Tag: paroles jeunes

  • Imposition des cours privés et programmes d’été à l’Institut français de Bucarest.

    Imposition des cours privés et programmes d’été à l’Institut français de Bucarest.

    Le mois de mai c’est le coup d’envoi de la période des examens scolaires en Roumanie : tests nationaux pour les écoliers, baccalauréat pour lycéens, examens et tests d’admission à l’université, mais aussi examens de licence pour les étudiants. Et tout jeune Roumain sait que pour pouvoir réussir aux examens il faut se préparer d’avance en privé, parfois même pendant plusieurs années. Une activité que les autorités ont décidé de fiscaliser. Par ailleurs, en cette période de fin de printemps début d’été le programme de l’Institut Français de Bucarest est lui aussi marqué par les examens du DALF et du DELF suivis par des programmes d’été pour les jeunes, des activités d’enseignement détendus et ludiques.



  • Jeunes roumains d’hier et d’aujourd’hui

    Jeunes roumains d’hier et d’aujourd’hui

    Aujourd’hui
    nous parlons des jeunes roumains d’hier et d’aujourd’hui. Nous commencerons par
    le présent et nous allons faire la connaissance d’une jeune femme qui est en
    train de faire un stage au sein du Parlement européen. Ensuite, nous découvrirons
    une exposition consacrée aux adolescents roumains qui ont perdu la vie dans la
    révolution anticommuniste de décembre 1989. Clin d’œil sur le passé et l’avenir
    de la jeunesse roumaine.

    Simina Tulbure
    est une jeune femme très ambitieuse et très impliquée dans l’espace civique. Elle
    est née dans le nord extrême de la Roumanie, à Baia Mare, et a fait ses études
    universitaires en Grande Bretagne, une expérience qui l’a aidée à consolider
    son parcours professionnel depuis ses années d’études universitaire.

    Au micro
    de notre collègue Monica Chiorpec Simina Tulbure raconte son expérience au Parlement Européen.

    Et maintenant,
    clin d’œil sur le passé. Cette liberté d’options et de mouvement dont parlait
    notre interlocutrice antérieure, n’existait pas il y a une trentaine d’années
    et elle n’aurait pas été possible sans le sacrifice des jeunes qui ont lutté pour
    la chute du communisme en décembre 1989. C’est
    justement pour leur rendre hommage que le Musée national d’histoire de la
    Roumanie a organisé fin décembre 2020 une petite exposition très spéciale et très
    émouvante intitulée « Diana, l’héroïne de la Salle Dalles ». Il faut préciser que la Salle Dalles était jadis une
    librairie et une salle d’exposition au centre – ville de Bucarest, Place de l’Université,
    au Km zéro de la capitale, l’endroit emblématique de la révolution anticommuniste
    roumaine. Voyons maintenant qui est cette héroïne de la Salle Dalles et
    pourquoi une exposition lui a été consacrée.

    Au micro de notre collègue Ion
    Puican, Cristina Păiuşan Nuică, chercheuse au Musée national d’histoire de la
    Roumanie.

  • Etudier en France

    Etudier en France

    Aujourd’hui nous parlons jeunesse et mobilité. Dans un contexte mondial
    marqué par la crise sanitaire et le ralentissement de la mobilité étudiante, la
    France réaffirme son ambition d’accueillir des étudiants internationaux. Campus
    France, l’opérateur pour la mobilité étudiante, a lancé en Roumanie un appel à
    candidatures national. D’ici le 1er mars 2021, étudiants et chercheurs roumains
    peuvent déposer leur dossier de candidature pour s’inscrire dans une université
    française ou bien pour bénéficier des
    bourses offertes par le gouvernement français. Une véritable opportunité de
    formation et de spécialisation dans une multitude de domaines au sein des
    écoles les plus prestigieuses de France. Pour nous en parler, nous avons invité au micro de RRI Andreea Palcu, la Coordinatrice
    Campus France Roumanie, et Kévin Breuil, responsable de mission pour la coopération universitaire à Institut français de Roumanie.

  • Un novembre numérique et francophone pour les enfants

    Un novembre numérique et francophone pour les enfants

    Bonjour à toutes et à tous !
    Pandémie oblige, les activités culturelles se déroulent en ligne ce jours-ci
    partout dans le monde. Les activités des antennes de l’Institut Français de
    Roumanie n’y font pas exception. Aujourd’hui je vous propose de découvrir quelques
    surprises réservées aux enfants de Timisoara sous le titre Novembre numérique,
    avec mon invitée, Teodora Achim, chargée de communication et marketing à
    l’Institut Français de Timisoara.

