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  • Le courrier des auditeurs du 29.12.2023

    Le courrier des auditeurs du 29.12.2023


    Chers auditeurs et auditrices. Voilà la dernière rubrique
    du courrier des auditeurs de cette année 2023. Une année compliquée aussi bien
    pour la planète, pour l’humanité, mais aussi pour moi-même, puisque Père
    Noël m’a fait un drôle de cadeau : je me suis fracturé un orteil. Ce qui
    est marrant c’est que 2023 a commencé de la même manière. Une fracture en début
    d’année, une autre, à la fin, espérons que la boucle est bouclée est
    que par la suite, les choses iront pour le mieux. En revanche, cela m’a fait du
    bien de parcourir tous vos vœux, c’est très gentil d’avoir pensé à l’équipe de
    RRI en cette fin d’année. Merci à toutes et à tous !


    Dans les minutes suivantes, je continue la présentation
    des cartes QSL pour 2023. Il nous reste les deux dernières, après quoi, je
    reviens sur vos messages. D’accord ? Petit jingle et au boulot !



    QSL
    novembre – Le Musée national du Banat



    Pour le mois de novembre, nous avons une belle carte QSL
    avec, en image, le Musée national du Banat inauguré en 1877. L’institution
    culturelle est située dans un bâtiment déclaré monument historique : soit le
    château de Hunyadi. Le château, construit par Iancu de Hunedoara, suit le style
    architectural du début de la Renaissance, en ressemblant au premier système de
    bastions italien. Il a été restauré au XVIIIe siècle. La façade nord, détruite
    par l’armée révolutionnaire hongroise, a été restaurée en 1856. En 1872, la
    Société d’histoire et d’archéologie de Timișoara a vu le jour et a commencé à
    collecter des documents historiques. Au cours des décennies suivantes, les
    collections d’histoire et d’archéologie se sont multipliées. L’exposition
    principale présente des matériaux archéologiques relatifs aux périodes
    néolithique, daco-romaine et du début du Moyen Age.


    Actuellement, en raison de travaux de restauration,
    l’administration du musée et les expositions temporaires sont hébergées par le
    bastion Theresia.



    QSL
    décembre -Le Musée national d’art – Le
    Palais baroque



    Et nous voilà arrivé à la dernière carte QSL de cette
    année, une occasion pour découvrir le Musée national d’art de Timisoara. Le
    Musée national d’art de Timișoara est hébergé par le Palais baroque depuis 2006
    en tant qu’institution indépendante, gérant des collections d’art européen de
    beaux-arts, d’art décoratif, art spécifique du Banat, art moderne et
    contemporain roumain, ainsi que les œuvres du célèbre peintre roumain Corneliu
    Baba. En 2020, l’institution a reçu le statut de musée national, reconnaissant
    ainsi la valeur de ses collections. Le musée a joué un rôle important dans le
    programme culturel « Timișoara – Capitale européenne de la culture 2023», en
    accueillant les expositions-événements Victor Brauner et Constantin Brâncusi,
    qu’il a organisées en partenariat avec de prestigieux musées européens tels le
    Centre Georges Pompidou ou la Tate Gallery, mais aussi avec d’importantes
    organisations nationales, telle la Fondation ArtEncounters et l’Institut
    français de Roumanie.


    Le palais baroque est un bâtiment historique construit au
    XVIIIe siècle. A l’origine il a servi de résidence au gouverneur local. Le
    bâtiment est un véritable joyau d’architecture du style baroque, restauré à son
    état d’origine. Il est une destination touristique importante pour les amateurs
    d’art et d’histoire.


    Et voilà, chers amis, pour la série de cartes QSL de
    cette année. Une série, je vous le rappelle, consacrée à la ville de Timisoara,
    capitale de la Culture européenne en 2023.


    Maguy Roy, France



    Le moment est venu de faire un petit coucou amical à ceux
    d’entre vous nous ayant fait part de leurs vœux. Bonjour chère Maguy Roy et
    merci bien de votre message fort sympathique. Nous ferons de notre mieux de ne
    garderque les bons souvenirs de cette
    année difficile et nous nous rejoignonsà vous pour demander au destin que 2024 soit plus pacifique. Merci
    d’être restée à l’écoute de RRI et très bonne année de la part de nous
    tous !

    Le radio DX club d’Auvergne et francophonie



    Nos
    amis du club DX d’Auvergne nous ont envoyé un message fort chaleureux. Merci
    beaucoup, cela nous fait grand plaisir ! A notre tour, on voudrait vous
    faire part de tous nos vœux de santé, de joie, de prospérité ! Que 2024
    soit clémente et généreuse et que la radio continue, comme vous le dites très
    bien, à faciliter les belles découvertes et les échanges fructueux ! Bonne
    et heureuse nouvelle année !






    Paul Jamet, France



    Restons en France pour remercier à notre cher Paul Jamet
    qui a eu une pensée pour RRI en cette période de fête. C’est très gentil de
    votre part, cher ami, et les nouveaux rapports d’écoute représentent un beau
    cadeau de Noël. Quant au chocolat, je ne promets rien. On est tous des
    gourmands dans la rédaction et donc, difficile de s’abstenir en cette période
    de fin d’année quand la table est toujours remplie de gâteaux, de cozonac, de
    galette au fromage, pour rester seulement dans la catégorie des plats sucrés.
    Car, si je passe dans le salé, là, c’est encore plus difficile de rester
    raisonnable. Nous avons des sarmale, de la charcuterie, des plateaux de
    fromage, de la salade de bœuf. Il suffit d’écouter la rubrique de cuisine Le
    Plat du jour et vous allez comprendre pourquoi les Urgences sont prises
    d’assaut en cette période d’année par tous les convives incapables de dire
    stop. La situation est d’autant plus compliquée que nombre de Roumains
    observent une période de carême avant Noël. Ceci dit, je vous souhaite au nom
    de toute l’équipe une année 2024 calme et reposante, plein de joie et de santé
    et restez à l’écoute de RRI !


    Alain Carlier, France


    Cher Alain Carlier, merci de vos vœux, effectivement,
    tout le monde espère que 2024 soit pacifique et que tous ces conflits cessent. Il
    y a trop d’innocents qui meurent, trop d’enfants qui souffrent, il est
    extrêmement injuste de voir tant de souffrance humaine à cause d’une poignée de
    scélérats. Malheureusement, de tels scénarios tragiques se répètent depuis la
    nuit du temps. Quant aux cartes QSL, oui, il est bien dommage qu’une belle
    tradition se perde, nous, on avait déjà les enveloppes préparées quand la
    nouvelle est tombée. Mais bon, on vit une période difficile, on le sait, et
    donc, on essaye de faire avec. Merci de continuer à écouter les émissions de
    RRI ! Bonne année 2024 !


    Jacques Augustin, France


    Comment allez-vous, cher Jacques Augustin ?
    Effectivement, on espère bien que cette nouvelle année nous apporte à tous
    santé et réussite. Surtout qu’en ce moment, ce n’est pas trop évident pour
    l’équipe du Service français. Moi, je suis obligée de limiter les déplacements,
    à cause de mon orteil fracturé et Alex a attrapé la grippe. Du coup, Valentina
    a abandonné ses projets de vacances et a repris le travail. Je me souviens de
    mes débuts à la radio quand on était une bonne dizaine de journalistes dans la
    rédaction. Là, si un d’entre nous tombe malade, ça commence déjà à devenir
    compliqué. Avec deux, c’est déjà problématique. Espérons donc que 2024 nous
    permet de garder la forme et la santé. Bisous de la part de nous tous !


    Gilles Gautier, France



    Comment allez-vous, cher Gilles Gautier ? Merci de
    rester à l’écouter des programmes de RRI. Je vois que vous suivez attentivement
    nos flashs infos, tout comme d’autres chroniques sur l’actualité, telles
    « L’avenir commence maintenant » ou les dossiers consacrés à
    l’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l’espace Schengen. Je suis très
    contente que notre édition Radio Tour sur la Route de la Transylvanie, Via
    Transilvanica, vous a donné l’envie d’en connaître davantage. Merci à vous,
    cher ami, de rester à l’écoute de RRI, et recevez nos meilleurs vœux de bonheur
    et de santé pour la nouvelle année.


    Amady Faye, Sénégal


    Cher Amady Faye, du Sénégal, merci de vos vœux qui nous
    ont fait chaud au cœur. Nous espérons vous avoir en 2024 aussi parmi nos
    auditeurs les plus fidèles. Une excellente nouvelle année !

