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  • Le courrier des auditeurs 05.01.2018

    Le courrier des auditeurs 05.01.2018

    Chers amis, très, très heureuse de vous retrouver pour ce premier Courrier de l’année. J’espère que vous avez passé de bonnes fêtes ! Je vous souhaite, à toutes et à tous, une année sereine, pleine de joie, de bonheur et de réussite, et que la santé soit au top ! Top, c’est parti.

    Jean-Michel Aubier a pensé à nous le premier jour de l’année. Salut, Jean-Michel, et merci pour tes vœux. « J’ai été un peu surpris, voire déçu, par votre programme sur la personnalité de l’année. Cela m’a paru beaucoup plus léger que les fois précédentes, mais peut-être est-ce un sentiment erroné ? Peut-être allez-vous y revenir dans une prochaine émission ? J’aurais aimé connaître les avis des autres auditeurs du service français. Et le résultat final, une sportive, me laisse un peu dubitatif. Qu’amène un sportif à la communauté ? A part peut-être un sentiment de fierté… et encore ! » Jean-Michel, nous avons gardé les contributions pour ce Courrier, afin de les présenter amplement. Et je vais procéder par ordre alphabétique. Ainsi, pour la Personnalité de l’année, Jean-Michel nous a écrit : « Sans grande originalité, je citerai Emmauel Macron, le nouveau Président de la République française. Certains grincheux me rétorqueront : « mais il n’a rien fait ». Et ils auront – en partie – raison. Comment peut-on, après avoir été élu en mai, mis en place une politique en septembre, espérer la fameuse inversion de la courbe du chômage en décembre ? Soyons sérieux, une politique économique met entre 18 mois et deux ans à porter (ou non) ses fruits. Tout d’abord, c’est son jeune âge qui a quelque peu interloqué. Pour le combattre, ses adversaires ont d’ailleurs mis en avant son inexpérience. Macron était quasiment inconnu un an avant son élection, ce qui n’était absolument pas le cas de ceux qui l’ont précédé. Pendant sa campagne, il a toujours refusé que dans ses meetings, l’on siffle ses adversaires, comportement bien connu jusqu’ici. Certes, il a bénéficié des mensonges du candidat de droite, et d’une gauche en plein désarroi et désunie. Le débat de l’entre deux tours a révélé, s’il en était encore nécessaire, une candidate de l’extrême droite incompétente. Sa victoire n’en a été que plus facile. Sur le plan intérieur, il a su déjouer les pièges de la rentrée politique. Les manifestations, bien que nombreuses, n’ont pas rencontré le succès escompté par les organisateurs. Difficile de s’opposer à une politique qu’il avait clairement énoncée pendant la campagne et pour laquelle il a été élu. Difficile pour la droite de combattre des mesures qu’elle aurait aimé mettre en place. La gauche est en miettes, l’extrême droite affaiblie par sa propre candidate, et l’extrême gauche vociférante ne rencontre pas beaucoup de sympathie. Sur le plan international, il a réussi le sans-faute. Une fois élu, l’attrait pour ce personnage pas comme les autres a suscité une curiosité, voire un attrait dans le monde entier. La fameuse poignée de main avec Trump a fait le tour de la planète, tout comme sa rencontre avec Poutine à qui il a tout simplement dit que les médias à la botte du Kremlin (Sputnik, et Russia Today) « ne se sont pas comportés comme des organes de presse et des journalistes mais comme des organes d’influence, de propagande et de propagande mensongère, ni plus ni moins ». Je ne pense pas que beaucoup d’hommes politiques de ce rang se soient un jour permis de parler ainsi à Poutine. Donald Trump en a aussi fait les frais. Le « make our planet great again » a également défrayé la chronique. Certes, il n’a pas toujours convaincu : Klaus Iohannis n’est pas allé dans le sens de Macron sur la directive des travailleurs détachés. Mais si « The Economist » a élu la France pays de l’année 2017, ce n’est pas pour rien. Cet hebdo n’est pourtant pas connu pour tresser des lauriers à ce vieux pays qui semblait «irréformable», coincé «entre la sclérose et la xénophobie». Quoi qu’en disent ses détracteurs, la France est revenue sur la scène internationale et malgré quelques maladresses, Macron porte haut la Voix de la France. Face aux Etats-Unis et à son leader imprévisible, face à Poutine dont beaucoup se méfient, et en raison des problèmes auxquels se heurte la Chancelière Merkel, il a une carte à jouer. Mais ne nous trompons pas : le plus difficile est à venir », conclut Jean-Michel Aubier. La semaine prochaine, Valentina te répondra aux autres questions et commentaires.

    J’en arrive à la contribution de Christian Ghibaudo, lui aussi de France, que je salue. « Alors cette année, je ne choisirais pas une personnalité politique, car j’imagine que, au moins parmi les participants francophones, il y aura le choix de notre président Emmanuel Macron. Comme je considère que M. Macron n’a rien fait d’extraordinaire en étant élu Président, lors d’une élection truquée, j’ai choisi le spationaute Thomas Pesquet. Voici mes arguments : Thomas Pesquet, né en 1978 à Rouen, est un astronaute français de l’Agence spatiale européenne (ESA). Après une formation d’ingénieur aéronautique, Thomas Pesquet a occupé différents postes dans l’industrie aérospatiale et à l’agence spatiale européenne avant de devenir, en 2004, pilote de ligne. En 2009, il fait partie des six candidats retenus pour former le troisième groupe d’astronautes européens sélectionnés par l’agence spatiale. Thomas Pesquet est le dixième Français à partir dans l’espace en décollant le 17 novembre 2016 à bord de Soyouz MS-03 dont l’équipage occupe la Station spatiale internationale de novembre 2016 à juin 2017. Durant cette mission, Thomas Pesquet a mené une centaine d’expériences dont la moitié développée par l’Agence spatiale européenne ou le CNES, l’autre moitié par la NASA. Il effectue plusieurs extravéhiculaires de six heures pour des missions de maintenance de la Station spatiale internationale. Il est nommé ambassadeur de l’UNICEF pour le changement climatique et l’accès à l’eau potable en novembre 2016. Durant son séjour dans l’espace Thomas Pesquet a fait la fierté des Français. A chacun de ses passages au-dessus du territoire national, il a fait des photos transmises à la presse française. Cela a été très instructif et intéressant. De plus, régulièrement, Thomas Pesquet a fait des contacts vidéo avec les écoles françaises, permettant ainsi à des centaines d’enfants de découvrir l’espace et la terre, en dialoguant avec Thomas Pesquet. Cela A ouvert de nouveaux horizons à de nombreux écoliers. Pour une fois, la France n’était pas à la traine des Américains et des Russes. Le 2 juin 2017, il quitte la Station spatiale internationale, après 196 jours passés à son bord. Il atterrit dans les steppes du Kazakhstan. Lors de sa mission, il a mené 62 expériences pour le compte de l’Agence spatiale européenne (ESA) et du Centre national d’études spatiales (CNES). Thomas Pesquet est devenu tellement populaire en France qu’en juillet dernier La Poste de France a émis une série de timbres commémorant son « voyage » dans l’espace », argumente Christian Ghibaudo de France.

    Bien le bonjour à M Paul Jamet, lui aussi de France. Voici sa contribution : « Je désigne Xi Jinping, le Président chinois. C’est le nouveau Mao de la Chine ! Il est le Président chinois depuis 2012. Le XIXème Congrès du PCC – Parti Communiste Chinois – vient de le reconduire pour un second mandat de 5 ans. Avec le projet Les nouvelles routes de la soie lancé dès 2013, Xi Jinping affiche clairement des ambitions planétaires. Ce grand projet est un « bouleversement stratégique majeur de notre temps ». Il ne s’agit pas seulement de voies ferrées mais aussi de routes maritimes. Le sigle OBOR – « One Belt, One Road », « une ceinture, une route » désigne les grands travaux qui sont en cours non seulement dans le quart nord-ouest de la Chine mais aussi dans les autres pays qui seront traversés, en particulier en Asie centrale mais aussi en Asie du sud (Pakistan) et du sud-est (Vietnam). Tout cela signifie la construction d’infrastructures géantes en matière de routes, de nœuds ferroviaires, d’entrepôts etc. Pour ce faire, dès 2015, la Chine a créé la BAII – Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures. Avec 50 milliards de dollars au départ, la BAII est devenue le nouveau levier de la stratégie internationale chinoise. Une banque à la création de laquelle quelque 60 pays ont déjà souscrit ce qui va permettre à Pékin d’ouvrir une série de « corridors » ferroviaires et maritimes qui relieront la Chine à l’Europe et à l’Asie du Sud et du Sud-Est. Ces couloirs assureront, du même coup, « l’interconnexion » des régions traversées entre elles. La Chine impose en quelque sorte son rythme, ses besoins d’infrastructures pour exporter ses marchandises. Deux exemples qui nous concernent, nous européens : – Le Pirée, un port chinois au cœur de l’Europe ! L’armateur pékinois, contrôle désormais l’ensemble des activités du plus grand port de Méditerranée. – La ligne ferroviaire qui relie Xi’an, l’ancienne capitale impériale de la Chine à l’Union européenne : Dortmund, Rotterdam et Lyon ont accueilli des trains en provenance de Chine. Incontestablement, avec Xi Jinping, la Chine est de retour dans le Club des grands ; elle ne se contente plus d’être l’usine du monde ; elle devient l’un des acteurs majeurs des évolutions du monde. En 2049, la Chine fêtera le centenaire de la RPC… et la vision, les projets lancés par Xi Jinping ont pour objectif de donner à la Chine la première place mondiale à l’horizon 2049. Lors du dernier congrès – le XIXème – Xi Jinping a été confirmé à la tête du PCC. Trois points importants émergent de ce congrès :

    – le discours inaugural de Xi Jinping : ce discours est en fait une véritable feuille de route pour 2049 ;

    – Xi Jinping a inscrit sa pensée dans la charte du Parti Communiste chinois ;

    – Xi Jinping n’a pas désigné de successeur ; aussi, il est permis de penser que Xi Jinping veut continuer d’influencer la politique chinoise bien au-delà de son second et théoriquement dernier mandat.

    Xi Jinping est pour moi, non seulement la personnalité de l’année 2017 mais il sera aussi la personnalité à suivre dans les années qui viennent car son influence, déjà importante, devrait continuer de croître », conclut M Jamet, qui a passé un séjour de 3 semaines en Chine.

    Philippe Marsan, toujours de France, s’exclame pour la Personnalité de l’année 2017 : « Ah ! difficile à trouver ! Alors qui, alors elle ou lui ? Ou bien plusieurs… Et ben moi, je choisis l’équipe française de handball féminin qui vient de décrocher la médaille d’or aux championnats du monde contre les tenants du titre… Bravo les filles », conclut Philippe.

    C’est en Algérie que nous écoute M Nouari Naghmouchi, qui a désigné John Legend et Viola Davis, sans argumenter.

    Nous revenons en France avec cette contribution de Mme Maguy Roy, qui a pensé elle aussi à une des personnalités déjà citées : « La Personnalité de l’année 2017 ? Pour moi, c’est Thomas Pesquet, astronaute français de l’Agence Spatiale Européenne, qui a effectué la mission Proxima, dans l’espace durant près de 6 mois. Par sa jeunesse, il aura 40 ans en 2018, il a démontré que la valeur n’attend pas le nombre des années en alliant jeunesse et maturité, réalisme et poésie. Coordonnées par l’Agence Spatiale Européenne (ESA) le Centre Nationale d’Etudes Spatiales (CNES) et également la NASA, le Canada, le Japon, les multiples expériences scientifiques, médicales techniques qu’il a réalisées ouvrent la voie à des découvertes importantes dans différents domaines : la médecine, la biologie, la physique, la technologie… sans oublier des missions de maintenance extravéhiculaire de la Station Spatiale Internationale, durant de longues heures. Il a su nous faire partager sa vie au jour le jour grâce aux médias (télévision, réseaux sociaux et journaux), nous permettre d’élargir nos connaissances et sans doute éveiller des vocations chez les plus jeunes. Mais, cet ingénieur a aussi la tête dans les étoiles, comme en témoignent ses superbes photographies prises depuis l’espace, qui nous ont émerveillés. Il affirme : La Terre est belle vue du ciel et ajoute : J’ai découvert avec cette mission un engagement pour la planète. Et j’ai envie de le poursuivre. N’a-t-il pas été nommé ambassadeur de l’UNICEF pour le changement climatique et l’accès à l’eau potable ? Tout ceci dans le but de permettre aux enfants de réaliser leurs rêves et d’œuvrer à plus de solidarité dans le monde. Un programme universel ainsi illustré par cette citation d’Antoine de Saint Exupéry : Fais de ta Vie un rêve, et d’un rêve une réalité », conclut Mme Maguy ROY de France.

