Tag: PMP

  • 27.05.2019

    27.05.2019

    Justice – La Haute Cour de Cassation et de Justice vient de condamner définitivement Liviu Dragnea, leader du Parti social démocrate, principal parti au pouvoir en Roumanie, et président de la Chambre des députés, à trois ans et six mois de prison ferme pour incitation à abus de fonction. Liviu Dragnea était accusé dans l’affaire d’embauches fictives à la Direction générale d’Assistance sociale et de Protection de l’enfance du département de Teleorman (sud). Dragnea avait reçu la même peine en première instance, mais il avait fait appel et avait plaidé non-coupable lors de l’audience précédente. Les procureurs ont apporté des preuves pour soutenir les accusations faites au leader social démocrate, comme quoi il avait influencé, dans la période où il détenait la fonction de président du Conseil départemental de Teleorman, le maintien illégal en fonction de deux employées de la Direction d’Assistance sociale. Celles-ci ne s’étaient pas présentées au travail et n’avaient accompli aucune des activités inscrites dans leurs contrats de travail respectifs. De fait, elles déroulaient une activité professionnelle au siège local du Parti social démocrate. Liviu Dragnea avait déjà reçu une condamnation avec sursis pour fraude électorale dans le dossier du référendum de 2012 qui visait à démettre l’ancien président Traian Băsescu.

    Elections européennes – Après le scrutin de ce dimanche, les Roumains envoient au Parlement européen les représentants de six partis politiques, selon les résultats partiels annoncés par le Bureau électoral central après le dépouillement dune grande majorité des bulletins de vote. Le Parti national libéral, la principale force de lopposition de droite, se trouve en tête des choix des électeurs, avec 26,23% des voix. Il est suivi par le Parti social démocrate, principale composante de la coalition au pouvoir en Roumanie, qui recueille 23,68 points de pourcentage, et lAlliance 2020 entre lUnion sauvez la Roumanie et Plus, avec 20,51% des votes. Trois autres partis roumains seront présents dans le Parlement européen : Pro România – 7,01%, LUnion démocrate des Magyares de Roumanie – 6,1 %, le Parti du mouvement populaire – 5,6%. Les Roumains de la diaspora ont fait la queue pendant des heures pour pouvoir voter dans les bureaux de vote de létranger. Les correspondants Radio Roumanie de Rome, Madrid ou Londres ont rapporté le mécontentement des citoyens roumains quant à la mauvaise organisation. Pour réponse, le ministre des Affaires extérieures, Teodor Meleşcanu, estime quil na rien à se reprocher. Pour ce qui est de la participation, environ 49% des électeurs se sont présentés aux urnes. Les Roumains ont également été appelés à se prononcer sur le référendum en matière de Justice convoqué par le président Klaus Iohannis. Les Roumains ont été appelés à répondre si, oui ou non, ils sont d’accord avec l’interdiction de l’amnistie et de la grâce pour des faits de corruption ; et si, oui ou non, ils sont d’accord avec l’interdiction des ordonnances gouvernementales d’urgence dans le domaine des délits de corruption et de l’organisation judiciaire, mise en relation avec l’élargissement du droit de les attaquer à la Cour Constitutionnelle. Plus de 80% des personnes participant à la consultation populaire ont répondu « Oui » aux deux questions. Le taux de participation au référendum a dépassé les 41%, largement au-dessus des 30% requis pour qu’il soit valide. Le président Klaus Iohannis a déclaré lundi que les Roumains ont donné un vote pro-européen, dans un pays où « les voleurs et les infracteurs sont en prison » et il a critiqué vivement la manière dont a été organisé le scrutin à létranger.



    Parlement européen – La plus récente estimation de la configuration du nouveau législatif européen, qui prend en compte la majorité des votes des Etats membres de lUE, montre la victoire du Parti Populaire Européen (PPE), qui sassure 179 mandats au total. Les populaires sont suivis par les socialistes et les démocrates, avec 152 eurodéputés, et par les libéraux de lALDE en troisième position, avec 105 sièges. Les résultats partiels soulignent aussi la poussée des groupes dextrême droite, mais aussi des écologistes, qui bénéficient de plus de sièges par rapport à lexercice précédent. Le taux de participation aux élections au niveau de lUE est estimé à 50-51%, soit le taux le plus élevé des 20 dernières années.


    FMI – Une délégation du FMI avec, à sa tête Jaewoo Lee, chef de mission pour la Roumanie, visitera Bucarest du 27 mai au 7 juin pour son évaluation annuelle de léconomie roumaine. Connue sous le nom de la Consultation sur lArticle numéro IV, lévaluation prendra en considération les évolutions et les politiques économiques mises en place dernièrement par la Roumanie. Léquipe du FMI rencontra des responsables du Ministère roumain des Finances publiques, de la Banque centrale roumaine et dautres agences gouvernementales, tout comme des représentants du secteur privé et des ONG. A lheure où lon parle, la Roumanie na signé aucun accord de prêt avec le FMI, ce qui nempêche pas le grand bailleur international de fonds dévaluer annuellement lévolution de léconomie roumaine.



    Commerce – Le ministre chargé du Milieu des affaires, du commerce et de lentrepreneuriat, Ştefan Radu-Oprea, préside ce lundi, à Bruxelles, la réunion formelle du Conseil des affaires étrangères (Commerce), dans le contexte de la présidence roumaine de lUnion. Les ministres européens de tutelle se pencheront sur différentes thèmes dactualité dont le e-commerce, les relations avec les Etats-Unis et les préparatifs en vue de la signature de lAccord de libre échange et de l’accord commercial UE-Viêt Nam. Le Conseil des affaires étrangères (Commerce) représente le forum décisionnel le plus important au niveau du Conseil européen en matière des politiques commerciales communes.



    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Sorana Cîrstea, 93ème mondiale, rencontre ce lundi la Slovène Kaja Juvan (131 WTA) en ouverture du tournoi de Roland Garros. Cette rencontre vient dêtre annoncée après le retrait pour des raisons médicales de la Tchèque Petra Kvitova, 6ème mondiale, que la Roumaine devait rencontrer aujourdhui. Par ailleurs, une autre Roumaine, Mihaela Buzărnescu (30 WTA), joue contre la Russe Ekaterina Alexandrova (60 WTA). Ce lundi encore, au tableau de simple hommes, le tennisman roumain, Marius Copil, affrontera le Français Benoît Paire. Quant à Simona Halep, troisième mondiale, celle-ci sapprête à rencontrer mardi lAustralienne Ajla Tomljanovic, 47ème au classement mondial. Mardi encore, Irina Begu jouera contre la Chinoise Lin Zhu.



    Météo – Météo instable aujourdhui, notamment dans l’ouest et le sud-ouest de la Roumanie. Dans le reste du pays, il fera beau, avec quelques pluies éparses. Les températures maximales se situeront entre 24° et 30°. 25° à midi à Bucarest.

  • Réactions après les consultations du Président avec les partis

    Réactions après les consultations du Président avec les partis

    Un référendum sur le thème de la justice est
    nécessaire et il aura lieu le 26 mai, en même temps que les élections
    européennes. C’est la déclaration du président Klaus Iohannis à la fin de ses
    consultations avec les partis parlementaires. Le référendum vise à interdire l’amnistie
    et le pardon des infractions de corruption, mais aussi à bannir l’adoption de décrets
    gouvernementaux pour ce qui est des infractions, des sanctions et de l’organisation
    judiciaire. Les consultations avec les partis ont été convoquées
    dans le contexte des fréquentes modifications législatives dans le domaine
    judiciaire. Ces modifications controversées, promues par la majorité parlementaire
    et par l’exécutif de coalition entre le Parti social démocrate et l’Alliance des
    libéraux et des démocrates, sont suivies avec attention et critiquées par les
    partenaires européens de la Roumanie.

    Déroulées sur deux jours, les discussions
    entre le président roumain et les partis politiques n’ont pas causé des
    surprises. Les partis d’opposition ont été les premiers à rencontrer le
    président Iohannis – le Parti National libéral, l’Union sauvez la Roumanie et
    le Parti du mouvement populaire, ainsi que l’Union démocrate magyare de
    Roumanie et le groupe des minorités nationales autres que la minorité magyare.
    L’opposition a salué l’organisation de ce référendum : « Il est vital
    pour la Roumanie que ses citoyens décident qu’ils n’acceptent plus l’agression systématique
    contre l’indépendance de la justice, contre les droits et libertés des citoyens,
    menée par la coalition au pouvoir » a déclaré Ludovic Orban, le leader du Parti
    National libéral, le principal parti d’opposition.


