Tag: maïs

  • Rumänien produziert Bio-Lebensmittel

    Rumänien produziert Bio-Lebensmittel


    Man sagte über das kommunistische Rumänien, das die Landwirtschaft als ein nationales Eigentum betrachtete, es sei die Kornkammer Europas. Die beeindruckenden Getreideproduktionen, besonders Weizen und Mais, wurden von der Propaganda eines Regimes, für das ein Rekordbrechen sich zu einer Obsession entwickelte, übertrieben. Die Ergebnisse waren aber nicht zufällig. Die rumänische Landwirtschaft verfügte über eine besondere Infrastruktur und über einen fruchtbaren Boden. Die riesigen Investitionen des rumänischen Staates in Irrigationssysteme und Fabriken, die Traktoren oder Kombinen herstellten, waren ebenfalls ein Pluspunkt für Rumänien. Alles fu‎ßte auf einem Konzept, das in der Marktwirtschaft nicht umsetzbar war. Es ging um eine zentralisierte Landwirtschaft. Am Ende der vierziger bis Anfang der sechziger Jahren hatte die sogenannte gro‎ße Kollektivierung stattgefunden. Nach der Wende im Dezember 1989 entwickelte sich die rumänische Landwirtschaft zum Aschenputtel der rumänischen Wirtschaft. Schuld dafür waren das ineffiziente Management und die wenigen Investitionen. Hinzu kam auch die Rückerstattung der Grundstücke.




    In den letzten Jahren haben sich aber die Sachen positiv entwickelt. Die Landwirtschaft führte zum Wirtschaftsanstieg Rumäniens. Laut Statistiken belegt Rumänien bei Maisproduktion zum fünften Mal im letzten Jahrzehnt den zweiten Platz in Europa, nach Frankreich. Die rumänischen Landwirte haben 4,4 Tonnen pro Hektar von 2,6 Millionen Hektaren, während die Franzosen 9,5 Tonnen pro Hektar von 1,7 Millionen Hektaren geerntet. Das ist auch ein Beweis dafür, dass in Rumänien weiterhin die extensive Landwirtschaft betrieben wird.




    Laut dem Ministerium für Landwirtschaft und Ländliche Entwicklung in Bukarest hat Rumänien in der ersten Jahreshälfte Agrarprodukte in Höhe von über 2 Milliarden Euro exportiert, um 10% mehr als im vergangenen Jahr. Es gibt weitere gute Nachrichten und zwar 85% des rumänischen Agrarsektors bietet eine Produktion von hoher Qualität, so Daniel Botănoiu, Staatssekretär im rumänischen Ministerium für Landwirtschaft und Ländliche Entwicklung beim ECO Festival, das Ende vergangene Woche in Bukarest organisiert wurde. Daniel Botănoiu erklärte, Rumänien könne Öko-Produkte in ganz Europa exportieren, weil die verwendete Stickstoffquantität niedrig sei und zwar 20 mal kleiner als die, die in den Niederlanden gebraucht wird. Uns bleibt also die Hoffnung.



  • A la Une de la presse roumaine du 20.09.2013

    A la Une de la presse roumaine du 20.09.2013

    Les éditions du jour de la presse roumaine en ligne constatent les « réserves » du ministre français de l’intérieur, Manuel Valls, à l’égard de l’entrée de la Roumanie et de la Bulgarie dans l’espace Schengen. Dans le même temps, les journalistes roumains se penchent sur une alerte contre la contamination à l’aflatoxine de maïs fourrager roumain, mais aussi sur les conditions posées par les hommes d’affaires turcs pour investir en Roumanie.


  • L’industrie agroalimentaire

    L’industrie agroalimentaire

    Selon le Ministère roumain de l’Agriculture et du Développement Rural, le déficit de la balance commerciale de la Roumanie en matière de produits agroalimentaires a été de 745 millions d’euros en 2012, presque deux fois plus grand que l’année précédente. La Roumanie a importé l’année dernière plus de 6 millions de tonnes de produits agroalimentaires, une croissance de 6% vis-à-vis de 2011 tandis que la valeur des produits importés a excédé les 4,65 milliards d’euros, étant de 372 millions d’euros plus grande que l’année précédente.



    Cependant, les exportations de produits agroalimentaires, en hausse vis-à-vis de 2011 de 6% ( plus de 7,9 tonnes) les revenus ayant totalisé l’année dernière ont excédé les 3,9 milliards d’euros, étant à peu près à l’égalité de ceux de 2011. Les plus grandes rentrées ont été obtenues l’année dernière des exportations de blé et de maïs qui ont eu une valeur de 1,14 milliards d’euros.



