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  • Nachrichten 31.10.2014

    Nachrichten 31.10.2014

    BUKAREST: Freitag, der 31. Oktober, war der letzte Tag der Wahlkampagne für die Präsidentschaft Rumäniens. Die Präsidentschaftswahlen finden am Sonntag, den 2. November statt. 14 Kandidaten kämpfen für die Präsidentschaft Rumäniens. Über 18 Millionen wahlberechtigte rumänische Bürger werden am Sonntag an den Urnen erwartet. Erhält keiner der Kandidaten die notwendigen Stimmen, so wird ein zweiter Wahlgang am 16. November organisiert. Im ganzen Land stehen 18.550 Wahllokale bereit, während den wahlberechtigten rumänischen Bürgern im Ausland 294 Wahllokale zur Verfügung stehen. Gedruckt wurden 21 Millionen Wahlzettel; über 94 Tausend Stempeln wurden bereitgestellt. Die letzte Präsidentschaftswahl fand am 6. Dezember 2009 statt. Laut Verfassung wird der Präsident Rumäniens für eine Amtszeit von 5 Jahren gewählt.



    BUKAREST: In der rumänischen Hauptstadt gehen die Veranstaltungen anlässlich des 86. Jahrestages des Öffentlich-Rechtlichen Rundfunks Radio România, den wir am 1. November feiern, weiter. Der Pianist Horia Mihail und die Orchester und Chöre des Rumänischen Rundfunks konzertieren am Freitag in Bukarest unter der Leitung des Dirigenten Tiberiu Soare. Das Programm beginnt mit einem rumänischen Werk, “Privelişti moldoveneşti”, “Moldaiusche Landschaften” von Mihail Jora. Gespielt weden noch berühmte Werke von Edvard Grieg und Ludwig van Beethoven. Radio Rumänien hat ebenfalls einen Tag der offenen Tore organisiert. Mehrere Tausend Personen haben die Rumänische Rundfunkgesellschaft besucht. Die Rundfunkgesellschaft Radio Rumänien besteht aus drei nationalen Sendern, neuen regionalen Sendern, und einem Internationalen Sender, der Sendungen in 10 Fremdsprachen, in Rumänisch und im aromunischen Dialekt ausstrahlt.


    LUXEMBURG: Die Inflationsrate in der Eurozone ist wieder leicht gestiegen. Die Teuerungsrate der Verbraucherpreise betrug im Oktober nach ersten Berechnungen 0,4 Prozent, wie die EU-Statistikbehörde Eurostat in Luxemburg mitteilte. Im September hatte der Wert bei 0,3 Prozent gelegen, das war das niedrigste Niveau seit fast fünf Jahren gewesen. Die anhaltend niedrige Inflationsrate wird von der europäischen Politik und ganz besonders von der Europäischen Zentralbank (EZB) mit gro‎ßer Sorge beobachtet. Denn eine zu geringe Inflation kann unter anderem dazu führen, dass Unternehmen nur zögerlich investieren, weil sich die Investitionen nicht rentieren, und Verbraucher in der Hoffnung auf weiter sinkende Preise Anschaffungen zurückstellen. Das würde das Wirtschaftswachstum hemmen.



    BRÜSSEL: Warme Wohnungen im Winter und die Hoffnung auf eine Annäherung nach monatelanger Konfrontation: Russland und die Ukraine haben ihren seit Monaten andauernden Gasstreit beigelegt und damit die Lieferungen für die kommenden Monate abgesichert. Beide Seiten unterzeichneten in Brüssel ein unter EU-Vermittlung zustande gekommenes Abkommen, das die Bezahlung ukrainischer Schulden sowie russische Gaslieferungen bis mindestens März gegen Vorkasse vorsieht. “Politische Verantwortung, die Logik der Kooperation und schlichte wirtschaftliche Vernunft” hätten sich durchgesetzt, sagte der scheidende EU-Kommissionspräsident José Manuel Barroso. Es gebe nun keinen Grund mehr für die Menschen in Europa, im Winter zu frieren. Russland hatte wegen des Streits um unbezahlte Rechnungen im Juni der Ukraine den Gashahn zugedreht. Weil die Ukraine ein wichtiges Transitland ist, war deshalb auch die Furcht in vielen EU-Ländern vor Engpässen im Winter gewachsen. Der Streit hatte das Verhältnis der beiden Nachbarländer neben dem Konflikt um die Ostukraine zusätzlich massiv belastet. Die EU warf der Regierung in Moskau mehrfach vor, seine Gasreserven als politische Waffe einzusetzen. So AFP.

  • 28.10.2014

    28.10.2014

    Corruption — Le Parquet national anti-corruption a procédé à larrestation de lancien ministre des communications Gabriel Sandu, des hommes daffaires Dorin Cocoş et Nicolae Dumitru, ainsi que du maire de la ville de Piatra-Neamţ, Gheorghe Ştefan. Accusé de perception de pot-de-vin et de blanchiment dargent, lex-ministre aurait conclu un accord préférentiel avec un groupe de sociétés et prétendu près de 5 millions deuros en échange du maintien du contrat dacquisition de licences informatiques Microsoft. Les autres personnes visées par ce même dossier, dont neuf anciens ministres, sont accusées de trafic dinfluence et de blanchiment dargent. Le préjudice porté à lEtat est estimé à des dizaines de millions deuros.



    Elections – Le président roumain, Traian Basescu, sest félicité du résultat des élections en Ukraine et a assuré que Bucarest accordera de lassistance à Kiev dans le processus dintégration européenne. Même réactions positives du côté des Etats-Unis, de lUE et de lOTAN. La Russie a exprimé des réserves mais affirmé quelle reconnaîtrait les résultats.



