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  • Romania played host to the Land Corps’ Commanders Conference

    Romania played host to the Land Corps’ Commanders Conference

    The South-East Multinational Corps in Sibiu (Central Romania) has recently played host to the 25th edition of the Land Corps’ Commanders Conference. Land corps commanders of the allied states convened for a series of high-ranking talks focusing on land command and control, operational planning, but also on the proper integration of the land forces into NATO’s strategic framework.

    For the Romanian Army’s Media Agency, here is what the Commander of NATO’s Allied Land Headquarters, general Darryl Williams, said “the Black Sea region is very important for the security of the Alliance as a whole, while Romania, through the South-East Multinational Corps is the guaranteeing entity for stability and security in this NATO region.”

    Romanian Defence Minister Angel Tilvar in Bucharest has recently met his Portuguese counterpart, Nuno Melo, who paid a visit to several military structures in Romania. The two ministers held talks on the cooperation in the field of security and joint exercises and initiatives. The Portuguese army has a company in Romania as part of the Craiova-based South-east Multinational Brigade, as well as military in the structures hosted by Romania.

    Minister Tilvar stated Romania and Portugal enjoyed mutual support in the management of the security challenges the two countries face in their regions. Nuno Melo also paid a visit to the Galati Damen Shipyard in the east. We recall the construction in underway, in the Damen Shipyard, of a drone carrier for the Portuguese Military Navy. The contract was signed in November 2023 following a tender.

    The project is financed by the European Union’s Recovery and Resilience Program. The ship will carry unmanned underwater, surface and air vehicles. The delivery of the ship was estimated for 2026.
    The North-Atlantic Alliance has dispatched to Romania an AWACS air surveillance aircraft, in a bid to support the Allies’ strengthened presence in the region and in order to monitor the Russian Federation’s military activity.

    According to the Allied Air Commander, the enhanced vigilance in the Romanian air space was legitimate. It had the purpose of strengthening Romania’s capacity to respond to the increased air activity in the vicinity of its borders. Among other reasons, the Alliance took such a measure in the wake of Russia’s recent drone attacks on objectives in Ukraine. The attacks trespassed into Romania’s air space, while pieces of the drone fell on Romanian territory.

    Romania Navy’s Dredger 30 has returned to Constanta Military Port in the south-east. We recall the dredger took part in the second activation of the Operative group for combating sea mines in the Black Sea. For ten days running, the Romanian vessel, jointly with a mine sweeper and a logistics ship, both from Turkey, and accompanied by another mine sweeper of the Bulgarian Navy carried sea surveillance and research missions in a bid to eliminate the danger of mines and to ensure Freedom of navigation in the Black Sea. MCM Black Sea, the Operative group for combating sea mines in the Black Sea, is a three-party initiative of Romania, Bulgaria and Turkey. The initiative contributes to strengthening the ties with the Allies as well as to the enhancement of the interoperability level between the crews of the partner ships.

    Allied troops from Belgium, Bulgaria, Luxemburg, North Macedonia, Polonia, the Czech Republic, Portugal, Turkey and Great Britain, jointly with Romanian Army’s Mountain Hunters, until October 11 participate in the Sarmis-Olt 24. Exercise. The exercise seeks to train and perfect the military’s abilities to activate in a multinational and inter-institutional framework, laying emphasis on interoperability and cooperation between the participating structures.

  • 10.12.2022 (mise à jour)

    10.12.2022 (mise à jour)

    Schengen – Les autorités de Bucarest poursuivent les démarches en vue de l’adhésion à l’espace Schengen de libre circulation européenne, malgré le vote défavorable de l’Autriche exprimé durant la réunion des ministres européens de l’intérieur de jeudi à Bruxelles. Le premier ministre roumain, Nicolae Ciuca a déclaré que Bucarest déroulait des consultations avec les institutions communautaires sur l’opportunité de la remise de se sujet à l’ordre du jour du Conseil européen la semaine prochaine. Entre autres il a affirmé que les autorités de Bucarest envisageaient de proposer le découplage du tandem Roumanie – Bulgarie dans le processus d’adhésion. Depuis l’opposition, l’Union Sauvez la Roumanie annonce déposer la semaine prochaine une motion simple à l’adresse du ministre roumain de l’Intérieur, Lucian Bode, accusé pour l’échec de la Roumanie d’adhérer à Schengen. La démarche a été soutenue aussi par les élus non-affiliés par la Force de la Droite. En échange, Lucian Bode a souligné que l’opposition de l’Autriche ne reposait pas sur des arguments et qu’une décision sur l’adhésion de la Roumanie à l’espace de libre circulation Schengen pourrait être adoptée durant le Conseil Justice et Affaires Intérieures de mars 2023. L’ambassadeur de Roumanie à Vienne, Emil Hurezeanu, a été rappelé vendredi à Bucarest pour des consultations. Plusieurs Etats européens se sont déclarés particulièrement déçus par le votre contre l’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l’espace de libre circulation. Ce qui plus est, la commissaire européenne aux Affaires Intérieures, Ylva Johansson, a promis faire de l’adhésion des deux Etats à Schengen une priorité de son mandat. Pour sa part, le président autrichien, Alexander Van der Bellen, a affirmé beaucoup regretter le veto accordé par son pays.

    Budget – Le budget d’Etat et celui de la sécurité sociale doivent être soumis la semaine prochaine au vote du Législatif. Les Sénateurs et Députés ont jusqu’à dimanche pour déposer des amendements et les débats devraient commencer dans le cadre des commissions spécialisées lundi. Selon le calendrier établi par la direction du Législatif, le vote final est prévu pour jeudi. Le budget d’Etat repose sur une croissance économique de 2,8% et prévoit un déficit de 4,4% du Produit intérieur brut. Les dépenses destinées aux investissements s’élèvent à quelque 22,7 milliards d’euros. Parmi les ministères qui bénéficieront de davantage de fonds figurent la Défense, le Développement, l’Agriculture, les Transports et l’Education. Au pôle opposé, l’Energie, la Justice et la Santé verront leurs budgets diminuer. Parmi les mesures envisagées mentionnons aussi la majoration de 10 % des salaires bruts dans le secteur public, la croissance de 12,5 % du point de retraite et l’augmentation du SMIC à 3 000 lei (610 euros). Dans l’opposition, le parti ultra-nationaliste l’Alliance pour l’Union des Roumains (AUR) a déjà fait part de son intention de déposer des amendements, n’étant pas d’accord avec les projets de budget proposés par l’Exécutif.

    Agriculture – Le ministre roumain de l’agriculture, Petre Daea, participe à Bruxelles les 11 et 12 décembre à la réunion du Conseil agriculture et pêche (AGRIFISH). A l’ordre du jour de la réunion figurent des aspects importants du secteur agricole roumain : la situation du marché, les plans stratégiques de la Politique agricole commune, le bien-être des animaux, les possibilités de pêche en 2023, les indications géographiques, l’utilisation des pesticides. Les ministres doivent également évoquer les progrès enregistrés dans la mise en application de la nouvelle stratégie de l’UE relative aux forêts pour 2030 et auront un échange d’opinions sur les actions entreprises au niveau de l’UE et au niveau national. Ils doivent également débattre de la situation actuelle du marché dans les Etats membres, dans le contexte de la guerre déclenché par la Russie contre l’Ukraine, analysant les principales problématiques qui visent la crise énergétique et celle des engrais, les prix élevés des facteurs de production ainsi que la pression que la crise exerce tant sur les fermiers que sur les consommateurs.