    A toutes et à tous, un grand merci pour vos contributions. C’est la fin de ce Courrier des auditeurs, merci de l’avoir suivi !

  • Le courrier des auditeurs 18.08.2017

    Le courrier des auditeurs 18.08.2017

    Le sujet daujourdhui ? Les vacances ! L’été bat son plein, les Roumains sont en vacances, les villes sont désertées, les routes sont encombrées. Selon une nouvelle statistique, seuls 55% des Roumains prennent des vacances. Les gens tentent de se détendre, mais c’est intéressant comment — histoire de mentalités.



    Nos amis MM Jacques Augustin, Michel Minouflet, Gilles Gautier et Paul Jamet, de France ainsi que Nouari Naghmouchi et Abdelhamid Djebbari, les deux d’Algérie, et Gilles Létourneau, du Canada, s’intéressent au tourisme en Roumanie.



    Découvrez le sujet ici – http://rri.ro/fr_fr/quel_genre_de_touristes_sont_les_roumains-2568022



    A propos de la bière, à laquelle j’ai déjà fait référence dans le sujet précédent, Michel Minouflet nous demande : « Pourriez-vous me dire si les Roumains consomment davantage de bières fabriquées en Roumanie ou sils préfèrent savourer les bières étrangères importées dans votre pays ? » Sachez que la Roumanie occupe la 7e place en Europe pour la consommation de cette boisson. En 2016, elle s’est élevée à 80 litres/habitant, soit 15,8 millions d’hl. L’industrie de la bière est en hausse de 7%, et a un chiffre d’affaires de 2 milliards d’euros par an ; elle rapporte plus de 500 millions d’euros de recettes au budget de l’Etat, par les taxes et les impôts.



    Les Roumains consomment surtout de la bière produite en Roumanie. Malgré cela, les importations ont connu une légère hausse par rapport à 2015, pour se chiffrer à 0,44 millions d’hl. Donc le poids de la production locale dans la consommation interne est de 97%. Si voici 13 ans, il y avait en Roumanie près d’une soixantaine de producteurs de bière, il en reste à peu près cinq maintenant. Des groupes japonais, hollandais, américain, danois et belge se partagent le podium. La bière en bouteille en plastique est la plus vendue en Roumanie — et on peut comprendre pourquoi : grande quantité de produit à un prix avantageux. Pourtant, les Roumains commencent à apprécier de plus en plus la bière en bouteille en verre. La tendance est donc à préférer la qualité.



    M Marcel Lecerf nous écoute en France, et nous a adressé un courrier volumineux, bourré de rapports d’écoute, où nous apprenons que : « J’ai apprécié dans ces rapports : toujours en premier le Courrier des auditeurs, au Café des francophones, Gens d’aujourd’hui, Radio Tour, l’Encyclopédie de RRI, l’Univers du jazz, Pro Memoria, Visitez la Roumanie, l’Invité de RRI, L’avenir commence maintenant, RRI Spécial ainsi que vos infos, épine dorsale de la station. M Houzelot et moi-même nous vous avons classé 1e radio dans nos préférences, bien avant les stations d’Asie ou d’Amérique, continuez comme ça avec des rubriques intéressantes. » Merci, nous sommes flattés. J’ai également noté votre question. Bonne écoute !



    Maurice Mercier, lui aussi de France, nous avise qu’il a bien aimé l’Univers du jazz et qu’il a suivi avec intérêt les programmes Société et A la découverte de la Roumanie. Tant mieux.



    Bienvenue parmi nous à M Martin Schrijvers, de Belgique, qui nous a adressé un premier rapport d’écoute dans lequel il nous félicite pour l’émission suivie. Merci, à la prochaine !



    « Très bonne réception et très bonne émission », s’exclame M Didier Vasseur, de France, qui ajoute que son récepteur a été en panne et il l’a fait réparer. « C’est reparti pour l’écoute », dit-il ; à preuve, nous avons un bulletin de réception.



    Nous restons en France, pour saluer M Jean Barbat« Merci, chers amis, pour ces bonnes émissions. Les infos sont très complètes. Très bonnes informations. Vos QSLs sont très belles. Une question sur les assurances en Roumanie. Sont-elles obligatoires pour les véhicules ? » Oui, M Barbat. Merci de votre intérêt et pour les rapports d’écoute.



    Meilleures pensées à vous, M Hannu Kiiski, de Finlande, et merci pour les timbres. Malheureusement, nous n’avons pas de calendrier à vous offrir.



    M Bernard Watelet, de France, merci bien pour la jolie carte postale, et pour ces appréciations que je citerai : « Au cours du magazine Pro Memoria, j’ai écouté avec intérêt la présentation du Traité de paix de Bucarest de 1918 et de ses conséquences. Dans le programme Planète verte, j’ai bien aimé le reportage sur l’arrivée de la mouette américaine en Roumanie. Très agréable quart d’heure de chansons d’amour roumaines dans le programme musical. Dans le Club affaires, j’ai suivi avec attention le reportage sur 3 frères bergers qui, après leurs études, ont créé une exploitation d’élevage de moutons… J’ai apprécié le programme musical composé de chansons de la région de Sibiu. Dans la rubrique culinaire, très appétissante, la recette du poulet à l’ail. Dans le magazine Visitez la Roumanie, agréable présentation du comté d’Alba et ses environs. » Bien des choses à vous, M Watelet !



    M Félix Guilbaud, de France, nous annonce qu’il nous écoute tous les jours avec une très bonne réception ; en voilà, de bonnes nouvelles ! Merci pour le rapport d’écoute et pour les cartes postales de découverte de votre région.



    Merci à toutes celles et à tous ceux qui nous ont écoutés et écrit : MM Christian Canoën et Jean-François Meile, de France, Michel Beine, de Belgique — et merci pour les questions intéressantes -, et Roger Roussel, du Canada.



    Comme le temps vole en votre compagnie, nous sommes déjà arrivés à la fin de ce Courrier des auditeurs. Merci d’avoir été là, et à très bientôt sur RRI.

  • Le courrier des auditeurs 14.07.2017

    Le courrier des auditeurs 14.07.2017

    Bonjour à toutes et à tous ! Très heureuse de vous retrouver à l’écoute du Courrier des auditeurs. Il y a deux semaines j’avais commencé à vous parler des principaux musées de Bucarest, à l’invitation de notre auditeur algérien Nouari Naghmouchi. J’avais énuméré le Musée national dhistoire naturelle Grigore Antipa, le Musée national de Géologie, le Musée du paysan roumain, le Musée du village, le Musée national dart contemporain et le Palais du Parlement.



    Découvrez le sujet ici — http://rri.ro/fr_fr/nouari_naghmouchi_algerie_les_musees_de_bucarest_ii-2566849


    Voyons maintenant qui encore nous a écrit. Dans un de ses emails, notre cher Christian Ghibaudo de France nous faisait part de ses impressions sur notre émission « Le Son des mots » réalisée en partenariat avec la Librairie Kyralina, la librairie française de Bucarest: « Intéressant de voir que cette librairie est très impliquée dans la francophonie. Il faudra que je la visite lors d’un prochain voyage à Bucarest, je sais vraiment quand… Donc grâce à RRI, j’ai appris à connaitre Barbara Abel, je suis assez friand de polars scandinaves, très populaires ces dernières années en France. C’était une émission passionnante et donc j’ai découvert Barbara Abel, tout à l’heure à la FNAC de Monaco, j’ai pu acheter son livre « L’innocence des bourreaux ».



    Merci, cher ami, nous sommes ravis que cette émission ait attiré votre attention. L’idée c’est de parler aussi littérature sur nos ondes, littérature contemporaine surtout, de montrer que la vie littéraire francophone de Bucarest n’est pas du tout négligeable grâce à l’Institut Français, mais aussi à cette librairie, sans oublier non plus les nombreuses foires du livre organisés tout le long de l’année et qui accueillent de nombreux écrivains étrangers. Merci donc pour ce retour très encourageant. En fin de message, Christian Ghibaudo ajoute : « J’ai aussi apprécié Pro Memoria consacrée à l’art culinaire du 18ème siècle. (…) La réception sur les ondes courtes est toujours très facile à 1000 TU. » Le rapport qui suit sera bientôt confirmé par une carte QSL. Merci et à la prochaine !



    Tout récemment, Amady Faye du Sénégal nous a envoyé le message suivant : « Cher(e)s ami(e)s de RRI, Et si nous pouvions passer lhivernage chez nous en Afrique lété chez vous en Europe avec le fameux jeu la tasse dété ? Dagréables tasses dété en cette période estivale ne feraient que du bien pour tous ! » Vous avez raison, cher ami, les Tasses d’été ont été une très belles expérience pour nous tous. C’était une émission en direct très complexe en fait, réalisée avec deux animateurs dans le studio, un sur le terrain à l’endroit que nous étions en trains de découvrir, avec des correspondances depuis différents coins de la Roumanie et des papiers descriptifs réalisés par le reste de l’équipe. En plus, à l’époque, nous ne travaillions pas en système numérique, donc la musique était sur CD, les voix enregistrées – sur minidisque, les différents auteurs présentaient leurs papiers en direct. C’était une émission diffusée le jeudi, pendant les mois d’été, mais le travail pour la préparer l’émission suivante commençait au moment où nous sortions du direct. Il fallait déjà connaître la prochaine destination, chercher des interlocuteurs francophones, demander les interviews, etc.



    Mais… à l’époque nous étions 10, sans compter les stagiaires et les correspondants. C’était faisable. Aujourd’hui nous ne sommes plus que 7. Vu les vacances, les weekends à récupérer et nos problèmes personnels, il arrive souvent que 3 personnes s’absentent au cours d’une semaine. Par conséquent, réaliser une émission si complexe à 4, et ces 4 personnes ne sont pas toujours les mêmes, ce n’est plus possible. Nous sommes tous nostalgiques et nous pensons souvent à notre Tasse d’été, mais nous avons évolué aussi entre temps.



    Nous vous proposons des émissions en direct tout le long de l’année, pas uniquement pendant l’été, nous avons souvent plusieurs invités en direct pendant la semaine, nous couvrons la plupart des événements – francophones ou pas – qui se déroulent à Bucarest et dans les principales villes du pays. Nous avons pas mal voyagé aussi, à Cluj, à Timisoara, à Tg Mures, à Iasi. Nous avons diversifié les sujets, à commencer par le théâtre, en passant par les faits de société pour arriver à des sujets sensibles de politique étrangère même.



    Alors je vous invite à considérer l’ensemble des émissions de RRI comme votre Tasse d’été, d’automne, d’hiver ou de printemps ! Comme votre tasse quotidienne de thé ou de café roumain et de la savourer pendant 56 minutes à midi ou dans la soirée ou bien pendant 26 minutes, la nuit avant de vous endormir ou le matin, au réveil. En tout cas, merci à tous pour ces encouragements ! C’est très touchant de savoir d’une part qu’une émission si ancienne comme la Tasse d’été vit toujours dans vos cœurs et d’autre part qu’une émission nouvelle a réussi à vous convaincre à acheter un livre, à réfléchir sur tel ou tel sujet, à améliorer un peu votre vie.



    Merci à tous ! Et à bientôt sur les ondes !

