruxandra Donose, le pinaniste Horia Mihail et le violoniste, Alexandru Tomescu. Le directeur d’honneur de l’actuelle édition sera le chef d’orchestre roumain Cristian Mandeal.



    Nous vous invitons donc à écouter nos émissions, à visiter notre site et nos profils Facebook, Twitter et Google+ et à répondre ensuite à nos questions. Vous pouvez envoyer vos réponses jusqu’au 26 septembre 2014, le cachet de la poste faisant foi.



    Les prix consisteront notamment en plusieurs CD de musique symphonique roumaine et étrangère ou encore en des objets promotionels. Le concours est organisé en collaboration avec la Maison d’Edition Casa Radio et avec la Municipalité de Bucarest.



    Voici maintenant les questions :





    En quelle année a eu lieu la première édition du Festival International des Orchestres de radio?
    Qui est le directeur d’honneur de cette deuxième édition du Festival?
    Combien d’orchestres participeront à la deuxième édition du Festival?
    Nommez trois artistes roumains à l’affiche de l’actuelle édition du RadiRo.


    Nous vous prions aussi de nous écrire ce qui vous a poussé à participer à ce jeu et de nous indiquer pourquoi vous écoutez les émissions RRI ou nos programmes radiophoniques en ligne. Nos coordonnées, vous les connaissez bien:



    – Radio Roumanie Internationale, Service Français, 60-64 rue du Général Berthelot, Boîte Postale 111, secteur 1, Bucarest, Roumanie, code postal 010171.



    – numéro de fax 00.40.21.319.05.62;



    – email: fran@rri.ro, service_francais_rri@yahoo.fr .



    Nous attendons vos réponses jusquau 26 septembre 2014, le cachet de la poste faisant foi. Les noms des gagnants seront annoncés peu de temps après la fin du concours ! Bonne chance à toutes et à tous !

  • MIRA

    MIRA

    Cosmin Mihaiu, Alina Călin, Andrei Cantea et Liviu-Andrei Dascălu ont mis au point un logiciel qui peut contribuer de manière décisive à améliorer la qualité de vie des personnes à handicaps temporaires et qui subissent des thérapies de récupération. En 2011, lorsqu’ils étaient étudiants à la Faculté de Mathématiques de Cluj, les quatre jeunes s’étaient inscrits au concours organisé par Microsoft «Imagine Cup». « Imaginez un monde où la technologie aide à résoudre les plus gros problèmes », voilà le thème de cette compétition s’adressant à la jeunesse étudiante du monde entier.



    Cosmin se rappelle une époque pas très gaie de sa vie : s’étant cassé le bras, à 7 ans, il avait dû subir une longue période de récupération. Puisque le souvenir des exercices de kinésithérapie était encore vif et douloureux, Cosmin avait proposé à ses collègues de trouver ensemble une méthode susceptible de rendre plus facile et plus efficace cette expérience de récupération médicale, tant pour les patients que pour les médecins.



    Comment y parvenir ? En aidant le patient à ne plus penser à la douleur, à cibler son attention sur quelque chose d’autre, raconte Cosmin Mihaiu : «La récupération médicale se fait chaque jour. Ce que nous souhaitions faire, c’était offrir aux patients une meilleure expérience, plus agréable, plus facile à vivre. Les jeux vidéo semblaient être l’alternative la plus heureuse aux exercices traditionnels. Grâce à l’interactivité, le patient ne fait plus attention aux procédures médicales pour se concentrer en échange sur le jeu. Cela lui fait oublier le malaise ou les désagréments qui vont avec les exercices. Le grand problème dans la kinésithérapie, c’est que les patients ne font pas les exercices chez eux, à cause de la douleur ou de l’inconfort. Nous avons donc voulu leur offrir une récupération plus facile à supporter, et interactive de surcroît, de sorte qu’ils puissent faire les exercices recommandés par le médecin et se remettre plus vite».



