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  • 24.02.2014 (mise à jour)

    24.02.2014 (mise à jour)

    Ukraine – A Budapest, les chefs des diplomaties des pays de Visegrad (République Tchèque, Hongrie, Pologne et Slovaquie) ont plaidé en faveur dune aide financière à lUkraine. Selon lAFP, les quatre pays de lUE, dont trois partagent une frontière avec lUkraine, sont “fortement attachés au maintien de la souveraineté, de lindépendance, de lunité et de lintégrité territoriale” du pays. Rejoints par leurs homologues roumain, bulgare et grec, les ministres des Affaires étrangères du groupe de Visegrad ont également demandé à Kiev de respecter les droits des minorités nationales. Le ministre roumain des Affaires étrangères, Titus Corlăţean, a dailleurs affirmé suivre de près les décisions des nouvelles autorités ukrainiennes après labrogation par le législatif ukrainien de la loi visant les langues des minorités nationales. Celle-ci permettait leur utilisation dans un cadre officiel dans les régions où ces minorités comptent pour au moins 10% de la population locale. Cétait le cas, par exemple, des communautés roumaines de Cernăuţi et Transcarpatia, qui comptent environ un demi-million de personnes. LUkraine doit garder le même niveau de protection des droits des minorités nationales, afin de poursuivre son parcours européen, avait auparavant estimé le ministère roumain des Affaires étrangères, dans un communiqué publié lundi.


    Le chef du Cabinet de Bucarest, Victor Ponta, a lui aussi souhaité que cette loi soit remplacée au plus vite par des normes puisées dans la législation européenne. Le respect des droits de la minorité roumaine est important pour les autorités de Bucarest, a encore répété le Premier ministre roumain.


    A son tour, le ministre chargé de la relation avec les Roumains du monde, Cristian David, a affirmé que la décision du parlement de Kiev d’abroger la loi sur les langues régionales transgresse d’une manière flagrante les droits de la communauté roumaine d’Ukraine.



    Coopération – En visite officielle à Vienne, le président du Sénat roumain, Crin Antonescu, a mis en exergue les relations excellentes entre la Roumanie et lAutriche, et ce à tous les niveaux – politique, économique et culturel. Il a également remarqué la présence importante des investissements autrichiens en Roumanie de même que leur impact positif sur le marché de lemploi local et léconomie roumaine en général. Crin Antonescu sest entretenu avec les présidents des deux chambres du législatif autrichien, Michael Lampel et Barbara Prammer.



    Abandon – En mars prochain, la Roumanie accueillera une conférence européenne consacrée à labandon scolaire, a annoncé lundi à Bruxelles le ministre roumain de lEducation, Remus Pricopie. Lévénement figure également à lagenda de la présidence grecque de lUE et il devrait réunir aussi des participants issus de pays extra-communautaires, à savoir des Balkans, de lAfrique du Nord ou de lEurope de lEst (République de Moldova, Ukraine).



    Elections – Les élections européennes se dérouleront le 25 mai, en Roumanie, apprend-on dun arrêté gouvernemental, publié lundi dans le Journal officiel. La Roumanie doit envoyer à Strasbourg et à Bruxelles 32 élus. Selon un sondage dopinion réalisé par VoteWatch Europe, ces mandats pourraient être répartis de la manière suivante – 13 pour le Parti social-démocrate, membre du Parti des socialistes européens, 10 au Parti national libéral, du groupe ALDE, et 9 au Parti démocrate-libéral et à lUnion démocratique des Magyars de Roumanie, affiliés au Parti populaire européen.

  • 24.02.2014

    24.02.2014

    Langue — Le ministre chargé de la relation avec les Roumains du monde, Cristian David, a affirmé que la décision du parlement de Kiev d’abroger la loi sur les langues régionales transgresse d’une manière flagrante les droits de la communauté roumaine d’Ukraine. Suite à cette décision, la minorité roumaine d’Ukraine, une des communautés historiques roumaines les plus importantes et les plus nombreuses, ne pourra plus utiliser sa langue maternelle dans un cadre officiel, a précisé le responsable de Bucarest. Cristian David a également affirmé qu’une décision de ce genre n’était pas conforme aux pratiques européennes, qu’affirment soutenir les forces politiques pro-européennes de Kiev.