    Le deuxième et dernier jour dédié aux
    consultations des partis parlementaires, seule une délégation du Parti social
    démocrate s’est présentée aux discussions. Le chef de l’Etat roumain considère
    le PSD coupable pour la situation présente dans le domaine de la justice : « Le
    PSD donne un assaut constant et intense sur la justice depuis le début de son
    mandat. Le PSD est coupable que l’on discute sur la justice avec beaucoup d’inquiétude
    et de préoccupation. Les Roumains sont inquiets, ils ont peur que le PSD soumettra
    politiquement la justice roumaine. C’est parce que les Roumains doivent donner
    une réponse à l’assaut social démocrate sur la justice que je convoque ce
    référendum le 26 mai. »


    Le représentant du PSD lors des consultations,
    Eugen Nicolicea, également vice-président de le Chambre des députés, a annoncé
    que le Parlement avisera favorablement la demande du président Klaus Iohannis
    de démarrer un référendum consultatif, qui n’aura donc pas d’effet décisionnel.
    Le partenaire au gouvernement des sociaux démocrates, l’Alliance des libéraux et
    des démocrates, a refusé de participer aux discussions et accuse le président
    Klaus Iohannis qu’il se sert du référendum du 26 mai pour « prendre une
    longueur d’avance » dans la course pour les élections présidentielles qui
    se dérouleront plus tard cette année. Le président avait déjà rencontré, à la
    fin du mois de mars, les représentants de la société civile, de l’autorité judiciaire
    et des associations professionnelles des magistrats pour échanger autour du
    référendum et de la situation actuelle du système judiciaire en Roumanie. (Trad.
    Elena Diaconu)



  • 03.04.2019

    03.04.2019

    Etat de droit -
    Le Collège des commissaires européens débattra ce mercredi de la situation de
    l’Etat de droit en Roumanie. La Commission européenne a mentionné, à plusieurs
    reprises ces derniers mois, suivre avec inquiétude les dernières évolutions
    concernant la situation de l’Etat de droit dans notre pays. Selon l’exécutif
    communautaire, les dernières modifications législatives dans le domaine de la
    Justice, faites par décrets gouvernementaux et en l’absence de toute
    concertation avec les principaux acteurs concernés, viennent à l’encontre des
    recommandations émises par la Commission dans le cadre du Mécanisme de
    coopération et de vérification, aussi bien dans la forme que dans le fond. Mis
    en place au moment de l’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l’UE en janvier
    2007, le Mécanisme de coopération et de vérification vise à épauler les deux
    Etats à dépasser les manques dans le domaine de la réforme du système
    judiciaire et dans la lutte contre la corruption.


    Tourisme
    – Le ministre du Tourisme, Bogdan Gheorghe Trif, participe aujourd’hui à
    Bucarest à la conférence « Tourisme durable : politiques communes des
    Etats membres de l’UE », organisée dans le contexte de la présidence roumaine
    du Conseil de l’Union. A l’événement sont attendus des experts européens et des
    spécialistes des ministères du Tourisme des pays communautaires. Les priorités
    de la présidence roumaine dans le domaine visent la digitalisation du secteur,
    l’économie collaborative par la mise en commun des ressources matérielles et
    humaines et le développement durable du tourisme au niveau européen.






    Diplomatie
    – Le chef de la diplomatie roumaine, Teodor Meleşcanu, prend part, aujourd’hui et demain,
    à Washington, à la réunion des ministres des Affaires étrangères des Etats membres
    de l’OTAN. L’événement, consacré au 70ème anniversaire de l’Alliance, aboutira
    sur une déclaration commune des 29 pays membres. La Roumanie, dont l’adhésion à
    l’OTAN remonte à 2004, espère notamment que la réunion aboutisse sur l’adoption
    d’une série de mesures à même d’assurer la sécurité de la région de la mer
    Noire.








    Politique -
    La motion Transports, initiée par le Parti national libéral et le Parti du mouvement
    populaire, de l’opposition, sera soumise au vote aujourd’hui, dans le plénum de
    la Chambre des députés. Les signataires de la motion demandent la démission du
    ministre des Transport, Răzvan Cuc. Selon l’opposition, le deux partis de la
    coalition au pouvoir, le Parti social démocrate et l’Alliance des démocrates et
    des libéraux, s’étaient engagés à construire 350 km d’autoroute jusqu’en 2020, et
    l’exécutif actuel, après bientôt un an et trois mois, en a ouvert seulement 58
    km. Le Parti national libéral et le Parti du mouvement populaire précise que, malgré
    la possibilité d’accéder des fonds européens pour les grands projets d’infrastructure,
    seulement quatre demandes de financement ont été déposée par la Roumanie ces
    cinq dernières années auprès de l’Union européenne. L’opposition affirme
    également que l’état de l’infrastructure ferroviaire est déplorable et que Tarom,
    la compagnie aérienne nationale, est au bord de la faillite.




    Corruption – Mircea
    Drăghici, le trésorier du principal parti au pouvoir, le Parti social démocrate,
    a contesté en justice la décision de la Direction nationale anticorruption de
    le considérer comme suspect dans un dossier concernant l’utilisation de
    l’argent reçu par le Parti social démocrate en guise de subvention. Selon les
    procureurs anticorruption, Mircea Drăghici, qui était en charge de la gestion
    et de l’administration des biens et des fonds du PSD, se serait attribué la
    somme de 380.000 euros pour conclure le contrat de location d’un immeuble. Il
    est donc accusé d’avoir utilisé les subventions du parti à d’autres fins.


    Economie
    – Le Fonds européen pour les investissements stratégiques a signé, aujourd’hui,
    quatre accords de financements avec la Roumanie. Bucarest se verra ainsi alloué
    des fonds de plus de 170 millions d’euros. Ce prêt est destiné au développement
    des petites et moyennes entreprises et à créditer les étudiants qui souhaitent
    poursuivre leurs études à l’étranger. Environ 450 étudiants bénéficieront de
    crédits dans des conditions favorables pour étudier dans d’autres pays membres
    de l’Union européenne, comme l’Islande, le Liechtenstein, la Macédoine du Nord,
    mais aussi la Norvège et la Turquie. Les nouveaux accords permettront également
    d’améliorer les conditions de financement pour 3.000 PME de Roumanie. Le Fonds
    européen pour les investissements stratégiques est une filiale de la Banque
    européenne d’investissement dont la principale mission est de soutenir les PME en
    facilitant leur accès aux sources de financement.








    Tennis
    – La joueuse de tennis roumaine Mihaela Buzărnescu (30 WTA) affronte aujourd’hui
    l’Américaine Lauren Davis (184 WTA), dans le 2e tour du tournoi de Charleston,
    en Caroline du Sud. Ce sera la première rencontre des deux joueuses. Au premier
    round la Roumaine avait vaincu la Polonaise Magdalena Frech (182 WTA), 1-6,
    6-4, 5-7.




    Météo
    – Aujourd’hui, il fait plus froid que la normale saisonnière en Roumanie,
    notamment à l’extérieur des Carpates et dans les dépressions de Roumanie. Le
    ciel est temporairement couvert sur l’ouest et le sud-ouest, alors qu’en
    montagne on attend des précipitations mixtes. Le vent est assez fort dans le
    sud-est et dans les Carpates Méridionales, avec des rafales qui pourraient
    atteindre le 70 km/h. Les températures maximales de la journée iront de 8 à 20
    degrés. 10 degrés et de belles éclaircies à midi à Bucarest.

  • Jurnal românesc – 11.02.2019

    Jurnal românesc – 11.02.2019

    Partidul Mişcarea Populară i-a
    cerut ministrului de Externe, Teodor Meleşcanu, să îl convoace la sediul MAE pe
    ambasadorul Italiei la Bucureşti, Marco Giungi, şi să îi solicite acestuia
    încetarea abuzurilor comise de autorităţile italiene faţă de românii din
    Italia. PMP cere şi trimiterea, în regim de urgenţă, a unei sesizări către
    Comisia Europeană cu privire la încălcarea de către Guvernul de la Roma a
    legislaţiei europene în materie de liberă circulaţie şi muncă, în cazul ordinului
    de expulzare a româncei Mădălina Gavrilescu, emis pentru participarea la
    manifestaţii neautorizate. Preşedintele PMP, Eugen Tomac, apreciază că un
    asemenea caz ar trebui să genereze o procedură de infringement la adresa
    Italiei. Cazul Gavrilescu demonstrează ipocrizia uriaşă a autorităţilor
    italiene, a spus Tomac. Vicepremierul italian Luigi Di Maio se
    pozează cu liderii vestelor galbene şi susţine că cetăţenii au
    dreptul să protesteze faţă de condiţiile de trai, ceea ce declanşează un
    scandal diplomatic fără precedent cu Franţa. Pe de altă parte, când o româncă
    precum Mădălina Gavrilescu face exact acelaşi lucru, o expulzează rapid. Este
    un dublu standard de neacceptat, care dovedeşte că populismul extremist
    reprezintă cea mai mare ameninţare la adresa românilor care trăiesc în Italia
    şi la adresa proiectului european, a declarat liderul PMP. Eugen Tomac a
    criticat şi autorităţile române pe care le-a acuzat că sunt lipsite de reacţie
    faţă de abuzurile la care sunt supuşi românii din Italia.




