Tag: Monarchie

  • A la Une de la presse roumaine 18.12.2014

    A la Une de la presse roumaine 18.12.2014

    Plusieurs sujets font débat ce jeudi dans la presse écrite roumaine – le recul de la monarchie dans les préférences des Roumains visant les régimes politiques, leur qualité de vie, ainsi que la création et la dissolution dinstitutions publiques.


  • Le prince Charles-Antoine de Hohenzollern-Sigmaringen

    Le prince Charles-Antoine de Hohenzollern-Sigmaringen

    Karl Anton Joachim Zephyrin Friedrich von Hohenzollern-Sigmaringen est né 7 septembre 1811 à Krauchenwies, dans l’actuel land de Bade-Württemberg, et il est mort le 2 juin 1885. Marié à Josephine Friederike Luise de Bade, fille de Karl, grand-duc de Bade, il a eu 6 enfants, dont le 3e allait être le futur roi de Roumanie, Carol Ier. Le 4e enfant, Anton, est mort en 1866, à l’âge de 25, dans le combat de Königgrätz, pendant la guerre austro-prusienne. D’orientation libérale, Karl-Anton a été le chef de la Maison de Hohenzollern-Sigmaringen et premier ministre de la Prusse du 6 novembre 1858 au 12 mars 1862.



    Charles-Antoine a joué un rôle des plus importants dans toute la carrière politique du futur roi Carol Ier de Roumanie. Il a conseillé son fils dès le début de son règne et l’a secondé durant les moments difficiles que celui-ci a traversés : la crise dynastique de 1870, la guerre d’indépendance de la Roumanie de 1877-1878, la reconnaissance internationale de la Roumanie comme Etat souverain. C’est toujours Karl-Anton qui a plaidé la cause de la Roumanie en Allemagne, qui a conseillé Carol dans la gestion des intérêts des grandes puissances telles l’Allemagne, la Russie, l’Empire Ottoman et l’Angleterre.



    Ainsi, le 15/27 août 1878, le prince Charles-Antoine écrivait-il a son fils une lettre l’exhortant à faire preuve de sagesse dans sa politique envers la Russie: « La réconciliation avec la Russie devrait être le sujet le plus pressant. Une relation d’inimitié avec cet Etat voisin serait un éternel danger et entraverait le développement intérieur. Pour hostiles que les esprits pourraient demeurer envers la Russie, les amis sincères de la Roumanie ne sauraient ne pas lui conseiller de trouver un arrangement supportable. »



    L’historien Sorin Cristescu, éditeur et traducteur des lettres personnelles adressées par le roi Carol Ier aux membres de sa famille et des rapports diplomatiques austro-hongrois et allemands directement liés à l’activité du roi, parle du rôle extrêmement important joué par Karl-Anton. « Dès que le problème d’assumer la couronne des Principautés roumaines unies s’est posé pour Carol, Charles-Antoine de Hohenzollern a guidé son fils. Il avait été premier ministre de Prusse — un premier ministre honorifique, certes, il se trouvait à la tête d’un parti libéral qui rêvait de l’unification de l’Allemagne, mais réalisée comment ? La Prusse aurait dû devenir un pays des libertés démocratiques et du progrès scientifique et technique, de sorte que les autres Etats allemands finissent par lui demander de s’unir à elle. Ce n’était pas une solution réaliste. La preuve : Charles-Antoine et son parti n’ont pas gardé le pouvoir pendant longtemps. C’est Bismarck qui a donné la solution de l’époque : par le fer et le sang. Jusqu’à sa mort, survenue en 1885, Charles-Antoine a guidé son fils. Pendant ces 15 premières années de son règne, il lui a donné cette clé d’un bon gouvernement : comment amener chaque famille de boyards, à tour de rôle, au pouvoir. Ce fut là son principal secret. On le sut tout de suite et, déjà en janvier 1867, le Parlement roumain décerna à Charles-Antoine le titre de citoyen d’honneur de la Roumanie. C’était un défi à l’adresse des puissances étrangères, qui estimait que pour régner en Roumanie, on devait être né de parents roumains. On peut dire que Charles-Antoine s’est trouvé à la tête de la Roumanie, aux côtés de son fils, c’est certain. Pourtant, ce n’était pas quelque chose d’unique, à l’époque. En 1887, on assistait en Bulgarie à l’avènement du prince Ferdinand de Saxe-Cobourg-Koháry, dont la mère était Clémentine d’Orléans. Celle-ci a accompagné son fils et l’a guidé jusqu’à sa mort, en 1910. Ces deux parents ont toujours été très attachés à leurs enfants et les résultats, aussi bien en Roumanie qu’en Bulgarie, ont été des meilleurs. »



    Carol Ier revit son père Karol-Anton le 6/16 août 1880, après 14 années de séparation. A cette occasion, le secrétaire du roi notait dans ses Mémoires : « Le prince Karol-Anton attend son fils dans son fauteuil roulant. Longtemps, ni l’un, ni l’autre ne trouvèrent de mots pour exprimer leurs sentiments. Le prince Carol constate avec joie que son père n’a pas changé, les années ne l’ont pas marqué ! »



    Lors de l’assemblée publique du 10/22 août dédiée au roi roumain, le secrétaire des Mémoires mentionnait l’ambiance apparemment sévère et pourtant très chaleureuse de l’accueil de Carol Ier dans son pays natal.