    Sondage – Près de la moitié des citoyens de la République de Moldova sont favorables à une adhésion de leur pays à lUnion douanière avec la Russie, le Bélarus et le Kazakhstan, apprend-on par un sondage réalisé cet octobre sur tout le territoire moldave, à lexception de la Transnistrie. 45% des personnes interrogées préfèrent cette structure dominée par Moscou, tandis que seuls 43% souhaitent voir la Moldova intégrer lUE, un chiffre en forte baisse par rapport aux 52% enregistrés lannée dernière. Toutefois, dans le même contexte, de lavis de 48% des Moldaves, ce pays ex-soviétique devrait rejoindre lOTAN. Selon les analystes, cette enquête dopinion révèle un renforcement de leuroscepticisme en République de Moldova, alors que la situation économique du pays européen le plus pauvre empire et lusure de lalliance pro-européenne au pouvoir augmente.



    Pont – A Bucarest, les représentants des gouvernements roumain et bulgare ont signé un accord visant la construction de deux nouveaux ponts sur le Danube, reliant la ville de Turnu Măgurele (Roumanie) à celle de Nikopole (Bulgarie), respectivement celle de Călăraşi (Roumanie) à celle de Silistra (Bulgarie). Le premier projet, dun montant estimé entre 200 et 270 millions deuros, devrait être prêt dans deux ans. Il sajoutera aux deux autres ponts déjà existants, ceux de Giurgiu-Ruse et de Calafat-Vidin. Une partie des coûts devrait être supportée par les fonds structurels de lUE. Bucarest et Sofia entendent ainsi sortir de leur isolement les régions pauvres situées sur les deux rives du Danube, attirer davantage dinvestissements, augmenter le trafic frontalier et appuyer les affaires locales.



    Anniversaire – Suite, cette semaine, des événements organisés par Radio Roumanie pour marquer les 86 ans écoulés depuis la première sortie sur les ondes de la société, le 1er novembre 1928. Vendredi, par exemple, les orchestres et les chorales de la radio publique roumaine se réunissent pour un concert anniversaire inédit, sous la direction de Tiberiu Soare, et avec le pianiste Horia Mihail comme protagoniste. Des expositions, des rencontres et dautres concerts sont également prévus pour célébrer lanniversaire de Radio Roumanie, un des médias les plus puissants du pays, une structure comportant trois chaînes nationales, neuf régionales et une chaîne internationale, diffusant des programmes en 10 langues étrangères, mais aussi en roumain et dans le dialecte aroumain.

  • La Radio publique roumaine

    La Radio publique roumaine

    Le 1er novembre 1928, la Radio publique roumaine émettait son premier signal. Ce fut là le moment de sa naissance. La Radiodiffusion roumaine allait devenir une des seules compagnies de Roumanie qui compte plusieurs décennies d’existence ininterrompues. Moyen d’information des masses, mais aussi instrument de propagande des régimes totalitaires entre 1938 et 1989, la Radio publique roumaine a gardé sa place prioritaire parmi les choix du public même après la diversification du marché médiatique, suite à l’apparition de la télévision et d’Internet.



    Le regretté Eugen Denize, historien, est l’auteur de la plus ample monographie — en 4 volumes – de la Radio roumaine. Elle décrit les débuts de la Radio et les moments les plus importants de l’histoire contemporaine de la Roumanie, à laquelle elle a pris une part active : la vie politique tourmentée des années 1930, la Seconde Guerre Mondiale, les 45 années de régime communiste et la renaissance de la démocratie après 1989.



    En 2004, Eugen Denize racontait comment il avait entamé la mise au point des archives — un travail qui s’était étalé de 1996 à 2001 et qui lui a permis d’écrire la première histoire complète de la Radio publique roumaine : « Constatant la profusion de matériel que recelaient les archives de la Société, nous avons décidé de réaliser une monographie en plusieurs volumes, pour rendre cette histoire de la Radio de manière aussi précise et exhaustive que possible, vu que c’est un phénomène très important de la société roumaine contemporaine.


    Cette histoire commence par les premiers essais de radiophonie de Roumanie, des premières années du XXe siècle. Nous nous sommes arrêtés à l’année 1989, car, au-delà de ce seuil historique, nous serions entrés dans un territoire de l’étude multidisciplinaire, de la politologie et de la sociologie et nous aurions risqué de ne plus faire une histoire de la Radio, mais plutôt de rendre des séquences de son existence actuelle.


    Ainsi, le premier volume couvre les 10 premières années d’existence de la Radio, allant de 1928 à 1938. Nous nous sommes arrêtés à l’année 1938 parce qu’il s’agissait des années de fonctionnement de ma Société de manière démocratique. A compter de 1939, la Roumanie a connu des régimes autoritaires, totalitaires et la Radio a déroulé son activité dans des conditions différentes, plus difficiles. Jusqu’en 1989, elle a dû surmonter d’importantes pressions politiques et je puis dire qu’elle a gardé son équilibre et maintenu ses fonctions essentielles.


    Le deuxième volume est consacré à la période que nous avons appelée « des dictatures de droite », à savoir la dictature royale de Carol II, la dictature de la Garde de Fer et la dictature du maréchal Antonescu. Le volume s’achève au 23 août 1944, date à laquelle la Roumanie a rejoint les alliés. Le troisième volume traite de la période caractérisée par l’installation du communisme en Roumanie et de l’époque du leader communiste Gheorghe Gheorghiu-Dej, jusqu’à la mort de celui-ci, en 1965.