    Europarlamentarul social-democrat
    Gabriela Zoană anunţă că românii care studiază în Marea Britanie vor beneficia
    în continuare de bursele Erasmus în eventualitatea unui Brexit fără acord.
    14.000 de studenţi europeni, inclusiv din România, studiază în Marea Britanie
    prin intermediul burselor Erasmus, în vreme ce 7.000 de studenţi britanici
    beneficiază de acest tip de burse în state ale Uniunii Europene. Eurodeputatul
    român afirmă că, în opinia Parlamentului European şi a Comisiei Europene, acest
    program trebuie să continue, măcar pentru o perioadă de 12 luni de la momentul
    ieşirii Marii Britanii din Uniune, primele demersuri fiind făcute deja în acest
    sens în Comisia pentru Cultură. Această decizie, dacă va fi votată, şi
    sunt şanse mari ca ea să fie votată înainte de 30 Martie, nu are implicaţii
    bugetare (…) studenţii români din Marea Britanie, beneficiari ai programelor
    Erasmus, vor putea fi liniştiţi şi îşi vor continua studiile, a declarat
    Gabriela Zoană. Europarlamentarul S&D a precizat că eurodeputaţii încearcă să acopere toate
    potenţialele situaţii generate de Brexit pentru ca ieşirea Regatului Unit din
    UE să producă un impact cât mai mic asupra cetăţenilor europeni.




    Ambasada României la Londra a
    început o campanie de informare a românilor din Marea Britanie cu privire
    drepturile acestora în contextul ieşirii Regatului Unit din Uniunea Europeană.
    Pagina oficială a ambasadei londra.mae.ro conține acum o rubrică dedicată
    tematicii Brexit. Aceasta este actualizată de fiecare dată când apar schimbări
    și informații noi furnizate de Home Office sau de partenerii instituţionali ai
    autorităţilor britanice, transmite publicaţia ziarulromânesc.net. Rubrica
    urmărește promovarea noului sistem de înregistrare a statutului cetățenilor
    europeni pe teritoriul Marii Britanii și a sesiunilor de informare din perioada
    următoare organizate de Ambasada României la Londra în parteneriat cu
    Reprezentanța Comisiei Europene şi celelalte Ambasade ale statelor membre ale
    UE. Totodată, Ambasada şi Consulatul României la Londra vor posta periodic pe
    paginile de Facebook informaţii referitoare la Brexit şi au înfiinţat linia
    telefonică (+44) 07503 882992, dedicată exclusiv persoanelor care necesită
    asistență consulară în procesul de înregistrare a noului statut.

  • Misstrauensantrag gegen Regierung im zweiten Anlauf

    Misstrauensantrag gegen Regierung im zweiten Anlauf

    Die Opposition versucht erneut innerhalb weniger Monate, das Kabinett der Regierungskoalition PSD-ALDE durch einen Misstrauensatrag zu stürzen. Die Abgeordneten der bürgerlichen Parteien PNL, USR und PMP sowie einige abtrünnige Sozialdemokraten haben vergangenen Freitag den Text des Misstrauensantrags unterzeichnet — zusammen brachten sie es auf 163 Stimmen und damit erheblich weniger als die notwendigen 233 Stimmen, um das Kabinett der Sozialdemokratin Viorica Dăncilă zu stürzen. Beobachter gehen deshalb davon aus, dass der Misstrauensantrag kaum Chancen hat, beim Votum durchzukommen.



    Mit den Stichworten Es reicht! Die Regierung Dragnea-Dăncilă ist eine Schande für Rumänien“ spielt der Misstrauensantrag darauf an, dass der wahre Strippenzieher eigentlich der allmächtige PSD-Chef Liviu Dragnea sei. Den Text verlas der liberale Abgeordnete Pavel Popescu, der zugleich bemängelte, dass die Mitglieder des Kabinetts und eben Dragnea in seiner Funktion als Vorsitzender der Abgeordnetenkammer der Parlamentssitzung ferngeblieben waren.



    Die Marionettenregierung des Straftäters Liviu Dragnea muss heute gehen! Das ist keine Aufforderung der Opposition, sondern eine nationale Angelegenheit von äu‎ßerster Dringlichkeit“, hei‎ßt es zu Beginn im Text des Misstrauensantrags. Und mit ähnlich pathetischen Worten geht es weiter: Die von Liviu Dragnea angeführte kriminelle Vereinigung, die Rumänien regiert, hat den Staat geschwächt, um ihn zu unterwerfen — und das gerade in einer Zeit, in der wir stark sein müssen wie noch nie.“ Überlie‎ße man den rumänischen Staat dieser kriminellen Vereinigung, die den Rechtsstaat aushöhle und die politische und wirtschaftliche Stabilität des Landes bedrohe, verstö‎ße das gegen das nationale Interesse, hei‎ßt es ferner im Text des Misstrauensantrags. Bei der Abstimmung stünden die Abgeordneten der Regierungskoalition vor einer historischen Verantwortung: zur Wahl stehe Dragnea oder das Schicksal Rumäniens, hei‎ßt es noch im Misstrauensantrag.



    Die Personalie Liviu Dragnea spielt in der Tat die ausschlaggebende Rolle in der politischen Auseinandersetzung in Rumänien. Der mächtigste Mann in der PSD ist in einer Korruptionsaffäre bereits strafrechtlich verurteilt, weitere Prozesse gegen ihn laufen noch. Die Opposition kritisiert allerdings auch die Premierministerin Viorica Dăncilă und weitere Kabinettsmitglieder, denen sie Inkompetenz vorwerfen. Au‎ßerdem sei die Umsetzung der sozialen Verpflichtungen im Regierungsprogramm auf 2021 verschoben worden. Eine Stimme für den Misstrauensatrag ist eine Stimme für die Rettung Rumäniens aus den Fängen der Diebe und der Unfähigen, die das Land ausquetschen und die Bevölkerung in die Armut treiben“, ist weiter im Text zu lesen. Es sei an der Zeit, Betrüger und Hochstapler aus der rumänischen Politik zu entfernen, damit Rumänien im kommenden Jahr im Ministerrat der EU von einer Regierung vertreten werden kann, für die man sich nicht mehr schämen müsse, hei‎ßt es abschlie‎ßend im Misstrauensantrag der Opposition.



    Bei der Verlesung des Textes war kein Regierungsvertreter anwesend, folglich gab es auch keine Erwiderung auf die Anschuldigungen der Opposition. Im Vorfeld hatte die Ministerpräsidentin Dăncilă nur angedeutet, dass sie aufgrund der aktuellen Kräfteverhältnisse im Parlament kaum Angst habe vor dem Vorsto‎ß der Opposition.



    Die einzige politische Formation, die das vorauszusehende Ergebnis kippen könnte, ist der Ungarnverband UDMR, der allerdings auch ein Kooperationsprotokoll mit der Regierunskoalition hat. Die Partei der ungarischen Minderheit gab aber erneut zu verstehen, dass sie den Misstrauensantrag nicht unterstütze, solange es keine klare politische Alternative und keinen Vorschlag für einen neuen Premierminister gibt.

  • Nachrichten 12.12.2018

    Nachrichten 12.12.2018

    Bukarest: Die Prioritäten Rumäniens während der EU-Ratspräsidentschaft, die am 1. Januar 2019 startet, stützen auf vier Pfeiler: dem Europa der Konvergenz, dem Europa der Sicherheit, dem Europa globaler Partner und dem Europa gemeinsamer Werte, so die rumänische Premierministerin Viorica Dăncilă im Bukarester Parlament. Der Senat und die Abgeordnetenkammer haben in einer gemeinsamen Sitzung eine Erklärung gebilligt hinsichtlich der parlamentarischen Dimenssionen der sechs monatigen EU-Ratspräsidentschaft. Das Parlament drückt im Dokument seine Bereitschaft aus, aktiv mit der Regierung zusammenzuarbeiten. Die rumänische Legislative behauptet, das Programm der rumänischen EU-Ratspräsidentschaft werde im Vordergrund eine kräftigere und demokratischere Union, die den Bürgern näher liegen soll, haben. Rumäniens Amtszeit entwickelt sich auf einem europäischen und internationalen komplexen Hintergrund, wo Brexit und der mehrjährige Finanzrahmen nur zwei der Herausforderungen sind.