    Coopération — Le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlatean, participe à Budapest à la réunion des ministres des affaires étrangères du Groupe de Visegrad, rejoint par Grèce, la Bulgarie et la Roumanie. Selon le ministère roumain des affaires étrangères, les pourparlers seront ciblées sur la sécurité énergétique, la migration, les évolutions du partenariat oriental et dans les Balkans, mais aussi sur la perspective des prochaines élections européennes. Le groupe de Visegred a été fondé en 1991, et il est formé de quatre pays : la République Tchèque, la Pologne, la Slovaquie et la Hongrie. Notons que c’est la Hongrie qui assume actuellement la présidence de cette organisation.



    Vaccin — Une équipe d’experts de l’Organisation mondiale de la Santé est arrivée aujourd’hui à Bucarest pour vérifier jusqu’à vendredi les lignes de production de l’Institut Cantacuzino. Rappelons-le, 400 mille doses de vaccin anti-grippal n’ont pas pu être commercialisées, parce qu’elles contenaient d’importantes quantités d’allergènes. Après plusieurs vérifications, les spécialistes mettront au point des mesures d’élimination des risques. Jusqu’à la fin de l’enquête, les doses déjà produites seront gardées et ne seront utilisées qu’en cas de pandémie. Jusqu’ici les cas de grippe étaient plutôt isolées, en échange l’épidémie s’envole en Hongrie voisine.



    Gouvernement — L’avenir de l’Union sociale-libérale, l’alliance au pouvoir à Bucarest, formée des partis social-démocrate et national-libéral, pourrait être tranchée mardi lorsque la délégation permanente du Parti national libéral doit décider si les libéraux quittent, oui ou non, le cabinet du premier ministre social-démocrate Victor Ponta. Celui-ci a demandé au PNL de présenter aujourd’hui une liste des nominations pour les fonctions gouvernementales qui reviennent aux libéraux. Ces derniers ont souligné qu’ils maintenaient les vieilles propositions et qu’ils attendaient la décision du premier ministre. Victor Ponta a annoncé qu’il ne démissionnerait pas au cas où les libéraux décideraient de quitter le gouvernement. Les dissensions entre le PSD et le PNL au sujet de la restructuration du cabinet durent depuis plus de deux semaines. Elles ont été provoquées par la nomination de Klaus Johannis, le maire libéral de la ville de Sibiu, aux fonctions de ministre de l’intérieur et de vice-premier ministre. Le premier ministre Victor Ponta espère que l’USL pourra continuer à gouverner, alors que le leader libéral soupçonne le PSD de se préparer à éliminer son parti du cabinet de Bucarest et de former un nouveau cabinet avec les deux autres partenaires de l’alliance, le Parti conservateur et l’Union nationale pour le progrès de la Roumanie.



    Motion — La chambre des députés de Bucarest doit débattre de la motion simple déposée par le Parti Démocrate-libéral et par le Parti du Peuple Dan Diaconescu sur la manière dont les autorités ont réalisé le déneigement cette année. Selon ses initiateurs, en décembre et janvier derniers, la Compagnie nationale des autoroutes et des routes nationales aurait conclu des contrats chiffrés à environ 22 millions d’euros au travers de procédures opaques qui auraient favorisé des sociétés proches de certains membres importants de l’USL, l’alliance politique au pouvoir. Les initiateurs de la motion demandent au gouvernement de vérifier la manière dont les contrats de déneigement ont été conclus.



    Tennis — Simona Halep (22 ans) occupe à partir d’aujourd’hui, la 7e place au classement mondial des joueuses de tennis. Elle a égalé ainsi le meilleur classement d’une Roumaine dans la hiérarchie WTA, celui d’Irina Spârlea en 1997. Simona Halep qui a progressé de deux places depuis la semaine dernière, est l’auteur d’une des plus spectaculaires progressions au tennis mondial féminin. En moins d’une année elle a remporté 7 tournois WTA pour grimper de la 64e place à la 7e.