    Jean-Michel Aubier, France



    Dernière réponse d’aujourd’hui. Et je dis bonjour à notre
    ami de longue date, Jean-Michel Aubier qui revient après une pause assez
    longue. Nous sommes très contents d’avoir de vos nouvelles, cher ami.
    Effectivement, la Journée de l’Auditeur c’est toujours une excellente occasion
    pour reprendre contact. Merci d’avoir participé. Et j’aimerais bien citer votre
    petit message encourageant qui dit « Concernant
    la réduction du nombre de vos émetteurs, je ne pense pas que cela soit aussi
    dramatique que ça ! Ceux qui restent produisent un signal de qualité. Et
    n’oubliez pas que l’Internet a bien percé, même en Afrique. C’est d’ailleurs
    pour ça que de nombreux radiodiffuseurs ont arrêté les ondes courtes, n’en
    voyant plus trop l’utilité, au vu des coûts engendrés. De plus, vous participez
    ainsi à la lutte contre le réchauffement climatique, en faisant d’importantes
    économies d’énergie ! Ah bah oui, c’est important, non ? » Bien sûr que
    c’est important, d’ailleurs la Roumanie commence petit à petit à se mobiliser
    pour réduire la pollution. En revanche, les ondes courtes ont des avantages que
    d’autres moyens de communication n’ont pas. Ne serait-ce le fait qu’elles ne
    risquent pas de tomber en panne. A la fin, je voudrais vous souhaiter une
    excellente année 2024, en compagnie de RRI !


    Madame,
    Monsieur, c’est tout pour aujourd’hui. Ioana vous remercie de votre attention
    et au nom de tous mes collègues, je vous souhaite les meilleurs vœux de joie et
    de santé pour la nouvelle année que l’on espère tous, plus pacifique et
    raisonnable que 2023. En attendant de se retrouver au micro du courrier,
    portez-vous bien et prenez soin de vous !





  • Le courrier des auditeurs du 8 décembre 2023

    Le courrier des auditeurs du 8 décembre 2023

    Madame, Monsieur, bonjour ou bonsoir
    où que vous soyez. Je suis ravie de revenir au micro du courrier pour répondre
    à vos lettres et à vos messages.

    Paul Jamet, France


    Et je commence l’actuelle édition par
    un petit clin d’œil amical à M. Paul Jamet qui nous a envoyé sept nouveaux
    rapports d’écoute et quelques mots qui nous font chaud au cœur. En fait, il dit
    et je cite « Le DRM offre un confort d’écoute auquel on s’habitue très
    très bien ! Merci à RRI d’être la seule station à promouvoir cette technologie
    vers laquelle se tournent essentiellement les stations asiatiques, l’Inde en
    particulier qui utilise le simulcast sur son réseau d’émetteurs en ondes
    moyennes. De mon point de vue il s’agit d’un excellent choix. » On se
    bataille pour continuer à émettre sur les ondes courtes, espérons pouvoir le
    faire le plus longtemps possible. Merci beaucoup pour tous les détails sur nos
    émissions, merci de continuer à nous écouter fidèlement et à bientôt de vous
    lire !


    Philippe Marsan, France


    Restons toujours en France pour
    passer le bonjour de nous tous à Philippe Marsan de Biganos. A l’écoute le 06
    octobre 2023 à 10h00 sur 17630, il nous a rédigé un rapport d’écoute bien
    fourni qui sera récompensée d’une carte QSL virtuelle. Hé oui, comme on vous
    l’avait déjà annoncé, cette année, RRI utilisera la version électronique de ses
    cartes QSL. C’est un compromis pour faire des économies, tout en continuant à
    récompenser votre fidélité. Cher Monsieur Marsan, je suis très contente de vous
    savoir à l’écoute de notre courrier, je suis contente d’apprendre que vous ayez
    écouté l’entretien que j’ai fait avec Jean Marc Olry lors de son passage à Bucarest
    et surtout, je suis heureuse d’apprendre qu’avec Maryse, vous avez pris la
    décision de vous marier au bout de 15 ans de vie commune. Félicitations et
    plein de bonheur à tous les deux !

    Les radioamateurs de Roumanie



    Dans le message que je viens de
    citer, vous affirmez que vous aimeriez savoir s’il y a des radioamateurs en
    Roumanie. Vous avouez que cette question vous a été inspiré par un film
    français sorti en 1956, à savoir « Si tous les gars du monde ». Pour
    ceux qui n’ont pas eu l’occasion de voir le film, M. Marsan raconte brièvement
    son histoire. Il s’agit d’un petit chalutier de Concarneau en pêche en haute
    mer dont l’équipage tombe victime d’une infection alimentaire. Le commandant de
    bord veut envoyer un signal de détresse par la radio, mais son matériel est en
    panne. Etant radio amateur, il va mettre en service son équipement personnel en
    utilisant les gammes de fréquences amateur. Ainsi dans le monde entier, une
    chaine va se former grâce aux radioamateurs du monde qui permettra d’acheminer
    par avion le sérum nécessaire jusqu’au bateau en détresse. » Une histoire
    très émouvante, vous avez entièrement raison. Cela me fait penser aussi à une
    discussion que nous avons eue, un jour, à la radio, dans le contexte des
    conflits mondiaux susceptibles de produire des soucis de communication. Et Alex
    disait et je lui donne entièrement raison, que la radio à ondes courtes s’avère
    extrêmement fiable, car les signaux peuvent être reçus même dans des régions
    éloignées ou dans celles où les infrastructures de communication sont limitées.
    Voilà pourquoi les ondes courtes restent un moyen de communication auquel on
    peut faire entièrement confiance. Et pour répondre à votre question, bien sûr
    qu’il existe des radioamateurs en Roumanie. Nous avons même une Fédération des
    radioamateurs
    qui réunit les différents clubs à travers le pays et dont le
    nombre se monte à une cinquantaine. Chaque année, plusieurs compétitions ont
    lieu parmi lesquelles, le Championnat national en ondes courtes, la Coupe de la
    Roumanie en ondes courtes, le Championnat national individuel de Télégraphie,
    le Championnat national d’orientation radio individuel, par équipes ou pour les
    jeunes ou encore le Championnat national de création technique. Bien
    évidemment, il y a aussi des compétitions internationales auxquelles la
    Roumanie participe telles le Championnat balkanique en ondes courtes, le
    concours en DX All Asian DX Contest et d’autres. Il existe un collège en charge
    de la coordination du réseau radiophonique en cas de situation d’urgence ayant
    à sa tête Marian Aradoaiei. La fédération roumaine des radioamateurs a son
    propre site à l’adresse www.hamradio.ro et
    bien évidemment des séries de QSL.


    QSL 2023


    A propos de cartes QSL. Un mois avant
    la fin de l’année, RRI a enfin la nouvelle série de cartes qui, comme je viens
    de le dire, sera uniquement virtuelle. C’est une série consacrée à la ville de
    Timisoara, capitale culturelle européenne en 2023 et que nous vous présentons
    dans le cadre du Courrier des auditeurs. La semaine dernière, Alex vous a fait
    découvrir la cathédrale Saint-Georges et le
    Palais Episcopal de Timisoara, vos QSL pour les mois de mai et de juin. Moi, je
    continue la présentation de la série avec deux autres monuments correspondant
    chacun, à un mois de l’année.

    QSL juillet 2023 – La Cathédrale métropolitaine orthodoxe de Timisoara.



    Alors, à ceux d’entre vous ayant
    rédigé des rapports d’écoute pour juillet, nous allons envoyer une jolie carte
    avec la Cathédrale métropolitaine orthodoxe de Timisoara. C’est l’édifice
    religieux le plus grand de Timișoara. Sa construction remonte aux années 1936-1940
    et elle est en étroite relation avec l’année 1919, lorsque, le 28 juillet, la
    région de Banat s’est réuni aevec le Royaume de la Roumanie.


    Le style architectural, à la fois
    unique et inhabituel pour un lieu de culte orthodoxe, mélange des éléments
    spécifiques au style roumain à des éléments byzantins présents également dans
    plusieurs monastères du 14e siècle. Doté de neuf grands clochers et de quatre
    plus petits, l’édifice est construit sur une charpente faite de plaques de
    béton armé. Plus d’un millier de piliers enfoncés jusqu’à 20 mètres de
    profondeur sous cette plaque soutiennent les voûtes. La cathédrale mesure 63
    mètres de long et 32 mètres de large. D’un poids total de 8000 kilos, les sept
    cloches qui fabriquées avec des matériaux originaires des îles de Sumatra et de
    Bornéo ont bénéficié du talent du compositeur Sabin Drăgoi qui a réalisé
    l’harmonisation de leurs sonneries. Dans le sous-sol de la cathédrale métropolitaine,
    les visiteurs peuvent admirer une riche collection d’objets religieux anciens
    et d’icônes. Du 2003 au 2006, les fresques ont été nettoyées, en conférant à
    l’édifice son éclat d’autrefois.