  • Le courrier des auditeurs 30.06.2017

    Le courrier des auditeurs 30.06.2017

    Bonjour à toutes et à tous ! Bien heureuse de vous retrouver à lécoute du Courrier des auditeurs. Je commence aujourdhui par une carte QSL, celle de mars. Je vous rappelle que cette année nous parlons de différents châteaux et citadelles de Roumanie. Pour janvier, nous nous sommes arrêtés aux ruines de la citadelle dacique de Sarmizegetusa Regia. La QSL de février est consacrée au célèbre et imposant château des Corvin de Hunedoara. Eh bien, pour le mois de mars nous avons choisi un château de la famille Cantacuzène : Castelul Cantacuzino.




    Découvrez la QSL de mars ici :


    http://rri.ro/fr_fr/qsl_mars_2017_le_chateau_de_la_famille_cantacuzene-2566370



    Le moment est venu de lire quelques messages de nos auditeurs. « Merci de me faire passer de bons moments à la découverte de votre pays », nous écrit Jean-Marc Ranson, de France.




    « Vos émissions sont toujours excellentes, je vous en remercie grandement », écrit Patrice Hegen, de France. Il ajoute « au plaisir de vous écouter souvent». Merci à vous de nous écouter, chers amis !




    Pour sa part, Philippe Marsan, de France, nous envoie un rapport découte dans un email et dans un autre, il nous demande sil y a une carte spéciale pour les écoutes à loccasion de la Journée mondiale de la Radio. Il ny a pas de QSL spéciale, mais pour les rapports du 13 février je vais faire une mention sur la carte QSL afférente. Merci de votre patience !




    Depuis le Japon, Osamu Aikawa reste fidèle comme dhabitude à RRI. Il y a un certain temps il nous écrivait que « Printemps de la Lumière était déjà arrivé à Tokyo. Des quatre saisons, jaime le printemps et lété. En automne et en hiver, je plonge dans un profond silence et dans la solitude. Je naime pas beaucoup lautomne et lhiver. Les fleurs de prunier ont fleuri. Les fleurs de cerisier aussi. Le cerisier Yoshino fleurira bientôt », racontait M Osamu Aikawa. Cher ami, jaimerais bien avoir la chance de voir un jour les cerisiers fleuris à Tokyo. Jai vu plein dimages sur Internet et cela semble être un spectacle merveilleux. A Bucarest, il existe un petit jardin japonais dans le parc de Herastrau. Même si cest tout petit, cest un endroit dune beauté inimaginable au moment où les cerisiers sont en fleur. Dommage que cela ne dure que quelques jours.





    Nouari Naghmouchi dAlgérie nous dit quil aimerait connaître les musées de notre pays. Evidemment, il serait impossible de vous parler de tous les musées de Roumanie, il y en a des centaines sans doute. Dailleurs nous parlons souvent de musées roumains dans nos différentes rubriques. Mais je voudrais quand même profiter de loccasion pour vous parler des principaux musées de Bucarest, car jai trouvé un article intéressant à ce sujet sur le site apropotv.ro. En fait, larticle propose une liste des 15 musées les plus importants de la capitale.



    Voici la réponse à cette question



    http://rri.ro/fr_fr/nouari_naghmouchi_algerie_les_musees_de_bucarest_i-2566371



  • Le courrier des auditeurs 05.05.2017

    Le courrier des auditeurs 05.05.2017

    Que le temps passe vite ! Nous voilà déjà au mois de mai. La saison des vacances approche à pas rapides. Cette année nous avons eu et nous aurons droit à quelques longs weekends, pour adoucir cette période qui précède les congés. Vous le savez très bien, nous avons eu le week-end prolongé de Pâques à la mi-avril. Ensuite nous venons de savourer les mini-vacances du 1er Mai – une belle occasion pour les Roumains de se rendre au bord de la Mer Noire. Tradition oblige. Et dans peu de temps nous aurons droit à un nouveau jour férié. A partir de cette année, le 1er juin, la Journée mondiale de lenfant, est une fête nationale et jour férié en Roumanie. La Journée de lenfant est très importante chez nous, plein dévénements sont dhabitude organisés à cette occasion : jeux, concerts, foires, ateliers, les voix des petits résonnent dans tous les parcs. Cest une véritable fête qui méritait bien un jour férié. Surtout que de nos jours le temps que les parents consacrent aux enfants est de plus en plus réduit puisque les Roumains travaillent beaucoup et parce que les enfants font toute sorte dactivités… si bien que le temps de jouer tout simplement ou de se balader dans le parc diminue. Je salue donc vivement cette initiative et jattends avec impatience de passer toute la Journée de lenfant avec ma fille, Dasha, qui a 5 ans déjà. Voilà. Jarrête de bavarder, car jai beaucoup de messages qui attendent des réponses. En route donc !





    Je commence par des messages reçus récemment et qui nécessitent une réponse urgente. Tout dabord, Jean Michel Aubier de France nous dit : « Profitant enfin dun peu de temps libre, je me suis rendu sur votre site pour écouter les dernières émissions. Aïe ! aucun programme nest proposé sur les derniers jours : la sélection dune date ne restitue aucun programme; jai essayé avec 3 navigateurs différents et je suis allé (au cas où) sur la page en anglais de RRI. Même problème, plus de programmes à la demande. Peut-être que cela nest pas récent ? Je suis très contrarié….. Jose seulement croire que ce nest pas une décision de la radio de suspendre les podcasts. Ce serait extrêmement dommageable. Moins, grave, mais un peu dommage quand même: toujours rien reçu suite au dernier concours “RadioRo 2016”. Mais cest malheureusement devenu une habitude. Il y a manifestement un problème dans lacheminement des envois. Jespère quà part ces petits ennuis (GROS ennuis pour les podcasts), tous va bien à RRI. Bonne semaine à tous ! » conclut Jean Michel Aubier.



    Cher ami, merci de nous avoir signalé le problème sur le site, nous allons le communiquer aux personnes en charge. Si sur la page en anglais, cela ne marchait pas non plus, cela veut certainement dire quil sagit dun problème plus ample. Merci de nous lavoir communiqué. Enfin, pour ce qui est des prix, nous sommes vraiment désolés de vous dire que nous navons rien envoyé depuis décembre dernier pour des raisons financières et bureaucratiques. Vu que le statut de la radio publique est incertain depuis la suppression de la redevance audiovisuelle (1er février), le budget 2017 de la radio na pas été voté, donc nous navons pas de budget pour les envois, donc aucun colis et aucune enveloppe na pu quitter la radio. Entre temps, la direction de la radio publique vient dêtre destituée, ce qui prolongera sans doute cette période dincertitude. Nous avons plein de QSL à envoyer à nous auditeurs, des prix aussi, mais la seule chose que nous pouvons faire cest attendre une décision favorable de la part de notre hiérarchie. Espérons quelle ne tardera plus.





    Je donne maintenant la parole à Christian Ghibaudo de France qui nous faisait part récemment de ses pensées à propos de la campagne électorale en France : « Et voilà linterminable campagne électorale pour la présidence, en France, se termine dans une semaine. La semaine prochaine nous connaitrons donc le nom du (ou de la) président (e) que nous aurons pour les 5 années à venir… Il semble que lélection dE. Macron soit actée, et après on sera dans lattente de ses réalisations. Campagne électorale pénible, ou on na pas été à lécoute des électeurs. Et voilà le résultat, deux candidats qui ne contentent pas tous les français et de loin. Vraiment pour ce deuxième tour, le choix nest pas bon un financier et une nationaliste… Campagne ou on a, à mon avis, très peu parlé décologie et dEurope (ou alors dans le mauvais sens). Déjà comment, le FN est-il parvenu à être au deuxième tour, et combien aura-t-il de voix la semaine prochaine, si cest aux environs de 40% cela sera énorme, et plutôt que dappeler à voter Macron, tous nos élus devraient se poser la question: « pourquoi autant de gens votent-ils pour le FN ? En ne répondant pas à cette question, rien ne changera. Et on donnera la présidence à quelquun qui sera très contesté dès cet été 2017. Résultat : on sera toujours au même point…. Les prochaines élections législatives diront exactement dans quel sens ira la prochaine présidence… Sinon, en écoutant les radios internationales, jai constaté que les autres pays, se sont aussi intéressés à cette élection française, et pas que les francophones ou francophiles. A ce sujet, le dernier Café des francophones était intéressant ». Merci, Antoine Heemeryck vous en remercie lui aussi.



    Et M Ghibaudo poursuit: « Alors pour les QSL, jai bien entendu quaucun envoi postal ne pouvait être effectué en ce moment car le budget navait pas encore été voté. Mais quen est-il pour le reste des activités de RRI, à savoir les déplacements des collaborateurs pour des reportages, et surtout les salaires sont-ils versés ? Ces difficultés administratives peuvent-elles mettre en danger les activités de la radio? » Pour répondre à votre question, car elle est dactualité, pour linstant lactivité de la radio nest pas en danger, les salaires sont versés, mais toutes les autres dépenses – déplacements, envois postaux, entretien etc – tout est bloqué.



    Enfin, une dernière question de la part de notre auditeur : « Pour en revenir aux QSL, jai vu la photo de celle de janvier sur le site web, y-a-t-il un thème particulier cette année ? » La réponse est oui, le thème de cette année porte sur les forteresses et citadelles roumaines. Je vous en parlerai dans un prochain courrier.





    Et maintenant, dans les minutes qui nous restent, je voudrais répondre à une question de Nouari Naghmouchi dAlgérie: le chien ou le chat: quel est lanimal domestique préféré des Roumains?



    Voici la réponse :


    http://rri.ro/fr_fr/nouari_naghmouchi_alerie_le_chien_ou_le_chat_quel_est_lanimal_domestique_prefere_des_roumains-2563766

  • Le courrier des auditeurs 05.08.2016

    Le courrier des auditeurs 05.08.2016

    Chers amis, c’est avec plaisir que je vous retrouve pour une nouvelle édition de notre Courrier. Aujourd’hui, je m’adresse à notre ami algérien Nouari Naghmouchi, qui souhaiterait connaître sil y a en Roumanie des journaux ou magazines en français. Oui, des magazines ; il y en a plusieurs, car la Roumanie est un pays francophone et francophile, où la francophonie a une tradition ancienne. Pour vous tenir au courant de l’actualité roumaine en français, nous invitons chaque mardi à l’antenne les responsables du magazine francophone « Regard », alternativement avec ceux de la publication en ligne lepetitjournal de Bucarest.



    Nous restons en Algérie pour répondre à notre ami Abdelhamid Djebbari, qui souhaite en savoir plus sur lutilisation de la voiture dans notre pays.



    Découvrez le sujet icihttp://rri.ro/fr_fr/abdelhamid_djebbari_algerie_quelles_voitures_pour_les_roumains-2551190



    Passons maintenant à vos lettres et messages. « Très bien, votre reportage sur les réfugiés. Merci pour ce programme et mon père vous remercie pour le timbre sur l’enveloppe», nous dit Olivier Robin, de France. Merci à vous de l’avoir suivi et d’avoir pris la peine de nous dresser un rapport d’écoute. Quant aux timbres, nous sommes contents si nous pouvons faire plaisir à nos auditeurs.



    Plusieurs envois contenant rapports d’écoute, lettres, cartes postales et timbres nous arrivent de Serge Piguet, de France. Il nous dit avoir suivi nos émissions « avec beaucoup d’intérêt » ; il a apprécié la musique diffusée ce jour-là, et la leçon de roumain : « Le roumain me paraît relativement facile à apprendre suite à ma première écoute de cette rubrique ». Persévérance ! « Reportage intéressant. Programme intéressant et varié, très bonne réception ! » Merci à vous.



    Jean Barbat, de France, joint ce mot à ses rapports d’écoute : « Merci, chers amis, de nous présenter de si belles émissions. » Merci à vous de votre fidélité. Vous nous demandez s’il y a encore des Lada en Roumanie. On en voit très peu. D’ailleurs, il n’y en avait pas trop même avant 1989. Bien des choses à vous, M Barbat.