    Gaudeamus – La foire du live Gaudeamus Radio Roumanie se poursuit à Bucarest. Au programme : de nombreux lancements de livres, rencontres avec les écrivains, tout cela en dehors des milliers de volumes vendus à des prix intéressants. D’ici dimanche, 200 participants proposent aux publics de tous âges des produits des plus divers, concernant tous les domaines d’intérêt, sans oublier la musique, ni les jeux éducatifs. Pour la première fois, deux espaces destinés aux activités interactives pour les plus jeunes visiteurs ont été aménagés à l’intérieur du salon. Les livres proposés et les maisons d’édition présentes sur place à Gaudeamus, sont aussi à retrouver en ligne, sur le site de la foire : gaudeamus.ro . Précisons aussi que ce salon initié et organisé par Radio Roumanie est financé par le ministère de la Culture et que l’entrée y est libre.

    Odessa – La ville d’Odessa, dans le sud de l’Ukraine est carrément dépourvue d’électricité ce samedi, après une attaque aux « drones kamikaze » lancée par la Russie ce samedi ont annoncé les autorités ukrainiennes. Selon cette source, les infrastructures essentielles, y compris les hôpitaux et les maternités ont eu accès à l’électricité. Vendredi, les autorités de Kiev soulignaient que les régions du sud du pays, y compris celle d’Odessa souffraient des coupures de courant les plus sévères quelques jours seulement après la plus récente série d’attaques russes contre le réseau énergétique ukrainien. Jeudi, le président Vladimir Poutine a affirmé que l’armée russe continuerait les frappes contre le réseau électrique ukrainien malgré les critiques fermes de l’Occident .Dans ce contexte, l’Union européenne a déjà annoncé qu’elle enverrait en Ukraine des générateurs électriques chacun ayant la capacité d’alimenter en électricité un hôpital entier.

    Mine – Une mine marine qui flottait en dérive près de Constanta dans le sud-est a été neutralisée aujourd’hui par les scaphandres militaires, annoncent les Forces navales roumaines. Selon cette source, la présence de la mine à une distance de quelque 2,5 miles marins de l’extrémité de la digue nord du port de Constanta a été signalée aux autorités roumaines ce matin par un navire cargo turc. Les forces navales précisent que depuis le début de la guerre en Ukraine et jusqu’à présent, une quarantaine de mines maritimes et ont été identifiés et détruites dans le bassin ouest de la mer Noire.

    Handball – Les vice-championnes de Roumanie de handball féminin CSM Bucuresti ont battu sur le score de 33 à 29 les hongroises de Ferencvaros Budapest dans la Ligue des Champions. Suite à cette victoire, le CSM mène le groupe avec 13 points. Le CSM doit ensuite recevoir ce 18 décembre la visite la championne en titre Vipers de Norvège.

    Météo – Les températures devraient chuter dans les jours à venir surtout sur l’ouest, le nord et le centre, alors que sur le reste du territoire, elles seront toujours supérieures aux moyennes pluriannuelles. Le ciel sera plutôt couvert et les précipitations seront au rendez-vous sur toutes les régions, mais surtout sur l’ouest et le centre, où les pluies se transformeront en chutes de neige. Des pluies à verse sont attendues sur le sud-est. Le vent devrait s’intensifier sur la majorité des régions, notamment sur le sud-est et en haute montagne. Les maximas iront de 6 à 18 degrés, alors que les minimas iront de – 3 à 7 degrés.

  • Exploatarea minereurilor, un rău necesar?

    Exploatarea minereurilor, un rău necesar?

    Pentru a deveni din ce în ce mai autonomă în aprovizionarea cu materii prime critice, esențiale pentru industria viitorului, Uniunea Europeană dorește redeschiderea minelor. Şi în România există astfel de proiecte precum cel de la Moldova Nouă, în judeţul Caraș-Severin. Aici ar putea fi reluată exploatarea unuia dintre cele mai mari zăcăminte de cupru din Europa,



    Am discutat pe acest subiect cu europarlamentarul Gheorghe Falcă, cu Andrei Szabo, președintele Asociației Euroland Banat, cu Mehmet Egriboyunoglu, reprezentantul companiei care urmează să reia exploatarea cuprului la Moldova Nouă, şi cu primarul orașului Moldova Nouă, Ion Chisăliță.




  • 09.09.2022 (mise à jour)

    09.09.2022 (mise à jour)

    Reine– Charles
    de Galles, jusqu’ici connu sous le nom de prince Charles, devient roi
    d’Angleterre sous le nom de Charles III, après la mort de sa mère, la
    reine Elizabeth II, survenue le 8 septembre 2022. Le protocole veut que les 24
    heures suivant la mort d’un monarque, un nouveau souverain soit formellement
    proclamé dès que possible au Palais St James à Londres par le Conseil de
    l’Ascension. Ce conseil est composé d’officiers du Conseil privé qui comprend
    d’importants membres du cabinet, des juges et des dirigeants de l’Église
    d’Angleterre qui sont convoqués au palais pour une réunion. La reine est décédée à Balmoral en Écosse, à l’âge de 96 ans.
    Entre le mercredi 14 et samedi 17 septembre, sa dépouille sera exposée au
    palais de Westminster. Son cercueil reposera sur un catafalque, estrade
    funéraire surélevée, au milieu de Westminster Hall, qui sera ouvert au public
    23 heures par jour. Après les funérailles en présence de chefs d’Etat et de
    gouvernement du monde entier, la reine sera enterrée au château de
    Windsor, plus précisément au Mémorial du roi George VI, un caveau où reposent
    ses parents et sa sœur Margaret. Le président roumain a transmis un message de
    condoléances au prince Charles, fils aîné de la Reine Elisabeth II.






    Aides – La Commission européenne a
    autorisé une aide de 4 milliards d’euros à la Roumanie, visant à soutenir les
    entreprises de différents secteurs dans le contexte de l’invasion de l’Ukraine
    par la Russie. Le régime a été autorisé sur la base de l’encadrement temporaire
    de crise en matière d’aides d’État adopté par la Commission le 23 mars 2022 et
    modifié le 20 juillet 2022, et reconnaissant que l’économie de l’UE est
    confrontée à une perturbation grave. Dans le cadre de cette mesure, l’aide
    prendra la forme de garanties de prêts, avec un budget maximal de 3,6 milliards
    d’euros et de subventions directes, avec un budget maximal de 390 millions
    d’euros pour compenser une partie des coûts liés aux prêts garantis. L’aide au
    titre du régime sera accordée au plus tard le 31 décembre 2022.