    Enfin, le dernier volume s’occupe de la période comprise entre 1965 et 1989, dominée par le dictateur Nicolae Ceauşescu et marquée par les ouvertures politiques d’après 1964 et les replis que la Roumanie a connus entre 1971 et 1974 et après, jusqu’en ’89. Ces 4 volumes sont réalisés strictement à partir du matériel documentaire se trouvant dans les archives écrites et sonores de la Radio. De ce fait, ils constituent des nouveautés absolues comme matériel d’étude historiographique. »



    Eugen Denize a également fait référence aux fonctions de la Radio depuis ses premiers temps: « Dès ses débuts, même avant la création de la Société roumaine de radiodiffusion, les fonctions de la radiophonie ont été clairement définies par ses fondateurs. Elles resteront inchangées. Il s’agit d’abord d’une fonction culturelle très importante. La radio a fait de la culture au plus haut niveau, mais une culture facile à comprendre par les masses. Elle a non seulement contribué au développement de la culture, mais a constamment facilité l’accès des masses à la culture. Puis, la Radio a joué un rôle très important dans la promotion et la défense des valeurs nationales.


    La Radio remplit aussi une fonction éducative, au sens propre du terme. Par exemple, la Radio diffuse dans ses émissions des conseils médicaux, et ce depuis ses débuts. Grâce à elle, le public peut également apprendre comment cultiver une certaine plante, comment élever un animal, comment enseigner différentes choses aux enfants. Nombre d’émissions de la Radio roumaine sont ciblées sur certaines catégories de population : enfants, élèves et étudiants, militaires, paysans.


    La Radio a toujours joué ce rôle éducatif dont elle s’est toujours honorablement acquittée. Je mentionnerais aussi les émissions célèbres de l’Université de la Radio, qui a accueilli les plus grands noms de la culture roumaine, tels l’historien Nicolae Iorga, le sociologue Mihai Ralea, l’esthéticien Tudor Vianu, les écrivains Mihail Sadoveanu et Tudor Arghezi, et tant d’autres. En effet, tous les intellectuels de proue de Roumanie ont donné des conférences au micro de la Radio. Toutes ces fonctions mises à part, la radio a également diverti le public. Elle a été le principal média de loisirs, jusqu’à l’apparition de la télévision».



    Depuis 75 ans, Radio Roumanie Internationale existe aussi. Les émissions en langues étrangères ont commencé en 1939, l’année du déclenchement de la 2e guerre mondiale. Les premières émissions en langues étrangères, comme par exemple les infos en anglais et en français, ont été lancées en 1932, et elles étaient diffusées avant la fin de l’émission, un quart d’heure avant minuit. Les infos en italien et en allemand ont été introduites de manière alternative aux journaux en anglais et en français.



    A ses 85 ans, la Radio publique roumaine demeure une institution de presse équidistante, qui produit des émissions de qualité. Une institution essentielle dans toute société démocratique qui a su se réinventer après 1989. (trad. : Dominique, Alexandru Diaconescu)

  • La Journée de l’Auditeur 2014 : le dimanche, 2 novembre.

    La Journée de l’Auditeur 2014 : le dimanche, 2 novembre.

    Chers amis,



    Le dimanche, 2 novembre, nous célébrons la Journée de l’Auditeur sur RRI. Comme d’habitude, nous vous incitons à une participation active, soit nous attendons votre contribution à cette émission. Cette fois-ci, la question est la suivante : « Quel est le changement technique qui a influencé votre vie de manière décisive ? ». Les 20 contributions les plus intéressantes seront récompensées de prix.



    Dans le monde contemporain, les changements se succèdent rapidement. Il va de soi, aujourd’hui, que nous prenons l’avion pour parcourir de grandes distances, mais vous souvenez-vous de vos voyages lorsque vous étiez enfant ? Lorsque vous avez envoyé votre dernière photo instantanée à un ami se trouvant à des milliers de km de distance, avez-vous pensé à la manière de faire des photos voici 10, 20 ou 30 ans ? Vous rappelez-vous sur quoi vous avez appris à faire les premiers calculs à l’école ? Etait-ce un boulier ou une calculette ? Avez-vous travaillé sur une machine à écrire avant que l’ordinateur ne prenne sa place ? Vous souvenez-vous encore sur quoi on écoutait de la musique, et aussi combien la radio-cassette portable a apporté d’indépendance ? Ou encore comment le téléphone fixe s’est transformé en le smartphone de nos jours ?



    Ce ne sont que quelques exemples. Chers amis, nous attendons que vous nous parliez des changements les plus importants de votre vie, déterminés par les avancées techniques. Nous vous invitons à nous dire ou à nous écrire de quoi il s’est agi et quelle influence cela a eu sur vous.



    Nous attendons vos réponses par écrit ou, si vous le souhaitez, nous pouvons même vous appeler pour enregistrer vos contributions audio, par mail, lettre, fax ou sur Facebook.



    Nos coordonnées, vous les connaissez bien:


    – Radio Roumanie Internationale, Rédaction Française, 60-64 rue du Général Berthelot, Boîte Postale 111, secteur 1, Bucarest, Roumanie, code postal 010171.


    – fax : 00.40.21.319.05.62;


    – mail: fran@rri.ro ou service_francais_rri@yahoo.fr



    Nous attendons vos réponses jusquau 28 octobre 2014.

  • RADIRO, festivalul internaţional al orchestrelor radio

    RADIRO, festivalul internaţional al orchestrelor radio

    Cinci orchestre radio – din Finlanda, Cehia, Germania, Franţa şi România – au venit în această săptămână la Bucureşti pentru a oferi melomanilor un eveniment de excepţie, dedicat muzicii lui Richard Strauss, în anul în care se împlinesc 150 de ani de la naşterea marelui compozitor german.



    La iniţiativa Radio România, organizator al Festivalului RadiRo, ansamblurile simfonice amintite susţin concerte la Sala Radio, deschiderea, pe 20 septembrie, fiind făcută de Orchestra Simfonică Radio din Finlanda, fondată în 1927, în anii de mare efervescenţă ai radiourilor europene şi care a evoluat în premieră acum pe o scenă din România.



