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  • Piaţa imobiliară

    Piaţa imobiliară

    Piaţa rezidenţială din România tinde să revină pe un făgaş ascendent al preţurilor, la nici trei luni de la intrarea în vigoare a Legii dării în plată, destinată cetăţenilor care nu îşi mai pot achita creditele pe care le-au contractat pentru a-şi cumpăra o locuinţă. În iulie, preţurile la nivel naţional au consemnat o creştere de 1,5%, de la 1.020 la 1.035 de euro pe metru pătrat, conform site-ului “Imobiliare.ro”. Spre deosebire de luna iunie, această tendinţă se resimte şi în marile oraşe ale ţării, inclusiv în Bucureşti.



    Faţă de perioada similară a anului trecut, pretenţiile actuale ale vânzătorilor sunt, per ansamblu, cu 9,6% mai ridicate, se precizează în studiul “Imobiliare.ro”. În Bucureşti, după o scădere de 2,8% consemnată în iunie, preţurile au revenit pe creştere, cu un plus de 3,4% în iulie, până la 1.131 de euro/mp, cu 5% mai mult decât în vara lui 2015. Apartamentele vechi s-au ieftinit cu 0,8% în iulie, de la 1.068 la 1.059 de euro/mp, astfel că evoluţia ascendentă a fost dictată în mod exclusiv de segmentul locuinţelor noi. Acestea s-au apreciat cu 5,6%, de la 1.110 la 1.172 de euro/mp.



    În Braşov, suma medie solicitată de vânzători a scăzut uşor, cu 0,2% mai exact, de la 900 la 898 de euro/mp, însă faţă de perioada similară a anului trecut, valoarea actuală este cu 3,5% mai mare. În ultima lună, apartamentele din blocurile vechi s-au depreciat cu 0,4%, până la 899 de euro/mp, iar cele noi s-au scumpit cu 0,7%, de la 888 la 894 de euro/mp.



    În Cluj-Napoca, preţurile au consemnat o creştere de 1,2% în ultima lună, de la 1.200 la 1.214 euro/mp, ceea ce echivalează cu un plus de 13% faţă de aceeaşi perioadă a anului trecut. Preţurile apartamentelor vechi s-au majorat cu 0,3%, până la 1.249 de euro/mp, în timp ce, pe segmentul rezidenţial nou, a avut loc o creştere de 2,6%, de la 1.135 la 1.164 de euro/mp.



    În Constanţa, pretenţiile proprietarilor s-au diminuat cu 1,1% pe parcursul lui iulie, de la 967 la 956 de euro/mp, dar se situează cu 5,6% peste nivelul atins în urmă cu un an. În ultimele 31 de zile, conform “Imobiliare.ro”, apartamentele vechi s-au ieftinit cu 0,7%, până la 952 de euro/mp, iar cele noi cu 2,3%, de la 999 la 976 de euro/mp.



    În fine, în Timişoara, preţurile cerute de vânzători au crescut cu 0,9% în ultima lună, de la 991 la 1.000 de euro/mp, nivelul actual al preţurilor fiind cu 11,2% mai mare decât în perioada similară din 2015. Apartamentele vechi s-au scumpit cu 1% în iulie până la 997 de euro/mp, iar cele noi s-au apreciat cu 0,3% până la 1.016 euro/mp.

  • Soutien roumain à la Moldova

    Soutien roumain à la Moldova

    La Roumanie appuie la poursuite des réformes en République de Moldova et la solution pacifique du conflit en Transnistrie, a résumé le chef du gouvernement roumain, Dacian Ciolos, la position de Bucarest, lors des entretiens avec les responsables moldaves. C’était à l’occasion de la visite officielle qu’il a faite jeudi à Chisinau, dominée notamment par le versement de 60 millions d’euros, la première tranche d’un prêt remboursable sur quatre ans et demi, avec un taux d’intérêt préférentiel de 1,45%. Des fonds qui viendront s’ajouter au soutien moral que la Roumanie accorde à la Moldova voisine, a précisé Dacian Ciolos : « Nous attendons et nous soutenons la poursuite des réformes. Nous envisageons ce prêt comme une aide à ce processus. Ce soutien est fourni parce que le gouvernement moldave s’est engagé à mettre en œuvre un paquet de réformes et parce que nous sommes persuadés que cette chose sera réellement faite ».



    L’argent de cette première tranche du prêt devrait financer les projets visant à améliorer le fonctionnement des institutions de l’Etat moldave, l’infrastructure routière, ainsi que le renflouement des marchés publics. Dacian Ciolos a également insisté sur la nécessité de stimuler les investissements roumains en République de Moldova, la Roumanie étant le premier partenaire commercial de ce pays. Or justement la continuation des réformes encouragera les investisseurs roumains tels les sociétés Transgaz et Transelectrica, a-t-il dit.



    Précisément, a renchéri le chef du gouvernement moldave, Pavel Filip, la Moldova souhaite se connecter non seulement aux valeurs, mais aussi aux réseaux énergétiques européens, afin de se débarrasser d’une partie de ses vulnérabilités anciennes. La coopération énergétique sera ainsi dynamisée, a-t-il promis : « Nous allons développer les interconnexions électriques mais aussi gazières. Il s’agira de rallonger le gazoduc Ungheni-Chisinau ».



    La dimension politique n’a pas été écartée, non plus. Le premier ministre roumain a parlé aussi du rôle que la Roumanie se conçoit dans le nouveau contexte régional, après l’annexion de la Crimée par la Russie : « La Roumanie est membre de l’OTAN et de l’UE, elle est un pays stable d’un point de vue politique et économique et souhaite contribuer au maintien de la stabilité et de la sécurité dans la région. Lors du dernier sommet de l’OTAN, à Varsovie, nous avons demandé le soutien de nos alliés, un renforcement de leur présence afin de décourager quiconque entend stimuler et entretenir les conflits dans cette zone. Nous avons encouragé la reprise du dialogue sur la Transnistrie dans la formule 5 plus 2, afin d’aboutir à une solution pragmatique au conflit de cette région. Nous essayons aussi de mobiliser nos partenaires au sein de l’UE et de les amener à appuyer cette approche en République de Moldova », a dit Dacian Ciolos.



