Tag: opposition

  • Le projet du budget étatique

    Le projet du budget étatique

    Les discussions en marge du budget de l’Etat pour l’année prochaine sont entrées dans leur dernière ligne droite avant que le Parlement ne se réunisse, quatre jours avant Noël, pour donner son feu vert. Rappelons que la semaine dernière, le projet du budget et de la sécurité sociale fut avancé sur la table des parlementaires afin qu’ils puissent élaborer des amendements. Par la suite, les propositions centralisées par donneurs d’ordre seront examinées dans les commissions parlementaires de spécialité.

    A l’heure où l’on parle, les amendements sont par milliers et ils portent notamment sur l’allocation des ressources nécessaires à la poursuite des travaux menés au périphérique de Bucarest, sur le renforcement des structures des immeubles au risque sismique élevé, sur la poursuite des travaux au métro bucarestois, sur la multiplication du nombre des maternelles et des écoles ou encore sur des programmes à l’intention de la diaspora.

    Ciblé sur une croissance économique de 5,5%, le budget prévoit des enveloppes majorées à destination des domaines clé qui en ont besoin dont les plus importants restent la Santé, l’Education et l’Infrastructure, selon le chef du gouvernement roumain. Mihai Tudose: Par rapport à l’année dernière, on prévoit une hausse de 17% du budget accordé à la Santé, de 16% de celui destiné à l’Education et une hausse de 42% des Investissements.Au terme du projet de budget approuvé la semaine dernière par le gouvernement, l’agriculture se verra octroyer des fonds supplémentaires. La projection budgétaire sur l’année prochaine s’avère équilibrée et correctement structurée, affirme le PSD, principal parti de la coalition au pouvoir. A en croire les sociaux-démocrates, l’année prochaine, la situation pourrait être même meilleure que l’on ne s’y attend puisque la croissance économique de la Roumanie pourrait dépasser les prévisions des financiers.

    En revanche, l’opposition demeure plutôt réservée et ne partage guère l’enthousiasme du PSD. Au dires du député du Parti du Mouvement Populaire, Eugen Tomac, la mise en place du nouveau budget figurera parmi les grands défis à relever par l’actuelle coalition au pouvoir. Eugen Tomac: Les calculs qu’ils ont faits ne sont pas réalistes. La preuve? Les centaines de mairies à travers la Roumanie à bout de ressources et qui n’ont pas de quoi payer les salaires.

    Du coup, l’opposition se prononce en faveur d’une canalisation des ressources vers le développement. Aux termes du projet approuvé par le gouvernement et dans le contexte de la nouvelle loi de la salarisation, l’année prochaine on s’attend à ce que les frais de personnel connaissent une majoration de 2,5 milliards d’euros par rapport à 2017, tandis que les dépenses destinées aux investissements augmenteront, le plus probablement, de 2,8 milliards d’euros. La forme finale du budget sera décidée par le Parlement, réuni en séance plénière à partir du 18 décembre. (traducere Ioana Stancescu)

  • Parlament in Bukarest soll über umstrittene Justizreform debattieren

    Parlament in Bukarest soll über umstrittene Justizreform debattieren

    Die linksorientierte Regierung in Bukarest will Gesetze im Bereich Justiz und Korruptionsbekämpfung abändern. Über die neuen Gesetzentwürfe wird das Plenum des Parlaments diese Woche debattieren. Die Abänderungen werden von Leitern der bedeutendsten Institutionen aus dem Bereich Justiz, von der Zivilgesellschaft sowie von der bürgerlichen Opposition kritisiert.




    Der erste Abänderungsvorschlag der Justizgesetze geht den Status der Richter und Staatsanwälte an und wurde der Abgeordnetenkammer vorgelegt. Der Gesetzentwurf sieht vor, dass der Staatschef die Ernennung der Staatsanwälte und Richter nicht mehr ablehnen kann, dass die Staatsanwälte von ihren Vorgesetzten, einschlie‎ßlich des Justizministers, kontrolliert werden sowie dass Richter und Staatsanwälte jährlich bestätigen müssen, dass sie keine verdeckten Mitarbeiter von Geheimdiensten seien. Der parlamentarische Sonderausschuss zur Abänderung der Justizgesetze hatte ebenfalls die Artikel betreffend die Verantwortung der Richter und Staatsanwälte formuliert. Laut besagten Artikel müssen sich diese im Falle eines Justizirrtums zivilrechtlich, strafrechtlich und disziplinarisch verantworten. Die Richter und Staatsanwälte müssen jedoch den Schadenersatz nicht selbst erbringen. Diese Bestimmung wurde abgelehnt. Der Sonderausschuss diskutiert weiter über die anderen zwei Entwürfe, die die Organisierung und die Befugnisse des Obersten Rates der Richter und Staatsanwälte angehen. Die amerikanische Diplomatie hatte ihre Besorgnis geäu‎ßert, dass das Parlament eine Gesetzgebung verabschieden möchte, die den Kampf gegen die Korruption und die Unabhängigkeit der Justiz schwächen könnte.




    Die Reform, die im Bereich Justiz von der PSD-ALDE-Koalitionsregierung gefördert wird, sorgte auch in der Zivilgesellschaft für Entsetzen. In den rumänischen Gro‎ßstädten wird seit Wochen am Wochenende protestiert. Als Antwort darauf erklärte die Sozialdemokratische Partei (PSD), sie werde im ganzen Land Demonstrationen gegen den sogen. illegitimen Parallelstaat“ organisieren. Politikbeobachter sind der Auffassung, es sei ein propagandistisches Konzept, womit die PSD ihrer Wählerschaft nahelegen wolle, dass der Widerstand der Zivilgesellschaft gegen die umstrittene Justizreform von geheimen Kreisen gefördert werde, um die amtierende Regierung, die demokratisch gewählt wurde, durch illegale und unmoralische Mittel zu stürzen. Es sei nicht das erste Mal, dass die Sozialdemokratische Partei auf zweifelhafte Formulierungen aus der PR-Sprache und auf nicht fundierte Anschuldigungen zurückgreife, um die Realität verzerrt darzustellen, meinen unabhängige Kommentatoren. Dazu gehören etwa die mutma‎ßliche, aber nie erwiesene Einmischung des amerikanischen Milliardärs ungarischer Herkunft George Soros in die Innenpolitik des Landes oder die ebenso wenig belegbare Unterstützung der Proteste durch die multinationalen Unternehmen.

  • 23.11.2017 (mise à jour)

    23.11.2017 (mise à jour)

    Sommet – Le président roumain Klaus Iohannis, participe ce vendredi à Bruxelles, au 5e Sommet du Partenariat Oriental, déroulé sous l’égide de la présidence estonienne du Conseil de l’UE. Selon l’Administration Présidentielle de Bucarest, le chef de l’Etat encouragera la poursuite d’une politique solide de l’UE dans ses relations avec son voisinage oriental, région qui doit devenir par le biais de progrès irréversibles un espace prédictible, stable et prospère, attaché aux valeurs et aux principes européennes. Une vingtaine d’objectifs seront établis dans le cadre d’une feuille de route valable jusqu’en 2020, précise la présidence roumaine. Lancé en 2009, le partenariat oriental est censé promouvoir l’association politique et l’intégration économique entre l’UE et 6 pays partenaires en Europe de l’est : Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Géorgie, République de Moldova et Ukraine.