    Bukarest: In der rumänischen Abgeordnetenkammer ist die Schlussabstimmung über das neue Rentengesetz am Mittwoch verschoben worden, nachdem der parlamentarische Fachausschuss für Arbeit die Vorlage am Dienstag genehmigt hatte. Nach Ansicht von Abgeordneten der Opposition fehlen der Mehrheitskoalition die notwendigen Stimmen, um das Gesetz zu verabschieden. Laut Vorlage soll die Mindestbeitragszeit 15 Jahre betragen; wer nur 10 Jahre eingezahlt hat, soll dennoch die Möglichkeit zur Nachzahlung bekommen. Beschäftigte, die 35 Jahre und mehr in einem umweltbelasteten Gebiet gearbeitet haben, dürfen zwei Jahre früher in Rente gehen. Nach der im ersten Haus bereits durchgesetzten Vorlage gelten abgeschlossene Master- und Doktorstudien als Beitragszeiten.



    Bukarest: Die Justizverwaltungsgesetze und das Strafrecht müssen in Einklang mit europäischen Standards gebracht werden – bei dieser Herausforderung spielt der rumänische Magistratenrat eine herausragende Rolle als Hüter der Unabhängigkeit der Justiz, erklärte am Mittwoch Staatspräsident Klaus Iohannis bei den Wahlen zum neuen Vorstand des Rates. Bei der Justizpolitik müsse die Regierung Risiken und Vorteile von Maßnahmen gegeneinander abwägen, so Iohannis.



    Bukarest: 163 Parlamentarier aus der Nationalliberalen Partei (PNL), der Union Rettet Rumänien (USR) und der Partei der Voksbewegung (PMP) in der Opposition, aber auch unabhängige Parlamentarier haben für die Einleitung eines Misstrauensantrags gegen das PSD-ALDE Kabinett geleitet von Viorica Dăncilă unterzeichnet. Sie behaupten, die Regierung zerstöre den Rechtsstaat und setze die politische und wirtschaftliche Stabilität Rumäniens in einem Moment von internationaler Unstabilität in Gefahr. Der Misstrauensantrag soll am Freitag eingeleitet werden, so das nächste Woche darüber debattiert und abgestimmt wird. Die Vizevorsitzende der Nationalliberalen Partei Raluca Turcan appellierte an alle Parlamentarier, der Demarche der Opposition beizutreten, so dass der Misstrauensantrag Erfolg haben soll. Der Vorsitzende des Demokratischen Ungarnverbandes in Rumänien Kelemen Hunor erklärte, die Regierung werde vom Parlament unterstützt und hob hervor, er kenne den Vorschlag der Opposition für das Amt des Premierministers nicht. Die Premierministerin Viorica Dăncilă sagte, der Misstrauensantrag sei kein gutes Zeichen für Rumänien vor der Übernahme der EU- Ratspräsidentschaft. Sie mache sich aber keine Sorgen um ihr Kabinett.

  • Nachrichten 02.09.2018

    Nachrichten 02.09.2018

    Am Sonntag, einen Tag vor dem Beginn der Herbst-Tagungszeit des rumänischen Parlaments, sind die Mitglieder des Politischen Büros der National-Liberalen Partei (von der Opposition) und die parlamentarischen Gruppen der PNL vom Senat und von der Abgeordnetenkammer zu einer gemeinsamen Sitzung zusammengekommen, um die parlamentarischen Prioritäten für die zweite ordentliche Tagungszeit des Parlaments in diesem Jahr zu stezen. Letzte Woche hatte der PNL-Vorsitzende, Ludovic Orban, bekanntgegeben, die Abgeordneten von der National-Liberalen Partei PNL und der Partei Volksbewegung PMP (beide von der Opposition) hätten die notwendigen Schritte zur Gründung eines Parlamentsauasschusses zur Untersuchung des Managements der afrikanischen Schweinepest-Epidemie in Rumänien eingeleitet. Die Chefin der PNL-Abgeordneten, Raluca Turcan, hatte ebenfalls letzte Woche angekündigt, die National-Liberale Partei werde am Anfang der Tagungszeit einen Antrag zur Anhörung der Ministerpräsidentin Viorica Dancila im Parlament einreichen, über die Protestdemonstration am 10. August und über die afrikanische Schweinepest-Epidemie.



    Die Führung der Sozialdemokratischen Partei PSD, der stärksten Partei der Regierungskoalition, ist am Samstag im Schwarzmeer-Ferienort Neptun zu einer Sitzung des Exekutivkommitees zusammengekommen. Im ersten Teil des Treffens präsentierte die Ministerpräsidentin Viorica Dancila die Bilanz der Exekutive für die ersten sieben Monate des Mandats und den Stand der Implementierung der Maßahmen die im Regierungsprogramm angekündigt worden waren. Die PSD-Führung und die PSD-Parlamentsgruppen haben mehrere Gesetzesprioritäten festggelegt, die bis Ende dieses Jahres finalisiert werden sollten. Dazu gehören das neue Rentengesetz, das bis Ende Oktober vom Parlament angenommen werden sollte, die Änderung der Gesetze über die nationale Sicherheit, die den Inlandsnachrichten SRI und den Auslandsnachrichtendienst SIE direkt betreffen, sowie das Adoptionsgesetz. Der PSD-Vorsitzende, Liviu Dragnea, hat bekanntgegben, die Regierung werde eine Verordnung über die Annulierung der Amtshilfeprotokolle zwischen dem Innennachrichtendienst SRI und den Justizbehörden erlassen. Am 7. Oktober werde in Rumänien das Referendum über die Definition der Familie stattfinden, sagte noch Liviu Dragnea.



    Die sechs Staatsanwälte, die ihre Kandidatur für das Amt des Chefs der Antikorruptionsbehörde DNA eingereicht haben, werden am Montag und Dienstag Vorstellungsgespräche mit dem Justizminister Tudorel Toader führen. Die Ergebnisse werden am 6. September bekanntgegeben. Danach wird der Justizminister seinen Vorschlag für den nächsten DNA-Chef an den Obersten Rat der Richter und Staatasanwälte einreichen, der darüber eine Stellungnahme abgeben muß. Anschließend wird Staatspräsident Klaus Iohannis über den Vorschlag entscheiden. Die ehemalige Chefin der Antikorruptionsbehörde, Laura Codruta Kövesi, wurde am 9. Juli von Präsident Klaus Iohannis widerrufen, der dadurch eine Entscheidung des Verfassungsgerichts umgesetzt hat. Vorhin hatte der Staatspräsident den Antrag des Justizministers Tudorel Toader zum Widerruf zurückgewiesen, musste sich jedoch dann an die Entscheidung des Verfassungsgerichts halten. Über den Antrag des Justizministers zur Widerrufung der DNA-Chefin hatte der Oberste Rat der Richter und Staatsawälte eine negative Stellungnahme abgegeben. Die DNA-Aktivität während des Mandats von Laura Codruta Kövesi wurde in den Justizberichten der Europäischen Kommission durchweg positiv bewertet.



    Rumäniens Staatschef Klaus Iohannis hat den Obersten Landesverteidigungsrat CSAT für den 4. September einberufen. Auf der Tagesordnung steht die Analyse der Vorschläge für die Berichtigung des Haushalts der Institutionen mit Zuständigkeiten im Bereich der nationalen Sicherheit für das Jahr 2018. Präsident Iohannis erklärte, die Exekutive könne die geplante Haushaltsberichtigung ohne die Stellungnahme des Obersten Landesverteidigungsrates in jedem Bereich durchführen, mit Ausnahme der nationalen Sicherheit. Das Präsidialamt hat bekanntgegeben, dass nicht alle Mitglieder des Rates mit den Berichtigungsvorschlägen der Exekutive einverstanden waren. Das CSAT-Sekretariat habe die Arbeitsverfahren des Rates, die durch Gesetz und Verordnung über Organisation und Arbeitsweise festgelegt wurden, eingehalten, so das Präsidialamt. Vor zwei Wochen hatte die linksgerichtete Regierungskoalition PSD-ALDE die sofortige Einberufung des CSAT unter Eilbedingungen gefordert, damit das Projekt der Haushaltsberichtigung umgehend angenommen werden könne. Eine Ablehnung des Staatschefs, den CSAT sofort einzuberufen, um die Haushaltsberichtigung so schnell wie möglich anzunehmen, würde die Einkommen der schadenanfälligen sozialen Schichten wie Rentner, Mütter und Kinder, sowie den Zugang der Patienten zu medizinischen Dienstleistungen gefährden, so die Regierungskoalition PSD-ALDE.



