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  • Nachrichten 12.05.2016

    Nachrichten 12.05.2016

    Bukarest: Rumäniens Ministerpräsident Dacian Cioloş hat das US-Raketenabwehrsystem im südrumänischen Deveselu als wesentlichen Teil der bilateralen strategischen Partnerschaft zwischen Rumänien und den USA bezeichnet. Der Schild stelle zudem einen bedeutenden Anreiz für die Entwicklung der bilateralen Beziehungen in weiteren Bereichen dar, sagte der Regierungschef anlässlich der Einweihung der US-amerikanischen Militäranlage am Donnerstag. NATO-Generalsekräter Jens Stoltenberg erklärte im Gegenzug, dass das Raketenabwehrsystem in Deveselu ein Beispiel für erfolgreiche Teamarbeit auf transatlantischer Ebene sei. Stoltenberg dankte zudem Rumänien für seine Bereitschaft, das Raketenabwehrsystem auf seinem Gebiet zu beherbergen. An der offiziellen Einweihung beteiligten sich ferner der rumänische Verteidigungsminister Mihnea Motoc, Außenminister Lazăr Comănescu und der US-Botschafter in Bukarest Hans Klemm. Dieses Thema behandeln wir ausführlich später im Funkjournal.



    Bukarest: Der Internationale Währungsfonds schätzt das Wirtschaftswachstum Rumäniens 2016 auf 4%. 2017 soll die Wirtschaft Rumäniens um 3,6% wachsen. In der rumänischen Wirtschaft zeichne sich ein positiver Trend aab, der auf die jüngsten Lohnerhöhungen im öffentlichen Sektor und die Reduzierung der Mehrwertsteuer zurückzuführen sei. Diese Maßnahmen hätten den privaten Verbrauch angekurbelt, so IWF. Die Fortsetzung der Reformen sei jedoch ausschlaggebend, damit die Konjunkturdaten positiv bleiben, warnen die internationalen Finanzexperten.



    Cannes: Der rumänische Film Sieranevada ist beim Internationalen Filmfestival in Cannes zum Auftakt der Hauptsektion aufgeführt worden. Das Werk von Cristi Puiu schildert die Geschichte eines erfolgreichen Neurologen, der vierzig Tage nach dem Tod seines Vaters an dessen Gedenkfeier teilnimmt. Die Feier verläuft aber nicht wie erhofft und die Geschichte dreht sich um Diskussionen und Streitereien unter den Familienmitgliedern. Der rumänische Regisseur tritt somit zum ersten Mal im Rennen um die Goldene Palme an. 2005 erhielt er auf den Internationalen Filmfestspielen in Cannes den Hauptpreis der Sektion Un Certain Regard mit dem Krankenhausdrama Der Tod des Herrn Lăzărescu. Im Hauptwettbewerb tritt auch der rumänische Filmemacher Cristian Mungiu mit seinem Werk Bacalaureat (Abitur) an. Mungiu hatte 2007 mit seinem Abtreibungsdrama 4 Monate, 3 Woschen und 2 Tage den Hauptpreis Palme dOr erhalten. Im Wettbewerb des 69. Internationalen Filmfestivals laufen drei weitere rumänische Produktionen: Câini, (Hunde) von Bogdan Mirică in der Sektion Un Certain Regard, 4:15 p.m. Ende der Welt der Regisseure Cătălin Rotaru und Gabi Virginia Şargă in der den Kurzfilmen gewidmeten Sektion und Alle Flüsse fließen ins Meer, von Alexandru Badea in der Sektion Cinéfondation.



    Sport: Beim WTA Turnier in Rom ist die einzige im Einzelturnier verbliebene Spielerin aus Rumänien eine Runde weiter: Irina Begu (35 WTA) bezwang am Donnerstag im Achtelfinale die Russin Daria Kasatkina in zwei Sätzen, mit 6:1 und 6:4. Begu rückte auch im Doppelturnier vor, an der Seite von Landsfrau Monica Niculescu bezwang sie das Paar Yung Jan Chen aus Taiwan und Anna Lena Groenfeld aus Deutschland, das knappe Endergebnis lautete 2:6, 7:6 und 10:8.

  • 09.04.2016 (mise à jour)

    09.04.2016 (mise à jour)

    Racisme – Plusieurs ministres roumains ont fermement condamné samedi des graffitis racistes tagués sur une tente dressée au centre de Bucarest, à loccasion de la Journée internationale des Roms. Les responsables gouvernementaux se sont rendu place de lUniversité, où est installée cette tente sur laquelle des inconnus ont notamment écrit “Mort aux Tziganes”. “Je regrette que de telles formes de violence raciale ne soient pas combattues plus fermement”, a déclaré la ministre de la Justice Raluca Pruna, citée par lAFP et les agences de presse, ajoutant que lEtat “doit punir de manière exemplaire” les auteurs de ces inscriptions. La présidence roumaine a également fait part du “choc” du chef de lEtat, Klaus Iohannis, membre de la minorité allemande, face à ces messages racistes. Interrogé par lAFP, le président du Conseil roumain antidiscrimination Csaba Asztalos a indiqué que lintolérance envers les Roms, les musulmans et les personnes handicapées est en hausse en Roumanie. La communauté rom de Roumanie compte environ 620.000 personnes, selon le chiffres du dernier recensement officiel, mais les ONG parlent de quelque deux millions de personnes.



    Présidence – Réunion informelle du gouvernement roumain ce samedi consacrée aux principaux dossiers européens et à la préparation de la présidence roumaine du Conseil européen, prévue pour le second semestre de 2019. Le chef de lEtat, Klaus Iohannis, avait exigé, dès lautomne dernier, que lexécutif roumain commence déjà les préparations bien à lavance. La présidence tournante de lUE est “une responsabilité majeure” pour la Roumanie, avait alors estimé le président roumain.



    Santé – Les nouvelles normes de qualité pour la Santé publique roumaine devront être opérationnelles dans deux ans, a annoncé Vasile Cepoi, président de lAutorité nationale de gestion de la qualité dans le secteur de la Santé. Les hôpitaux, les médecins traitants, les établissements offrant des traitements ambulatoires et les pharmacies – tous les acteurs du domaine seront tenus dappliquer ces normes, a-t-il encore précisé. Le système médical roumain ne pourra fonctionner ou garantir la qualité de ses services que si toutes ces structures mettent en œuvre les nouvelles réglementations, a encore indiqué le chef de lAutorité nationale de gestion de la qualité dans le secteur de la Santé.



    Handball — Le club champion de handball féminin de Roumanie, CSM Bucarest sest qualifié samedi au tournoi Final Four, après avoir vaincu l’équipe russe Rostov Don (29-28), dans le match retour de la finale de la Ligue des Champions. Dans le match aller l’équipe roumaine s’est imposée à la limite, score 26 buts à 25. L’autre équipe roumaine de la compétition, HCM Baia Mare, jouera dimanche le match retour contre Buducnost Podgorica du Monténegro. Dans le match aller, à Baia Mare, le club monténégrin sétait imposé avec 29 points à 24. La Roumanie est le seul pays qui a la chance d’être représentée par deux équipes au tournoi Final Four, organisé les 7 et 8 mai à Budapest.



    Météo – Temps instable en Roumanie, avec des pluies abondantes sur le sud, le centre et les régions de montagne. La grêle devrait faire son apparition dans certains de ces endroits. Les pluies seront éparses dans le reste du territoire. Les minimales devraient descendre jusquà 4 degrés, tandis que les maximales de lair ne devraient plus dépasser les 22 degrés.