    Le logiciel proposé par l’équipe formée des quatre jeunes a été baptisé MIRA: Medical Interactive Recovery Assistant. Leur projet a été retenu pour la finale du concours Imagine Cup et applaudi par les membres du jury. Ce moment précis les ayant convaincus que cela valait la peine d’investir dans ce projet, ils se sont mis à identifier les directions de développement. Comment le projet MIRA fonctionne-t-il? Concrètement, il s’agit de plusieurs jeux que les patients peuvent jouer par l’intermédiaire de la plate-forme Kinect. Piano, Catch It, Airplanes, Touch it, Kick it… Tous reposent sur le principe de la thérapie occupationnelle.



    En clair, cela suppose que le patient ait constamment un retour et que son évolution soit suivie et analysée. «Tandis que le patient joue, le programme enregistre chaque donnée nécessaire au kinésithérapeute ou au médecin pour observer son évolution. Ces données ont trait aux paramètres classiques, tels que vitesse, accélération, distance parcourue par un certain patient, voire même les points gagnés lors des jeux. Toutes ces données permettent au kinésithérapeute de se faire une idée très précise des progrès du patient. L’idée du jeu Touch it est née à la suggestion d’un spécialiste qui nous a proposé un jeu censé convaincre l’utilisateur qu’il peut toucher certaines zones de son corps, comme c’est le cas du visage, car, au quotidien, chaque individu est obligé de porter sa main à la bouche pour se nourrir ou pour les gestes d’hygiène. Grâce au dispositif Kinect on peut savoir si le patient est vraiment capable de le faire. Le format du jeu est bien simple. Un petit papillon vole autour du patient et se pose sur certaines zones du corps que le patient doit toucher».



    MIRA se décline en deux variantes: celle que l’on peut utiliser chez soi et celle destinée aux cliniques. Ce qui les distingue, ce sont les informations enregistrées par le logiciel. Cosmin Mihaiu : «MIRA Clinic comporte aussi bien les jeux que les auxiliaires mis à la disposition des personnels médicaux, médecins et kinésithérapeutes, afin de personnaliser les exercices de récupération. Il s’agit donc d’une application grâce à laquelle le spécialiste puisse créer sa propre série d’exercices destinés au patient. En outre, elle affiche tous les résultats des patients durant la récupération. La variante utilisable à domicile contient seulement les jeux. Pendant que les patients jouent chez eux, toutes les données stockées sont transmises au kinésithérapeute ou au médecin, qui en constatent les avancées. Nous procédons actuellement à des essais dans les cliniques et les institutions pour savoir ce qu’en pensent les spécialistes et les patients. Nous avons déjà un retour positif. Bien sûr que cette application est susceptible d’améliorations et nous nous avons déjà reçu pas mal de suggestions en ce sens, mais, dans les grandes lignes, tout le monde l’apprécie».



    Comme tout jeu vidéo qui se respecte, ceux de MIRA supposent des points engrangés, des classements et des récompenses. La meilleure des récompenses, c’est celle que l’esprit du patient se laisse entraîner par le jeu et qu’il commande au corps d’exécuter les mouvements dont il a tant besoin pour recouvrer totalement sa fonctionnalité.



    L’idée de ce logiciel a été appréciée aussi par les organisateurs de l’incubateur de projets médicaux, HealthBox Europe de Londres, précise Cosmin Mihaiu : «C’est un programme intensif de trois mois, qui passe par le mentorat, les exercices et l’introduction à l’industrie médicale. Comme le programme se trouvait à Londres, nous avons décidé de monter là notre propre affaire. Mes collègues sont ici en Roumanie et s’occupent du volet technique et des relations à développer. Le but que je poursuis au Royaume-Uni, c’est de développer l’affaire avec nos partenaires d’ici. MIRA est déjà utilisé dans un des plus grands hôpitaux de Londres, mais aussi à Manchester. Notre application est parvenue à l’étape de finalisation. Nous espérons que dans la première moitié de l’année nous aurons aussi des clients payants pour les deux variantes. Nous ambitionnons de porter ce logiciel au stade où patients, utilisateurs ou spécialistes puissent en tirer le maximum de profit».