    « Sa ville natale n’a pas voulu manquer l’occasion d’apporter un chaleureux salut à l’arrivée de son Prince, qui revenait d’un pays lointain qu’il avait conduit à l’indépendance par des combats et des victoires… Accueilli Place Carol, le prince est salué par des allocutions chaleureuses et, au portail du château, le prince Charles-Antoine, en grande tenue et affichant pour la première fois le cordon de l’ordre roumain, attend son fils qui avait porté si loin la célébrité et la gloire de sa Maison. Touché par un tel accueil — encore plus impressionnant lorsque son père se leva de son fauteuil roulant — le prince Carol fut submergé par l’émotion. »



    Si Carol Ier a été une personnalité providentielle pour la Roumanie, son père, Charles-Antoine de Hohenzollern-Sigmaringen, ne le fut pas moins. Sans ces deux grands hommes, l’histoire des Roumains n’aurait pas été la même.



    (Trad. : Dominique)

  • Politische Rivalitäten: König Karl (Carol) II. versus Prinz Nicolae

    Politische Rivalitäten: König Karl (Carol) II. versus Prinz Nicolae

    Wenige rumänische Persönlichkeiten waren so umstritten wie König Karl II. Sowohl prominente Figuren der rumänischen Demokratie, wie Iuliu Maniu, als auch die Rechtsextremen haben ihn verabscheut. Mehr über den dritten rumänischen König und seine Beziehung zu seinem jüngeren Bruder Nicolae erfahren Sie in unserer Geschichtssendung.



    König Karl II. war eine hochmütige und autoritäre Person. Die Folgen seines Führungsstils lie‎ßen nicht lange auf sich warten. Nach einem Jahrzehnt unter seiner Herrschaft (1930-1940) war die Fläche Rumäniens kleiner geworden, Gebiete im Osten, Westen und Süden gingen verloren.



    Karl II. ist auch mit Mitgliedern seiner Familie in Konflikt geraten. So zum Beispiel mit seinem Bruder, dem Prinzen Nicolae (rum. für Nikolaus). Nicolae war das vierte Kind von König Ferdinand und Königin Maria. Sein Taufpate war der russische Zar Nikolaus II., der 1918 von den Bolschewiken erschossen wurde. Der Prinz Nicolae hatte die Gelegenheit, selbst König zu werden. Er wollte jedoch diese Mission nicht übernehmen, er lehnte die Idee ab, König zu werden. Der Historiker Ioan Scurtu erläutert:



    Prinz Nicolae war der zweite Sohn von Prinzessin Maria, der zukünftigen Königin, und Ferdinand. Die beiden hatten sechs Kinder. Prinz Nicolae wünschte sich nicht, König zu werden. Auch dann nicht, als Ministerpräsident Marghiloman 1918 vorschlug, dass Nicolae zum Thronfolger ernannt wird, nachdem Karl seine Freundin Zizi Lambrino heiratete und fast aus dem Königshaus ausgewiesen wurde. Während der Regentschaft 1927-1930 schlug Königin Maria vor, dass Prinz Nicolae zum ersten Regenten ernannt wird und damit eigentlich die Führung des Königshauses übernimmt. Doch wie gesagt — Prinz Nicolae hatte keine solchen Wünsche.“



    Brüder haben nicht selten Auseinandersetzungen, das ist nicht anders in königlichen Familien. Der Historiker Ioan Scurtu meint, Karl II. erwartete Gehorsam von allen ringsum. Auch wenn es um persönliche Angelegenheiten ging.



    Als Karl am 6. Juni 1930 aus seinem selbstgewählten Exil ins Land zurück kam, hat ihn Prinz Nicolae mit offenen Armen empfangen und ihn im Cotroceni-Palast umarmt. Der Konflikt findet seine Wurzeln in einer subjektiven Angelegenheit und zwar in der Heirat des Prinzen Nicolae mit einer Frau, die nicht einer königlichen Familie angehörte. Das Statut des Königshauses genehmigte das nicht. Karl versuchte Nicolae zu überreden, auch wenn er selbst mit Elena Lupescu, die keiner Herrscherfamilie angehörte, lebte. Er heiratete diese jedoch nicht. Nicolae heiratete im Dezember 1931 Ioana Dolete-Săveanu. Auf Karls Wunsch hat Innenminister Constantin Argetoianu den Bürgermeister der Ortschaft Tohani, wo die Ehe geschlossen wurde, aufgefordert, zusammen mit dem Notar das ganze Heiratsregister zu kopieren und dabei die Eheschlie‎ßung zwischen dem Prinzen Nicolae und Ioana Săveanu auszulassen.“



    Eine zweite Rivalitätsquelle zwischen den beiden Brüdern war die politische Option von Nicolae. Der Historiker Ioan Scurtu ist der Ansicht, das habe eine wichtigere Rolle in ihrer Beziehung gespielt.



