Tag: plagiat

  • Nachrichten 27.07.2016

    Nachrichten 27.07.2016

    Rumänien wird in der Zeit von Januar bis Juni 2019 die turnusmä‎ßige sechsmonatige EU-Ratspräsidentschaft übernehmen — ein halbes Jahr früher als ursprünglich geplant. Der Europäische Rat hat beschlossen, die gesamte Planung um sechs Monate vorzuschieben, weil nach dem Brexit Gro‎ßbritannien auf seine für Juli 2017 geplante Ratspräsidentschaft verzichtet hatte. In der betreffenden Zeitspanne werde die Regierung in London die Bedingungen des Austritts Gro‎ßbritanniens aus der Europäischen Union besprechen, sagte die britische Premierministerin, Theresa May. Infolgedessen wird Estland schon ab Juli 2017 die EU-Ratspräsidentschaft übernehmen. Zum erstenmal steht auch Kroatien, das 2013 der EU beigetreten ist, auf der Liste der turnusmä‎ßigen Ratspräsidentschaft.




    Die rumänische orthodoxe Kirche hat den Terroranschlag in einer Kirche im Nordwesten Frankreichs als symbolischen Angriff gegen die christliche Identität Europas“ verurteilt und ihr Beileid für die Opfer sowie die Solidarität mit dem französischen Volk äu‎ßert. Am Dienstag hatten zwei Angreifer eine Kirche nahe der nordfranzösischen Stadt Rouen gestürmt und fünf Geiseln genommen. Dabei ermordeten sie einen 86-jährigen Priester. Eine weitere Geisel wurde schwer verletzt. Polizisten einer Sondereinheit erschossen die Männer, als sie gerade die Kirche verlie‎ßen. Die Terrormilliz Islamischer Staat bekannte sich zu dem Anschlag.



    Este steht nun fest — der frühere rumänische Premierminister Victor Ponta hat in seiner Doktorarbeit abgeschrieben. Die zuständge Behörde wies die Beschwerde des Soziademokraten gegen ein früheres Urteil ab und empfiehlt dem Bildungsminister, Pontas Doktortitel abzuerkennen. Der gewesene Staatsanwalt Ponta hatte 2003 promoviert, sein Doktorvater war damals der amtierende Premierminister Adrian Năstase. Ponta spricht von einer politischen Vendetta und will nun vor Gericht gegen die akademische Stelle klagen.



    Die rumänische Regierung wird bis Mitte August die Vorlage eines Eilerlasses zur Novellierung des Briefwahlgesetzes für die im Ausland lebenden Rumänen zur Diskussion stellen. Dies gab am Mittwoch der rumänische Ministerpräsident Dacian Ciolos bekannt. Ende 2016 werden in Rumänien Parlamentswahlen stattfinden. Die National-Liberale Partei hat die Regierung aufgefordert, Ma‎ßnahmen zur Erleichterung der Wahl für Auslandsrumänen zu treffen. Genauer gesagt sollte es mindestens so viele Wahllokale geben, wie im zweiten Wahlgang der Präsidentenwahl von 2014. Ferner sollte die Möglichkeit geschaffen werden, dass die Anträge der im Ausland lebenden Rumänen, die ein Wahllokal eröffnen oder ihre Stimme per Briefwahl abgeben wollen, über E-Mail eingeschickt werden. Bis 25. Juli 2016 validierte die Ständige Wahlbehörde (AEP) mehr als 3.600 Anträge zur Aufnahme ins Wahlregister durch rumänische Wähler mit Wohnsitz im Ausland. Über 3 Millionen Rumänen arbeiten legal au‎ßerhalb der Grenzen Rumäniens, die meisten in EU-Ländern.



    Der IWF wird der Republik Moldau in einem Dreijahresprogramm Geld geben, um Wirtschaftsreformen zu finanzieren. IWF-Experten und die moldauischen Behörden vereinbarten jedoch, dass die Moldau im Vorfeld bestimmte Ma‎ßnahmen im Finanz- und Bankwesen treffen muss, bevor der IWF-Vorstand im Herbst die Finanzierung freischaltet. Die Moldau leidet immer noch an den Folgen eines gewaltigen Unterschlagungsskandals, bei dem mit mutma‎ßlicher Mitwirkung aktueller und früherer Regierungspolitiker eine Milliarde Dollar aus dem Banksystem einfach verschwand. Die Moldau braucht ein Finanzierungsabkommen mit dem IWF, um weitere Unterstützungsvereinbarungen abschlie‎ßen zu können, vor allem mit der EU. Auch Rumänien verlangt ein solches Abkommen, um den ersten Teil eines Kredits von 150 Millionen Euro zu überweisen. Das letzte Abkommen mit dem IWF hatte die Moldau in 2010 abgeschlossen.



  • 27.07.2016 (mise à jour)

    27.07.2016 (mise à jour)

    Vote — Un projet de décret d’urgence du gouvernement de Bucarest visant la modification rapide de certaines réglementations du vote par correspondance pour les Roumains de la diaspora sera proposé au débat public avant la mi-août, a annoncé le premier ministre Dacian Ciolos. Des élections législatives doivent se dérouler en décembre 2016 et l’Autorité électorale permanente constate que le nombre de Roumains inscrits au Registre électoral pour exprimer leur choix politique par correspondance ne se chiffre qu’à un peu plus de 3600. Aux termes de la loi électorale, les Roumains de la diaspora qui souhaitent voter par correspondance ou dans un bureau de vote spécialement aménagé dans leur localité de résidence doivent envoyer une requête en ce sens au Registre électoral par courrier postal ou auprès des missions diplomatiques roumaines à l’étranger.


