Tag: pogrom

  • 21.01.2021

    21.01.2021


    Protestations
    – Les syndicats de Roumanie poursuivent leurs protestations aussi bien à
    Bucarest que dans d’autres villes du pays. Les principales revendications
    portent sur un niveau décent du SMIC, des pensions de retraite équitables, des
    services publics de qualité et une reprise des négociations collectives. Bogdan
    Hossu, leader du Cartel Alfa, l’une des principales confédérations syndicales
    de Roumanie, a rencontré mercredi les représentants du Gouvernement de
    coalition de centre-droit pour leur faire part de toutes ses doléances. Le Parti
    social-démocrate, principal parti en opposition, soutient que toutes les
    revendications formulées par les syndicalistes pourraient trouver solution même
    dans l’actuel contexte pandémique. Les sociaux- démocrates ont annoncé lancer
    la semaine prochaine un budget alternatif à celui établi par l’exécutif afin de
    prouver que la Roumanie dispose de suffisamment d’argent pour majorer cette année
    les pensions de retraite et les salaires.




    Coronavirus – La Roumanie a un stock sûr de 2,4
    millions de doses de vaccin anti-Covid d’ici fin mars, a fait savoir jeudi le
    premier ministre Florin Cîţu. Le gouvernement a décidé
    d’introduire dans la deuxième phase de la campagne de vaccination, démarrée le 15
    janvier, de nouvelles catégories de population : les personnes en
    situation de handicap et leurs accompagnateurs, le personnel navigant, les diplomates
    ou encore les sportifs inscrits aux compétitions internationales. Les personnes
    vulnérables auront la priorité pour se faire vacciner, prévoit encore la
    décision de l’exécutif qui modifie la stratégie nationale de vaccination. Il s’agit
    des personnes âgées, des malades chroniques, des personnes en situation de handicap,
    ainsi que du personnel soignant qui ne s’est pas fait vacciner durant la
    première phase de la campagne d’immunisation. La plateforme de prise de
    rendez-vous sera modifiée pour permettre de donner la priorité à ces
    catégories. Ainsi, sur une journée, 25% des rendez-vous seront réservés aux
    travailleurs des domaines jugés essentiels et 75% aux personnes vulnérables.
    2.878 cas de contamination au Sars-Cov-2 ont été recensés ces dernières 24
    heures, la plupart à Bucarest, dans les départements de Timiş et de Cluj. 69 décès associés au Covid-19 ont
    également été rapportés.

    Fraude Covid – Des agents de police de Bucarest ont fouillé ce matin les maisons de plusieurs personnes de la capitale et de Călăraşi, ville du sud de la Roumanie, suspectées de fraudes aux aides Covid. L’enquête a montré que durant près d’une année, 11 personnes, en faisant usage de faux documents, ont demandé et reçu de l’Agence de paiements et d’inspection sociale des indemnités de 4.500 lei (quelques 900 euros) chaque mois. Selon la Police de la capitale, la valeur exacte du préjudice est encore à établir.






    Recensement
    – La Commission centrale pour le recensement de la population et des logements
    2021 décale d’un an le déroulement du recensement prévu cette année, en raison de
    la pandémie de Covid-19, a fait savoir l’Institut national de la statistique. Un
    recensement-test aura lieu du 1er février au 31 mars 2021, et le recensement de
    la population et des logements se déroulera du 1er février au 17 juillet 2022.
    Les résultats définitifs seront publiés en décembre 2023, selon le calendrier
    d’Eurostat. Un recensement de la population était prévu cette année, tant en
    Roumanie, que dans les autres États membres de l’UE. Selon l’Institut national
    de la statistique, ce recensement sera le premier à être principalement réalisé
    en ligne.




    Commémoration – Les victimes du pogrom de Bucarest du
    21 – 23 janvier 1941, perpétré par la Garde de fer, parti roumain d’extrême
    droite, sont commémorées aujourd’hui. Des couronnes de fleurs seront déposées
    et il y aura plusieurs transmissions sur la page Facebook de la Fédération des
    communautés juives de Roumanie. Un débat intitulé « Le cartier juif sous
    la terreur du pogrom des légionnaires de janvier 1941 » aura également lieu.
    Le pogrom de Bucarest, pendant lequel 125 juifs ont été tués, a été le point
    culminant de la rébellion des légionnaires (le nom officiel de la Garde de Fer
    était « Légion de l’Archange Michel », ses membres étaient donc nommés «
    légionnaires »). Pendant ces jours d’il y a 80 ans, ils ont arrêté, torturés,
    assassiné des juifs, volé leurs biens, saccagé leurs propriétés, profané et
    détruit des tombes et des synagogues.






    Bruxelles – Le Conseil européen se réunit ce jeudi en
    visioconférence pour débattre des mesures de gestion coordonnée de la pandémie
    de coronavirus. Les discussions porteront principalement sur l’accélération de
    la campagne de vaccination, trois semaines après le début du programme
    européen d’immunisation. Toujours à l’agenda des pourparlers : le scénario
    d’une mise en place des certificats de vaccination censés faciliter le
    déplacement en toute sécurité des citoyens européens au sein de l’espace
    communautaire, notamment dans les pays dont le tourisme a été profondément
    touché par l’actuelle crise sanitaire.