    Protagonistă a celei de a doua seri a festivalului, Orchestra Naţională Radio a concertat sub bagheta directorului de onoare al acestei ediţii, dirijorul Cristian Mandeal. Cu peste 1.000 de concerte dirijate în 35 de ţări de pe 4 continente, Cristian Mandeal creează în concertele sale un adevărat flux de energie, o chimie specială între dirijor, orchestră şi public. Invitata specială a serii a fost soprana Katarina Jovanović, o prezenţă familiară iubitorilor de muzică.



    A urmat una dintre orchestrele radio de forţă din Europa: Orchestra Simfonică Radio din Praga, acompaniată la Bucureşti de dirijorul său principal, Ondrej Lénard şi de pianistul Jan Simon, două nume cu greutate în Cehia şi în străinătate. La pupitrul primului concert al Orchestrei Simfonice Radio din Praga s-a aflat dirijorul Tiberiu Soare, liderul tinerei generaţii de dirijori români.



    Pianistul Horia Mihail, solist concertist al Orchestrelor şi Corurilor Radio de la Bucureşti şi protagonist al Turneului Pianul Călător organizat de Radio România, a fost solistul invitat al celei de a doua seri a Orchestrei Simfonice Radio din Praga la RadiRo, într-un program Strauss & Dvořák.



    Orchestra Simfonică Radio din Stuttgart, un ansamblu de referinţă în Germania, condus în anii 70 de celebrul Sergiu Celibidache a concertat, în seara următoare, alături de doi solişti de primă mărime: violonistul Nikolaj Znaider, unul dintre cei mai flexibili muzicieni contemporani şi soprana Ruxandra Donose, premiată recent de prestigioasa revistă Gramophone.



    Organizatorii au rezervat penultima seară Orchestrei Naţionale Radio, în compania unui violonist pentru care muzica nu are limite: Alexandru Tomescu. Cu celebra sa vioară Stradivarius Elder — Voicu din 1702, care a traversat România în Turneele Stradivarius şi s-a făcut auzită în mari săli de concerte de pe toate meridianele, Alexandru Tomescu a ales pentru RadiRo un program Debussy, Strauss & Brahms.



    Festivalul se va închide cu un concert de excepţie susţinut de Orchestra Naţională a Radiodifuziunii Franceze, care a aniversat recent 80 de ani de existenţă.

  • Le Festival international des orchestres de radio – RadiRo 2014

    Le Festival international des orchestres de radio – RadiRo 2014

    Nous sommes mercredi, à savoir au beau milieu de RadiRo, le Festival international des orchestres symphoniques de radio, qui revient en 2014, à Bucarest, pour une deuxième édition. Cinq ensembles d’élite figurent à l’affiche de ce festival à thématique inédite en Europe, imaginé par Radio Roumanie, son unique producteur et organisateur cette année. Vous le savez, RadiRo est l’événement qui se déroule dans les années paires, en alternance avec l’autre rendez-vous repère des automnes musicaux bucarestois, à savoir le Festival « George Enescu ». Les différences d’approche entre les deux sont assez importantes et nous en parlerons dans la seconde partie de cette émission. Le résultat est pourtant similaire — un défilé de stars mondiaux du répertoire à Bucarest.


    Après les ensembles des radios finlandaise, roumaine et tchèque, ces mercredi et jeudi c’est le tour de l’Orchestre symphonique de la radio de Stuttgart de se produire sur la scène de la salle de concerts de la maison de la Radio roumaine. Dialogue avec la mezzo-soprano Ruxandra Donose et Stéphane Denève, chef principal de l’Orchestre symphonique de la Radio de Stuttgart.


  • ONR, succes la Kuala Lumpur

    ONR, succes la Kuala Lumpur

    Ambasador cultural al României în spaţiul asiatic în ultimii ani prin turneele susţinute de Orchestrele şi Corurile sale în destinaţii precum Japonia sau China, Radioul Public a confirmat din nou în acest rol, de această dată la Kuala Lumpur.



    Orchestra Naţională Radio a fost aplaudată în picioare de cei peste 1000 de participanţi la summitul mondial dedicat educaţiei prin media pentru copii, organizat în capitala Malaeziei, interpretând două creaţii excepţionale: Rapsodia Română numărul 1 şi Ciocârlia, dar şi lucrări din repertoriul clasic internaţional.



    Pentru că au fost preluate de toţi membrii Uniunii Audiovizualului din Asia-Pacific, concertele susţinute de Orchestra Naţională Radio la Kuala Lumpur vor ajunge la un public potenţial de miliarde de ascultători şi telespectatori.



    De altfel, organizatorii World Summit on Media for Children consideră concertele Orchestrei Naţionale ca fiind atracţia principală a evenimentului, organizat pentru prima oară în Asia după Melbourne, Londra, Salonic, Rio de Janeiro şi Karlstadt. Secretarul general al Uniunii Audiovizualului Asia-Pacific, Javad Mottaghi: A fost minunat să avem un concert românesc aici, în Malaezia. Impresia participanţilor la World Summit on Media for Children a fost foarte plăcută. Am fost foarte impresionat de calitatea interpretării, a muzicienilor şi a entuziasmului lor de a aduce cultura în această parte a lumii şi de a o prezenta comunităţii internaţionale. Mi-au plăcut interpretările extraordinare şi sunt sigur că acesta a fost momentul de vârf al summitului.”