    In Rumänien sind etwa 800 Infektionsherde von afrikanischer Schweinepest bestätigt worden. Die Bukarester Behörden treffen weiterhin Maßnahmen, um die Verbreitung der Epidemie zu begrenzen, die sich über ein Viertel des Landes verbreitet hat. Bis jetzt wurden in Rumänien etwa 140.000 Schweine getötet. Es wurden Verkehrskontrollen verhängt, um zu vermeiden, dass kranke Tiere oder daraus verarbeitete Fleischprodukte die eingegrenzten Areale verlassen. Andererseits haben die rumänischen Behörden strafrechtliche Ermittlungen gegen Personen eingeleitet, die illegal mit dem Schweinepest-Virus infizierte Fleischprodukte eingeführt haben. Die Regierung versicherte, dass alle Farmer, die infolge der Schweinepest zu Schaden gekommen sind, entschädigt werden.



    In Braşov/Kronstadt (in der Mitte Rumäniens), sind am Samstagabend die Trophäen des Internationalen Schlagerfestivals “Der Goldene Hirsch verliehen worden. Die Große Trophäe des Festivals ging an die 17-jährige Sängerin Inis Neziri, aus Albanien. Olivier Kaye aus Belgien wurde mit dem 1. Preis und mit dem Preis des Publikums ausgezeichnet. Den 2. Preis gewann Antonia Gigovsca, aus Mazedonien, und den 3. Preis erhielt Kelly Joice aus Frankreich. Der Sonderpreis des Rumänischen Fernsehens und des Rumänischen Rundfunks ging an Lidia Isac, aus der Republik Moldau. Besondere Momente im Rahmen des Festivals waren die Rezitale bekannter Musiker und Musikgruppen. Ehrengäste des Goldenen Hirsches“ waren Edwin Marton, der auf einer Stradivarius-Violine spielt, Eleni Koureira, Jurymitglied und Vertreterin von Zypern beim diesjährigen Eurovision Song Contest, Nicole Scherzinger, Star der Grupe Pussycat Dolls, und die Musikgruppen The Motans und Carla’s Dreams.

  • Koalition besteht Feuerprobe: Misstrauen der Opposition scheitert

    Koalition besteht Feuerprobe: Misstrauen der Opposition scheitert

    Den Misstrauensantrag hatte die nationalliberale PNL eingebracht, die Initiative wurde von den zwei anderen Oppositionsparteien, der Union Rettet Rumänien (USR) und der Volksbewegung (PMP) unterstützt. Der Antrag stützte sich vor allem auf die schwerwiegende Verschlechterung des makroökonomischen Umfeldes, die laut den Autoren auf die Tätigkeit der Regierung zurückzuführen sei. Da seien zum einen der rapide Anstieg des Zinsindizes ROBOR, nach dem die Bankzinsen berechnet werden, oder der rasende Inflationsanstieg. Zudem habe das neue Steuergesetzbuch Chaos verursacht, die Investitionen in die Infrastruktur seien mangelhaft und die Versuche der Regierung, die privaten Pfeiler des Rentensystems zu verstaatlichen, katastrophal.



    Laut den Unterzeichnern würde ferner die aktuelle Regierung, wie die letzten zwei Kabinette der Koalition PSD-ALDE, unter den Ministerpräsidenten Sorin Grindeanu und Mihai Tudose, lediglich formell von der Amtsinhaberin gelenkt. Schalten und walten würde de facto nach wie vor der PSD-Chef Liviu Dragnea, derzeit Vorsitzender der Abgeordnetenkammer, glaubt auch Radu Mihail, Senator von der Union Rettet Rumänien.



    Es ist heute zu einer Debatte gekommen, über einen Misstrauensantrag gegen die dritte Regierung, für die Herr Dragnea garantiert, weil die Regierung Dăncilă durch ihre Minister das Privateigentum von sieben Millionen Steuerzahlern bedroht, im Rahmen des zweiten Rentenpfeilers. Es gibt überhaupt keine Garantien dafür, dass die Regierung von Frau Dăncilă den aktuellen Angestellten Gelder für ihre Renten bereitstellt. Seit Beginn des Jahres, seitdem sie in das Amt an der Spitze der Regierung eingeführt wurden, ist es ihnen lediglich gelungen, die Wirtschaft des Landes noch tiefer sinken zu lassen, für Panik und Misstrauen zu sorgen, die Fremdinvestoren aus dem Land zu vertreiben und die aktuelle negative Entwicklung der Wirtschaft weiter zu verschärfen.



    Ministerpräsidentin Viorica Dăncilă behauptete im Gegenzug, dass der Misstrauensantrag falsche Behauptungen enthalte, nicht vernünftig begründet sei und lediglich ein politisches Spiel der bürgerlichen Opposition darstelle.



    Ich hätte es nicht erwartet, dass der gesamte Misstrauensantrag aus einer Reihe von falschen Behauptungen besteht, irgendwie die böswillige Darstellung einer anderen Realität. Alles was die Machthaber tun, ist schlecht, und alles, was sie tun, ist richtig. Sie lehnen es sogar ab, die offensichtlichen positiven Entwicklungen einzuräumen, die sich während dieser Regierungszeit ereignet haben. Die erste falsche Information ist auch die schwerwiegendste, die Idee, dass es kein Geld mehr für die Renten gäbe, als Paketangebot mit der sogenannten Verstaatlichung des zweiten Rentenpfeilers.



    Im Plenum des Bukarester Parlaments ist der Misstrauensantrag gegen die Regierung anschließend abgelehnt worden. 166 Abgeordneten stimmten dafür, die Fraktionen der Koalition nahmen an der Abstimmung nicht teil. 233 Stimmen wären notwendig gewesen, um die Regierung zu stürzen. Die Parlamentarier des Ungarnverbandes verließen den Saal ohne abzustimmen. Der Verband gehört nicht der Regierungskoalition an, hat sich jedoch per Protokoll zu einer parlamentarischen Zusammenarbeit mit den führenden Parteien verpflichtet.



    Nach Verkündung des Ergebnisses beglückwünschten sich die Sozialdemokraten gegenseitig und bestanden auf der Idee, dass die Beibehaltung der aktuellen Regierung die Stabilität des Landes gewährleisten werde. Aus den Reihen der Liberalen verlautete es indes, dass das Abstimmungsergebnis einer verantwortungslosen Haltung gegenüber dem Schicksal des Landes gleichzusetzen sei. Auch aus der außerparlamentarischen Opposition wurden Stimmen laut, wonach Neuwahlen notwendig seien, da die aktuelle Mehrheit ihre Legitimität unter der Führung des vorbestraften Liviu Dragnea verloren hätte.

  • Aussichtloser Misstrauensantrag scheitert

    Aussichtloser Misstrauensantrag scheitert

    Die seit Januar regierende sozial-liberale Koalition der Sozialdemokraten (PSD) und Liberaldemokraten (ALDE) hat es wahrlich nicht leicht: Die unabhängigen Medien kritisiert sie täglich, die bürgerliche Opposition geht hart ins Gericht mit beinahe allen Ministern des Kabinetts, die Zivilgesellschaft lässt auch kaum ein gutes Haar am Kabinett der Ministerpräsidentin Viorica Dăncilă und obendrein protestieren täglich — mal mehr, mal weniger — Menschen vor dem Regierungsgebäude oder vor dem Parlament gegen die umstrittene Justizreform. Nun muss die Regierung den ersten Härtetest bestehen — am heutigen Mittwoch wird im Parlament über einen Misstrauensantrag der Opposition debattiert und abgestimmt. Insgesamt 152 Abgeordnete beider Parlamentskammern von der Nationalliberalen Partei (PNL), der Union Rettet Rumänien (USR) und der Volksbewegungspartei (PMP) haben das Misstrauensvotum initiiert. Die Opposition wirft dem Kabinett vor, mit der Inkompetenz seiner Minister eine Verschlechterung des Wirtschaftsklimas verursacht zu haben. Belegbar sei dies durch die steile Erhöhung des Bankzinsenberechnungsindex ROBOR, durch die galoppierende Inflation, die Abwertung der Landeswährung im Verhältnis zum Euro, die chaotische, immer wieder abgeänderte Steuergesetzgebung und durch fehlende Investitionen im Infrastrukturbereich. Die Regierung der Sozialdemokratin Dăncilă sei zudem nur ein Marionettenkabinett des Parteichefs und Drahtziehers Liviu Dragnea, der sich sämtliche Institutionen des Staates hörig machen und der unabhängigen Justiz einen Knebel in den Mund stecken wolle, so die Opposition.