    Météo -
    Les températures repartent à la hausse en Roumanie, pour dépasser la normale
    saisonnière dans la plupart du territoire. Le ciel est partiellement couvert et
    on attend des pluies faibles dans le nord-ouest du pays. Les maximales vont de
    2 à 10°C, avec 6°C et soleil à midi à Bucarest.

  • Berlinale 2020: Rumänisches Kino zeigt erneut starke Präsenz

    Berlinale 2020: Rumänisches Kino zeigt erneut starke Präsenz

    Auf dem Programm der 70. Berlinale stehen drei neue Produktionen des rumänischen Filmemachers Radu Jude: Tipografic majuscul“ (Uppercase Print“ / Druckbuchstaben“) und Ieşirea trenurilor din gară“ (The Exit of the Trains“ / Die Ausfahrt der Züge aus dem Bahnhof“) feiern ihre Premiere in der Sektion Forum des Festivals, während der Spielfilm Somnambulii“ (Sleepwalkers“/Die Schlafwandler“) auf dem Koproduktionsmarkt der Berlinale zu sehen ist. Gro‎ßbuchstaben“ erzählt die wahre Geschichte des Teenagers Mugur Călinescu, der unter dem Ceauşescu-Regime mit Graffiti gegen das Regime protestierte und dafür von der Geheimpolizei verfolgt wurde. Der Regisseur sagt über seine Präsenz auf den internationalen Festspielen:



    »Druckbuchstaben« und »Die Ausfahrt der Züge aus dem Bahnhof« sind in die engere Auswahl der Sektion »Forum« gekommen. »Gro‎ßbuchstaben« ist eine freie Adaption eines Theaterstücks von Gianina Cărbunariu, ein Stück, das auf der Securitate-Akte des Teenagers Mugur Călinescu basiert. »Die Ausfahrt der Züge aus dem Bahnhof« wurde gemeinsam mit dem Historiker Adrian Cioflâncă gedreht. Die Idee verdanke ich der jahrzehntelangen Arbeit des Historikers, der die Archive durchsuchte, um Material über den Pogrom im ostrumänischen Iaşi im Jahr 1941 zu finden. Er schlug vor, dass wir beide den Film machen sollten, und ich sagte zu.“




    Die beiden Filme von Radu Jude, die in der Sektion Forum“ gezeigt werden, befassen sich mit heiklen Themen der modernen Geschichte Rumäniens aus einer frischen und originellen Perspektive. Radu Jude:



    Die Sektion »Forum« hat im Laufe der Jahre auch radikale, eher abseitige Produktionen in die engere Auswahl angenommen. Beide Filme unterscheiden sich von den üblichen, konventionellen narrativen Filmmustern. Nicht, dass wir mit diesem Muster ein Problem hätten. Meine Filme schlagen eine andere Art und Weise vor, die Realität mit Hilfe eines Films zu erforschen.“




    Obwohl der Filmemacher die Nominierungen und Auszeichnungen nicht als wesentlich für seine Karriere betrachtet, räumt er ihre Bedeutung ein. Radu Jude:



    Zum gesunden Filmemachen gehören mehrere Dinge, unter anderem die Präsenz auf Festivals. Natürlich werde ich manchmal gefragt, warum diese Filme überhaupt gemacht werden, wenn das Publikum dafür nicht zahlreich genug ist. Ich wei‎ß nicht, ob ich darauf eine klare Antwort habe, aber was ich wei‎ß, ist, dass der Intendant des New Yorker Filmfestivals, der auch an einer Filmschule in den USA lehrte, vor einigen Jahren einige Filme des gro‎ßen iranischen Regisseurs Abbas Kiarostami für seine Studenten vorführen lie‎ß. Plötzlich, als damals Gerüchte über einen möglichen Krieg gegen den Iran aufkamen, fragte einer der Studenten, ob die Menschen in Kiarostamis Film das Risiko eingingen, erschossen zu werden. Sehen Sie, auch das Kino will den Gesellschaften ein gewisses Gesicht geben. Deshalb sind solche Filme wichtig! Und je besser sie die Realität erfassen und widerspiegeln können, desto grö‎ßer ist ihre Bedeutung. Auszeichnungen und Nominierungen spielen ihre Rolle in der Karriere eines Filmemachers, sie sind für mich aber nicht wesentlich.“




    Laut der Web-Plattform Cineuropa seien im Zeitraum 2007–2017 in den EU-Ländern mehr als 18.000 Filme produziert worden. Das rumänische Kino findet seinen Platz in dieser Rangliste, allerdings eher am Ende. Radu Jude erläutert:



    Im Vergleich zum Kino anderer Länder, wie Frankreich oder Polen, ist das rumänische Kino weniger entwickelt und dennoch fast ausverkauft. Man denke nur an die Filme, die in den Kinos der gro‎ßen Einkaufszentren gezeigt werden, die den Zuschauern anständige Bedingungen bieten. Aber das sind Orte, an denen kommerzielle Gründe an erster Stelle stehen, was ganz natürlich ist, und in diesem Fall erreichen bestimmte Ausdrucksformen ihr Publikum nicht mehr. Ein weiteres gro‎ßes Problem ist in diesem Sinne die Bildung. Ich spreche von der Bildung im weiteren Sinne, die immer noch unterfinanziert ist, aber ich denke auch an die Bildung im engeren Sinne, an die schulische Filmerziehung, die es in den rumänischen Schulen nicht gibt. Deshalb stehen wir am unteren Ende der Rangliste.“




    Druckbuchstaben“, eine Adaption des gleichnamigen Dokumentarstücks in der Regie von Gianina Cărbunariu, kommt am 21. Februar 2020 in die rumänischen Kinos. Die Besetzung des siebten Spielfilms von Radu Jude besteht aus den Schauspielern Şerban Lazarovici, Bogdan Zamfir, Ioana Iacob, Şerban Pavlu, Robert Arsenie, Bogdan Romedea, Alexandru Bîscoveanu und Alexandru Potocean. Die Premiere von Die Ausfahrt der Züge aus dem Bahnhof“ findet im Herbst 2020 statt. Produzenten sind Ada Solomon, Carla Fotea und Radu Jude, zusammen mit dem Historiker Adrian Cioflâncă. Die Dreharbeiten für Schlafwandler“, Radu Judes jüngstes Spielfilmprojekt, werden im Sommer 2020 beginnen. Die 70. Ausgabe der Berliner Filmfestspiele findet zwischen dem 20. Februar und dem 1. März statt.

  • חוזה  עבודות לחיזוק המבנה בו מוקם מוזיאון הפוגרום ביאסי

    חוזה עבודות לחיזוק המבנה בו מוקם מוזיאון הפוגרום ביאסי

    נשיא המועצה המחוזית של יאסי, MARICEL POPA חתם על חוזה שימומן ע”י האיחוד האירופי ושיהפוך את המבנה הידוע לשמצה למתחם מוזיאון שיכלול מוזיאון הפוגרום, הסובלנות, הספרות והתיאטרון היהודי.



    מתחם המוזיאון, יהיה ממוקם במטה של תחנת המשטרה לשעבר ביאסי, צפון רומניה, שם, ביוני 1941, במהלך הפוגרום, נהרגו אלפי יהודים. במהלך הפוגרום של 1941, ביאסי נהרגו במשך שלושה ימים כ-15,000 יהודים. להקמת מוזיאון הפוגרום, שבו תהיה תערוכה של תצלומים קבועה, כתבי יד וחפצים ייחודיים, מועצת מחוז יאסי משתפת פעולה עם המכון הלאומי לחקר השואה ברומניה “אלי ויזל”.



    במרתף המבנה , שם איפה לפני 78 שנים התרחש רצח עם, יהיה לב המוזיאון של הפוגרום, מוזיאון הספרות היהודית והמוזיאון לתיאטרון היהודי. כמו כן יוקם מוזיאון הסובלנות, שבו תוצג התרומה של הקהילה היהודית לפיתוח העיר יאסי. החצר יוקדש לזכר האזרחים היהודים שנורו ב-1941, ב -29 ביוני, אמר ראש מועצת יאסי MARICEL POPA.



    גם ראש המועצה וגם נציגי חברת השיקום אמרו כי המוזאון יכנס למעגל התיירות בתוך פחות משנה.



    הפרויקט, שעולה יותר 3.6 מיליון אירו, יכלול גם את המוזיאון הגדול ביותר של ספרות רומנית בארץ, עם מעל 80 אולמות. בעקבות שיקום ופתיחה של בית המוזיאונים , רשות המחוז מקווה למשוך לאיזור יותר מ-5,000 מבקרים מידי שנה.

  • 30 June 2019, UPDATE

    30 June 2019, UPDATE

    EU presidency. For the last six months, Romania
    has held the rotating presidency of the Council of the European Union, a role
    it took over from Austria and which it fulfilled for the first time since
    becoming a member in 2007. Finland takes over from Romania on July 1st.
    The president of the European Council Donald Tusk has sent a message to the
    Romanian president Klaus Iohannis on the conclusion of Romania’s term, characterising
    its presidency as energetic and successful and saying 90 pieces of legislation were
    agreed. Romania’s term was
    marked by key moments such as the Sibiu summit held on Europe Day on 9th
    of May and the elections for the European Parliament held between the 23rd
    and the 26th of May.




    Republic of Moldova. Romania has supported the Republic of
    Moldova both politically and financially, in all projects, Moldova’s new
    prime minister Maia Sandu told an interview on Radio Romania Chisinau ahead of
    her trip to Bucharest next week. She said the talks with the Romanian
    authorities would focus on the development of energy and infrastructure
    projects for which Chisinau counts on Romania’s support. Also, Maia Sandu said
    the neighbouring Romania is the most important advocate of the Republic of
    Moldova in its process of European integration. Sworn in this month, the
    pro-European head of the Moldovan government has decided to make her first
    foreign trip to Bucharest, on the 2nd of July, although she had said
    earlier that she would travel first to Brussels.