    Défense – Le Conseil suprême de défense du pays, qui regroupe le président, le premier ministre, le ministre de la défense et les chefs des principales institutions en charge de la sécurité nationale, se réunira mardi prochain, a annoncé ce jeudi l’Administration présidentielle de Bucarest. Parmi les principaux points à l’ordre du jour de la réunion qui sera présidée par le chef de l’Etat Klaus Iohannis, figurent le plan relatif aux forces armées qui seront envoyés dans des opérations extérieures en 2018, ainsi que l’état de la mise en œuvre des décisions du sommet de l’OTAN de Varsovie.

    Motion – La motion de censure initiée par l’Opposition de Droite contre le gouvernement de la coalition PSD – ALDE a été rejetée ce jeudi par les deux Chambres du Parlement de Bucarest. 156 membres du Parlement ont voté « pour » mais pour passer, la motion avait besoin de 233 voix favorables. Signée par les députés et sénateurs du Parti national libéral, de l’Union sauvez la Roumanie et du Parti du mouvement populaire, ainsi que par les élus nationaux indépendants, la motion demandait la démission du cabinet du social-démocrate Mihai Tudose, qu’il accusait de bouleverser le milieu économique et le système juridique ainsi que de baisser le niveau de vie de la population.

    Cour Constitutionnelle – La Cour constitutionnelle de Roumanie a rejeté ce jeudi la saisine déposée par le président du Sénat de Bucarest, Calin Popescu Tariceanu, portant sur un éventuel conflit juridique entre l’exécutif et les magistrats, au sujet des décrets gouvernementaux. La saisine a été déposée juste après le déclenchement des poursuites pénales à l’encontre de deux membres de l’actuel gouvernement – Sevil Shhaideh, qui a été vice-première ministre et ministre du développement régional et Rovana Plumb, qui a été ministre des Fonds européens, dans le cadre d’un dossier instruit par la Direction nationale de Corruption. Les deux responsables ont démissionné la semaine dernière. Le parquet anticorruption affirme qu’en 2013, deux superficies situées dans le lit mineur du Danube ont fait l’objet d’un transfert illégal, par décision du gouvernement de la propriété de l’Etat à celle du département de Teleorman dans le sud du pays. A l’époque, Mme Shaideh était secrétaire d’Etat au ministère du développement régional alors que Mme Plumb était ministre de l’environnement.

  • Nachrichten 23.11.2017

    Nachrichten 23.11.2017

    Der rumänische Staatspräsident, Klaus Iohannis, beteiligt sich am Freitag in Brüssel am 5. Gipfeltreffen der Östlichen Partnerschaft, das unter der Schirmherrschaft der estonischen Präsidentschaft des Europäischen Rates organisiert wird. Dabei wird der rumänische Staatschef die Fortsetzung einer soliden Politik der Europäischen Union im EU-Ostteil bekräftigen. Durch unumkehrbare Fortschritte sollte diese Region zu einem vorhersehbaren, stabilen und wirtschaftlich starken Raum werden, der die Werte und Grundsätze der Europäischen Union unterstützt, steht in einem Communique der Bukarester Präsidialverwaltung. Beim Gipfeltreffen der Östlichen Partnerschaft werden 20 Zielsetzungen festgelegt, die in einem bis 2020 gültigen Fahrplan eingetragen werden. Die am 7. Mai 2009 in Prag gegründete Östliche Partnerschaft ist ein Teilprojekt der Europäischen Nachbarschaftspolitik, mit dem Hauptziel, die notwendigen Voraussetzungen für die Beschleunigung der politischen Assoziierung und der weiteren wirtschaftlichen Integration zwischen der Europäischen Union und interessierten Partnerländern zu schaffen. Mit den sechs postsowjetischen Staaten Armenien, Aserbaidschan, Georgien, Moldawien, Ukraine und Weißrussland wurden entsprechende Abkommen geschlossen.



    Der Oberste Landesverteidigungsrat wird am nächsten Dienstag zusammenkommen. Dies gab am Donnnerstag die Bukarester Präsidialverwaltung bekannt. Das vom Staatspräsident Klaus Iohannis geleitete Treffen, wird mehrere Themen auf der Tagesordnung haben, darunter den Plan bezüglich der Armeekräfte, die 2018 auf Auslandsmissionen entsandt werden und den Umsetzungsstand der Beschlüsse des Warschauer NATO-Gipfels. Außerdem wird man die Maßnahmen besprechen, die Rumänien für die Umsetzung der international auferlegten Sanktionen getroffen hat, hieß es noch aus der Mitteilung der Präsidentschaft.



    Der Misstrauensantrag, der von der Mitte-Rechts-Opposition gegen die Regierung der Sozialdemokratischen Partei (PSD) und der Allianz der Liberalen und Demokraten (ALDE) eingereicht wurde, ist am Donnerstag im rumänischen Parlament abgewiesen worden. 156 Parlamentarier stimmten dafür. Für die Annahme des Misstrauensantrags wären aber 233 Stimmen notwendig gewesen. Der besagte Misstrauensantrag wurde von den Abgeordneten und Senatoren der National-Liberalen Partei, der Union Rettet Rumänien und der Partei Volksbewegung sowie von unabhängigen Parlamentariern unterzeichnet. Damit forderten die Unterzeichnenden den Rücktritt des Kabinetts des sozialdemokratischen Ministerpräsidenten Mihai Tudose; der PSD-ALDE-Koaliitionsregierung wurden das Durcheinanderbringen des Wirtschaftsumfelds und des Justizsystems, sowie die Senkung des Lebensstandards der Bevölkerung vorgeworfen. Im Gegenzug behauptete der Premierminister, dass dank der Steuerreform man nächstes Jahr mehr Einnahmen zum Haushalt und zum Rentenfonds verzeichnen werde und die Gesellschaften sich der vereinfachten Verfahren erfreuen werden.



    Das Verfassungsgericht Rumäniens hat am Donnerstag die Klage des Senatspräsidenten Călin Popescu-Tăriceanu über einen möglichen Rechtsstreit zwischen der Exekutive und der Generalsstaatsanwaltschaft betreffend Regierungsbeschlüsse abgewiesen. Die Klage wurde eingereicht, nachdem die Antikorruptionsstaatsanwaltschaft DNA Strafermittlungen gegen zwei ehemalige Mitglieder der aktuellen Regierung eingeleitet hatte – das sind Sevil Shhaideh, ehemalige Vizepremierministerin und Ministerin für Regionalentwicklung und Rovana Plumb, die das Amt des Ministers für Europäische Fonds bekleidet hat. Die beiden traten letzten Monat zurück, vor dem Hintegrund der Anklagen im besagten Verfahren. Die DNA behauptet, dass die zwei ex-Ministerinnen im Jahr 2013 zwei Grundstücke, die sich im Donaubett befinden, illegal durch einen Regierungsbschluss aus Staatseigentum in das Eigentum des südlichen Landkreises Teleorman und unter die Verwaltung des dortigen Kreisrates übertragen haben. Damals war Sevil Shhaideh Staatssekretärin beim Ministerium für Regionalentwicklung; Rovana Plumb war Umweltministerin.