    Le Parti national libéral roumain avait demandé au gouvernement de Bucarest d’instituer par décret d’urgence au moins autant de bureaux de vote pour la diaspora que lors du second tour de l’élection présidentielle de 2014, sinon plus. Dans le même temps, les libéraux ont exigé que les Roumains résidant à l’étranger puissent s’inscrire au Registre électoral par courrier électronique aussi. Plus de 3 millions de Roumains à droit de vote vivent et travaillent actuellement à l’étranger, la plupart dans les Etats de l’UE.




    Plagiat — Le Conseil roumain d’attestation des titres, des diplômes et des certificats universitaires a décidé, mercredi, de maintenir le rapport qui constate le plagiat dans la thèse de doctorat de l’ancien premier ministre de gauche Victor Ponta et recommande le retrait de son titre académique. Il devrait lui être retiré par ordre du ministre de l’Education. Victor Ponta, avocat et ancien procureur au Parquet général, a soutenu sa thèse de doctorat en sciences juridiques en 2003, lorsqu’il était chef du Corps de contrôle du premier ministre de l’époque, Adrian Năstase, qui a d’ailleurs coordonné sa thèse. Victor Ponta considère que le retrait du titre serait une vengeance politique et a annoncé qu’il contesterait en justice le verdict de plagiat. Le scandale lié à sa thèse a éclaté en 2012.



    Attaque — L’attaque terroriste perpétrée à l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray, dans le nord-ouest de la France, est « un attentat symbolique contre l’identité chrétienne de l’Europe », affirme l’Eglise orthodoxe roumaine dans un communiqué où elle exprime également sa solidarité avec le peuple français de même que sa compassion pour les victimes et leurs familles. Deux djihadistes, dont un Français connu des services antiterroristes, ont surgi mardi matin dans léglise de Saint-Etienne-du-Rouvray, dans la banlieue de Rouen, pendant la messe matinale, et pris en otage six personnes, dont le prêtre, trois religieuses et un couple. Le prêtre octogénaire, Jacques Hamel, a été égorgé. Les djihadistes ont été abattus par la police au moment où ils sont sortis sur le parvis de léglise. L’attaque a été revendiquée par l’organisation Etat islamique.



    Exercice — A compter de ce mercredi et jusqu’au 7 août, plus de 2700 militaires d’une dizaine de pays participent à un grand exercice accueilli par la base de Cincu, au centre de la Roumanie. Sur ces manœuvres, cinq Etats membres de l’OTAN — la Roumanie, les Etats-Unis, le Canada, la Pologne et la Bulgarie — collaboreront avec cinq pays du Partenariat pour la paix — l’Arménie, l’Azerbaïdjan, la Géorgie, la République de Moldova et l’Ukraine. Leurs militaires seront impliqués dans des exercices de commandement, de formation par simulation assistée par ordinateur, d’entraînement sur le terrain et de tir de combat avec toutes les catégories d’armement.





  • Le Petitjournal radio 05.07.2016

    Le Petitjournal radio 05.07.2016

    La synthèse d’actualité de RRI et de LPJ de Bucarest est de retour avec les sujets qui ont retenu l’attention des journalistes des deux médias. Cette semaine, Jonas Mercier, co-rédacteur en chef de lantenne roumaine de la plus importante publication en ligne destinée aux Français et aux francophones de l’étranger, parle du débat autour du plagiat de la thèse de doctorat de Victor Ponta, de la disparition dElie Wiesel, Prix Nobel de la Paix en 1986, et de ses traces en Roumanie, de la campagne “Romanians adopt Remainians”, ainsi que de limage que les différentes églises chrétiennes entendent renvoyer.


  • A la Une de la presse roumaine – 01.06.2016

    A la Une de la presse roumaine – 01.06.2016

    « C’est officiel, Victor Ponta est dépourvu du titre académique de docteur parce qu’il a plagié ». Entre temps, la lenteur avec laquelle l’administration adopte des changements exaspère le vice-premier ministre Vasile Dâncu. Le ministère de l’agriculture veut limiter à 50 hectares, la superficie de terrain que peuvent acheter les étrangers. Pourtant, un site créé le long d’un week-end invite les jeunes entrepreneurs britanniques à s’installer à Cluj après le Brexit.



  • A la Une de la presse roumaine 10.05.2016

    A la Une de la presse roumaine 10.05.2016

    La presse commente notamment la démission du ministre de la Santé Patriciu Achimas Cadariu et les raisons pour lesquelles le premier ministre Dacian Ciolos a assumé aussi le mandat de celui-ci. Egalement dans la presse, les critiques du chef du PSD, Liviu Dragnea, envers le premier ministre et les efforts du même leader social-démocrate de révoquer le président de la Chambre des Députés. Enfin les autorités lancent une campagne de vérification de toutes les thèses de doctorats soupçonnées d’être des plagiats.