  • La lune tsigane brille plus que le soleil

    La lune tsigane brille plus que le soleil

    Voltiges sous le chapiteau, jongleries, clowns, paillettes, musique, voyage – le cirque fait rêver enfants et adultes depuis la nuit des temps. Cest un monde à part, qui transmet une sensation de liberté, un désir de vaincre toutes les limites et de défier limpossible. Mais au-delà des strass, des lumières colorées et des applaudissements, le cirque est une tranche du monde dans lequel ont vit, avec des difficultés bien réelles – administratives, économiques et humaines. On dit “le cirque”, mais, en fait, il faudrait parler au pluriel, tellement il y a des nuances à saisir dune enseigne à une autre. Débat avec Alexandre Romanès, le créateur de lunique “cirque tsigane” dEurope, dont la compagnie comporte nombre de Roms originaires de Roumanie.


  • Mobilité et changement dans les communautés rom

    Mobilité et changement dans les communautés rom

    La communauté rom de Roumanie compte officiellement 621.200 membres – selon le recensement de 2011 – mais en réalité elle est beaucoup plus nombreuse et elle n’a pas fait l’objet de recherches sociologiques approfondies. Du moins c’est la conclusion des auteurs de l’étude « Aspects positifs de la migration. Les femmes roms en tant qu’agents de changement. » Cette étude, réalisée par la fondation « Eurocentrica » et financée par le biais du Mécanisme financier de l’Espace économique européen (EEA Grants) se proposait d’identifier les effets de la migration saisonnière à l’étranger sur les femmes roms et sur leur statut au sein de leurs communautés. Les chercheurs se donnaient également pour tâche de mettre en exergue une partie des relations sociales au sein de cette minorité méconnue et à laquelle on applique souvent des clichés – estime Gabriela Drăgan, directrice de l’Institut européen de Roumanie.

    Gabriela Drăgan: « Nous avons affaire à un groupe qui se sent discriminé. Et il ne s’agit pas d’une perception sans fondement. J’ai consulté un Eurobaromètre réalisé en juin 2015, auquel ont participé 28.000 citoyens européens. Parmi les questions figuraient celle-ci : « A votre avis, la discrimination fondée sur l’origine ethnique est-elle répandue ? »64% des personnes interrogées ont estimé qu’elle était très répandue. La question sur l’origine ethnique concernait la population rom, mais aussi d’autres ethnies. Une autre question m’a pourtant paru encore plus intéressante. On leur demandait combien d’entre eux se sentiraient très mal à l’aise si leurs enfants avaient des relations avec des personnes d’une autre ethnie. 34% ont déclaré qu’ils se sentiraient très mal à l’aise si leurs enfants avaient des relations avec une personne d’ethnie rom. C’est le pourcentage le plus élevé exprimé de ce point de vue par les citoyens européens – à l’exception de leur réticence vis-à-vis des transsexuels. La réalité est là : il existe une telle perception vis-à-vis de ce groupe et cette perception s’explique sans doute par certains éléments indéniables. »

    Pour échapper à la discrimination et sortir d’une situation économique plus que précaire, nombre de Roms circulent en Europe, en quête d’une vie meilleure. Certains d’entre eux se rendent en Norvège, où ils ont été accompagnés par les membres de la fondation « Eurocentrica ». Leur étude a été ciblée sur les femmes roms provenant de 3 communautés du département de Gorj, dans le sud de la Roumanie. C’est avec elles que les chercheurs se sont entretenus, aussi bien en Roumanie qu’en Norvège, où elles étaient arrivées après de longues pérégrinations à travers l’Europe.

    Un des auteurs de l’étude, Liviu Iancu, explique: «Cette recherche nous a permis de constater quelques aspects très intéressants sur la manière dont les destinations migratoires des Roms se déplacent du sud au nord, en fonction des évolutions socio-économiques en Europe. Si, en 2000, les Roms travaillaient comme ouvriers agricoles au Portugal, après le déclenchement de la crise économique, ils ont changé de destination, se dirigeant vers les pays scandinaves. Pourtant là, les réglementations en vigueur les excluent du marché de l’emploi, aussi sont-ils obligés de recourir à la mendicité. Il y a aussi des exceptions et beaucoup d’entre eux souhaitent travailler, pourtant les barrières législatives, le fait qu’ils ne connaissent pas la langue et d’autres obstacles de ce genre ne les encouragent pas. »

    A part la discrimination, la pauvreté et le manque d’éducation, les femmes roms sont confrontées à toute une série de problèmes qui leurs sont propres – reconnaît Cristina Tănase, membre de la communauté rom et manager de programmes au sein de la fondation « Sauvez les enfants » : « En effet, en général, la femme n’est pas l’égale de l’homme, mais en fonction de la branche roms à laquelle appartient la femme, cette inégalité est plus ou moins marquée. Par exemple, il ne lui est pas permis de s’asseoir à table avec son mari, pour le repas, il ne lui est pas permis de marcher aux côtés de son mari, c’est le mari qui marche devant sa femme. »

    La migration semble modifier un petit peu le statut des femmes, peut-être pas nécessairement l’améliorer, mais plutôt y ajouter de nouvelles tâches. Liviu Iancu : « En ce qui concerne les femmes, groupe cible de cette étude, nous avons constaté que la migration entraînait certains changements dans leur statut. L’ambiance familiale était meilleure, vu que les ressources obtenues suite à l’immigration sont meilleures. L’immigration comportant certains risques, elles sont davantage consultées au sein de la famille. Lorsque les hommes ne peuvent plus jouer leur rôle traditionnel, à savoir subvenir aux besoins de la famille – qu’ils soient malades ou partis on ne sait où – les femmes sont obligées de renoncer aux restrictions sociales propres à leur communauté et prendre leur sort dans leurs propres mains: apporter de l’argent, prendre soin des parents malades et s’impliquer toutes seules dans le processus de migration. »

    Pourtant, les résultats de l’étude peuvent être interprétés d’une autre manière. Gabriela Drăgan : « On a posé 26 questions, la plupart liées à leur statut : ce qu’elles faisaient en Norvège, comment elle gagnaient de l’argent. Plusieurs questions étaient susceptibles de mettre en évidence un changement du statut de la femme. « Quelque chose a changé dans votre famille depuis que vous allez en Norvège ? Qu’est-ce qui a changé ? Qui prend les décisions dans votre famille ? A la première question, plus de la moitié ont répondu « oui ». Il y avait des changements. Il fallait voir ce qui avait changé. C’est les revenus qui avaient changé, ils étaient plus grands, ce qui avait amélioré l’ambiance familiale. Quant à la façon dont les décisions étaient prises, pour 70% rien n’avait changé. Quant il s’agit de changer des modèles, les changements sont lents et très difficiles. L’hypothèse de l’étude était très intéressante, pourtant, de mon point de vue, les changements ne sont pas visibles. »

    Selon Cristina Tănase, pour que les mentalités changent vraiment, il faut que l’expérience de la migration soit complétée par l’éducation: « L’éducation est déterminante. Si, dans d’autres pays, les Roms sont entrés en contact avec la population majoritaire, il est possible qu’ils s’éduquent eux-mêmes, en fonction de la culture où ils doivent s’intégrer. Moi, par exemple, j’ai emprunté des choses chez les majoritaires. C’est pourquoi l’association « Sauvez les enfants » met l’accent sur l’éducation. Nous sommes en train de développer des projets de formation pour les enseignants roms et non-roms, de sorte que la culture et la tradition de cette ethnie soient mieux connues et que les parents puissent être intégrés aux activités scolaires des enfants, afin qu’ils apprennent les uns des autres. »

    A part cette recherche sociologique, le projet « Aspects positifs de la migration » a également comporté l’organisation en Norvège de deux festivals avec la participation d’artisans roms. ( Trad. : Dominique)