    Ein zweiter Grund für den Konflikt waren die politischen Optionen von Nicolae. Er rückte immer näher an die Eiserne Garde. Diese hatte im April 1936 einen Kongress organisiert, bei dem die Todestruppen gebildet wurden. Diese sollten eine Reihe von politischen Gegnern ermorden, darunter auch Elena Lupescu. Prinz Nicolae hat seine Sympathie gegenüber der Eisernen Garde gezeigt. In diesem Kontext hat die Eiserne Garde ein Manifest veröffentlicht, in dem der Prinz Nicolae gepriesen wurde, weil er gegen Elena Lupescu Stellung bezogen hatte. Ein Jahr später, im April 1937, beschloss der Kronrat die Ausweisung des Prinzen Nicolae aus der königlichen Familie. Er wurde beschuldigt, eine Frau geheiratet zu haben, die keiner Herrscherfamilie angehörte und damit das Statut des Königshauses verletzt zu haben.“



    Das Kriegsende brachte auch den Untergang des Königreichs Rumänien mit sich, König Karl II. war schon 1940 ins Exil gegangen, die anderen Familienmitglieder folgten. Prinz Nicolae war derjenige, der den Weg zur Versöhnung mit seinem Bruder öffnete. Historiker Ioan Scurtu dazu:



    Auch wenn er des Königshauses verwiesen wurde, auch wenn Karl ihm gegenüber eine sehr negative Einstellung hatte, war Prinz Nikolaus das einzige Mitglied der königlichen Familie, das an der Beerdigung von Karl II. teilnahm. Sein Sohn Michael oder seine Schwestern haben das nicht getan. Prinz Nicolae war eine interessante Figur der rumänischen Politik, die den Platz von Karl II. nicht einnehmen wollte. Er wollte nicht König werden, aber er hielt es auch nicht aus, dass Elena Lupescu sich in die Politik einmischt.“



    Die Rivalität zwischen König Karl II. und dem Prinzen Nicolae ging nicht so weit wie zum Beispiel die zwischen dem König und dem Anführer der Eisernen Garde, Corneliu Zelea-Codreanu. Der launische König hat aber alles versucht und die Künste seiner List eingesetzt, um seinen Willen gegen die Meinung seines Bruders durchzusetzen.

  • Hörerpostsendung 25.08.2013

    Hörerpostsendung 25.08.2013

    Liebe Hörerfreunde, herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI. Aus Studio 12 in Bukarest begrü‎ßt Sie heute Ana Nedelea. Wie Sie bereits von meinen Kolegen erfahren haben, wird der Funkbriefkasten bis zum ersten September, wenn unser Kollege Sorin Georgescu aus dem Urlaub zurückkommt, jeden Sonntag von einem anderen Redaktuer oder von einer anderen Redakteurin gestaltet.



    Gleich zum Anfang die Posteingangsliste. Herkömmliche Postbriefe gingen von folgenden Hörern ein: Yigal Benger (Ochtrup), Michael Vollger (Kuppenheim), Heiner Finkhaus (Gescher), Joachim Verhees (Krefeld), Horst Kuhn (Hamburg). Eine Fax-Sendung erhielten wir von Herrn Günter Spiegelberg aus Güstrow. E-Mails landeten in unserer Inbox bis einschlie‎ßlich Donnerstag Nachmittag von: Frank Ronald Gabler, Herbert Jörger (Bühl), Jörg-Clemens Hoffmann (Alsbach-Hähnlein), Heinrich Eusterbrock, Joachim Nagel (Apoldu de Sus), Herrn Becker-Kurtscheid, Christoph Preutenbor​beck, Bernd Seiser, Lutz Winkler (Schmitten), Jörg Hoffmann.



    Empfangberichte haben wir von: Burkhard Müller, Lutz Winkler, Joseph Robl (Maria Alm), Hans Kaas (Triefenstein), Peter Lakati (Szololya, Ungarn), Becker-Kurtscheid, Heinrich Eusterbrock, Jörg Hoffmann (Alsbach-Hähnlein), Lutz Winkler (Schmitten), Klaus Köhler (Probstzella), Dmitriy Kutuzov, Bernd Seiser, Herbert Jörger (Bühl), Fritz Andorf (Meckenheim), Joachim Verhees (Krefeld), Michael Völlger (Kuppenheim) bekommen.



    Vielen Dank für Ihre Zeilen, liebe Freunde, selbstverständlich erhalten Sie QSL-Karten für Ihre Empfangsberichte, auch wenn es bei uns erfahrungsgemä‎ß etwas länger mit der Zustellung dauern kann. Unsere Postanschrift lautet: Radio Rumänien International, General-Berthelot-Stra‎ße 60-64, PLZ 010171, Bukarest/Rumänien. Unsere Faxnummer ist: 0040-21-319-05-62.