    QSL août – la Maison Brück



    Passons maintenant à la carte QSL
    pour le mois d’août
    consacrée à la Maison Brück dont la construction que l’on doit aux architectes Székely László et
    Arnold Merbl remonte à 1910. Construit sur quatre niveaux, avec sous-sol,
    rez-de-chaussée et trois étages, l’édifice propose un mélange de styles architecturaux
    avec des éléments Art nouveau et Sécession auxquels s’ajoutent des motifs
    folkloriques hongrois.

    Des carreaux de céramique, ornés
    d’éléments propres à la Sécession hongroise et qui renvoient aux édifices de
    Budapest décorent la façade sur laquelle on peut voir, inscrites sur le
    frontispice, les initiales du premier propriétaire Salamon Brück. Construit
    entièrement en brique, les murs ont 70 centimètres d’épaisseur et le plafond
    est voûté. Une fois la construction achevée, son propriétaire, Salamon Brück y
    a ouvert en 1910, au rez-de-chaussée, une pharmacie, ouverte de nos jours
    encore et dont une partie du mobilier date du début du XXème siècle. Le mot «
    Pharmacie » est marqué en haut du frontispice en trois langues : roumain,
    hongrois et allemand.


    Lors d’un voyage d’affaires entrepris
    à Timisoara, en 1997, un Italien, Gianluca Testa, a pris conscience de
    l’importance historique de la Maison Brück, divisée en plusieurs appartements.
    Il en achète un et il décide de démarrer
    la restauration de tout le bâtiment. Il obtient les certificats nécessaires et
    il démarre des travaux de rénovation de la façade, de l’escalier intérieur et
    de toutes les chambres. Le coût des travaux s’est monté à 300 000 euros.


    Nouari Naghmouchi, Algérie


    Dirigeons-nous vers l’Algérie pour un
    petit coucou amical à Nouari Naghmouchi. Comment allez-vous ? Merci
    beaucoup de vos vœux à l’occasion du 95ème anniversaire de Radio
    Roumanie, votre belle station comme vous avez la gentillesse de l’appeler. Pour
    ceux d’entre vous qui ne le savent pas, je rappelle que cette année, le 1er
    novembre, Radio Roumanie a célébré les 95 ans de sa première transmission en
    direct. Cet événement s’est produit en 1928, à 17h00, lorsque l’annonce «
    Bonjour, ici Radio Bucarest » a été entendue sur les ondes, prononcée par le président
    de la Société de diffusion radiotéléphonique de l’époque, le physicien Dragomir
    Hurmuzescu. Cher Nouari Naghmouchi, bien des choses à vous et à vos proches et
    à très bientôt sur nos ondes.



    C’est tout pour
    aujourd’hui. Ioana vous remercie de votre attention et vous donne rendez-vous
    en 2024, au micro du courrier des auditeurs. En attendant, portez-vous bien et
    prenez soin de vous ! A bientôt !



  • Hörerpostsendung 07.05.2023

    Hörerpostsendung 07.05.2023





    Liebe Hörerfreunde, herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI. Im Studio begrü‎ßt Sie an dieser Stelle den ganzen Monat Mai S.G.



    Zu Beginn möchte ich erneut über das Thema QSL-Karten sprechen. Mehrere Hörer haben uns gefragt, ob wir dieses Jahr wieder eine QSL-Kartenserie verlegen und ob es noch eine Chance gibt, dass wir auch für Empfangsberichte für das vergangene Jahr QSL-Karten zuschicken. Ich habe da leider schlechte Nachrichten. Letztes Jahr wurde uns einfach kein Budget für QSL-Karten bewilligt, es hie‎ß einfach, man müsse sparen. Für dieses Jahr erhielten wir zwar eine Zusage für eine neue Serie, wann sie aber verlegt wird, wei‎ß niemand. Auch in der vergangenen Jahren au‎ßer dem letzten wurden sie ziemlich spät gedruckt, etwa im Juni oder Juli. Ich will Ihnen daher keine falschen Hoffnungen machen und kann nur sagen: Möglicherweise werden wir dieses Jahr eine neue QSL-Serie haben.




    Und jetzt zu Hörerzuschriften. Kollegin Dora Mihălcescu hatte vergangenen Sonntag die Frage eines Hörers für mich aufgehoben. Ralf Handel, ein Funkamateur aus Deutschland, meldete sich per E-Mail):



    Hallo!



    Mit einer neuen Antenne habe ich heute wieder einen Versuch gestartet, RRI auf digitalem Weg per DRM zu empfangen. Die Signalstärke ist hervorragend, das SNR beträgt 22 dB. Aber dennoch gelang es mir mit keinem meiner zur Verfügung stehenden Decoder auch nur eine Sekunde des Programms zu empfangen. Die Stationen per AM auf den benachbarten Frequenzen waren dafür ohne jegliche Störungen zu hören.


    Wieder einmal muss ich der digitalen Kurzwelle, DRM, ein vernichtendes Urteil geben. Es funktioniert einfach nicht. So bleibt mir dieser Service von RRI versagt. Geldverschwendung gewisserma‎ßen. Ich würde mich sehr über eine Rückmeldung freuen, vor allem darüber, wie

    viele Hörer die Aussendung per DRM empfangen können. Mit einem SDR-Empfänger scheint es jedenfalls aussichtslos zu sein, es funktioniert einfach nicht. Und auch das DRM-Konsortium schweigt einfach, ich habe von dort auch bislang keinerlei Antwort bekommen.

    Schade…



    Und ein weiterer Hörer, Mario Schöler (aus Bad Blankenburg, Deutschland), schickte sechs Empfangsberichte (alle für April) und fragte:



    Wie viel Prozent der Empfangsberichte via Kurzwelle sind Empfangsberichte Ihrer DRM-Sendungen?




    Liebe Freunde, danke für das Feedback. Warum unser Vorstand auf diese nicht allzu verbreitete Sendetechnik setzt, kann ich Ihnen nicht sagen. Denn zum einen sind die DRM-Empfänger teuer und au‎ßerdem auch noch schwer zu bedienen. Zum anderen haben wir in der Tat nicht viele Hörer, die uns regelmä‎ßig über den DRM-Empfang berichten. Es sind vielleicht 4 oder 5, darunter auch ein Hörer aus China. Daher leite ich die Frage einfach weiter und bitte die Hörer, die sich die Mühe machen, einen DRM-Empfänger zu bedienen — ob nun mit Decoder, per Computer oder anderswie –, uns darüber zu berichten, und ich werde ihre Erfahrung dann gerne weiterleiten.




    Stefan Druschke meldete sich aus Kerpen, NRW, per E-Mail:



    Liebe Freunde vom deutschen Programm!



    Die Sendungen von Radio Rumänien International in deutscher Sprache höre ich weiterhin gern und regelmä‎ßig, normalerweise am Wochenende am Nachmittag oder Abend. Manchmal habe ich auch Zeit für die Morgensendung als Zusammenfassung vom Vortag.



    Heute war ich am Nachmittag wieder am Kurzwellenempfänger und habe mich über eine weitere schöne Sendung gefreut.



    Mich interessieren vor allem die Nachrichten zu Beginn der Sendung. Auch die Radio-Tour und Kulturbeiträge höre ich gern. Der Empfang heute am frühen Nachmittag war sehr gut, und auch sonst ist RRI nachmittags und abends meist gut zu hören.



    Für heute möchte ich mich nun auch wieder verabschieden. Vielen Dank für die täglichen schönen Sendungen aus Bukarest!



    Viele liebe Grü‎ße


    Stefan Druschke



    Vielen Dank für die Rückmeldung, lieber Herr Druschke, und herzliche Grü‎ße!




    Eine weitere E-Mail erhielten wir von Christian Terhorst (aus Rheine, Münsterland):



    Sehr geehrte Damen und Herren,



    heute möchte ich Ihnen nach längerer Zeit einmal wieder einen Empfangsbericht schicken. Schon gestern Nachmittag (30.04.) hörte ich Ihre Sendung mit einem schönen Jazz/Blues-Programm, dass mir sehr gut gefallen hat. Auch die Sendung Radiotour über u.a. Schlammvulkane finde ich sehr interessant!



    Mit freundlichem Gru‎ß aus dem sonnigen Münsterland


    Christian Terhorst



    Vielen Dank und herzliche Grü‎ße, lieber Herr Terhorst.