  • A la Une de la presse roumaine 03.09.2015

    A la Une de la presse roumaine 03.09.2015

    A parcourir les pages de la presse roumaine en ligne du jour, la migration domine les articles – routes de transit en Roumanie vers lespace Schengen, attitude des Roumains envers les migrants, nombre de réfugiés à accueillir. Quant à la rentrée, une autre question commence à agiter les esprits – quel budget, si vous vivez en Roumanie ? Et pour conclure, une jeune Roumaine d’origine rom brise les stéréotypes…


  • 08.08.2015 (mise à jour)

    08.08.2015 (mise à jour)

    Holocauste — Le premier monument à la mémoire des victimes de l’Holocauste contre la communauté rom a été dévoilé samedi au Musée de la culture rom de Roumanie, à Bucarest. Ce monument a été érigé à la mémoire des Roms déportés et exterminés entre 1940 et 1944 en Transnistrie (région se trouvant, de nos jours, dans l’est de la République de Moldova), ainsi que dans les camps d’Auschwitz-Birkenau, ont fait savoir les responsables du musée. L’installation de ce monument intervient après que le Parlement européen a adopté, le 15 avril dernier, une résolution qui fait de chaque 2 août un Jour mémorial de l’Holocauste européen des Roms. Le document qualifie également l’antitziganisme d’attitude incompatible avec les valeurs communes de l’UE. Il y a une semaine, le premier ministre roumain, Victor Ponta, avait salué l’initiative de la société civile rom de Roumanie de commémorer « cet événement tragique de l’histoire moderne de l’humanité », tout en appelant à la solidarité, à la tolérance et à l’entente entre tous les êtres humains vivant sur la planète. Rappelons que le 2 août 1944, près de trois mille Roms — enfants, femmes et hommes — détenus dans le camps d’Auschwitz ont été envoyés par les nazis dans les chambres à gaz.



    Marine — L’Etat roumain organisera prochainement des appels d’offres afin de moderniser ses deux frégates « Regele Ferdinand » et « Regina Maria » et de les doter d’équipements électroniques et de l’armement de dernière génération, a affirmé le ministre roumain de la Défense, Mircea Duşa. Lors d’une cérémonie organisée par l’Etat major des Forces navales roumaines dans le port militaire de Constanţa, sur la mer Noire, le responsable s’est félicité de l’activité de la Marine militaire nationale, qui marquera cette année, le 15 août, les 155 ans écoulés depuis sa création. Samedi a été une journée « portes ouvertes » dans les ports militaires sur la côte roumaine de la mer Noire et sur le Danube — à savoir à Constanţa, Mangalia et, respectivement, Brăila et Tulcea. Des expositions de technique militaire mais aussi dart plastique à thématique marine ont été proposées aux visiteurs. Dans le même contexte, les Forces navales roumaines ont également présenté leurs offres de stages et de filières de formation.



    Coopération — La Hongrie et la Roumanie n’ont d’autre choix que d’entretenir des relations de partenariat et de coopération car ceci est la seule manière de résoudre les problèmes bilatéraux, a affirmé le conseiller chargé de la politique nationale au ministère hongrois des Affaires étrangères, Ferenc Kalmár. Le responsable vient d’être également nommé par le premier ministre hongrois Viktor Orbán aux fonctions de coprésident des commissions mixtes qui défendent les intérêts des communautés magyares en dehors des frontières de la Hongrie. L’approche sera ainsi coordonnée dans les négociations visant ces communautés de Slovénie, Croatie, Serbie, Roumanie, Ukraine et Slovaquie, a encore ajouté Ferenc Kalmár. Concentrée dans le centre et l’ouest de la Roumanie, la communauté magyare du pays compte environ 1 million et demi de personnes, à savoir 6% du total de la population du pays. Sa principale formation politique, l’Union démocratique des Magyars de Roumanie est représentée sans interruption au Parlement de Bucarest, depuis 1990, et elle a fait partie de la quasi totalité des gouvernements de coalition ayant dirigé le pays.



    Environnement — Quelque deux millions de personnes vivant des deux côtés de la frontière roumano-serbe bénéficieront d’un nouveau programme environnemental transfrontalier, d’un montant total de plus de 88 millions d’euros. Ce projet doit aboutir à la mise en place d’une infrastructure de transport efficace et écologique, créer de nouvelles opportunités d’emploi, améliorer l’accès aux soins médicaux et à l’éducation. Financé de fonds structurels, ce programme concerne trois régions frontalières roumaines et six serbes, lit-on dans un communiqué de la Représentation de la Commission européenne à Bucarest.



    Enquête — Le Service roumain de renseignements extérieurs a fait savoir qu’il ne pouvait pas déclassifier les documents portant sur l’enlèvement, il y a dix ans, de trois journalistes roumains. Jeudi, l’ex-président roumain, Traian Băsescu, avait été entendu par la Haute Cour de Cassation et de Justice dans le cadre d’une enquête visant la rançon qui aurait été versée par l’Etat roumain aux ravisseurs en échange de la libération des journalistes. Chef de l’Etat entre 2004 et 2014, Traian Băsescu a qualifié de « mensonges abjects » les accusations lancées à son encontre par le leader du Parti de la Grande Roumanie (populiste, extra-parlementaire), Corneliu Vadim Tudor. Selon ce dernier, Traian Basescu se serait approprié 4 ou 5 millions de dollars, soit un tiers de cette rançon. Les autorités de Bucarest n’ont jamais confirmé avoir payé 12 millions de dollars de rançon contre la mise en liberté des reporters Marie Jeanne Ion et Ovidiu Ohanesian et du caméraman Sorin Miscoci, enlevés en mars 2005 et relâchés deux mois plus tard. En 2008, la justice roumaine a condamné l’homme d’affaires d’origine syrienne Omar Hayssam à vingt ans de prison ferme pour avoir orchestré cet enlèvement.



    Sécheresse — Trois départements de louest de la Roumanie sont, dimanche aussi, en vigilance orange à la canicule et à linconfort thermique accentué, les températures y devant grimper jusquà 38 degrés. Plusieurs autres régions de l’ouest, du centre, du sud et du nord de la Roumanie seront en vigilance jaune contre la chaleur extrême. Sur l’ensemble du pays, les météorologues n’attendent des pluies, et très faibles, que pour la fin de la semaine prochaine.



    En Roumanie, les cultures agricoles sont fortement endommagées par la sécheresse. Le manque de pluie a compromis les récoltes et a fait reculer les nappes phréatiques ; dans certaines communes du sud du pays, les puits destinés au ravitaillement de la population restant sans eau. A certains endroits, la navigation sur le Danube se déroule difficilement, mais le chenal n’est bloqué sur aucun des secteurs roumains du fleuve. Dans le Delta, réserve de la biosphère, l’accès des embarcations sur plusieurs dizaines de canaux a été temporairement suspendu, vendredi, à cause du manque d’eau.



    La chaleur extrême perturbe les activités sur une bonne partie du continent européen. De ce fait le ministère des Affaires étrangères de Bucarest a publié une mise en garde à l’intention des ressortissants roumains souhaitant voyager dans plusieurs pays. Une vigilance rouge à la canicule a été instituée en Hongrie, en Italie et en Croatie, les températures atteignant les 40 degrés. Des restrictions du trafic routier et ferroviaire y ont été imposées. Même cas de figure dans l’est de la Bulgarie, où des incendies de végétation peuvent se produire. Les prévisionnistes affirment que cette vague de chaleur devrait camper sur l’Europe tout au long de la semaine prochaine aussi.