    Et j’enchaîne par cette lettre de Bernard Watelet, toujours de France, qui nous adresse aussi une très belle carte postale, appréciée comme d’habitude, au dos de laquelle nous lisons : « L’audibilité fut excellente, comme la qualité de la programmation. Au cours du programme Au café des francophones, très intéressante causerie sur le triage des réfugiés et les campements de migrants. Dans Club affaires, j’ai suivi avec attention le point sur le marché du médicament. Au cours de l’Encyclopédie de RRI, j’ai écouté avec intérêt l’histoire et la présentation du complexe roumano-serbe de centrales hydrauliques dont une partie se trouve à Drobeta Turnu Severin. » Je note que ce complexe s’appelle les Portes de fer. « Dans la chronique musicale, j’ai apprécié les morceaux de musique classique, en particulier celui intitulé Caprice roumain. Au cours de la rubrique tourisme, j’ai bien aimé le reportage sur la réintroduction des bisons dans les régions de l’ouest de la Roumanie. Très intéressante présentation du système de chauffage centralisé dans Carnet d’adresses. » Merci à vous pour ces écoutes si attentives et à bientôt.



    C’est toujours de l’Hexagone que nous arrive un pli avec 20 rapports d’écoute minutieux de Paul Jamet, ainsi qu’une description d’une saison magnifique au bord de l’Oise, et des oiseaux des parages auxquels ses petits-enfants se font une joie de donner du pain. Nous imaginons les décors changeants au fil des saisons et les miroitements de l’eau qui doivent être superbes.



    Mais c’est une compétition ! Notre auditeur de longue date, Christian Canoën, toujours de France, nous envoie 62 rapports de réception. Au fil de nos échanges épistolaires, nous arrivons à déplorer de nouvelles morts, certaines suite à des dysfonctionnements de certains services, mais aussi à des erreurs humaines ou encore à cause de la corruption. Les cicatrices de la tragédie de la discothèque Colectiv sont encore présentes dans notre esprit.



    Beaucoup d’auditeurs français dans cette édition. Merci pour vos bulletins de réception, et d’avoir partagé ces pensées avec nous, Marcel Lecerf, de France : « Ce jour-là, la chanteuse roumaine a tout simplement une voix divine, et les arrangements musicaux sont parfaits pour la mettre en valeur. J’ai apprécié : le Courrier des auditeurs qui permet d’entendre citer les noms d’amis, avec lesquels nous partageons la même passion, la radio, dans le club lorrain sous toutes ses formes, qu’elles soient émissives ou réceptives. Au départ à la formation du club, nous n’étions que des écouteurs, d’où la dénomination Radio club des écouteurs lorrains. » Gens d’aujourd’hui, Ils sont célèbres, ils sont Roumains, RRI Spécial, l’Encyclopédie de RRI ainsi que nos infos ont également retenu l’attention de M Lecerf. Nous sommes très contents que nos émissions vous plaisent. Bonne continuation !



    Une lettre nous vient du Canada, celle de Roger Roussel, qui nous dit, sur une très jolie carte : « Signal radio excellent. Emissions superbes. Quoi demander de mieux ? Je vous encourage à continuer votre excellent travail ». Merci bien !



    Retour en France avec cette lettre de Pierre Marichal, qui nous dit « Amis de RRI, je vous félicite pour la qualité et la diversité de vos émissions en français. La très bonne propagation fait que c’est encore plus un plaisir de vous écouter. » Merci bien pour ces appréciations qui nous vont droit au cœur.



    Jean-François Meile, de France, nous enchante aussi avec ces quelques lignes accompagnant ses nombreux rapports d’écoute, et que je citerai : « Comme vous pouvez le constater, la réception est toujours excellente. J’aime bien écouter votre station qui nous cultive sur votre pays, malheureusement peu connu en France. » Merci pour ces propos, mais faites encore mieux ! Venez en Roumanie !



    Très contente que vous ayez apprécié les réponses sur le sujet que vous aviez proposé, Michel Beine, de Belgique. Vos rapports d’écoute sont impressionnants.



    Bună ziua, Alin Ioniţă, din Franţa! M Ioniţă, qui habite en France, nous a écrit pour la première fois, et adressé un rapport d’écoute. Bienvenue sur nos ondes! Il se dit « très heureux d’avoir trouvé une de nos fréquences depuis quelques mois, avec des informations utiles et diverses. J’ai changé de poste pour mieux recevoir les programmes de RRI. Ne changez rien, c’est parfait. » Mulţumim mult ! Vous nous en voyez ravis.



    On nous écoute en français même au Brésil ; c’est de là que vient le bulletin de réception de Rubens Ferraz Pedroso, qui nous demande une carte QSL. Cela est certainement déjà fait, nous attendons d’autres nouvelles de vous !



    Salut à toi, Gilles Gautier, de France. Un grand merci pour ton message manuscrit et pour la splendide carte de la cathédrale de Chartres. Il est clair qu’un courrier postal, surtout agrémenté d’une si belle carte, est différent d’un autre envoyé via le net, mais nous sommes contents des deux. « C’est toujours agréable d’entendre RRI, on y apprend beaucoup ! Continuez ainsi » nous dit Gilles. Merci, bien des choses à toi, à Mme Agnès et à tous les sympathiques adhérents du RCP.



    Voilà, point final ici de cette édition du Courrier. Bonnes vacances à qui en prend maintenant, et à bientôt sur RRI !

  • Le courrier des auditeurs 19.02.2016

    Le courrier des auditeurs 19.02.2016

    Chers amis, quel plaisir de vous retrouver ! Le temps en Roumanie nous a fait croire que le printemps était arrivé. Ce n’était qu’une illusion, bien entendu. Nous avons eu même 25°, quasiment le record absolu de température pour le mois de février. Bien sûr, cela ne pouvait pas durer, mais en tout cas, c’était pour le moins inattendu.



    Bien le bonjour à notre ami français Jean-Michel Aubier



    Nous allons en Afrique avec cette question adressée par notre ami Nouari Naghmouchi, d’Algérie : je souhaiterais connaître le nombre dhabitants en Roumanie et dans la capitale Bucarest. La Roumanie comptait, au 1er janvier 2015, 22.279.000 habitants, considérés selon leur domicile déclaré, un chiffre à la baisse de 67.000 personnes par rapport au 1er janvier 2014, tandis que la capitale avait il y a une année 2.100.000 habitants, précise l’Institut national de la statistique. 12,572 millions de personnes habitaient en milieu urbain, dans les 320 villes, tandis que les 2861 communes étaient habitées par 9,707 millions de personnes. A cette même date, Bucarest avait 16,7% de la population urbaine et 9,4% de la population du pays. Voilà.



    Nous revenons en France, où nous écoute aussi notre ami Gilles Gautier, président du Radio club du Perche ; bonjour, Gilles. J’espère que tout va bien de ton côté, je te le souhaite. Je glane parmi les propos de notre ami : « Il y a un bon moment que l’on sest envoyé un petit mot. Aussi celui-ci est bien particulier. Comme tous les ans, nous organisons notre rencontre des amis de la radio. A cette occasion j’aimerai votre présence à cette manifestation. Nous en gardons un bon souvenir. Jai toujours dans lordi les photos de votre venue il y a plusieurs années déjà! Je vous écoute ce midi de chez ma maman. Je viens la voir tous les deux jours. » Merci beaucoup pour ce message très sensible. Nous sommes contents que de telles rencontres continuent d’être organisées. Moi-même je garde un très bon souvenir de mon passage dans le Perche. Je ne vous cache pas que nous avons des contraintes budgétaires importantes en ce moment. Je suis désolée que votre mère soit souffrante et lui souhaite, ainsi qu’à vous et Mme Agnès, la santé, le moral et beaucoup de courage.



    Nous ne changeons pas d’emplacement géographique, nous sommes toujours en France, pour saluer très chaleureusement Louisette et René Pigeard, qui s’intéressent aux légendes de Cluj. Cette jolie ville transylvanienne a une histoire riche et intéressante. Et aussi quelques légendes transmises de père en fils. Aujourd’hui, peut-être la plus connue, celle du roi de Hongrie Matia Corvin, telle que racontée sur le site visitcluj.ro. Elle dit que le roi Matia, de passage par la Transylvanie, sa contrée natale, a laissé sa nombreuse suite dans une cité à proximité et s’est déguisé en étudiant voyageur. C’est ainsi qu’il est entré dans sa ville natale, pour voir quel était l’état d’esprit des habitants, mais aussi l’attitude des dirigeants de la ville vis-à-vis de ses sujets. Sur la place centrale de la ville, il a constaté que des représentants de la plèbe étaient obligés par les gens du juge de transporter des bûches, mains nues, pour le logement de ce dernier. Qui ne se soumettait pas était fouetté. Face à cette injustice, il a protesté, après quoi il a été fouetté et obligé à se joindre aux pauvres dans leur labeur, jusqu’au coucher du soleil. La légende veut que Matia ait écrit au charbon sur trois bois de la cour du juge « Le roi Matia a été ici. Où est la justice ? » Libéré au coucher du soleil, le roi a rejoint son camp. Le lendemain, il est revenu dans la ville, avec toute sa suite, étant accueilli à grand faste par le juge et les chefs de la ville. Il a questionné le juge sur le respect des lois interdisant l’exploitation abusive des personnes libres ; ce dernier a assuré que ces lois étaient respectées à la lettre près. Le roi a alors dit à ses hommes de fouiller dans les bois pour trouver ceux sur lesquels il avait écrit l’inscription en question la veille. Après quoi il a puni le juge et a pris des mesures pour s’assurer que les droits et libertés de tous les citoyens étaient vraiment respectés. Voilà, René, Louisette ; certes, les temps étaient différents alors… Je vous embrasse et vous donne rendez-vous dans un prochain Courrier pour une autre légende de Cluj.



    Merci à toutes celles et à tous ceux qui ont suivi notre émission spéciale pour la Journée mondiale de la Radio, dont Philippe Marsan, de France, que j’ai le plaisir de saluer. M Abdelhamid Djebbari, d’Algérie, nous dit, lui : « Chaque année, les stations de radio dans le monde entier célèbrent cette journée. Chaque année, et les amateurs de radio internationales captent les émissions internationales, et plus de communications aussi ». Merci d’avoir été avec nous !



    Beaucoup d’auditeurs français aujourd’hui ; Christian Ghibaudo, salut ! J’espère que tu vas bien. Christian a partagé quelques réflexions avec nous : « J’ai toujours autant de plaisir à écouter vos émissions en particulier l’émission spéciale pour “Ma Roumanie, chronique d’un amateur”. C’est vraiment une chronique à ne pas manquer et a diffuser, à mon avis, sur les ondes nationales françaises. Cela permettrait aux français, de mieux comprendre la Roumanie ! » Bonne idée ! « J’espère que “Spotlight on Bucharest” reviendra l’année prochaine, et que je pourrais venir à cet évènement. Les photos que j’ai pu voir montrent un festival très intéressant et enrichissant. Je vais essayer de revenir à Bucarest en 2016! » La visite serait certainement très agréable pour nous. Nous t’attendons!



    « Permettez-moi de vous écrire pour vous exprimer mes meilleurs sentiments pour votre Radio que japprécie bien », nous dit notre auditeur libanais Raïf Chaaban. Qui enchaîne : « surtout les programmes de week-end que jécoute depuis plusieurs années et pour vous remercier du cadeau, que jai reçu par la poste, gagné par le concours. J’en profite pour présenter mes meilleurs a toute l’équipe de Radio Roumanie Internationale, section française, qui est la voix de la Roumanie pour l’étranger et c’est grâce à vous que j’ai visité la Roumanie que j’ai connu a travers vos programmes. Ma prochaine visite à Bucarest sera le 24 mars 2016 et bien sur ça sera mon honneur de vous visiter de nouveau si le temps vous permet. » Nous vous attendons ! « En écoutant votre Radio, c’est un plaisir pour enrichir notre connaissance sur la Roumanie », nous disait encore notre ami M Raïf Chaaban, du Liban. Un grand merci de nous écouter et au plaisir de vous revoir !