    Für einen erfolgreichen Misstrauensantrag braucht die Opposition 233 Stimmen. Rein mathematisch hat die Opposition allerdings wenig Chancen, mit dem Vorsto‎ß durchzukommen. Die Regierungskoalition PSD-ALDE verfügt über insgesamt 249 Parlamentarier, die Oppositionsparteien haben zusammen nur 154 Stimmen. Die Ungarnpartei UDMR hat 30 Abgeordnete und Senatoren, ist allerdings durch ein Kooperationsprotokoll an die Mehrheitsfraktion gebunden und hat schon angekündigt, der Abstimmung fernbleiben zu wollen. Weitere 17 Abgeordnete, die die restlichen ethnischen Minderheiten im Parlament vertreten, stimmen traditionsgemä‎ß immer an Seite der jeweils Regierenden, und die restlichen 15 unabhängigen Parlamentarier, die zwar allesamt gegen die Regierung und den mächtigen Chef der PSD sind, fallen kaum ins Gewicht.



    Liviu Dragnea selbst zeigte sich bereits vergangene Woche sicher, dass der Misstrauensantrag ihm nichts anhaben kann. Da mag er wohl nicht falsch liegen, meinen die Politikbeobachter, schlie‎ßlich sei er der einzige, der dazu fähig sei, die eigene Regierung zu stürzen — mokieren sich einige Kommentatoren. Dem ist auch so: Vor genau einem Jahr hat die regierende PSD den eigenen Ministerpräsidenten Sorin Grindeanu per Misstrauensvotum im Parlament zur Ordnung gepfiffen — dieser lag im unversöhnlichen Clinch mit seinem Parteichef Dragnea. Eine Mehrheitskoalition, die das eigene Kabinett zum Fallen bringt, um es dann — bis auf den in Ungnade gefallenen Regierungschef — wieder ins Amt zu bringen — das war in der Tat eine Premiere in den 30 Jahren postkommunistischer Demokratie in Rumänien. Dabei blieb es nicht: Ein halbes Jahr später musste Mihai Tudose, der Nachfolger Grindeanus als Ministerpräsident, ebenfalls seinen Hut nehmen — diesmal ohne viel Tamtam, er beugte sich einem Parteikonklave, das über sein Schicksal entschied. Auch er sei mit seinen Unabhängigkeitsallüren dem Parteichef nicht willfährig genug gewesen, so die Kommentatoren.



    Journalisten und andere Politikbeobachter sind sich einig: Die Regierung bleibt fest im Sattel, die Opposition hat kaum Erfolgschancen mit dem Misstrauensantrag. Angeschlagen bleibt allerdings das Image dieser Regierungskoalition und des PSD-Chefs Liviu Dragnea. Der Oberste Gerichtshof hat Dragnea vergangene Woche in einem Strafprozess wegen Korruption zu dreieinhalb Jahren Haft ohne Bewährung verurteilt. Das Urteil ist allerdings nicht rechtskräftig, es kann noch angefochten werden, da nicht alle Rechtsmittel erschöpft sind. Und 2016 war Dragnea von einem anderen Gericht in einer weiteren Strafsache zu zwei Jahren Haft verurteilt worden. In diesem Verfahren war Dragnea des versuchten Wahlbetrugs für schuldig befunden worden, die Strafe wurde allerdings zur Bewährung ausgesetzt.

  • 16.06.2018

    16.06.2018

    Visite – Au deuxième jour de sa visite à Talinn, le premier ministre roumain, Mme Viorica Dancila a été reçue par le président estonien, Kersti Kaljulaid. Toujours à l’agenda de ce samedi- une visite du centre d’information e- Estonie consacré au processus de numérisation mis en place par ce pays. La responsable roumaine participera aussi à la cérémonie de signature d’un mémorandum entre le Ministère roumain pour le Milieu des Affaires, du Commerce et de l’Entreprenariat et l’Agence estonienne pour les Investissements. Ultérieurement, les premiers ministres roumain et estonien inaugureront un vol de la compagnie estonienne Nordica reliant Tallin à la ville de Constanta, au bord de la Mer Noire. Viorica Dancila et son homologue estonien, Jüri Ratas figureront parmi les premiers passagers de cette course aérienne. Dimanche, les deux responsables inaugureront aussi un consulat honoraire d’Estonie, à Constanta.

    PMP– Le Parti du Mouvement Populaire- d’opposition- s’est réuni ce samedi au sein d’un congrès extraordinaire pour désigner sa nouvelle direction et son nouveau leader suite au retrait de son chef actuel, le sénateur et ancien président de la République, Traian Basescu. Précisons que la nouvelle direction se donnera comme principal objectif de préparer le parti pour les élections europarlementaires et présidentielles de 2019 et pour le scrutin législatif de 2020. Un seul candidat est en lice pour la présidence du PMP. Il s’agit de l’actuel président exécutif, le député Eugen Tomac. Celui-ci a affirmé demander le vote de confiance de ses collègues sur la motion intitulée Le Parti du Mouvement Populaire pour une Roumanie réunie, un document par lequel, dit-il, il envisage de continuer la ligne de parti mise en place par Traian Basescu.

    Chisinau – La République de Moldova demandera auprès de l’ONU le retrait des troupes russes de la région séparatiste russophone de Transdniestrie, dans l’est de la République. Un projet de résolution en ce sens sera examiné le 22 juin. A l’heure où l’on parle, un millier de militaires russes de l’ex 14ème armée soviétique y sont toujours déployés pour protéger les dépôts d’armement et de munition. Par ailleurs, 500 militaires issus des troupes de maintien de la paix sont toujours déployés dans cette république moldave du Dniester. A eux s’ajoutent presque 15000 soldats des troupes subordonnées au régime séparatiste de Tiraspol. La Transniestrie est sortie de facto de sous l’autorité de Chisinau en 1992, suite à un conflit armé.

    Météo – Le temps demeure instable dans la plupart des régions de Roumanie. Des phénomènes orageux sont signalés presque partout, à l’exception du sud-est, du nord-ouest et de la côte roumaine à la Mer Noire. Des pluies torrentielles et de la grêle tomberont notamment sur l’est et à la montagne. Les précipitations pourraient atteindre par endroits les 40 L par mètre carré. Les températures maximales iront de 23 à 30 degrés. 28 degrés à midi, dans la capitale.Selon les autorités, des dizaines de localités de 16 départements de Roumanie ont rapporté des dégâts suite aux orages signalés ces 24 dernières heures.

  • Jurnal românesc – 16.05.2017

    Jurnal românesc – 16.05.2017

    România are nevoie de un plan naţional pentru a-şi păstra elitele în
    ţară şi pentru a-i convinge pe cei mai buni dintre absolvenţi să rămână în
    universităţi, măcar pentru o perioadă. Ideea a fost lansată de rectorul
    Universităţii Babeş-Bolyai din Cluj, academicianul Ioan-Aurel Pop care susţine
    că acum e o pierdere foarte mare de creiere, nu numai în străinătate, dar chiar
    dinspre învăţământ spre alte domenii. In opinia acestuia, şcoala – şi cea
    elementară, şi cea generală, şi învăţământul superior – nu merge cum ar trebui.
    Din acest punct de vedere, ar trebui o politică naţională de atragere spre
    învăţământ a acelor oameni care pot fi şi trebuie să fie nu neapărat profesori
    toată viaţa lor. Academicianul Ioan Aurel Pop mai precizează că educaţia are
    nevoie de o finanţare corespunzătoare şi că ţările civilizate alocă acestui
    domeniu între 6 şi 12 la sută din Produsul Intern Brut.




    Deputatul
    PMP Constantin Codreanu, ales în Circumscripţia electorală nr. 43 pentru
    cetăţenii români cu domiciliul şi reşedinţa în afara ţării, organizeză,
    miercuri, la Chişinău, primul atelierul legislativ intitulat Legea cetăţeniei
    române, necesităţi de ajustare.
    Atelierul va avea loc în Sala
    cu Cămin a Uniunii Scriitorilor din Moldova.Evenimentul se doreşte
    a fi o dezbatere tehnică asupra textului Legii cetăţeniei române din
    perspectiva necesităţilor de completare şi modificare a acesteia.




    Institutul
    de Investigare a Crimelor Comunismului şi Memoria Exilului Românesc (IICCMER)
    organizează, miercuri, acţiunea de deshumare a lui Iulian Mugur Călinescu din
    Botoşani, decedat în condiţii suspecte la 13 februarie 1985, în urma unei grave
    afecţiuni medicale, despre care se presupune că a fost cauzată de anumite
    proceduri la care a fost supus în timpul anchetelor de la Securitate.
    Activităţile din teren se vor desfăşura în colaborare cu Parchetul Militar
    Teritorial Iaşi, Institutul de Medicină Legală din Iaşi, Primăria mun.
    Botoşani, Asociaţia Foştilor Deţinuţi Politici din România (AFDPR) – Filiala
    Botoşani şi Televiziunea Română.