    Care este importanţa summitului în secolul XXI? Din nou, Javad Mottaghi: Vorbim despre tinerele generaţii, copiii noştri sunt cei care construiesc lumea de mâine. Deci media are un rol de jucat în educarea şi formarea lor, iar summitul vorbeşte despre calitatea programelor pentru copii şi provocările cu care noi şi copiii noştri ne confruntăm: sărăcia, sănătatea sau lipsa de educaţie. Există 250 de milioane de copii în lume care nu pot să citească sau să scrie o propoziţie. Cel mai important lucru pentru copii este să înţeleagă că lumea este o diversitate şi avem culturi, economii, politici, populaţii, limbi diferite, iar copiii ar trebui să ştie şi să crească cu o înţelegere mai bună a vecinilor lor şi a comunităţii internaţionale, pentru a face lumea un loc diferit pentru ei înşişi şi pentru generaţiile viitoare.”



    Între 20 şi 27 septembrie, 5 orchestre radio europene, dirijori şi solişti de primă mărime în peisajul muzical internaţional vor concerta la Bucureşti, în cadrul Festivalului Internaţional al Orchestrelor Radio – RadiRO – eveniment cu un profil unic pe scena muzicală europeană, fiind singurul dedicat în exclusivitate orchestrelor radio.

  • Miliarde de ascultători şi telespectatori vor urmări  ON Radio în turneul de la Kuala Lumpur

    Miliarde de ascultători şi telespectatori vor urmări ON Radio în turneul de la Kuala Lumpur

    Radioul public a fost, în ultimii ani, un adevărat ambasador cultural al României în spaţiul asiatic, prin turneele susţinute de Orchestrele şi Corurile Radio România în destinaţii precum Japonia sau China, cărora li se adaugă, în septembrie 2014, Malaezia. Orchestra Naţională Radio este invitată la un eveniment de anvergură: World Summit on Media for Children, unde, pe 9 şi 10 septembrie 2014, artiştii români vor fi aplaudaţi de publicul din Kuala Lumpur – capitala Malaeziei.



    Organizatorii consideră concertele Orchestrei Naţionale Radio ca fiind atracţia principală” a celei de-a VII-a ediţii a summit-ului, fiind prima oară când evenimentul internaţional este organizat pe continentul asiatic, după Melbourne, Londra, Salonic, Rio de Janeiro, Johannesburg şi Karlstad.



    Cele două concerte vor fi înregistrate şi filmate de Radioteleviziunea publică din Kuala Lumpur şi vor fi preluate de toţi membrii Uniunii Audiovizualului din Asia-Pacific (Asia-Pacific Broadcasting Union) – ABU, ajungând la un public potenţial de miliarde de ascultători şi telespectatori, într-un spaţiu geografic ce acoperă jumătate de planetă. Turneul este organizat de Radio România şi ABU.



    Concertele se vor derula în sala Filarmonicii din Kuala Lumpur, găzduită de legendarele turnuri Petronas – simbol al oraşului, doi zgârie nori gemeni, consideraţi cea mai înaltă clădire din lume între 1998 şi 2004. Concertul din 9 septembrie va fi adresat participanţilor la summit, în timp ce al doilea eveniment, din 10 septembrie, va fi destinat publicului larg.



    Orchestra Naţională Radio va cânta sub bagheta dirijorului principal al Orchestrelor şi Corurilor Radio, Tiberiu Soare, care a dirijat de altfel ansamblul în toate deplasările importante din ultimele stagiuni. Solişti vor fi Gabriel Croitoru — vioară şi Horia Mihail — pian, muzicieni aplaudaţi în numeroase evenimente de marcă la Sala Radio.



    Repertoriul va fi unul deosebit: două creaţii româneşti, veritabile cărţi de vizită” ale culturii noastre: Rapsodia română nr. 1 – cunoscuta lucrare a lui Enescu – şi Ciocârlia (compusă de Angheluş Dinicu şi devenită celebră în interpretarea şi aranjamentul nepotului său, violonistul Grigoraş Dinicu). Pe lângă acestea, publicul din Malaezia va asculta partituri din repertoriul clasic internaţional, ca Suită din Lacul lebedelor(Ceaikovski), Burlesca pentru pian şi orchestră, semnată de Richard Strauss sau Melodii lăutăreşti, lucrări care aparţin violonistului şi compozitorului spaniol Pablo de Sarasate. Cele două concerte din turneu vor cuprinde şi două compoziţii originale malaeziene şi se vor desfăşura cu sprijinul Institutului Cultural Român.



    Preşedintele Radio România, Ovidiu Miculescu declară în legătură cu participarea României la acest summit: Vom fi acolo pentru a construi o punte nouă, importantă şi subtilă între cultura noastră venită din Europa şi surprinzătoarea Asie. Atunci când voci atât de diferite vorbesc cu atâta dragoste, generozitate şi talent aceeaşi limbă – muzica, putem afirma că există încă speranţă pentru o lume mai bună”.



    Această participare înseamnă un pas important în contextul extinderii parteneriatelor strategice ale Radio România şi în afara Uniunii Europene de Radio.



    Cred că importanţa acestui turneu este mai mult în zona media. Încercăm în permanenţă să păstrăm echilibrul între misiunea noastră culturală şi cea de informare şi această participare internaţională le asociază foarte bine. Este vorba despre un summit media asiatic de mare importanţă şi despre un concert care va fi preluat şi audio şi video şi difuzat de cele mai importante televiziuni din zona asiatică, care ajung la un public potenţial de miliarde de privitori şi ascultători, aşadar mesajul nostru artistic va fi multiplicat”, declară Oltea Şerban Pârâu, director artistic al Orchestrelor şi Corurilor Radio România şi director al Centrului Cultural Media Radio România.



    Organizat între 8 şi 10 septembrie 2014, World Summit on Media for Children (WSMC), ce va avea ca tematică anul acesta: Mass-media pentru copiii secolului XXI, va reuni aproximativ 2.000 de participanţi, fiind organizat de Asia-Pacific Broadcasting Union (ABU), Radioteleviziunea din Malaezia şi Fundaţia WSMC.