  • A la Une de la presse roumaine 02.03.2016

    A la Une de la presse roumaine 02.03.2016

    Un scandale en chasse un autre pour prendre les devants de la scène : les journaux roumains en ligne regorgent ce mercredi de commentaires sur les nouveaux révolutionnaires de 1989 fraîchement investis. Dans ce même pays, les malades chroniques pourraient bientôt rester sans traitement, alors que l’Eglise orthodoxe roumaine se voit allouer une rallonge de fonds à Bucarest. Et l’histoire des plagiats des personnes publiques n’est toujours pas tranchée…


  • Nachrichten 01.03.2016

    Nachrichten 01.03.2016

    BUKAREST: Die Bevölkerung Rumäniens wird immer älter. Das zeigen die jüngsten Daten, die vom rumänischen Statistikamt veröffentlicht wurden. Die Zahl der Personen über 65 Jahren ist um 210 Tausend grö‎ßer als jene der Kinder unter 14 Jahren. Das Durchschnittsalter erreichte in Rumänien knapp 41 Jahre. Mehr als 22 Millionen Personen haben den Wohnsitz in Rumänien angemeldet, nicht alle wohnen aber in Wirklichkeit im Land. Laut Einschätzungen würden etwa drei Millionen Rumänen im Ausland leben, die meisten davon in Italien und Spanien.




    BUKAREST: Die Bukarester Universität hat erneut die Aberkennung des Jura-Doktortitels des früheren sozialdemokratischen Premierministers Victor Ponta gefordert. In einem Communique von Dienstag, erklärte die Universität sie habe dem rumänischen Bildungsministerium die Unterlagen, die das Plagiat bestätigen, vorgelegt. Die Ethik-Kommission und ein Jura-Experten-Ausschuss hatten das Urteil gefällt. Der ehemalige Ministerpräsident erklärte das Vorgehen sei politisch begründet. In einer Nachricht auf einem sozialen Netzwerk sagte er, er sei davon überzeugt, dass die Justiz ihm Recht geben werde. Im Juni 2015 wurde Ponta als erster amtierender Premier im postkommunistischen Rumänien der Korruption beschuldigt. Im November legte er sein Amt, nach Strassenprotesten, nieder.




    Der rumänische Au‎ßenminister Lazăr Comănescu ist am Dienstag in Teheran vom iranischen Präsidenten Hassan Rouhani emfpangen worden. Comănescu lobte dabei die unter Rouhani geförderte Öffnungspolitik Irans gegenüber der internationalen Gemeinschaft. Bei den Gesprächen wurde die Bedeutung der bilateralen Kooperation in der Bildung, aber auch in Wirtschaftsbereichen wie Industriei, Energie, Landwirtschaft und Verkehr hervorgehoben. Comănescu soll sich weiter mit Parlamentspräsident Ali Larijani und Au‎ßenminister Mohammad Javad Zarif treffen. Den rumänischen Au‎ßenminister begleitet eine zahlreiche Wirtschaftsdelegation — eine der grö‎ßten, die nach dem Atomdeal mit den Gro‎ßmächten in letzter Zeit Iran besucht haben. Comănescu ist der erste hochrangige EU-Diplomat, der nach den Wahlen von letzter Woche Teheran besucht. Nach den Endergebnissen besteht sowohl im Parlament als auch im Expertenrat, der die Wahl des Staaschefs beinflusst, ein Gleichgewicht zwischen dem reformoffenen und dem ultrakonservativen Lager.




    Rumänien ist bei der Nutzung von EU-Fördermitteln Schlusslicht in Europa. Neulich wurde eine weitere Zahlung im Regionalprogramm für Personalentwicklung aufgrund von Mängeln in der Abwicklung zwischen 2012 und 2014 ausgesetzt, sagte am Dienstag die zuständige Ministerin Aura Răducu. Die rumänischen Finanzieurungsprogramme seien zwischen 2007 und 2015 fehlerhaft aufgestellt worden. Probleme gab es bei der Erstellung der Finanzierungsrichtlinien, bei der Auswahl und bei der Umsetzung der Projekte, sagte die Ministerin. Ende des Jahres 2015 kam Rumänien auf eine Nutzungsquote von 74% – andere Mitgliedsstaaten hatten die Finanzierung zu 95% abgerufen.




    Eine Mission des IWF trifft am Mittwoch in Rumänien zur Jahreswirtschaftsprüfung ein. Der neue Vertreter für Rumänien, Reza Baqir, triifft sich mit relevanten Stakeholdern woie Behörden, Parteien, Gewerkschaften, Unternehmerverbänden, Banken und Universitäten. Die Prüfung gehört zu den Pflichtübungen, die nach den Statuten des IWF jedes Mitgliedsland absolvieren muss. Nach der Prüfung werden Empfehlungen zur Währungs- und Fiskalpolitik sowie zu den wirtschaftspolitischen Ma‎ßnahmen für mehr Stabilität auf den Weg gegeben. Zwischen Rumänien und dem IWF besteht im Moment kein Abkommen.

  • 01.03.2016 (mise à jour)

    01.03.2016 (mise à jour)

    Démographie — La Roumanie se confronte à un vieillissement accéléré de sa population — indiquent de nouvelles données de l’Institut national de la statistique. Le nombre des adultes de plus de 65 ans est de 210.000 personnes supérieur à celui des enfants entre 0 et 14 ans, la moyenne d’âge de la population approche les 41 ans, en légère hausse par rapport à l’année dernière. L’INS précise également que plus de 22 millions de personnes ont leur domicile officiel en Roumanie, mais toutes ne vivent ni ne travaillent sur le territoire du pays. Selon plusieurs sources, environ 3 millions de Roumains se sont établis à l’étranger, la plupart d’entre eux en Italie et en Espagne.