    D’ailleurs, « pragmatisme » semble être le nouveau mot d’ordre dans les relations entre Bucarest et Chisinau, en dehors de leur communauté de langue et d’histoire. (trad. Andrei Popov)

  • 22.08.2016 (mise à jour)

    22.08.2016 (mise à jour)

    Visite — Le premier ministre roumain, Dacian Ciolos, entamera jeudi une visite officielle en République de Moldova voisine. Notons que le gouvernement de Bucarest vient d’approuver le versement d’une première tranche de 60 millions d’euros, au titre de l’assistance financière remboursable accordée à ce pays, dont le montant total s’élève à 150 millions d’euros. En échange de cet argent, Chisinau a assumé une série d’obligations, dont l’établissement d’une feuille de route pour sceller un accord avec le FMI, l’élaboration d’un paquet législatif censé améliorer le milieu des affaires, le lancement d’une analyse sur les vulnérabilités du système bancaire et la mise au point d’un calendrier d’adoption des lois susceptibles de les corriger. Bucarest a également demandé aux autorités de Chisinau de réaliser un plan de mise à jour de la stratégie de réforme du secteur de la justice et de la stratégie nationale anticorruption de la République de Moldova.



    Transports — Les transporteurs routiers de Roumanie poursuivent leur grève à la japonaise et circuleront chaque jour à vitesse réduite, une heure durant, à travers le pays, jusqu’à ce que les primes d’assurance de responsabilité civile baissent à environ 1100 euros par an. Les associations des professionnels du domaine organiseront également une ample protestation nationale le 15 septembre et menacent de déclencher une grève générale. Vu qu’en une seule année, le tarif des assurances obligatoires a augmenté de 2000 à plus de 4000 euros par an, les compagnies roumaines du secteur ne peuvent plus être compétitives au niveau européen, déplorent les transporteurs.



    Fermiers — En Roumanie, les fermiers qui font, depuis jeudi, la grève de la faim, affirment qu’ils n’envisagent pas de renoncer à leur protestation si le gouvernement ne verse pas les subventions accordées par tête d’animal. Il s’agit d’un montant de 360 millions d’euros. De l’avis des protestataires, le ministère de l’Agriculture aurait dû accorder ces montants avant le 15 août. L’Agence de paiements et d’interventions dans l’agriculture affirme avoir payé 61% de ces subventions, soit 193 millions d’euros, avant la mi-août.



    Justice — La Haute Cour de Cassation et de Justice a prolongé de 30 jours la détention provisoire de l’ancien vice-gouverneur de la Banque centrale de Roumanie, Bogdan Olteanu. La décision, qui n’est pas définitive, a déjà été contestée par les avocats de celui-ci. Le 12 août, les magistrats avaient décidé de son placement en détention provisoire pour 16 jours. Entre juillet et novembre 2008, Bogdan Olteanu aurait demandé et reçu un million deuros et de lappui électoral de la part de l’homme daffaires Ovidiu Vântu, en échange de la nomination de Liviu Mihaiu aux fonctions de gouverneur du delta du Danube.



    Automobiles — Près de 1900 employés des Usines Ford de Craiova (sud de la Roumanie) ont repris le travail, après une pause de plusieurs semaines, pendant lesquelles on a vérifié les installations. Les Usines de Craiova produisent 280 B MAX par jour. La demande pour ce modèle a baissé depuis son lancement, en mars 2012. Ford et Renault, qui a repris les Usines Dacia (sud), sont les deux compagnies de taille internationale qui fabriquent des autos en Roumanie.



    Rio — Les JO de Rio se sont achevés sur un résultat modeste pour la Roumanie, qui n’a décroché que 5 médailles. Elle est donc 47e au classement par médailles, avec l’or obtenu par l’équipe féminine d’épée, l’argent au tennis double messieurs et trois médailles de bronze en haltérophilie, aviron et luttes libres. La ville qui accueillera la prochaine édition des JO en 2020, c’est la capitale nippone, Tokyo.



    Météo – Temps instable et ciel plutôt couvert, dans le prochain intervalle de 24 heures. Sur le relief, ainsi que dans le sud, le centre et le nord-est du territoire, on attend des averses orageuses et même des chutes de grêle. La quantité d’eau tombée pourrait dépasser les 20 l/m2. Les températures maximales s’étaleront entre 24 et 32 degrés.

  • 22.08.2016

    22.08.2016

    Ciolos – Le premier ministre roumain, Dacian Ciolos, entame jeudi une visite officielle en République de Moldova voisine. La visite se déroule alors que le gouvernement de Bucarest vient d’approuver le versement d’une première tranche de 60 millions d’euros de l’assistance financière remboursable de 150 millions accordée à la République de Moldova. En échange de cet argent, Chisinau a assumé une série d’obligations, telles celle d’établir une feuille de route pour sceller un accord avec le FMI, l’initiation d’un paquet législatif censé améliorer le milieu des affaires, lancer une analyse sur les vulnérabilités du système bancaire et l’élaboration d’un calendrier d’adoption des lois censées les corriger. Bucarest a également demandé aux autorités de Chisinau de réaliser un plan de mise à jour de la stratégie de réforme du secteur de la justice et de la stratégie nationale anticorruption de la République de Moldova.

    Transports – Les transporteurs routiers de Roumanie poursuivent leur grève à la japonaise et circuleront chaque jour à vitesse réduite une heure durant à travers le pays jusqu’à ce que les primes d’assurance de responsabilité civile baissent à environ 1100 euros par an. Les associations des professionnels du domaine organiseront également une ample protestation nationale le 15 septembre et menacent de déclencher une grève générale. Vu qu’en une seule année, le tarif des assurances obligatoires a augmenté de 2000 à plus de 4000 euros par an, les compagnies roumaines du domaine ne peuvent plus être compétitives au niveau européen, déplorent les transporteurs.