    Carsten Fenske ist Greifswald zu Hause, meldete sich diesmal aber aus seiner Sommerresidenz im Camping:



    Liebes Team von Radio Rumänien INTERNATIONAL, Deutsche Redaktion,



    nachdem ich Sie, aus organisatorischen Gründen, gut vierzehn Tage nicht hören konnte, bin ich nunmehr wieder ganz nahe bei Ihnen und schalte täglich zu. Hiermit bestätige ich den vollständigen Empfang Ihrer Sendung vom 30. April 2023, von 18:00 bis 19:00 Uhr UTC, auf 9570 KHz.



    Als Empfänger kam ein XHDATA 808 mit 10 Meter Langdrahtantenne zur Anwendung. Die Signalstärke war allerdings recht schwach und somit hie‎ß es Die Ohren zu spitzen“, um alles mitzubekommen.



    Geradezu neidisch habe ich Ihren Wetterbericht gehört. Bukarest — 20 Grad Celsius. Hier im Norden von Deutschland lässt der Frühling noch auf sich warten. In der Nacht waren es gerade mal +2 Grad Celsius und am Tage um die +8. Somit bin ich gezwungen, meine Propangasheizung im Wohnwagen noch weiter zu betreiben. Wenigstens muss ich das Bier nicht kühlen.



    Es kommt eben immer auf den Blickwinkel an.



    Mit Hörer- und Campergrü‎ßen aus meinem Sommerquartier im Waldcamp Freest



    Ihr Hörer Carsten Fenske, Deutschland




    Vielen Dank für das Feedback, lieber Herr Fenske, und herzliche Grü‎ße an die kühle Ostseeküste!




    Für heute muss ich an dieser Stelle schon Schluss machen, denn gleich im Anschluss kommt die Jazz-Ecke, die heute nahezu 20 Minuten lang ist. S.G. sagt: Danke fürs Zuhören und bleiben Sie dran!

  • Le Courrier des auditeurs du 16.09.2022

    Le Courrier des auditeurs du 16.09.2022

    Madame, Monsieur, bonjour
    ou bonsoir où que vous soyez. Comment allez-vous ? J’espère que cette
    nouvelle édition du courrier vous trouve en pleine forme et que vous soyez
    nombreux à m’écouter répondre à vos lettres et messages.


    Je voudrais commencer par
    vous proposer à faire halte au Canada pour passer le bonjour de nous tous à
    Roger Roussel, un fidèle ami de Radio Roumanie Internationale dont les rapports
    d’écoute sont particulièrement bien fournis. En ce moment, j’ai devant moi plusieurs
    rapports d’écoute pour le mois de mai. Je suis très contente de voir que vous
    restiez à l’écoute de nos programmes à destination du Canada. Vous avez suivi
    nos actualités, nos programmes de musique, le Courrier des auditeurs, vous avez
    apprécié nos Invités du jour et les livres présentés dans le cadre de la
    rubrique Le coup du cœur du libraire, réalisée en partenariat avec Kyralina, la
    librairie française de Bucarest. Et puis, à part des rapports d’écoute
    extrêmement bien détaillés, vous nous faites la joie de nous envoyer de petites
    surprises, comme par exemple quelques jolis timbres ou, plus intéressant
    encore, un article que vous avez écrit vous-mêmes dans un journal local, l’Echo
    de le Goulet, au sujet de la radiodiffusion en Ukraine. Tout ce que vous avez
    écrit c’est très intéressant et je voudrais en citer un petit extrait. Vous
    dites « mes première écoutes des émissions en anglais de la radio
    ukrainienne remontent à septembre 1980. Des émissions quotidiennes, d’une
    heure, composées de commentaires, actualités, musique, chansons folkloriques et
    variétés vers l’Amérique du Nord. En 1983, j’étais membre du club DX de Radio
    Kiev ». Et, j’arrive vers la fin de l’article, où vous racontez « dans des
    documents d’archives, je possède des cartes de vérification et informations
    générales à la fois de Radio Kiev et de Radio Ukraine International ». Et
    puis, vous marquez en conclusion « les horribles bombardements et les
    destructions causés par cette guerre n’augurent rien de bon. Tous les domaines
    de la société ukrainienne auront du mal à se relever. De plus, cette
    catastrophe bouleverse les institutions du monde entier. Il faut trouver une
    solution rapide à ce conflit pour le bien de l’humanité », fin de
    citation. Effectivement, c’est ce que tout le monde espère. Merci à vous, cher
    Roger Roussel et bonne fin de semaine en compagnie de RRI !



    On se déplace en France, dans
    la Gironde, pour un petit coucou à notre ami de longue date, Philippe Marsan
    qui nous écrit « Bonjour les Amis de RRI. A l’écoute ce 15 juillet 2022 à
    16h00 Tu sur 11975 kHz avec un sinpo moyen oscillant entre 3 et 4/5. Pourquoi
    ce sinpo très moyen ? Les fortes chaleurs présentes dans notre région m’ont
    fait éviter d’utiliser l’antenne extérieure car devant ouvrir la fenêtre. C’est
    donc un récepteur Brandt RS-825 de 1980 équipé d’une antenne télescopique
    intérieure verticale assez courte que j’ai utilisé d’où ce sinpo
    médiocre ». Heureusement qu’il existe une explication et que ce ne sont pas
    nos émetteurs qui posent problèmes. Sinon, Charlotte se remet à moi pour vous
    remercier de votre retour par rapport à son courrier des auditeurs. Et puis,
    bien sûr que je vais transmettre à Ligia votre petit message, cela va lui faire
    chaud au cœur. Elle nous manque beaucoup, vous savez, mais on espère l’avoir,
    ne serait-ce que de temps en temps, au micro de RRI. Merci à vous pour tous les
    détails sur notre programme, c’est très important pour nous de savoir quelles
    sont les rubriques et les programmes qui suscitent le plus votre attention. Des
    confirmations par cartes QSL seront bientôt en route vers Biganos. En
    attendant, gros bisous de la part de nous tous !



    Bonjour à notre ami
    français, Gilles Gautier qui voudrait apprendre davantage sur les passe-temps
    préférés des séniors roumains.

    On dit souvent que la
    Roumanie englobe, en fait, deux pays : la Roumanie urbaine, celle des
    grandes villes comme Bucarest, Brasov, Cluj, Iasi, Constanta ou Timisoara et une
    autre, rurale, où la vie se déroule au même rythme que dans les années 1970.
    Dans cette partie de la Roumanie, les gens vieillissent très vite et au fur et
    à mesure que cela se passe, leur état physique et psychique se dégrade. Pas de
    loisirs pour la plupart d’entre eux, sauf les repas en famille, les messes à
    l’église ou les brins de causette avec les voisins. De temps en temps, les
    mairies locales organisent des fêtes champêtres ou des pèlerinages aux
    monastères pour des prix dégriffés, car, malgré un travail soutenu, la plupart de ces gens vivent dans la précarité. Ils s’occupent
    de leurs potagers et ils élèvent parfois des volailles, mais juste pour leurs
    besoins personnels.