  • Nachrichten 26.07.2015

    Nachrichten 26.07.2015

    Rom: Der beigeordnete Minister für die rumänischen Auslandsgemeinschaften, Angel Tîlvăr, hat sich am Sonntag in Rom am Kirchenfest der rumänischen orthodoxen Kirche Sankt Pantelimon beteiligt. Laut einer Mitteilung aus seinem Ministerium, bekräftigte Tîlvăr dabei die ausschlaggebende Rolle, die die Kultstätten für die Auslandsrumänen spielen. Diese seien Plätze, wo die rumänische Gemeinde zusammenkommt, wo die rumänische Identität mit ihren Traditionen und Sprache bewahrt wird, so der Minister. Am Vortag war Tîlvăr mit Vertetern der rumänischen Gemeinde und der rumänischsprachigen Medien im Süden und Osten Italiens zu Gesprächen zusammengekommen. Die Gesprächspartner hatten sich darauf geeinigt, ein gemeinsames Projekt beruflicher Wiederintegration anzustoßen, das sich an italienische Geschäftsleute in Rumänien als mögliche Arbeitgeber richtet und den Rumänen in Italien gewidmet wird, die in ihre Heimat zurückkehren möchten. Der Italien-Besuch ist laut einer Mitteilung aus dem Ministerium als Zeichen der ständigen Beschäftigung der Bukarester Behörden mit der Lage der Rumänen in Italien zu werten.



    Wien: Rumäniens Präsident Klaus Iohannis ist am Sonntag in Salzburg mit seinem österreichischen Gegenüber Heinz Fischer zu Gesprächen zusammengekommen. Themenschwepunkte bildeten Themen auf der europäischen und internationalen Agenda. Im Zuge der EU-Ratspräsidentschaft, die Österreich und Rumänien im Jahr 2019 aufeinander folgend innehaben werden, bekräftigten Fischer und Iohannis das gemeinsame Interesse zur Intensivierung der regionalen Kooperation. Die beiden Staatschefs haben zudem den Wunsch nach einer engeren Zusammenarbeit im Rahmen der EU-Donauraumstrategie und in der Region Westbalkan bekräftigt. Am Sonntag beteiligte sich Klaus Iohannis zusammen mit seiner Frau auch an der offiziellen Eröffnung der Salzburger-Festspiele als Ehrengäste des österreichischen Präsidenten Heinz Fischer.



    Bukarest: Die Hitzewelle dauert in Rumänien an. Bukarest und 12 Landkreise im Süden und Südosten des Landes stehen unter der Warnstufe Orange. Die Höchstwerte erreichten am Sonntag 39 Grad. In weiteren 14 Landkreisen im Süden, Südosten und Osten des Landes gilt die Warnstufe Gelb wegen Hitze. Die Temperaturen sinken hingegen im Westen, Norden und in der Landesmitte. Aufgrund der anhaltenden Hitze wurden in Bukarest auf der Straße Erste-Hilfe-Zelte mit mobilen Wasserstellen eingerichtet. Auf den Landesstraßen in den Regionen, wo der Wetterdienst die Warnstufe Orange aufrechterhält, kommt es bei Fahrzeugen über 7,5 Tonnen zu Verkerseinschänkungen.



    Sport: Rumänien trifft in der Qualifikation zur Fußball-WM im Jahr 2018 auf Dänemark, Polen, Montenegro, Armenien und Kasachstan. Das ergab die Auslosung für das Turnier in Russland am Samstag in Sankt Petersburg. Rumänien war im Lostopf eins zusammen mit Deutschland, Kroatien und Wales gesetzt worden. Überdies, hat Rumänien am Sontag zwei Goldmedaillen an der Junioren Ruder-Weltmeisterschaft U-23 in Plovdiv, Bulgarien gewonnen. Am Samstag holte das rumänische Team drei Silbermedaillen an der Junioren Kanurennsport-Weltmeisterschaft im portugiesischen Montemor-o-Velho

  • Nachrichten 25.07.2015

    Nachrichten 25.07.2015

    Rom: Der beigeordnete Minister für die rumänischen Auslandsgemeinschaften, Angel Tîlvăr, ist am Samstag in Rom mit Vertetern der rumänischen Gemeinde und der rumänischsprachigen Medien im Süden und Osten Italiens zu Gesprächen zusammengekommen. Am Vortag diskutierte Tîlvăr mit Vertretern der Stadtverwaltung Rom. Dabei bekräftigte der Minister die intensive Beschäftigung der Bukarester Behörden mit der Lage der Auslandsrumänen. Die Gesprächspartner haben sich darauf geeinigt, ein gemeinsames Projekt beruflicher Wiederintegration anzustoßen, das sich an italienische Geschäftsleute in Rumänien als mögliche Arbeitgeber richtet und den Rumänen in Italien gewidmet wird, die in ihre Heimat zurückkehren möchten.



    Der Besuch ist laut einer Mitteilung aus dem Ministerium als Zeichen der ständigen Beschäftigung der Bukarester Behörden mit der Lage der Rumänen in Italien zu werten. Die rumänischen Behörden unterstützten ihre Integration und setzen sich für die Einhaltung ihrer Rechte als EU-Bürger ein. Die rumänische Gemeinde ist mit rund einer Million Menschen die zahlreichste in Italien. Es handelt sich um den zweiten Besuch von Angel Tîlvăr in Italien. Am Jahresanfang hatte er einen Besuch in der Provinz Katanien unternommen.



    Wien: Rumäniens Präsident Klaus Iohannis ist am Samstag in Salzburg zu einem zweitägigen Besuch auf Einladung seines österreichischen Gegenübers Heinz Fischer eingetroffen. Themenschwerpunkten bei den geplanten Beratungen zwischen Iohannis und Fischer bilden die bilateralen Beziehungen sowie aktuelle Themen auf der europäischen und internationalen Agenda. Klaus Iohannis und seine Frau sollen sich zudem an der offiziellen Eröffnung der Salzburger Festspiele als Ehrengäste des österreichischen Präsidenten beteligen.



    Bukarest: Der ungarische Premierminister Viktor Orban hat sich am Samstag an einer Debatte im Rahmen der 26. Sommerakademie und Jugendferienlager im mittelrumänischen Băile Tuşnad (Bad Tuşnad) beteiligt. Dabei betonte Orban, dass die illegale Einwanderung eine wahre Bedrohung für Ungarn und Europa darstelle, weil dieses Phänomen die Sicherheit der Bürger gefährde, indem es zur Verbreitung von Terrorismus und zum Anstieg der Arbeitslosigkeit deutlich beitrage. Rund 200 ungarische und rumänische Lektoren, Regierungmitglieder, Professoren, Geschäftsleute, Forscher und Diplomaten haben sich an der diesjährigen Sommerakademie beteiligt.



    Im Mittelpunkt der Gespräche standen politische, wirtschaftliche und kulturelle Themen. Der ungarische Regierungschef soll anschließend mit dem Vorsitzenden der Demokratischen Union der Ungarn in Rumänien Kelemen Hunor zu Gesprächen zusammenkommen. Die Situation der ungarischen Gemeinde in Rumänien bildet dabei den Themenschwerpunkt.

  • Vor French-Open-Start: Hat Halep ein mentales Problem?

    Vor French-Open-Start: Hat Halep ein mentales Problem?

    Am Samstag war das Turnier in Rom für Simona Halep beendet. Im Halbfinale unterlag sie der Spanierin Carla Suarez Navarro mit 6:2, 3:6 und 5:7. In einer Woche beginnen die French Open, das Grand Slam-Turnier, bei dem sich die Sportlerin aus Constanţa am besten fühlt und ihr die grö‎ßten Chancen auf den Titel eingeräumt werden. Doch gerade jetzt kommen in Rumänien angesichts der bislang nur fünf Siege auf Sand (bei drei Niederlagen) immer mehr Zweifel an den Fähigkeiten von Halep auf. Zumal sie den zweiten Ranglistenplatz am Montag erneut an die Russin Maria Scharapowa abgeben musste.