    En 2012, dans le top des importations roumaines de produits agroalimentaires on trouvait les mêmes produits que pendant les années antérieures, à savoir le sucre (286 millions d’euros) suivi de près par la viande de porc (259 millions d’euros) et le maïs (191 millions d’euros). L’Union Européenne a été le principal partenaires commercial de la Roumanie, tant en matière de livraisons de produits agroalimentaires vers la même destination que les acquisitions des Etats membres de l’Union. Pendant la première partie de cette année, les exportations roumaines ont été affectées par le scandale de la viande de cheval étiquetée dans d’autres pays comme viande de bœuf.



    Le président de l’Association Nationale de Santé Vétérinaire et pour la Sécurité Alimentaire, Vladimir Mànàstireanu explique: « Nous avons réussi à démonter toutes les accusations à l’adresse de la Roumanie et de ses producteurs pour toutes les trois accusations formulées par la France, au début, comme vous le savez et comme tout le monde le sait, ensuite par l’Allemagne et , puis, par la Grèce. Dans toutes les discussions que nous avons eu tant à Bruxelles, lors de la participation aux réunions des chefs des services vétérinaires, qu’à Dublin, dans des discussions privées avec les partenaires de France et d’autres Etats, nous avons réitéré l’idée et, si vous vous voulez, la prière, et la conclusion générale de toutes ces rencontres a été qu’au cas de découverte de telles situations, celles-ci soient médiatisées par toute la presse, nationale et internationale, seulement au moment où il y a la certitude qu’un Etat membre en est responsable d’étiquetage frauduleux car, autrement, on parvient à des accusations injustes, comme ce fut notre cas et, par la suite, des excuses n’ont pas été exprimées et il n’y a eu qu’un déficit à l’exportation pour l’industrie roumaine. »



    « Nous avons produit rapidement des preuves pour démonter que les services vétérinaires de Roumanie font leur devoir et observent intégralement la législation européenne et nationale et que l’industrie roumaine du domaine est une industrie sérieuse qui labellise correctement la viande vendu sur le marché européen et non pas seulement » a, encore, dit Vladimir Mànàstireanu. Pourtant, selon les producteurs roumains, l’exportation de viande de bœuf et de cheval a baissé de plus de 20% à la suite du scandale des étiquettes falsifiées. Un des plus grands producteurs et exportateurs de viande de cheval et de bœuf sur la marché européen, Iulian Càzàcut, a formulé, d’ailleurs, une série de proposition de redressement à la suite de ce scandale dont une bourse de viande sous la houlette du Ministère de l’Agriculture et l’ouverture de nouveaux marchés. Ces marchés pourraient accroître le degré de confiance des consommateurs européens et mondiaux qui exigent une plus grande transparence du prix de l’offre et de la demande ainsi que de l’origine de la viande: « Premièrement, il faudrait régulariser le fonctionnement d’une telle bourse car , si les règles sont officielles, ces règles doivent être observées et le Ministère de l’Agriculture pourrait superviser si les données en question sont correctes. »



    Les producteurs, eux, entrevoient, également, des opportunités comme explique Iulian Càzàcut: « Nous voulons utiliser ce moment en notre faveur. Dans une première phase, montrer ne pas avoir fait aucune erreur en respectant toutes les règles et toutes les normes. A présent nous communiquons directement avec chaque client, avec chaque partenaire. Nous voulons continuer d’investir dans le développement du label de producteur , c’est notre enjeu, car nous pouvons livrer au marché une viande sure, contrôlée depuis ses origines. Nous voudrions avoir une suite pratique du soutien des producteurs roumains en matière de présence sur les marchés internationaux. »



    Remarquons, également, que l’industrie agroalimentaire de Roumanie fait l’objet de l’attention des investisseurs étrangers. En octobre 2010, la compagnie française SOFIPROTECT a acheté lors d’une transaction d’un montant de quelques 80 millions d’euros le producteur d’huile comestible EXPUR de Urziceni, jusqu’alors contrôlé par le groupe suisse ALIMENTA. Sur le même marché de l’huile existent, aussi, les compagnies américaines BUNGE et CARGILL et, en matière de production et de vente du riz, la groupe italien RIZO SCOTTI.



    Dans l’industrie de la viande, également, il y a des investisseurs étrangers : la compagnie américaine SMITHFIELD FOODS a racheté en 2004 l’ex-combinat d’élevage des porcs COMTIM de Timisoara et a l’intention que le total de ses investissements en Roumanie atteigne 850 millions de dollars. Le producteur allemand de charcuteries REINERT a inauguré, début 2007, une fabrique de transformation des produits de viande à Feldioara, dans le département de Brasov (au centre).



    Il y a aussi des facilités de production dans le domaine alimentaire de la société tchèque HAME, le groupe norvégien ORKLA et le groupe NESTLE. L’industrie des produits laitiers est représentée enregistre le groupe LA DORNA racheté en 2008 par la société française LACTALIS, la société DANONE, les compagnies hollandaises FRIESLAND et CAMPINA ainsi que la compagnie allemande HOCHLAND… (trad.: Costin Grigore)