    Visite — En visite de deux jours en Iran, le ministre roumain des affaires étrangères a été reçu par le président Hassan Rouhani. A cette occasion, le chef de la diplomatie roumaine a salué la politique d’ouverture vers la communauté internationale de l’administration de Téhéran. Selon l’envoyé spécial de Radio Roumanie, M. Comănescu a estimé que la signature des accords sur le nucléaire avec l’Iran et le début de la levée des sanctions internationales auraient un impact très positif sur la relance des relations roumano-iraniennes.Le chef de la diplomatie de Bucarest s’est aussi entretenu avec son homologue Mohammad Javad Zarif, notamment au sujet des perspectives de la collaboration entre l’UE et l’Iran. Mardi également, le ministre roumain des affaires étrangères a participé à un forum économique où les représentants de plusieurs grandes compagnies roumaines et des hommes d’affaires iraniens ont discuté de la reprise de la coopération bilatérale dans des domaines tels l’agriculture, la métallurgie, l’énergie ou l’industrie automobile. Lazar Comanescu est le premier responsable étranger à visiter Téhéran après les élections de la semaine dernière, dont les résultats indiquent un équilibre entre réformateurs et conservateurs.



    Plagiat — L’Université de Bucarest demande à nouveau le retrait du titre de docteur en droit de l’ancien premier ministre social-démocrate Victor Ponta. Dans un communiqué remis aux médias mardi, l’Université annonce avoir envoyé de nouveau au ministère roumain de l’Education le dossier des preuves soutenant le verdict de plagiat rendu par la commission de professeurs experts en droit et par la Commission d’éthique de l’institution d’enseignement universitaire ; elle fait savoir aussi qu’elle a demandé l’annulation de l’ordre par lequel le titre de docteur avait été conféré à M. Ponta. L’ancien premier ministre accuse des raisons politiques dans la demande de l’Université de Bucarest. Dans un message posté sur un réseau de socialisation, il se déclare persuadé d’avoir gain de cause en justice.



    Législation — La Commission Emploi de la Chambre des députés du Parlement roumain a donné son aval au projet législatif, initié par le sénateur social-démocrate Georgica Severin, qui modifie la loi régissant le fonctionnement des sociétés publiques de radio et de télévision. De l’avis des élus sociaux-démocrates, les fonctions de président du Conseil d’administration et de directeur général doivent être séparées, vu qu’un manager nommé suite à un concours de projets pourrait avoir une meilleure qualité professionnelle que quelqu’un nommé politiquement. Les députés du Parti national libéral ont voté contre le projet de loi, accusant le PSD de vouloir profiter de la situation financière difficile dans laquelle se trouve la télévision publique pour la contrôler. Le projet législatif en question attend aussi les avis des Commissions Budget, Culture et Juridique. La décision finale appartient au Sénat.



    Réunion — Bucarest a accueilli la première réunion du Conseil consultatif médias Roumanie-République de Moldova, dont le but est de créer un espace commun de communication entre les deux Etats et d’introduire des normes européennes dans le fonctionnement des médias de Chisinau. Le ministre délégué chargé des Roumains de l’étranger, Dan Stoenescu, a souligné que la République de Moldova avait besoin d’informations équilibrées, de sources crédibles. La Roumanie, en tant que membre de l’UE, fera tous les efforts pour que la population de l’Etat voisin, y compris les citoyens russophones, aient accès à des informations correctes, a-t-il ajouté. L’ambassadeur de la République de Moldova à Bucarest, Mihai Gribincea, a déploré le fait que les médias moldaves et roumains n’avaient pas suffisamment contrecarré la propagande de Moscou dans son pays. Le Conseil consultatif médias est formé de 31 membres, représentants des médias, de la société civile et des experts de la communication. Ses réunions se dérouleront en alternance dans les deux capitales.



    Corruption — Le vice-président du Conseil départemental Prahova, Radu Ionescu (UNPR), a été arrêté mardi par les procureurs anti-corruption pour prise de pot-de-vin ; Radu Ionescu est accusé d’avoir reçu une voiture d’environ 22 mille euros en échange de contrats préférentiels. L’année dernière, le président du même Conseil départemental Prahova, Mircea Cosma, avait été mis en examen pour corruption, tandis qu’Iulian Badescu, le maire social-démocrate de Ploiesti, ville chef-lieu du département de Prahova, a démissionné après son arrestation par le Parquet anti-corruption.



    Tennis — L’équipe féminine de tennis de table de Roumanie a perdu la rencontre avec l’équipe de Taiwan sur le score général de 3 à 1, dans le cadre du groupe A des Championnats du monde accueillis par la capitale de la Malaisie, Kuala Lumpur. Les Roumaines avaient antérieurement vaincu l’Espagne et la Malaisie, et se sont inclinées devant la Chine. Les équipes qui occuperont les trois premières places dans le Groupe se qualifieront dans le tournoi pour les places finales de 1 à 12, les autres allant se disputer les positions de la seconde partie du classement mondial. Par ailleurs, l’équipe masculine de Roumanie a perdu devant la Corée du Sud (3-2), ainsi que les matchs antérieurs contre Hong Kong, la Russie et la Croatie.