    Fermiers – En Roumanie, les fermiers qui font depuis jeudi une grève de la faim affirment qu’ils n’envisagent pas de renoncer à leur protestation si le Gouvernement ne verse pas les subventions accordées par tête d’animal. Il s’agit d’un montant de 360 millions d’euros. De l’avis des protestataires, le ministère de l’Agriculture aurait dû accorder ces montants avant le 15 août. L’Agence de paiements et d’interventions dans l’agriculture affirme avoir payé 61% de ces subventions, soit 193 millions d’euros, avant la mi-août.

    Tennis – La joueuse roumaine de tennis Simona Halep a reculé de la 4e place mondiale à la 5e, après la défaite dans les demi-finales du tournoi de Cincinnati, aux Etats-Unis. Dimanche, elle a perdu contre l’Allemande Angelique Kerber en deux sets, 6 -3, 6-4. Dans le cadre du même tournoi, le joueur roumain de tennis Horia Tecau et le Néerlandais Jean-Julien Rojer ont perdu la finale de double messieurs contre Ivan Dodig (Croatie) et Marcelo Melo, sur le score de 6-7, 7-6, 6-10.

    Rio – Le JO de Rio se sont achevés sur un résultat modeste pour la Roumanie qui n’a décroché que 5 médailles. La Roumanie est donc 47e au classement par médailles, avec l’or obtenu par l’équipe féminine d’épée, l’argent au tennis double messieurs et trois médailles de bronze en haltérophilie, aviron et luttes libres. La ville qui accueillera la prochaine édition des JO en 2020, c’est la capitale nippone, Tokyo.

    Météo – Temps de plus en plus instable en Roumanie. Sur l’ouest et le nord-ouest, le ciel est couvert et des pluies à verse et des orages sont signalés. Sur le reste du territoire, ces phénomènes ont un caractère local et apparaîtront notamment en soirée. La journée sera pourtant caractérisée par la canicule et l’inconfort thermique, notamment sur le sud-est du pays. Les températures iront de 20 à 35 degrés. 32 degrés et du soleil en ce moment à Bucarest.

  • 26.04.2016

    26.04.2016

    Elections – Ce mardi c’est le dernier jour de dépôt des candidatures aux élections municipales du 5 juin, en Roumanie. Le délai pour les éventuelles contestations de certains candidats s’achève le 1er mai. La campagne électorale commencera le 6 mai et prendra fin le 4 juin, à la veille du scrutin. En lice pour les mandats d’élus locaux on retrouve les partis politiques déjà connus (PSD, PNL, UDMR, ALDE, UNPR, PMP), mais aussi des partis récents, fondés après l’adoption de la loi adoptée en 2015 qui permet la création d’un parti politique par un nombre minimum de trois personnes. C’est pour la troisième fois dans l’histoire post-communiste de la Roumanie que les élections sont organisées par un gouvernement de techniciens, après l’équipe de Theodor Stolojan en 1991-92 et celle de Mugur Isărescu en 1999-2000.

    Négociations – Les représentants du gouvernement et ceux des syndicats continuent les négociations sur le futur décret d’urgence concernant les salaires dans le secteur public. Selon le ministre du travail, Dragoş Pâslaru, la priorité de ces négociations est d’éliminer les déséquilibres présents dans le système. Le document en question devrait faire l’objet d’un débat public à la mi-mai et entrer en vigueur au 1er juin. Les grandes confédérations syndicales demandent des majorations salariales pour toutes les catégories de personnel et menacent de protester, si leur revendication n’est pas satisfaite.

    Budget – Le ministère roumain des finances annonce un excédent budgétaire de 3 milliards de lei (près de 670 millions d’euros), c’est-à-dire 0,4% du PIB, sur les trois premiers mois de cette année. Cependant, la collecte de la TVA a diminué en raison de la baisse de la taxe sur les produits alimentaires (en juillet dernier) et sur les produits généraux (le 1er janvier dernier). Par contre, la collecte de l’impôt sur le profit a connu une hausse de 26% et celle des accises – de 6,2%. Les recettes du budget général consolidé (budget de l’Etat, les budgets locaux et celui de la sécurité sociale) se sont chiffrées à 55,6 milliards de lei (près de 12,5 milliards d’euros), représentant 7,3% du PIB, en hausse de 1,1% par rapport à la même période de l’année dernière.

    Enquête – Le procureur général par intérim de la Roumanie, Bogdan Licu, a annoncé l’ouverture d’une enquête pénale pour fuite d’informations dans l’affaire « Colectiv », après la publication par la presse d’une variante du réquisitoire du parquet. L’affaire « Colectiv » (d’après le nom de la discothèque qui a brûlé l’automne dernier à Bucarest, faisant une soixantaine de morts) arrivera prochainement devant les juges. Selon le document publié dans les médias, six personnes seraient mises en examen – les trois patrons de la discothèque, deux pyrotechniciens et la patronne d’une entreprise de pyrotechnie. Des manifestations de rue ont eu lieu après la tragédie de Bucarest, qui ont entraîné la démission du premier ministre social-démocrate Victor Ponta.

    Prêt – Le Sénat de Bucarest a adopté la loi ratifiant le document par lequel la Roumanie accorde à la République de Moldova un prêt remboursable de 150 millions d’euros. L’acte réglementaire prévoit que le crédit doit financer le déficit budgétaire. En novembre dernier, la loi a été envoyée pour réexamen au chef de l’Etat, Klaus Iohannis, sur la toile de fond des tensions politiques de Chişinău et des incertitudes liées à l’application du calendrier des réformes. Le prêt devrait être accordé en trois tranches tout au plus.

    Tennis – Deux joueuses roumaines disputent aujourd’hui des matchs au premier tour du tournoi de tennis de Rabat, au Maroc. Irina Begu affrontera la Hollandaise Richel Hogenkamp, tandis qu’Andreea Begu jouera contre la néozélandaise Marina Erakovici. Une troisième Roumaine, Monica Niculescu, a perdu hier en deux sets devant la Russe Ekaterina Makarova.

  • A la Une de la presse roumaine 03.07.2015

    A la Une de la presse roumaine 03.07.2015

    Sans surprise, la visite à Bucarest du Secrétaire général de lAlliance de lAtlantique Nord, Jens Stoltenberg, est examinée sous toutes ses coutures par la presse écrite bucarestoise. En inaugurant le Commandement allié de Bucarest, il a toutefois assuré quil ny a aucune “menace imminente” guettant la Roumanie depuis la Russie. En outre, les grands quotidiens roumains mettent en garde contre une surchauffe de léconomie du pays en 2016, constatent une hausse spectaculaire de lappétit des Roumains pour les prêts bancaires et dressent la carte de la consommation dalcool dans le pays.