    România a înregistrat cea mai mare
    creştere economică din UE, de 5,6% din PIB,
    în primul trimestru din 2017 comparativ cu perioada similară din 2016,
    potrivit estimării preliminare publicată marţi de Oficiul European pentru
    Statistică (Eurostat). Pe
    locurile următoare se află Polonia şi Lituania cu 4,1%. Potrivit datelor
    publicate marţi de Institutul Naţional Statistică din Bucureşti, economia
    României a înregistrat o creştere cu 5,7% în primul trimestru al acestui an
    comparativ cu perioada similară din 2016.




    Ministerul Sănătăţii este pe cale să
    rezolve problema vaccinului antirujeolic ROR, a declarat marţi ministrul
    Florian Bodog. El a explicat că a identificat un stoc de 300.000 de doze care
    va asigura necesarul României până la sfârşitul anului. Criza vaccinurilor a
    devenit o problemă care se repetă în România, o dată la câteva luni lipsind din
    spitale şi din farmacii vaccinuri obligatorii pentru imunizarea bebeluşilor.




    Generalul-maior
    Lucian Foca este de luni în fruntea Comandamentului Forţelor Întrunite din
    Statul Major General. Pe timp de pace, această structură programează,
    coordonează şi conduce operaţiile forţelor armate din ţară şi afară. În
    situaţii de criză, la declanşarea stării de asediu, a mobilizării sau a stării
    de război, Comandamentul planifică şi conduce operaţiile Armatei Române.Generalul maior Lucian Foca a predat comanda celei mai mari
    structuri a Armatei Române, Divizia 2 Infanterie Getica, structura care
    coordonează militarii români prezenţi în teatrele de operaţii ale lumii.

  • Jurnal românesc – 08.05.2017

    Jurnal românesc – 08.05.2017

    Ministerul pentru Românii de Pretutindeni a deschis sesiunea de finanţări
    nerambursabile, cu posibilitatea trimiterii cererilor de finanţare pe tot
    parcursul anului. Pentru a beneficia de finanţarea nerambursabilă este necesară
    existenţa unor surse de finanţare proprii sau atrase ale solicitantului în
    cuantum de minim 10% din valoarea totală a finanţării acordate. Pentru mai
    multe detalii consultaţi Ghidul Beneficiarului 2017 pe www.dprp.gov.ro. Cererea de finanţare, însoţită de documentele
    aferente, poate fi trimisă electronic la adresa de e-mail: cabinet.ministru@mprp.gov.ro.


    Permisele de conducere româneşti sunt valabile pe tot teritoriul Uniunii
    Europene până la expirare. Conform unei Directivei a Parlamentului European şi
    a Consiliului, cetăţenii europeni (inclusiv cei români) care au rezidenţă în alt
    stat membru UE, diferit de cel de origine, au obligaţia de a solicita reînnoirea
    permisului de conducere în statul de rezidenţă. Astfel, cetăţenii români
    rezidenţi în Spania vor solicita reînnoirea permiselor de conducere în această
    ţară în momentul expirării, pierderii sau furtului permisului românesc de
    conducere. În acest sens, aceştia trebuie să se adreseze Direcţiei de Trafic
    din provincia spaniolă de rezidenţă, informează Ambasada României la Madrid.
    Potrivit acesteia, celor care şi-au obţinut permisul de conducere românesc
    înainte de a-şi stabili rezidenţa în Spania, li se recunosc automat toate
    categoriile obţinute până la acea dată.


    Deputatul PMP Constantin Codreanu, ales în Circumscripţia electorală nr.
    43 pentru cetăţenii români cu domiciliul şi reşedinţa în afara ţării, a anunţat
    că va organiza pe 17 mai la Chişinău primul atelier legislativ intitulat ‘Legea
    cetăţeniei române, necesităţi de ajustare’. La lucrări, sunt invitaţi jurişti,
    avocaţi, persoane private şi oficiale, din Chişinău şi din alte localităţi ale
    Republicii Moldova, preocupate de ameliorarea cadrului legislativ românesc în
    materie de cetăţenie, invitaţia fiind deschisă totodată publicului larg. Primul
    eveniment se doreşte a fi o dezbatere tehnică punctuală asupra textului Legii
    cetăţeniei române din perspectiva necesităţilor de completare şi modificare a
    acesteia şi se va desfăşura în Sala cu Cămin a Uniunii Scriitorilor din
    Moldova.


    La Alba Iulia are loc între 7 – 10 mai simpozionul internaţional ARS
    LITURGICA – from the image of glory to the image of the idols of modernity.
    Participă cadre universitare din România, Grecia, Italia, Germania, Bulgaria,
    Iugoslavia şi Rusia. Tematica simpozionului implică dialogul ecumenic la nivel
    interconfesional, discuţii pe tema spiritualităţii ortodoxe române din diaspora
    şi implicarea tinerilor români din afara graniţelor ţării în viaţa spirituală,
    în noul context european. La eveniment au fost invitaţi să participe şi
    cercetători de etnie română din afara graniţelor ţării: Chişinău, Serbia (Valea
    Timocului), Ucraina (Cernăuţi), SUA şi Italia (Padova). Lucrările simpozionului
    vor fi publicate în 2 volume, care vor cuprinde analize consistente asupra
    situaţiei tinerilor din societatea actuală şi asupra nevoilor spirituale ale
    acestora.

  • Priorități propuse pentru bugetul UE pe 2018

    Priorități propuse pentru bugetul UE pe 2018

    Deputatul european Siegfried Mureșan (PPE / PMP), negociator-șef (raportor) din partea Parlamentului European pentru bugetul Uniunii Europene din 2018, a prezentat vineri prioritățile bugetare ale Parlamentului pentru anul viitor. El a declarat că se angajează ca, în bugetul din 2018, să existe suficiente fonduri pentru a deconta creditele de plată pentru programele de finanțare europeană din statele membre, inclusiv România, dar trebuie ca și țara noastră să înceapă să absoarbă fondurile europene alocate din Cadrul Financiar Multianual 2014-2020.



    Este important ca, anul următor, Uniunea Europeană să aibă suficienți bani în buget pentru a deconta facturile cu programele de finanțare europeană din statele membre deoarece mă aștept ca, în 2018, programele operaționale legate de fondurilor structurale și de coeziune din Cadrul Financiar Multianual 2014-2020 să ajungă la un ritm maxim de funcționare. În această situație, mă angajez, în calitate de negociator-șef al Parlamentului pe buget, să alocăm suficienți bani pentru aceste credite de plată către toate statele membre, inclusiv România. Dar trebuie ca și țara noastră să înceapă să absoarbă serios fondurile alocate acestui cadru financiar. În primii trei ani, 2014-2016, România a început să absoarbă bani extrem de lent. Până în prezent, am absorbit doar 528 de milioane de euro, din banii destinați exercițiului 2014-2020 (în valoare totală de 31 de miliarde de euro – n.n). Această situație este cauzată și de faptul că nu avem acreditate autoritățile de management esențiale pentru procesul de plăți. România trebuie să acrediteze 10 autorități și avem acreditate doar 2 autorități. Ca o comparație, Polonia are acreditate 24 de autorități de management din 25”, a declarat deputatul european Siegfried Mureșan.



    Eurodeputatul a adăugat că își asumă, din partea Parlamentului European, două priorități politice pentru Bugetul UE 2018: crearea de locuri de muncă și siguranța cetățeanului.



    Propun alocarea unor sume cât mai mari pentru infrastructură, în primul rând, și pentru cercetare și inovare, în al doilea rând, fiindcă acestea sunt domeniile care duc la îmbunătățirea competitivității economiei Uniunii Europene. De asemenea, propun sporirea alocărilor programelor pentru IMM-uri și, evident, susțin politica de coeziune a Uniunii Europene ca principală politică de investiții. Dar, fiindcă economia nu se poate dezvolta dacă oamenii nu se simt în siguranțaă, a doua prioritate bugetară este siguranța cetățeanului. Astfel, trebuie, în primul rând, să securizăm bine frontierele externe ale Uniunii Europene și, totodată, să creștem sumele pe care le vom aloca pentru Vecinătatea sudică și Orientul Mijlociu. Este mai ieftin și mai sigur să sprijinim persoanele care au nevoie de ajutor acolo în regiune decât să le ajutăm de abia după ce au ajuns în Europa”, a mai spus Siegfried Mureșan.