  • Nachrichten 17.11.2017

    Nachrichten 17.11.2017

    Die Oppositionsfraktionen der National-Liberalen Partei und der Union Rettet Rumänien haben am Freitag einen Misstrauensantrag gegen die Koalitionsregierung aus Sozialdemokraten (PSD) und der Allianz der Liberalen und Demokraten (ALDE) eingereicht. Zwei andere Fraktionen unterstützen den Antrag. Insgesamt stimmten 148 Abgeordnete für den Text. Der Ungarnverband hingegen wollte sich dem Vorgang nicht anschließen. Auch die Gruppe Pro Rumänien um den ehemaligen sozialdemokratischen Ministerpräsidenten Victor Ponta wollte nicht für den Antrag stimmen, da laut Angaben ihres Sprechers ein Regierungswechsel zwischen Sozialdemokraten und Nationalliberalen keine gute Lösung für Rumänien darstellen würde. Dem Kabinett von Premierminister Mihai Tudose werden vor allem die jüngsten Steuermaßnahmen vorgeworfen. Demnach sollen die Arbeitnehmer die Zahlung der Sozialversicherungsbeiträge komplett übernehmen. Die Einkommensteuer sinkt von 16 auf 10 %. Arbeitgeber zahlen hingegen einen Solidaritätsbeitrag von 2,25% auf den Lohnbestand ihrer Firmen. Die Einkommen würden infolgedessen sinken und die Arbeitsplätze gefährdet sein, sagen Kritiker der Steuerreform. Regierungchef Mihai Tudose behauptet, dass die neuen Regelungen dem Staatshaushalt und dem Rentenfonds mehr Geld bringen würden. Für die Unternehmen werde der bürokratische Aufwand geringer ausfallen. Indes hat die PSD in einem Bericht über die bisherige Tätigkeit der Regierung in den letzten zehn Monaten die Schaffung einer Viertel Million neuer Arbeitsplätze angekündigt. Die Gehälter in den Bereichen Bildung, Gesundheit und Kultur hätten zugenommen. Laut den Sozialdemokraten wären mehr als 100 Ziele ihres Regierungsprogramms erfüllt worden.



    Rumäniens Staatschef Klaus Iohannis hat am Freitag in Göteborg auf dem Sozialgipfel zur Förderung von Wachstum und gerechten Arbeitsplätzen in der EU erklärt, dass Anreize für Arbeitgeber mehr Jobs für junge Menschen schaffen könnten. Auch müsse man auf den Zugang gefährdeter Gruppen wie Roma, ältere Menschen und Behinderte zum Arbeitsmarkt achten, sagte er. Rumänien setze sich für ein Bildungssystem ein, das an die Bedürfnisse der Wirtschaft angepasst ist, so der Präsident. Der Sozialgipfel bringt EU-Staats- und Regierungs-Chefs, Soziapartner und hochrangige Entscheidungsträger zusammen.



    Rumäniens Staatssekretär für bilaterale Beziehungen im euroatlantischen Raum, George Ciamba, hat sich in Nikosia mit mehreren zypriotischen Amtsträgern zu Gesprächen getroffen. Dabei ging es einerseits um die Migrationsfrage und andererseits um die Schwerpunkte des rumänischen EU-Ratsvorsitzes im ersten Halbjahr 2019. Bei einer Unterredung mit dem Außenminister Zyperns, Ioannis Kasoulides, wurde das Interesse für die Intensivierung des Dialogs bekundet, auch vor dem Hintergrund der traditionellen Zusammenarbeit zwischen den beiden Staaten. Ferner wurde auf die zahlenstarke rumänische Gemeinschaft auf Zypern und die zypriotische Business-Gemeinde in Rumänien verwiesen. Im Bereich Migration wurde die Unterstützung für die Maßnahmen der EU für die Stärkung der Kooperation mit den Herkunfts- und Transitländern bekräftigt. Auch wurde die Umsetzung der EU-Türkei-Resolution wie bisher vereinbart. In Sachen östliche Partnerschaft betonten die beiden Seiten die Notwendigkeit einer anhaltenden Betreuung der Moldau auf ihrem Weg nach Europa. Die zypriotischen Amtsträger bestätigten erneut die Unterstützung für die Bewerbung Bukarests für eine Amtszeit als nichtständiges Mitglied im UN-Sicherheitsrat für den Zeitraum 2020-2021 sowie für den Schengen-Beitritt Rumäniens.



    Eine Kommission des ukrainischen Bildungsministeriums prüft an diesen Tagen die Zustände an den Schulen mit rumänischer Unterrichtssprache im Südwesten des Landes, wo rund 40 Tausend Angehörige der rumänischen Minderheit leben. Die Lehrer an den Schulen kritisieren den Vorstoß – unter diesem Vorwand wolle man nur zeigen, dass die Schulen der Minderheiten leistungsschwach und die Schüler für die nationalen Prüfungen unzureichend vorbereitet seien. Hintergrund ist eine umstrittene Bildungsreform in der Ukraine, nach deren Umsetzung Unterricht in den Sprachen der Minderheiten nur an Kindergärten und Grundschulen möglich sein soll. Rumänien hatte das neue Bildungsgesetz stark kritisiert.

  • Nachrichten 16.11.2017

    Nachrichten 16.11.2017

    Rumäniens Staatschef Klaus Iohannis nimmt am Freitag, im schwedischen Göteborg, am sozialen Gipfel für die Föderung von Arbeitsplätzen und des fairen Wirtschafts-Wachstums in der EU teil. Das Treffen bringt EU-Staats- und Regierungs-Chefs, soziale Partner und hochrangige Entscheidungsträger zusammen. Der Gipfel umfasst eine Plenarversammlung und drei thematische Sitzungen betreffend den Zugang zum Arbeitsmarkt, die Lage des Arbeitsmarktes und der Wandel der Arbeitsplätze. Der rumänische Präsident Klaus Iohannis wird eine Ansprache betreffend den Zugang zum Arbeitsmarkt halten.