    Pogrom. President
    Klaus Iohannis sent a message on Sunday on the 78th anniversary of
    the Iasi pogrom of 1941. Tolerance, respect and solidarity are essential,
    defining elements that underlie Romanian contemporary society, principles we
    must nurture and defend, his message writes. Iohannis also welcomed the
    initiative of the local authorities to turn the former police headquarters into
    a place for the commemoration of the Jews killed in 1941. He said he would
    continue to support the creation in Bucharest of a national museum of the
    history of Jews and the Holocaust. In June 1941, almost 15,000 people were
    killed in Iasi, in the north-east, in the biggest massacre against the Jews
    committed in Romania.




    Party congress. Prime minister Viorica Dancila
    was re-elected on Saturday at an extraordinary congress as leader of the Social
    Democratic Party, the main force in the ruling coalition in Bucharest. She is
    the first woman to hold this position in her party. The former president of the
    party, Liviu Dragnea, is now in prison for acts of corruption. The finance
    minister Eugen Teodorovici was elected executive president and
    former defence minister Mihai Fifor secretary general.




    Tennis. The no. 7 seed Simona Halep of
    Romania will face Aliaksandra Sasnovich of Belarus in the first round at
    Wimbledon, the third Grand Slam tournament of the year, which begins on Monday.
    Another Romanian player, Mihaela Buzarnescu, plays against Jessica Pegula of
    the US in the first round and will meet Halep if she makes it to the second
    round. Qualifier Ana Bogdan is up for a tough match against the British no. 1 Johanna
    Konta, who is seeded 9th. Sorana Cirstea will face 25th
    seed Amanda Anisimova of the US. Monica Niculescu, who got a wild card for
    Wimbledon, plays Germany’s Andrea Petkovic. Qualifier Elena-Gabriela Ruse faces
    Germany’s Julia Goerges in the opening round, seeded 18th. In the
    men’s draw, Romania’s Marius Copil faces Argentina’s Guido Pella in the first
    round.




    Film. The European Film Festival, held at the weekend in
    Sibiu, brought together seven recent titles and a classic film from the 1990s.
    The line-up included the French-Belgian production Memoir of War directed by Emmanuel
    Finkiel, Rodrigo Sorogoyen’s political thriller The Realm, Benedikt Erlingsson’s
    comedy Woman at War, Bálint Kenyeres’s Yesterday, Elina Psykou’s Son of Sofia
    and the 1998 Irish production My Left Foot by Jim Sheridan. The European Film
    Festival was also held this year in Bucharest, Ramnicu Valcea, in the south,
    Targu Mures, in the centre, as well as in Chisinau, in the Republic of Moldova,
    an ex-Soviet state with a majority Romanian-speaking population.

  • 30.06.2019

    30.06.2019

    Die rotierende sechsmonatige rumänische EU-Ratsprasidentschaft endet heute. Rumänien, das der Union 2007 beigetreten ist, hatte zum ersten Mal den Vorsitz übernommen. Seine Amtszeit war geprägt vom EU-Gipfel Sibiu, am Europatag am 9. Mai und den Wahlen zum Europäischen Parlament zwischen dem 23. und 26. Mai. In einer Botschaft des Vorsitzenden des Europäischen Rates, Donald Tusk an den rumänischen Präsidenten Klaus Iohannis erklärt er: “Es ist Ihnen gelungen, in den letzten 100 Tagen vor den Europawahlen 90 Rechtsakte zu verabschieden, darunter den Grenzschutz, die Reduzierung der CO2-Emissionen und den Aufbau eines digitalen Europas. Das ist beeindruckend!”




    Rumäniens Präsident Klaus Iohannis nimmt an einem Sondergipfel in Brüssel teil, auf der die Nominierungen für die Spitzenpositionen der EU diskutiert werden. Eine Einigung muss bis zum 2. Juli erzielt werden, wenn das neue Europäische Parlament seine konstituierende Sitzung abhält. Die Positionen, über die derzeit verhandelt wird, sind die des Sprechers des Europäischen Parlaments, des Präsidenten des Europäischen Rates, des Hohen Vertreters für Au‎ßen- und Sicherheitspolitik, des Präsidenten der Europäischen Zentralbank und, am umstrittensten, des Präsidenten der Europäischen Kommission, eine Position, die derzeit Jean-Claude Juncker einnimmt. Nach Gesprächen am Rande des G20-Gipfels in Japan hat Bundeskanzlerin Angela Merkel angeblich die Unterstützung des Kandidaten der Europäischen Volkspartei Manfred Weber aufgegeben, der von Frankreich und den mitteleuropäischen Staaten angefochten wurde.