  • Idées créatives

    Idées créatives

    Aujourd’hui nous parlons
    jeunesse et créativité. Nous découvrons tout d’abord un projet censé stimuler l’imagination
    des enfants du milieu rural dans des ateliers de création de contes de fées.
    Puis nous parlerons d’un élève très créatif qui souhaite révolutionner l’alimentation
    dans les lycées roumains.

    L’Association des
    écrivains de livres jeunesse « De Basm » (« De conte de fées »)
    a récemment clôturé un projet mené en août dernier, deux semaines durant, à
    travers les départements de Buzau et de Teleorman. Il s’agit de « La
    caravane des contes de fées » qui a campé dans les villages de Viperesti
    et de Costesti pour inviter les enfants sur place à des ateliers de lecture et d’écriture
    créative animés par les écrivaines Adina Rosetti, Victoria Pătrașcu, Laura
    Grunberg, Carmen Tiderle et Iulia Iordan.

    Passons maintenant à
    notre deuxième invité. Stefan Petrea a 19 ans, il est passionné d’informatique
    et il vit à Iasi, dans l’est de la Roumanie. Bien qu’il soit encore au lycée,
    il a déjà fondé deux affaires dans sa ville natale. Sa passion pour l’entrepreneuriat,
    il l’a découverte dans sa 2e année de lycée. Une de ses idées est
    révolutionnaire : il a imaginé un distributeur de … déjeuners pour les
    élèves.

  • Une application mobile pour préparer son BAC

    Une application mobile pour préparer son BAC

    Aujuord’hui nous parlons jeunesse et initiative. Les jeunes roumains
    veulent se faire entendre et chacun trouve la manière qui lui convient le
    mieux. La pandémie de coronavirus a mis en difficulté les élèves en année terminale de collège et de lycée. Ils ont
    dû préparer presque tout seuls leurs examens. Heureusement, les jeunes ont une
    capacité immense de s’adapter et de se réinventer. Et là où l’aide manquait,
    ils ont trouvé des méthodes de s’aider eux-mêmes. En voici un bel exemple. Etudiant à la faculté d’Automatique
    de l’Université Polyethnique de Bucarest, Andrei-Leonard Ilie est le créateur d’une
    application mobile censée aider les élèves de terminale préparer leur Bac.

  • Quel est le rôle de la langue maternelle?

    Quel est le rôle de la langue maternelle?

    A l’époque où 25 langues disparaissent chaque année dans le monde, face à l’anglais qui devient de plus en plus dominant, quel est le rôle de la langue maternelle? Devons-nous l’étudier, la promouvoir, la protéger? Ou serait-il mieux d’apprendre une seule langue internationale?C’était le thème de l’édition 2019 du concours francophone le «Coing d’or» organisé en République de Moldova par une multitude d’acteurs de la francophonie : La Section moldave de l’Union de la Presse Francophone, La Faculté de Journalisme et Sciences de la Communication de l’Université d’Etat de Moldavie, en partenariat avec L’Agence Universitaire de la Francophonie, Antenne de Chişinău, La Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Bucarest, L’Alliance Française de Moldavie, La Communauté moldave de Suisse et Le Centre pour le Journalisme Indépendant.

    Le concours s’adressait aux lycéens et aux étudiants francophones moldaves âgés de 15 à 25. Le gagnant de cette 13e édition est Marius Mihalcean, 17 ans, élève en avant – terminale à Chisinau. Son prix lui a valu une visite en Roumanie et une visite dans la rédaction de RRI. Nous lui donnons la parole dans les minutes suivantes.

  • Les 10 ans du camp de vacances francophone de Buzau

    Les 10 ans du camp de vacances francophone de Buzau


    Pour la 10e année consécutive, Buzau (est) devient le cœur de la jeunesse francophone de Roumanie. Du 30 juin au 13 juillet le camp francophone de Poiana Pinului a accueilli 168 élèves, professeurs et animateurs de 12 pays francophones (Albanie, Arménie, Autriche, Belgique, Bulgarie, Congo, France, Macédoine, Pologne, Tunisie, République de Moldova, Roumanie). Avec un accent mis sur le bénévolat au service de la communauté, sur la multiculturalité et le plurilinguisme, les activités proposées cette année encore ont fait la joie des enfants de 10 à 17 ans venus à Poiana Pinului pour parler davantage en français, pour rencontrer des gens dautres pays et pour se divertir, bien évidemment. On leur a proposé un programme très riche : ateliers de langue française, de théâtre de musique et de danses africaines, concours de photos, jeux, activités sportives et soirées thématiques.