    Die National-Liberale Partei (mitte-rechts, von der Opposition) hat am Donnerstag bekanntgegeben, sie werde am Freitag einen Misstrauensantrag gegen die Regierung der Sozialdemokratischen Partei (PSD) und der Allianz der Liberalen und Demokraten (ALDE) einreichen. Dem Regierungskabinett des Premiers Mihai Tudose wird vor allem die Änderung des Steuergesetzbuches vorgeworfen. Gemäß des abgeänderten Steuergesetzbuches sollen die Arbeitnehmer die Zahlung der Sozialbeiträge komplett übernehmen. Weiter soll die Einkommenssteuer von 16 auf 10 % sinken und die Arbeitgeber sollen einen Solidaritätsbeitrag zahlen. Auf dem Hintergrund der von der Regierungskoalition durchgesetzten Änderung des Steuergesetzbuches und der Justizgesetze gab es in den letzten Wochen Straßenproteste in der Hauptstadt Bukarest und in den rumänischen Großstätden. Ministerpräsident Mihai Tudose behauptet, dass die Steuerreform mehr Geld zum Staatshaushalt und zum Rentenfonds bringen wird, und dass die Unternehmen vereinfachte Verfahren genießen werden.



    Das rumänische Verfassungsgericht hat am Donnerstag bekanntgegeben, dass die Entscheidung über den Antrag des Senatspräsidentes, Călin Popescu-Tăriceanu betreffend einen möglichen Konflikt zwischen der Exekutive und dem Öffentlichen Ministerium zum Thema Regierungsbeschlüsse bis nächste Woche aufgeschoben wird. Besagten Antrag hatte der Senatspräsident auf dem Hintergrund eines von der Antikorruptionsbehörde DNA eingeleiteten Strafverfahrens eingereicht, in dem gegen die ehemalige Umweltministerin Rovana Plumb und gegen die ehemalige Ministerin für regionale Entwicklung und Vizepremierministerin Sevil Shhaideh wegen Amtsmissbrauch strafermittelt wird. Die zwei ex-Ministerinnen haben vor einem Monat infolge der Anschuldigungen ihre Ämter abgelegt. Den Staatsanwälten zufolge seien durch Beschlüsse der Ministerinnen Teile der Donauinsel Belina und des Donauarms Pavel unrechtmäßig aus dem Staatsbesitz in regionale Verwaltung übertragen und dann ebenfalls illegal einem Privatunternehmen verpachtet worden. Staatsbesitz könne allein per Gesetz übertragen werden, so die Staatsanwälte.



    Die Beurteilung der Europäischen Arzneimittel-Agentur betreffend die eventuelle Verlagerung ihres Sitzes von London nach Bukarest, nach dem Brexit, überschreitet ihre Kompetenzen. Das erklärte Rumäniens Außenminister. Die Beurteilung der Europäischen Arzneimittel-Agentur hätte nur bestimmte Aspekte einschließen müssen und der EU-Kommission bei der Entscheidungsfindung helfen sollen. Die rumänische Regierung zeigte sich auch unzufrieden mit dem Inhalt der Bewertung der Agentur. Am 20. November soll bekanntgegeben werden, welche europäische Stadt nach dem Brexit die Europäische Arzneimittel-Agentur (EMA) aufnehmen wird. Bukarest hat sich zusammen mit weiteren 18 Städten beworben den Sitz der EMA aufzunehmen.



    Bei einem Selbstmordanschlag auf eine politische Veranstaltung von Oppositionellen in Afghanistan sind am Donnerstag mindestens neun Menschen getötet worden, so die AFP. Der Attentäter habe versucht, in das Gebäude in der afghanischen Hauptstadt einzudringen, sei aber bei einer Sicherheitskontrolle gestoppt worden, sagte ein Polizeisprecher der Nachrichtenagentur AFP. Er habe sich dann an dem Kontrollpunkt in die Luft gesprengt. Nach Angaben des Innenministeriums wurden sieben Polizisten und zwei Zivilisten getötet. Neun weitere Menschen wurden verletzt. In dem Gebäude, einem Hochzeitssaal, hatte eine Versammlung von Anhängern des mächtigen Gouverneurs der nordafghanischen Provinz Balch, Atta Mohammed Nur, stattgefunden. Nur war nach Angaben einer seiner Berater nicht unter den Versammlungsteilnehmern. Der Politiker ist ein hochrangiger Führer der tadschikisch dominierten Dschamiat-e-Islami-Partei und Kritiker des afghanischen Präsidenten Aschraf Ghani und seiner Regierung. Nur wird auch als Kandidat für die afghanischen Präsidentschaftswahlen 2019 gehandelt. Wie ein Augenzeuge berichtete, sprengte sich der Attentäter in die Luft, als die Teilnehmer den Saal nach dem Mittagessen verlassen hatten.

  • Nachrichten 09.11.2017

    Nachrichten 09.11.2017

    Die rumänische Regierung hat am Mittwoch mehrere geplante Steuermaßnahmen per Eilverordnung verabschiedet – u.a. wird die Einkommensteuer von 16% auf 10% gesenkt; die Beiträge zur Sozialversicherung werden um zwei Prozentpunkte auf 35% des Bruttolohns gedrückt, sollen jedoch allein beim Arbeitnehmer anfallen. Firmen mit einem Jahresumsatz von unter einer Million Euro werden nicht mehr 16% Steuern auf ihre Gewinne bezahlen, sondern 1% auf die Umsätze. Vor dem Sitz der Regierung kam es vor diesem Hintergrund kurzzeitig zu Protesten, an denen sich nach Medienberichten etwa 1000 Personen beteiligten. Gewerkschaften, Arbeitgeber und parlamentarische Opposition kritisieren einstimmig die fiskalpolitischen Ansätze der Regierung. Die Gewerkschaften drohen mit Generalstreik, die Nationalliberale Partei strebe nun einen Misstrauensantrag gegen die Regierung an, sagte Parteichef Ludovic Orban.



    Wir konfrontieren uns mit einer Entwertung der nationalen Währung Leu, auf dem Hintergrund des rapiden Anstiegs der Importe im vergleich zu den Exporten. Dies erklärte der rumänische Notenbankchef Mugur Isarescu am Donnerstag. Er fügte hinzu, die Rumänische Nationalbank habe die Inflationsprognose für das Jahresende 2017 nach oben von 1,9% auf 2,7% verbessert. Für 2018 schätzt die Rumänische Nationalbank eine Inflationsrate von 3,2%. Die Hauptursachen der Inflation seien, laut dem Notenbankchef, die Erhöhung der Produktionskosten und die Lohnerhöhungen auf dem Hintergrund der Unsicherheit in Bezug auf die Entwicklung der Energiepreise. Andererseits hat das Nationale Statistikamt bekanntgegeben, das Handelsdefizit Rumäniens sei in den ersten 9 Monaten des Jahres auf 8,8 Milliarden Euro gestiegen. Die Änderung des Steuergesetzes, die von den Gewerkschaften, Unternehmer, sowie dem Staatspräsidenten Klaus Iohannis kritisiert wurde, trug ebenfalls zur Entwertung der Nationalwährung im Verhältnis zum Euro.