    Météo — Le temps se refroidit en Roumanie dans les prochaines 24h. Des pluies tomberont sur l’ouest, le nord-ouest et le centre du pays. Lundi en milieu de journée, les températures iront de 4 à 17°.




  • Reglementări privind obţinerea doctoratului

    Reglementări privind obţinerea doctoratului

    Dezbaterea cu rădăcini mai vechi ce are ca miez reuşitele din mediul academic românesc a fost reaprinsă, zilele acestea, de prospătul ministru al educaţiei, Adrian Curaj. Dornic să spargă cutumele perpetuate în mandatele predecesorilor săi, ministrul Curaj propune, fără bâlbe şi reţineri, schimbarea legislaţiei privind doctoratele. Modificările, adunate într-un proiect intrat, deja, în dezbatere publică, ţintesc, susţine el, consolidarea autonomiei universitare şi, implicit, transparentizarea procesului doctoral.



    Adrian Curaj: “Am avut în vedere şi sunt afectate cinci articole din cele peste 300 de articole ale Legii educaţiei şi pe intervenţiile făcute nu am avut în vedere decât acele articole legate de doctorat şi de etică. Prin ceea ce am reuşit să facem, am făcut ca o problemă de sistem să aibă o arbordare de sIstem”.



    El a reiterat că acordarea şi retragerea titlurilor de doctorat se vor afla, de acum înainte, în atribuţia instituţiilor organizatoare, respectiv universităţi şi Academia Română, în timp ce Consiliul Naţional de Atestare a Titlurilor, Diplomelor şi Certificatelor Universitare (CNATDCU) va fi instanţă de apel. În plus, toate ordinele de acordare a titlurilor de doctor vor fi publicate pe site-ul Ministerului Educaţiei. Tot acest buchet de propuneri ar urma să intre în practica universitară la jumătate lunii martie.



    Împrospătarea legislaţiei în domeniul doctoratelor este vitală, fiindcă, în forma actuală, aceasta este incoerentă şi haotică, şi-a motivat ministrul Curaj demersul. El nu s-a sfiit să critice în termeni duri ingerinţa politicului în traiectoria urmată în postcomunism de învăţământul românesc, căruia nu i-a fost creat un cadru robust şi nu i-a fost oferită atât de necesara autonomie. Iar reproşurile sale nu s-au oprit aici. Ministrul a adus în discuţie şi ceea ce a numit dublul standard de care au beneficat doctorii sau doctoranzii oameni politici, în cazul cărora criteriile de acordare a titlurilor universitare nu ar fi fost aplicate cu acurateţe.



    Fără doar şi poate, cel mai cunoscut caz e al fostului premier, social-democratul Victor Ponta. În 2012, suspicinile de plagiat privind teza sa de doctorat au fost confirmate de CNATDCU, potrivit căruia zeci de pagini au fost copiate într-o manieră grosolană. Scandalul a fost amplificat de faptul că îndrumătorul ştiinţific al lucrării a fost chiar tutorele politic al lui Ponta, Adrian Nastase, şi el fost premier, condamnat pentru fapte de corupţie. Pentru Ponta însă, plagiatul dovedit al lucrării sale nu a fost un argument suficient de solid încât să-şi dea demisia. Adică aşa cum se întâmplă, firesc, în cazul unui politician la nivel înalt dintr-o ţară civilizată.

  • Vol intellectuel en prison et à l’université – peut-on l’endiguer?

    Vol intellectuel en prison et à l’université – peut-on l’endiguer?

    “Nous avons à faire avec un plagiat subtil, utilisant des méthodes masquées de copier ou de reraconter le travail dorigine. Il ne sagit pas dun copier/coller classique, mais dun auteur professionnel, caché, qui a réalisé des paraphrases inacceptables, comme on les appelle dans le jargon spécialisé. Cest une situation insolite”. Le professeur Marian Popescu, président de la Commission déthique de lUniversité de Bucarest ne cache pas sa stupeur. Comme pour les faux billets, de plus en plus similaires à loriginal, ce cas de plagiat avec dimportantes implications légales na pu être tiré au clair quau bout de plusieurs mois.



    Condamné pour corruption, George Copos, ancien vice-premier ministre et homme daffaires très prospère, a réussi à réduire sa peine de prison grâce à plusieurs livres quil aurait écrits, pratiquement en un clin dœil, derrière les barreaux. Une issue de secours autorisée par la loi, à condition quil sagisse de travaux scientifiques. Cest ainsi que George Copos aurait élaboré un ouvrage dhistoire très pointu, portant sur les alliances matrimoniales des princes roumains et des autres pays de lEurope du sud-est, entre le 14e et 16e siècles.



    Non seulement le sujet est identique à celui traité par un diplômé de master de la Faculté dhistoire de lUniversité de Bucarest, le coordinateur des deux travaux est une seule et même personne, mais, au moment des faits, le détenu George Copos était dans limpossibilité deffectuer ce genre de recherches, précise le professeur Marian Popescu : “Il y a des indices clairs que M. George Copos naurait pas pu réaliser ce travail et donc il ne saurait être reconnu comme auteur. Il na pas dantécédents dans lactivité scientifique et, en prison, il na pas eu les conditions détude requises ou encore laccès aux documents darchive cités dans le volume. Il nous semble également éloquent que sa documentation sarrête à 2005, lannée de la soutenance de la dissertation de lauteur ayant fait un travail similaire. (625) Un auteur caché ayant réécrit un ouvrage est une situation à laquelle nous navons pas eu à faire jusquà présent. Les universités nont pas toujours les ressources pour identifier et examiner ce type de plagiat insidieux”.