    Totodată, europarlamentarul român a transmis jurnaliștilor că va susține, în negocierile pentru bugetul de anul viitor, finanțarea Programului Discover EU” de acordare a unui abonament gratuit de tren de o lună pentru fiecare tânăr din UE care împlinește 18 ani și care dorește să viziteze Europa (valabil pe liniile feroviare din 30 de țări europene). Programul, inițiat de eurodeputatul Manfred Weber (PPE), a fost introdus de eurodeputatul Siegfried Mureșan pe lista priorităților de negociere pe care le va purta, în calitate de negociator-șef al Parlamentului European pentru Bugetul UE din 2018, cu reprezentanții Consiliului UE și ai Comisiei Europene.



    Vrem să oferim aceste bilete de tren tinerilor care împlinesc 18 ani ca să poată călători gratuit 30 de zile în Europa pentru a cunoaște alte state europene, dar și pentru a acumula experiență internațională. Statisticile ne arată că 64% din angajatori apreciază experiența internațională a noilor angajați și consider că această experiență trebuie acumulată cât mai devreme”, a mai spus eurodeputatul Siegfried Mureșan.

  • Nach Parlamentswahl: Sozialdemokraten und ALDE bilden Regierungskoalition

    Nach Parlamentswahl: Sozialdemokraten und ALDE bilden Regierungskoalition

    Bereits am Montag waren die neu gewählten Abgeordneten und Senatoren im Bukarester Parlament für die offizielle Amtseinführung erwartet. Erwartungsgemäß waren die Politiker, die vor ihrer ersten Amtszeit stehen, die fleißigsten. Aufgeregt und noch nicht mit der Verfahrensordnung und dem Prozedere vertraut reichten sie die für die Übernahme des Mandats notwendigen Unterlagen ein. Gleichzeitig war die Rede von ehrgeizigen Vorhaben die kommenden Gesetzentwürfe betreffend. Am Dienstag wurden die neuen Parlamentsmitglieder gemeinsam mit ihren erfahrenen Kollegen ins Plenum einberufen, wo getrennte Sitzungen der Abgeordnetenkammer und des Senats stattfanden.



    Jetzt wollen die im Parlament vertretenen Parteien am Mittwoch und Donnerstag eine neue Verhandlungsrunde mit Präsident Klaus Iohannis abhalten. Anschließend soll die Öffentlichkeit den Namen des neuen Ministerpräsidenten erfahren.



    Indes haben die Sozialdemokraten und die Allianz der Liberalen und Demokraten, die gemeinsam die Mehrheit in der Legislative besitzen, am Montag ein Regierungsprotokoll unterzeichnet. Demnach wird offiziell festgelegt, dass die beiden Parteien im Parlament und der Regierung zusammenarbeiten wollen. Der Vorsitzende der Sozialdemokraten, Liviu Dragnea, fasste für die anwesenden Pressevertreter die im Protokoll vorgesehenen Richtlininen zusammen.



    Hauptziele des Protokolls sind die Gewährleistung eines nachhaltigen Wirtschaftswachstums und Schaffung von neuen Arbeitsplätzen, die Verbesserung des materiellen Wohlstandes und der Lebensqualität und die Einhaltung der Grundrechte und –freiheiten der Bürger. Die Regierungskoalition für Entwicklung und Demokratie PSD-ALDE wird einen einzigen Kandidaten für das Amt des Ministerpräsidenten vorschlagen, der gemeinsam vereinbart wurde. Die Koalition wird per Abstimmung im Rumänischen Parlament eine vom Ministerpräsidenten geführte Koalitionsregierung unterstützen. Dem Kabinett werden verhältnismäßig Minister von der PSD und ALDE angehören.“



    Auf die Frage betreffend den Namen des gemeinsamen Kandidaten für das Amt des Ministerpräsidenten werde nach den Beratungen mit dem Staatschef eine Antwort fallen, erklärte der Co-Vorsitzende der ALDE, Călin Popescu Tăriceanu.



    Angesichts des Wahlergebnisses der PSD müssen wir der politischen Logik folgen und ohne lange Verhandlungen ganz klar sagen: Der Kandidat wird gemeinsam festgelegt, es wird aber eine Person sein, die von der PSD vorgeschlagen wird.“



    Derweil bereiten die vier weiteren Parlamentsparteien ihre Strategien vor. Der in der Vergangenheit stets an der Regierungskoalition beteiligte Ungarnverband erwägte lediglich eine mögliche Zusammenarbeit mit der Koalition im Parlament. Ex-Präsident und Vorsitzende der Volksbewegung, Traian Băsescu, präzisierte, dass seine Partei sich in der Opposition befinden werde.



    Wir haben momentan überhaupt keinen Alliierten, also zählen wir auf niemanden. Wir stehen in der Opposition zu den Machthabern.“



    Die Union Rettet Rumänien, die bei der Parlamentswahl das drittbeste Ergebnis erzielte, möchte zwar keine Allianz mit anderen Parteien bilden, will jedoch bei bestimmten Gesetzentwürfen gezielt mit allen Parteien zusammenarbeiten. Der ursprüngliche Plan der Union, gemeinsam mit der Nationalliberalen Partei den aktuellen parteilosen Ministerpräsidenten Dacian Cioloş zu unterstützen, ist derzeit hinfällig.

  • Consultări ale preşedintelui României  cu partidele parlamentare

    Consultări ale preşedintelui României cu partidele parlamentare

    Preşedintele României, Klaus Iohannis i-a invitat,
    miercuri, la o primă rundă de consultări
    privind formarea guvernului, pe reprezentanţii formaţiunilor politice care vor
    face parte din viitorul Parlament.

    PSD – câştigătorul scrutinului legislativ de la 11 decembrie şi partenerul său, ALDE, nu au participat la
    discuţii, considerând invitaţia ca prematură, câtă vreme nu a fost stabilită
    componenţa finală a noului Parlament. Atitudinea celor două formaţiuni a fost calificată de
    şeful statului ca « necooperantă şi nesănătoasă » în relaţia cu
    primul om în stat.

    Celelalte partide şi reprezentanţii minorităţilor naţionale
    şi-au expus, în cadrul întrevederii, viziunea asupra etapei postelectorale de
    numire a unui nou premier. Niciuna dintre formaţiuni nu a avansat numele unui
    viitor prim-ministru, dar toate s-au pronunţat împotriva desemnării, în fruntea
    guvernului, a unei persoane condamnate penal.

    Preşedintele interimar al PNL, Raluca Turcan, a spus că PSD nu poate să ofere bunăstarea pe care şi-au
    dorit-o cetăţenii, apreciind că promisiunile nesustenabile făcute de social-democraţi sunt o « fraudă de încredere ». E surprinzătoare, a adăugat Turcan, rapiditatea cu care PSD îşi abandonează
    programul de guvernare şi principiile asumate în perioada de campanie
    electorală.

    Liderul USR, Nicuşor Dan, a transmis preşedintelui Iohannis că
    formaţiunea sa nu va vota un guvern
    format în jurul PSD şi nu va vota un
    guvern alcătuit în jurul lui Liviu Dragnea, condamnat cu suspendare în dosarul
    privind referendumul de demitere a fostului şef al statului, Traian Băsescu. Nu
    este admisibil, pentru România, a subliniat el, ca guvernul să fie condus de un
    prim ministru care a fost condamnat penal.

    La rândul său, preşedintele
    UDMR, Kelemen Hunor a spus că, pentru minoritatea maghiară din România,
    este important ca Uniunea să găsească
    parteneri în Parlamentul României, în noua sa configuraţie, pentru a pune în aplicare cele mai importante
    elemente din programul politic al UDMR: reformă constituţională, reformă
    administrativă, reformă în educaţie.

    Pentru a şasea formaţiune, PMP, intrată în
    noul Parlament de la Bucureşti, dialogul purtat la Palatul Cotroceni n-a reprezentat, obligatoriu, o consultare în
    vederea formării unui guvern, ci o discuţie de tatonare. Aflat,
    acum, în postura de preşedinte de partid, fostul şef al statului, Traian
    Băsescu a declarat că PMP «este, face parte şi va face parte din orice
    soluţie politică anti-PSD ». El a adăugat că această poziţie are la bază atât motive ideologice dar şi critica modului cum PSD înţelege să gestioneze
    resursele bugetului, «în mod
    populist, pregătind, parcă, ieşirea României din parametrii necesari
    accesului în zona euro.

    Conform declaraţiilor preşedintelui Iohannis, o
    nouă rundă de consultări va fi organizată imediat după validarea Parlamentului.