    Energie – Le ministre roumain de l’Energie, Virgil Popescu, a participé
    vendredi aux travaux du Conseil européen sur l’énergie, organisé à Bruxelles
    dans le contexte de la flambée des tarifs énergétiques dans le monde.
    L’occasion pour Bucarest de plaider en faveur aussi bien du plafonnement du
    prix du gaz russe, que de la mise en place d’une plateforme d’achats communs
    d’énergie de l’UE. La Roumanie soutient également la possibilité que la Banque
    centrale européenne accorde des lignes de crédit aux entreprises, tout comme la
    nécessité d’une distribution équitable des volumes supplémentaires de gaz via
    la Plateforme énergétique européenne. A Bruxelles, le responsable roumain a
    rencontré son homologue bulgare, Hristov Rossen. Les deux officiels ont discuté
    aussi bien de l’importance de la coopération régionale censée leur permettre
    d’acheter en commun, du gaz naturel que de la stabilité énergétique dans la
    région. Par ailleurs, à Bucarest, les opérateurs du secteur énergétique
    demandent au Gouvernement de revenir sur le décret émis la semaine dernière qui
    met en place non seulement le plafonnement et la compensation des prix des
    factures de gaz et d’électricité mais aussi la surtaxe des compagnies du
    domaine. Les représentants de l’Association des fournisseurs d’énergie mettent
    en garde contre le fait que l’acte normatif a été élaboré en l’absence de toute
    consultation préalable avec les acteurs du domaine, ce qui met en danger la
    sécurité de l’approvisionnement en gaz et électricité des consommateurs.




    Mines – Un dragueur de mines roumain a été légèrement endommagé
    jeudi soir suite à l’explosion d’une mine en mer Noire, à plus de 40 km du port
    de Constanta (sud-est), sans faire de victimes, a informé l’Etat-Major des
    Forces navales roumaines. Les 75 militaires de l’équipage ne sont pas en
    danger, la flottabilité du navire n’a pas été affectée et les dégâts à bord ne
    sont pas majeurs, précise-t-il encore. C’est la 3e mine de guerre
    qui explose dans la zone roumaine de la mer Noire depuis le déclenchement du
    conflit en Ukraine voisine. Depuis, février dernier, 28 mines marines ont été
    détruites dans l’ouest de la Mer Noire, dont 3 en Turquie, deux en Roumanie,
    une en Bulgarie et 22 en Ukraine.


    Cohésion – Le gouvernement roumain a adopté un paquet de mesures
    censé réglementer le versement d’une enveloppe de 16 milliards d’euros, soit un
    tiers du budget d’Etat, aux politiques de cohésion, a fait savoir le ministre
    roumain chargé des Investissements et des projets européens, Marcel Boloş.
    L’argent peut être utilisé pour accéder et développer des projets
    d’investissements dans l’infrastructure routière, sanitaire, de ravitaillement
    en eau ou encore dans la gestion des déchets, a expliqué le ministre. La
    Roumanie dispose d’un budget de 43 milliards d’euros à utiliser d’ici le 31
    décembre 2029 dans le cadre de la politique de cohésion, a encore précisé
    Marcel Boloş. Les projets visent notamment à faire construire 600 km
    d’autoroute et 3 hôpitaux régionaux des urgences, à Craiova (sud), Iaşi
    (nord-est) et Cluj-Napoca (nord-ouest).














    Economie – Le déficit de la balance commerciale de la Roumanie au
    cours de 7 premiers mois de cette année a augmenté de presque 6 milliards
    d’euros pour atteindre le 18,77 milliards, dans le contexte où les exportations
    ont augmenté de presque 24 % et les importations – de 29 %, constate l’Institut
    National de la Statistique. Les exportations se sont chiffrées à plus de 52 milliards
    et demi d’euros, alors que les importations se sont montées à plus de 71
    milliards d’euros, tout cela entre janvier et juillet 2022. Par ailleurs, les
    investissements nets réalisés dans l’économie nationale ont été d’un montant de
    57 milliards de lei (plus de 11 millions d’euros) au cours des 6 premiers mois
    de l’année, soit une baisse de 0,8 % par rapport à la même période de
    2021.




    Tennis – Les joueuses roumaines de
    tennis, Sorana Cîrstea et Irina Begu, 37ème et respectivement, 42ème
    dans la hiérarchie mondiale, seront présentes au tableau de la première édition
    du tournoi Ţiriac Foundation Trophy, qui aura lieu du 10 au 18 septembre, à
    Bucarest. Les places que les deux Roumaines occupent au classement WTA les
    rendent favorites de la compétition de Bucarest. Ţiriac Foundation Trophy est
    un tournoi WTA 125 organisé par la Fédération roumaine de tennis et soutenu par
    la Fondation Tiriac, avec le soutien du Ministère du Sport. 32 joueuses sont
    inscrites dans le concours de simples dames et 8 paires dans celui de double
    dames.




















    Météo – En Roumanie, le temps sera
    plutôt instable, avec un ciel couvert et de la pluie dans la plupart des
    régions. Le vent soufflera sur les sommets des Carpates et des phénomènes
    orageux risquent de se produire dans la majorité des régions. Les températures
    seront plutôt élevées dans le sud et le sud-est du pays et proches de la
    normale saisonnière dans le reste du territoire. Samedi, les températures
    maximales iront de 22 à 30 degrés.



  • Miners’ protest comes to an end

    Miners’ protest comes to an end

    The miners in Jiu Valley,
    Romania’s biggest coal extraction site and located in the central-western part
    of the country, ended their underground protest that lasted several days after the
    authorities in Bucharest found a solution to pay the salaries which the
    Hunedoara Energy Complex did not pay on time. A decision was adopted that allows
    for the payment of owed salary rights in the case of insolvent companies as
    well, as is the case with this energy complex, which has been in a critical situation
    for more than a year. Following this decision, the miners will receive their last
    month’s salary and some of the sums owed for meal and transport vouchers.




    The almost 70 miners who protested
    underground decided to resurface after a trade union leader went down into the
    mine with the document signed by the authorities. After days underground, one
    of the miners needed medical assistance. Another miner said he decided to join
    the protest on his very last at work before retirement. Protesters say that
    leaving aside the solution found this time, many problems remain, such as a shortage
    of materials and equipment needed for working underground, something that cannot
    be resolved without investments.




    The solution found by the
    government this time ensures the miners’ salaries for the next three months,
    while their company needs to reorganise and propose a long-term plan. According
    to the energy minister Virgil Popescu, work on this plan started last year and
    may be finalised in a month and a half. He added that the process is in its
    final stage and that it lasted so long because of the legal bureaucracy that
    had to with the insolvency procedure, and which involved legal challenges, a court
    action against the declaration of bankruptcy and the rejection of the challenge
    in court. The minister underlined that the company basically doesn’t have
    enough funds and that the coal production can no longer cover the costs.




    The Hunedoara Energy
    Complex, which has been undergoing a process of insolvency for a long time,
    recently benefitted from state aid, being artificially kept functioning despite
    running huge losses. The company found itself unable to pay salaries and cover
    other service costs owing to the cut of the January subsidy for Lonea mine,
    which is in the process of being closed. In 2018, the European Commission found
    that the Hunedoara Energy Complex received incompatible state aid worth some 60
    million euros in the form of four loans financed by public funds. The Commission
    says Romania must recover the aid granted illegally and the corresponding interest
    rate. In 2019, despite the Commission’s findings, the government in Bucharest
    again decided to grant the complex state aid by erasing all its debts. To date,
    this emergency order is yet to be enforced. (CM)

  • The … cheerful Petrila

    The … cheerful Petrila


    The Petrila coal mine was closed down four years ago and declared a historical monument. Thats when a group of citizens inspired by the less conventional ideas of the fine artist Ion Barbu founded an association called Colonia Vesela, which can be translated as “the cheerful colony”. Their aim was to turn the Petrila mine into a cultural, tourist and, last but not least, commercial area. Mihai Danciu, a representative of the association, tells us how it all began:



    “The Colonia Vesela Association was founded in 2013 at the same time with the presentation of some of my architect colleagues end-of-year projects as well as my own. It all started from the idea that the Colonie district in Petrosani, which is the biggest listed historical complex in the Jiu River Valley, is in need of a makeover, of urban regeneration. So we set up this association. We began with workshops for children, who all wanted their district to look more cheerful.”