    Die Europäische Kommission hat die Einschätzungen über das Wirtschaftswachstum und das Defizit Rumäniens für 2017 und 2018 nach oben korrigiert. Die Europäische Kommission warnte, dass die Unsicherheit wegen der Regierungspolitik negative Auswirkungen auf das Wirtschaftswachstum haben könnte. Laut den Herbstprognosen, die am Donnerstag von der Europäischen Kommission veröffentlicht wurden, könnte die rumänische Wirtschaft im Jahr 2017 einen Wachstum von 5,7% haben, etwas mehr als die Früjahrsprognose von 4,3%. Die Europäische Kommission hat auch die Prognose für 2018 nach oben korrigiert, und zwar von 3,7% auf 4,4%. Der reale Anstieg des BIPs wurde in diesem Jahr vor allem vom privaten Konsum unterstützt. Was das Defizit betrifft, so könnte dieses sich im Jahre 2017 auf 3% des BIP beziffern; 2018 und 2019 könnte das Defizit 3,9%, bzw. 4,1% des BIP erreichen.



    Der Oberste Rat der Richter und Staatsanwälte hat am Donnerstag eine negative Stellungnahme über die vorgeschlagenen Änderungen der Justizgesetze, die von der Abgeordnetenkammer eingereicht wurden, abgegeben. Die Generalversammlung der Staatsanwälte von DIICOT (Direktion zur Bekämpfung der Organisierten Kriminalität und des Terrorismus) hatte am Dienstag gegen den Gesetzentwurf abgestimmt. Als Grund nannten die Staatsanwälte die Inkohärenz der Debatten und der profesionellen Beratungen mit Richtern und Staatsanwälten. Das Gesetzespaket befand sich auch auf der Agenda der Gespäche in Brüssel zwischen dem rumänischen Justizminister Tudorel Toader und dem Ersten Vizepräsidenten der Europäischen Kommission, Frans Timmermans.



    Das Bukarester Verfassungsgericht hat am Donnerstag entschieden, dass das Gesetz über die Finanzierung der Aktivität von politischen Parteien und Wahlkämpfen verfassungswidrig ist. Somit wurde der von 50 Oppositionsabgeordneten eingereichte Antrag angenommen. Das Verfassungsgericht hat festgestellt, dass das besagte Gesetz den Zweikammerprinzip verletzt, weil die Abgeordnetenkammer als Entscheidungsgremium eine hohe Anzahl von Änderungen zu diesem Gesetz angenommen hat, was zu einer radikalen Änderung des vom Senat angenommenen Textes führte. Zu den neuen Änderungen, die von der Abgeordnetenkammer vorgeschlagen und angenommen wurden, gehörte auch die Streichung der Vorschrift über die Beschlagnahmung der Wahlkampfbeiträge und die Festlegung einer Mindestgrenze für die Summen, die den politischen Parteien zukommen sollten.

  • November 4, 2017 UPDATE

    November 4, 2017 UPDATE

    UNIONS – The “Solidaritatea Sanitara union federation announces its opposition to the Governments plan to transfer the payment of social security contributions from employers to employees, and says it will join the all-out strike planned by the countrys main union confederations. Previously, trade union federations Frăţia, Cartel Alfa and the National Union Bloc had voiced fears that this transfer would entail a drop in salaries and the loss of jobs. In turn, employer associations say that should this measure be implemented, they will have to lay off employees, while the National Liberal Party in opposition announced it would notify the Constitutional Court unless the Government gave up these plans. President Klaus Iohannis described the Governments initiative as fiscal confusion through which average gross salaries would only go up by a rough 70 eurocents. In response, PM Mihai Tudose and his Social Democratic Party chief, Liviu Dragnea, say they do not understand the opposition to the measures announced for next year, given that in fact both employers and employees would stand to gain. The Cabinet postponed to Monday the meeting in which the new provisions were to be discussed, on grounds that some of the bills on the agenda had not received all the required approvals.




    BY-ELECTIONS – The town of Deva, in western Romania, as well as 16 villages in 12 counties hold by-elections on Sunday. 16 localities elect their mayors, and a village will elect its local council. In Deva, the mayor position has been vacant since the former mayor, Mircia Muntean, re-elected to office last summer, was sentenced to six months in prison for abuse of office and DUI.




    HEALTHCARE – The Romanian healthcare and tourism ministries will work together to come up with medical tourism packages. The announcement was made by the Healthcare Minister Florian Bodog at a medical tourism conference in Bucharest. The healthcare services in the highest demand from foreign patients in Romania are dental treatments, spa treatments, and plastic surgery, Bodog explained. He added that the Government is working to adopt the public-private partnership bill, which will allow foreign partners to invest in Romania, including in the healthcare sector. The Romanian official added that he had already received offers from foreign investors interested in setting up hospitals and cardiovascular surgery and recovery centres.




    CAMPAIGN – MEP Cătălin Ivan has announced he intends to start a signature campaign to ban bearer shares in Romania. Such shares, which are not registered, may be transferred from one holder to another without tax and accounting records. Ivan argues that this enables civil servants to own stock in companies that are awarded public procurement or service contracts, without any means of combating corruption. According to official data there are around 400 companies in Romania having issued bearer shares, and most of them have been awarded government contracts worth hundreds of millions of euros. Bearer shares have already been banned in countries like the UK, Belgium, Portugal, the Czech Republic, Malta and Cyprus.




    PUIGDEMONT – Belgian authorities announced having received the international arrest warrant issued by Spain against the ousted Catalan leader Carles Puigdemont and 4 members of his secessionist cabinet. The source added that prosecutors would study the documents before submitting them to a judge. The five Catalan ministers arrived in Brussels this week, after Spain issued an arrest warrant for sedition. Puigdemont insists that he is not in Belgium to escape justice, and that he is facing a potential 30-year prison sentence for keeping his promise to his voters. A Spanish court approved the arrest after the five failed to appear in court on Thursday to respond to accusations regarding the Catalan independence declaration. Before the arrest warrants were issued, the European Commission said the trial of the Catalan separatists was for the judiciary to settle.




    HANDBALL – The Romanian womens handball team CSM Bucharest beat the Danish side Nykobing at home, 39-26, in the 4th round of Champions League Group A, making up for the surprising defeat they had sustained two weeks ago, in Denmark, 22-25. In the first 2 games in Group A, the Romanians defeated Krim Ljubljana of Slovenia and Vistal Gdynia of Poland, and are now qualified into the main group stage. Romanias target in the current competition season is to reach the Champions League Final Four.


    (translated by: Ana-Maria Popescu)

  • November 4, 2017

    November 4, 2017

    UNIONS – The “Solidaritatea Sanitara union federation announces its opposition to the Governments plan to transfer the payment of social security contributions from employers to employees, and says it will join the all-out strike planned by the countrys main union confederations. Previously, trade union federations Frăţia, Cartel Alfa and National Union Bloc had voiced fears that this transfer would entail a drop in salaries and the loss of jobs. In turn, employer associations say that should this measure be implemented, they will have to lay off employees, while the National Liberal Party in opposition announced it would notify the Constitutional Court unless the Government gave up these plans. President Klaus Iohannis described the Governments initiative as fiscal confusion through which average gross salaries would only go up by a rough 70 eurocents. In response, PM Mihai Tudose and his Social Democratic Party chief, Liviu Dragnea, say they do not understand the opposition to the measures announced for next year, given that in fact both employers and employees would stand to gain. The Cabinet postponed to Monday the meeting in which the new provisions were to be discussed, on grounds that some of the bills on the agenda had not received all the required approvals.