    Cette émission touche à sa fin. Je ne voudrais pas prendre congé de vous avant de remercier M Roger Roussel, du Canada, pour son courrier agrémenté de très jolis timbres, comme à l’accoutumée. Merci aussi à M Arjun Sharma, qui a suivi notre émission dans d’assez bonnes conditions en Inde ! Nous espérons que le problème que vous nous aviez signalé est maintenant réglé. Ce Courrier des auditeurs est maintenant terminé ; bien des choses à vous qui nous écoutez et à bientôt !

  • Le courrier des auditeurs 22.01.2016

    Le courrier des auditeurs 22.01.2016

    Chers amis, nous sommes de nouveau ensemble ; le plaisir est de mon côté, merci d’être là. Brrr, quel froid intense ! Après avoir subi la neige et le blizzard, qui ont même fait fermer les écoles dans certains comtés, et aussi à Bucarest, la Roumanie est complètement gelée, noua avons eu même au delà de -19° dans la capitale roumaine. C’est aussi pour répondre à la question de notre auditeur algérien Abdelhamid Djebbari. Un froid si intense ne dure d’habitude que quelques jours par hiver sur tout le territoire national, mais cette fois-ci, le froid polaire a pris ses quartiers et n’en démord pas. Nous avons, comme chaque pays peut-être, des localités qui sont les cols du froid, et où –20 et même au delà, c’est tous les jours. Le minimum négatif de température dans ce pays a été de –38°, à Bod, dans le comté de Braşov (centre), c’était en 1942. La Roumanie est sous l’effet de ce froid polaire jusqu’au 27 janvier, selon la météo. La sensation de froid est amplifiée par le vent fort.



    Daniel Beaulne, du Canada, je pense que cela vous fait rire. Quant à vous, vous nous demandiez dans un de vos messages combien il y a de Magyars en Roumanie. Je pense que cette réponse peut intéresser aussi Gilles Gautier, de France, que je salue, ainsi que notre auditeur algérien Nouari Naghmouchi, qui s’intéresse aux langues parlées en Roumanie.



    Découvrez le sujet ici – http://www.rri.ro/fr_fr/minorites_et_langues_parlees_en_roumanie-2542267




    Passons maintenant à la lecture de vos lettres et messages. Nous faisons un saut en Italie, pour demander des nouvelles de Marzio Vizzoni. Il nous disait avoir « écouté avec plaisir notre joli programme. J’aime bien écouter la radio, parce qu’elle est un média sans frontières qui aide à la connaissance des peuples entre eux. J’ai bien aimé écouter votre émission. Je peux mieux connaître la culture, les arts, les loisirs et la vie dans votre pays. Merci à vous, pour toutes les informations que vous m’envoyez par la radio. Je continuerai d’écouter vos programmes », nous disait M Vizzoni d’Italie. Merci aussi pour votre bulletin de réception, les autocollants et la carte postale ; arrivederci !



    Nous sommes gâtés avec toutes ces splendides cartes postales, dont une nous arrive de France ; elle me suscite de très agréables souvenirs du Mont Doré. C’est en Auvergne que Bernard Watelet suit aussi nos programmes depuis de longues années, ce qui nous réjouit. Nous lisons dans son message : « Au cours du magazine Pro Memoria, j’ai suivi avec attention le rappel de la descente des gueules noires sur Bucarest pour « casser » l’intellectuel et l’étudiant avec la complicité de la police en juin 90. Dans le programme Planète verte, très intéressante présentation de la réalisation du projet de protection de l’ours brun promu par l’Union européenne. Au cours de la chronique culinaire, j’ai apprécié le voyage gastronomique dans la région de Sibiu. Excellentes mélodies traditionnelles dans le programme musical. Dans le programme de tourisme, j’ai bien aimé le reportage sur l’église fortifiée du village de Cristian. » Voilà, vous avez fait un voyage sur les ondes en Roumanie à plusieurs niveaux ; à quand un voyage effectif ?



    « J’ai été émerveillé par votre émission spéciale sur Cluj », nous dit notre ami Jacques Augustin, de France. « Cela me rappelle de très bons souvenirs sur la Roumanie, pays plus qu’accueillant envers les étrangers. Ce type d’émissions est à renouveler car l’auditeur ne peut que s’enrichir et en apprendre beaucoup sur la culture roumaine ainsi que sur l’amitié roumano-française avec de solides échanges. »



    A toutes et à tous, merci d’avoir suivi ce Courrier des auditeurs et à bientôt sur RRI !

  • Le courrier des auditeurs 18.12.2015

    Le courrier des auditeurs 18.12.2015

    Comment allez-vous ? J’espère que vous allez bien et que l’approche des fêtes d’hiver vous donne la pêche. J’ai du mal à croire que cette année prendra fin bientôt ! Une année riche en événements, surtout sur la scène politique. Des événements troublants, parfois même tragiques, qui ont mis l’humanité, la coopération et les rapports entre différents pays à dure épreuve. Pourtant, espérons que 2016 sera meilleure ou du moins, qu’elle ne sera pas pire. Espérons surtout que nous allons continuer à vivre en paix et en sécurité. Espérons cela pour tout le monde et pour tous les pays !



    Et puisque Noël approche à grands pas, j’aimerais bien vous parler, dans les minutes suivantes, du budget des dépenses pour les fêtes de fin d’année des Roumains, à la suggestion de notre ami Jacques Augustin de France.



    Découvrez le sujet ici – http://www.rri.ro/fr_fr/jacques_augustin_france_le_budget_des_roumains_pour_les_fetes-2540755



    Heureusement que les vœux de santé et de joie ne coûtent rien et qu’en plus, ils font tellement chaud au cœur. Et puis, à part ces vœux, on pourra se faire aussi des cadeaux musicaux sous forme de dédicace ou encore des cadeaux radiophoniques sous forme de réponses à vos lettres et à vos messages. En voici un premier exemple. Une réponse à un message envoyé par notre ami Jean Michel Aubier qui dit à propos de l’une de nos émissions diffusées il y a quelques mois « je viens découter la première émission du cycle consacré aux villes roumaines “capitales européennes de la culture”. Cétait très intéressant, et le point de vue de Richard Edwards sur Bucarest est très édifiant. Bucarest, la mal-aimée ? Il est vrai que dans nos régions occidentales, Bucarest ne fait pas vraiment rêver et se doit de mieux se révéler au monde. Mais si même au sein de la capitale roumaine, on ne croit pas en soi….. il y a un problème ». Eh oui, vous savez, il y a assez peu de Bucarestois qui aiment vraiment leur ville, surtout parce qu’il y a très peu de Bucarestois de souche. Ceausescu a terrassé tous les villages aux alentours de la capitale, en forçant leurs habitants de quitter leurs fermes pour déménager dans des HLM. Autant de personnes qui n’étaient pas prêtes à vivre dans une capitale, de l’aimer et de la soigner. Bien que Bucarest soit assez sale, très polluée et très bruyante, elle a son charme. Il y a une semaine, j’ai eu une interview dans un des quartiers chics de Bucarest, près de la Télévision publique. Hé bien, pour une dizaines de minutes, j’ai eu le sentiment de me retrouver dans un quartier chic de l’une des grandes capitales occidentales. Vous ne vous imaginez pas quelles belles villas existent dans ce quartier ! Et puis, je me suis rendu compte que pour le 21ème siècle, Bucarest est une capitale qui a encore pas mal de quartiers chic, de quartiers pleins de maisons et de villas, avec de jolis jardins, très fleuris au printemps, des quartiers charmants qui seraient certainement appréciés par tous les touristes qui nous rendraient visite. L’important est d’avoir un bon guide ! Et à propos des villes roumaines en lice pour le titre de capitale européenne de la culture. Sur un total de 14, il n’en reste que quatre à l’heure actuelle, à savoir Bucarest, Timisoara, Cluj et Baia Mare. A qui le trophée ? On verra en été.



    Bonjour ou bonsoir à vous, cher Gilles Gautier, de France et comment ça va ? Merci à vous d’alterner les lettres avec les mails. Car, d’une part, il faut profiter des bénéfices des nouvelles technologies, mais de l’autre, les bonnes vieilles méthodes de correspondance ont un charme que les mails ne pourront jamais effacer. Le plaisir de trouver une lettre dans sa boîte, de l’ouvrir, l’émotion de lire le nom de l’expéditeur, d’avoir de ses nouvelles et souvent, de se voir offrir un petit cadeau tel une jolie carte postale, hé bien, tout cela est magique. Merci donc, cher Gilles Gautier, pour tout ! Vos rapports d’écoute ont été déjà confirmés par des cartes QSL, j’espère que vous les avez reçues. A bientôt sur nos ondes !



    Dirigeons-nous vers l’Algérie pour un petit coucou amical à Farid Boumechaal qui nous a fait parvenir un nouveau rapport d’écoute confirmé déjà par une carte QSL. Nous sommes contents que nos programmes suscitent votre attention et qu’en fait, vous avez écouté nos programmes en entier. Merci et bonne continuation sur nos ondes !



    Comment ça va, cher Nouari Naghmouchi d’Algérie ? Tout va bien de votre côté ? Malheureusement, RRI n’a pas les ressources d’avoir des correspondants partout dans le monde. Et puis, même ceux actuellement en place dans les grandes capitales mondiales sont des Roumains qui connaissent très bien la politique menée depuis Bucarest. Je me vois obligée de répéter : RRI se consacre à la Roumanie et aux réalités roumaines.



    Madame, Monsieur, c’est tout pour aujourd’hui. Ioana vous remercie de votre attention et vous donne rendez-vous à l’année prochaine. En attendant, un peu de musique. Qui sait, peut-être fera-t-on un tour de magie pour que la neige tombe enfin sur Bucarest !

  • La courrier des auditeurs 11.12.2015

    La courrier des auditeurs 11.12.2015

    Chers amis, voici venu de nouveau le jour de passer quelques moments en votre compagnie.

    Aujourd’hui : un sujet qui intéressera notre auditeur belge Michel Beine, que je salue. Le nombre d’églises en Roumanie.

    Découvrez la réponse ici:
    http://rri.ro/fr_fr/michel_beine_belgique_les_eglises_de_roumanie-2540421

    Bien le bonjour à Jean-Marc Olry, de France, qui a suivi quelques-unes de nos émissions, et nous disait : « Le Café des francophones a donné sa juste place à Nicolae Georgescu-Roegen… et a sans doute permis de le faire connaître à bon nombre d’auditeurs. Je suis rassuré ! Richard Edwards avec ses talents de conteur nous fascine toujours autant… mais où va-t-il trouver toutes ces anecdotes ? Chaque samedi elles sont devenues un rendez-vous attendu avec impatience. En tout cas, le miel de « balta », il nous a bien fait saliver ! J’aime bien aussi, sur le site, les photos de Sorina Săvulescu qui illustrent souvent ses chroniques. Ma mère, mon fils et moi lui adressons un amical « bonjour ». Ses chroniques sont irremplaçables! » Merci à vous, Jean-Marc, et à la prochaine !

    Quant à Christian Ghibaudo, de France, voici les commentaires que lui a suscité la dernière chronique de Richard Edwards : « Tout à l’heure sur votre site web, j’ai écouté la 83ème et dernière chronique de Richard Edwards. Quel bel hommage et preuve d’amitié, rendus à Ileana et Andrei ! J’ai eu grand plaisir à écouter toutes les semaines, pas forcément le samedi, mais régulièrement grâce à Internet, cette chronique de 4 minutes. Quelle bonne idée d’avoir proposé à Richard nous narrer ses impressions sur sa vie en Roumanie. C’était très intéressant, instructif et quand il parlait de Bucarest j’avais l’impression d’y être ! Je vais regretter cette chronique hebdomadaire et j’imagine que la visite mensuelle de Richard va aussi vous manquer ! Mais d’un autre côté, je me réjouis de pouvoir réécouter ces chroniques à partir de janvier 2016, si j’ai bien compris. » Oui, en effet, à tous ceux qui les ont appréciées, vous pourrez réécouter ces chroniques.

