Tag: strategie

  • L’intelligence artificielle, la nouvelle frontière

    L’intelligence artificielle, la nouvelle frontière

    « L’intelligence artificielle sera la dernière invention de l’humanité. La suite appartiendra à l’intelligence artificielle ». C’est par ces termes que Nick Bostrom, directeur du Future of Humanity Institute, apprécie l’évolution de l’humanité et l’intervention de l’intelligence artificielle dans l’histoire de l’humanité. Et la manière dont les choses évoluent dernièrement semble lui donner raison. Sujet privilégié, autrefois, de la littérature de science-fiction, l’intelligence artificielle devient de plus en plus présente dans notre quotidien, marquant de son empreinte le monde d’aujourd’hui et, surtout, celui de demain. Mais qu’est-ce exactement l’intelligence artificielle ? Pour faire simple, disons qu’il s’agit d’un ensemble de technologies qui permet aux ordinateurs d’apprendre de leur propre expérience et de réaliser des tâches complexes, inimaginables il y a quelques années encore.

    Optimisant les ressources dont ils disposent, utilisant des quantités énormes de données et d’algorithmes, les ordinateurs arrivent à mener à bien des opérations complexes, dont la vitesse laisse rêveur le cerveau humain. Les assistants intelligents virtuels et les fonctions autonomes pour la sécurité des voitures sont deux exemples de la longue liste des utilisations qu’on peut en faire. C’est aux spécialistes de crayonner l’avenir radieux de l’utilisation de l’intelligence artificielle dans tous les domaines de la vie, le dialogue homme/machine devenant une normalité. Ce qui est certain c’est que les bénéfices de l’emploi de l’intelligence artificielle sont incontestables et inimaginables. Or, dans ce contexte d’intérêt croissant pour l’intelligence artificielle, les pays développés et l’Union européenne ne peuvent guère demeurer en reste.

    Selon Mariya Gabriel, commissaire européen pour l’économie et la société numérique : « L’intelligence artificielle transforme le monde présent, à l’instar de ce que la découverte de l’électricité a fait par le passé. Ensemble avec les Etats membres, nous allons investir davantage afin de faire pénétrer l’intelligence artificielle dans tous les domaines de l’économie, pour accroître les compétences de pointe, pour augmenter l’utilisation des données dont on dispose. Grâce à son plan d’actions, l’Europe sera en mesure de mettre les retombées de l’intelligence artificielle au profit de ses citoyens et de ses entreprises, elle sera en mesure de s’ériger en acteur global dans le domaine, tout en garantissant la protection de la confiance et le respect de l’éthique. »

    Et à Mariya Gabriel d’ajouter :« L’objectif de notre stratégie se résume à offrir à l’Europe les technologies basées sur l’intelligence artificielle, dans un souci d’efficacité autant que dans le respect de l’éthique. L’éthique et le développement ne sont pas des valeurs qui s’affrontent, bien au contraire. Bâtir la confiance du citoyen européen dans l’intelligence artificielle représente une condition essentielle et préalable pour pouvoir profiter pleinement de tous les bénéfices de cette nouvelle technologie. La transformation numérique, les innovations, les progrès technologiques, l’économie numérique devront s’agencer selon un modèle soucieux des principes éthiques ».

    Dans le contexte de sa stratégie sur l’intelligence artificielle, la Commission européenne a élaboré avec les Etats membres un plan commun visant à promouvoir le développement de l’intelligence artificielle et son usage à travers toute l’Europe. Le plan propose des actions communes pour resserrer et rendre plus efficace la coopération entre les Etats membres, la Norvège et la Confédération helvétique, dans quatre domaines clés : l’accroissement des investissements, la mise en commun des données, le soutien aux compétences et le renforcement de la confiance. Parce que Bruxelles apprécie qu’une coopération européenne accrue est la clé de voûte d’une Europe – leader mondial dans le développent et l’utilisation de cette intelligence artificielle sûre et soucieuse du respect des principes éthiques. Car, élément non négligeable, l’UE dispose du réservoir de compétences le plus important dans le domaine. C’est bien la raison pour laquelle une stratégie commune demeure essentielle. Car il faut bien se rendre à l’évidence : l’intelligence artificielle, souvent perçue comme une nouvelle révolution industrielle, ne fera pas le bonheur de tous.