    BY-ELECTIONS – The town of Deva, in western Romania, as well as 16 villages in 12 counties are preparing for Sundays by-elections. 16 localities will elect their mayors tomorrow, and a village will elect its local council. In Deva, the mayor position has been vacant since the former mayor, Mircia Muntean, re-elected to office last summer, was sentenced to six months in prison for abuse of office and DUI.




    HEALTHCARE – The Romanian healthcare and tourism ministries will work together to come up with medical tourism packages. The announcement was made by the Healthcare Minister Florian Bodog at a medical tourism conference in Bucharest. The healthcare services in the highest demand from foreign patients in Romania are dental treatments, spa treatments, and plastic surgery, Bodog explained. He added that the Government is working to adopt the public-private partnership bill, which will allow foreign partners to invest in Romania, including in the healthcare sector. The Romanian official added that he had already received offers from foreign investors interested in setting up hospitals and cardiovascular surgery and recovery centres.




    CAMPAIGN – MEP Cătălin Ivan has announced he intends to start a signature campaign to ban bearer shares in Romania. Such shares, which are not registered, may be transferred from one holder to another without tax and accounting records. Ivan argues that this enables civil servants to own stock in companies that are awarded public procurement or service contracts, without any means of combating corruption. According to official data there are around 400 companies in Romania having issued bearer shares, and most of their have been awarded government contracts worth hundreds of millions of euros. Bearer shares have already been banned in countries like the UK, Belgium, Portugal, the Czech Republic, Malta and Cyprus.




    PUIGDEMONT – Belgian authorities announced having received the international arrest warrant issued by Spain against the ousted Catalan leader Carles Puigdemont and 4 members of his secessionist cabinet. The source added that prosecutors would study the documents before submitting them to a judge. The five Catalan ministers arrived in Brussels this week, after Spain issued an arrest warrant for sedition. Puigdemont insists that he is not in Belgium to escape justice, and that he is facing a potential 30-year prison sentence for keeping his promise to his voters. A Spanish court approved the arrest after the five failed to appear in court on Thursday to respond to accusations regarding the Catalan independence declaration. Before the arrest warrants were issued, the European Commission said the trial of the Catalan separatists was for the judiciary to settle.





    HANDBALL – The Romanian womens handball team CSM Bucharest is playing this afternoon at home against the Danish side Nykobing, in the 4th round of Champions League Group A. Two weeks ago, CSM lost surprisingly in Denmark, 22-25. In the first 2 games in Group A, the Romanians defeated Krim Ljubljana of Slovenia and Vistal Gdynia of Poland. The top 2 teams in each of the 4 groups will qualify into the main group stage. Romanias target in the current competition season is to reach the Champions League Final Four. Also today, in mens handball, Romanias champions Dinamo Bucharest play away from home against Ademar Leon of Spain. Dinamo ranks last in Group C, and is left with next to no chances to move on in the competition.


    (translated by: Ana-Maria Popescu)

  • A la Une de la presse roumaine – 01.11.2017

    A la Une de la presse roumaine – 01.11.2017

    Une loi controversée visant le statut des fonctionnaires vient d’être adoptée par le Sénat de Bucarest. Entre temps, avec un nouveau président, l’Union Savez la Roumanie s’ambitionne de devenir la deuxième plus importante force politique de Roumanie. Enfin la presse écrite se penche également sur l’énergie verte et notamment sur les investissements dans des éoliennes.



  • Révolution, révoltes et mouvements sociaux (II)

    Révolution, révoltes et mouvements sociaux (II)

    Ce mouvement fait référence à l’opposition qui s’est constitué contre un projet d’exploitation minière dans les monts Apuseni. Contre toutes attentes, ce mouvement a été l’un des plus importants de la période postcommuniste et marque l’entrée de la protection de la nature dans les préoccupations citoyennes. Avec Diana Margarit, politologue et enseignante à l’Université de Iasi.



  • Opinions sur l’état de l’économie roumaine

    Opinions sur l’état de l’économie roumaine

    Ce fut à la demande du principal parti de l’opposition de Roumanie, le Parti national libéral que le premier ministre, le social-démocrate Mihai Tudose a présenté aux élus nationaux l’état de l’économie roumaine. Selon les libéraux Ces explications étaient nécessaires en raison des inquiétudes quant au fait que la Roumanie pourrait connaître à l’avenir une crise économique similaire à celle de 2009. Cette hypothèse a été rejetée par Liviu Dragnea, le leader du Parti Social Démocrate, principal parti de la coalition gouvernementale. A son avis, l’économie roumaine ne se confronte pas à des problèmes majeurs.

    C’est autour de cette même idée que le premier ministre roumain a conçu son discours au Parlement, le premier depuis l’installation de son cabinet il y a quelques mois seulement. Mihai Tudose a souligné que la croissance économique s’était chiffrée cette année à 5,8%, soit le taux le plus élevé d’Europe et que les investissements étaient supérieurs à ceux de l’année dernière. Davantage d’emplois ont été créés dans le secteur privé et toutes les mesures adoptées dans les domaines budgétaire et fiscal ont tenu compte des engagements assumés par la Roumanie, a souligné Mihai Tudose.

    Mihai Tudose : « Le déficit, huit mois depuis le début de l’année, est de moins 0,77 par rapport à un déficit assumé de moins 2,95. La dette publique est de 37%, soit la troisième la plus réduite de l’UE, la plus élevée étant de 60%. »

    Cette situation économique présentée par le chef du cabinet a été évidemment bien reçue par les sociaux-démocrates. Aux dires de l’ex-ministre des Finances, le député Viorel Stefan, l’actuel gouvernement investissait dans le développement du pays, en s’assumant un programme qui illustre parfaitement les réformes à mettre en œuvre dans les années à venir.

    Les représentants de l’opposition ont pourtant contesté la manière dont le gouvernement gérait l’économie du pays. Mécontente par les réponses du premier ministre, la députée libérale Raluca Turcan a précisé que la situation économique réelle ne correspondait pas à l’image présentée par le PSD. Les libéraux critiquent entre autres la réintroduction d’une accise sur les carburants.

    Le député de l’Union sauvez la Roumanie, Claudiu Nasui a critiqué la manière dont le gouvernement Tudose gérait l’économie : « Les chiffres présentés par le premier ministre de la Roumanie sont une fantaisie, une image irréelle. Si les choses vont tellement bien, si la croissance est tellement importante et si la situation est tellement rose, pourquoi faut-il augmenter les taxes, conformément aux récentes propositions du gouvernement ? ».