    Die beiden grö‎ßten Sportzeitungen des Landes, ProSport und Gazeta Sportului, verweisen auf eine vermeintliche mentale Schwäche der bis heute grö‎ßten Tennisspielerin Rumäniens. Diese habe sich bereits in der Vergangenheit abgezeichnet, in der aktuellen Sandplatz-Saison umso mehr. Liest man die Kommentare der Fans, sind die Meinungen noch extremer. Nie habe Halep ein ausgeglichenes Spiel für sich entscheiden können, die gro‎ßen Spiele verliert sie immer. Gerne zitieren rumänische Sportjournalisten auch ehemalige Trainer der 23-Jährigen, die bei ihr bereits in der Jugend eine Konzentrationsschwäche erkannt haben wollen. Es sei nichts Neues, dass Halep dem Druck nicht standhalten kann, sagte etwa Nicuşor Ene der Zeitung Gazeta Sporturilor. Bei wichtigen Turnieren habe sie schon mit 10 Jahren immer verkrampft gewirkt. Er habe schon damals den Eltern einen Psychologen empfohlen, doch sie wollten nicht auf ihn hören, so Ene.



    Doch natürlich ist das alles Unfug. Man muss sich nur ein bisschen zurücklehnen und den Moment des Durchbruchs von Simona Halep in Erinnerung rufen. Der geschah zufälligerweise auch in Rom, vor genau 2 Jahren. Dort stie‎ß sie als Qualifikantin bis ins Halbfinale vor, wo sie Serena Williams unterlag. Im Viertelfinale hatte sie gegen die erfahrene Serbin Jelena Jankovic zwei Matchbälle abgewehrt und die Partie zu ihren Gunsten gedreht. Und bei ihren anschlie‎ßenden sechs Turniersiegen in jenem Jahr war auf keinen Fall von mentaler Schwäche die Rede.



    Und jetzt zu ihrer Gegnerin am Samstag: Die trockene Statistik zeigt eindeutig, dass die Partien zwischen den beiden Spielerinnen extrem ausgeglichen sind. Zwischen Halep und Suarez-Navarro steht es nach dem Treffen in Rom 5:5, von den zehn Spielen gingen sieben über drei Sätze. Und, was noch wichtiger scheint, auf Sand konnte die Rumänin noch keine Begegnung gewinnen, die Spanierin gewann alle vier. Deshalb die klare Schlussfolgerung: Halep hätte vor der Begegnung mit Navarro wahrscheinlich als Au‎ßenseiterin gelten müssen. Zumal ihre Gegnerin zurzeit in Topform ist, vor allem wenn sie auf Sand auftritt. Auch das Endspiel gegen Maria Scharapowa in Rom dominierte die Ibererin in der Anfangsphase, bis ihr schlie‎ßlich die Kräfte ausgingen. Halep muss sich also auf keinen Fall für die Niederlage schämen und auch ihre Fans und die rumänischen Journalisten nicht. Denn scheinbar haben die Kritiker noch etwas vergessen: Gegen Navarro, die inzwischen auf Platz acht der Weltrangliste vorgerückt ist, hatte die Rumänin zuletzt bei ihrem grö‎ßten Turniersieg bislang gewinnen können.



    Im Viertelfinale von Indian Wells vor zwei Monaten lag sie gegen die Spanierin mit 4:6 im Rückstand. Doch während jener Partie meldete sich Halep eindrucksvoll zurück und gab nur noch zwei Spiele bis zum Schluss ab. Auch das Endspiel von Indian Wells gegen Jelena Jankovic schien beim Stande von 2:6 und 4:5 aussichtslos und dennoch feierte am Ende die Rumänin. Mentale Schwäche in den wichtigen Spielen? Auf keinen Fall!



    Und nicht zuletzt sind auch die beiden anderen Niederlagen von Halep auf Sand in diesem Jahr gegen zwei weitere Spielerinnen in Topform erfolgt. In Stuttgart verlor sie ein erstklassiges Halbfinal-Duell mit der Dänin Caroline Wozniacki. In Madrid unterlag sie in der ersten Runde der Französin Alize Cornet an einem der Sahnetage der Sportlerin, die letztes Jahr der allmächtigen Serena Williams gleich drei Niederlagen hatte zufügen können. So pechschwarz ist die Zukunft für die Weltranglistendritte aus Rumänien also vielleicht doch nicht.

  • Nachrichten 16.05.2015

    Nachrichten 16.05.2015

    Rom: Am Samstag ist der rumänische Präsident Klaus Iohannis in Vatikanstadt mit Vorstandsmitgliedern der Gemeinde Sant’Egidio zu Gesprächen zusammengekommen. SantEgidio ist eine nach dem Zweiten Vatikanischen Konzil gegründete internationale Laienvereinigung. Am Freitag war der rumänische Staatschef vom Papst Franziskus empfangen worden. Mit diesem Anlaß lud Präsident Iohannis den Heiligen Vater zu einem Rumänienbesuch ein. Papst Franziskus hat die Einladung des rumänischen Staatschefs gern angenommen.



    Laut dem Präsidialamt in Bukarest wird das Datum des Besuches auf diplomatischen Wegen festgelegt. Anschließend diskutierte Iohannis auch mit dem Staatssekretär Vatikans, dem Kardinal Pietro Paolin. Bei den Treffen, die genau am 25. Jahrestag seit der Wiederaufnahme der diplomatischen Beziehungen zwischen Rumänien und Vatikanstadt stattfanden, betonten die Würdenträger die exzellenten Beziehungen zwischen Rumänien und dem Heiligen Stuhl. Dabei wurde das gegenseitige Interesse für die weitere Entwicklung der bilateralen Kooperation hervorgehoben, mit besonderer Betonung der Förderung der religiösen Freiheit, des interkonfesionellen Dialogs und der Bekämpfung des Fundamentalismus.



    Auf dem Programm des Präsidenten Klaus Iohannis standen auch Gespräche mit Vertretern der rumänischen Gemeinde in Mailand und mit den rumänischen Studenten an der Päpstlichen Universität. Am Donnerstag besuchte Iohannis die Weltausstellung Mailand 2015, mit dem zentralen Thema Ernährung der Welt, Energie fürs Leben“. Dort besichtigte er die Pavillons Rumäniens, Italiens und den des Heiligen Stuhls.



    Budapest: Parlamentarier der NATO-Staaten kommen in Budapest zur Frühjahrstagung zusammen. Themenschwerpunkte der Frühjahrstagung der Parlamentarischen Versammlung der NATO, die vom 15. bis 18. Mai 2015 stattfindet, sind die aktuelle Lage in der Ukraine und die euro-atlantische Sicherheit mit Blick auf Russland. Diskutiert werden die Auswirkungen der Sanktionen gegen Russland, die sogenannte hybride Kriegsführung“ und die Modernisierung der russischen Streitkräfte. Diese Themen wurden ebenfalls beim jüngsten Treffen der NATO-Außenminister angesprochen.



    Weitere Themen der Beratungen sollen die Bekämpfung des Terrorismus, die Entwicklungen in Afghanistan sowie die Atomverhandlungen mit dem Iran sein. Auf der Agenda der Gespräche stehen außerdem die Entwicklungen auf dem Balkan und die Konflikte in Syrien, Irak und Libyen, die dazu führten, dass die Zahl der Flüchtlinge deutlich anstieg. Die NATO-Parlamentsversammlung zählt 257 Mitglieder aus 28 Staaten.



    Sport: Die rumänische Tennisspielerin, Weltranglistenzweite Simona Halep ist am Samstag im Halbfinale des mit 2,4 Millionen Dollar dotierten Turniers in Rom ausgeschieden. Sie verlor gegen die Spanierin Carla Suarez Navarro in drei Sätzen, mit 2:6, 6:3, 7:5. Das nächste Turnier an dem sich die 23-jährige Halep beteligt ist das Grand-Slam-Turnier French Open, das am 24. Mai in Paris beginnt.