  • Informaţii de la CFR Călători

    Informaţii de la CFR Călători

    Compania de transport feroviar de călători CFR Călători informează că şi în acest an a lansat programul estival de transport Trenurile Soarelui, care, timp de trei luni, până la 15 septembrie, asigură legături între principalele oraşe din România şi staţiunile de la Marea Neagă. Peste 40 de trenuri fac parte din acest program. Ca noutate în acest sezon, pentru turiştii din Craiova, legătura cu Constanţa şi retur este realizată cu un tren direct, iar pentru cei din Braşov, cu două trenuri directe. De asemenea, majoritatea trenurilor care sosesc din ţară vor avea legături frecvente între Constanţa şi staţiunile din sudul litoralului.



    În trenurile InterRegio, pasagerii au acces la prize pentru a încărca bateria laptop-ului, a tabletei sau a telefonului mobil. Toate trenurile InterRegio sunt dotate cu instalaţii de climatizare, iar în trenurile de lung parcurs care pornesc de la Oradea şi de la Arad şi retur pasagerii pot lua micul dejun, prânzul sau cina la vagonul restaurant / bar.



    Trenurile Litoral, care circulă fără opriri intermediare, între Bucureşti Nord şi Constanţa, ajung la destinaţie în aproximativ două ore. Durata călătoriei cu celelalte trenuri InterRegio, pe ruta Bucureşti – Constanţa, este în medie de circa 2 ore şi 20 minute.


    Pentru a facilita accesul turiştilor la Delta Dunării, un tren direct InterRegio circulă suplimentar pe ruta Bucureşti Nord – Tulcea Oraş şi retur. De asemenea, în fiecare zi, cele 4 trenuri, 2 dus şi 2 întors, din graficul zilnic vor continua să circule între Medgidia şi Tulcea.



    Preţul pentru o călătorie Bucureşti – Constanţa, fără reduceri, la clasa a 2-a, este de 30 de lei şi 50 de bani (6,8 euro) la tren Regio şi de 62 de lei (14 euro) la tren InterRegio. Un bilet dus-întors are 10% reducere din tariful de transport şi costă, la clasa a-2-a, 54 de lei şi 90 de bani (12,3 euro) la tren Regio şi 112 lei şi 40 de bani (25 de euro) la tren InterRegio. La cumpărarea cu o anticipaţie de peste 21 de zile, reducerea este de 25% din tariful de transport. În plus, la trenurile cu regim de rezervare, pentru biletele cumpărate online se acordă reducerea suplimentară de 5%. Pasagerii au la îndemână şi alte reduceri importante pentru destinaţii interne: între 10% şi 25% reducere cu oferta Minigrup de două până la cinci persoane, între 15% şi 35% reducere cu oferta Biletul de week-end, între 25% şi 60% reducere cu oferta Cartea VSD pentru zilele sfârşitului de săptămână şi reduceri de până la 35% pentru grupuri de peste 20 de persoane.

  • 29.04.2015

    29.04.2015

    Affaires étrangères — Le ministre roumain des Affaires étrangères, Bogdan Aurescu, fait, ce mercredi, une visite de travail à Varsovie, où il aura des consultations avec son homologue polonais, Grzegorz Schetyna. Selon le ministère, le principal objectif de la visite, c’est le renforcement du dialogue politique et de sécurité entre la Roumanie et la Pologne, afin de développer et de diversifier le Partenariat stratégique conclu par les deux Etats au plus haut niveau, tant au niveau bilatéral qu’au niveau régional et européen. A l’agenda des discussions avec les officiels polonais figurent aussi des thèmes d’actualité de l’agenda européen, dont la préparation du Sommet du Partenariat oriental de Riga, les évolutions du voisinage est, avec un accent sur la situation en Ukraine, le soutien pour le parcours européen de la République de Moldova, l’agenda de l’OTAN et la sécurité énergétique.



    Tournée — Le premier ministre roumain, Victor Ponta, fera du 30 avril au 5 mai une tournée dans les pays du Golfe, respectivement l’Arabie saoudite, le Qatar, le Koweït et les Emirats Arabes Unis. Les principaux objectifs de cette tournée sont de dynamiser le dialogue politique et diplomatique et d’approfondir les relations économiques et commerciales. Dans le cadre de ces visites, des opportunités d’affaires et d’investissements seront présentés, notamment dans des domaines tels que bâtiment, infrastructure, agriculture, industrie, énergie, TIC, tourisme et santé. Une série d’accords et de protocoles de coopération bilatérale seront signés dans les domaines des Affaires étrangères, de l’éducation et de la recherche, pour éviter la double imposition, protéger les investissements, mais aussi dans des secteurs tels que tourisme, santé, transport aérien, pétrole et gaz.



    Prêt — Le gouvernement roumain discute, aujourd’hui, de la possibilité d’accorder un crédit de 40 millions d’euros au Complexe énergétique de Hunedoara (centre-sud), avec l’aval de la Commission européenne. La variante examinée par l’exécutif présuppose, toutefois, la séparation des mines de la Vallée de la rivière Jiu des deux centrales thermoélectriques qu’elles ravitaillent en charbon. De l’avis des syndicats, cette mesure mènerait à l’insolvabilité. Ils affirment, d’autre part, que l’administration ne dispose pas de tout l’argent nécessaire au paiement des salaires des plus de 6000 travailleurs. Les leaders syndicaux avertissent qu’ils s’attendent à des protestations de grande ampleur des mineurs, qui voient leurs emplois menacés.