    A son tour, le leader des députés du Parti du Mouvement Populaire, Eugen Tomac a déclaré qu’afin de respecter le déficit budgétaire assumé, l’Exécutif serait sans nul doute obligé à sacrifier plusieurs mesures du programme de gouvernance. Enfin le député de l’Union démocrate des Magyars de Roumanie, Erdei Istvan a demandé à l’Exécutif d’assurer de la prédictibilité dans la législation fiscale. (Trad. Alex Diaconescu)

  • Nachrichten 02.09.2017

    Nachrichten 02.09.2017

    In Bukarest haben die zwei Parlamentskammern am Freitag ihre ordentliche Sitzungsperiode nach den Sommerferien wiederaufgenommen. Die Debatten über die Gesetzesprojekte beginnen aber erst nächste Woche. Zu den Prioritäten der Legislative gehören Gesetzentwürfe, die von Parlamentariern selbst eingebracht wurden sowie Projekte und Verordnungen der Regierung. Dazu gehören die Eilverordnungen über die Sonderrenten, das Muttergeld, die Gehälter der Polizeibeamten und das Gesetzesprojekt über die Impfpflicht. Besonders spannend werden die Debatten über die Änderung des Rentengesetzes, die Änderung der Justizgesetze und die Gründung des Souveränen Entwicklungs-und Investitions-Fonds.



    Der sozialdemokratische Ministerpräsident, Mihai Tudose, wird am Montag im Rahmen der sogenannten “Stunde des Premiers den Parlamentsmitgliedern Rede und Antwort stehen. Dabei wird es in diesem Fall um die ökonomische Situation des Landes gehen. Die Entscheidung traf der Ständige Vorstand der Abgeordnetenkammer auf Antrag der National-Liberalen PNL, der größten Partei aus der Opposition. Es gebe Befürchtungen, dass Rumänien demnächst in eine Wirtschaftskrise wie die von 2009 schlittern könnte, behaupten Vertreter der Liberalen. Der PSD-Chef Liviu Dragnea, der auch Vorsitzender der Abgeordnetenkammer ist, erklärte indes, die Wirtschaft sei vor keine besonderen Probleme gestellt.



    Der ehemalige Chef der Nationalen Krankenkasse Rumäniens, Marian Burcea, ist festgenommen worden und wird 30 Tage lang in Untersuchungshaft bleiben. Burcea wird der Verwicklung in illegale Abrechnungen von medizinischen Dienstleistungen bezichtigt. Gleich nach seiner Festnahme wurde Marian Burcea aus seinem Amt entlassen. Im selben Verfahren wurden weitere 13 Verdächtige festgenommen. Die Antikorruptions-Staatsanwälte ermitteln wegen Betrug bei der Bukarester Krankenkasse durch Abrechnung von fiktiven medizinischen Dienstleistungen. Mehrere Beamte und Angestellte sollen unter dem Schutz der Führung der Bukarester und Nationalen Krankenkasse Hunderte medizinische Akten gefälscht haben. Der Schaden beziffert sich auf etwa 3 Millionen Euro. Am Donnerstag gab es Hausdurchsuchungen an den Sitzen einiger Bukarester Firmen und Einrichtungen, sowie bei verdächtigten Privatpersonen.



    Am Samstag beginnt in Rumänien das Internationale Musikfestival George Enescu“, eines der wichtigsten europäischen Kulturevents. Drei Wochen lang werden die Musikliebhaber von den besten Orchestern und Solisten der Welt verwöhnt. Die 23. Auflage des internationalen Musikfestivals findet zwischen dem 2. und dem 24. September in Bukarest und in weiteren sieben Städten in Rumänien statt. Ehrenpräsident ist der bekannte Dirigent Zubin Mehta; künstlerischer Leiter des Festivals ist mit Wladimir Jurowski ein weiterer namhafter Dirigent. Die Sender Radio România Muzical und Radio România Cultural des öffentlich-rechtlichen Rundfunks werden die Konzerte im Rahmen des Festivals live übertragen. Das Internationale Musikfestival George Enescu“ wurde 1958 ins Leben gerufen, drei Jahre nach dem Tod des großen rumänischen Komponisten. 1971 stellte das kommunistische Regime das Festival ein, aber nach dem Fall des Kommunismus wurde das Musikfestival wiederaufgenommen und findet alle zwei Jahre unter der Schirmherrschaft der rumänischen Präsidentschaft statt.



    WETTER: Es bleibt sommerlich warm in Rumänien, vor allem im Süden und im Osten des Landes. Der Himmel ist vorwiegend heiter, mit gelegentlichen Bewölkungen im Norden, in der Landesmitte und im Gebirge, wo Regenschauer und Gewitter gemeldet werden. Die THT liegen zw 25 und 31 Grad C.

  • Nach Misstrauensvotum im Parlament: Präsident Iohannis lädt Parteien zu Beratungen ein

    Nach Misstrauensvotum im Parlament: Präsident Iohannis lädt Parteien zu Beratungen ein

    Der Misstrauensantrag gegen den sozialdemokratischen Premier Sorin Grindeanu erhielt am Mittwoch im rumänischen Parlament 241 Ja-Stimmen. Lediglich zehn Abgeordnete waren dagegen. Im Regierungsteam stimmten nur der Generalsekräter des Kabinetts Grindeanu und ehemaliger Premierminister Victor Ponta und der Kommunikationsminister Augustin Jianu mit Nein. An der Misstrauensabstimmung beteiligten sich nur die Regierungsparteien, die Opposition weigerte sich am internen Kampf der sozial-demokratischen Partei teilzunehmen, während die Gruppe nationaler Minderheiten, die jedes Mal dieselbe Stellung wie die Regierungsparteien einnimmt, ihren Mitgliedern diesmal freie Hand bei der Abstimmung ließ.



    Nach 20 Jahren Mitgliedschaft in der PSD und knapp einem halben Jahr im Amt des Premiers, wurde Sorin Grindeanu aus der Partei ausgeschlossen. Der Parteichef Liviu Dragnea warf ihm vor, er habe das Regierungsprogramm nicht umgesetzt und die Wahlversprechen nicht gehalten, die Dezember 2016 die Sozial-Demokraten an die Macht gebracht hatten. Laut Dragnea, sei der Stand der Umsetzung entsprechender Wirtschaftsreformen gründlich überprüft worden. Das unbefriedigende Ergebnis führte dazu, dass dem Premier die politische Unterstützung entzogen wurde. Sorin Grindeanu wies die Vorwürfe zurück und lehnte den Rücktritt ab, infolgedessen brachte seine eigene Partei einen Misstrauensantrag gegen ihn ein.



    Nachdem er das Misstrauensvotum des Parlaments erhielt, rief der abgewählte Premier zur Einigkeit in der Partei auf und versicherte, dass er das Amt interimistisch bekleiden wird, bis die Legislative einem neuen Kabinett grünes Licht gibt: Was in diesen Momenten zählt, ist, dass wir die Krise überwinden und alles tun, damit Rumänien bei ausländischen Investoren und den Regierungen aller Länder nach wie vor als stabiles und vorhersehbares Land gilt. Nach der Misstrauensabstimmung im Parlament sei die sozial-demokratische Partei nicht zerstritten, sondern hingegen stärker als zuvor, sagte der PSD-Chef und Initiator des Misstrauensantrags, Liviu Dragnea.