    La situation change si l’on
    se déplace en milieu urbain. Mais, même dans les grandes villes, le sort des
    séniors diffère en fonction de leurs moyens financiers, de leur état de santé,
    de leur degré de mobilité et de leur niveau d’éducation. Selon une enquête
    commandée en pandémie par l’Association « Jamais seul – Les amis des
    personnes âgées », un sénior roumain sur trois, soit 32% de la population
    âgée urbaine, se sent isolé et manque d’un entourage capable à lui
    donner un coup de main en cas de nécessité. Le sondage montre que dans la
    catégorie des ceux de plus de 65 ans vivant en milieu urbain, une personne sur quatre, soit 450.000
    personnes, se sent extrêmement seule et 36% des retraités se sentent plutôt seuls. Des
    facteurs comme la dégradation de leur état de santé ou la perte de leur
    partenaire de vie font que les séniors roumains n’arrivent plus à socialiser.
    Les chiffres sont inquiétants : 28% des retraités roumains n’interagissent
    qu’avec quatre personnes tout au plus, par mois, affirme l’Association
    « Jamais seul – Les amis des personnes âgées ». Selon les
    spécialistes, le sentiment de solitude contribue à la dégradation de l’état de santé
    des séniors roumains menant leur vie dans les villes. Sur leur ensemble, un
    quart affirme avoir le moral en berne et 39% des ceux qui se disent très seuls
    ont des soucis de santé. On assiste malheureusement, à un cercle vicieux, car
    la santé précaire ne fait qu’isoler davantage ces gens qui, du coup, se voient
    abandonner par la société. La plupart des séniors roumains, soit 64%, restent
    chez eux, à regarder la télé ou à faire la cuisine. Seulement 43% des retraités
    sortent se promener dans le parc ou dans leur quartier, 33% restent devant la
    télé et 27% ont des préoccupations diverses telles le jardinage ou d’autres
    hobbies. Plus on souffre de solitude, plus on a la tendance de s’isoler,
    s’alertent les experts qui remarquent que pour nombre de séniors roumains la prise
    de la retraite déclenche un sentiment d’inutilité. Faute de moyens financiers, faute de
    structures censées les accueillir pour les occuper, les retraités de Roumanie
    sont perçus souvent comme des victimes d’une société qui les délaisse. Ceux qui
    profitent vraiment de leur retraite sont plutôt les séniors issus des milieux
    éduqués, bien entourés, disposant de ressources financières leur permettant
    de voyager ou encore de s’occuper de leurs passions. Et puis, disons aussi que
    dans un pays où le niveau de vie est plutôt bas, nombre de séniors continuent à
    travailler même après la retraite pour pouvoir joindre les deux bouts. Et
    l’hiver n’est pas encore venu ! L’Association « Jamais seul – Les
    amis des personnes âgées » est une organisation non gouvernementale qui
    depuis 2015 soutient les pensionnaires des foyers pour les séniors de plusieurs
    villes roumaines telles Bucarest,
    Brăila, Ploieşti, Piteşti, Constanţa, Iaşi, Cluj-Napoca, Braşov, Râmnicu Vâlcea
    et Târgovişte.

    Restons toujours en France pour un petit clin d’œil amical à
    nos amis du Club Radio DX d’Auvergne. Comment ça va ? Nous sommes ravis de
    vous savoir à l’écoute de nos émissions à propos desquelles vous dites et je
    cite « nos remerciements pour la qualité de vos émissions sur RRI qui ont
    fourni matière à notre bulletin ». Effectivement, j’ai devant moi le
    bulletin de la Radio DX Club d’Auvergne avec un petit mot chaleureux pour notre
    collègue Ligia qui a pris dernièrement sa retraite. Sachez, chers amis, que je
    lui ai fait parvenir votre message et elle en a été particulièrement touchée.
    Elle se joint à moi pour vous remercier et elle espère revenir, ne serait-ce
    que temps en temps, au micro de RRI. Par ailleurs, grand merci à votre équipe
    d’avoir consacré un petit article au thème de la Francophonie tel qu’il a été
    illustré dans une des éditions des Paroles jeunes et du Courrier des auditeurs.
    Cela nous rend très fiers et nous encourage à continuer à nous batailler
    pour faire perdurer les émissions en français sur les ondes de la radio
    nationale.


    Comment va notre auditeur Jean Marc Olry de France ?
    Merci bien pour la très jolie carte postale et surtout pour le rapport d’écoute
    et les détails sur nos émissions qui figurent sur le verso. Vous avez donc aimé
    l’édition de notre programme touristique « Visitez la Roumanie »
    consacrée à Sighetul Marmatiei, près de la frontière avec l’Ukraine, tout comme
    le Jazz ou le flash infos. Et bien évidemment, notre ami a été à l’écoute du
    Courrier des auditeurs, l’occasion d’entendre en direct Valentina lui remercier
    pour ses cartes postales. Je confirme, nous avons bien reçu cette dernière.
    Ceci dit, bien des choses à vous et à vos proches et à la prochaine.



    Madame, Monsieur, c’est tout pour aujourd’hui. Ioana vous
    remercie de votre attention et vous donne rendez-vous d’ici un mois à une
    nouvelle édition du courrier. En attendant, restez à l’écoute de RRI !



  • Hörerpostsendung 12.06.2022

    Hörerpostsendung 12.06.2022



    Liebe Freunde, herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI! Aus Bukarest begrü‎ßt Sie S.G.



    Heute möchte ich mit einigen Postbriefen beginnen, die Ende Mai bei uns eingetroffen sind, obwohl manche sogar noch im April abgeschickt worden waren. Einige Hörer sprechen erneut das wehleidige Problem des Senderausfalls bzw. des schlechten Empfangs an und erkundigen sich auch nach den diesjährigen QSL-Karten. So etwa schrieb Ulrich Wicke (aus Felsberg, Hessen):



    Liebe Freunde,



    anbei ein weiterer Empfangsbericht. Ich würde mich sehr freuen, wenn Ihr mir auch einmal wieder eine QSL-Karte zusenden könntet. Ebenfalls würde ich es sehr begrü‎ßen, wenn Ihr um 18 Uhr UTC wieder auf der analogen Kurzwelle senden würdet.




    Und Johann Ruff (aus Mühlheim am Main, ebenfalls in Hessen) schrieb:



    Leider ist die KW-Frequenz 9600 kHz hier sehr schlecht. Der Sender ist scheinbar nicht in Ordnung. Die Modulation ist auch nicht besonders. Gibt es durch die Flüchtlingskrise finanzielle Schwierigkeiten beim Sendebetreiber in Rumänien? Oder ist die Frequenz schlecht gewählt?




    Vielen Dank für das Feedback. Ich habe leider keine Neuigkeiten. Wie Sie wissen, sind unsere analogen Frequenzen 11880 kHz für Nachmittagssendung und 9570 kHz für die Abendsendung so gut wie tot. Einen direkten Kontakt zu den Sendebetreibern haben wir leider nicht, von höheren Etagen unseres Senders hie‎ß es nur, dass es sich um defekte Teile handelt, die derzeit auf dem Markt nicht aufzutreiben sind. Ob das mit dem Krieg in der Ukraine und der Flüchtlingskrise zusammenhängt, kann ich Ihnen auch nicht sagen, gut möglich ist es aber, denn zunächst die Pandemie und dann der Krieg haben internationale Lieferketten schwer beeinträchtigt. Die Frequenz 9600 kHz funktioniert allerdings, nur sind die Empfangsbedingungen je nach Region sehr unterschiedlich. So etwa meldete Anfang des Monats Paul Gager aus Wien, dass der Empfang in Ostösterreich sehr gut ist, während Martina Pohl aus Überlingen am Bodensee sehr schlechte Empfangsqualität in ihrer Heimatregion meldete — das Signal sei sehr schwach und meistens seien nur vereinzelt Bruchteile von Sätzen zu verstehen. Da hilft momentan leider nichts anderes, als sich entweder einen DRM-Empfänger zu besorgen — und ich wei‎ß, dass die Geräte alles andere als kostengünstig sind — oder auf die Podcasts auf unserer Webseite oder auf der Plattform Soundcloud zurückzugreifen.



    Auch hinsichtlich der QSL-Karten habe ich leider keine guten Nachrichten. Prinzipiell planen wir in jedem Jahr eine Serie, doch wie vergangenes Jahr wissen wir nicht, ob und wann wir das Budget genehmigt bekommen, damit wir die Serie auch verlegen können. Letztes Jahr hat es ja auch erst im Juni oder Juli geklappt. Da hilft auch nur abwarten und hoffen oder — wie man auf rumänisch sagt: Răbdare și tutun!“, was soviel hei‎ßt wie Geduld und Tabak muss man haben.“ Das hei‎ßt natürlich nicht, dass ich jemanden zum Rauchen ermutige — fangen Sie lieber erst gar nicht damit an!



    Der Krieg in der Ukraine sorgt ohnehin auch über die Flüchtlingskrise hinaus für gro‎ße Schwierigkeiten in Rumänien. Aufgrund der Seeblockade der ukrainischen Häfen durch die russische Kriegsmarine versucht die Ukraine nun, einen Teil seiner Exporte über die rumänischen Häfen am Schwarzen Meer sowie über den Stra‎ßenverkehr abzuwickeln. Da Rumänien nicht über Nacht die notwendigen Abfertigungskapazitäten einrichten kann, kommt es zu riesigen Schlangen und Wartezeiten von mehreren Tagen bis Wochen an den Grenzübergängen — die Nerven liegen auf beiden Seiten blank. Moskau erwägt zwar immer wieder, die Eröffnung eines Korridors für die Ausfuhr von Getreide aus den ukrainischen Häfen erlauben zu wollen, doch ist die Lage weitaus komplizierter — Mariupol ist weitgehend zerstört und der Hafen von Odessa ist von den ukrainischen Streitkräften vermint worden, um einen möglichen Angriff der Russen von See aus zu vereiteln. Allein die Tatsache, dass Russland durch diesen Krieg und durch den Raub von Getreide oder die Zerstörung ukrainischer Silos eine mögliche Hungerkatastrophe in anderen Teilen der Welt wissentlich in Kauf nimmt und dies unverhohlen auch noch als Waffe einsetzt, zeigt, was für eine brutale, kriminelle, ja schlicht menschenfeindliche Clique in Moskau an der Macht ist.