    Serviciul Comunicare

  • Musiques d’été

    Musiques d’été

    Difficile dy échapper dès quon allume une radio en été. En Europe, la musique dite estivale déferle non seulement sur les ondes, mais aussi, dans les programmes télé, sur les sites Internet, dans les bars ou les restaurants populaires, bref elle est un compagnon omniprésent, voulu ou pas. En Roumanie, chaque année arrive avec un lot plus ou moins limité de chansons, consommés avec engouement tels des chewing-gums aux arômes inédits, mais dont on se lasse au bout de seulement quelques semaines. Les lieux de villégiature sont leur terrain de prédilection, et notamment la côte de la mer Noire, lendroit préféré des Roumains pour les vacances dété. Eclairage avec Razvan Petre, êtes animateur et responsable de la programmation musicale à Radio Roumanie Constanta – Radio Vacances, sur le littoral roumain.


  • Concurs RRI: “Festivalul Internaţional al Orchestrelor Radio – ediţia a II-a”

    Concurs RRI: “Festivalul Internaţional al Orchestrelor Radio – ediţia a II-a”

    Dragi prieteni, vă invităm să participaţi la un nou concurs cu premii, “Festivalul Internaţional al Orchestrelor Radio, RadiRo, ediţia a II-a”. Concursul este dedicat unui eveniment muzical unic în Europa, care aduce la Bucureşti, pe scena Sălii Radio şi în direct pe posturile publice de radio, 5 orchestre celebre, dar şi solişti şi dirijori de talie mondială.



    Între 20 şi 27 septembrie Bucureştiul găzduieşte a II-a ediţie a RadiRo — Festivalul Internaţional al Orchestrelor Radio. Evenimentul este organizat de Radio România, prieten şi susţinător devotat al muzicii clasice încă din 1928, când trimitea în eter primul său semnal sonor!



    În 2012, prima ediţie RadiRo” a adus în România ansambluri simfonice radio prestigioase: BBC Symphony Orchestra, Orchestra Sinfonica Nazionale della RAI, Orchestre Philharmonique de Radio France.



    În 2014, la ediţia a 2-a, concertează Orchestra Simfonică Radio din Finlanda, Orchestra Simfonică Radio din Praga, Orchestra Simfonică Radio din Stuttgart, Orchestre National de France şi Orchestra Naţională Radio, sub bagheta unor dirijori de renume, precum Joshua Weilerstein, Ondrej Lenárd, Stéphane Denève, Case Scaglione, Vassily Sinaisky, Tiberiu Soare şi Cristian Mandeal.



    Solişti de mare virtuozitate sunt protagoniştii serilor RadiRo”: pianistul Jonathan Biss, soprana Katarina Jovanovic, pianistul Jan Simon, violoniştii Nikolaj Znaider şi Vadim Gluzman, alături de mari artişti români: mezzo-soprana Ruxandra Donose, pianistul Horia Mihail, violonistul Alexandru Tomescu. Directorul de onoare al acestei ediţii, dirijorul român Cristian Mandeal, aduce un plus de prestigiu şi valoare europeană Festivalului RadiRo”.



    Vă invităm să urmăriţi emisiunile RRI, siteul www.rri.ro şi profilurile de Facebook, Twitter şi Google+, să răspundeţi corect, în scris, la câteva întrebări şi puteţi câstiga. Concursul va dura până pe 26 septembrie 2014, data poştei.



    Premiile şi menţiunile concursului, în obiecte, vor fi în principal CD-uri cu muzică simfonică românească şi străină, dar vom oferi ca premii şi alte obiecte de promovare culturală şi turistică. Concursul este organizat împreună cu Editura Casa Radio” şi cu Primăria Municipiului Bucureşti.



    Şi acum, întrebările:


    – În ce an a avut loc prima ediţie a Festivalul Internaţional al Orchestrelor Radio?


    – Cine este directorului de onoare al ediţiei a 2-a a Festivalului?


    – Câte orchestre radio participă la ediţia 2014 a RadiRo?


    – Numiţi 3 artişti români de talie (solişti sau dirijori) aflaţi pe afişul RadiRo în acest an.



    Vă rugăm să ne scrieţi ce v-a determinat să participaţi la concurs şi, mai ales, de ce ascultaţi emisiunile RRI sau ne urmăriţi programele în mediul online. Coordonatele noastre sunt neschimbate: Radio România Internaţional, str. G-ral Berthelot nr. 60-64, sector 1, Bucureşti, PO Box 111, cod 010165, fax 00.40.21.319.05.62, e-mail: ro@rri.ro. Aşteptăm răspunsurile dvs. până la 26 septembrie, data poştei. Câştigătorii premiilor şi menţiunilor vor fi anunţaţi curând după încheierea concursului. Succes!

  • Grand Prix Nova 2014

    Grand Prix Nova 2014

    Cest la dernière ligne droite du deuxième Festival de théâtre radiophonique Grand Prix Nova, organisé par Radio Roumanie. Un rendez-vous à la fois mixte et fédérateur, car il s’adresse non seulement aux professionnels de la radio et du théâtre, mais aussi aux passionnés du son et de l’acoustique. Comment fait-on de la radio fictionnelle, à quoi pourrait ressembler la radio de l’avenir? Tentative de réponse avec nos invitées, Ilinca Stihi, metteur en scène, celle grâce à laquelle Grand Prix Nova existe, et Aurélie Lierman, artiste radio, compositrice et chanteuse belgo-rwandaise, depuis le studio de Radio Roumanie aménagé au Grand Hotel Continental de Bucarest, siège du festival.