    Per E-Mail erreichen Sie uns blitzschnell — die Adresse unserer Mailbox ist: germ@rri.ro. Auf unserer Homepage www.rri.ro können Sie den Funkbriefkasten bald nach der Erstausstrahlung nachlesen und natürlich auch die Audiodatei nachhören.



    Und jetzt einige Auszüge aus den Hörerbriefen. Als erstes im heutigen Funkbriefkasten ein Auszug aus einem Postbrief von unserem langjährigen Hörer und Freund Lutz Winkler aus Schmitten, Deutschland:



    Hallo, liebe Mitarbeiter der deutschen Redaktion in Bukarest,



    Der Sommer hat es dieses Jahr gut mit uns gemeint – die Sonne gab es nach dem kalten und nebligen Winter und dem verregneten Frühjahr doch noch. Die Sonne und die Wärme haben mir gut getan und ich habe sehr viel Zeit in der Natur verbracht. Der Urlaub an der Ostsee hat mir sehr gut gefallen und ich habe mich in diesem Jahr sehr gut erholt. Ein Dankeschön möchte ich Ihnen für die weiterhin sehr guten Sendungen aus Rumänien sagen. Die Mischung aus aktuellen Nachrichten und den Themen über Rumänien, sowie der populären und der Volksmusik gefällt mir sehr gut.



    Sehr gern höre ich auch den Sozialreport. Sie berichteten darin u.a. über die internationalen Gro‎ßkonzerne, die sich in Rumänien niedergelassen haben und nun Menschen in Rumänien Arbeitsplätze im Land bieten. Ich war als Trainer auch öfters im Ausland und habe in solchen Dependancen gearbeitet. Die Lage auf dem Arbeitsmarkt in den Ländern ist nicht rosig und jeder ist froh, wenn er in einem solchen Konzern eine Arbeit bekommt. Und das wird auch von den Konzernen ausgenutzt: Löhne, Urlaubsansprüche, Arbeitszeiten, Weiterbildungen, Altersvorsorge — alle Rechte der Arbeitnehmer werden den landesüblichen Gepflogenheiten angepasst. Mir ist immer schleierhaft, warum diese Arbeitsbedingungen die Konzernbetriebsräte, die ja auch im Aufsichtsrat zumindest der deutschen Konzerne mit vertreten sind, mittragen.



    Viele Jugendliche aus Rumänien sind in den letzten Jahren in das Ausland gegangen, wo sie mehr verdienen und bessere Aussichten auf dem Arbeitsmarkt haben. Auch in Deutschland sind solche Tendenzen zu verzeichnen. Jugendliche aus den ostdeutschen Ländern suchen sich Arbeit in den westdeutschen Bundesländern. Aber mittlerweile berichten verschiedenen Zeitungen, dass es eine entgegengesetzte Tendenz gibt: die jugendlichen Arbeitskräfte kommen zurück in ihre Heimat. Die Gründe sind recht unterschiedlich, haben doch eines gemeinsam: das soziale Umfeld wird den jungen Menschen immer wichtiger. Sie wollen nicht mehr reisen und legen Wert auf die Familie und die Kinder. Ist so eine Tendenz auch in Rumänien zu beobachten? Nun möchte ich Ihnen alles Gute wünschen, bleiben Sie bitte Gesund. Ich freue mich auf weitere Sendungen aus Bukarest.Viele Grü‎ße aus Deutschland !



    Lieber Herr Winkler, wir danken Ihnen vom ganzen Herzen für die schönen Worte. Wir freuen uns sehr, da‎ß Sie unsere Sendungen besonders interessant finden. Zu unserem Thema im von Ihnen erwähnten Sozialreport: Sie haben recht, die Lage auf dem Arbeitsmarkt ist auch nicht in Rumänien rosig, weder für qualifizierte Jugendliche, noch für erfahrene Arbeitnehmer und jeder ist froh, wenn er in einem gro‎ßen internationalen Konzern eine Arbeit bekommt. Diese Situation wird aber oftmals von den Konzernen ausgenutzt. Nicht selten sprechen Jugendliche, die in solchen Konzernen beschäftigt sind, von einer sogenannten Versklavung“. Viele Jugendliche aus Rumänien sind in den letzten Jahren auch ins Ausland gegangen, wo sie mehr verdienen und bessere Aussichten auf dem Arbeitsmarkt haben.



    Zu Ihrer Frage, ob die entgegengesetzte Tendenz auch in Rumänien zu spüren sei, nämlich eine deutliche Rückkehr der Arbeitskräfte in ihrer Heimat: Meiner Meinung nach sollte das Thema in einem etwa breiteren Kontext betrachtet werden. Erstens: Viele Rumänen waren in den Neunzigern und am Anfang der Jahre 2000 auf der Suche nach Arbeit und besserer Entlohnung nach Italien oder Spanien ausgewandert. Solche Länder werden heute mit einer hohen Arbeitslosigkeitsrate konfrontiert und viele rumänische Büger sahen sich infolgedessen gezwungen, zurück ins Heimatland zu kehren. Nicht wenige einheimische Zeitungen berichten unter Titeln wie “Der italienische Traum hat ein Ende“ über rumänische Gastarbeiter in westeuropäischen Staaten, die nun keine andere Wahl haben, als zurück in die Heimat zu kehren.