    Nous avons un nouvel auditeur congolais, M Pierre Mvuezolo Phoba, qui nous pose aussi une question. D’abord soyez le bienvenu sur nos ondes. J’espère que vous pouvez bien suivre nos programmes. En attendant de vous donner réponse, dites-nous ce qui vous intéresse dans nos programmes.

    Bien le bonjour à notre auditeur français Michel Minouflet. Comment vas-tu, Michel ? Merci pour cette lettre où tu nous disais : « J’ai écouté le courrier des auditeurs et j’ai beaucoup apprécié les questions posées par vos fidèles auditeurs ainsi que les réponses très complètes que vous avez développées durant cette rubrique présentée de manière conviviale. Merci aussi pour vos autres émissions que j’écoute aussi régulièrement. » Merci à toi et aussi pour la question que nous avons notée. A bientôt.

    Et voici un autre message d’Afrique, cette fois-ci d’Algérie, où nous écoute Nouari Naghmouchi, qui nous dit : «Comme auditeur fidèle à votre station depuis une longue date et je resterai pour toujours, puisque je m’intéresse à la culture de votre pays et à l’écoute des ondes courtes. Le programme est toujours bon et la qualité de réception est formidable. Grâce à votre radio j’ai une idée sur le pays, c’est un grand plaisir pour moi. Ce que je souhaiterai s’il y a une possibilité de travailler avec vous et je serai un bon correspondant ici dans le Maghreb Arabe, je m’intéresse à la politique et à la culture des pays. » Nous sommes très contents des appréciations que vous donnez à nos programmes, et vous encourageons à continuer à les suivre. Nous essayons de les rendre aussi intéressants que possible pour un public étranger de différents coins de la planète, avec des horizons et des cultures très différentes. Malheureusement, pour ce qui est de travailler avec nous, nous n’avons pas cette possibilité. Toutefois, nous vous encourageons à nous écrire et à parler de RRI autour de vous. Merci.

    Cela a
    été une joie pour moi de vous retrouver et d’échanger quelques idées avec vous,
    sur la base de vos propos et questions. Passez une excellente fin de semaine et
    à très bientôt.

  • Le courrier des auditeurs 25.09.2015

    Le courrier des auditeurs 25.09.2015

    Puisque le soleil est toujours de la compagnie, je voudrais en profiter encore pour vous inviter dans les forêts de Roumanie à la suggestion de notre ami Jean- François Meile qui aimerait apprendre davantage sur la chasse en Roumanie.

    Découvrez le sujet ici: http://www.rri.ro/fr_fr/jean_francois_meile_france_la_chasse_en_roumanie-2536741

    Bonjour ou bonsoir à vous, cher Philippe Marsan et comment ça va ? Merci à vous de continuer à écouter Radio Roumanie Internationale et merci pour tous les rapports d’écoute qui nous servent bien dans notre travail. Il est important d’avoir le feedback des auditeurs vis-à-vis des sujets traités et de la musique choisie. A propos, comment trouvez-vous la nouvelle grille de programmes de RRI ? Comme vous avez pu le remarquer, on a fait des petits changements et on voudrait bien connaître le plus d’opinions là-dessus. Par conséquent, on vous invite toutes et tous à nous envoyer un petit message ou une petite lettre pour nous dire si le programme en français sur RRI, tel qu’il est à l’heure actuelle, vous plaît davantage ou pas. Merci d’avance !

    Bonjour cher Christian Ghibaudo et comment allez-vous ? Je suis tombée sur votre message où vous auriez voulu apprendre davantage sur les produits anti-vieillissement inventés par Ana Aslan. J’espère que vous avez écouté l’édition du courrier que je leur ai consacré. Comme vous avez pu le remarquer, ils sont très recherchés et très à la mode ces produits et le centre anti-vieillissement Ana Aslan est toujours ouvert aux cures anti- âge. Je me rappelle que ma grand-mère était allée une ou deux fois là-bas pour essayer de remédier à ces problèmes de rhumatisme et le centre était très beau et très moderne même à l’époque communiste. Il y avait un grand parc où je me rappelle avoir aperçu des biches et des faisans. Si vous avez raté le courrier consacré aux produits anti-vieillissement inventés par Ana Aslan, vous pouvez trouver la réponse sur notre site. Bisous de Bucarest !

    Direction l’Algérie pour passer le bonjour de nous tous à notre auditeur Nouari Naghmouchi qui nous a écrit « pour nous remercier de nos efforts fournis afin de présenter le meilleur de nos informations ». Par ailleurs, notre auditeur avoue aimer bien le site de RRI qui, dit-il, a fortement progressé. « Il me plaît de plus en plus chaque jour, grâce aux images et aux articles présentés qui me font connaître votre cher pays de plus près ». Merci à vous, cher Nouari Naghmouci, votre message nous a fait grand plaisir. On vous souhaite très bonne continuation sur nos ondes !

    En fin de courrier, je vous invite tous au Japon pour faire un coucou amical à notre auditeur Osamu Aikawa dont les lettres nous font toujours grand plaisir surtout qu’elles abondent en détails sur nos programmes. Cher ami, je sais que vous traversez une période très difficile et j’espère de tout cœur que RRI pourra, par ses émissions et nos voix, être près de vous et vous aider à lutter contre la solitude. D’autre part, on n’a qu’une vie et il faut en profiter et vivre chaque jour comme le dernier. Je sais que parfois est difficile, mais la vie est toujours pleine de surprises et qui sait, peut-être le bonheur, le vrai, sera bientôt de retour dans votre vie. En attendant, restez à l’écoute de RRI !

  • Le courrier des auditeurs 06.02.2015

    Le courrier des auditeurs 06.02.2015

    Chers amis, j’espère que vous êtes en pleine forme — et je vous le souhaite.


    Aujourd’hui, j’ai une petite réponse que je destine à notre fidèle ami René Pigeard, de France, ainsi que Louisette, que j’ai le plaisir de saluer. J’espère que tout va bien de votre côté. La question de René porte sur le film du réalisateur Radu Mihàileanu « Train de vie » – ce train a-t-il vraiment existé ? Avant de donner la réponse, je vous rappelle en quelques mots l’histoire de ce film, telle qu’elle figure sur des sites spécialisés. « Un soir de 1941, Schlomo, le fou du village, arrive dans son shtetl (appellation yiddish pour un petit bourg d’Europe Centrale), apportant une terrible nouvelle : les Allemands déportent les habitants des villages voisins vers une destination inconnue. Le Conseil des Sages se réunit aussitôt et convient dune solution surprenante, suggérée par Schlomo lui-même : plutôt que de tomber aux mains des nazis, les membres de la communauté ont décidé dorganiser eux-mêmes leur déportation, tout en veillant, naturellement, à ce que leur train atteigne en fait la Russie, terre dasile, plutôt quun camp. Un train a été acheté, des «volontaires» désignés pour interpréter les soldats allemands, et le convoi sest mis à circuler sur les voies ferrées contrôlées par le Reich. Les nazis ne tardent pas à le repérer et se lancent à sa poursuite. Les faux déportés doivent multiplier les ruses pour échapper à leurs tortionnaires… »


    Cher René, c’est un film qui est délicat, et empreint de l’humour juif. En fait, il est inspiré par lactivité, en Roumanie, d’une organisation basée à Bucarest, qui affrétait pendant la Seconde guerre mondiale trains et bateaux pour évacuer les Juifs roumains vers Istanbul (la Bulgarie étant favorable à lopération et la Turquie, neutre). La Wehrmacht était présente en Roumanie et Bulgarie, alliées à lAllemagne, et il fallait la complicité des maquis et des résistants des chemins de fer pour passer au travers. Tous ny parvinrent pas (voir la tragédie du Struma), rappelle Wikipédia. Autrement, l’histoire qui n’a pas de rapport avec la réalité. Merci pour cette question ; Louisette, René, portez-vous bien et à bientôt.



    Nous avons le temps de passer en revue quelques-unes de vos lettres et autres messages. M Didier Vasseur, de France, vous écrivez de plus en plus petit et nous n’arrivons plus à lire du tout, malgré toute notre bonne volonté. Il y a pourtant un passage où j’ai cru comprendre que vous vous demandiez si notre club d’écoutes existe toujours, parce que vous aviez envoyé un bulletin de réception et il n’avait pas été confirmé au moment de l’envoi de votre lettre. Eh oui, il existe bel et bien, et je suis sûre que vous aurez reçu la QSL correspondante entre temps. « J’adore vos émissions et aussi vos belles QSL », conclut M Vasseur. Merci.



    On nous écrit de Chine ! « Mon nom est Tang Xiyao (Victor Tang). Je suis amateur de médias, d’infos et de DX, de tourisme, et de culture. Mon hobby est de collecter tous ce qui a trait à tous les types de médias, stations de radio, chaînes de télévision, presse, DX clubs. Je suis très intéressé par votre station. Dans le même temps, je suis très intéressé par votre région et votre pays, et par des souvenirs de votre station ». Merci pour votre message si aimable ; nous vous enverrons tout ce dont nous disposons, et bonne écoute !



    Bienvenue parmi nous à M Gilbert Dupont, de France, qui se déclare un auditeur fidèle qui nous écrit pour la première fois. Merci de nous écouter et de nous écrire, et bonne continuation. Nous avons apprécié la carte postale. A bientôt !



    M Abdelillah Boubchir, d’Algérie, nous a donné une très bonne nouvelle, en accompagnement de quelques rapports découte : « je vous remercie ; grâce à votre radio jai appris beaucoup de choses sur la Roumanie. Jai proposé à mes amis d’ouvrir un Club des amis de RRI ; lidée est géniale. Je suis très content de vous lancer cette information de ma ville Sidi Bel Abbès dans louest de lAlgérie », ajoute notre auditeur. Et nous, nous sommes très heureux de cette initiative ; dites-nous comment ça se passe au club. Bonne chance !



    Nous saluons M Jean Michel Lacroix, de France, qui, lui, nous salue en roumain — orthographe très correcte, cher monsieur. Nous sommes contents que vous ayez reçu notre colis dans de bonnes conditions, et surtout que son contenu vous rappelle le comté de Prahova, que vous avez même traversé quelques fois, comme vous dites. « Presque tous les soirs, je consulte le site RRI en français, j’écoute aussi les infos pour rester le plus près possible de l’actualité de Roumanie », nous avoue notre auditeur. Vous nous en voyez ravis. Belle amitié et échanges intéressants entre les habitants de votre village et celui d’Aluniş, en Roumanie ! Nous souhaitons longue vie à votre association et tenez-nous au courant de vos activités.



    Mention spéciale pour Amady Faye, du Sénégal, qui nous envoie ses bulletins de réception — une écoute toujours aussi attentive. Il nous dit : « J’écoute les émissions de RRI parce que la radio amie m’informe à chaud sur l’actualité roumaine et internationale. La belle Rhapsodie qui ouvre les émissions des services de RRI fait partie de mon quotidien. » Bien des choses à toi, Amady.



    Meilleures salutations à notre nouvel auditeur M Sanusi Isah Dankaba, du Nigeria ; bienvenue parmi nous et j’espère que vous resterez avec nous pour longtemps.



    Merci à toutes celles et à tous ceux qui nous ont écrit, et notamment à MM Ferhat Bezazel, Kamel Bouamama, Farid Boumechaal et Nouari Naghmouchi, d’Algérie, Reiner Peuthert, d’Allemagne, merci pour vos vœux et pour les bulletins de réception, Dewan Rafiqul Rana, du Bangladesh, Daniel Beaulne, du Canada — très belles photos, merci ! Gilles Gautier, de France — merci bien pour le dernier exemplaire de la revue Antennes, mais aussi pour la carte postale, et surtout d’avoir pensé à nous même pendant tes vacances.



    Merci pour cette collection de rapports d’écoute, M Paul Jamet, de France, ainsi que pour les deux cartes et les deux questions. Je vois que vos ennuis avec le DRM n’ont pas pris fin… Salutations à Maurice Mercier, de France, et merci pour ta question. Merci aussi à MM Osamu Aikawa, du Japon — bonne santé à votre épouse -, Raïf Chaaban, du Liban, Dmitriy Kutuzov, de Russie.