    Certains emplois risquent sans doute de passer à la trappe, tels ceux impliquant des tâches répétitives. Les études prédictives tablent sur la disparition de nombre de professions dans un horizon de temps de 10 à 15 ans, où l’homme sera remplacé par des robots, physiques ou virtuels. Aux centres d’appels, dans les laboratoires, aux caisses des grands magasins, à la réception des hôtels ou encore dans l’analyse des données, les robots deviendront de redoutables concurrents. Par voie de conséquence, la société ne manquera pas de subir de grands chamboulements. Les pertes d’emploi devront être compensées dans les domaines qui souffrent d’un déficit de main d’œuvre. Les soins à domicile pour les personnes âgées, l’éducation et la santé sont quelques-uns des domaines qui devront en bénéficier. Tout comme le design numérique, l’édition vidéo, la programmation, le tourisme, les services à domicile. Par ailleurs, les emplois basés sur la créativité ou l’interdisciplinarité semblent loin d’être menacés. Il est à peu près sûr, en effet, que les économistes, les créateurs d’applications, les gens de médias, les scientifiques et les publicitaires auront encore de beaux jours devant eux. (trad. Ionut Jugureanu)

  • Points de vue sur la loi de l’Education

    Points de vue sur la loi de l’Education

    Ceux qui avaient rêvé d’une cohabitation tranquille entre le président de droite et le gouvernement de gauche de Bucarest ont vu leurs espoirs s’en aller à vau-l’eau en 2018 aussi. Vu que 2019 est une année doublement électorale — avec les élections européennes, mais surtout la présidentielle — personne ne peut se faire au moins l’illusion que les hostilités cesseront, au contraire. Le premier épisode de confrontation entre les deux Palais a eu lieu les premiers jours de la nouvelle année. La conseillère d’Etat Ligia Deca a expliqué jeudi, au nom de M Iohannis, pourquoi le président avait décidé de renvoyer au parlement pour réexamen les modifications législatives stipulant la réduction du nombre d’heures de cours dispensées dans l’enseignement primaire et secondaire. En vertu de ces modifications, le nombre d’heures allouées aux disciplines dans les plans-cadre devrait être, en moyenne, de 20 par semaine dans l’enseignement primaire, de 25 au collège et de 30 heures hebdomadaires de cours au lycée. Selon la conseillère, l’acte réglementaire, adopté en l’absence d’une analyse d’impact, risque de produire des effets négatifs sur la communauté scolaire. Elle a fait état de la réduction du nombre d’heures « d’un coup de stylo », d’un processus « fait à la va-vite » et aussi de l’absence d’une stratégie et d’une vision sur le moyen et le long terme dans ce domaine essentiel pour l’avenir de la Roumanie. Ligia Deca :



    « Une réduction si importante du nombre d’heures de cours se traduira, le plus probablement, par une vague de licenciements dans le système d’enseignement. Plus exactement, le projet de loi modifie l’article 66 de la Loi de l’éducation nationale, sans évaluer son impact sur le personnel. Cette loi ne comporte pas non plus de dispositions finales censées éclaircir à quel moment la mise en application des modifications apportées à l’article 66 de la Loi de l’Education nationale est prévue. »



    Répondant aux critiques, la ministre de l’Education, Ecaterina Andronescu, a déclaré que le président était dans son droit de demander le réexamen de la loi. Elle a également précisé qu’il existe un ordre du ministre de la Santé qui recommande le nombre d’heures de cours, et que lorsque la loi de l’enseignement a été élaborée, il avait été tenu compte de la limite maximale, et pas de la limite minimale. Notons que, depuis des années déjà, l’Education fait l’objet de tentatives plus ou moins réussies de réforme de ceux qui ont assuré à tour de rôle la direction de ce secteur. En 2014, lorsqu’il est devenu président de la Roumanie, M Klaus Iohannis, lui-même professeur, avait promis une stratégie : « la Roumanie éduquée ». Le débat public à ce propos a été lancé à la fin de l’année dernière, soit après quatre années de mandat, pas avant de passer par les fourches caudines des critiques. Elle est si vague qu’elle ne donnera aucune solution concrète, ont avancé les critiques. Selon eux, la stratégie sera utilisée, en 2019, en tant que thème électoral, et de ce fait, elle sera extrêmement politisée. La Roumanie traverse un contexte plutôt plein de bruits que de solutions — ont conclu les critiques, qui dépeignent en fait l’environnement politique et social à chaque fois qu’il y a eu tentative de changer l’Enseignement pour le meilleur — des essais souvent infructueux.