    The Colonia Vesela Association turned the former mining site into a place with exhibition rooms and research and experiments labs. Petrilas past and present are explored here, as well as its opportunities for transformation, using artistic and theoretical methods and with the participation of the local community. For the originality of its project, the Colonia Vesela Association was granted the Award of the Administration of the National Cultural Fund. Mihai Danciu tells us more about this award:



    “We received this award because of the events we staged in Petrila. I must mention here that the Colonia Vesela Association is one of the founding members of the Planeta Petrila Association which contributes to the regeneration of the industrial heritage of the Petrila coal exploitation site and its transformation into an economic, social and cultural centre of the Jiu River Valley. In our capacity as founding members, we took on the management of the Petrila Cultural Exploitation Site project, which seeks to turn the former mine into a cultural site. The event was held last August and thats also when we renamed the mining compound a cultural compound, as the area had by then become home to cultural, sports and all sorts of other activities.”



    Mihai Danciu also gave us more details about the different activities and events staged on the former mining site:



    “We basically built on the events held ever since 2014 and the interest generated by the Planet Petrila documentary film directed by Andrei Dascalescu and featuring Catalin Cenusa and Ion Barbu. In 2018, we staged 10 different cultural activities, including the Open Mines Day on May the 1st and the Petrila Cultural Exploitation Site project held between August 10 and 12. What we did was to temporarily activate the sites formerly used for mining activities, including the administrative rooms, the rooms full of industrial equipment, the routes used by the miners and those by which the coal used to be transported, as well as public spaces, footbridges, galleries and industrial infrastructures, all of which were turned into art exhibitions and art installations and venues for concerts and sports activities, in an environment that resembled the former mining compounds in the West that were transformed into cultural, economic and even administrative centres.”



    Mihai Danciu also told us that by employing practices that are commonly used today in urban planning, the former industrial space has been reconverted to serve a cultural purpose. Mihai Danciu about what we can see in Petrila at the moment:



    “Staging events is our top priority, but theres always someone at the mine, and there are volunteers, including former miners led by Catalin Cenusa, who actually maintain the area. Meanwhile, on November 15 last year, the Mine Rescue Museum was founded, a museum unique in the country, which is set up in a former rescue station and which is open to anyone passing by. In fact, last year we had 5,000 visitors, which is a record number for a cultural site in the Jiu River Valley. What visitors can see at the moment is a post-industrial area turned into a space that is full of life, surrounded by high-quality architecture dating from the late 19th century, the inter-war years and the early days of the communist era.”



    In the future, the Association plans to continue the activities forming part of the Petrila Cultural Exploitation Site project, by staging at least one event each month. With more on this , Mihai Danciu:



    “For the first time since 2012, everybody agrees that the Petrila mine must become a cultural site that also serves an administrative, social and economic purpose. Were waiting for you in Petrila, you wont get bored there, on the contrary!”




  • 30.10.2017 (mise à jour)

    30.10.2017 (mise à jour)

    Colectiv – Il y a deux ans, un incendie meurtrier ravageait la discothèque bucarestoise Colectiv. Suite à la tragédie de la soirée du 30 octobre 2015, 64 personnes ont perdu la vie, dont 27 dans lincendie proprement dite et 37 des suites de leurs blessures dans des hôpitaux de Bucarest et de létranger. Après une marche organisée vendredi soir à la mémoire des victimes, une cérémonie religieuse et un concert de musique rock ont été prévus pour lundi. Nombre de Roumains déplorent le fait quà moins de deux ans après lincendie, aucun coupable na été condamné et quaucune mesure visant à corriger les défauts systémiques de la société roumaine na été adoptée.



    Mine – Un accident produit dans la mine dUricani, de la Valée du Jiu, dans le centre-ouest de la Roumanie a fait un mort et trois blessés. Les mineurs participaient à des travaux en vue de la fermeture de la mine. Début octobre, également dans la Vallée du Jiu, un autre accident produit dans la mine de Lupeni a fait deux morts et un blessé. Conformément à un mémorandum déposé à la Commission européenne, la mine de Lupeni devrait fermer dici cinq ans.



    UE — Tous les Etats membres de l’UE doivent étroitement collaborer si l’on veut assurer une sécurité cybernétique durable. C’est ce qu’a déclaré lundi la commissaire européenne Mariya Gabriel, responsable pour l’économie et la société numérique, présente à Bucarest à la 7e conférence internationale annuelle sur les nouveaux défis mondiaux dans le domaine de la sécurité cybernétique. Il faut également investir dans la technologie, a-t-elle précisé. Et elle d’ajouter que les pays membres et les institutions se doivent de contribuer en vue d’une meilleure coopération, étant donné les vulnérabilités constatées. Durant sa visite de 2 jours en Roumanie, Marya Gabriel devrait rencontrer des responsables politiques de Bucarest au sujet du contenu illégal en ligne et des investissements dans le secteur numérique. La responsable européenne devrait également découvrir des projets qui sont en train de se dérouler en Roumanie. Parmi eux, des projets qui visent les personnes malvoyantes et le développement des compétences numériques parmi les femmes, notamment parmi les jeunes femmes.



    Recommandations — Le ministère pour les Roumains de l’étranger suit de près la situation des plus de 130 mille ressortissants roumains vivant en Catalogne, vu les récents événements dans cette région d’Espagne. Il leur conseillé de contacter les autorités roumaines pour signaler toute situation pouvant porter atteinte à leur sécurité. On leur recommande, par ailleurs, d’informer les missions diplomatiques de Roumanie sur n’importe quel aspect de nature à affecter leurs relations de travail ou leurs rapports avec les autorités et les institutions catalanes. Le ministère pour les Roumains de l’étranger rappelle que Bucarest rejette fermement et irrévocablement la déclaration unilatérale d’indépendance de la Catalogne et exprime son plein appui à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de l’Espagne, ainsi que l’espoir que l’ordre constitutionnel sera bientôt rétabli en Catalogne.



    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Simona Halep est pour la quatrième semaine de suite en première position du classement mondial des joueuses professionnelles de tennis, rendu public lundi. Halep qui devrait achever cette année en tête du classement préserve une avancée de 40 points par rapport à la joueuse qui est numéro deux mondiale, Garbine Muguruza dEspagne, alors que la Danoise, Caroline Wozniacki est en troisième position. Trois autres sportives roumaines comptent parmi les 100 meilleures joueuses du classement WTA : Sorana Cîrstea – 37e, Irina Begu – 44e, Monica Niculescu – 100e. Mihaela Buzărnescu a fait un bond de 17 places et occupe actuellement la 72e place, soit le meilleur résultat de sa carrière.