  • Radio Lecto

    Radio Lecto

    Les étudiants en Langues et Littératures Etrangères de l’Université de Bucarest ont trouvé une des manières les plus créatives de mettre à profit leurs connaissances de langue, de culture et de civilisation française : en réalisant des émissions radio. Ainsi est née Radio Lecto, la radio du Lectorat Français de l’Université de Bucarest, qui depuis deux ans déjà permet aux étudiants roumains de s’initier à l’art du journalisme en une langue étrangère. Une initiative unique dans le paysage universitaire roumain. Qui sont-ils ? Comment travaillent-ils ? De quoi parlent-ils dans leurs reportages ? Réponse avec Frédéric Bonnor, lecteur de français à l’Université de Bucarest et Ligia Marinescu, une des journalistes en herbe de Radio Lecto.



    Ecoutez Radio Lecto sur: http://lectoratfrancaisunibuc.wordpress.com/radiolecto/


  • Philippe Marsan (France) – Symposium international des radioamateurs à Pecica (ouest)

    Philippe Marsan (France) – Symposium international des radioamateurs à Pecica (ouest)

    Cette rencontre, placée sous l’égide de la Fédération roumaine des radioamateurs, de l’Association sportive « Progresul » Pecica YO2KBB, du Radio-club FC Telecom Arad YO2KQD et du Radio club ADMIRA Arad, YO2KBQ et soutenue par la municipalité, est déjà arrivée à sa XIe édition. Elle a lieu le 16 et 17 mai à Pecica, une ville dans l’ouest de la Roumanie, dans le département d’Arad.



    Quel est le thème cette année ? Doru Petrişor, coordonnateur de l’événement, répond : « Cette année, le thème, c’est la rétrospective des dix dernières années, un bon moment pour analyser ce que nous avons accompli en dix années de symposiums des radioamateurs, et de voir ce que nous pouvons faire à l’avenir pour améliorer les choses, pour que cela ne soit pas de simples rencontres entre radioamateurs. Je veux dire par là que les choses que nous discuterons seront couchées sur le papier et nous veillerons à les mettre en œuvre. Nous souhaitons avoir une rencontre de radioamateurs, avec tous ceux qui utilisent le système de radiofréquence en tant qu’amateurs ou la Citizen Band — en l’occurrence l’Inspection pour les situations d’urgence, les sapeurs-pompiers et même la police peut collaborer avec nous ».



    Comment tout cela a-t-il commencé ? Doru Petrişor : « Quand cela a commencé, je n’étais pas encore radioamateur. Le symposium a commencé suite au souhait du prof. Ban Adalbert, YO2BYD, qui n’est plus parmi nous, malheureusement. Nous essayons de mener à bien la tradition. Le professeur souhaitait organiser une rencontre des radioamateurs du monde et a réussi à la réaliser. Lors de la première édition, une cinquantaine — une centaine de personnes y ont participé. L’année dernière, nous avons eu plus de 300 participants, de toute la Roumanie, de Hongrie, de Serbie et de Suisse ».



    Quoi de neuf cette année, Doru Petrişor ? « Cette année, nous avons signé un partenariat avec l’Inspection pour les situations d’urgence et avec les sapeurs-pompiers de Pecica. Nous essaierons de les aider à refaire leur système de communications, parce que malheureusement ils n’en ont plus, et nous nous sommes déjà mis d’accord avec les radioamateurs locaux à cet effet. Nous attendons quiconque veut s’adresser à nous ».



    Il existe au département d’Arad 180 radioamateurs, dont 32 dans la ville de Pecica. Mon interlocuteur déplore que les fréquences soient de plus en plus libres dernièrement, mais il a pourtant bon espoir de réussir à redonner la vie à la fréquence des radioamateurs. De quelle manière? Pensez-vous trouver des jeunes pour leur imprimer votre passion, Doru Petrişor ? « J’ai quelques initiatives : de rassembler les enfants au Radio club de Pecica, de le redémarrer, même si le radio amatorisme est en perte de vitesse depuis que les nouvelles technologies existent — Facebook et autres communications — mais moi, je pense que la radio ne mourra pas et qu’elle restera, comme l’arc et les flèches, par exemple, un sport traditionnel qui perdurera. Telle est ma vision sur le radio amatorisme : même s’il déchoit, il ne mourra pas. J’ai certaines idées : la communication des infos locales, que chaque enfant pourra faire. Un enfant, lorsqu’il veut parler, est comme un commentateur sur un stade ou comme un journaliste présentant les infos; c’est comme ça que je compte faire venir les enfants vers le radio amatorisme ».



    L’activité commencera l’été prochain. Les locaux sont déjà mis à disposition des radioamateurs. Reste encore à les équiper de talkies-walkies et à redémarrer le club, avec l’aide de plusieurs radioamateurs de la ville. Le professeur Ban organisait des concours de radioamateurs dans le département. Beaucoup d’enfants y participaient ; l’activité de radio amatorisme était très intense à l’époque, à Pecica. Nous commencerons par communiquer entre nous, là, et ensuite, nous pourrons participer à des concours, a encore précisé l’organisateur du XIe Symposium international des radioamateurs. Bonne chance, et meilleurs 73 !

  • Secretarul general NATO în România

    Secretarul general NATO în România

    Ultimele luni de mandat în funcţia de secretar general al NATO sunt, pentru danezul Anders Fogh Rasmussen, şi cele mai tensionate. Până la 1 octombrie, când îi va preda ştafeta norvegianului Jens Stoltenberg, el trebuie să gestioneze dosarul ucrainean, altfel spus cea mai gravă criză geopolitică din Europa de după războiul rece. De aceea, departe de fi strict protocolare, vizitele de rămas-bun pe care Rasmussen le face în capitalele statelor membre sunt mai curând un prilej de a testa coeziunea şi coerenţa aliaţilor.