    Präsident Klaus Iohannis hat am Sonntag zum 78. Jahrestag des Iasi-Pogroms von 1941 eine Botschaft geschickt. “Toleranz, Respekt und Solidarität sind unerlässlich und definieren Elemente, die der heutigen rumänischen Gesellschaft zugrunde liegen, Prinzipien, die wir pflegen und verteidigen müssen”, schreibt seine Botschaft. Iohannis begrü‎ßte auch die Initiative der lokalen Behörden, das ehemalige Polizeipräsidium zu einem Ort des Gedenkens an die 1941 getöteten Juden zu machen. Er sagte, er werde weiterhin die Einrichtung eines nationalen Museums zur Geschichte der Juden und des Holocaust in Bukarest unterstützen. Im Juni 1941 wurden in Iasi, im Nordosten, bei dem grö‎ßten Massaker gegen die in Rumänien verübten Juden fast 15.000 Menschen getötet.





    Premierministerin Viorica Dancila wurde am Samstag auf einem au‎ßerordentlichen Kongress als Vorsitzende der Sozialdemokratischen Partei, der wichtigsten Kraft in der Regierungskoalition in Bukarest, gewählt. Sie ist die erste Frau, die diese Position in ihrer Partei einnimmt. Der ehemalige Parteivorsitzende Liviu Dragnea sitzt wegen Korruption im Gefängnis. Der Finanzminister Eugen Teodorovici wurde zum Exekutivpräsidenten und ehemaligen Verteidigungsminister Mihai Fifor zum Generalsekretär gewählt.




    Das Europäische Filmfestival endet in Sibiu, im Zentrum Rumäniens, wo es sieben aktuelle Titel und einen Klassiker aus den 90er Jahren zusammenführte. Im Programm standen die französisch-belgische Produktion Memoir of War unter der Regie von Emmanuel Finkiel, Rodrigo Sorogoyens Polit-Thriller The Realm, Benedikt Erlingssons Komödie Woman at War, Bálint Kenyeres Gestern, Elina Psykous Son of Sofia und die irische Produktion My Left Foot von Jim Sheridan aus dem Jahr 1998. Das Europäische Filmfestival fand in diesem Jahr auch in Bukarest, Ramnicu Valcea, im Süden, Targu Mures, im Zentrum sowie in Chisinau, in der Republik Moldau, einem ehemaligen Sowjetstaat mit einer Mehrheit rumänischsprachiger Bevölkerung, statt.

  • 30 June, 2019

    30 June, 2019

    EU presidency. Romania’s rotating 6-month
    presidency of the Council of the European Union comes to an end today. Romania,
    which joined the Union in 2007, has held the presidency for the first time. Its
    term was marked by key moments such as the Sibiu summit held on Europe Day on 9th
    of May and the elections for the European Parliament held between the 23rd
    and the 26th of May. The president of the European Council Donald
    Tusk has sent a message to the Romanian president Klaus Iohannis on the
    conclusion of the Romanian presidency, saying: You managed to have 90 pieces of legislation agreed in
    the last 100 days before the European elections, including border protection,
    reducing CO2 emissions and building a digital Europe. That is impressive!




    EU summit. Romania’s president Klaus Iohannis attends a special summit in Brussels
    to discuss the nominations for the EU’s top jobs. An agreement must be reached
    by the 2nd of July, when the new European Parliament holds its
    inaugural session. The positions that are being negotiated are the roles of
    European Parliament speaker, European Council president, the High
    Representative for Foreign Affairs and Security Policy, the president of the
    European Central Bank, and, the most disputed, the president of the European
    Commission, a position currently held by Jean-Claude Juncker. The German press
    says that after talks on the sidelines of the G20 summit in Japan, chancellor
    Angela Merkel reportedly gave up endorsing the candidate of the European
    People’s Party Manfred Weber, who was contested by France and the
    Central-European states.




    Commemoration. President
    Klaus Iohannis sent a message on Sunday on the 78th anniversary of
    the Iasi pogrom of 1941. Tolerance, respect and solidarity are essential,
    defining elements that underlie Romanian contemporary society, principles we
    must nurture and defend, his message writes. Iohannis also welcomed the
    initiative of the local authorities to turn the former police headquarters into
    a place for the commemoration of the Jews killed in 1941. He said he would
    continue to support the creation in Bucharest of a national museum of the
    history of Jews and the Holocaust. In June 1941, almost 15,000 people were
    killed in Iasi, in the north-east, in the biggest massacre against the Jews
    committed in Romania.




    Party congress. Prime minister Viorica Dancila
    was re-elected on Saturday at an extraordinary congress as leader of the Social
    Democratic Party, the main force in the ruling coalition in Bucharest. She is
    the first woman to hold this position in her party. The former president of the
    party, Liviu Dragnea, is now in prison for acts of corruption. The finance
    minister Eugen Teodorovici was elected executive president and
    former defence minister Mihai Fifor secretary general.