    Nomination – Suite au vote du Sénat de Bucarest, Radu Boroianu (72 ans) a été désigné aux fonctions de président de l’Institut culturel roumain. Il remplace à ces fonctions Lilian Zamfiroiu, qui a démissionné vendredi, estimant que les objectifs qu’il avait assumés lors de la prise de son mandat avaient été atteints. Radu Boroianu est administrateur d’une galerie d’art et un des fondateurs d’une maison de vente aux enchères renommée de Bucarest. Il est entré en politique dès le début des années ’90, en tant que membre du PNL, a été secrétaire d’Etat au ministère de la Culture, sénateur, ambassadeur en Suisse et ministre délégué. Il est à présent vice-président du Parti libéral réformateur, séparé du PNL et dirigé par le président du Sénat, Calin Popescu Tariceanu.



    Ferry — Six Roumains comptent aussi parmi les 156 personnes évacuées, mardi, d’un ferry en flammes à proximité des côtes espagnoles de la Méditerranée, a affirmé le ministère des Affaires étrangères de Bucarest. Selon les premières informations, les passagers venaient dau moins 12 pays. Tous les passagers et les membres de l’équipage ont été évacués et sont hors de danger. Le navire de 186 mètres de long peut accueillir jusquà 1.000 personnes et 150 véhicules.



    Porte-conteneurs — Le ministère roumain des Affaires étrangères a annoncé procéder à des vérifications concernant la composition de l’équipage d’un navire marchand, battant pavillon des Îles Marshall, à bord duquel se trouveraient aussi des marins roumains. Le navire a été arraisonné mardi par la marine iranienne à cause des dettes impayées par la compagnie, a déclaré un responsable iranien. Le ministère roumain des Affaires étrangères a transmis des instructions aux ambassades de Roumanie à Washington et Téhéran, qui ont demandé aux autorités compétentes des informations détaillées sur la situation du navire, mais surtout de vérifier l’existence d’un citoyen roumain à bord. Selon la télévision publique iranienne, des marins originaires de Bulgarie, du Myanmar, de Roumanie et du Royaume Uni composent l’équipage de 24 personnes du navire, sous les ordres d’un capitaine bulgare.



  • Services de soins infirmiers à domicile pour les personnes âgées

    Services de soins infirmiers à domicile pour les personnes âgées

    Ces statistiques sont impitoyables et peu connues du grand public, d’où la difficulté de les traiter quand on y est confronté. Les représentants des associations non gouvernementales qui dispensent de tels services affirment que même si plus de 350.000 Roumains ont besoin de se faire soigner à domicile, seules 29.306 personnes se sont vu payer de tels services en 2012 par le budget cumulé de la Sécurité sociale et du ministère de la Santé. Ceci étant, les ONGs ont uni leurs forces afin de combler autant que possible le manque de fonds gouvernementaux.



    Voici les explications de Doina Crângaşu — directrice exécutive de la Confédération Caritas Roumanie :“Il y a deux ans, Caritas România a eu l’initiative de créer une plate-forme d’ONGs fournissant des servies sociaux et médicaux aux personnes âgées. Nous avons réussi, en un temps record, à réunir 57 ONGs de différents comtés du pays et qui ont adhéré à ce réseau informel. 81% des organisations membres de SeniorNet affirment que les demandes de soins à domicile vont croissant. Malheureusement, toutes ne sont pas satisfaites, en raison de certaines non concordances qui se manifestent dans les services sociaux dispensés en Roumanie”.



    Un état des lieux est actuellement en passe d’être réalisé pour voir exactement quels types de services il faudrait fournir et dans quelles zones du pays. Les principaux services offerts par les ONGs spécialisées sont: accompagnement psychologique, assistance sociale, soins médicaux et aide pour l’accomplissement des différentes tâches ménagères. La pauvreté mise à part, la solitude est un autre facteur générateur de problèmes.



    Certains seniors sont oubliés par leurs proches, d’autres souffrent du syndrome du « nid vide », parce que leurs enfants sont partis travailler à l’étranger, tout comme les enfants, qui ressentent le même malaise à cause du départ de leur parents. Doina Crângaşu : “Généralement, ce sont des personnes âgées contraintes à vivre seules suite à la mort de leur conjoint, au départ des enfants ou à une maladie qui leur a fait perdre l’indépendance et donc les capacités à assumer les besognes de tous les jours depuis les tâches ménagères jusqu’aux visites chez le docteur. Parallèlement, la Roumanie se confronte de plus en plus à un flux migrateur de la population jeune. Du coup, on constate, notamment en milieu rural, une présence majoritaire des personnes âgées dépourvues de tout soutien aussi bien de la part de leurs proches que des autorités locales.”



    Face à cette situation, plusieurs seniors ont fini par assumer leur sort et ont mis sur pied leurs propres structures d’entraide. C’est ainsi qu’a vu le jour la société de secours mutuel pour les retraités Omenia, Humanisme, qui recense actuellement 1.400.000 membres au niveau national dont 35.400 basés à Bucarest et dans les alentours. Cette société fonctionne grâce aux cotisations de ses membres, à des sponsorisations diverses et aux profits résultés de quelques activités commerciales minimales. C’est dans le quartier défavorisé de Rahova que l’un des sièges de la mutuelle Omenia a été fondé. Dans cette banlieue bucarestoise aux maisonnettes délabrées, les retraités ont imaginé une petite ville qui leur soit destinée.



    On y trouve du tout: des boutiques, des cabinets médicaux, des ateliers de couture, des salons de coiffure, une pharmacie. Le tout à des prix modiques, pratiqués sans TVA, aux dires de Gheorghe Chioaru, président de la Fédération nationale des mutuelles à destination des retraités de Roumanie. Qu’est-ce que les seniors doivent faire concrètement pour se voir couvrir par une telle mutuelle?



    Gheorghe Chioaru: “Chaque adhérent doit verser une cotisation qu’il se voit rembourser s’il ne s’en sert pas, au moment où il décide de se retirer. A part cette cotisation, il verse également une contribution mensuelle de 3 lei, soit quelque 80 centimes d’euro dont 70% sont destinés à l’aide en cas de décès et le reste s’ajoute aux fonds dont dispose la mutuelle. La cotisation est proportionnelle au montant de la pension de retraite. Au début, chaque membre doit déposer 20 lei, soit moins de 5 euros. Par la suite, ils peuvent se voir accorder un prêt dont le montant représente parfois le double ou même le triple de la valeur totale de la cotisation déposée jusqu’à ce moment-là. Et le taux d’intérêt varie entre 1 et 14%”.



