Tag: mission

  • Nachrichten 07.12.2013

    Nachrichten 07.12.2013

    Bukarest: Bei Protesten von mehreren Hundert Menschen gegen die geplante Schiefergasförderung im ostrumänischen Pungeşti (Landkreis Vaslui) ist es am Samstag erneut zu Zusammestö‎ßen mit der Polizei gekommen. Als die Protestierenden das Gelände betreten wollten, wo Arbeiter des amerikanischen Unternehmens Chevron eine Bohranlage errichteten, griff die Polizei ein. Ein junger Mann wurde dabei verletzt. 22 Demonstranten wurden festgenommen und von der Polizei verhört, gegen 14 wurde Anzeige wegen Hausfriedensbruch erstattet, 7 Protestler erhielten eine Geldstrafe. Chevron kündigte indessen an, seine Aktivität in Pungeşti bis auf weiteres auszusetzen und erstattete Anzeige gegen die Demonstranten wegen Eigentumsbeschädigung. Auch in Bukarest demonstrierten am Abend rund 200 Menschen am Universitätsplatz in einer Solidaritätskundgebung gegen die Schiefergasförderung. Ein Aufmarsch zum Regierungsgebäude soll Medienberichten zufolge von den Ordnungskräften verhindert worden, dabei sei es zu Rangeleien gekommen.



    ROM: Rumänien unterzeichnete am Freitag abend in Mailand den Vertrag über die Teilnahme an der Weltausstellung Expo 2015, die vom 1. Mai bis 31. Oktober 2015 in Mailand stattfinden wird. Der rumänische Pavillon wird im Zentrum der Ausstellung errichtet, in der Nähe der Pavillons Italiens, Mexikos und Frankreichs. Die Beteiligung Rumäniens mit gro‎ßangelegten Events an der sechsmonatigen Weltausstellung Expo 2015 in Mailand wird die bilaterale Kooperation mit Italien, die auf einer konsolidierten strategischen Partnerschaft beruht, verstärken, steht in einem Communique des Bukarester Au‎ßenministeriums. 139 Länder haben bis jetzt ihre Teilnahme an der Expo 2015 in Mailand angekündigt. Als Thema für die Expo 2015 wurde Feeding the Planet, Energy for life (Den Planeten ernähren, Energie für das Leben) gewählt. Es soll Technologie, Innovation, Kultur, Tradition und Kreativität mit den Themen Ernährung und Essen verbinden und knüpft damit an Themen an, die bereits in früheren Weltausstellungen eine Rolle gespielt hatten (z. B. bei der Expo 2008 in Saragossa mit dem Thema Wasser und nachhaltige Entwicklung). Angesichts neuer globaler Szenarien und aktueller Probleme liegt der Schwerpunkt auf dem Recht aller Menschen auf gesunde und ausreichende Ernährung.



    PARIS: 20 rumänische Polizeibeamte sind seit Anfang der Woche nach Paris versetzt worden, um ihre französischen Kollegen im Kampf gegen Verbrechen zu unterstützen. Dies meldete am Samstag die Prefecture de Police der französischen Hauptstadt. Während der Winterfeiertage werden die rumänischen Polizisten zusammen mit ihren französischen Kollegen auf den Stra‎ßen von Paris für Ordnung und Sicherheit in den touristischen und Einkaufszonen sorgen. Diese Aktion schlie‎ßt sich der Mission der 10 rumänischen Verbindungsoffiziere an, die das ganze Jahr über in Paris tätig waren. Die französische Prefecture de Police präzisierte, die Zahl der in Paris festgenommenen Rumänen sei seit Anfang dieses Jahres um 5% zurückgegangen. Auch die Zahl der festgenommenen rumänischen Minderjährigen sei um 8% kleiner geworden. 2013 führten rumänische Polizeibeamte Missionen im Rahmen der internationalen Kooperation auch in Gro‎ßbritannien, Italien, Belgien, in der Schweiz, Finnland, Österreich und Bulgarien.