    Tennis. The no. 7 seed Simona Halep of
    Romania will face Aliaksandra Sasnovich of Belarus in the first round at
    Wimbledon, the third Grand Slam tournament of the year, which begins on Monday.
    Another Romanian player, Mihaela Buzarnescu, plays against Jessica Pegula of
    the US in the first round and will meet Halep if she makes it to the second
    round. Qualifier Ana Bogdan is up for a tough match against the British no. 1 Johanna
    Konta, who is seeded 9th. Sorana Cirstea will face 25th
    seed Amanda Anisimova of the US. Monica Niculescu, who got a wild card for
    Wimbledon, plays Germany’s Andrea Petkovic. Qualifier Elena-Gabriela Ruse faces
    Germany’s Julia Goerges in the opening round, seeded 18th. In the
    men’s draw, Romania’s Marius Copil faces Argentina’s Guido Pella in the first
    round.




    Film. The European Film Festival comes to an end in Sibiu,
    in central Romania, where it brought together seven recent titles and a classic
    film from the 1990s. The line-up included the French-Belgian production Memoir
    of War directed by Emmanuel Finkiel, Rodrigo Sorogoyen’s political thriller The
    Realm, Benedikt Erlingsson’s comedy Woman at War, Bálint Kenyeres’s Yesterday, Elina
    Psykou’s Son of Sofia and the 1998 Irish production My Left Foot by Jim
    Sheridan. The European Film Festival was also held this year in Bucharest,
    Ramnicu Valcea, in the south, Targu Mures, in the centre, as well as in
    Chisinau, in the Republic of Moldova, an ex-Soviet state with a majority
    Romanian-speaking population.

  • 30.06.2019

    30.06.2019

    UE — Le mandat de la Roumanie à la tête du Conseil de l’UE prend fin ce dimanche 30 juin. Une première pour Bucarest, qui a assuré six mois durant la responsabilité de présider les 28 Etats du bloc communautaire. La présidence roumaine du Conseil de l’UE a été marquée par des moments clés tels que le sommet de Sibiu, qui a eu lieu le jour même de la Fête de l’Europe, le 9 mai, ou encore par les élections européennes des 23-26 mai. Le président du Conseil européen, Donald Tusk, a transmis, samedi, un message de remerciement au chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, à l’occasion de la fin de la présidence roumaine du Conseil de l’UE. « Vous avez réussi à finaliser 90 dossiers en moins de 100 jours, ce qui est impressionnant », a écrit Donald Tusk dans son message.



    Message — Le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, a transmis, ce dimanche, un message à l’occasion de la commémoration des 78 ans écoulés depuis le pogrom de Iaşi (28-30 juin 1941). “La tolérance, le respect et la solidarité sont les éléments essentiels, définitoires sur lesquels repose la société roumaine contemporaine et autant de principes que nous devons cultiver et défendre”, est-il dit dans le message. Klaus Iohannis s’est félicité de la démarche des autorités locales visant à transformer l’ancien bâtiment du Commissariat de Police de Iasi en un espace de commémoration des Juifs tués en 1941. Il a dit appuyer le projet de construction dans la capitale roumaine d’un Musée national d’histoire des Juifs et de l’Holocauste. En juin 1941, près de 15 mille personnes ont été tuées à Iaşi, ville du nord-est du pays. C’était le plus grave massacre commis en Roumanie contre les Juifs.



    Sommet – Le président roumain, Klaus Iohannis, participe aujourd’hui à Bruxelles au sommet consacré aux nominations aux postes clés de l’UE. Un accord devrait être trouvé avant le 2 juillet, journée de la session inaugurale du nouveau Législatif de Strasbourg, lorsqu’un nouveau président sera élu. La fonction la plus disputée est la présidence de la Commission européenne, qu’exerce à présent Jean-Claude Juncker. Officiellement, pour les différentes fonctions dirigeantes dans les institutions européennes sont en lice les personnes ayant figuré en tête des listes de parti lors des élections européennes. Pourtant, selon la presse allemande, après les pourparlers lors du sommet G20 au Japon, la chancelière Angela Merkel aurait renoncé à soutenir le candidat du Parti Populaire Européen, Manfred Weber, contesté par la France et les pays d’Europe centrale.



    Tennis — La joueuse de tennis roumaine Simona Halep, n°7 mondiale, affrontera la Biélorusse Aleksandra Sasnovich, au premier tour du tournoi de Wimbledon, troisième Grand Chelem de l’année, qui commence lundi. Selon le tirage au sort, la Roumaine Mihaela Buzărnescu jouera au premier tour contre l’Américaine Jessica Pegula, tandis que Ana Bogdan, rencontrera la Britannique Johanna Konta. La compétition s’annonce difficile pour Sorana Cîrstea, qui devrait jouer contre l’Américaine Amanda Anisimova. Monica Niculescu, bénéficiaire d’une wildcard, aura pour adversaire l’Allemande Andrea Petkovic. Enfin, Elena-Gabriela Ruse se trouvera face à l’Allemande Julia Goerges. Au tournoi masculin, le Roumain Marius Copil rencontrera au premier tour Guido Pella, d’Argentine.