    Bien que les magasins, les ateliers et les cabinets médicaux soient destinés aux personnes âgées autonomes, la société d’assistance mutuelle pour les retraités Omenia a également initié un programme à l’intention de celles à mobilité réduite ou en perte totale de mobilité. Gheorghe Chioaru : “Nous avons des retraités qui n’ont jamais franchi le seuil d’un cabinet médical et dans ce cas, c’est le médecin de famille qui leur rend visite à domicile. En plus, nous organisons aussi des caravanes médicales qui sillonnent les communes isolées pour soigner notamment les seniors oubliés et abandonnés. On apporte du pain et des denrées alimentaires aux personnes en perte de mobilité. Nous avons un projet qui permet d’offrir à une centaine de retraités défavorisés et en perte d’autonomie des produits alimentaires et d’hygiène, la visite d’une infirmière ou du dentiste et même de l’assistance au domicile. Malheureusement, le nombre d’aides soignants a chuté de beaucoup puisque la plupart d’entre eux préfèrent travailler à l’étranger. Quant à l’Etat, il nous laisse nous débrouiller tout seuls”.



    Pourtant, à l’heure actuelle, le gouvernement est en train d’élaborer une stratégie nationale pour la protection des personnes âgées. Une initiative à saluer, mais qui devrait être améliorée, selon Doina Crângaşu. “A présent, on se trouve au cœur d’un débat public que le ministère du Travail et de la Protection sociale a lancé début janvier. Le débat porte justement sur la Stratégie nationale de promotion d’une vieillesse active et de la protection des personnes âgées. Une initiative à saluer, mais qui nécessiterait pourtant certaines modifications. Un seul exemple: on dit favoriser le vieillissement actif sans parler des conditions de vie de la plupart des retraités de Roumanie.”



    Jusqu’à la mise en place d’une telle stratégie, les ONGs cherchent des ressources indépendantes de financement ou des fonds communautaires pour offrir un soutien concret aux personnes âgées.

  • Piaţa energiei

    Piaţa energiei

    În mai 2012, România agrea cu instituţiile financiare internaţionale — Fondul Monetar Internaţional, Comisia Europeană şi Banca Mondială — un calendar de liberalizare a preţului gazelor naturale din producţie internă atât pentru firme, cât şi pentru consumatorii particulari. Conform înţelegerii, până la finele lui decembrie 2014 trebuiau eliminate preţurile reglementate pentru clienţii noncasnici, lucru pus, de altfel, în practică.



    Făcând un bilanţ la două luni după aplicarea măsurii, preşedintele Autorităţii Naţionale de Reglementare în domeniul Energiei (ANRE), Niculae Havrileţ, a informat că, după renegocierea a 40% din contractele care au fost reglementate şi care au trecut în zona liberă, preţul final al gazelor pentru consumatorii non-casnici a scăzut cu 5%. Cei doi mari furnizori importanţi care gestionează 90% din piaţa de furnizare a gazelor susţin că scăderile au fost chiar de până la 10%. Ieftinirea s-ar datora scăderii, de către furnizori, a adaosurilor.



    Cât despre populaţie, aceasta poate sta liniştită: gazele nu se pot scumpi mai devreme de 1 iulie. După această dată, preţul final pentru particulari s-ar putea, însă, majora cu procente cuprinse, anul acesta, între 5 şi 9%, în funcţie de creşterile de tarife cerute de distribuitori şi care vor fi aprobate de Autoritatea Naţională de Reglementare în domeniul Energiei. Nicolae Havrileţ a prezentat primele estimări şi a precizat că discuţiile în legătură cu creşterile pe următorii trei ani vor începe luna viitoare:


    ANRE a făcut o simulare, în cazul în care aplicăm cifrele din calendar şi finalizăm proiectul de liberalizare în 2018, să avem trei ani de creştere a preţului la gazele naturale. Ceea ce am pus noi ar fi însemnat o creştere de 7% în acest an şi câte 5% în următoriii doi ani, până la liberalizarea finală. Dar este o estimare, urmare a unei simulări.



    Potrivit Autorităţii Naţionale de Reglementare în domeniul Energiei, a fost creat cadrul legal care permite tuturor consumatorilor să-şi poată alege furnizorul de energie electrică sau de gaze pe care îl doresc. Totodată, în contextul unei pieţe de energie competitive, pentru a-i ajuta să se informeze cu privire la schimbarea furnizorului de energie electrică şi gaze naturale, consumatorii au la dispoziţie un număr de telefon gratuit.



    Potrivit datelor ANRE, consumul de gaze naturale pe piaţa reglementată a scăzut, în 2014, cu 10,10%, iar pe piaţa concurenţială s-a înregistrat o creştere de 1,10%. În privinţa surselor de provenienţă, peste 107 milioane MWh au fost gaze din producţia internă, în creştere cu aproape 6%, şi numai puţin peste 9 milioane MWh au fost din surse externe, în scădere cu circa 52%.

  • Plată obligatorie a unei asigurări RCA pentru regiunea transnistreană

    Propietarii autoturismelor înmatriculate în România trebuie să achite contravaloarea unei polițe de asigurare de răspundere civilă, la intrarea în Transnistria, începând de duminică, 1 martie. Polițele vot putea fi achiziționate la intrarea în regiunea transnisteană direct de la “așa-zisul serviciu vamal de la Tiraspol”, după cum este numit într-un comunicat al Ministerul Afacerilor Externe.



    Costurile unei polițe de asigurare variază în funcție de capacitatea cilindrică a motorului și perioada petrecută pe teritoriul transitrean, prețurile pornind de la 50 la 1005 ruble transnistriene pentru automobilele cu până la 9 locuri. Autocarele de pasageri vor plăti de la 100-110 ruble transnistriene. Conform cursului valutar stablit de Tiraspol, prețul în lei pentru asigurarea RCA pornește de la 18 lei (50 ruble transnistriene), însă cotațiile sunt diferite la casele de schimb valutar.