    Weitere Postbriefe mit Empfangsberichten und Gru‎ßkarten erhielten wir von Christoph Thomas, Christoph Paustian, Erhard Lauber, Peter Möller, Klaus Huber und Marcel Gogolin (D) sowie von Georg Feichtinger (A).




    Das vergangene Woche ausgestrahlte Interview mit Herrn Carsten Fenske fand gro‎ßen Anklang und Zuspruch unter unseren Hörern — wir erhielten gleich mehrere Reaktionen per E-Mail. Hier ein paar Auszüge:



    Die allererste Reaktion kam von Peter Vaegler aus Stralsund, der vor zwei Jahren eigentlich zusammen mit Herrn Fenske zu uns kommen wollte. Und als seine E-Mail Anfang der Woche ankam, war Herr Fenske noch unterwegs:



    Liebe Freunde in Bukarest!



    Dies ist meine erste Zuschrift in diesem Jahr. Ich habe gelegentlich die Sendungen verfolgt, aber nicht geschrieben, da ich nach fast 54 Jahren keinen allzu gro‎ßen Wert mehr auf QSL-Karten lege. Das Hobby hat für mich an Bedeutung verloren, neben Ihrem Sender höre ich eigentlich nur noch Prag und Warschau gelegentlich.



    Warum ich heute wieder schreibe, lag natürlich an dem Interview mit Herrn Carsten Fenske, der in den letzten Tagen in Bukarest weilte und auch die deutsche Redaktion besuchte. Diesen Besuch wollten wir eigentlich schon vor zwei Jahren machen, er mit dem Motorrad, und ich wäre mit dem Flugzeug hinterhergekommen. Doch dann kam die Pandemie, und eine Reise war nicht mehr möglich. Es hat auch anderthalb Jahre gedauert, bis mir die Fluggesellschaft das Geld für meinen Flug erstattet hat. Daher freue ich mich besonders, dass Herr Fenske seinen Plan jetzt umsetzen konnte.



    Ich stehe täglich mit ihm per WhatsApp oder Telefon in Kontakt. Gerade hat er mich angerufen und mir mitgeteilt, dass er gut durch die Karpaten gekommen ist und sein erstes Etappenziel erreicht hat.




    Auch Ralf Urbanczyk (aus Eisleben, Sachsen-Anhalt) nahm Bezug auf das Studiogespräch mit Carsten Fenske:



    Ich habe mich gefreut, das spannende Interview mit dem langjährigen Hörer Carsten Fenske im letzten Funkbriefkasten verfolgen zu können. Endlich hatte er es nach Rumänien geschafft, nachdem die Reisebeschränkungen wegen Corona ihm so oft einen Strich durch die Rechnung gemacht hatten. Mit dem Motorrad von Greifswald bis nach Bukarest klingt nach einer spannenden Tour. Die Probleme mit dem Empfang der Sendungen wegen des Ausfalls einer analogen Frequenz, die auch im Interview angesprochen wurden, kamen schon im Funkbriefkasten vor einer Woche zur Sprache. Ich selbst bin vor zwei Jahren auf ein Radio mit DRM-Möglichkeit umgestiegen und höre seitdem Radio Rumänien International fast ausschlie‎ßlich in dieser digitalen Betriebsart. Glücklicherweise waren die DRM-Frequenzen nicht vom Senderausfall betroffen. Beim Hören in der DRM-Betriebsart finde ich es immer irgendwie faszinierend, wenn aus dem Rauschen plötzlich ein ziemlich klarer Ton wird. Im Sommer habe ich nie irgendwelche Probleme, das Programm aussetzerfrei zu hören, im Gegensatz zu den vier Monaten von November bis Februar. In meiner Heimatstadt im mittleren Sachsen-Anhalt ist dann immer noch Empfang möglich, wenn in meiner Arbeitsstadt im Südosten Bayerns kaum noch etwas geht.




    Michael Reiffenstein (aus Frankfurt am Main) merkte kurz an:



    Sehr geehrte Damen und Herren!



    Ich hörte Ihr Interview mit Herrn Fenske am Montag früh. Die Kurzwellen-Ausstrahlungen Ihrer Programme müssen bleiben.




    Und schlie‎ßlich schrieb auch Siegbert Gerhard, der ebenfalls in Frankfurt am Main zu Hause ist:



    Liebe Freunde von Radio Rumänien International,



    danke für die interessanten, gut recherchierten und thematisch ausgewogenen Kurzwellen-Programme.



    Wochenspiegel und Kulturchronik — sehr informativ. Die Musikecke mit Rockmusik hat mich sehr begeistert. Die sonntäglichen Jazz-Musiken gefallen mir sehr. Interessant und lebendig wie immer die Hörermeinungen und Ihre Antworten im Funkbriefkasten. Herzliche Grü‎ße an RRI-Hörer Carsten Fenske, dessen Gespräch mit Irina Adamescu mir sehr gefallen hat. Wir alle bedauern mit ihm und allen Hörern den monatelangen Ausfall der deutschen Abendsendung wegen technischer Probleme der Sendestation. Ich bin mit Carsten einig, die überall gut zugängliche Kurzwelle am Leben zu halten. Internet ist abschaltbar.




    Liebe Hörerfreunde, Ihnen allen vielen Dank für die Zuschriften und für das unverminderte Interesse an unseren Sendungen! An dieser Stelle verabschiede ich mich, machen Sie’s gut, bleiben Sie gesund und schalten Sie auch demnächst unseren Sender wieder ein!

  • QSL 12/2021: Großwardeiner Weihnachtsmarkt

    QSL 12/2021: Großwardeiner Weihnachtsmarkt

    Im Dezember ist der Unirii-Platz (Vereinigungsplatz) in Oradea mit Magie, Zimtgeruch, Glocken, Weihnachtsliedern und Freude erfüllt, wenn der Gro‎ßwardeiner Weihnachtsmarkt — eine der bekanntesten Veranstaltungen der Stadt — eröffnet wird.



    Traditionen, Lve-Konzerte und kulinarische Köstlichkeiten sind wunderbar mit tausenden von Lichtern, Dekorationen und handgefertigten Souvenirs verwoben, und die Kinder können sich auf der Eislaufbahn, dem Karussell oder bei anderen Aktivitäten und Attraktionen auf dem Jahrmarkt vergnügen.



    Ob sü‎ß oder salzig, würzig oder leicht scharf — während des Gro‎ßwardeiner Weihnachtsmarktes können Sie sich alle möglichen Leckereien auf der Zunge zergehen lassen. Die Einwohner von Oradea, perfekte Gastgeber, werden Sie zusammen mit dem Weihnachtsmann höchstpersönlich mit offenen Armen empfangen und alles tun, damit Sie sich auf dem hiesigen Weihnachtsmarkt wie zu Hause fühlen.

  • Décembre 2021

    Décembre 2021

    En décembre, la Place de l’Union
    d’Oradea se remplit de magie : parfum de cannelle, son de clochettes,
    chants de joie – c’est le marché de Noël, un des événements les plus connus de
    la ville. Les traditions, les concerts sur scène, les gourmandises n’y manquent
    pas non plus, alors que sous des milliers de petites lumières, les décorations
    en tout genre et les produits faits à la main font la joie des petits et des
    grands. Les enfants y sont invités pour profiter de la patinoire, du carrousel et
    autres activités intéressantes. Les gourmands sont bien servis eux aussi :
    qu’ils préfèrent le sucré ou le salé, le piquant ou le pimenté, il y a des
    produits délicieux pour tous les goûts ! Enfin, les habitants de la ville,
    accompagnés par Père Noël lui-même, vous recevront les bras ouverts et feront
    de leur mieux pour rendre votre visité au Marché de Noël d’Oradea un des plus
    beaux moments de votre journée. Bref, à Noël la magnifique ambiance de fête s’empare
    de la belle ville d’Oradea !

  • QSL-картка за грудень 2021 року

    QSL-картка за грудень 2021 року

    Запрошуємо вас до Ораді, просякнутої святковою атмосферою Різдва! У грудні площа Об’єднання в місті Орадя заворожує своєю святковою чарівністю,
    запахом кориці, звучанням дзвіночків та колядок на традиційному Різдвяному ярмарку, що є однією з найяскравіших подій року.