    Es gibt aber auch andere die gezielt ins Ausland gezogen waren, um dort besser zu verdienen und anschlie‎ßend nach Rumänien zurück zu kehren. Die Presse berichtet oftmals auch über rumänische Arbeitnehmer, die jetzt mit finanziellen Ressourcen freiwilig in die Heimat kehren und hier investieren wollen (vor allem im Landwirtschaftsbereich), oder weil sie Wert auf Familie legen. Wie Sie auch sagen, sind die Gründe unterschiedlich. Ein weiterer Aspekt, den ich diesbezüglich ansprechen möchte, ist, dass beginnend mit Januar 2014 die letzten Schranken der Arbeitnehmerfreizügigkeit in der Europäischen Union für rumänische und bulgarische Bürger fallen. Regierungen westeuropäischer Länder, die die Wirtschaftskrise überwunden haben, wie beispielweise Deutschland oder Gro‎ßbritannien, befürchten infolgedessen einen massiven Zustrom von Zuwandereren aus beiden Ländern und einschlie‎ßlich eine hohe Belastung interner Arbeitsmärkte.



    Besonders interessante Zeilen haben wir auch von unerem Hörer Michael Völlger aus Kuppenheim, Deutschland bekommen. Lieber Herr Völlger, herzlichen Dank für die schönen Worte! Sie schrieben uns, Sie haben einen Beitrag über die rumänischen Volkslieder besonders interessant gefunden, die auf eine oder andere Weise mit dem Heiligen Ilie in Verbindung stehen. Die Figur des Heiligen Ilie wird tatsächlich mit Blitzen und Feuer in Verbindung gebracht und es wird in der Volkstradition gesagt, dass er mit Feuerpeitsche kleine Teufelchen aus dem Himmel vertreibt.



    Nun zu Ihrer Frage, ob die Figur des Heiligen Ilie auf eine historisch fassbare und geschichtlich nachweisbare Person zurückgeht, oder ob seine geschichtlichen Wurzeln sich von nachträglich hinzugefügten Legenden und Erzählungen nicht trennen lassen: Der Heilige Ilie (hebräisch Elija) war ein jüdischer Prophet, dessen Name im ersten Buch der Könige aus dem Alten Testament erwähnt wird. In den besagten Schriften wird Elija als Prophet bezeichnet, der eine Dürre für das ganze Land ankündet. Durch besondere Heldentaten gelingt es dem Propheten, seinem Volk Regen und Fruchtbarkeit für die Erde wieder zu bringen. Daher wird er im Christentum als Heiliger verehrt. Der Heilige Elija spielt auch in verschiedenen Brauchtümern eine Rolle. In der Ostkirche, einschlie‎ßlich in der rumänisch-orthodoxen Kirche, ist er als Elija der Donner“ bekannt und sein Gedenktag am 20. Juli soll sommerliche Stürme, Hagel, Regen und Donner mit sich bringen.



    Wir bedanken uns an Herrn Völlger für die interessante Frage und gehen weiter zu einem anderen langjährigen Hörer, Herrn Heiner Finkhaus aus Gescher, Deutschland. In seinem Postbrief schrieb Herr Finkhaus:



    Sehr geehrte Mitarbeiter der deutschen Redaktion, mit Interesse habe ich den Beitrag zur Akzeptanz einer möglichen Monarchie vom 2. August 2013 gehört. Welche Hoffnung setzen die Befürworter in eine Monarchie? Und welche Form ist gewünscht? Soll ein Monarch wie in England eigentlich ohne Macht sein, oder soll er alleine herrschen, ohne Möglichkeit auf eine Abwahl?



    Lieber Herr Finkhaus, aus einer jüngst veröffentlichten Umfrage im Auftrag einer Bukarester Tageszeitung geht hervor, dass im Falle eines Referendums zur Umstellung Rumäniens auf eine Monarchie 41% der Befragen für die Beibehaltung der Republik stimmen würden. Dennoch: Sollte Rumänien eine Monarchie werden, wofür auch 27,2% der Bürger stimmen würden, dann meint ein Drittel der Rumänen, dass Ex-Souverän Mihai I. auf den Tron steigen müsste, während 19% für seine Tochter, Prinzessin Margareta optieren. Die meisten Befürworter der Monarchie vertreten die Ansicht, dass die Monarchie den Vorteil bietet, dass der König keiner Partei angehört und über das poltische Leben unparteiisch schlichtet. Die gewünschte Form wäre die konstitutionelle Monarchie, wobei die Macht des Monarchen durch eine in der Verfassung verankerten Regelung eingeschränkt wird.