    Tot de duminică, 1 martie, nu vor mai putea fi utilizate, în Transnistria, cărțile verzi” eliberate de companiile românești de asigurări sau polițele de asigurare emise de companiile de profil din Republica Moldova.

  • Preţurile terenurilor

    Preţurile terenurilor

    Potrivit
    legii de vânzare-cumpărare a terenurilor agricole extravilane din România pot
    cumpăra astfel de terenuri în ţara noastră cetăţenii români, cetăţenii unui stat din
    Uniunea Europeană, cetăţenii statelor care fac parte din Acordul privind
    Spaţiul Economic European, anume Norvegia, Liechtenstein şi Islanda sau ai
    Confederaţiei Elveţiene, apatrizii cu domiciliul în România, într-un stat din
    Uniunea Europeană, într-un stat din Spaţiul Economic European sau în
    Confederaţia Elveţiană. De asemenea, pot cumpăra teren persoanele juridice având naţionalitatea română şi persoanele juridice având naţionalitatea unui stat membru
    al Uniunii Europene, a statelor care sunt parte din Acordul privind Spaţiul
    Economic European sau a Confederaţiei Elveţiene. Toţi
    aceştia pot cumpăra teren agricol extravilan în România respectând dreptul de
    preempţiune al coproprietarilor, arendaşilor, proprietarilor vecini, precum şi
    al statului român, reprezentat prin Agenţia Domeniilor Statului, în această
    ordine, potrivit Legii de vânzare-cumpărare a terenurilor agricole extravilane.
    Dacă niciun preemptor nu îşi manifestă intenţia de cumpărare, atunci vânzarea
    este liberă, conform normelor de aplicare a legii. Primăria eliberează
    vânzătorului o adeverinţă însoţită de o copie certificată de conformitate cu
    originalul a ofertei de vânzare, urmând ca acesta să aleagă un cumpărător. În
    această situaţie, dacă în ofertă nu este prevăzută nicio condiţie,
    terenul poate fi vândut în orice condiţii, cu excepţia diminuării preţului.


    În medie,
    în România, un hectar de pământ agricol se vinde cu 2.500 – 3.000 de euro, cu
    mult mai ieftin decât media europeană, de 15.000 de euro. Unele terenuri
    agricole din România pot ajunge, însă, la preţuri mai mari de 5.000 de euro pentru
    un hectar.



    În ceea ce priveşte
    terenurile intravilane din Bucureşti, cele cu suprafeţe de 500 – 600 de metri
    pătraţi din zone foarte bune ale capitalei României sunt
    cele mai căutate de către investitori. Aceste terenuri au în general
    autorizaţii de construcţie, iar preţurile de tranzacţionare sunt de 1.500 -
    2.000 de euro pe metru pătrat. În prezent, preţurile la care sunt scoase la
    vânzare terenurile în Bucureşti variază de la 400 – 500 de euro pe metru pătrat
    în zonele Timpuri Noi, Lujerului şi Bucureştii Noi, la 500 – 600 de euro în zona Progresului şi la 900 – 1.100 de euro pe metru pătrat în zona Calea
    Floreasca – Barbu Văcărescu.

  • Concluziile misiunii FMI

    Concluziile misiunii FMI

    În ultimii ani, în plină şi în post criză economico-finaniciară, finanţatorii externi ai României — FMI, Banca Mondială şi Comisia Europeană — au avut un cuvânt greu de spus în reformele promovate de guvernele ce s-au succedat la Bucureşti. Nu puţini sunt analiştii care susţin că, în lipsa obligaţiilor pe care România şi le-a asumat în faţa troicii, multe dintre măsurile luate, deopotrivă, necesare şi impopulare, nu ar fi căpătat concreteţe. Au fost, totuşi, şi destule situaţii în care părţile nu au ajuns la un numitor comun.



    Este şi cazul misiunii ce s-a încheiat marţi. Astfel, compromisul nu a fost posibil, cel puţin deocamdată, în cazul liberalizării preţului la gaze şi al privatizării unor companii energetice — măsuri cerute insistent de FMI, dar respinse categoric de executivul de stânga. Premierul Victor Ponta a declarat că liberalizarea ar însemna o creştere prea mare a tarifelor la gaze, atât pentru populaţie, cât şi pentru agenţii economici.



    Victor Ponta: ”Solicitarea delegaţiei Comisiei Europene – Fondului Monetar Internaţional se referea la o creştere, din 1 aprilie, destul de abruptă, de la 53,3 lei pe megawatt la 62, o creştere pe care noi o considerăm nesustenabilă. Al doilea punct asupra căruia nu ne-am înţeles, şi anume, la cele două companii pe care le mai avem: Compania Naţională Hunedoara şi Compania Oltenia, solicitarea celor de la Comisia Europeană, Fondul Monetar Internaţional, Banca Mondială era a unor restructurări masive şi radicale, care din punctul nostru de vedere nu salvează industria producătoare de energie pe cărbune şi locurile de muncă, ci practic îi trimit într-o spirală care în termeni de câţiva ani va duce la reducerea semnificativă a acestui sector în România.”



    În termeni pragmatici, disensiunile se traduc prin încheierea misiunii fără obişnuita scrisoare de intenţie, urmând ca discuţiile pe cele două teme restante să fie reluate în aprilie. Preşedintele Comisiei de buget-finanţe a Camerei Deputaţilor, Viorel Ştefan, explică: ”Acordul în sine rămâne în vigoare. Faptul că nu se semnează o scrisoare de intenţie înseamnă o suspendare temporară, până când experţii guvernului, cu experţii instituţiilor internaţionale se vor pune de acord asupra problemelor care n-au fost armonizate în interiorul acestei misiuni”.



    Din opoziţie, PNL consideră că negocierile cu FMI au fost un eşec. Deputatul libral Gheorghe Ialomiţianu, fost ministru de finanţe: ”FMI ne spune că actualul guvern n-a făcut nimic legat de ceea ce s-a angajat, iar guvernul ne spune că totul este roz. Deci suntem într-o situaţie delicată, într-un impas. Este o incertitudine şi pentru mediul de afaceri”.


    România are în derulare cu FMI un acord stand-by de două miliarde de euro, din care, până în prezent, autorităţile nu au accesat fonduri.