  • Projets pour l’insertion des communautés rom de Roumanie

    Projets pour l’insertion des communautés rom de Roumanie

    Les principales difficultés auxquelles ils sont confrontés concernent leurs maigres revenus, l’absence de toute formation professionnelle et le bas niveau d’instruction, le chômage, l’accès limité aux services publics et la discrimination. La plupart des Roms habitent des logements dépourvus des éléments élémentaires de confort: cuisine, toilettes, salle de bains ou électricité. La communauté ethnique rom enregistre aussi le taux le plus élevé d’illettrés. Enfin, malgré les initiatives mises en place à l’échelle nationale et internationale visant à améliorer leurs conditions de vie et à leur insertion sociale, les Roms restent toujours la communauté la plus discriminée par rapport à d’autres minorités nationales.



    En vue d’un état des lieux plus précis, un projet a récemment été lancé à Bucarest, sous le titre « La Cartographie sociographique des communautés rom de Roumanie pour le suivi communautaire des changements relatifs à leur intégration (SocioRoMap) ». Le projet devrait fournir des informations et des données aux institutions publiques habilitées à élaborer des politiques publiques et à prendre les mesures d’inclusion de ces communautés. En outre, les résultats du projet mentionné sont censés aider les autorités à concevoir des programmes et des schémas de financement des projets visant à l’éradication de la pauvreté, au développement local et à la promotion des chances de réussite de certains groupes marginaux. Le projet SocioRoMap est déroulé par l’Institut pour l’étude des problèmes des minorités nationales, basé à Cluj Napoca, en partenariat avec la Fondation pour une société ouverte et le Centre de recherche sur les relations interethniques.



    Plus de 3000 unités administratives rurales et urbaines seront cartographiées pour avoir une idée plus nette des besoins et priorités des communautés rom. Istvan Horvath, président de l’Institut pour l’étude des problèmes des minorités nationale détaille ce projet.« Notre visée va plus loin qu’un simple inventaire. Nous souhaitons que la description de ces communautés soit facilement intelligible, que leurs problèmes soient présentés sous la forme d’une carte. Par ailleurs, nous ambitionnons de mettre sur pied un réseau opérationnel de personnes capables de fournir des informations pertinentes sur la condition de ces communautés. Il y aura le réseau des travailleurs sociaux, celui des ONGs actives auprès des communautés locales, le réseau des institutions et des personnes dédiées à la protection des Roms, tels les médiateurs scolaires ou sanitaires… notre objectif est donc celui d’inventorier ces communautés, d’apprendre ce qui a été fait ou pas en matière d’intervention…, car si dans certains cas on a fait pas mal de choses, dans d’autres on n’a pas fait assez pour différentes raisons, dont l’état de pauvreté ou d’isolement du groupe respectif. »



    L’ambassadrice de Norvège en Roumanie et en République de Moldova, Son Excellence Tove Bruvik Westberg, a été présente au lancement du projet « SocioRoMap ». Voici ce qu’elle a déclaré à ce propos: « C’est l’accès plus facile de ces groupes, les Roms compris, à l’éducation et à la santé qui est au cœur de ce projet. Ce programme repose sur ma conviction qu’une société meilleure et juste est celle qui inclut l’intégralité de la population, qui accepte et tolère tout le monde, assure des services pour tous. Tout le monde n’est pas égal en Norvège, mais l’égalité est une norme. Les gens diffèrent par leur origine, leurs revenus, mais ils sont égaux en droits, ce qui est très important. Nous devons saisir la réalité au sein des communautés rom de Roumanie et c’est ce que nous allons faire au travers de ce projet. Il est nécessaire de fournir aux décideurs les informations utiles et révélatrices dont ils ont besoin pour concevoir les politiques publiques. Pour différentes raisons, peu d’informations relatives aux Roms sont disponibles au niveau du gouvernement. Voilà pourquoi il faut créer le lien manquant entre la réalité de ces communautés et ceux qui légifèrent, recueillir des informations sur les conditions de vie, le niveau d’éducation et l’accès des membres de ces groupes ethniques aux services sociaux et médicaux. »


    Un autre projet a trait à la promotion de la culture et les arts dans les milieux défavorisés des Roms. Lancé par les Associations T.E.T.A., ADO, REPER 21 et Urbanium, le projet intitulé « Maskar », qui met le théâtre au service de l’éducation, sera accueilli par Alexandria et Turnu Măgurele, villes du comté de Teleorman, dans le sud de la Roumanie où vivent d’importantes communautés de Roms. 10 mois durant, 40 jeunes et 60 adultes participeront à toute sorte d’activités: programmes artistiques, ateliers, expositions et spectacles sur la culture et les traditions rom. Partager des expériences positives, apprendre aux jeunes à mieux communiquer avec des personnes issues de leur communauté ou de milieux différents, à cultiver la confiance en eux-mêmes et leur potentiel créatif, à jouir des mêmes droits, voilà les visées de ce projet.



    Nous écoutons Ana Maria Pălăduş, qui travaille à l’Association « L’art au service des droits humains (ADO) ». « Nous touchons à une problématique sensible, celle de la discrimination des Roms vivant dans ces deux communautés. Notre approche est pourtant très inédite, parce qu’elle repose sur des moyens artistiques. Elle propose de faire du théâtre un moyen de jeter des ponts entre les cultures roumaine et rom. Nous allons constituer deux groupes de jeunes, des deux villes, qui participeront, plusieurs mois durant, à des ateliers de développement personnel et de théâtre communautaire. Les histoires racontées permettront de déceler leur perception de la discrimination et des problèmes de leurs communautés respectives. Nous envisageons aussi de les faire dialoguer avec des jeunes qui n’appartiennent pas à leur ethnie. Ces ateliers devraient déboucher sur deux pièces de théâtre, l’une à Turnu Măgurele, l’autre à Alexandria, qui seront par la suite présentées aussi à Bucarest et à Cluj Napoca. »



    Le projet « Maskar » comporte aussi deux expositions. Elles proposeront la découverte de l’histoire et de la culture rom des deux villes du sud de la Roumanie, par le biais des objets vestimentaires et d’artisanat, des photos et décorations, des mélodies, des légendes ou des symboles. Les organisateurs ont été agréablement surpris de constater combien grand a été l’enthousiasme des enfants roms participants à ce projet. Ana Maria Pălăduş: « Notre projet a joui d’une incroyable ouverture dans les écoles et les lycées considérés comme les plus faibles. Quand on a présenté aux jeunes nos intentions, ils voulaient tous s’inscrire aux ateliers. Par contre, dans les lycées de renom l’attitude a été plus réservée, voire même raciste à l’égard de la communauté rom. »



    Les deux projets destinés aux ethniques rom sont financés par le Mécanisme financier norvégien. (trad. Mariana Tudose)

  • Nachrichten 02.03.2015

    Nachrichten 02.03.2015

    Bukarest: Das Bukarester Parlament hat am Montag für die Ernennung des Europaabgeordneten Eduard Hellvig zum neuen Leiter des Rumänischen Nachrichtendienstes (SRI) gestimmt. Hellvig wurde von Präsident Klaus Iohannis für die Führung des besagten Dienstes vorgeschalgen. Hellvig erhielt am Montag im Bukarester Parlament sowohl die Stimmen seiner sich derzeit in der Opposition befindenden ehemaligen Kollegen aus der liberalen Partei und des Demokratischen Ungarnverbands, als auch der Regierungskoalition, gebildet neben Sozialdemokraten aus dem Nationalen Verband zum Fortschritt Rumäniens und der konservativen Partei. Gleich nach der Abstimmung, legte er seinen Eid ab.