    Notons aussi que ce camp francophone a été possible grâce à la coopération avec plusieurs acteurs importants du domaine : dont les ambassades des pays francophones de Roumanie, le Conseil départemental de Buzau, la Délégation Wallonie-Bruxelles, lAssociation Echanges Internationaux dans léducation, le Bureau régional pour lEurope centrale et orientale (BRECO) de lOrganisation Internationale de la Francophonie.



    Pour une nouvelle immersion dans lunivers francophone de Buzau, jai invité au micro Maria Monalisa Plesea, inspecteur scolaire pour les langues romanes et directrice du Centre culturel francophone de Buzau et quelques élèves participants à cette belle aventure qui est le camp de Buzau : Roxana Rocsin (Bucarest) Catalina Nistor (Buzau), Vlad Adrian Grosu, (Paris), Cristina Lopatetchi (République de Moldova) et Maro Harutyunyan (Erevan, Arménie).







  • Radio, jeunesse et francophonie

    Radio, jeunesse et francophonie

    En juin 2018, RRI consacrait une de ses éditions du magazine RRI Spécial à un concours de courts-métrages en français pour les adolescents organisé par le Lycée Voltaire de Craiova, ville du sud de la Roumanie. A ce moment-là, ni notre équipe, ni les auditeurs, ni les invités ne s’imaginaient pas qu’une simple émission radiophonique pourrait avoir une suite … si belle, si riche, si inattendue. Et pour cause, en écoutant cette émission, deux membres du Radio DX Club d’Auvergne et Francophonie, deux amies de RRI, à savoir Colette Beaulieux et Maguy Roy, ont été tellement touchées par l’amour de ces jeunes roumains pour la langue française qu’elles ont eu l’idée d’entrer en contact avec les lycéens qui ont remporté le premier prix du concours de court-métrages. Après de longues recherches, elles ont réussi à entrer en contact avec le Lycée Voltaire de Craiova pour inviter la créatrice et l’actrice du court-métrage gagnant, accompagnées par leurs profs de français, à Clermont – Ferrand, pour participer entre autres au Festival du Court métrage de la ville, qui est d’ailleurs le plus grand d’Europe. Résultat : deux semaines passées à Clermont Ferrand pour deux lycéennes et deux enseignantes, une expérience inédite et inoubliable pour toutes les parties concernées. Moi aussi j’ai eu le plaisir de rejoindre le Radio DX Club d’Auvergne et Francophonie pour son 30 anniversaire, l’occasion aussi de m’entretenir avec Diana Predescu, élève en terminale au Lycée Voltaire de Craiova, qui joue dans le court-métrage mentionné et avec son prof de français, Mme Ruxandra Simion.

  • Henri Mathias Berthelot, l’ami de la Roumanie

    Henri Mathias Berthelot, l’ami de la Roumanie

    A un moment où les relations franco- roumaines traversent une période de
    plein essor, voilà qu’une jeune historienne a choisi de raconter aux enfants
    roumains et francophones l’histoire d’un général français qui joua un rôle essentiel
    dans l’histoire de la Roumanie moderne. Lancé le 26 mars à Brasov, le livre « Henri
    Mathias Berthelot, l’ami de la Roumanie », signé par Mihaela Simina, est
    paru en édition bilingue roumano-française, grâce à la traduction réalisée par
    la journaliste Iulia Badea Guéritée, de l’Institut culturel roumain de Paris.

  • La langue roumaine – une passion, un métier

    La langue roumaine – une passion, un métier

    Notre invitée d’aujourd’hui est une Française
    qui adore la langue roumaine. Si bien qu’elle a décidé de s’installer en
    Roumanie pour mieux apprendre notre langue, dans l’espoir que ce sera son atout
    dans son futur métier de traducteur et interprète. Charlotte Fromenteaud est au
    micro de RRI.

  • L’Ecole Française Internationale de Bucarest

    L’Ecole Française Internationale de Bucarest

    La qualité d’exception de
    l’enseignement français, les bénéfices du multilinguisme et l’ouverture sur les
    cultures du monde – c’est ce que veut offrir aux enfants de la capitale roumaine
    l’Ecole Française Internationale de Bucarest.