    Традиції, живі концерти та кулінарні шедеври дивовижним чином поєднуються з тисячами вогників, святковими прикрасами і сувенірами ручної роботи. Діти можуть покататися на ковзанці, каруселях або на оглядовому колесі, а також порозважатися на інших атракціонах ярмарку!

    Солодке або солоне, духмяне або злегка гостре – ваші смакові рецептори відчують справжню феєрію смаку та вишуканого аромату тутешніх страв і напоїв. Мешканці Ораді є гостинними ґаздами, які разом з Дідом Морозом, завжди зустрінуть вас з розпростертими обіймами і зроблять все можливе, щоб ви відчули себе як вдома на місцевому Різдвяному ярмарку.

     

  • Novembre 2021

    Novembre 2021

    La
    Synagogue néologiste de Sion, la troisième synagogue d’Europe comme dimensions,
    est une réplique simplifiée et moderne de la Synagogue de Nürnberg. La
    construction au cœur de la Ville nouvelle de cette synagogue impressionnante, dotée
    d’un orgue monumental et d’une capacité de plus d’un millier de personnes
    intervient en 1878, suite à la séparation au sein de la communauté juive
    d’Oradea entre les orthodoxes et les congressistes ou néologistes. Bâtie dans
    un style architectural inspiré du mauresque, la synagogue est connue aux
    habitants de la ville comme Le Temple de Sion, associé à la personne du célèbre
    grand rabbin Lipot Kecskemeti. Cette imposante construction fut dressée selon
    les plans des architectes Busch David et Rimanóczy Kálmán Sénior. De nos jours,
    la synagogue accueille différents événements d’art contemporain, tels concerts,
    expositions, vernissages ou ciné-concerts.

  • QSL-картка за листопад 2021 року

    QSL-картка за листопад 2021 року

    Неологічна
    синагога «Сіон», третя за величиною в Європі, є спрощеною копією в дусі
    сучасності Нюрнберзької синагоги.


    Вражаюча
    синагога з величезним органом і місткістю понад 1000 людей, яка була побудована
    в 1878 році в центрі Нового міста, після розколу єврейської громади в Ораді на
    ортодоксальних та конгресистів або неологів. Завдяки архітектурі, натхненній
    мавританським стилем, вона стала відомою мешканцям Ораді як Храм Сіона,
    пов’язаний із відомим головним рабином Ліпотом Кечкеметі.


    Дивовижна
    еклектична споруда була зведена за планами Давіда Буша та Кальмана Ріманоці
    старшого. У наші дні в синагозі «Сіон» проводяться різноманітні вистави
    сучасного мистецтва, часто організовують концерти, виставки, вернісажі, кінопокази.

  • Octobre 2021

    Octobre 2021

    C’est un festival
    urbain effervescent au cœur de la ville ! On s’amuse bien et on se détend pleinement
    dans des espaces urbains chargés d’histoire, en assistant aux concerts en plein
    air donnés par des artistes consacrés et en goûtant aux plats des plus
    délicieux. Les arômes des quatre coins du monde attirent les visiteurs dans le
    centre historique d’Oradea, à la rencontre des personnages fabuleux qui en
    sillonnent les rues. Festifall, le festival de l’automne d’Oradea, est un
    événement qui déborde d’énergie et qui attire chaque année des dizaines de
    milliers de participants. Écouter de la bonne musique, dans une atmosphère
    extraordinaire, aux côtés de gens sympathiques, c’est ainsi que l’on peut
    résumer la plus belle fête de la ville d’Oradea.



    Malheureusement, en 2021 cela ne sera pas possible,
    puisque le festival a été annulé en raison de la situation épidémiologique très
    grave pas seulement dans la région mais partout dans le pays. On espère bien
    que l’année prochaine il sera possible d’organiser à nouveau le Festival de
    l’automne à Oradea, un des moments les plus attendus de l’année par tous les
    habitants de la ville et de ses alentours.

  • QSL 10/2021: Oradea FestiFall

    QSL 10/2021: Oradea FestiFall

    Mehrere Tage voller Spa‎ß und Entspannung in städtischen Räumen voller Geschichte, Open-Air-Konzerte, bekannte Künstler, spektakuläre Kulissen und Leckerbissen für alle Feinschmecker. Beim Oradea FestiFall im historischen Zentrum ist die Welt voller Aufregung, geschickte Köche verführen Sie mit Aromen und Geschmäckern aus aller Welt und fabelhafte Gestalten erobern die Stra‎ßen der Stadt. Ein Festival voller Energie und Lebhaftigkeit, das jährlich Zehntausende von Teilnehmern anzieht.



    Beim Oradea Festifall geht es um gute Musik, eine au‎ßergewöhnliche Atmosphäre, gute Stimmung und warmherzige Menschen. Es ist das schönste Fest der Stadt Oradea/Gro‎ßwardein!

  • Funkbriefkasten 03.10.2021

    Funkbriefkasten 03.10.2021

    Herzlich willkommen liebe Hörerinnen und Hörer! Ich bin Irina Adamescu und begrüße Sie zur heutigen Ausgabe des Funkbriefkastens. Wie der langjährige Betreuer der Hörerpost, Sorin Georgescu, in der letzten Ausgabe vor Urlaubsantritt, mitteilte, wird der Funkbriefkasten von nun an turnusmäßig moderiert. Die Rotation erfolgt im Monatstakt.




    Die angekündigte Entscheidung Sorins einen Wechsel herbeizuführen und in das Tagesgeschäft mit Nachrichten, Hintergrundberichten oder der Eindeutschung der Features oder Rubriken einzusteigen, nahm Herr Wolfgang Waldl in Wien mit Verständnis und Optimismus entgegen: Dass Sie Urlaub antreten ist für Sie gut, die Hörer werden Sie vermissen, aber Erholung muss sein. Auch, dass Sie sich redaktionell etwas verändern werden ist verständlich. Sie sind ein gutes Team und da wird das schon gehen.“


    Traurig über diesen Wechsel war hingegen Herr Manfred Schida, gleichfalls in Wien. In selben Brief teilte er uns mit, dass im August der rumänische Film Malmkrog in die Kinos gekommen ist. Der Film aus dem Jahre 2020 ist ein geschichtsbezogenes Drama unter der Regie von Cristi Puiu. Dabei versammeln sich ein Gutsbesitzer, ein Politiker, eine Gräfin, ein General und seine Frau in einem geräumigen Herrenhaus und diskutieren über Tod, Krieg, Fortschritt und Moral. Danke für den Hinweis, Herr Schida.




    Stichwort Urlaub: Herr Michael Willruth in Frankfurt a.M. grüßte uns aus seinem Urlaub in Ostfriesland, den er auf der Insel Borkum und der Stadt Leer verbrachte.


    Aus Dürnstein in der Wachau schickte unser Hörer Wolfgang Waldl eine schöne Karte. Von Herrn Michael Lindner, der in Gera wohnt, trafen gleich zwei ein – eine aus Heidelberg und eine aus Bad Pyrmont. Ihnen allen herzlichen Dank für die schönen Urlaubsgrüße.




    Herr Michael Lindner schrieb in einem Ende August verfassten Brief an die Redaktion: Lange waren wir unterwegs, haben unsere Urlaubszeit voll genossen und ausgeschöpft. So bereisten wir gleich mehrere Bundesländer, Bayern, Baden-Württemberg und letztlich Niedersachsen. Wunderbare Landschaften haben wir gesehen und unzählige Sehenswürdigkeiten besucht.“ Er erkundigte sich auch, über welche Reiseziele die RRI-Mitarbeiter in diesem Jahr zu berichten haben.




    Nun, auch meine Familie und ich hatten in diesem Jahr nach den Lockdown Nachholbedarf, denn im vergangenen Jahr verbrachten wir den Urlaub ausschließlich in Siebenbürgen, wo wir ein Ferienhaus haben. Den diesjährigen Urlaub teilte ich mir in drei. Zuerst ging es gemeinsam mit meinem Mann ans Meer, und zwar in den bulgarischen Schwarzmeer-Ferienort Baltschik, unweit der rumänischen Grenze. Anschließend fuhren wir nach Siebenbürgen und zu guter Letzt erfüllte ich mir einen lang gehegten Wunsch und unternahm gemeinsam mit meinem Mann und meiner Tochter eine Alpenüberquerung. Das Wetter war in der ersten Septemberwoche durchwegs gut und bei Sonnenschein konnte ich mich nach Herzenslust der wundervollen Alpenlandschaft erfreuen.