    Météo — Dans les prochaines 24 heures, il fera plus froid qu’à l’accoutumée pour cette période de l’année. Le ciel sera variable, plutôt couvert sur l’ouest, le centre et le nord du pays. Le vent soufflera fort dans l’est, le sud-est et le nord-est du territoire, où les rafales pourront atteindre 70 km/h. En haute montagne, il neigera légèrement et le vent soufflera à plus de 90 km/h. Les températures maximales iront de 2 à 11 degrés.

  • 30.10.2017

    30.10.2017

    Colectiv – Il y a deux ans, un incendie meurtrier ravageait la discothèque bucarestoise Colectiv. Suite à la tragédie de la soirée du 30 octobre 2015, 64 personnes ont perdu la vie, dont 27 dans l’incendie proprement dite et 37 des suites de leurs blessures dans des hôpitaux de Bucarest et de l’étranger. Après une marche tenue vendredi soir à la mémoire des victimes, une cérémonie religieuse et un concert de musique rock ont été prévues pour aujourd’hui. Nombre de Roumains déplorent le fait qu’à moins de deux ans après l’incendie, aucun coupable n’a été condamne et qu’aucune mesure visant à corriger les défauts systémiques de la société roumaine n’a été adoptée.

    Mine – Un accident produit dans la mine d’Uricani, de la Valée du Jiu, dans le centre-ouest de la Roumanie a fait un mort et trois blessés. Les mineurs participaient à des travaux en vue de la fermeture de la mine. Début octobre, également dans la Vallée du Jiu, un autre accident produit dans la mine de Lupeni a fait deux morts et un blessé. Conformément à un mémorandum déposé à la Commission européenne, la mine de Lupeni devrait fermer d’ici cinq ans.

    UE – La commissaire européenne Mariya Gabriel, responsable pour l’économie et la société numériques, participe aujourd’hui à Bucarest à l’inauguration d’un sommet sur les nouveaux défis mondiaux dans le domaine de la sécurité cybernétique. Durant sa visite de 2 jours à Bucarest, Marya Gabriel devrait rencontrer des responsables politiques de Bucarest au sujet du contenu illégal enligne et des investissements dans le secteur numérique. La responsable européenne devrait également découvrir des projets qui sont en train de se dérouler en Roumanie. Parmi eux, des projets qui visent les personnes malvoyantes et de développement des compétences numériques parmi les femmes et notamment parmi les jeunes femmes.

    Espagne – En Espagne, le leader catalan, Carles Puigdemont pourrait être accusé de rébellion aujourd’hui, aux côtés d’autres responsables ayant contribué à la déclaration d’indépendance de la province de Catalogne. Des centaines de milliers de personnes ont protesté dimanche dans les rues de Barcelone pour l’unité de l’Espagne et demandé que Puigdemont soit arrêté. Le ministre espagnol des Affaires Etrangères Alfonso Dastis a déclaré pour « Skynews » que le chef destitué du gouvernement régional pourrait participer aux élections municipales convoquées par le premier ministre Rajoy pour le 21 décembre, tant que la justice n’en a pas décidé autrement. Selon le correspondent de la radio publique roumaine en Espagne, le Parquet doit également traduire en justice les membres du gouvernement catalan déjà destitué, ainsi que des membres de la Commission du Parlement régional, maintenant dissout. Le contrôle des autorités madrilènes sur la Catalogne sera mis à l’examen aujourd’hui, lorsque les politiciens et les fonctionnaires rentrent au travail. Rappelons-le, le gouvernement espagnol vint d’activer l’article 155 de la Loi Fondamentale qui suspend l’autonomie régionale de la Catalogne.

    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Simona Halep est pour la quatrième semaine de suite en première position du classement mondial des joueuses professionnelles de tennis, rendu public aujourd’hui. Halep qui devrait achever cette année en tête du classement préserve une avancée de 40 points par rapport à la joueuse qui est numéro deux mondiale, Garbine Muguruza d’Espagne, alors que la Danoise, Caroline Wozniacki est en troisième position. Trois autres sportives roumaines comptent parmi les 100 meilleures joueuses du classement WTA : Sorana Cîrstea – 37e, Irina Begu – 44e, Monica Niculescu – 100e. Mihaela Buzărnescu a fait un bond de 17 places et occupe actuellement la 72e place, soit le meilleur résultat de sa carrière.

    Météo – Une alerte code orange est actuellement en vigueur jusqu’à minuit dans toutes les régions de montagne où des tempêtes de neige sont en cours. Le reste du pays fait l’objet d’une alerte code jaune en raison des températures basses et des précipitations mixtes, mais aussi du vent intense. Justement, la vitesse du vent varie de 55 à 70 km à l’heure pour dépasser par endroits les 80 km à l’heure. En haute montagne, la vitesse du vent dépasse les 100 km à l’heure et une couche de neige épaisse s’est déjà formée. Plusieurs localités ont été plongées dans le noir et le trafic routier se déroule difficilement dans certaines régions. Les maxima de journée iront de 4 à 14 degrés.

  • 06.10.2017

    06.10.2017

    OTAN – La 63e session annuelle de l’Assemblée Parlementaire de l’OTAN démarre aujourd’hui à Bucarest. Elle est considérée comme une réunion internationale très importante consacrée aux problèmes de sécurité. Y participent une cinquantaine de délégations des Etats membres de l’OTAN ou associés à l’Alliance. Les principaux sujets à aborder visent les opérations de l’Alliance en Afghanistan, la coopération entre l’OTAN et l’UE, la sécurité dans la région de la Mer Noire, la situation en Asie de l’Est, sans oublier la crise humanitaire en Syrie et en Irak. De même, les commissions spécialisées de l’Assemble Parlementaire de l’OTAN adopteront plusieurs rapports qui ont déjà été débattus à l’occasion de la réunion de printemps, en Géorgie. Lundi, , plusieurs hauts responsables s’exprimeront en ouverture de la session plénière, dont le président roumain Klaus Iohannis et le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg.

    Syndicats – Un nouveau round de négociations a lieu ce vendredi à Bucarest entre le premier ministre social-démocrate Mihai Tudose et les représentants des confédérations syndicales. Le principal problème à régler c’est le transfert des contributions sociales à la charge des salariés, une idée à laquelle l’Exécutif affirme ne pas avoir renoncé, mais que les syndicats contestent avec véhémence. De même, les syndicalistes souhaitent finaliser d’ici un mois, aux côté des experts des différents ministères, un projet d’acte normatif qui modifie la Loi du dialogue social. Les syndicats de la Santé participent eux aussi aux négociations d’aujourd’hui. Ils demandent entre autres la modification de la Loi des salaires dans le système public et la réintroduction des tickets restaurants à compter du 1er janvier.

    Mineurs – Un mineur est décédé et deux autres ont été blessés, jeudi, à Lupeni, localité de la Vallée de Jiu, bassin minier du centre – ouest de la Roumanie. Le plafond de la galerie s’est écroulé, les équipes de sauvetage ayant mis 15 heures pour arriver aux trois mineurs bloqués dans la galerie. Huit des 11 membres de l’équipe avaient réussi à en sortir sains et saufs. Plusieurs enquêtes ont été ouvertes, y compris par le Parquet.