  • 10.12.2013 (mise à jour)

    10.12.2013 (mise à jour)

    Hommage — Plusieurs dizaines de milliers de Sud-africains et un nombre sans précédent de personnalités du monde entier, soit une centaine d’actuels et anciens chefs d’Etats et de gouvernement, têtes couronnées, leaders spirituels ou artistes, ont participé mardi à la cérémonie organisée en hommage à Nelson Mandela. La Roumanie y a été représentée par son premier ministre Victor Ponta, ainsi que par l’ancien chef dEtat roumain Emil Constantinescu. En marge de cet événement, le chef du cabinet de Bucarest s’est entretenu avec le président américain Barack Obama. Prix Nobel de la paix dans les années ’90 et héros de la lutte contre la ségrégation raciale, Nelson Mandela a été le premier président noir de l’histoire de l’Afrique du sud. Il est mort jeudi, à l’âge de 95 ans et sera inhumé le 15 décembre.



    Commission — Le Parlement de Bucarest a voté mardi, en séance plénière, la création d’une Commission chargée de vérifier la régularité du crédit obtenu par la fille aînée du président roumain, Traian Basescu. Le crédit d’un million d’euros a été contracté auprès de la CEC Bank, détenue par l’Etat et utilisé pour l’achat d’un terrain agricole. Les suspicions à ce sujet sont apparues suite aux déclarations du ministre des Finances, Daniel Chitoiu, selon lequel le chef de l’Etat serait intervenu auprès de lui pour que l’actuel président de la CEC Bank, Radu Ghetea, soit maintenu en fonction. L’Union des notaires de Roumanie a déjà annoncé que le contrat d’achat et de vente et celui d’hypothèque exigé par la CEC Bank étaient légaux. En parallèle, l’activité managériale de la CEC Bank est examinée par la Commission budget-finances du Sénat.



    Décentralisation – Les députés roumains ont rejeté mardi la motion simple déposée par le Parti Démocrate -Libéral et le Parti du Peuple – Dan Diaconescu (d’opposition) au sujet de la décentralisation. Les signataires de la motion soutenaient que, sous sa forme actuelle, la décentralisation risque de conférer un pouvoir absolu aux responsables locaux et favorise la clientèle politique. Ils affirmaient également que, parallèlement à la décentralisation, la Roumanie a besoin d’une réforme administrative et constitutionnelle. Le gouvernement a engagé, en novembre, sa responsabilité sur le projet de la loi de la décentralisation, qui devrait être mise en place à compter du 1 janvier 2014. Les domaines visés sont la santé, l’agriculture, l’environnement, la culture, la jeunesse, le sport et le tourisme. La décentralisation est considéré comme un premier pas avant la régionalisation administrative du pays, un des projets les plus ambitieux de la Roumanie post communiste.



    Taxes – Les alternatives avancées par la Roumanie à la majoration de 7 centimes d’euros de l’accise sur le gasoil doivent rapporter au budget autant que cette taxe, a déclaré mardi le porte-parole d’Olli Rehn, commissaire européen aux affaires économiques. L’affirmation a été faite lors des discussions menées à Bruxelles avec les officiels de la Commission européenne et du FMI par Liviu Voinea, ministre roumain délégué en charge du budget. Ces discussions ont porté sur la décision du gouvernement de Bucarest de mettre en place l’accise majorée sur l’essence et d’ajourner de trois mois l’entrée en vigueur de celle sur le gasoil. Les transporteurs roumains de marchandises sont en grève illimitée depuis lundi. Ils protestent contre la majoration de l’accise sur les carburants. Par ailleurs, le président Traian Băsescu soutient que le budget de l’Etat ne devrait pas alourdir la taxe sur le carburant.



    Financement — La Commission Européenne a accordé en 2013, à la Roumanie, plus de 2,78 milliards d’euros, une somme supérieure à celle versée durant l’exercice budgétaire 2007-2012, selon le ministre roumain des Fonds Européens, Eugen Teodorovici. Et lui de préciser que la Roumanie a enregistré depuis le début de l’année des records dans le domaine de l’absorption des fonds structurels suite au déblocage de tous les programmes opérationnels. La Roumanie enregistre à l’heure actuelle un taux d’absorption de plus de 27%.