    Wir bedanken uns an Herrn Finkhaus für sein Interesse an unseren Sendungen und gehen weiter zu unserem Hörer Horst Kuhn. Lieber Herr Kuhn, herzlichen Dank für die freundliche Überlassung der Musikkassette an Radio Rumänien International und für Ihre schönen Worte! Wie Sie in Ihrem Postbrief schreiben, wurde die Musik von nicht mehr vorhandenen Schallplatten während eines Rumänien-Urlaubs 1967 gekauft und später übergespielt. Leider konnte ich den Interpreten oder die Interpreten nicht erkennen, mit der netten Unterstützung meiner Kollegen aus der deutschen Redaktion habe ich dennoch den Titel des Albums ausfindig gemacht. Es handelt sich um die Kompilation “On the Banks of The Danube“, eine Sammlung osteuropäischer Zimbalmusik. Autor der Kompilation ist Thorsten Profrock.



    Zum Schluss möchte ich mich im Namen der deutschen Redaktion an alle unsere Hörer bedanken, die uns bislang ihre Beiträge für die Preisausschreibung George-Enescu-Festival“ zukommen lie‎ßen und noch erwähnen: Einsendeschlu‎ß ist der 30. September 2013. Liebe Hörerfreunde, ich bedanke mich fürs Zuhören. Nächstes Wochenende wird mein Kollege Sorin Georgescu ihre Fragen im Funkbriefkasten beantworten.



    Audiobeitrag hören:



  • Qu’est-ce qui inquiète les Roumains?

    Qu’est-ce qui inquiète les Roumains?

    La hausse des prix, la perte de l’emploi et la diminution des revenus constituent les principales inquiétudes des Roumains. S’y ajoutent l’angoisse liée à un mauvais état de santé et la peur des calamités naturelles, d’un conflit ou d’une guerre dans la zone.



    Même si le pourcentage des personnes inquiétées par la hausse des prix a baissé de plus de 34 à moins de 30%, il continue d’être assez élevé. La majorité des sujets questionnés constate que les tarifs de l’énergie et des carburants ont grimpé par rapport à l’année dernière, qu’ils sont plus grands que dans d’autres pays européens et qu’en hiver, quasiment la moitié des revenus moyens de la plupart des ménages est allouée au paiement des factures afférentes.



    Quant à la perte de l’emploi, cela préoccupe 6% de plus des Roumains, leur nombre passant de 22,4% en février à 28,6% en juillet. En légère hausse aussi, le pourcentage des Roumains inquiétés par la réduction des revenus, qui passe de 16 à 17,5%.



    En tout et pour tout, un peu plus de 22% seulement des personnes interrogées n’ont pas d’inquiétude pour l’avenir, estimant que la Roumanie va dans la bonne direction. La majorité écrasante — 65,5% – considère, au contraire, que le pays fait fausse route. Et le mécontentement ne date pas d’hier. Il est traditionnel et c’est le résultat tant d’une inertie des perceptions négatives accumulées ces dernières années de crise économique, mais aussi celui des retards des mesures de redressement économique et social que la population attend.



    D’autre part, parmi les questions du sondage, figurent aussi certaines liées à la forme de gouvernement souhaitée par les Roumains. Dans le cas d’un référendum concernant le retour de la monarchie en Roumanie, 41% des personnes questionnées voteraient en faveur du maintien de la république. Et si toutefois la Roumanie devenait une monarchie — une option pour 27,2% des citoyens — près d’un tiers des Roumains pensent que l’ancien souverain Michel devrait monter sur le trône, alors que 19% expriment leur option pour sa fille, la princesse Margarita. Si plus de la moitié des Roumains sont d’accord avec l’idée que la république présente l’avantage d’une élection périodique du président par les citoyens, 4 citoyens sur 10 pensent que la monarchie présente l’avantage que le roi ne dépend pas des partis et qu’il peut ainsi servir d’arbitre équidistant de la vie politique.



    Le sondage a été commandé par un quotidien national de Roumanie et réalisé du 12 au 21 juillet sur un échantillon de 1050 personnes de 37 départements du pays et de Bucarest. L’erreur maximale des données est de 3%, en plus ou en moins. (trad. : Ligia Mihaiescu)

  • 30.07.2013

    30.07.2013

    Canicule – La canicule sévit dans le sud et le sud-est de la Roumanie. Sept départements et la capitale ont été placés en vigilance orange alors que l’alerte jaune est valable sans 12 autres comtés du pays. Dans ces régions, le mercure des thermomètres grimpe jusqu’à 38 — 40 degrés et l’indice température — humidité dépasse le seuil critique. Des dizaines de personnes ont été hospitalisées, après avoir perdu connaissance en raison de la chaleur. Dans les régions touchées par la canicule, la compagnie publique de transport ferroviaire CFR a limité la vitesse des trains. Sur le reste du territoire et notamment sur l’ouest et le nord, les températures ont chuté jusqu’à 27 degrés et ne devraient pas dépasser les 34 degrés. De l’avis des météorologues, la météo sera instable, avec des pluies et des orages.