    Der 40-jährige Hellvig ist seit 2003 Mitglied der mitregierenden Konservativen Partei und seit 2008 Mitglied der oppositionellen national-liberalen Partei gewesen. 2012 war er auch Minister für Regionalentwicklung und Tourismus in der von Victor Ponta geführten Regierung der sozialliberalen Union. Im vergangenen Herbst gehörte er zur Wahlkampagnenmannschaft von Klaus Johannis. Die Stelle des Rumänischen Nachrichtendienstleiters ist seit dem 27. Januar unbelegt. Damals trat George Cristian Maior nach einer achtjährigen Amtszeit zurück. Zuvor hatte er den Beschluss des Verfassungsgerichtes, das Gesetz zur Cybersicherheit für verfassungswidrig zu erklären, scharf kritisiert. Das besagte Gesetz war Teil eines Gesetzespakets für die Landessicherheit.



    Rom: Der delegierte Minister für die Beziehung zu den im Ausland lebenden Rumänen, Angel Tîlvăr, hat die rumänischen Gemeinden im süditalienischen Sizilien ermutigt, die Gelegenheiten, die ihnen der rumänische Staat bietet in Anspruch zu nehmen um ihre Identität zu bewahren und ihre Kultur, Traditionen, Bräuche und Religion zu fördern. Er sprach mit den Lokalbehörden in Catania und Ragusa über die Lage der Rumänen in diesen Gegenden, über ihre arbeits- und rechtsbezogenen Probleme. Der Minister unternimmt eine dreitägige Italienreise. In Italien leben rund 1 Million Rumänen; sie bilden somit die grö‎ßte rumänische Gemeinde in der Diaspora.



    Rom: In einem Randviertel der italienischen Hautstadt sind in der Nacht zum Sonntag fünf Fahrzeuge mit rumänischem Kennzeichen angezündet worden. Keine Opfer wurde registriert. Das rumänische Au‎ßenministerium teilte über die Botschaft in Rom mit, es betrachte den Vorfall besonders aufmerksam und erwarte eine ofizielle Reaktion der italienischen Behörden. Es sei nicht zum ersten Mal, dass rumänische Autos in Rom in Brand gesetzt werden, daher sei ein fremdenfeindlicher Hintergrund nicht auszuschlie‎ßen, hie‎ß es weiter in der offiziellen Mitteilung des Bukarester Auswertigen Amtes.



    Bukarest: Der Oberste Landesverteidigungsrat Rumäniens kommt am Dienstag zum ersten Mal unter Führung des neuen Staatschefs Klaus Iohannis zusammen. Auf der Agenda des Treffens stehen die Krise in der benachbarten Ukraine und deren Auswirkungen auf die Sicherheit Rumäniens, der Erfüllungsstand des Mehrjahresprogramms zur Wiederherstellung der Kampffähigkeit der rumänischen Armee, sowie die Herausforderungen der Migration aus Gegenden mit Terrorpotential. Der Stand der Verfahren zur politischen und wirtschaftlichen Assoziierung mit der Europäischen Union und zur euroatlantischen Integration der Staaten auf dem Westbalkan, sowie die jüngsten Entwicklungen im Cyber-Raum sind weitere Themen, die im Verteidigungsrat angesprochen werden sollen.

  • Nachrichten 1.03.2015

    Nachrichten 1.03.2015

    BUKAREST — Die internationale Ratingagentur Fitch hat die Bewertung der langfristigen Staatsschulden Rumäniens bei BBB mit stabiler Perspektive belassen. Nach Angaben des rumänischen Finanzministeriums erfolge die Bestätigung in erster Linie aufgrund der positiven Wachstumsprognosen für die kommenden zwei Jahre, aber auch der besseren Fiskalposition im Vergleich zu Ländern mit gleicher Bewertung. Fitch rechnet für das laufende Jahr mit einem Wachstum von 2,7%; das Haushaltsdefizit und die Verschuldung sollen in Rumänien zudem niedriger sein als in den anderen Ländern mit einer Dreifach-B-Bewertung. Sollten das Wirtschaftswachstum und die Sanierung der öffentlichen Finanzen sich weiter positiv entwickeln, stellten die Experten von Fitch auch ein besseres Rating für Rumänien in Aussicht.



    KABUL — 650 Soldaten der Rumänischen Heeresgruppe für Sonderoperationen beteiligen sich im Rahmen einer NATO-Mission ab Sonntag für sechs Monate an der Ausbildung und Beratung der afghanischen Streitkräfte. Die rumänischen Soldaten sichern zudem die Bewachung des Luftwaffenstützpunktes in Kandahar. Die NATO und die Vereinigten Staaten hatten im Jahre 2014 ihre Truppen nach 13 Jahren Krieg gegen die Taliban abgezogen.



    ROM – In einem Randviertel der italienischen Hautstadt sind in der Nacht zum Sonntag fünf Fahrzeuge mit rumänischem Kennzeichen angezündet worden. Opfer wurden keine registriert. Das rumänische Au‎ßenministerium teilte über die Botschaft in Rom mit, den Vorfall besonders aufmerksam zu betrachten und eine ofizielle Reaktion der italienischen Behörden zu erwarten. Es sei nicht zu ersten Mal, dass rumänische Autos in Rom in Brand gesetzt werden, daher sei ein fremdenfeindlicher Hintergrund nicht auszuschlie‎ßen.



    BUKAREST — Das rumänische Parlament stimmt am Montag in einer gemeinsamen Plenumssitzung beider Kammern über die Ernennung des liberalen Europaabgeordneten Eduard Hellvig zum Direktor des Rumänischen Nachrichtendienstes SRI ab. Der Vorschlag kam von Staatspräsident Klaus Johannis, zu dessen Wahlkampfteam Helvig im letzten Herbst gehörte. Der frühere Nachrichtendienstchef George Maior war am 27 Januar zurückgetreten, nachdem das Verfassungsgericht in Bukarest mehrere Gesetze im Bereich der Cybersicherheit als verfassungswidrig gekippt hatte.



    MOSKAU – Nach dem Mord am russischen Oppositionspolitiker Boris Nemzow haben sich am Sonntag in Moskau Zehntausende Mensche an einem Trauermarsch beteiligt. Russlands Präsident Wladimir Putin hatte am Samstag nach dem Mord an Nemzow versprochen, dass alles getan werde, um die Auftraggeber und die Schuldigen dieser feigen und zynischen Tat zu überführen. Der Kreml geht von einem Auftragsmord zu Provokationszwecken aus. Die internationale Gemeinschaft hatte mit Bestürzung auf die Ermordung Nemzows reagiert und eine schnelle und transparente Aufklärung der Tatumstände gefordert. Der Oppositionspolitiker, der am Freitagabend auf einer Brücke in der Nähe des Kremls mit vier Schüssen niedergestreckt worden war, soll nach Angaben seiner Kollegen in der Opposition an einem Bericht über die Mitwirkung des russischen Militärs am Konflikt in der Ukraine gearbeitet haben. Er befürchtete, dass Präsident Wladimir Putin ihn ermorden lassen werde.



    TALLIN — In Estland finden am Sonntag Wahlen für ein neues Parlament statt. Es wird erwartet, dass die moskaunahe Zentrumspartei ein gutes Ergebnis erzielt, ohne aber in der Lage zu sein, eine Regierung zu bilden. In der früheren Sowjetrepublik Estland, in der 25% der 1,3 Millionen Einwohner der russischsprachigen Minderheit angehören, werden die Annektierung der Krimhalbinsel und die Situation in der Ostukraine sehr aufmerksam beobachtet. Die Au‎ßen- und Sicherheitspolitik beherrschten den Wahlkampf. Die russischen Militärübungen nahe der estischen Grenze nur wenige Tage vor den Wahlen sorgten für neue Befürchtungen im Zusammenhang mit Destabilisierungabsichten Russlands. Nach einer am Samstag veröffentlichten Umfrage würde die Zentraumspartei auf 22% der Stimmen kommen. Die Koalition der Reformpartei und der Sozialdemokraten würde sich demnach an der Macht halten können.