    Sachez aussi que, dans un proche avenir, MIRA proposera également des jeux utilisables en séances de logopédie. Toutes les informations sur cette application sont à retrouver sur le site www.mirarehab.com. (trad. Mariana Tudose)

  • Maîtres artisans du département de Prahova

    Maîtres artisans du département de Prahova

    Sis entre Bucarest, la capitale et la province historique de Transylvanie, au pied des Carpates Méridionales, le département de Prahova ne cesse de nous surprendre aussi bien par la beauté des paysages que par la richesse de son patrimoine culturel. Dans ce qui suit, nous allons vous faire la connaissance de plusieurs maîtres artisans qui, par leur art et leur savoir-faire, se battent pour la survie des formes traditionnelles d’artisanat.



    A ses 90 ans, Larisa Iftode de la ville de Urlati passe le plus clair de son temps à réaliser des icônes sur verre et des masques inspirés de l’imaginaire populaire. Sa passion pour l’art dure depuis longtemps : « Tout a commencé lors d’une de mes visites dans les galeries et les expositions de la capitale, Bucarest. C’est alors que j’ai remarqué dans une galerie d’art une icône sur verre représentant Saint Georges. Elle coûtait énormément et moi, à l’époque, j’étais très pauvre. Toutefois, plus que le prix, ce fut le fait de remarquer que un poisson à la place du dragon traditionnel qui m’a profondément contrariée. Et c’est alors que je me suis dit que moi, j’aurais certainement pu faire un meilleur dessin. Des années se sont écoulées depuis, pendant lesquelles j’ai préféré m’occuper des masques. J’en ai fait des centaines, j’ai participé à toute sorte d’expositions et j’ai même décroché des diplômes. Et puis un jour, vers 63 ans, j’ai décidé de m’adonner à la peinture sur verre. Je n’ai jamais pris de cours en ce sens, personne ne m’a appris comment cela se faisait. Mon talent est tout simplement un don divin. J’ai réalisé des tas d’icônes que j’ai présentées aussi en France, Allemagne, Suisse, Italie et Russie ».



    En l’absence de tout cours de spécialité, Larisa Iftode s’est laissé inspirer par la nature et la beauté qui l’ont accompagnée tout au long de sa vie. Une histoire similaire a vécu Irina Mihaela Popovici, artiste plasticienne dilettante de la ville de Ploiesti, passionnée des costumes traditionnels : « Cette passion, je l’ai héritée de ma mère, elle aussi artiste plasticienne. Mais, à la différence d’elle qui se préoccupait des costumes sous plusieurs aspects, moi, j’ai préféré me consacrer aux poupées folkloriques pour mettre en lumière la beauté des costumes roumains. Mes poupées se vendent notamment à l’étranger où il existe pas mal de personnes qui se passionnent pour ces représentations miniatures. Leurs petits costumes stylisés que je créée avec les mêmes matériaux comme dans le cas des costumes originaux me permettent de montrer dans les moindres détails la richesse de nos costumes ».



    La fabrication d’une petite poupée de collection n’est pas chose facile, avoue Mihaela Popovici pour laquelle chaque détail compte si l’on veut que l’Europe tombe sous le charme des costumes folkloriques roumains : « Personnellement, je me suis consacrée notamment aux costumes originaires de Moldavie et Transylvanie. Pourtant, j’en ai fait pas mal inspirés aussi des régions d’Arges et de Valcea. J’ai fabriqué même des tenues traditionnelles pour les fêtes de Noël ou de Pâques. Toutes mes poupées sont chaussées d’opinci, ces chaussures traditionnelles roumaines réalisées en cuir et portent des chaussettes tricotées de laine. Les accessoires tels les petits gilets, les sacs en tissu, les bonnets en laine pour les hommes ou les fichus en lin pour les femmes ne manquent jamais quand il s’agit des costumes de la contrée de Moldavie. Quant à ceux transylvains, eh bien là, je confectionne des chapeaux pour les figurines masculines et des colliers pour celles féminines. Puisqu’il s’agit de miniatures, j’ai du mal à imaginer des costumes complets qui comportent aussi les habits d’hiver. J’ai choisi de vêtir mes poupées de blouses roumaines stylisées décorées selon la tradition de la région d’origine. Les cheveux sont faits en laine et toutes les poupées sont coiffées soit de bonnets, soit de fichus ».