    En fait, derrière ces mots qui
    sonnent très bien à l’oreille, se cache une mission extrêmement
    ambitieuse : donner des cours en trois langues, avoir des enseignants
    locuteurs natifs, diplômés dans leurs pays d’origine, répondre aux besoins de
    chaque enfant, avoir une approche pédagogique active, inviter les parents à
    s’impliquer dans le processus de scolarisation pour garantir non seulement un
    diplôme de BAC français avec mention multilingue, mais aussi l’épanouissement
    de chaque enfant selon sa personnalité. Le tout dans un climat de confiance et
    joie. Déjà, pas mal de défis à relever.

  • Apprendre le français par le théâtre

    Apprendre le français par le théâtre

    Faire du théâtre pour apprendre une
    langue étrangère ! Oui, absolument ! En fait c’est une des meilleures
    manières d’apprendre ou d’approfondir une langue étrangère. A Bucarest,
    l’Association Imaginabil propose des cours de théâtre en français pour les
    enfants de 6 à 13 ans. Son créateur, Alexandru Pribeagu nous en parle.

  • Qui suis-je?

    Qui suis-je?

    A l’affiche de la VIème édition
    du festival de théâtre FESTin à Bucarest qui s’est déroulé du 12 au 21 octobre,
    le spectacle Qui suis-je? du metteur en scène, Yann Dacosta d’après un texte
    de Thomas Gormet a cartonné auprès du jeune public de la capitale roumaine. Avec
    seulement trois comédiens sur scène –
    Manon Thorel, Théo Costa-Marini et Côme Thieulin et des dessins de
    Hugues Barthes pour compléter un décor minimaliste, le spectacle s’adresse
    notamment aux adolescents qui, tout comme Vincent, le personnage principal, se
    retrouvent en quête de leur propre identité. Ce n’est pas forcément un texte
    qui donne des réponses, mais plutôt un qui soulève des questions et pose des
    problèmes. Les répliques tournent autour de sujets parfois tabous tels que
    l’homosexualité, le harcèlement dans les écoles, la sexualité, la solitude ou
    encore la déprime. Produit par la compagnie Le chat
    foin de Rouen, le spectacle Qui suis-je a figuré dans la programmation Play
    Off du Festival d’Avignon, en 2018.

    A la veille de leur représentation sur Bucarest, le metteur en scène Yann Dacosta et le protagoniste, Côme Thieulin, sont passés dans le studio de RRI pour répondre aux questions de Ioana Stancescu:

  • Libres ensemble, un programme de l’OIF

    Libres ensemble, un programme de l’OIF

    « Libres ensemble » est un mouvement
    citoyen lancé par la secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean, il
    y a deux ans, suite à des attentats terroristes perpétrés dans des pays de
    l’espace francophones, pour contrer le discours de violence de ceux qu’elle a
    appelés des « marchands de haine ». Les initiatives dans le cadre de
    « Libres ensemble » sont multiples, telles des ateliers de formation
    de formateurs et de médiateurs pour les quartiers et autres zones sensibles du
    point de vue de la cohabitation des gens qui y habitent. Cela passe notamment
    par le biais de jeux de rôles, qui permettent aux jeunes d’écouter les
    arguments des autres et de chercher les meilleurs arguments pour soutenir leurs
    propres idées et attitudes. Au Pavillon de l’OIF du Village de la Francophonie d’Erevan, les
    curieux ont eu l’occasion d’assister à des exemples concrets du travail
    qu’implique un tel atelier. A Erevan Fatima Aouidat, responsable du ce
    programme à l’OIF, explique au micro d’Ileana Taroi.

    C’est à l’occasion de la Journée
    internationale de la Francophonie de cette année, que le Bureau régional de
    l’OIF pour l’Europe centrale et orientale (BRECO) a eu l’idée de lancer un
    concours photo, Libres ensemble – le dire en images, ouvert à tous les jeunes
    de l’espace francophone. Au total, 42 photographes âgés de 16 à 20 ans, de 12
    pays membres de la Francophonie situés sur 4 continents, ont relevé le défi et
    soumis leurs essais au jugement des internautes. Les 30 meilleures photos ont
    ensuite été envoyées au jury présidé par l’ambassadeur d’Egypte en Roumanie,
    qui en choisi 20 finalistes. Le concours a eu cinq lauréats, mais toutes les
    photos finalistes ont fait l’objet d’une exposition au Village de la
    Francophonie ouvert Erevan, pour le 17e
    Sommet international de la Francophonie. Le gagnant du 1er prix,
    Dany Bitita, de la République démocratique du Congo, était lui aussi dans la
    capitale arménienne, où il a répondu aux questions d’Ileana Taroi.