    Langue – Le président de la Cour Constitutionnelle moldave, Alexandru Tănase, a rejetté l’idée d’un référendum sur la langue officielle en cette ex-république soviétique. Dans une interview à la Radio Free Europe, Alexandru Tanase a déclaré qu’il ne serait pas possible d’organiser une consultation populaire en marge d’un sujet purement scientifique. La semaine dernière, la Cour a décidé que le texte de la Déclaration d’Indépendance de la République de Moldova, de 1991, prévoyant que la langue officielle d’Etat est le roumain, l’emporte sur les stipulations de la Constitution adoptée en 1994 et selon laquelle la langue d’Etat est le moldave. Le syntagme « langue moldave » a été promu par le régime soviétique mais aussi par les partisans du courant moldave, après le démantèlement de l’URSS. La Roumanie s’est félicitée de cette décision de la Cour.



    Célébration — Le ministre roumain des affaires étrangères, Titus Corlăţean, a réitéré mardi l’engagement de la Roumanie à la promotion et à la protection des droits de l’homme, apprend-on dans un communiqué de la diplomatie de Bucarest. En tant que membre du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, ainsi que de certains autres organismes internationaux et régionaux, la Roumanie se joint aux efforts de la communauté internationale visant au respect des droits humains à l’échelle mondiale, a souligné le chef de la diplomatie roumaine. Chaque année est célébrée, le 10 décembre, la Journée internationale des droits de l’homme.






  • 10.12.2013

    10.12.2013

    Hommage – Le premier ministre roumain, Victor Ponta, se rendra mardi en Afrique du Sud pour représenter la Roumanie aux funérailles nationales de l’ancien président, Nelson Mandela. Ponta sera accompagné par l’ex-chef d’Etat roumain, Emil Constantinescu. Cinquante-trois chefs dEtat ou de gouvernement ont confirmé leur participation aux cérémonies en hommage à Nelson Mandela. Parmi eux, les chefs dEtat américain Barack Obama, brésilienne Dilma Roussef et français François Hollande, ainsi que le Premier ministre britannique David Cameron. Prix Nobel de la paix dans les années ’90, et héros de la lutte contre la ségrégation raciale Nelson Mandela a été le premier président noir de l’histoire de l’Afrique du sud. Il est mort jeudi à l’âge de 95 ans et sera inhumé le 15 décembre.



    Commission — Le Parlement de Bucarest doit se prononcer mardi, en séance plénière, sur la création d’une Commission chargée de vérifier la régularité du crédit obtenu par la fille aînée du président roumain, Traian Basescu. Le crédit d’un million d’euros a été contracté auprès de la CEC Bank, détenue par l’Etat et utilisé pour l’achat d’un terrain agricole. Les suspicions à ce sujet sont apparues suite aux déclarations du ministre des Finances, Daniel Chitoiu, selon lequel le chef de l’Etat serait intervenu auprès de lui pour que l’actuel président de la CEC Bank, Radu Ghetea, soit maintenu en fonction. L’Union des notaires de Roumanie a déjà annoncé que le contrat d’achat et de vente et celui d’hypothèque exigé par la CEC Bank étaient légaux. En parallèle, l’activité managériale de la CEC Bank est examinée par la Commission budget-finances du Sénat.



    Décentralisation — Les députés roumains donneront mardi leur vote final sur une motion simple déposée par l’opposition au sujet de la décentralisation. Les élus de l’opposition affirment que sous sa forme actuelle, la décentralisation risque de conférer un pouvoir absolu aux soi-disant « barons locaux », les dirigeants de conseils départementaux notamment, tout en favorisant la clientèle politique. Le gouvernement a engagé en novembre sa responsabilité sur le projet de la loi de la décentralisation qui devrait être mise en place à compter du 1 janvier 2014. Les domaines visés sont la santé, l’agriculture, l’environnement, la culture, la jeunesse, le sport et le tourisme. La décentralisation est considéré comme un premier pas avant la régionalisation administrative du pays, un des projets les plus ambitieux de la Roumanie post communiste.