    Aflat la Bucureşti, unde s-a întâlnit cu principalii factori de decizie ai statului român, secretarul general a declarat, într-un interviu pentru Radio România: “Trebuie să ne adaptăm la acest nou, aş spune, sofisticat tip de război. În loc de agresiune militară pe faţă, vedem aceste mişcări mai discrete, cu scopul de a destabiliza situaţia în anumite ţări şi am văzut asta clar în Ucraina, mai întâi în Crimeea, ducând la anexarea ilegală la Rusia, şi vedem asta acum în estul Ucrainei. Nu-i nicio îndoială că Rusia este în spatele destabilizării estului Ucrainei. De asemenea, vedem încercările Rusiei de a cumpăra influenţă în mass-media, de exemplu, pentru a influenţa opinia publică şi procesele politice. Trebuie să nu fim naivi şi să ne adaptăm la această situaţie.”



    După ce şi-a afirmat, ferm, respectul faţă de unitatea şi suveranitatea Ucrainei vecine, România a devenit, în ultimele săptămâni, ţinta retoricii virulente a unora dintre membrii de prim rang ai administraţiei de la Moscova. Deşi, evident, exagerate, temerile privind o extindere spre vest a conflictului din Ucraina au cuprins şi opinia publică românească.



    Anders Fogh Rasmussen a ţinut să infirme scenariile catastrofale în care, naiv sau interesat, se exersează unele voci din spaţiul public românesc: “Vă pot asigura că toţi aliaţii sunt profund angajaţi în ce priveşte Articolul 5 şi apărarea comună şi vedeţi acest lucru demonstrat prin paşii pe care i-am făcut deja pentru a întări apărarea comună prin mai multe operaţiuni aeriene poliţieneşti deasupra statelor baltice. Facem supraveghere cu avioanele AWACS deasupra Poloniei şi României, vedeţi şi o mai mare prezenţă navală aliată în Marea Neagră şi în Marea Baltică şi mai multe exerciţii militare terestre, aşa că am demonstrat deja că Alianţa este unită când este vorba de Articolul 5 şi de apărarea comună.”



    Simpla existenţă a NATO şi existenţa Articolului 5 au un asemenea efect de descurajare, încât potenţialii agresori nici măcar nu s-ar gândi să atace un stat membru — a mai afirmat, pentru Radio România, secretarul general al Alianţei.

  • 18.04.2014

    18.04.2014

    Radio — Ce 18 avril est la Journée Mondiale des Radioamateurs, marquée depuis 1925, année de la création, à Paris, de l’Union Internationale des Radioamateurs. Selon la publication en ligne pilotmagazin.ro, les radioamateurs communiquent en ondes courtes ou ultra-courtes à l’aide de leurs propres émetteurs — récepteurs, sans intérêts économiques et sans échanger d’autres informations que celles portant sur la qualité des émissions. Il s’agit principalement d’étudier, mettre à l’épreuve et installer des moyens de communication sans intérêt commercial. Les radioamateurs peuvent se réunir dans des associations nationales ou internationales. En tant que mouvement des amateurs de la Télégraphie sans fil, le radioamateurisme est apparu pour la première fois en 1919 aux Etats–Unis. En Roumanie, le premier club de radio amateurs a été créé en 1926, alors qu’en 1936 voyait le jour «L’Association des Amateurs Roumains d’Ondes Courtes ». A présent, les radioamateurs roumains sont représentés au niveau international par la Fédération Roumaine de Radioamateurisme. Selon le site radioamator.exploratori.ro, cet hobby est pratiqué par environ 3 millions de personnes de plus de 150 pays du monde entier.



    Médicaments — Le ministère roumain de la Santé remboursera intégralement les médicaments destinés au traitement du cancer, de l’épilepsie, des maladies neurodégénératives et des maladies endocriniennes. Pour commencer, à partir du mois de mai, 17 nouveaux médicaments seront remboursés aux personnes souffrant de cancer et de maladies rares. Parmi eux — le seul traitement au monde du syndrome de Dravet, une forme grave d’épilepsie qui apparaît dès la première année de vie. Ce médicament était jusqu’ici inaccessible aux enfants roumains, en raison du prix extrêmement élevé. La liste finale des nouveaux médicaments remboursés par l’Etat pourrait entrer en vigueur cet automne. Mécontents de ce délai, les représentants des patients menacent par de nouvelles protestations.



    Touristes — Une quarantaine de bateaux de croisière avec des touristes américains et allemands qui devaient arriver à Odessa sur la côte ukrainienne de la Mer Noire, éviteront cette année cette destination en raison des tensions de la région et feront halte dans le port de Constanta, dans le sud-est de la Roumanie. Le premier navire avec un millier de passagers américains doit arriver à Constanta ce dimanche. La situation d’Odessa est devenue plus tendue après la proclamation, ce mercredi, de la République d’Odessa par des groupes séparatistes pro-russes. Pour leur part, les agents de tourisme s’attendent à ce que les touristes qui s’arrêteront en Roumanie dépensent plus de 4 millions d’euros à Constanta.



    Pâques — Aujourd’hui les chrétiens orthodoxes et catholiques du monde entier, y compris de Roumanie, célèbrent le Vendredi Saint, le jour de la mort de Jésus Christ sur la croix. Si, le Jeudi Saint, les orthodoxes ont peint des œufs, un symbole du sacrifice du Seigneur, aujourd’hui et demain ils préparent le repas pascal traditionnel, dont le plat principal est à base de viande d’agneau. La nuit de samedi à dimanche, les chrétiens orthodoxes et catholiques célébreront la fête de Pâques, soit la Résurrection du Christ.



    Météo — En Roumanie il pleut ce vendredi dans le sud, le centre et l’est du pays, les quantités d’eau étant estimées à 15 — 20 litres par mètre carré. Le vent est très fort, soufflant par endroits avec plus de 55 km/h et plus de 70km/h dans les montagnes. Les températures maximales de ce vendredi iront de 13 à 23 degrés. 12 degrés, du vent et de la pluie à midi à Bucarest.