    Avions – La cérémonie officielle de réception de 3 nouveaux avions multi-rôle F 16 Fighting Falcon a eu lieu ce vendredi à la base aérienne 86 de Borcea, au département de Calarasi, dans le sud de la Roumanie. Cette reprise marque aussi la fin de la première étape de l’entrée en service des avions multi-rôle, exactement une année après l’arrivée des 6 premiers avions F 16 Fighting Falcon en Roumanie.

    Tennis – La joueuse de tennis roumaine Simona Halep, nr 2 WTA, s’est qualifiée aujourd’hui dans la demi-finale du tournoi de Pékin, après avoir eu raison de la Russe Daria Kassatkina, score 6-2, 6-2. Sa prochaine adversaire sera Jelena Ostapenko de Lettonie, qui a vaincu, elle, dans les quarts de finale la Roumaine Sorana Cîrstea. Rappelons-le, Simona Halep et Jelena Ostapenko ont disputé cette année la finale de Roland Garros, une finale remportée haut la main par la Lettone. Précisons aussi qu’après le tournoi de Pékin, Simona Halep a une nouvelle chance de monter sur la première place du classement mondial.

    Football – La sélection nationale de foot de Romanie a gagné jeudi à domicile le match contre le Kazakhstan, score 3 buts à 1, dans les préliminaires de la Coupe du Monde 2018 qui aura lieu en Russie. Toutefois, ce n’est qu’une victoire de palmarès parce les Roumain avaient déjà raté la qualification dans la compétition mondiale. Dimanche, la Roumanie jouera contre le Danemank. Notons que le match contre le Kazakhstan a marqué les débuts en tant qu’entraîneur de la sélection nationale de Cosmin Contra, qui a remplacé l’Allemand Christoph Daum.

    Météo – Il fait plutôt frais ce vendredi dans l’ouest, le nord et le centre de la Roumanie. En revanche, le soleil brille sur le sud et le sud-est où les températures sont plus élevées que la normale saisonnière. Les maximales de la journée iront de 10 à 26 degrés. Nous avons une belle journée ensoleillée et 21 degrés à midi à Bucarest.

  • Accident dans une mine de la Vallée de Jiu

    Accident dans une mine de la Vallée de Jiu

    A chaque fois qu’un accident se produit dans une mine, tout le pays reste les yeux rivés sur la télé pour voir ce qui s’y passe. Les Roumains suivent attentivement les opérations de sauvetage espérant qu’il n’y ait pas de victimes. Un scénario qui s’est répété, malheureusement, ce jeudi, lorsqu’une galerie s’est effondrée dans la mine de charbon de Lupeni, localité de la Vallée de Jiu, bassin minier du centre – ouest de la Roumanie. Trois mineurs, d’une équipe de 11 personnes, ont été bloqués sous la terre, à environ 500 mètres de profondeur. Une ample opération de sauvetage s’est étalée sur 15 heures d’effort soutenu, dans des conditions extrêmement difficiles, notamment en raison de l’instabilité accrue des roches. Des ambulances et hélicoptères du Service d’urgences et du ministère de la Défense ont été déployés sur place. A part les familles des mineurs et leurs collègues, le ministre de l’Energie, Toma Petcu se trouvait lui aussi à l’endroit de l’accident. Il a précisé que plusieurs enquêtes avaient été ouvertes, dont un dossier pénal sur cet accident du travail, afin d’en établir les causes et les éventuels coupables.

    Le ministre de l’Energie, Toma Petcu, précise : « Dans ce qui suit, nous attendons les enquêtes de l’Inspection territoriale du Travail et des Procureurs. Nous allons mener notre propre investigation, sans pourtant en communiquer le résultat avant les autorités compétentes dans le domaine. »

    L’épouse d’une gueule noire profite de l’occasion pour mentionner les salaires de misère de cette catégorie de salariés qui mettent quand même leur vie en danger à chaque fois qu’ils entrent dans une mine. Certes, tout le monde le sait, le travail dans une mine implique des risques, toutefois, « même les esclaves ne travaillent jadis dans les mêmes conditions que les mineurs roumains », affirme le père d’un mineur qui a participé aux opérations de secours.

    A leur tour, les syndicalistes du domaine pointent du doigt le manque de sécurité au travail, dû à l’état déplorable des galeries et des équipements utilisés, des outillages et des installations. Tout cela a été favorisé par le plan de fermer avant la fin 2018 la mine où s’est produit l’accident, Lupeni étant considérée comme une exploitation non rentable. D’ailleurs, plusieurs calendriers de fermeture des exploitations minières de la Vallée de Jiu ont été lancés ces 10 dernières années, la zone, sans pour autant être menés à bout, d’où un nombre record de graves accidents produits dans ces galeries. Précisons pour terminer que des milliards de tonnes de charbon ont été extraites depuis l’ouverture en 1859, à Petrila, de la première mine de la Vallée de Jiu. (Trad. Valentina Beleavski)

  • UE şi ajutorul de stat

    UE şi ajutorul de stat

    Comisia Europeană a autorizat sprijinul de aproape 450 de milioane de lei echivalentul a circa 100 de milioane de euro, acordat de statul român pentru închiderea a două mine de cărbune neviabile din Valea Jiului, Lonea şi Lupeni. Un comunicat al Reprezentanţei de la Bucureşti a Executivului comunitar precizează că acesta a constatat că măsura respectă regulile europene, ţările membre putând acorda ajutor de stat la închiderea minelor, pentru atenuarea impactului social şi asupra mediului. Mai mult de jumătate din sumă va fi folosită pentru lucrători – adică pentru salarii compensatorii şi programe de reconversie profesională, pentru lucrările necesare în subteran, reabilitarea arealului şi recultivarea terenurilor. Restul banilor vor fi folosiţi pentru a acoperi pierderile de producţie până la închidere – adaugă Reprezentanţa Comisiei Europene la Bucureşti.


    Minele Lonea şi Lupeni sunt unităţi ale Complexului Energetic Hunedoara, iar închiderea lor trebuie realizată până cel târziu la sfârşitul anului 2018. Măsura survine după ce, luna aceasta, justiţia decisese ieşirea din insolvenţă a Complexului, situaţie juridică în care s-a mai aflat şi în prima jumătate a anului în curs. În cadrul CEH lucrează mii de angajaţi, la două termocentrale şi la patru mine de cărbune. Închiderea a două dintre acestea e doar un episod din lunga agonie a mineritului românesc. Privilegiată, din raţiuni deopotrivă pragmatice, dar şi ideologice, în perioada dictaturii comuniste, industria minieră asigura vitalitatea unei economii energofage. Minerii erau excelent plătiţi în raport cu alte categorii socio-profesionale, dar munca foarte grea din subteran, alienantă şi abrutizantă, îi transformase într-o imprevizibilă masă de manevră. În 1977, în Valea Jiului s-a înregistrat una dintre puţinele revolte colective împotriva regimului comunist din epocă. Dar, 13 ani mai târziu, imediat după Revoluţia anticomunistă, tot din Valea Jiului plecau spre Bucureşti trenuri ticsite cu mineri, partizani ai preşedintelui de stânga Ion Iliescu, care acuzase o tentativă de puci de extrema dreptă. Doar două zile, 14 si 15 iunie 1990, au stăpânit minerii Capitala, unde s-au substituit oricărei autorităţi legale. Suficient să lase in urma lor 700 de răniţi, peste o mie de oameni reţinuţi abuziv şi cel puţin şase morţi. Universitatea profanată, sediile partidelor de opoziţie şi ale ziarelor independente devastate completează tabloul invaziei minereşti. Demonizată, atunci, în restul ţării, Valea Jiului nu şi-a regăsit încă identitatea în cele aproape trei decenii care-au trecut.