    Budget – Le cabinet de Bucarest a approuvé ce mardi le premier rectificatif budgétaire de l’année. Les ministères de la Santé, de l’Intérieur et de la Justice bénéficieront d’allocations supplémentaires, alors que des coupes budgétaires seront opérées dans les ministères de l’Education, de l’Emploi, des Transports et de l’Agriculture, ainsi que dans le cas du Secrétariat général du gouvernement. Mardi encore, le gouvernement roumain a donné son feu vert à la réduction de la TVA appliquée aux produits de panification de 24 à 9%, à compter du 1er septembre. Afin de compenser cette mesure, le cabinet augmentera les accises sur les produits de luxe et l’alcool.



    Monarchie – Si un referendum était organisé, 27% des Roumains se prononceraient en faveur de l’instauration de la monarchie, tandis que 41% d’entre eux seraient d’accord avec le maintien de la République comme forme de gouvernement. Selon un sondage réalisé à l’initiative du quotidien bucarestois Adevarul, 40% des Roumains ont une bonne, voire très bonne opinion sur la Maison Royale. Le dernier souverain de Roumanie, le roi Michel Ier (91 ans),est aussi le dernier survivant des chefs d’Etat de la seconde guerre mondiale. Il a dû abdiquer sous la pression des communistes, en 1947, 66 ans après l’installation du premier roi de Roumanie. Après la chute du régime communiste, en 1989, les membres de la Maison Royale sont rentrés dans le pays.



    Trésor – La Roumanie a récupéré auprès de lAllemagne cinq pièces de monnaie en or daces et des bijoux en argent remontant au Ier siècle avant Jésus Christ, a annoncé mardi le Musée national dHistoire, cité par les agences de presse. Les pièces de monnaie avaient été pillées sur le site archéologique de Sarmizegetusa Regia (sud-ouest de la Roumanie) entre 2004 et 2007. Depuis 2007, la Roumanie a récupéré environ 500 pièces de monnaie, ainsi que 13 bracelets en or daces, dune valeur exceptionnelle, auprès de plusieurs pays dont la France, lAllemagne, les Etats-Unis et la Suisse. Les Daces, peuple indo-européen passé sous domination romaine, sont les ancêtres des Roumains.



    Accident – Cinq personnes, dont trois Allemands, ont perdu la vie dans un accident d’hélicoptère qui a eu lieu lundi soir dans le département de Mures, du centre de la Roumanie. Une personne a survécu au crash avec des blessures mineures. L’appareil s’est écrasé dans un lac, peu après son décollage.

  • A la Une de la presse roumaine du 30.07.2013

    A la Une de la presse roumaine du 30.07.2013

    Les journaux bucarestois de ce mardi continuent à s’occuper de près des démêlées avec la justice du groupe de presse Intact et surtout de son fondateur, l’homme d’affaires et homme politique Dan Voiculescu. Les rédactions y ajoutent d’autres sujets, au moins tout aussi intéressants : la baisse de la TVA pour le pain à partir du 1er septembre, la multiplication des opinions favorables à un retour de la monarchie en Roumanie, ou encore la situation difficile des pastèques roumaines face aux importations turques ou grecques.


  • Zum Leben und Wirken der rumänischen Königin Maria

    Zum Leben und Wirken der rumänischen Königin Maria

    Maria Alexandra Victoria wurde am 29. Oktober 1875 in Eastwell Park als Tochter des britischen Prinzen Alfred von Sachsen-Coburg und Herzogs von Edinburgh und der Herzogin Maria Aleksandrowna von Russland geboren. Mit 17 Jahren wurde sie zur Königin Rumäniens gekrönt. Mit 16 Jahren verlobte sie sich mit Ferdinand von Hohenzollern, dem Thronnachfolger Rumäniens. Am 29. Dezember 1892 fand die Hochzeit statt.




    Sie kam aus England, sie war halb Russin, halb Engländerin und hatte ranghohe Nachkommen: den russischen Zaren, die Königin Victoria. Sie entstammte dem englischen Königshaus und kam blo‎ß her, in diese fremde Welt, von der sie nichts verstand. Selbst bei ihrer Ankunft in Rumänien lassen sich die ersten Zeichen ihrer zukünftigen Persönlichkeit leicht merken“, schrieb der Schriftsteller Stelian Tănase, Präsident der Stiftung Orient Expres über Königin Maria.




    Dinu Zamfirescu, Präsident des Instituts für die Erforschung der Verbrechen des Kommunismus und für das Gedächtnis des rumänischen Exils, über Königin Maria von Rumänien:



    Diese Frau, die in ein fremdes Land kam, hat es durch ihre au‎ßerordentliche Persönlichkeit geschafft, ihren Willen mit Stil durchzusetzen. Sie hat au‎ßerdem eine wesentliche Rolle in der Entscheidung des Königs Ferdinand gespielt, das Land im Krieg an die Seite der Entente zu stellen, gegen den Willen seines verstorbenen Onkels Königs Karl I., der bis 1914 einen Kriegsentritt an der Seite der verbündeten Mittelmächte wollte.“



    Für ihre humanitäre Aktionen während des Ersten Weltktriegs, als sie sich an der Front in Schu‎ßweite stellte und für ihren Einsatz in Krankenhäusern, wo sie das Leid der Soldaten zu lindern versuchte, wurde die Königin als Pflegerin der Verwundeten“ oder Soldaten-Mutter“ bekannt. Dinu Zamfirescu:



    Eine äu‎ßerst wichtige Rolle spielte sie auch in Bezug auf die Friedenskonferenz von Versailles im Jahr 1919. Später, als sie in den USA war, setzte sie sich auch dort für das Interesse Rumäniens ein. In jenen trüben Jahren der Weltgeschichte führte der US-Präsident Wilson eine internationale Politik die unser Land nicht begünstigte.“



    Über diese Zeitspanne spricht auch der Historiker Ion Bulei:



    In einem Gespräch mit dem Senator Georges Clemenceau, der Frankreich bei den Pariser Friedensverhandlungen vertreten hatte, sagte ihr der französische Politiker: ‚Meinerseits Hut ab vor dem rumänischen Volk, aber nicht vor seinen Politikern!‘ Königin Maria erwiderte darauf: ‚Sie kennen uns kaum, Herr Clemenceau!‘ Die Königin schaffte es damals, ein Treffen zwischen dem US-Präsidenten Wilson und dem rumänischen Ministerpräsidenten Brătianu zu vermitteln. Sie nahm an dem Treffen auch als Dolmetscherin teil, denn Wilson konnte kein Französisch und Brătianu kein Englisch. Ihr Einsatz in Paris spielte eine äu‎ßerst wichtige Rolle für unser Land.“



    Königin Maria war damals au‎ßerdem sehr aktiv im Kultur- und Kunstleben des Landes. Zu den Ortschaften Bran in Siebenbürgen und Balcic an der Schwarzmeerküste fühlte sie sich seelisch verbunden. Bran und Balcic, die sie als ihre Traumhäuser, ihr Herz“ bezeichnete, tragen auch heute die Zeichen ihrer Persönlichkeit.



    Man sagt, dass sie die heute im Nord-Osten Bulgariens gelegene Ortschaft Balcic (Baltschik) mit Hilfe des Malers Alexandru Satmari (1872-1933) entdeckt habe. Dieser bestand darauf, dass die Königin 1924 dort hinfährt. Ein Jahr später begannen die Bauarbeiten an der Balcic-Domäne. Historiker Ion Bulei mit Details:



    Balcic ist nicht nur ein Palast, den die Königin Maria errichtet hat. Dort gibt es auch eine Kirche, Stella Maris, wo ihr Herz ihrem Wunsch entsprechend aufbewahrt wurde. In Balcic richtete sie einen Kakteengarten ein, der auch heutzutage der grö‎ßte europaweit ist. Praktisch hat sie diese Stadt aufblühen lassen. Sie hat in dieser Stadt das erkannt, was die Maler gesehen hatten, eine Stadt, in der sich das Licht jede zwei Stunden ändert, was sie in ihren Gemälden auch wiedergeben haben.“



    Die Stadt, damals unter rumänischer Verwaltung, gab den Künstlern, die im Sommer nach Balcic reisten und malten, Grundstücke, und diese begannen hier sich Häuser zu bauen. Königin Maria war eine faszinierende Person, mit einem eigenen Lebensstil, den sie auch ihrer Domäne in Balcic eingeflö‎ßt hat. Sie sammelte und schuf Kunstwerke und dekorierte das Innere und das Äu‎ßere der Gebäude, in denen sie gewohnt hat, denn sie war eine Förderin der Art Nouveau. 1933, als sie ihr Testament zusammenstellte, forderte Königin Maria, dass nach ihrem Tod ihr Herz in der kleinen Kapelle Stella Maris“ aufbewahrt wird, die sie an der Schwarzmeerküste bauen lie‎ß. Ihr Körper sollte dann im Kloster Curtea de Argeș neben ihrem Mann Ferdinand und neben den anderen Mitgliedern der königlichen Familie begraben werden.



    Das Herz von Königin Maria befindet sich zur Zeit im Nationalen Geschichtsmuseum Rumäniens. Im Zeitraum 1914-1936 schrieb sie ihre Memoiren in englischer Sprache, und diese wurden zwischen 1934 und 1936 unter dem Titel Povestea vieții mele“ (Die Geschichte meines Lebens“) gedruckt. Später wurden sie auch ins Rumänische übersetzt. Zwischen den Zeilen kann man den Wunsch erkennen, den Respekt ihres Volkes zu gewinnen. Maria wollte geliebt sein und sie war es auch. Der Historiker Ion Bulei dazu:



    Königin Marias Worte aus ihrem Testament: ‚Ich urteile nicht über euch, denn ich habe euch geliebt.‘ Das lässt ihr Wesen herüber kommen, das sich Rumänien stark genähert hatte und hebt die Tatsache hervor, dass sie sich in eine Rumänin verwandelt hatte.“



    In Königin Marias Biografie findet man auch eine Geste, die ihre einzigartige Persönlichkeit vervollständigt: Am 26. März 1926, zum Fest der Verkündigung, trat Königin Maria zum orthodoxen Glauben über.