    Valetin Nicolae est un artiste plasticien amateur dont l’œuvre ne passe pas inaperçue. Car, ce sapeur-pompier de Ploiesti a réussi à transposer dans son art la fascination pour le feu en tant qu’élément primordial : « Mes ouvrages renvoient au style gothique, médiéval. Pour l’instant, je ne travaille que le verre et le bois. Pour cela, je fais la collecte des déchets que je transforme par la suite en différents objets décoratifs repeints pour la plupart en noir et jaune d’or ».



    Les objets décoratifs de Valentin Nicolae impressionnent notamment par la multitude des détails en couleurs sombres qui nous font plonger dans la nuit des temps. Et puisque l’on parle d’une période révolue, faisons la connaissances de notre dernier invité du jour, le maître artisan Ion Ionita qui fait des tableaux en pailles collées censées évoquer les coutumes roumains de la contrée de Prahova : « Notre grand historien roumain, Nicolae Iorga, disait que l’identité d’une nation est plus qu’une identité de langue et d’espace. S’y ajoutent les traditions, l’histoire, le passé, le présent et l’avenir, les coutumes, les costumes- autant d’aspects qui nous définissent en tant que Roumains. Moi, j’ai bien aimé les maisons traditionnelles de chez nous, même celles bâties en ville qui savent mêler l’art traditionnel à l’urbanisme. Avant qu’un village ne commence à se former, il faut toujours bâtir une église. Car le village gravite autour d’une sainte demeure. Les églises villageoises conservent les éléments traditionnels d’architecture et de peinture. On s’est souvent posé la question pourquoi les portes de nos églises sont tellement basses . Car pour y entrer, il faut baisser la tête et laisser la vanité dehors. C’est de tout cela que j’ai bien voulu parler dans mon art ».



    Chers amis, c’est ici que prend fin notre itinéraire culturel à travers le département de Prahova. Nous vous remercions de votre attention et vous donnons rendez-vous la semaine prochaine pour de nouvelles informations culturelles. (trad.: Ioana Stancescu)

  • Panic room en Roumanie

    Panic room en Roumanie

    Vous êtes donc attendus, par groupes de deux à cinq joueurs, pour mettre votre perspicacité à l’épreuve, en cherchant des indices pour résoudre un mystère : comment sortir d’une panic room – pièce de la peur. Bien que de tels jeux existent à l’étranger, en Roumanie, le concept n’a qu’un an. Balogh Tibor, administrateur de la salle de jeux Panic Room de Roumanie, nous a confié comment l’idée lui était venue : « L’idée a pris contour dans ma tête lorsque je suis allé jouer un jeu quasiment identique en Hongrie, mais qui avait un thème tout à fait différent et se jouait d’une autre manière, aussi, puisque c’était une maison de l’horreur. Il y avait des pièces dans lesquelles il fallait courir, dépasser certains acteurs, afin de pouvoir s’évader de cette maison qui comptait environ dix pièces. Et j’avais encore entendu une idée similaire à Singapour, où il y avait un entrepôt immense où des personnes étaient enfermées, par dizaines ou par centaines, et ces gens devaient s’évader de l’entrepôt, une très grande salle qui comportait beaucoup d’indices cachés. En me fondant sur ces deux idées, j’ai commencé à créer les jeux Panic Room, dont l’horreur n’est pas totalement exclue, et qui comporte aussi le thème de l’évasion, il faut chercher des indices secrets et tout mettre bout à bout. »



    Pour le moment, Panic Room, c’est une simple chambre, mais le jeu changera bientôt et il y aura plusieurs pièces par lesquelles les joueurs devront passer pour pouvoir s’évader. Il y aura trois ou quatre pièces, assure notre interlocuteur: « Ce sont des choses assez étranges, mais tout semble normal. Un tableau avec une Joconde assez étrange se cache dans la chambre, et du reste, il y a des choses qui peuvent sembler normales, mais qui pourraient avoir besoin d’une perception complètement différente par rapport à ce qu’elles expriment. Les pièces de mobilier font partie du jeu. Elles pourraient avoir certaines fonctionnalités ou des tiroirs cachés, qui pourraient jouer un rôle dans le jeu. 2 à 5 personnes peuvent participer à ces jeux, et disposent d’une heure pour chercher les indices, les secrets et s’évader. Au moins deux personnes doivent jouer à la fois. Il se pourrait qu’il y ait des situations où l’une fasse une chose et l’autre, quelque chose de différent, afin d’arriver à révéler le secret ou d’aboutir à un indice. »