    Les conclusions de la Commission déthique de lUniversité de Bucarest seront notifiées à la Direction roumaine des pénitenciers de même quau ministère de la Justice. Ce cas est loin dêtre singulier. Ces trois dernières années, près de 200 détenus roumains ont écrit et publié en temps record plus de quatre cents ouvrages dit scientifiques alors quils se trouvaient en prison. A tout cela sajoutent les suspicions voire les accusations prouvées de plagiat formulées à lencontre de plusieurs hauts responsables politiques roumains, dont lex-premier ministre Victor Ponta.



    Or, la recrudescence du plagiat ternit limage de lEducation nationale. Elle lui impose aussi de revoir durgence ses moyens coercitifs et ses fondements éthiques, à tous les niveaux. Tout dabord, celui des cadres universitaires – à sensibiliser au sujet des préjudices quils portent, en facilitant le plagiat, à leurs propres carrières et à leurs établissements. Ensuite, il y a lautre défi majeur – les élèves et les étudiants, selon le président de lUniversité de Bucarest, le professeur Mircea Dumitru: “Cest la face cachée dun iceberg énorme. Nous constatons ainsi quel est létat réel de lenseignement roumain. Les jeunes qui arrivent dans les universités ont été éduqués à copier. Ils sont tranquilles avec ce genre de méthode et lacceptent sans réticences”.



    Le problème cest que les démarches de lUniversité de Bucarest en faveur du renforcement de la culture éthique de lEducation restent à ce jour singulières dans le paysage académique roumain, précise encore le professeur Marian Popescu, président de la Commission spécialisée de cette institution. Il est vrai quen dehors du consortium constitué par les grandes universités du pays, les établissements situés dans les villes moyennes ou petites ont préféré faire profil bas lorsquils avaient été pointés du doigt pour des irrégularités de ce genre.



    Face au volume grandissant de travaux dits scientifiques réalisés dans les prisons roumaines, la ministre de la justice, Raluca Pruna, promet déliminer les diminutions des peines auxquelles ces ouvrages donnent droit. “Il est discriminatoire, dans ce cas, que le travail intellectuel soit mieux récompensé que le travail physique”, précise Raluca Pruna. Effectivement, pour un livre écrit et publié, un détenu bénéficie dune réduction de 30 jours de sa peine, alors que 4 jours de travail physique ne donnent droit quà un seul jour de liberté supplémentaire.



    Dans le même temps, le milieu universitaire tente de changer le cadre législatif régissant les doctorats en Roumanie. Pour mieux endiguer les abus, un décret gouvernemental déchoira, dès le mois de février, le ministère de lEducation de ses compétences dattribuer ou de lever le titre de docteur, pour les conférer aux universités. Son application nest pourtant pas rétroactive – une suite de la controverse est donc à attendre.

  • Bukarester Regierungskabinett ist zurückgetreten: Es folgen Beratungen

    Bukarester Regierungskabinett ist zurückgetreten: Es folgen Beratungen

    Mit dem Rücktritt des Ministerpräsidenten Victor Ponta hat eine der umstrittensten Figuren die politische Bühne Rumäniens verlassen. Im Frühjahr 2012 übernahm Ponta als jüngster Ministerpräsident im postkommunistischen Rumänien die Führung der Bukarester Exekutive. Der 1972 geborene Victor Ponta bezeichnete sich selbst als Vertreter einer Generation, die von dem kommunistischen System nicht beeinflußt worden war, und genoß eine gewisse Sympathie und sogar das Vertrauen vieler Rumänen, die niemals linksorientiert gewesen waren. Der junge Staatsanwalt Victor Ponta begann seine politische Karriere in den 2000er Jahren, unter den Fittichen des damaligen sozialdemokratischen Parteivorsitzenden und Ministerpräsidenten Adrian Nastase, der einige Jahre später wegen Korruption angeklagt, verurteilt und inhaftiert wurde. Kurz nach seinem Amtsantritt wurde der frische Ministerpräsident Victor Ponta des Plagiats bei seiner Doktorarbeit beschuldigt.



    Infolge ähnlicher Beschuldigungen waren ein ungarischer Staatspräsident und ein deutscher Verteidigungsminister aus ihren Ämtern zurückgetreten. Ponta tat es nicht. Auch nachdem sein Schwager in einem Korruptionsverfahren angeklagt und festgenommen worden war, auch nach dem Debakel beim Organisieren der Präsidentschaftswahl für die im Ausland lebenden rumänischen Wähler, auch nachdem er die Präsidentenwahl verloren hatte und auch nachdem im Sommer 2015 die nationale Antikorruptionsbehörde ihn der Urkundenfälschung, Beihilfe zur Steuerhinterziehung und Geldwäsche angeklagt hatte, legte Premier Victor Ponta sein Amt nicht nieder. Somit wurde der jüngste Ministerpräsident im postkommunistischen Rumänien auch der erste rumänische Regierungschef, der während seines Mandats strafrechtlich verfolgt wurde.