  • La semaine du 22 au 27 juillet

    La semaine du 22 au 27 juillet

    La visite en Espagne du premier ministre roumain, Victor Ponta



    Le premier ministre roumain, Victor Ponta, a effectué en début de semaine une visite en Espagne au cours de laquelle il a rencontré son homologue madrilène, Mariano Rajoy. Les pourparlers ont porté notamment sur le renforcement des rapports bilatéraux, l’encouragement des investisseurs espagnols et l’identification de plusieurs mesures visant à la protection et à l’insertion de la communauté roumaine, la plus forte d’Espagne. A l’issue de son entrevue avec le premier ministre Rajoy, Victor Ponta a déclaré que Bucarest et Madrid ont de nombreux projets communs et souhaitent développer d’autres partenariats aussi. Précisons qu’au premier trimestre de l’année en cours, les relations commerciales ont connu une majoration de 15% par rapport à la même période de 2012. Le premier ministre roumain a tenu à souligner que l’Espagne n’avait jamais mis en place une politique de discrimination à l’égard des Roumains. Avant d’être reçu par le roi de l’Espagne, Juan Carlos, Victor Ponta a rencontré des représentants de la forte communauté roumaine de Madrid et des alentours.




    La mission conjointe du FMI, de la Commission européenne et de la Banque mondiale poursuit sa visite à Bucarest



    Une mission commune du FMI, de la BM et de la CE se trouve à Bucarest dans le contexte où la Roumanie souhaite conclure un nouvel accord de précaution. Notons qu’en juin dernier elle a finalisé avec succès le précédent accord du même type. Les experts internationaux ont déjà discuté avec les représentants des ministères de l’Economie et des Finances, avec les syndicats, et avec les représentants des compagnies d’utilités du secteur énergétique. La délégation a eu également une entrevue avec le chef de l’Etat, Traian Basescu. La consolidation macroéconomique, la nouvelle loi des salaires dans la fonction publique et les réformes structurelles devraient être les principaux objectifs de cet accord, a affirmé le chef de l’Etat roumain. Sur cette liste de priorités figurent également la croissance économique et la création de nouveaux emplois. Les discussions de Bucarest prennent comme point de départ une croissance du PIB de 1,9% avant la fin de l’année. Précisons que le FMI et les autorités roumaines avaient initialement tablé sur une croissance de 1,6% dans le courant 2013 et de 2% en 2014.




    La privatisation de la compagnie de fret ferroviaire CFR Marfă



    Le premier ministre roumain Victor Ponta a informé que son gouvernement avait approuvé les documents de la privatisation de la compagnie de fret ferroviaire CFR Marfă. En juin dernier, la société Grup Feroviar Român (Groupe ferroviaire roumain) — le plus grand transporteur ferroviaire privé de fret de Roumanie et composante de la holding Grampet — avait gagné l’appel à candidatures pour la privatisation de la CFR Marfă ; son offre — 202 millions d’euros pour le paquet majoritaire de 51% des actions et environ 200 millions d’euros d’investissements. Le premier ministre Victor Ponta a ajouté que cette privatisation pourrait être annulée en l’absence de l’avis favorable du Conseil suprême de défense du pays ; toutefois, a encore précisé le chef du gouvernement de Bucarest, un plan B existe et consiste en l’installation d’un manager privé à la tête de CFR Marfă et la restructuration de la compagnie d’Etat afin de la rendre profitable. La première réunion de la rentrée du Conseil suprême de défense devrait avoir lieu en septembre, mais le porte-parole de l’Administration présidentielle a indiqué que le Conseil ne s’exprimait pas au sujet de contrats de privatisation. Les syndicats dénoncent la passivité des autorités pour sauver la compagnie et les emplois et menacent de déclencher la grève.




    Rapport de l’Economist Intelligence Unit



    Le cabinet britannique d’analyse et de conseil Economist Intelligence Unit estime que la Roumanie enregistrera, cette année, une croissance économique de 2,4%, grâce à une bonne récolte et à l’augmentation de ses exportations vers des pays non-communautaires. La production industrielle augmentera elle aussi de 3,6% en 2013. Les mêmes experts considèrent que l’inflation sera de 3,4% et que la monnaie nationale roumaine (le leu) arrivera à un taux de change de 4,65 lei pour un euro et de 3,55 lei pour un dollar américain. L’EIU souligne dans son rapport que d’ici 2017, la croissance annuelle ira en s’accélérant, sans pour autant dépasser les 4%. Dans le même temps, la firme britannique attire l’attention qu’un choc externe ou une récession plus profonde dans la zone euro pourraient impacter sur ses estimations concernant la Roumanie. Les Roumains eux-mêmes ont une perception stable de la situation de l’économie nationale, mais les réponses positives sont peu nombreuses, indique le plus récent Baromètre européen. Les principaux problèmes auxquels la population affirme devoir faire face actuellement sont la situation économique (44%), la hausse des prix (35%) et le chômage (33%)…