    Nerentabil şi poluant, sectorul minier şi-a restrâns, progresiv, ponderea, încă de pe la jumătatea anilor 90, când guvernul de coaliţie, cu dominantă creştin-democrată, a închis primele mine. Cu salariile compensatorii primite, o parte dintre mineri au încercat să-şi deschidă mici afaceri, mulţi s-au întors în locurile de baştină, departe de Vale, alţii au plecat să muncească în străinătate. Scenarii pe care, spun experţii, le vor urma şi disponibilizaţii de la Lonea şi Lupeni.

  • Mines de sel de Roumanie

    Mines de sel de Roumanie

    De nos jours, les mines de sel roumains attirent un nombre croissant de touristes. Les propriétés de l’air salin ont fait apparaître la spéléothérapie et la climatothérapie, des cures se déroulant dans l’environnement souterrain. Nous descendons aujourd’hui sur les ondes dans les mines de sel les plus connues de Roumanie.



    Notre périple souterrain commence dans le comté de Bacău, dans la station de Târgu Ocna. L’exploitation moderne du sel y a commencé dans les années ’60. Pourtant, le tourisme a pris un nouvel essor en 2005, avec la mise en valeur de l’église Sainte Barbe — explique Ilie Ion, directeur de la mine de sel de Târgu Ocna : « Cette église a été érigée en 1992, dans les profondeurs de la mine de sel, à l’initiative des mineurs. Les travaux de construction ont duré 6 mois. Par sa position et son architecture originale, elle fut, à l’époque, un monument unique en Roumanie et en Europe. Pour la voir, le touriste doit descendre 240 mètres. Un lac salé et une chute d’eau ajoutent du charme à un décor déjà fascinant. 13 mille m² y ont été aménagés pour le tourisme et les loisirs. Cet espace offre des conditions optimales non seulement pour le traitement des troubles respiratoires, mais aussi pour la détente ou la pratique de différents sports, les visiteurs disposant de mini terrains de foot, de terrains de basket, de tennis et de tables de ping-pong. Des aires de jeux ont été aménagées pour les enfants, dotées de balançoires et de toboggans. Nos petits visiteurs disposent également de jeux mécaniques ou de billard et d’espaces destinés aux mini-vélos. Nous envisageons également de créer des espaces pour le skateboard et les patins à roulettes. »



    Les touristes de passage à Târgu Ocna peuvent également visiter le Musée du Sel. Ilie Ion, directeur de la mine : « Le musée offre des informations sur les débuts et l’évolution de l’exploitation du sel, ainsi que sur sa transformation, sur ses vertus thérapeutiques. L’extraction du sel y remonte à 1380 et le musée présente des objets extrêmement intéressants liés à cette activité. Au fil du temps, des touristes de tous les continents ont visité la mine et ils ont été tous très impressionnés, car peu d’étrangers ont eu l’occasion de descendre dans une telle mine. Nous en avons plusieurs en Roumanie et nous les trouvons intéressantes. Pourtant, pour les touristes étrangers c’est une expérience extraordinaire et ils partagent avec beaucoup d’émotion leurs impressions après une visite souterraine. J’ai eu l’occasion de m’entretenir avec des touristes japonais, par exemple. Et si l’interprète ne réussissait pas à traduire entièrement leur vive émotion, j’ai été touché par l’expression de leur visage et par ce que je lisais dans leur regard. »



    Dirigeons-nous maintenant vers le nord de la Roumanie, dans le comté de Suceava, pour faire une halte à Cacica. Cette localité a été mentionnée pour la première fois dans un document du 18e siècle. L’administration autrichienne y a ouvert une exploitation intensive et efficace du sel. Celui-ci était extrait sous forme de blocs, par découpage manuel. La première chambre d’exploitation du sel gemme a été créée à une profondeur de 27 mètres. Ioana Croitoriu, guide à Cacica, explique : « En polonais, « kaczika » signifie « canard», car cette localité était entourée de marais et de jonchaies peuplés de centaines de canards sauvages. C’est pourquoi les Polonais lui ont donné ce nom. L’exploitation industrielle des gisements de sel gemme de Cacica remonte à 1791, année où la Bucovine, contrée du nord-est de la Roumanie, était annexée par l’Empire austro-hongrois. De l’avis des spécialistes, la mine de Cacica assurerait nos réserves de sel pour 500 ans encore. Une petite chapelle orthodoxe s’y trouve, avec quelques sculptures en sel. A 38 mètres de profondeur il y a un lac artificiel, au bord duquel se forment des cristaux de sel. On peut y voir encore la petite barque que les mineurs utilisaient pour promener leurs enfants et petits-enfants pendant leurs heures de loisirs. A 41 mètres de profondeur se trouve une salle de bal, où les mineurs organisaient des bals et des fêtes. La salle « Agripa Popescu », porte le nom du premier directeur général de la mine. Ensuite, on descend à 75 mètres de profondeur. C’est là que se trouvait autrefois un entrepôt à fromage. L’endroit offrait une température constante, le fromage étant très bien conservé à 10°. A présent, un terrain de sport y a été aménagé à l’intention des visiteurs — pour la plupart des personnes souffrant d’asthme et d’autres troubles respiratoires, qui y viennent pour la cure. Des aires de jeux pour les enfants ont également été aménagées. »



    Nous faisons aujourd’hui une dernière halte en Transylvanie. Les habitats anciens y datant de 1100, Praid est une bourgade relativement « nouvelle », sa première attestation documentaire remontant à 1564. Pourtant, c’est la plus grande commune du comté de Harghita, connue notamment pour sa mine de sel — véritable ville souterraine. Selon les chiffres les plus récents fournis par l’administration de cette dernière, le nombre de touristes de passage à Praid a augmenté de 35 mille par rapport à la même période de l’année dernière. 3 à 4 mille personnes descendent dans la mine chaque jour. Le paysage souterrain est impressionnant — estime Seprodi Zoltan, directeur de la mine de sel de Praid : « L’on y entre en bus. Le véhicule suit un trajet de 1,2 km, descendant une centaine de mètres. De là, les touristes continuent leur visite à pied. On descend 240 marches pour arriver à une pièce plus ancienne, comportant un ensemble de galeries qui mesurent 600 mètres de long et 20 mètres de large et qui s’élèvent à une hauteur de 14 mètres. Ces dimensions sont impressionnantes. Environ 80% des touristes viennent de Hongrie. S’y ajoutent des touristes de tous les pays européens et même d’Asie. Nous avons également eu des groupes d’Amérique. Ils sont tous étonnés, émerveillés. »



    Ne ratez donc pas ces destinations pas comme les autres et laissez-vous surprendre par leur beauté. (trad. : Dominique)

  • Petrila, ville de mineurs

    Petrila, ville de mineurs

    Une petite ville minière, dont la vie tourne autour de la houille. Cest presque tout ce quun Roumain vous dira sur Petrila, cette localité située sur la vallée de la rivière Jiu, au centre de la Roumanie. Toutefois, Petrila na pas été créée de toutes pièces, pour les besoins de lindustrie, comme souvent cest le cas. Attestée pour la première fois au 15e siècle, elle a toute une histoire derrière, certes liée à lexploitation “de la pierre noire qui brûle”, comme le charbon est appelé dans des documents de jadis. Une pierre qui fait le bonheur mais aussi, parfois, le malheur de lendroit. Tout comme les autres villes minières de la Vallée du Jiu, Petrila na pas échappé à la crise, elle a été frappée par les difficultés de rentabilité du secteur minier qui ont conduit à des licenciements massifs et à une baisse générale du niveau de vie dans la région. Et pourtant, la vie continue avec des personnes et des structures persuadés que les gens de la région ont un avenir sur place, tout en assumant le passé.