    Erst nachdem am Dienstag abend, als etwa 25.000 Menschen auf dem Hintergrund der Brandkatastrophe in einem Bukarester Club, bei der 30 Menschen starben und fast 150 schwer verletzt wurden, auf den Straßen von Bukarest gegen die korrupte Zentral- und Kommunalverwaltung demonstriert hatten, legte Ministerpräsident Victor Ponta endlich sein Amt nieder. Ein verspäteter Rücktritt, meinte Staatspräsident Klaus Iohannis, bevor er das Starten der Beratungen mit den Parlamentsparteien zur Nominierung eines neuen Premiers bekanntgab.



    Die Mitvorsitzende der National-Liberalen Partei, Alina Gorghiu, plädiert für vorgezogene Neuwahlen:



    Unserer Ansicht nach wäre jetzt eine vorgezogene Neuwahl durch politische Übereinstimmung eine vernünftige, ausgeglichene Entscheidung, die den Erwartungen der Zivilgesellschaft am besten entgegenkommen würde.



    Die Koalition bestehend aus der Sozialdemokratischen Partei, der Nationalen Union für den Fortschritt Rumäniens und der Allianz der Liberalen und Demokraten, die die zurückgetretene Regierung unterstützt hatte, meint aber, dass eine vorgezogene Neuwahl zur Verlängerung der Krise führen würd. Der Vorsitzende der Sozialdemokratischen Partei, Liviu Dragnea, dazu:



    Wir sind mit dem Vorschlag der National-Liberalen Partei über das Organisieren von vorgezogenen Neuwahlen nicht einverstanden. In einem solchen Fall würden wir ab heute eine instabile Übergangsregierung mit einem Interims-Ministerpräsidenten haben, unter den Umständen, dass wir den neuen Haushalt annehmen müssen, und dass der Winter vor der Tür steht. Eine instabile Regierung könnte eine solche Situation nicht unter Kontrolle halten.



    Laut Politkommentatoren werden die angekündigten Beratungen und deren Resultat eine wichtige Prüfung für die rumänischen Politiker, die das Vertrauen der Bevölkerung verloren haben. Die friedlichen, aber entschlossenen Bürger auf der Straße erheben ihre Ansprüche immer vehementer.

  • A la une de la presse roumaine – 08.10.2015

    A la une de la presse roumaine – 08.10.2015

    Aux termes d’une nouvelle loi, l’outrage public sera sanctionné en cas d’affront contre une personne physique et d’un groupe social, selon Evenimentul zilei. L’ex ministre de la Santé, Eugen Nicolaescu, est soupçonné par Romania libera de plagiat. Le journal Adevarul s’attaque pour sa part au tout récent scandale dit « du dossier de la Presse ». Enfin, le quotidien Jurnalul national note sur sa page électronique « tandis que les Etats-Unis allègent leur système de visas à l’intention des Roumains, l’UE ne change pas d’attitude.



  • A la une de la presse roumaine – 09.01.015

    A la une de la presse roumaine – 09.01.015

    L’attentat de Paris a remis dans l’attention des autorités la loi Big Brother. Victor Ponta pourrait perdre aussi son statut d’avocat, en raison notamment du scandale de plagiat qui entoure sa thèse de doctorat. Et l’Union démocratique des magyars de Roumanie propose de permettre aux prêtres de devenir aussi des fonctionnaires d’Etat civil.

  • Nachrichten 30.12.2014

    Nachrichten 30.12.2014

    BUKAREST: Der rumänische Staatspräsident, Klaus Iohannis, hat am Dienstag in Bukarest mit Aussenminister, Bogdan Aurescu aussenpolitische Themen und den Hergang der November-Präsidentschaftswahl im Ausland besprochen. Vorhin kam Iohannis, der den Eid bei Amtseintrit am 21. Dezember abgelegt hatte, mit den Innen- und Verteidigungsministern Gabriel Oprea bzw Mircea Duşa zu Gesprächen zusammen. Im Mittelpunkt der ersten Diskussionen mit den besagten Ministern standen die Bereiche die in der direkten Verantwortung des Präsidenten liegen. Am Montag kam Iohannis auch mit Ministerpräsident Victor Ponta zusammen. Auf der Agenda des Treffens standen der Staatshaushalt und die Initiative, dass das Verteidigungsministerium 0,3% zusätzlich aus dem Staatshaushalt zugeteilit bekommt.



    BUKAREST: In der letzten Regierungssitzung des Jahres hat die Bukarester Exekutive das Bildungsgesetz mit dem neuen Konzept des sogenannten dualen Systems“ ergänzt. Dadurch wird die parallele theoretische und praktische Ausbildung der Schüler bezeichnet. Eine neue Änderung im Bildungsgesetz regelt das System der akademischen Titel. Der Verzicht auf einen bestimmten Titel annulliert somit nicht nur das Diplom, sondern auch die betreffende Studienzeit. Die Änderung erfolgt zwei Wochen nachdem Ministerpräsident Victor Ponta auf seinen Doktortitel verzichtet hat, selbst wenn er lange die Plagiatsvorwürfe bezüglich seiner Doktorarbeit abgestritten hatte.