    Bonnes évolutions des équipes roumaines de football dans les Coupes européennes



    Trois équipes roumaines de football – Petrolul Ploieşti, Pandurii Tg. Jiu et Astra Giurgiu — se sont qualifiées pour le troisième tour de l’Europa League, en éliminant, respectivement, le Vikingur Gota (îles Feroe), le Levadia Tallinn (Estonie) et l’Omonia Nicosie (Chypre). Le tirage au sort a décidé que, lors de la prochaine étape, Petrolul Ploiesti affrontera le Néerlandais Vitesse Arnhem, tandis que Pandurii Tg. Jiu et Astra Giurgiu auront comme adversaires respectivement le Hapoel Tel-Aviv (Israël), et le Slovaque AS Trencin. L’équipe championne de Roumanie, Steaua Bucureşti, a éliminé à son tour la championne macédonienne Vardar Skopje et s’est qualifiée pour le troisième tour préliminaire de la Ligue des champions, où elle affrontera les Géorgiens de Dinamo Tbilisi. (trad. : Ioana Stancescu, Ileana Taroi)

  • La Roumanie et la sécurité internationale

    La Roumanie et la sécurité internationale


    La Roumanie va envoyer 10 militaires pour participer à la mission d’instruction des forces armées du Mali, pays africain confronté avec une rébellion islamiste. Cette décision a été prise par le Conseil Suprême de Défense de la Roumanie selon lequel la contribution roumaine avec des instructeurs et personnel d’état majeur à cette mission est conforme aux obligations qui lui incombent en sa qualité d’Etat membre de l’Union Européenne et de l’appui exprimé vis-à-vis des démarches de l’Union pour stopper l’activité terroriste et de crime organisée.






    La mission de l’UE au Mali qui implique quelques 500 personnes de 15 Etats pourrait devenir intégralement opérationnelle à la mi-mars prochain — déclarait, récemment, le ministre français de la Défense. Pendant une première année, 650 soldats maliens suivront des cours d’instruction et formation. La France a lancé l’opération militaire au Mali le 11 janvier dernier pour bloquer l’offensive vers le sud des groupes militaires islamistes qui contrôlaient le nord du pays depuis, déjà, plus de neuf mois. Depuis, les grandes villes du nord, Gao et Tombouctou ont été reconquis tandis qu’à Kidal, dans le nord-est, les soldats français contrôlent l’aéroport, la ville étant sécurisée par quelques 1800 militaires du Tchad.




    Un premier bilan des combats communiqué par les autorités françaises annonce que plusieurs centaines de combattants islamistes ont été tués pendant les plus de trois semaines d’interventions militaires. Paris préconise le début de son retrait militaire au mois de mars prochain si les évolutions du terrain le permettent. La France qui a engagé presque 4000 soldats au Mali soutient que c’est aux troupes africaines qu’incombe la tâche de garantir la sécurité, l’intégrité territoriale et la souveraineté de cet Etat du nord-est africain. Cette force africaine devrait comprendre en fin de compte quelques 6000 soldats dont 2000 sont, déjà, au Mali. La première phase de l’opération française a été réalisée de façon efficace en bloquant les groupes terroristes et en reconquérant les villes du nord — dit la France, sans, pour autant, minimaliser les risques qui persistent dans la région.




    Quant à la Roumanie, sa participation à la mission de l’UE confirme son engagement assumé dans la lutte antiterroriste et dans l‘assurance de la sécurité internationale aux côtés de ses partenaires européens et euro-atlantiques. Les événements tragiques du mois de janvier ont fait la preuve, une fois de plus, que le terrorisme peut frapper n’importe où sur la planète, raison pour laquelle les foyers terroristes doivent être éteintes partout.




    Rappelons que des dizaines d’employés étrangers travaillant pour une exploitation de gaz en Algérie, dont deux Roumains, sont tombés victimes d’une ample prise d’otages fomentée par un groupe terrorise en tant que représailles vis-à-vis de l’intervention française au Mali. (trad.: Costin Grigore)

  • La semaine du 14 au 20 janvier

    La semaine du 14 au 20 janvier


    Une délégation conjointe FMI-l’UE-Banque Mondiale se trouve à Bucarest pour une nouvelle mission d’évaluation


    Les experts du FMI, de l’UE et de la Banque Mondiale sont à Bucarest jusqu’au 29 janvier pour une nouvelle mission d’évaluation de l’accord préventif estimé à environ 5 milliards d’euros, conclu avec la Roumanie au printemps 2011. C’est la première visite en Roumanie des bailleurs de fonds après le scrutin législatif de décembre et la constitution du nouveau gouvernement de centre-droit dirigé par le premier ministre Victor Ponta. A l’agenda des réunions figurent les récentes évolutions de l’économie roumaine, le projet du budget 2013, les politiques monétaires menées par la Banque centrale et la manière dont le système bancaire peut résister aux éventuels chocs provenant de l’extérieur.