    Voilà, nous arrivons au terme de notre périple parmi vos lettres et messages. Passez une excellente fin de semaine. Au revoir.

  • Le courrier des auditeurs 26.12.2014

    Le courrier des auditeurs 26.12.2014

    Chers amis, dans la tradition orthodoxe, religion majoritaire en Roumanie, Noël dure plusieurs jours ; je suis très heureuse de m’adresser à vous en ce moment magique. Il n’est donc pas trop tard de souhaiter cette fête à quelqu’un le 26 ou le 27 décembre. A mon tour de vous souhaiter, à la roumaine, un très joyeux Noël à toutes celles et à tous ceux qui le célébrez! Pour ceux qui célèbrent Hanoukka, je vous souhaite une joyeuse fête paisible !



    A la suggestion de notre auditeur français M Jean-François Meile, nous entrerons quelque peu dans les détails qui rendent Noël unique : « Comment se prépare Noël en Roumanie ? » Il y aurait énormément de choses à dire.



    Si c’est sur le plan spirituel, on s’y prépare en observant le carême une quarantaine de jours. Le carême orthodoxe est bien plus sévère que chez les catholiques, vu que l’on ne mange pas de viande et de produits de viande, pas d’œufs, mais pas de lait ni de produits laitiers non plus. C’est un moment de prière, mais aussi de réconciliation.



    Si la question porte sur les traditions culinaires, le porc est à l’honneur. Le 20 décembre, à la campagne, les Roumains tuent le cochon ; cela rappelle les rituels des sacrifices animaliers des anciens Egyptiens, Grecs et Romains. Normalement, sa chair est destinée à être consommée de manière rituelle entre Noël et le 6 janvier. Toute la famille s’affaire et chacun a son rôle dans la préparation, vu que c’est une besogne qui dure toute la journée. Le boucher, s’il y en a un, ou sinon une personne qui s’y connaît, prélève les morceaux, dont chacun est destiné à un usage particulier.



    Ce jour-là, pour les participants qui ont aidé les amphitryons, l’on cuisine un repas de porc, d’habitude des morceaux de viande, de foie etc. que l’on fait frire. Cela s’accompagne d’un verre d’eau-de-vie. Il y a beaucoup de travail pour préparer une multitude de charcuteries traditionnelles : les différentes saucisses, la tête marbrée, le boudin blanc et noir, le jambon, des grattons et tant d’autres. Dans d’autres régions, la viande est salée et sera utilisée au fur et à mesure.



    « Y a-t-il également les décorations, les marchés de Noël ? », demande M Meile. Oui, toutes les villes se font un point d’honneur d’apporter un peu de joie aux habitants et des décorations sont installées selon les possibilités. Depuis l’année dernière, il y a aussi un marché de Noël à Bucarest, qui est entré dans le circuit des marchés de Noël européens.



    Et dans les familles, poursuit M Meile, prépare-t-on également les petits gâteaux ? Bien entendu. Le gâteau traditionnel de Noël est le cozonac, une sorte de grande brioche aux noix, au rahat lokoum, au cacao ou encore selon l’inspiration de la cuisinière. Très difficile à réussir, d’ailleurs. « Et St Nicolas est-il aussi le patron des enfants qu’il récompense avec des cadeaux ? Accompagné du père Fouettard qui lui punit ceux qui ne sont pas sages ? » Oui, bien sûr. St Nicolas apporte notamment des sucreries.



    Notre ami Christian Ghibaudo, toujours de France, que je salue, demande quels cadeaux les Roumains s’offrent pour Noël. Généralement, des vêtements, des accessoires, mais aussi des téléphones portables et des tablettes. Pour les petits, nécessairement un ou plusieurs jouets, et certainement beaucoup de chocolat que les enfants découvriront sous le sapin.



    M Nouari Naghmouchi, d’Algérie, voudrait savoir comment les Roumains fêtent Noël. Avant la fête, on fait un grand nettoyage dans toute la maison. On observe le carême, on va à l’église, on offre des biens aux plus nécessiteux, on pense à autrui. La veille, les chanteurs de cantiques vont chez leurs proches et leurs amis chanter des chansons de Noël. Ils sont reçus et se voient offrir, selon l’endroit, des noix, des gâteaux, des fruits, de l’eau-de-vie et de l’argent. Ce sont notamment les enfants qui y vont, mais dans différentes régions, il y a même des groupes importants de grandes personnes. L’ambiance est extraordinaire. En plus, il y a les traditions des danses avec des masques animaliers qui sont très intéressantes.



    Les enfants cirent leurs bottes et les mettent sous le sapin. Dans la nuit du 24 au 25, le Père Noël apporte des cadeaux à tous les enfants sages. La veille, on orne le sapin. Les cadeaux sont à mettre sous le sapin. Les cuisinières préparent les plats traditionnels, en dehors des charcuteries qui constituent les entrées et ont déjà été préparées un peu à l’avance. Il s’agit d’une soupe, des sarmale, feuilles de chou saumuré farcies notamment de viande de porc et de riz et de différents rôtis. Parce que la viande de porc est difficile à digérer, on commence à la remplacer par la dinde, mais la tradition veut que ce soit des plats à base de porc, pas de volaille. Et, bien sûr, le cozonac, et d’autres gâteaux.



    Le jour de Noël, on va à la messe l’église, en emportant un peu des plats que l’on servira à table, pour qu’ils soient bénis. Ensuite on va au cimetière pour honorer la mémoire de ceux de la famille qui ne sont plus parmi nous, et ensuite on peut passer à table. Noël est essentiellement en fête en famille. Le lendemain et le troisième jour de Noël, on va rendre visite aux gens de la famille ou on les reçoit à table. C’est un moment de joie intense pour la naissance de notre Seigneur. Merci à tous ceux qui nous ont posé des questions de leur intérêt.



    Voilà, chers amis, notre rencontre touche à sa fin. Je souhaite une fois de plus, à toutes celles et à tous ceux qui célèbrent des fêtes en cette saison, qu’elles soient joyeuses. Bonne et heureuse Nouvelle année, bonne santé, beaucoup de bonheur et de prospérité à tous les auditeurs de RRI !

  • Le courrier des auditeurs 05.12.2014

    Le courrier des auditeurs 05.12.2014

    Un week-end pas comme les autres, surtout pour les enfants qui se réjouissent de l’arrivée du Saint Nicolas qui, selon la tradition, leur distribue cadeaux et friandises. Bien sûr, pour cela, il faut notamment être bien sage, car sinon, on risque de voir débarquer le Père Fouettard. En Roumanie, la tradition veut que le soir du 5 décembre, les enfants nettoient leurs souliers qu’ils rangent près de la porte et que le bon Saint Nicolas remplit par la suite de bonbons, chocolats, pain de mie ou fruits. Parfois, le Saint Nicolas laisse des bonbons même dans les petites armoires se trouvant dans les salles de classe. Et puisque on vient de parler d’une fête de la générosité, permettez-moi dans les minutes suivantes de vous parler des personnes âgées de Roumanie. Un sujet auquel on s’est déjà attaqué lors de notre dernière édition Société, mais qui s’avère très vaste. Et puisque notre ami Nouari Naghmouchi voudrait apprendre davantage sur l’avenir réservée aux personnes âgées de chez nous, permettez-moi de reprendre au micro un reportage que j’ai réalisé il y a quelque mois et qui porte justement sur les maisons de retraite de Roumanie.



    «C’est une grande bêtise que d’avoir peur d’une maison de retraite comme celle-ci. Je me souviens du moment où j’en ai parlé à des amis et tous se sont exclamés : mon Dieu, tu vis dans un asile ? Mais non, voyons, ce n’est pas un asile, mais un établissement qui m’offre la chance de mener une vie tranquille. Vous voyez ? C’est pour cela qu’on voit toujours des vieux vagabonder dans les rues. Par peur et par honte ».



    Plus d’un an s’est écoulé depuis que Teodora Dragut a intégré la Maison de retraite ‘Nicolae Cajal’ gérée par la Municipalité de Bucarest. Cette chance, elle la doit à des gens de bien qui ont été impressionnés par le sort de cette retraitée retrouvée dans un foyer des sans-famille, avec pour seule fortune ses livres et une poupée blonde dont elle prend soin comme de l’enfant qu’elle n’a jamais eu.



    A ses 85 ans, Teodora Dragut n’a plus qu’un neveu qui, à la mort de sa propre mère, a décidé de la mettre à la porte. Titulaire d’une pension de retraite insuffisante pour se payer la taxe dans une maison de retraite et dépourvue de tout autre personne apparentée à même de lui accorder un soutien financier, Madame Dragut a rejoint la liste des cas sociaux assumés par la municipalité. Elle a eu de la chance, c’est vrai. Mais alors, à combien se monte le nombre de retraités roumains, en détresse financière, capables de se trouver une place dans un tel établissement ? Et surtout, combien d’entre eux accepteront, une fois devenus trop vieux pour prendre soin d’eux mêmes, de fermer de bon gré la porte de leur maison et emménager dans un endroit inconnu afin de partager leur solitude avec d’autres comme eux ?



    Selon les données offertes par la Direction des Services Sociaux du Ministère roumain du Travail et de la Famille, le nombre total de maisons de retraite dépasse à peine les 200, tandis que plus de 2600 seniors figurent toujours en liste d’attente. La plupart d’entre eux sont en situation de dépendance, malades et démunis, or, la maison de retraite n’est pas gratuite. Pour y accéder, le retraité doit payer la taxe soit entièrement si sa pension le lui permet, soit à hauteur de 60%, si la famille se charge du reste. Quant à l’Etat, il n’assume que les cas sociaux. Mais là aussi, les choses risquent de se compliquer dans un pays où le nombre de retraités est à la hausse tandis que le budget de la sécurité sociale se creuse de plus en plus.



    Carmen Manu, à la tête de la Direction des Services Sociaux du Ministère du Travail: « Généralement, dans tous les Etats ex-communistes, membres de l’UE, c’est le budget national qui supporte la sécurité sociale. C’est pourquoi il faudrait créer des fonds ou acheter des assurances, car tous les services publics à l’intention des retraités sont très chers. Et, si l’on pense au rythme accéléré du vieillissement de la population, l’on constate que, bientôt, il n’y aura plus de financement et cela non pas parce que les autorités ne veulent plus en offrir. Elles n’auront plus de ressources. En plus, la famille actuelle ressemble à un sandwich avec les adultes au milieu obligés d’assumer aussi bien la responsabilité de leurs enfants que de leurs parents ».



    Or, à partir du moment où les adultes ne peuvent plus soigner leurs vieux, la maison de retraite reste une solution. Mais puisque dans le public, les listes de candidats sont très longues et que la famille a parfois du mal à attendre, de plus en plus de Roumains privilégient l’alternative privée. Surtout qu’ici, ils espèrent échapper à la crise de personnel spécialisé qui caractérise le système public.