    Météo — Ciel variable sur l’est et le sud-est du pays. Les températures maximales de la journée iront de 25 à 32°. Il faisait 27° à midi dans la capitale, Bucarest.

  • Rumänisch-polnische Beziehungen im 14. Jh. Aufstand der Eisernen Garde (1941)

    Rumänisch-polnische Beziehungen im 14. Jh. Aufstand der Eisernen Garde (1941)


    In unserer Reihe Pro Memoria bringen wir heute zwei Beiträge zur Geschichte Rumäniens, über Ereignisse, die am 20. Januar, allerdings in unterschiedlichen Jahrhunderten, stattgefunden haben. Als erstes sprechen wir über die rumänisch-polnischen Beziehungen im 14. Jh., versiegelt mit der Unterzeichnung des Abkommens zwischen der Walachei und Polen, in Lublin, am 20. Januar 1390. Anschlie‎ßend bringen wir ein bitteres Ereignis der rumänischen Gegenwartsgeschichte in Erinnerung: DenAufstand der Eisernen Garde vom 20. Januar 1941.


    Die Geschichtsschreibungen der zweiten Hälfte des 14. Jhs notierten die Präsenz des zukünftigen Osmanischen Reiches in Südosteuropa. Zwischen 1500 und 1900 wurde das Osmanische Reich zur grö‎ßten Macht der Region. Die christlichen Nationen auf dem Balkan versuchten mit allen Kräften, der osmanischen Invasion standzuhalten, was aber ihnen nur für kurze Zeit gelang. Im letzten Viertel des 14. Jhs suchte der Fürst der Walachei, Mircea der Alte, der zw. 1386 und 1418 herrschte, nach Allierten im Kampf gegen die Türken; diese hatten die Donau, die Grenze seines Fürstentums, erreicht. Da zu jener Zeit die Beziehungen zum ungarischen Herrscher Sigismund von Luxemburg (1387-1437) nicht besonders gut waren, konnte die Walachei keine Hilfe vom benachbarten Ungarn erwarten; daher versuchte Mircea der Alte eine Beziehung zu Polen aufzubauen, das damals vom König Wladislaw II. Jagello (1386-1434) regiert wurde.


    Nach der Niederlage der serbischen Armee in der Schlacht am Amselfeld (Kossovopolje), im Jahre 1389, geriet Mircea der Alte in eine noch schwierigere Lage. Durch Vermittlungen geführt vom moldauischen Fürst Petru Muşat (1375-1391), einem Vassalen des polnischen Königs, schlo‎ß Mircea der Alte am 10. Dezember 1389 eine Vereinbarung mit Polen, wodurch der Fürst der Walachei und der König Polens sich verpflichteten, einander Unterstützung su sichern, sowohl gegen den ungarischen König als auch gegen andere Feinde. Der Fürst der Walachei wurde von den Brüdern Manea und Roman Herescu vertreten; bei der Unterzeichnung des Abkommens war auch der Palatin Dragoi, als Vertreter des moldauischen Fürsten, anwesend. Die Ratifizierung dieser Vereinbarung fand am 20. Januar 1390 im polnischen Lublin statt. Die Bedingungen der Vereinbarung waren aber sehr vage, nicht präzise, und die wenigen existierenden Dokumente, wie zum Beispiel das Schreiben Mircea des Alten an Wladislaw II. Jagello, wodurch das bilaterale Abkommen paraphiert wurde, bieten auch nicht genügend Details. Das Schreiben des polnischen Königs, wodurch dieser seinerseits das Abkommen ratifizierte, ist leider nicht erhalten.


    Dem Abkommen von Lublin, unterzeichnet am 20. Januar 1390, folgte nach kurzer Zeit eine dreiseitige Vereinbarung zwischen dem walachischen Fürsten Mircea dem Alten, dem polnischen König Wladislaw II. Jagello und dem ungarischen König Sigismund von Luxemburg. Laut diesem neuen Abkommen vom 17. März 1390 verpflichteten sich Polen, Ungarn und die Walachei, sich gegenseitig im Kampf gegen den gemeinsamen Feind zu unterstützen. Durch das Beitreten des ungarischen Königs an dieser Allianz gewann Mircea der Alte einen Vorteil, da die geographische Lage Ungarns eine Beteiligung dieses Landes an einer militärischen Kampagne gegen das Osmanische Reich viel wahrscheinlicher war, als eine Beteiligung Polens.


    Obwohl die Beziehung zu Ungarn gut war — 1395 hatte sich Mircea der Alte zum Vasallen des Königs Sigismund von Luxemburg erklärt — erneuerte der Fürst der Walachei die Allianz mit dem polnischen König in 1404, 1410 und 1411, um sich vor der ungarischen Expansion zu schützen. Die Allianz zwischen dem polnischen König und dem walachischen Fürst funktionierte während der Schlacht bei Tannenberg (Grünwald), am 15. Juli 1410. Ein walachisches und ein moldauisches Kontingent trugen zum Sieg der polnisch-litauischen Armeen gegen das Heer des Deutschen Ordens bei.