    Pour la sécurité des joueurs, ces jeux sont surveillés à tout moment par des caméras à infrarouge, parce qu’il fait souvent sombre dans la pièce. Un autre cas de figure, c’est que les joueurs n’arrivent pas à s’évader, la plupart des fois à cause du manque de communication entre eux, les jeux Panic Room étant conçus pour travailler en équipe. Balogh Tibor explique : « Cela dépend un peu du nombre de joueurs. D’habitude, s’il y a deux personnes, ce qui arrive, c’est que nous appelons panic dating — la rencontre de la peur ; les joueurs arrivent même à être plus proches, une meilleure communication se fait jour entre eux, mais cela est parfois possible même à plusieurs joueurs. L’idée, c’est que l’ensemble du groupe doit fonctionner comme si c’était un duo. Nous avons remarqué une différence intéressante : les adolescents de 15-16 ans ne vont pas sur-analyser les choses, alors que les adultes réfléchissent trop. »



    Souvent, s’ils n’ont pas réussi à s’évader d’emblée ou si c’était trop difficile, les joueurs reviennent une deuxième fois, et alors ils y arrivent beaucoup plus vite. Mais à qui s’adressent ces jeux ? Balogh Tibor : « Nous nous ciblons sur les gens ouverts d’esprit et désireux d’essayer quelque chose de nouveau et d’exclusif, de vivre une expérience unique ; l’âge ne compte donc pas, mais les gens qui ont participé jusqu’ici sont intéressés par le développement personnel, parce que c’est de quoi il est question dans ce jeu, si on réussit à s’évader. Les gens devraient partir de l’idée qu’ils vont être complètement déconnectés de la réalité pendant une heure, qu’ils vont s’amuser, vivre quelque chose de nouveau, et peut-être même apprendre quelque chose de nouveau. Nous estimons que si quelqu’un arrive à faire quelque chose de manière non conventionnelle, de nouvelles synapses se développent qui vous aideront non seulement dans la chambre de la peur, mais aussi dans la vie. Ces jeux sont certainement une nouveauté, une expérience unique, à essayer à un moment donné, dans la vie ».



    Répondez à ce défi et essayez-vous à la Panic Room. Vous découvrirez des aspects insoupçonnés de votre personnalité et vous saurez si votre communication avec les proches est bonne ou pas. En plus, vous aurez une heure d’évasion garantie, ne serait-ce que de la réalité quotidienne. (trad. Ligia Mihaescu)

  • Les gagnants du jeu-concours “Le Festival George Enescu 2013”

    Les gagnants du jeu-concours “Le Festival George Enescu 2013”

    Chers amis, Radio Roumanie Internationale vous a invités à participer jusqu’au 30 septembre, le cachet de la poste faisant foi, au jeu-concours consacré au Festival international « George Enescu » 2013. La XXIe édition du Festival qui porte le nom du plus grand compositeur roumain s’est déroulée du 1er au 28 septembre et a offert 150 spectacles de musique, d’opéra et de danse, organisés aussi bien à Bucarest que dans d’autres centres culturels de Roumanie.



    Le concours a suscité votre intérêt. A preuve les 493 réponses complètes et correctes que nous avons reçues de votre part. Nous vous en remercions et vous invitons à participer à d’autres jeux-concours aussi organisés par RRI.




    Les prix récompensant vos participations consistent en objets liés à George Enescu, à la musique symphonique et à la culture roumaine en général. Tout cela grâce à notre sponsor, le Complexe Energétique Oltenia, avec l’appui du Musée national George Enescu (les sections de Sinaia et Tescani y comprises ) et de la Régie autonome « Le Journal Officiel » et avec le soutien de la maison d’éditions Casa Radio, la Représentation de la Commission Européenne en Roumanie et l’Association « Euro Foto Art » d’Oradea.



    Les réponses aux questions de notre jeu-concours, vous avez pu les trouver grâce à nos émissions, à nos profils sur Facebook et Twitter.