  • Nachrichten 30.08.2014

    Nachrichten 30.08.2014

    Brüssel: Rumäniens Präsident Traian Băsescu hat am Freitag bekanntgegeben, er werde beim EU-Rat in Brüssel an alle EU-und NATO-Staaten appellieren, die ukrainische Armee mit Militärausrüstung zu unterstützen. Zu diesem Zeitpunkt habe sich das Machtverhältnis zwischen den pro-russischen Separatisten und der ukrainischen Armee geändert, da Russland seit einer Woche die Rebellen mit Militärausrüstung und Fachleuten unterstützt. Es bestehe das Risiko, dass die Behörden in Kiew die Kontrolle über den Osten des Landes verlieren, so Basescu. In Brüssel werde Rumänien für die Neubewertung der Sanktionen gegen Russland plädieren, fügte Staatschef Traian Băsescu hinzu.







    Paris: Rumäniens sozial-demokratische Ministerpräsident Victor Ponta beteiligt sich in Paris am Treffen der linksorientierten Staats-und Regierungschefs. Das Treffen findet aus Initiative des sozialistischen Präsidenten Francois Hollande statt. Im Mittelpunkt der Gespräche steht die koordinierte Positionierungen aller europäischen Linksregierungen bei Ernennung der Führung europäischer Institutionen. Nach der Nominierung von Jean Claude Juncker, Mitglied der europäischen Volkspartei als Kommissionschef, wollen die Sozialisten andere Schlüsselpositionen in der Europäischen Kommission, wie den Vorsitz des EU-Rates und der europäischen Diplomatie besetzen.






    Die Wirtschaftssituation der Europäischen Union, die aktuelle Lage in der Ukraine, im Gazastreifen und Irak dürften zudem zur Sprache kommen. An Pariser Gesprächen beteiligen sich zudem die Premierminister Italiens, Dänemarks, Matteo Renzi bzw, Helle Thorning-Schmidt, Belgiens Elio Di Rupo, sowie der österreichische Ministerpräsident Werner Faymann, der slowakische Robert Fico, Kroatiens Regierungschef Zoran Milanovic, der deutsche Vizekanzler Sigmar Gabriel, sowie der Präsident des Europäischen Parlaments, Martin Schulz.







    Rom: Der rumänische Aussenminister Titus Corlăţean beteiligt sich in Mailand am informellen Treffen der Aussenminister der EU-Länder. Besprochen werden Themen wie die jüngsten Entwicklungen in der Ukraine und an der Ostgrenze der Europäischen Union, die Konflikte in Irak und Syrien und der Friedensprozess im Nahen Osten mit besonderer Hervorhebung der Lage im Gazastreifen.







    Kiew: Der ukrainische Präsident Petro Poroşenko beteligt sich an der Eröffnung des EU-Sondergipfels in Brüssel. Am Freitag hatte der Nato-Generalsekräter Anders Fogh Rasmussen erklärt, die Allianz schlage die Tür gegen den Wunsch der Ukraine, Nato-Mitglied zu werden, nicht zu. Der ukrainische Premierminister Arseni Iaţeniuk erklärte am Freitag, sein Land möchte den Nato-Beitrittsprozess aufnehmen und er werde das Parlament ersuchen, die entsprechenden Voraussetzungen dafür zu schaffen.







    Ferner rief der Nato-Generalsekräter Moskau auf, seine illegalen militärischen Aktionen einzustellen, seine Unterstützung für bewaffnete Separatisten zu beenden und unverzügliche und nachprüfbare Schritte zu einer Deeskalation dieser schweren Krise zu unternehmen”. Der russische Staatschef Vladimir Putin erklärte seinerseits, die Verhandlungen über eine Waffenruhe mit den Separatisten sei Sache der ukrainischen Regierung.






    Bukarest/Chişinău: In Rumänien und im Nachbarland Republik Moldau wird am 31. August den Tag der rumänischen Sprache mit einer Reihe von Kulturveranstaltungen gefeiert. In Bukarest finden aus diesem feierlichen Anlass Konzerte und Buchvorstellungen statt, in der moldauischen Hauptstadt Chişinău findet die internationale Tagung “Rumänische Sprache-eine Sprache der europäischen Integration” statt. Im westukraischen Cernauti, zu deutsch Czernowitz, wo knapp 500.000 rumänisch stämmige Bürger leben wird den 25. Jahrestag der Gesellschaft für rumänische Kultur, die den Namen des Nationaldichters Mihai Eminescu trägt, gefeiert.






    Die Rumänischen Kulturinstite im Ausland organisieren ihrerseits am Wochenende Sonderveranstaltungen aus diesem Anlass. Voriges Jahr rief das Bukarester Parlament den offiziellen Feiertag aus. Am 27. August begeht die benachbarte Republik Moldau ihren Nationalfeiertag. Am 31. August 1989 hatte das moldawische Parlament Rumänisch als Amtssprache erklärt. 750.000 Demonstranten waren zu dem Zeitpunkt vor dem Parlamentsgebäude in Chişinău versammelt. Das kyrillische Alphabet, das mit der Annektierung durch Russland im Jahr 1940 durchgesetzt wurde, wurde somit durch das lateinische abgelöst.

  • 18.06.2014

    18.06.2014

    Agression — Le ministère roumain des Affaires étrangères a demandé aux autorités françaises de clarifier au plus vite les circonstances dans lesquelles un jeune roumain d’ethnie rom a été agressé dans la banlieue parisienne. Le ministère roumain des Affaires étrangères constate que de tels actes, d’une violence extrême, sont le résultat d’attitudes publiques xénophobes et racistes, de plus en plus présentes dans les discours de certains politiciens de l’espace communautaire. Un jeune Roumain d’ethnie rom a été kidnappé vendredi depuis un camp improvisé dans le nord de Paris par une douzaine de personnes qui l’ont ensuite séquestré, battu à mort, pour l’abandonner ensuite. Les autorités française ont publiquement condamné cet acte et ouvert une enquête pour tentative de meurtre.



    Charges — Le gouvernement de Bucarest doit approuver aujourd’hui un projet de loi visant la réduction des charges patronales à partir du 1er octobre. Le principal but de l’initiative et de réduire l’impôt sur le travail. Même si les bailleurs de fonds n’ont pas approuvé cette décision, le premier ministre Victor Ponta affirme que son cabinet dispose de l’argent nécessaire pour la mettre en œuvre. L’impact sur le budget s’élèverait, selon lui, à 191 millions d’euros, au premier trimestre de l’année, et tous les objectifs macroéconomiques convenus avec les institutions financières internationales seront respectées. La confédération syndicale Cartel Alfa affirme que la mesure de réduire les charges patronales augmenterait en fait les profits des multinationales et réduirait les contributions au système de pensions de retraite. La confédération propose de réduire les contributions aux assurances sociales que payent actuellement les salariés. Pour leur part, les partis d’opposition accusent le gouvernement d’adopter, à la veille du scrutin présidentiel, des mesures à portée électorale.



    Tennis — La joueuse roumaine de tennis Simona Halep, no. 3 mondial, doit affronter aujourd’hui l’Allemande Annika Beck au tournoi de Hertogenbosch, aux Pays-Bas. La Roumaine s’était imposée face à la biélorusse Olga Govortova sur le score de 7 — 5, 6 – 2.