    Die Eiserne Garde (rumänisch Garda de Fier), auch Legionärbewegung genannt (rumänisch Mişcarea Legionară) war eine terroristische, faschistische und antisemitische Bewegung bzw. eine politische Partei in Rumänien. Sie wurde am 24. Juli 1927 von Corneliu Zelea Codreanu als Legion des Erzengels Michael (rumänisch Legiunea Arhanghelului Mihail) gegründet. Codreanu blieb bis zu seiner Ermordung 1938 unter dem Titel Capitanul“ (Kapitän) der Führer der Bewegung. Nach seinem Tod wurde Horia Sima der neue Führer der Legion. Von Ende Juni 1940 bis Anfang September 1940 beteiligte sich die Legion erstmals an einer rumänischen Regierung. Am 4. September 1940 errichtete die Legion unter Führung Horia Simas gemeinsam mit General Ion Antonescu eine faschistische nationallegionäre“ Diktatur, die Rumänien an die Seite der Achsenmächte führte. Antonescu hoffte, durch die Machtbeteiligung der Legionäre, das neue Regime populär zu machen. Diese erzwang die Abdankung Carol II. zugunsten seines Sohns Mihai und neigte noch mehr den Achsenmächten zu. Horia Sima wurde Vizepräsident des Kabinetts. Formal trat Rumänien dem Dreimächtepakt im November 1940 bei.


    An die Macht gelangt, verschärfte die Eiserne Garde die ohnehin harten antisemitischen Gesetze und verfolgte straflos eine Kampagne der Pogrome und politischen Morde. Mehr als 60 vormalige Würdenträger und Funktionäre wurden am 26./27. November 1940 im Gefängnis von Jilava bei Bukarest hingerichtet, während sie auf ihren Prozess warteten. Der Historiker und frühere Premierminister Nicolae Iorga und der Ökonom Virgil Madgearu, ebenfalls Minister in einer früheren Regierung, wurden ohne Verhaftung ermordet.


    Nach nur fünf Monaten an der Macht überwarf sich Marschall Ion Antonescu mit der ebenfalls seit September 1940 an der Regierung beteiligten faschistischen Eisernen Garde, auch »Legionäre« genannt. Neben allgemeinen Machtkämpfen führte vor allem die Frage über die Methoden der Vertreibung und Enteignung der rumänischen Juden zu Konflikten. Die Eiserne Garde entfesselte seit September 1940 erbarmungslosen Terror gegen Juden durch Gewalt, Vertreibung und Enteignung. Antonescu strebte dagegen ein staatlich organisiertes, schrittweises und bürokratisches Vorgehen gegen die Juden an. Zudem befürchtete er, die Eiserne Garde und ihre Verbündeten könnten durch die Anhäufung von jüdischem Besitz zu mächtig werden. Nach Antonescus Wunsch sollte das geraubte jüdische Vermögen allein dem Staat und nicht einzelnen Organisationen zukommen.


    Bei einem Treffen mit Adolf Hitler in Deutschland am 14. Januar 1941 versicherte sich Antonescu dessen stillschweigender Zustimmung zu einem Vorgehen gegen die Eiserne Garde; seine Gegenleistung war das Versprechen einer rumänischen Beteiligung am bevorstehenden Angriff auf die Sowjetunion.


    Antonescu entlie‎ß am 20. Januar 1941 den Innenminister sowie weitere Amtsträger der Eisernen Garde. Dies nahm die Eiserne Garde als Anlass zum Aufstand: Ihre Anhänger bewaffneten und verschanzten sich in strategisch wichtigen Gebäuden in Bukarest, vor allem in Polizeirevieren. Die Propaganda der Eisernen Garde richtete sich — wie auch zuvor — gezielt gegen Juden, die sie für die Regierungskrise verantwortlich machten. In den folgenden Tagen nutzten die »Legionäre« die chaotischen Zustände in Bukarest für brutale antijüdische Ausschreitungen. Ihre Anhänger schlugen, misshandelten und töteten Juden. Am 22. Januar gab der Innenminister den Befehl, die jüdischen Stadtbezirke von Bukarest anzugreifen. Mindestens 120 Juden wurden bei dem Pogrom getötet. Die rumänische Armee griff nicht ein. Erst am 23. Januar 1941 führte die Armee schlie‎ßlich einen Angriff gegen die Eiserne Garde und schlug deren Aufstand am 24. Januar 1941 nieder.


    Nachdem ihr Putsch Ende Januar 1941 von Antonescu blutig niedergeschlagen wurde, wurde die Legion in Rumänien verboten. Tausende Mitglieder der Eisernen Garde wurden inhaftiert. Horia Sima und viele seiner Gefolgsleute flüchteten nach Deutschland. Unter seiner Führung sollte im Wiener Exil eine rumänische Nazi-Marionettenregierung gebildet werden, die in den noch nicht von der Sowjetunion besetzen Teilen Rumäniens aktiv werden sollte. Dieser Plan wurde wegen des raschen Vormarsches der sowjetischen Truppen aufgegeben.