    ( Trad.: Ligia)

  • Prioritäten der rumänischen EU-Ratspräsidentschaft: Gemeinsame Werte und Strategie

    Prioritäten der rumänischen EU-Ratspräsidentschaft: Gemeinsame Werte und Strategie

    Die organisatorischen und logistischen Vorbereitungen für die Veranstaltungen in Rumänien sind in vollem Gange und ihr Zeitplan soll Ende November bekannt gegeben werden, sagen die Behörden in Bukarest. Die Veranstaltungen finden in der Hauptstadt und im zentralgelegenen Sibiu/Hermannstadt statt. In Sibiu wird auch der EU — Gipfel am 9. Mai 2019 stattfinden. Bei diesem Gipfel soll eine breite Diskussion über die Zukunft der Gemeinschaft und die Vorbereitung strategischer Prioritäten für den Zeitraum 2019–2024 im Kontext der aktuellen Herausforderungen stattfinden, mit denen sich die EU konfrontiert.



    Dan Cărbunaru, Journalist bei der Multimedia-Plattform caleaeuropeana.ro, sprach im Studio von Radio Rumänien über die von den Behörden in Bukarest angekündigten Prioritäten:



    Das erste Thema betrifft die nachhaltige und gerechte Entwicklung durch Konvergenz, Kohäsion, Innovation, Digitalisierung und Konnektivität, wobei hier eine Kontinuität mit der estnischen Präsidentschaft und dann mit der bulgarischen und der österreichischen Präsidentschaft besteht. Dann ein sicheres Europa, das sicherlich jedem europäischen Bürger recht ist, die Stärkung der globalen Rolle der Europäischen Union, die eher im Norden und Westen Europas geschätzt wird. Es ist wahrscheinlich ein Kompromiss und eine Folge des Wunsches Rumäniens, sich auf der internationalen Bühne als Mitglied der Europäischen Union zu engagieren. Nicht zuletzt: das Europa der gemeinsamen Werte — klingt sehr allgemein, aber angesichts der Tatsache, dass die Verletzung der Grundwerte, insbesondere der Rechtsstaatlichkeit und der Unabhängigkeit der Justiz in einigen Ländern, nach dem nächsten mehrjährigen Finanzrahmen bereits zu Sanktionen gegen einige Mitgliedstaaten führen wird, glaube ich nicht, dass es sich nur um einen Slogan handeln wird. Das Grundprinzip, nach dem Rumänien beabsichtigt, die Arbeiten des EU-Rates in diesen sechs Monaten zu leiten, ist die Kohäsion.“




    Mit der turnusmä‎ßigen Präsidentschaft des Rates der Europäischen Union wird Rumänien schwere Dossiers wie den Brexit bewältigen müssen. Oder den Abschluss der Verhandlungen über den mehrjährigen Finanzrahmen — eine Aufgabe, die nicht einfach ist und für die 27 positive Stimmen für einen Algorithmus benötigt werden, der darauf abzielt, Investitionen auszugleichen, den Zusammenhalt zu stärken und die Kluft zwischen dem Westen und dem Osten zu verringern. Rumäniens Premierministerin Viorica Dăncilă dazu:



    Rumänien wird während seiner Ratspräsidentschaft eine prioritäre Aufmerksamkeit der Förderung der Verhandlungen über den künftigen mehrjährigen Finanzrahmen 2021–2027 schenken. Was die innere Sicherheit der EU anbelangt, so wird das Ziel, die Sicherheit Europas zu stärken, eine der Säulen sein, nach denen wir die Prioritäten Rumäniens während unseres Mandats definieren.“