    Le jour où sa grand-mère nonagénaire a souffert un AVC, Alexandra s’est rendu compte qu’elle n’avait plus les moyens de la soigner à domicile, surtout qu’elle devait s’occuper également de sa gamine de six ans. Réticente envers l’accueil qu’une maison de retraite publique pourrait réserver aux seniors, Alexandra a opté pour un établissement privé et cela parce que: « Lors de ma première visite au Fief des Grand Parents, j’ai remarqué que le centre a l’air d’un hôtel. J’avais peur qu’il ne ressemble à un asile, d’ailleurs c’est ce qui effrayait le plus ma grand-mère. Mais, dès qu’elle y est arrivée et qu’elle a poussé la porte de sa chambre, elle a poussé un soupire de soulagement avant de me dire ouf, ça n’a pas du tout l’air d’un hôpital”. Car, c’est comme ça qu’elle s’imaginait le centre: une sorte d’asile doté de lits en fer blanc, couverts de matelas ordinaires et dégageant cette odeur propre aux hôpitaux. »



    Quant au tarif, Alexandra trouve correcte une facture mensuelle de quelque 450 euros pour avoir la certitude que sa grand-mère bénéficie de tout le confort nécessaire. Ce fut d’ailleurs le principal objectif de Mariana Melinger, une architecte née à Bucarest et établie en Israël au moment où elle a décidé de mettre sur pieds le centre Le Fief des Grand Parents: aider les seniors à mener une vie meilleure dans un établissement de quatre étoiles près de la capitale. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas le tarif qui pousse les Roumains à éviter un tel centre. Mariana Melinger: « La mentalité des Roumains reste assez primitive. Ils pensent abandonner leurs parents ou grand-parents au moment où ils décident de leur placement dans un centre comme celui-ci. Mais nous, on souhaite leur offrir des conditions de vie meilleures qu’à la maison. »



    Bien que la mentalité collective les associe souvent à la misère et à l’indifférence, les maisons de retraite publiques font pas mal d’efforts pour offrir à leurs résidents de bonnes conditions d’hébergement et de repas et surtout une panoplie d’activités censées les maintenir dans la vraie vie”. « On leur met à la disposition un club où ils viennent bavarder, regarder la télé et surtout apprendre à peindre des icônes sur verre. Nous avons aussi deux bichons, un perroquet et un aquarium. Parfois, on les emmène en visite aux monastères et on profite de ces sorties pour faire une barbecue et les aider à se sentir comme ils se sentaient jadis au sein de leur famille. En été, on les emmène en compagnie du personnel soignant à Moeciu, pour y passer deux semaines de vacances dans notre pension. »



    Bien que Catalin Maxim, le manager de la Maison de retraite Casa Max, dans le 3ème arrondissement de la capitale, soit très fier des activités proposées, pour madame Olga, elles ne semblent pas suffisantes pour combler le vide créé voilà sept ans par la mort de son mari et la perte de sa maison: « J’ai eu du mal à m’intégrer. Je ne trouvais pas ma place. A présent, ça va mieux, mais je ne peux pas parler de cet établissement comme d’une vraie maison à moi. Je suis comme au sein d’une famille et pourtant…n’en parlons plus! »



    Effectivement, pour ceux arrivés au bout de leur chemin, seuls et sans appui, les mots sont souvent superflus. Tout ce qu’il leur reste c’est de se voir exaucer un grand souhait, aux dires de Mme la psychologue Mirela Fita de la Maison de retraite Nicolae Cajal de Bucarest: « Ils souhaitent préserver leur santé pour ne pas être cloués au lit. Ils veulent rester actifs et en forme le plus longtemps possible. »



    Or, tant qu’on ne laisse pas nos seniors en proie à la solitude ou au sentiment d’inutilité, on peut les aider à se transformer comme par miracle de quelques pauvres vieux en détresse en des grands-parents extraordinaires.



    Dirigeons-nous vers la France pour faire un petit coucou amical à M. Pierre Marichal de Torcy qui nous a envoyé un rapport d’écoute détaillé et un petit mot sympa que j’aimerais citer : « ce mot, dit-il, pour vous dire toute ma satisfaction à l’écoute de RRI en français ». Merci à vous, merci pour la liste antérieure de compliments et merci de nous signaler que l’écoute est excellente là où vous êtes ! Ca, c’est une magnifique nouvelle, surtout que des interférences nous sont signalées parfois par d’autres amis francophones du monde. Gros bisous de Bucarest, cher Monsieur et au plaisir de vous lire !



    Bonjour la Suède et bonjour à vous, Ingmar Larsson. Comment allez-vous ? Merci pour le rapport d’écoute qui nous annonce un très bon signal là où vous nous écoutez, à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de Stockholm. Bien sûr que vous aurez ce rapport confirmé par une carte QSL pour le mois de juillet qui s’ajoutera à votre collection. Gros bisous de la part de nous tous !



    Retour en France pour saluer M. Robin Olivier d’Orvault qui affirme avoir apprécié notre émission sur le sport à l’école. Nous sommes heureux de l’apprendre et j’espère que vous aurez également aimé la réponse de cette édition qui touche à sa fin. Cher ami, grosses bises de Bucarest où l’hiver s’est déjà installé. Nous avons de la neige et un temps morose, mais nous avons aussi un joli marché de Noël au cœur de la capitale. Il n’a pas la grandeur de celui bruxellois ou viennois, mais, il faut saluer l’initiative de la Municipalité. Ceci dit, bien des choses à vous et à vos proches !



    Restons toujours en France pour un petit clin d’œil amical à notre cher Paul Jamet. Comment allez-vous ? Merci à vous pour tous les rapports d’écoute nombreux et très détaillés qui nous prouvent à chaque fois votre fidélité envers nos ondes. J’ai bien noté votre question sur la réserve de bisons de Roumanie et dès que nous en aurons des détails, on en parlera au micro du courrier. Sinon, je remarque des hauts et des bas dans la qualité de la réception en ondes courtes. Décidément, en pleine ère de l’Internet, les transmissions à l’ancienne perd du terrain et malheureusement de la qualité. Pourtant, tant qu’il nous sera permis, on continuera nos programmes en ondes courtes, car les traditions doivent se préserver, n’est ce pas ? Ceci dit, gros bisous de Bucarest et à bientôt sur nos ondes.

  • Le courrier des auditeurs 28.11.2011

    Le courrier des auditeurs 28.11.2011

    Chers amis, nous voilà de nouveau ensemble pour bavarder un petit moment. Je vous assure que tout le plaisir est de mon côté. Et je commencerai par saluer notre ami Régis Lallau, de France. Merci de nous avoir si gentiment téléphoné — et surtout de nous écouter fidèlement depuis toutes ces années. Nous vous souhaitons tous une très bonne santé !



    Un grand bonjour à Agnès et Gilles Gautier, de France ; que de bonnes nouvelles dans ce message très optimiste ! Nous apprenons ainsi que Gilles a pris sa retraite, et nous te la souhaitons heureuse et comblée par votre petit-fils ! Un an déjà ! Comme le temps passe vite ! Bonne chance à Mme Agnès avec son activité professionnelle. « Nous avons été beaucoup pris depuis début octobre, nous dit Gilles ; pas un week-end pour nous! Des invitations le samedi, le dimanche, parfois les deux jours ; jusquau 25 janvier pas de répit: cela devient un peu dur pour lestomac!! » Dis-toi bien qu’il y a aussi le revers de la médaille : ne pas sortir du tout ! Un grand merci merci pour vos vœux. Je dois dire qu’avec autant d’avance, il ne vous a pas été difficile d’être les premiers ! A notre tour de vous souhaiter de très très belles fêtes dans la joie, et une nouvelle année et pleine forme et exactement comme vous la souhaitez !



    Bien le bonjour à M Osamu Aikawa et son épouse, du Japon. Voici un extrait de la lettre émouvante de notre auditeur : « Chers tous du bureau de Radio Roumanie en français, jai été très occupé avec ma femme à six hôpitaux où elle avait reçu un traitement. Plus de deux semaines se sont écoulées depuis que jai écrit pour vous. Ma femme et moi avons été à lécoute de votre émission, jai trois rapports à écrire. Nous espérons que nous pourrons surmonter nos difficultés. Un grand merci pour votre gentillesse. Jespère que chacun dentre vous reste en contact avec nous. Merci beaucoup. Jespère quelle puisse garder le bon état le plus longtemps possible. Moi et ma femme profitons maintenant du programme français de Radio Roumanie à la maison. Nous vous aimons, Radio Roumanie! Chacun du bureau français de Radio Roumanie, sil vous plaît priez ensemble, afin que la femme soit en vie. Je vous remercie du fond de mon cœur! Un grand merci pour votre gentillesse ». Nos meilleurs vœux de santé vous accompagnent ! Nous sommes vraiment très touchés que vous aimiez nos émissions.



    Notre ami algérien Nouari Naghmouchi a pris un moment pour nous écrire lorsqu’il « venait de voir le match Algérie – Roumanie de Genève. La Roumanie est une grande équipe et jétais très content de voir ce match et de penser à ma belle station RRI ». Merci de nous écouter et de nous écrire si gentiment.



    Bonjour au Luxembourg, où nous écoute M Mohammed Moutirhe, qui nous a envoyé une multitude de rapports d’écoute accompagnés de ce mot : « les émissions sont intéressantes et approchent d’une manière claire la vie des Roumains et l’actualité roumaine. Merci beaucoup ».



    Bien le bonjour en France, à M Paul Jamet, qui nous disait dans un de ses messages, après avoir déploré à plusieurs reprises l’absence de signal sur DRM : « Je viens de suivre le programme matinal de RRI sur 7330 KHz en DRM à 5h00 TUC. Excellent ! Un sans faute, sans aucune perte du son, cela mérite dêtre signalé car depuis des semaines la réception était difficile sur cette fréquence ». Justement, nos fréquences ont changé. Nous sommes très intéressés de savoir comment vous trouvez les nouvelles. Merci de nous informer quand vous avez un peu de temps.



    Amady Faye, du Sénégal, me remercie d’avoir cité son message dans un des Courriers des auditeurs que je réalisais. Mais avec plaisir ! Vous nous demandez si un de vos mails est bien arrivé quand même, parce que Yahoo vous l’a retourné. Le plus simple, c’est de le renvoyer au bout d’un moment ; même les nouvelles technologies ont des défaillances. Merci d’être si souvent et si attentivement à notre écoute. Je vois que vous aimez bien notre musique et que vous êtes déjà connaisseur, et aussi le plat du jour — essayez aussi de le préparer s’il a l’air tellement appétissant !



    Et voici un message de notre auditeur français Jean-Marc Olry, que je salue. « Très pris par mes obligations professionnelles, je suis arrivé in extremis pour entendre Ligia évoquer ma lettre dans la rediffusion du Courrier des Auditeurs. Merci Ligia ! » Mais avec le plus grand plaisir, Jean-Marc. « Ma mère, poursuit-il, mattendait avec impatience car, comme tous les samedis, elle est passée à mon travail à la fermeture de midi pour discuter un peu, prendre un apéritif en se disant “noroc!” et… écouter RRI. Car malgré ses 89 ans quelle va fêter le 15 juin, elle est très intéressée par le monde actuel ». Nous sommes littéralement enchantés qu’elle apprécie notre travail. « Comme dhabitude, la leçon de Dominique était… parfaite. Et puis, ensuite, jai été surpris par lémission “Ma Roumanie, chronique dun amateur”: Au départ, dans la mesure où je navais pas entendu la présentation qui en avait été faite, jai dabord cru que cétait la lecture dun article qui aurait pu être de Nicolas Bouvier ou de François Maspero …. je ne connaissais pas Richard Edwards. Jai trouvé ce récit particulièrement captivant …en attendant la suite! O zi bună ! » Je dirai à Dominique que vous avez aimé son émission, et sachez que vous pouvez retrouver Richard Edwards tous les samedis sur nos ondes. Numai bine şi dvs !



    Nous avons dans cette édition beaucoup d’auditeurs des quatre coins du monde, pour mon plus grand plaisir. J’accueille maintenant M Hazairin Junep, d’Indonésie, qui nous disait, entre autres, et en français : « Je suis auditeur de votre programme en français. Jorganise une bibliothèque et un Musée de DX chez moi. Je voudrais faire une expo et présentation sur le DX, les Ondes Courtes et Radio sur Internet pendant la Réunion Nationale des Clubs de Auditeurs Radio de notre pays ». Félicitations pour cette initiative ! Dites-nous si vous l’avez fait et comment cela s’est passé.



    Et j’ai gardé pour la bonne bouche ces propos de Christian Ghibaudo, de France, que je salue : « Amusant, cette arrivée des éclairs à Bucarest. Ce n’était pas possible d’en trouver avant ? » Mais si, Christian, on en avait même du temps de Ceauşescu, seulement leur goût n’était pas sublime, comme celui des éclairs dont Ioana a parlé dans son reportage. « Depuis quelques jours, à la boutique Fauchon à Paris, on peut trouver des petits éclairs au logo de la station parisienne Radio FG. J’étais à Paris j’ai pu en manger un (6 euros quand même) c’est exactement le même goût que les éclairs spécial Mariage vendus à Monaco en juillet 2011… ». Voilà de quoi faire rêver d’évasion : Paris, goûts exquis!