  • Jurnal românesc – 10.02.2015

    Jurnal românesc – 10.02.2015

    Guvernul român nu a ajuns la un acord cu FMI şi Comisia Europeană în actuala misiune de evaluare, cele două instituţii cerând creşterea preţului la gaze pentru populaţie şi restructurarea masivă a companiilor energetice, a anunţat premierul Victor Ponta. El a precizat că, în aceste condiţii, nu va fi semnată o scrisoare de intenţie, iar discuţiile vor continua în aprilie, acordul rămânând însă în vigoare. Experţii internaţionali au discutat cu autorităţile române recentele evoluţii şi priorităţile în reformele economice. Actualul acord aflat, al treilea solicitat FMI-ului de la declanşarea crizei economice în 2009, se încheie în toamnă şi are o valoare de aproximativ 2 miliarde de euro. Scopul acordului de tip preventiv este de a proteja economia românească de eventuale şocuri pe pieţele financiare.



    România a exportat anul trecut, pentru prima dată în istorie, mărfuri şi servicii în valoare de peste 52 de miliarde de euro, conform datelor Institutului Naţional de Statistică. Balanţa comercială rămâne însă negativă, importurile depăşind 58 de miliarde. Principalele pieţe pentru exporturile româneşti rămân ţările UE, cu mai bine de 37 de miliarde de euro, mai mari cu 3 miliarde decât exporturile în anul anterior. Produsele agroalimentare au reprezentat mai puţin de 10 procente din totalul exporturilor de anul trecut, iar materiile prime puţin peste 5%. Cea mai mare pondere – peste 42% – au avut maşinile şi echipamentele de transport, urmate de produsele manufacturate.



    Ministerul de Externe al României va acorda Republicii Moldova vecine 35% din bugetul de asistenţă pentru dezvoltare pe anul 2015. Potrivit MAE român, banii vor finanţa mai multe proiecte din domeniul justiţiei şi afacerilor interne, agricultură, educaţie, creşterea capacităţii instituţionale şi dezvoltarea societăţii civile. Totodată, Georgia, Egipt, Tunisia, Libia, Ucraina şi Afganistan vor primi aproximativ 15% din bugetul amintit pentru proiecte vizând sprijinirea procesului democratic, societatea civilă, consolidarea capacităţii instituţionale în diferite domenii ale administraţiei, educaţiei, protecţia copilului, reducerea riscului la dezastre. Bugetul de asistenţă pentru dezvoltare pentru anul 2015 al MAE este de 10 milioane lei (2,2 milioaane euro).



    România nu se va împrumuta de pe pieţele externe în prima jumătate a anului şi va analiza ulterior dacă accesează astfel de finanţări, a declarat ministrul Finanţelor, Darius Vâlcov. El a precizat că execuţia bugetară pentru luna ianuarie arată un excedent de 3,54 miliarde lei (0,8 miliarde euro), reprezentând 0,5% din PIB. Pentru acest an, Executivul a convenit cu FMI şi CE o ţintă de deficit bugetar de 1,83% din PIB. Ministerul Finanţelor anunţă că vrea să atragă în acest an până la 40 de miliarde de lei (9 miliarde euro) prin vânzarea de certificate de trezorerie şi obligaţiuni pe piaţa internă, la care ar urma să se adauge maxim 3 de miliarde de euro de pe pieţele externe şi fonduri atrase de la instituţiile financiare internaţionale.

  • Impact de l’appréciation du franc suisse

    Impact de l’appréciation du franc suisse

    Les banques, les hommes d’affaires et la classe politique de Roumanie sont en quête de solutions aux problèmes engendrés par l’appréciation du franc suisse, après la décision de la Banque centrale de Berne de libéraliser le cours de la monnaie helvétique.



    Plus de 75.000 Roumains ont contracté des crédits en francs suisses et devront payer des mensualités sensiblement plus grandes. Les députés de la commission « budget — finances » ont appelé à la table des négociations les représentants du milieu bancaire et les clients qui ont contracté des crédits en francs suisses.



    Plusieurs propositions ont été avancées. On envisage ainsi de prolonger la période de remboursement des prêts ou de les convertir en lei, en les calculant à un taux proche de celui pratiqué au moment où la plupart d’entre eux ont été contractés. Les banquiers attirent pourtant l’attention sur le fait qu’un règlement imposant de telles solutions serait injuste et pousserait certaines banques à la faillite.



    L’appréciation du franc suisse a des conséquences partout en Europe, chaque Etat tâchant de résoudre cette crise à sa façon. En Hongrie, par exemple, où le franc suisse a été rapidement converti, les crédits immobiliers et ceux destinés à acheter une voiture ou à financer les besoins personnels ne sont pas traités de la même manière.



    Le premier ministre roumain, Victor Ponta, estime pourtant que cette méthode ne peut pas être appliquée en Roumanie. Victor Ponta: « Je ne crois pas à la solution hongroise, qui a converti de force, en un seul jour, la monnaie suisse. Je crois en l’obligation des banques de mieux informer et de supporter une partie des pertes et je pense que l’on droit trouver un système permettant aux gens de lire trois fois le contrat de prêt avant de le signer, car après, il est plus difficile de les aider, quand ils sont dans le pétrin. »



    Le président du Sénat, Călin Popescu Tăriceanu, ne considère pas non plus comme possible une intervention de la part du gouvernement ou du Parlement pour venir en aide aux personnes ayant contracté des crédits en francs suisses. En tant qu’ancien homme d’affaires, il estime que dans une économie de marché, le Parlement ne dispose pas de moyens de contrôler les prix, les intérêts et les taux de change.



    Par ailleurs, la Banque centrale européenne a annoncé jeudi le lancement d’un ample programme de rachat d’obligations d’Etat, dont la valeur se monte à plus de mille milliards d’euros, pour relancer les économies de la zone euro. Cette mesure a engendré des controverses parmi les analystes financiers, alors que la monnaie unique européenne s’est dépréciée face au dollar américain jusqu’au niveau minimum des 11 dernières années. Cette décision apporte, pourtant, un regain d’espoir pour l’avenir des économies européennes. (trad. : Dominique)