    Bei den bevorstehenden Beratungen mit dem Staatschef Klaus Iohannis über eine neue Regierungsbildung, werde Dragnea einen Kandidaten vorschlagen, der von seiner Fähigkeit überzeugt, die Ziele des Regierungsprogramms zu erfüllen: Rumänien ist zur Normalität zurückgekehrt. PSD zusammen mit ihren Koalitionspartnern, den Liberalen von ALDE, haben die Verantwortung für ihr politisches Handeln übernommen, denn wir möchten kein Risiko eingehen, das ein ambitioniertes Regierungsprogramm infrage stellen könnte. Laut dem Vorsitzenden des Juniopartners der PSD, der Allianz der Liberalen und Demokraten ALDE, Călin Popescu Tăriceanu, sei der Erfolg des Misstrauensantrags von Mittwoch der klare Beweis dafür, dass es im rumänischen Parlament eine funktionierende Mehrheit gebe.



    Die wichtigste Partei aus dem rechten Oppositionslager, PNL, hat sich an der Abstimmung nicht beteiligt. Laut dem Chef der Liberalen, Ludovic Orban, könnten die Vorwürfe der Koalitionsregierung PSD-ALDE an Grindeanu der Koalition selber zur Last gelegt werden. Die sozial-liberale Regierungskoalition sei auf keinen Fall eine echte europäische Regierung, so Ludovic Orban: Am Montag soll unser nationaler Vorstand mit den Parlamentsgruppen zusammentreffen, um die Strategie der National-Liberalen Partei festzulegen. Das Land wird zur Normalität zurückkehren, erst wenn die die Sozial-Demokraten die Macht verlieren. Dieselbe Ansicht vertritt auch der Vorsitzende der Volkspartei PMP, Traian Băsescu. Der ehemalige Staatschef sagte: Die sozial-demokratische Partei und ihr Koalitionspartner ALDE haben gerade den Beweis geliefert, dass sie regierungsunfähig sind. Der Weg, den die parlamentarische Mehrheit von nun an einschlagen soll ist die Opposition.



    Weder die Mitglieder der Demokratischen Union der Ungarn in Rumänien UDMR noch der sich in der Oppositon befindenden Union Rettet Rumänien USR haben an der Misstrauensabstimmung teilgenommen. Der USR-Abgerordnete Dan Barna sagte, dasselbe Engagement, das die Regierungsparteien jetzt bewiesen, hätten sie lieber für einen guten Zweck gezeigt.

  • Nachrichten 18.06.2017

    Nachrichten 18.06.2017

    Bukarest: Der Misstrauensantrag der sozial-demokratischen Regierungspartei PSD wurde am Sonntag im Plenum des Parlaments vorgelesen. Über den Misstrauensantrag gegen den Premier Sorin Grindeanu soll das Parlament am Mittwoch abstimmen. Fünf Monate nachdem das Kabinett Grindeanu ins Amt eingeführt wurde, hätten die Parteiführungen der beiden Koalitionsparteien (PSD und ALDE) den Stand der Umsetzung der Ma‎ßnahmen überprüft, die im Regierungsprogramm vorgesehen werden und folglich beschlossen, dem Premier und seinem Team die politische Unterstützung zu entziehen, steht im besagten Misstrauensantrag. 25 der 27 Regierungsmitglieder sind inszwischen zurückgetreten. Der Premier und ein Minister seien hingegen der Ansicht, dass man im eigenen Namen regieren kann und weigern sich, zurückzutreten, so dem Text des Misstrauensantrags im Anschlu‎ß. Vorher war der ehemalige sozialdemokratische Ministerpräsident Victor Ponta zum Generalsekretär der Regierung unter Sorin Grindeanu ernannt worden. Politische Beobachter betrachten die Entscheidung als strategischer Zug Grindeanus. Der aktuelle Regierungschef wolle nach seinem Ausschluss aus der Partei Alliierte unter den einflussreichsten Sozialdemokraten finden. Die PSD-Parteiorganisationen im ganzen Land haben am Samstag eine gemeinsame Erklärung unterzeichnet, in der sie “den illegalen und verfassungswidrigen Versuch der ehemaligen Parteimitglieder Sorin Grindeanu und Victor Ponta, die Exekutivmacht des rumänischen Staates zu übernehmen” scharf missbilligen. Rumänien brauche eine stabile Regierung, hat der Staatschef Klaus Iohannis erklärt und die Regierungskoalition dazu aufgefordert, die interne Krise schnellstmöglich zu lösen.



    Bukarest: Am Samstag wurde beim Parteitag der Liberalen Ludovic Orban zum Parteichef gewählt. Der ehemalige Transportminister im Zeitraum 2007 — 2008 ging mit ungefähr vier Mal mehr Stimmmen als seinen Gegner, den Europaabgeordneten Cristian Buşoi, als klarer Sieger hervor. Nach der Bekanntgabe der Ergebnisse sagte Ludovic Orban, er wünsche sich, dass die wichtigste Partei aus dem rechten Oppositionalger die nächste Parlamentswahl gewinnt und die Regierung bildet.



    Berlin: Rumäniens Präsident Klaus Iohannis trifft am Montag in Berlin für einen dreitägigen Besuch auf Einladung seines deutschen Gegenübers Frank-Walter Steinmeier und der deutschen Bundeskanzlerin Angela Merkel ein. Ein Themenschwerpunkt dürfte auf der Vertiefung der bilateralen Beziehung mit strategischem Charakter liegen. Bei den Diskussionen geht es ebenfalls um internationale und europäische Fragen. 2017 jährt sich die Aufnahme der Beziehungen zwischen Rumänien und der Bundesrepublik Deutschland zum 50. Mal und die Unterschreibung des Kooperations- und Partnerschaftsabkommens zwischen den beiden Ländern zum 25. Mal. Am 20. Juni soll sich der rumänische Präsident an der Zeremonie zum Gedenken an die weltweiten Opfer von Flucht und Vertreibung im Deutschen Historischen Museum beteiligen.



    Bukarest: Das Internationale Theaterfestival im mittelrumänischen Sibiu ist am Sonntag zu Ende gegangen. 40 Veranstaltungen fanden am letzten Festivaltag statt. Rund 3.300 rumänische und ausländische Künstler haben zehn Tage lang über 500 Aufführungen dargeboten. Die Internationalen Theaterfestspiele in Sibiu gelten als das grö‎ßte Festival der Darstellungskunst in Rumänien und eines der grö‎ßten weltweit. Zu den prominenten Gästen des Festivals zählte dieses Jahr der Ballettänzer Mikhail Barysnikov. Der luxemburgische Premier Xavier Bettel hat sich am Samstag zusammen mit dem rumänischen Staatschef Klaus Iohannis in Sibiu an den Veranstaltungen beteiligt, die daran erinnern, dass vor zehn Jahren Luxemburg und Sibiu europäische Kulturhauptstädte waren.