    Tel est le pari de lexposition “Mines, mineurs, charbon à Petrila, organisée par lAssociation culturelle “Les amis de la France” de la ville. Ionel Zmau, président de cette association, explique des circonstances de la création de cette exposition,


  • Rejet de la Loi des mines

    Rejet de la Loi des mines

    En tant que forum décisionnel, la Chambre des Députés a rejeté le projet de modification de la Loi des mines le lendemain de son rejet au Sénat. Ce projet stipulait, entre autres, que les exploitations de Roumanie ne pouvaient pas utiliser des technologies affectant l’environnement mais les obligeait, en même temps, d’utiliser les méthodes d’exploitation les plus avancées. Le groupe parlementaire du Parti National Libéral, formation faisant partie de la coalition au pouvoir, a soutenu le projet. Le député Ràzvan Mironescu estime que le texte est bénéfique tant pour les citoyens que pour l’économie: « Notre démarche est de nature à décourager les pratique illégales, immorales ou dangereuses de l’industrie d’extraction et favoriser l’exploitation sure, efficace et profitable des ressources naturelles de notre pays en utilisant les technologies les plus récentes de chaque domaine. »



    En échange, le projet de modification de la Loi des mines a été la cible des critiques des partis d’opposition. Parmi ceux qui ont voté contre il y a eu le député du Parti Démocrate Libéral Lucian Bode: « Dans ce projet législatif, ni même l’eau de source, malheureusement, n’échappe aux impôts du Gouvernement. Une redevance en est comprise. Nous ne sommes pas d’accord, non plus, avec les amendements qui portent sur le fond forestier, aux voies d’accès et ces exemples pourraient continuer. »



    La Loi des mines ne sert pas les intérêts de la Roumanie et des Roumains — a affirmé le député Vasile Oajdea pour continuer: «Selon nous , cette loi est dangereuse. Elle frappe les intérêts du citoyen simple, ne garantit pas le droit à la propriété, même plus, elle sert les intérêts des étrangers, des grandes corporations et, pour cette raison, je penses qu’elle ne doit pas être adoptée. »



    Récemment, le journal ROMANIA LIBERA expliquait que les nouvelles stipulations du projet de la Loi des mines devrait couvrir également, l’activité de Rosia Montanà. En dépit du fait qu’aucune référence explicite n’y existe vis-à-vis de cette exploitation du centre du pays, ni même dans le titre — remarquait le journal- le projet réglementait de façon implicite l’extraction des minerais d’or et d’argent « d’intérêt publique particulier » définies comme « projets par lesquels on extrait chaque année au moins cinq tonnes d’or ».



    Or, une seule exploitation fait partie à 100% de cette catégorie — celle de Rosia Montanà où la société canadienne GOLD CORORATION estime un production annuelle de 15 tonnes en utilisant une quantité impressionnante de cyanures. Tant à Bucarest qu’à Cluj Napoca( ouest) plusieurs institutions publiques ont été occupées par les militants écologiques et par les représentants des organisations civiques qui s’opposaient au projet de la Loi des mines, appréciant que celui-ci donne le feu vert à des exploitations telles Rosia Montanà.



    Depuis septembre dernier, chaque dimanche, au centre de la capitale ont lieu des manifestations des opposants du projet minier afin de contester les préconisées activités d’exploitation dans la zone des monuments archéologique , de détournement de cours d’eau ou d’expropriations forcées…(trad. : Costin Grigore)

  • Dossier Rosia Montana

    Dossier Rosia Montana

    Il y a un mois, le Parlement roumain avait institué une commission spéciale chargée d’analyser le projet de loi visant l’exploitation du. gisement d’or de Rosia Montanà (au centre). Cette exploitation est l’une des plus controversées, vu l’impact sur l’environnement de l’extraction par des cyanures. C’est, en réalité, la raison principale pour laquelle l’ouverture de la mine par la compagnie canadienne GOLD CORPORATION a été bloquée pendant de longues années par les autorités roumaines qui n’ont pas donné le feu vert d’environnement. Dans la tentative d’établir la vérité et de médier entre les adeptes et les ennemis du projet la commission parlementaire a procédé à une série d’audiences des spécialistes d’environnement, de géologie, d’extraction minière, de culture et d’économie.



    A partir d’aujourd’hui, la commission discute par articles la projet de loi concernant Rosia Montanà déposé au Parlement, le texte final devrant réglementer l’exploitation aurifère des Carpates Occidentaux . La commission a audité mardi, pour la seconde fois, le ministre des grands projets, Dan Sova. Il a du répondre à plusieurs questions, depuis l’observation des normes de protections de l’environnement et de protection des objectifs archéologiques, jusqu’à la solution des expropriations de la zone. Sova a présenté les avantages économiques du nouveau projet de Rosia Montanà par rapport aux anciennes propositions et a certifié que l’Etat roumain surveillerait l’exploitation aurifère.



    L’ancien ministre de l’environnement représentant de l’Union Démocrate des Hongrois de Roumanie, Attila Korodi, a attiré, néanmoins, l’attention sur le fait que le gouvernement ne s’appuie pas sur des données certaines mais seulement sur les données fournies par ROSIA MONTANA GOLD CORPORATION soulignant qu’en dépit des affirmations de la société canadienne , la méthode employant des cyanures de l’entier gisement n’est utilisée nulle part en Europe.



    A son tour, le sénateur du Parti National Libéral, Dumitru Popescu Dian, dont le parti conteste le projet de loi, même si c’est l’œuvre d’un exécutif auquel il participe, a reproché au gouvernement le fait que par ce projet une compagnie privée peut procéder à des expropriations ceci étant, selon lui, un précédent dangereux.



    En réplique, le ministre Sova déclare que les expropriations ne se feront qu’à travers des arrêts du gouvernement et que la raison pour laquelle la compagnie privée a été déléguée à faire des expropriations est que celle-ci agit d’une façon plus efficace que l’administration publique. Et Sova de poursuivre qu’aucune décision ne sera prise au sein de la compagnie sans l’accord de la partie roumaine et qu’il n’y a pas de danger de perte économique. On attend dans quelques jours l’achèvement du rapport de la commission spéciale et la présentation du texte devant le Parlement de Bucarest. (trad. : Costin Grigore)