    Grève – Les transporteurs roumains de marchandises poursuivent aujourd’hui leur grève illimitée, pour protester contre la majoration de l’accise sur les carburants de 7 centimes d’euro par litre. Le premier ministre Victor Ponta a avancé l’idée que l’accise soit mise en place seulement pour l’essence, tandis que sur le combustible diesel soit reportée de trois mois. La proposition sera examinée demain par le ministre délégué au Budget, Liviu Voinea avec les représentants des créditeurs internationaux. D’autre part, le chef de l’Etat, Traian Basescu rejette l’idée d’une majoration des accises sur les carburants.



    Financement — La Commission Européenne a accordé en 2013, à la Roumanie, plus de 2,78 milliards d’euros, une somme supérieure à celle versée durant l’exercice budgétaire 2007-2012, selon le ministre roumain des Fonds Européens, Eugen Teodorovici. Et lui de préciser que la Roumanie a enregistré depuis le début de l’année des records dans le domaine de l’absorption des fonds structurels suite au déblocage de tous les programmes opérationnels. La Roumanie enregistre à l’heure actuelle un taux d’absorption de plus de 27%.



    Langue – Le président de la Cour Constitutionnelle moldave, Alexandru Tănase, a rejetté l’idée d’un référendum sur la langue officielle en cette ex-république soviétique. Dans une interview à la Radio Free Europe, Alexandru Tanase a déclaré qu’il ne serait pas possible d’organiser une consultation populaire en marge d’un sujet purement scientifique. La semaine dernière, la Cour a décidé que le texte de la Déclaration d’Indépendance de la République de Moldova, de 1991, prévoyant que la langue officielle d’Etat est le roumain, l’emporte sur les stipulations de la Constitution adoptée en 1994 et selon laquelle la langue d’Etat est le moldave. Le syntagme « langue moldave » a été promu par le régime soviétique mais aussi par les partisans du courant moldave, après le démantèlement de l’URSS. La Roumanie s’est félicitée de cette décision de la Cour.



    Handball — La Roumanie doit rencontrer mardi l’Allemagne au Mondial dames de handball, accueilli par la Serbie. Lundi, les joueuses roumaines ont remporté une victoire écrasante face aux Australiennes qu’elles ont battues par 32 à 13. La Roumanie se classe première au sein du groupe D qui réunit également la Hongrie, l’Allemagne et la République Tchèque. L’objectif déclaré des sportives roumaines est celui de se classer parmi les 8 premières équipes. La Roumanie est le seul pays à avoir participé à tous les tournois finaux des Championnats du monde de handball dames, depuis 1957. Toutefois, sa dernière performance date de 2005, lorsqu’elle est devenue vice-championne mondiale.

  • 19.08.2013

    19.08.2013

    Baccalauréat – Coup d’envoi de la seconde session du baccalauréat 2013. Près de 90 mille candidats sont attendus à la première épreuve, celle de langue et littérature roumaine. Cette session du bac devrait se dérouler jusqu’au 26 août, et elle suivie avec attention par les responsables de l’éducation et les médias. En début d’été, la première session avait été émaillée par un incident majeur — une fraude à grande échelle dépistée dans un lycée bucarestois, dont la directrice a été placée depuis derrière les barreaux. Selon le ministère de l’Education nationale, le taux de réussite au Bac, en juin et juillet derniers, a dépassé les 55%.



    Diaspora – A compter de ce lundi, Mangalia – ville port sur la ôte roumaine de la mer Noire – accueille la Semaine du milieu associatif et de la presse de langue roumaine de l’étranger. L’événement est organisé dans le cadre du programme « Diaspora Estival », par le Département de politiques pour la relation avec les Roumains de partout, département du ministère roumain des Affaires étrangères. Ce projet est censé renforcer les liens entre les Roumains vivant à l’extérieur des frontières roumaines et leur pays d’origine. Pour ce faire, des débats, des ateliers et des conférences à thématique diverse sont proposés aux participants. Ces derniers devront pourtant se pencher en priorité sur les dynamiques des minorités ainsi que sur les difficultés économiques et sociales de l’intégration.