    Les négociations s’annoncent difficiles, étant donné que Bucarest se confronte à certains retards, notamment pour ce qui est de la privatisation de grandes entreprises d’Etat et la restructuration efficace des dépenses dans le secteur sanitaire. Les autorités roumaines souhaitent obtenir un délai de quelques mois afin de respecter les engagements assumés dans le cadre de cet accord. Les représentants du cabinet de Bucarest parleront aux bailleurs de fonds sur l’impact de certaines mesures comme la majoration du SMIC de 155 euros à 177 euros et la réduction de la TVA appliquée aux produits alimentaires de base.


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    Recommandations de la Banque Mondiale pour la Roumanie


    La Roumanie doit continuer les réformes structurelles, sans se hâter d’adopter l’euro avant de réaliser une convergence réelle avec les économies européennes. Cette recommandation vient de la part du directeur de la Banque Mondiale pour la Roumanie, François Rantrua, qui l’a émise au cours d’une conférence de presse donnée à Bucarest. Et M. Rantrua d’ajouter que la BM avait remarqué les bons résultats enregistrés dernièrement par la Roumanie dans la réduction du déficit budgétaire, le contrôle de l’inflation et l’augmentation de ses exportations ; le responsable de la BM a cependant attiré l’attention que la reprise économique a besoin d’investissements, notamment dans les transports et le secteur énergétique.


    La Roumanie doit relever d’autres défis aussi : rééquilibrer le budget de la Sécurité sociale, réformer le secteur des soins de santé, introduire l’efficience dans l’activité des entreprises à capital d’Etat, améliorer la collecte des recettes au budget de l’Etat, accroître le taux d’absorption des fonds européens.


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    Débats autour du financement du système roumain de santé


    Réformer le système national de santé est une priorité du gouvernement de Bucarest ; la preuve — le projet de budget pour 2013 prévoit une majoration de 30% des fonds alloués à ce secteur. Le ministre de tutelle, Eugen Nicolăescu, a annoncé plusieurs mesures en ce sens, dont la suspension des fonds de la CNAM pour les hôpitaux privés ou encore l’abandon de la gestion des établissements hospitaliers départementaux par les pouvoirs locaux.


    Le mécontentement exprimé par les directions des hôpitaux et par la population ont déterminé le ministre à faire d’autres précisions. Il a fait savoir qu’une décision serait prise au moment de l’approbation, par le gouvernement, du contrat-cadre sur 2013 destiné à ce secteur. Pour ce qui est de l’éventuel conflit d’intérêts qui pourrait frapper les médecins travaillant en même temps dans les secteurs public et privé, le ministre Eugen Nicolăescu a déclaré qu’aucune décision n’avait été prise.


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    La Roumanie réagit à la crise du Mali et à la prise d’otages en Algérie


    La communauté internationale connaît une nouvelle crise, cette fois-ci au Mali, pays confronté à une amplification des actions des groupes terroristes qui risquent de s’étendre et de déstabiliser toute la région. Une réunion extraordinaire provoquée par cette crise a eu lieu aussi à Bruxelles, où les ministres des Affaires étrangères de l’UE ont décidé de créer une mission de formation et de réorganisation de l’armée malienne, dont le mandat s’étendra sur 15 mois. La mission des 200 instructeurs militaires et 250 agents de sécurité sera de former les forces du gouvernement de Bamako pour lutter contre les groupes rebelles islamistes.


    Le ministre roumain des Affaires étrangères, Titus Corlăţean, a affirmé que la Roumanie pourrait participer à la mission militaire européenne au Mali. Le responsable roumain a fermement condamné les actions des groupes terroristes du Mali et a transmis un message soutenant la décision de la France d’intervenir avec des forces armées pour rétablir l’ordre.


    Par ailleurs, Bucarest a confirmé que la Roumanie figure parmi les pays dont les ressortissants ont été pris en otage en Algérie par un groupement affilié à Al-Qaïda en représailles à l’intervention aérienne et terrestre des militaires français contre les bastions islamistes du Mali. Le ministère roumain des Affaires étrangères a annoncé la constitution d’une cellule de crise chargée de la prise d’otages en Algérie. (aut. : Andreea Bojoi ; trad. : Ileana Taroi, Alex Diaconescu)