    Le concours s’est achevé le 30 septembre. Avant de dévoiler les noms des gagnants, nous vous rappelons les questions auxquelles vous avez été invités à répondre.





    Quand est né George Enescu ? Réponse correcte: le 19 août 1881.
    A quelle édition le Festival George Enescu est-il arrivé en 2013? Réponse correcte : à la XXIe.
    Nommez au moins 3 créations musicales d’Enescu. Là, vous aviez le choix entre les nombreuses créations du grand compositeur, telles l’opéra « Œdipe », les 3 symphonies achevées, « Le Poème roumain », « La Rhapsodie roumaine n°1 », « La Rhapsodie roumaine n°2 », les trois suites orchestrales, les sonates pour piano, violon, violoncelle, les quatuors pour piano et cordes, la musique pour les ensembles choraux, les lieds etc.
    Qui est Ioan Hollender? Réponse correcte: le directeur artistique du Festival. Rappelons aussi que Hollender est l’ancien directeur d’origine roumaine de l’Opéra de Vienne.


    Une vingtaine de troisième prix sont allés chez des auditeurs ou des internautes. Parmi eux, Syed Khizar Hayat Shah, du Pakistan, qui a envoyé sa réponse à la Section française de RRI.


    Et M. Shah de nous confier: «Il y a tellement de choses qui mont incité à prendre part au concours. La chose principale est que jaime la Roumanie, un pays très intéressant. La Roumanie a, en effet, une certaine beauté à elle et les gens y sont généralement sincère, bien que souvent assez étrange. Vos programmes sont bien et je les aime beaucoup. Votre site a beaucoup dinformations sur lhistoire et la culture de la Roumanie». Merci beaucoup M. Syed Khizar Hayat Shah pour votre franchise!



    Une trentaine de deuxième prix ont également été adjugés. Parmi les gagnants, on retrouve Raïf Chaaban, du Liban, qui écoute les programmes en français de RRI.


    Notre ami, M. Raïf Chaaban, argumentait: «Ce qui m’a déterminé à participer à ce jeu, est tout d’abord mon admiration pour George Enescu et pour ses oeuvres. J’aimerais exprimer ensuite ma grande joie et plaisir découter votre Radio avec assiduité depuis plus de 26 ans».



    Parmi les 20 gagnants du Premier prix on retrouve Christian Canoën, de France, et Amady Faye, du Sénégal.




    M. Christian Canoën nous explique: «Je suis un grand amateur de musique classique. J’écoute beaucoup Wagner, Beethoven etc. George Enescu ne pouvait donc pas me laisser insensible. J’admire beaucoup son œuvre. En plus, je garde de votre pays un souvenir inoubliable».



    A son tour, M. Amady Faye, du Sénégal, argumentait sa participation: «Violoniste, pianiste, pédagogue, chef dorchestre, compositeur — bref George Enescu est un musicien universel. Participer à ce concours est le plus grand hommage que je pouvais rendre à ce virtuose de la musique classique roumaine dont les agréables rhapsodies me bercent pendant les moments de repos».


    Les trois Prix spéciaux ont été décrochés par Thein Soe, de Malaisie, Jayanta Chakrabarty, d’Inde et Bezazel Ferhat, d’Algérie, qui nous a envoyé sa réponse.


    M. Bezazel Ferhat, d’Algérie, affirmait: «Je me permets tout d’abord de vous dire un grand merci pour cette fabuleuse compétition qui nous donne la chance, à cette époque très dense du monde numérique et technologique, de nous connecter à l’univers très riche de Georges Enesco. Je tiens également à vous remercier pour les informations utiles et intéressantes que vous nous donnez à travers vos programmes. Vive lamitié entre votre station et ses auditeurs et longue vie à RRI, une étoile brillante parmi les radios internationales à travers le monde».



    Les prix vous seront expédiés par courrier. Nous vous prions d’accuser réception, aussi bien du prix que de son contenu, par courrier, télécopie ou courriel. En vous remerciant encore une fois pour avoir tenté vos chances et répondu aux questions du jeu-concours consacré au Festival ”George Enescu 2013”, nous vous attendons nombreux à nos prochains concours! (trad. : Mariana Tudose, Ileana Ţăroi, Andrei Popov)