    Feedback zum Programm erhielten wir zum einen von Herrn Christoph Paustian in Häusern, der einen in der Sendereihe Pro Memoria ausgestrahlten Beitrag über die Geschichte der Geheimpolizei während der kommunistischen Zeit sehr aufschlussreich fand. Zum anderen schreib Herr Wolfgang Waldl: In letzter Zeit ist mir aufgefallen, dass manche Beiträge länger und ausführlicher behandelt werden – z. B. der Großangriff auf Ploiești und der Briefwechsel zwischen König Carol und Königin Elisabetha. Beide waren sehr interessant. Ausführliche Beiträge prägen sich auch viel besser ins Gedächtnis ein.“




    Auch die diesjährige QSL-Kartenserie fand anscheinend Anklang. Herr Linder schrieb dazu: Die Motive ‚The Museum of Jewisch Historie‘ und ‚Darvas-La Roche House‘ sind nicht nur interessant, sondern auch traumhaft schön gestaltet. Diese Karten verdienten es eigentlich eingerahmt zu werden.“ Die Serie regte auch Herrn Frank Bresonik in Gladbeck-Zweckel an uns mitzuteilen: Besten Dank für die Zusendung ihrer QSL-Karte, auf der einige historische Dinge des in ihrem Land beheimateten jüdischen Museums zu sehen sind. Nach meinem Kenntnisstand gibt es bei uns in Deutschland zwei jüdische Museen. Eins in der Bundeshauptstadt Berlin und ein weiteres in Gladbecks Nachbarstadt Dorsten. Das in der Hansestadt Dorsten habe ich schon mehrmals besucht.“ Ferner fragt er, ob und wo es jüdische Museen in Rumänien gibt.




    Meinen Recherchen nach, gibt es Museen für jüdische Geschichte in der Landeshauptstadt Bukarest, sowie in den Städten Iaşi, Bacau, Cluj und Oradea.


    Das Museum für Geschichte und Kultur der Juden Rumäniens Dr. Nicolae Cajal“ in Bukarest, befindet sich seit 1978 in einer ehemaligen Synagoge. 2004 wurde das Gebäude unter Denkmalschutz gestellt und nach einer umfassenden Renovierung im Juni 2019 neu eröffnet. Das Museum präsentiert das jüdische Leben in Rumänien und erklärt den Beitrag der Juden und Jüdinnen an der Geschichte Rumäniens. Es verfügt auch über eine beeindruckende Bildergalerie, in der Werke der großen jüdischen Künstler Rumäniens ausgestellt sind.



    In der ostrumänischen Stadt Iaşi wurden im Jahre 2020 das erste Pogrom-Museum in Rumänien und das Museum des jüdischen Theaters eröffnet.



    Das Muzeon in Cluj, ist ein innovatives und interaktives Museum, das die Geschichte der jüdischen Gemeinde in Zentral-Siebenbürgen erzählt und dabei auf Erfahrungen und persönlichen Lebensgeschichten fokussiert ist.



    Das jüdische Museum Doktor Alexandru Safran in Bacău ist in einem Gebäude aus dem Jahr 1893 untergebracht. Die Sammlung umfasst Dokumente, religiöse Gegenstände, Gebetsbücher und Fotos, die das Leben der Juden in der moldauischen Stadt zeigen.



    Das Museum für jüdische Geschichte in Oradea ist auch das Motiv unserer QSL-Karte im Oktober. Dieses ist ein modernes Museum, das das Leben der jüdischen Gemeinschaft im Nordwesten Rumäniens in den vergangenen 400 Jahren veranschaulicht. Es umfasst auch eine Dauerausstellung zum Gedenken an die Menschen aus Oradea, die während des Holocausts ums Leben kamen.


    Das 2018 in einer ehemaligen Synagoge eröffnete Museum stellt die reiche jüdische Geschichte der nordwestrumänischen Stadt Oradea vor.


    Das Museum erzählt die berührende Geschichte von Eva Heyman, einem 13-jährigen Mädchen, das wie Anne Frank im Getto von Oradea ein kurzes Tagebuch schrieb, bevor es in das Konzentrationslager Auschwitz deportiert wurde und dem Holocaust zum Opfer fiel.


    Persönlichkeiten wie Éva Heyman und Tereza Mózes – eine Überlebende des Holocaust –vermitteln einen starken persönlichen Eindruck. Ihre Biografien, Tagebücher und andere Gegenstände sind im Museum ausgestellt.




    Lieben Hörerinnen und Hörer wir sind fast am Ende unserer heutigen Hörerpostsendung angelangt. Bevor ich sie einlade an unserem diesjährigen Hörertag teilzunehmen noch kurz die Posteingangsliste.



    In den vergangenen Sommermonaten gingen auf verschiedenen Wegen, zahlreiche Einsendungen in die Redaktion ein. Für die Gestaltung des heutigen Funkbriefkastens verwendete ich fast nur auf dem klassischen Postweg abgeschickte Hörerbriefe. Alle anderen Zusendungen werden wir in den kommenden Wochen der Reihe nach ab behandeln.


    Briefe an die Redaktion schickten Rudolf Sanda in Wien, Michael Willroth in Frankfurt a. M., Paul Gager in Wien, Marcel Gogolin in Mainz, Erhard Lauber in Bad Berlebung-Girkhausen, Hermann Steiger in Schmieheim, Jürgen Hannemann in Krefeld. Mehrere Zuschriften erhielten wir von Michael Lindner aus Gera, Joachim Verhees in Krefeld, Christoph Paustian in Häusern, Georg Feichtinger in Gmunden, Ulrich Wicke in Felsberg und aus Wien von Herrn Wolfgang Waldl.



    Über die Inbox traf noch eine Mitteilung von Timofeyv Uhra aus Karagandy in Kasachstan ein. Und damit verabschiede ich mich von Ihnen. Auf Wiederhören bis zum nächsten Sonntag.


  • QSL-картка за жовтень 2021 року

    QSL-картка за жовтень 2021 року

    Кілька днів, сповнених розвагами та численними можливостями проведення
    вільного часу в насичених історією міських просторах, концертами просто неба за
    участі відомих артистів, вражаючими декорами та стравами на всі смаки.

    На Орадя
    Festifall, в історичному центрі міста – метушня, досвідчені кухарі спокусять вас
    ароматними та смачними стравами міжнародної кухні, а казкові герої заполоняють вулиці
    міста. Свято позитиву та шаленої енергії, фестиваль щороку приваблює десятки
    тисяч учасників.


    Орадя Festifall – це гарна музика, надзвичайна атмосфера, позитивні емоції
    та гарні люди. Це найкрасивіше свято міста Орадя!

  • Septembre 2021

    Septembre 2021

    C’est l’endroit idéal pour sentir l’énergie de la ville, vivre la joie des rencontres et sentir le frémissement des passants. Un véritable spectacle urbain, avec pour décor une collection de sept styles architecturaux des plus captivants : baroque, classique, éclectique, historique, Sécession, romantique et néo roumain.



    La Piaţa Unirii, connue aussi sous le nom de Piaţa Mică (la Petite Place), date du XVIIIe siècle, quand elle était le cœur du quartier dit de la Ville nouvelle. Le premier bâtiment que l’on y a fait construire fut la Maison Serföyö, en 1714, sur l’emplacement où existe de nos jours le Palais de l’Aigle noir. Avec seulement quelques pièces, la Maison Serföyö s’est transformée en une auberge, très connue à l’époque, appelée « L’Aigle ». À compter de 1753, la place a connu plusieurs transformations. Elle a accueilli des édifices impressionnants renvoyant à différents styles architecturaux et s’est vu doter de l’éclairage public et des premiers tramways reliant le centre-ville à la Gare du Nord et à la partie ouest de la ville.



    Sur l’ensemble des transformations qui ont contribué à l’image actuelle de la Place de l’Union, les plus importantes sont intervenues au moment de l’essor industriel, au moment du passage d’un siècle à l’autre. Malgré la diversité des activités qui s’y sont déroulées à travers les époques et malgré les multiples changements de nom connus : la Petite Place, la Place Saint Ladislas, la Place Ferdinand, la Place Malinovski ou la Place de la Victoire et enfin la Place de l’Union, cet endroit représente le centre culturel et historique de la ville, un lieu de promenade privilégié où chaque visiteur doit se rendre lors d’un séjour à Oradea.



    Des dizaines de milliers de touristes sont attirés par les édifices historiques qui bordent cette place : l’Hôtel de Ville d’Oradea (1901-1903), le Palais de l’Évêché gréco-catholique (1903-1905), le Palais de l’Aigle noir (1907-1908) ou encore le Palais Moskovitz Adolf et fils (1904-1905) auxquels s’ajoutent de nombreux restaurants et cafés qui animent cette place.