    BUKAREST: Rumäniens Präsident Klaus Iohannis hat am Montag das Dekret unterzeichnet, wodurch das 2015 Haushalts-und Sozialversicherungsgesetz promulgiert wird. Vorher hatte das Verfassungsgericht beschlossen, dass das Haushaltsgesetz verfassungsmä‎ßig ist. Das Verfassungsgericht wies somit den von der national-liberalen Partei und der liberal-demokratischen Partei aus der bürgerlichen Opposition zu diesem Thema eingebrachten Antrag zurück. Die Opposition meinte, dass das Haushaltsgesetz verfassungswidrig sei, da dieses nicht innerhalb des gesetzlich vorgesehenen Zeitraums verabschiedet wurde und keine Steuerhaushaltsstrategie beinhaltet. Der Haushalt ist auf einem Defizit von 1,8% des BIP, einer Inflation von 2,2% und einem Wirtschaftswachstum von 2,5% aufgebaut.



    BUKAREST: Ab 1. Januar 2015 wird der Mindestlohn in Rumänien von 900 Lei (umg etwa 200 Euro) auf 975 Lei (umg etwa 220 Euro) erhöht. Ab 1. Juli 2015 wird der Mindestlohn zum zweiten Mal erhöht, und zwar auf 1.050 Lei (etwa 235 Euro). Etwa 1,5 Millionen Angestellten werden diese Lohnerhöhungen genie‎ßen. 2015 werden auch die Renten um 5% erhöht — die Mindestrente wird demnach 400 Lei (umg. etwa 40 Euro) betragen. Der Mindestlohn in Rumänien ist der zweitniedrigste unter den ehemaligen Ostblockstaaten, nach Bulgarien. Im Vergleich zu Kroatien, Polen und der Slowakei ist der Mindeslohn in Rumänien um 50% niedriger.

  • Politische Parteien bereiten sich auf Wahlkampf vor

    Politische Parteien bereiten sich auf Wahlkampf vor

    Rumäniens Ministerpräsident Victor Ponta, der Vorsitzende der sozial-demokratischen Regierungspartei (PSD) hat am Donnerstag seine Kandidatur zur Präsidentschaftswahl im November bekanntgegeben. Nächste Woche werde er beim Nationalen Rat die Unterstützung seiner Partei offiziell fordern. Die konservative Partei (PC) und die Union für den Fortschritt Rumäniens (UNPR), Regierungspartner der Sozial-Demokratischen Partei, werden ebenfalls die Kandidatur des amtierenden Ministerpräsidenten unterstützen, sagte Ministerpräsident Ponta. Bei der Präsidentschaftswahl habe Ponta laut Umfragen die grö‎ßten Siegchancen.



    Der amtierende Ministerpräsident strebt nun das oberste Amt im Staat an. Laut Politikbeobachtern sei der 42-jährige Ponta ein Favorit im Rennen um das Präsidentenamt und habe dennoch keine Etappen in seiner politischen Entwicklung übersprungen. Parlamentsmitglied, Staatssekretär, Minister und Parteivorsitzender sind die Ämter, die er bereits bekleidet hat. Der Vorsitzende der Sozial-Demokratischen Partei habe dennoch als Politiker auch Schwachpunkte, so Politikbeobachter ferner. Einer davon sei die nicht überzeugende Leistung als Premierminister, selbst wenn er seit zwei Jahren das Amt des Regierungschefs bekleidet oder seine umstrittene akademische Leistung und der Plagiats-Skandal um seine Doktorarbeit.



    Victor Ponta bleibt nichtsdestoweniger ein starker Kandidat für das Amt des Staatspräsidenten, der die Unterstützung einer gro‎ßen Partei genie‎ßt, der es bisher bekanntlich gelungen ist, einen gro‎ßen Teil der Linkswähler an die Urnen zu bringen. Die politische Rechte bereitet sich auch auf den Wahlkampf vor. Diese Woche kündigte auch der Bürgermeister des mittelrumänischen Hermannstadt und Vorsitzender der wichtigsten Oppositionspartei, der mitterechtsorientierten National-Liberalen Partei (PNL), Klaus Iohannis an, er werde bei der Präsidentschaftswahl antreten. Angehöriger der deutschen Minderheit in Rumänien, liegt Iohannis in den bisherigen Umfragen zur Wahlabsicht an zweiter Stelle.



    Iohannis genie‎ßt ein positives Bild nicht nur als Bürgermeister, der seine Stadt effizient verwaltet, sondern auch als jemand, der eine ausgewogene Politik führt. Für Politikbeobachter gilt Iohannis als einziger starker Gegenkandidat für Ponta, der allerdings nicht nur mit einer guten Rhetorik den Kampf zum Präsidentenamt antritt. Als nächstes soll Iohannis dennoch gegen den Kandidaten der Demokraten (PD), Cătălin Predoiu, antreten, da beide Oppositionsparteien ihre Fusion bekanntgegeben haben und sich demnächst unter dem Namen National-Liberale Partei zusammenschlie‎ßen sollen. Die rechtsorientierten Oppositionsparteien werden einen gemeinsamen Kandidaten für die Präsidentschaftswahl nominieren.



    Sein Name wird nach einer ausführlichen soziologischen Forschung feststehen. Ende dieser Woche sollen allerdings drei Tagungen stattfinden, die der Fusion zwischen Liberalen und Liberal-Demokraten gewidmet sind. Der Vorsitzende des mitregierenden Demokratischen Ungarnverbands in Rumänien (UDMR), Hunor Kelemen, und der Vertreter der präsidentennahen, mitterechtsorientierten Volksbewegungspartei (PMP), Cristian Diaconescu, wurden ebenfalls als Kandidaten ihrer Parteien zur Präsidentschaftswahl nominiert.