    Die EU-Parlamentswahlen im Mai sind ein weiterer Ma‎ßstab für das rumänische Mandat. Gleichzeitig gibt es Dutzende von Dossiers, die für die Zukunft der Union von wesentlicher Bedeutung sind, von denen einige fortgesetzt, andere abgeschlossen werden müssen. Es wird Hunderte von Treffen, Debatten und Verhandlungen geben. Während des Mandats Rumäniens werden die Mitgliedstaaten ihre Energie- und Klimapläne vorstellen, auf deren Grundlage die europäische Energiestrategie funktioniert und harmonisiert werden soll, die von entscheidender Bedeutung für die Energiezukunft der Europäischen Union ist,. Es folge eine intensive Zeit, sagte auch der delegierte Europaminister Victor Negrescu:



    Der Herbst dieses Jahres ist sehr intensiv im Hinblick auf die Zusammenarbeit mit den europäischen Partnern, sehr viele Besuche stehen an, im Grunde nimmt das Interesse gegenüber Rumänien zu und das Interesse an der rumänischen Präsidentschaft im Rat der Europäischen Union auch. Das ist eine erfreuliche Sache und beweist, dass Rumänien eine Vision und eine Reihe von Ideen entwickeln kann.“




    Im Wesentlichen kommt es darauf an, dass Rumänien in all diesen Richtungen — und nicht nur — zur Entwicklung der Europäischen Union beiträgt. Rumänien unterstützt die ehrgeizige Agenda des europäischen Projekts. Unsere Vision ist zutiefst proeuropäisch. Die Lösung hängt von uns ab. Es ist wichtig, diese positive Energie zu haben, den Wunsch uns selbst zu überwinden und Lösungen zu finden. Das Wichtigste in diesem Mandat der Europäischen Exekutive ist es, die Grundlage für zukünftige Entwicklungen zu schaffen, sagen die rumänischen Behörden. Über das geschätzte endgültige Budget für das rumänische Mandat sagte Daniel Goşea, Generaldirektor der Einheit zur Vorbereitung der Präsidentschaft, dass beschlossen wurde, eine Summe zuzuteilen, die jenen vergleichbar ist, für die sich Staaten mit ähnlicher Wirtschaftskraft wie Rumänien entschieden haben. Der resultierende Betrag wird somit zwischen 60 und 80 Millionen Euro liegen.

  • La semaine du 21 au 27 mai 2018

    La semaine du 21 au 27 mai 2018

    Projets stratégiques de développement de la Roumanie

    Trois autoroutes, un complexe médical universitaire s’étalant sur quelque 300 hectares à Bucarest et la modernisation de 15 hôpitaux gérés par le ministère des Transports, voici autant d’investissements que le gouvernement de Bucarest réalisera dans le cadre de partenariats public-privé. Au chapitre autoroutes, les projets sont à la fois ambitieux et nécessaires. La première devrait relier les villes de Ploieşti (sud) et de Râşnov (centre). L’autoroute qui sera construite dans l’est de la Roumanie assurera la liaison entre les villes roumaines de Târgu Neamţ et Iaşi et celle de Ungheni, en République de Moldova voisine. Enfin, dans le sud du pays, une autre autoroute devrait faciliter la connexion entre quatre villes: Bucarest, Craiova, Drobeta-Turnu Severin et Lugoj. Le vice-premier ministre Viorel Ştefan a précisé que la future autoroute de l’est du pays, qui aura 100 km, comprendra également la construction d’un pont sur la rivière Prut, qui permettra la connexion avec l’infrastructure routière de la République de Moldova. En ce qui concerne l’autoroute du Sud, elle contribuera aussi à l’essor du tourisme, grâce à la jonction avec l’autoroute du Soleil qui mène à la côte roumaine de la mer Noire, a encore précisé Viorel Ştefan. : « L’autoroute du Sud, longue de 550 km, est un projet important pour beaucoup d’investisseurs, déjà présents avec de gros investissements à Craiova et dans les zones limitrophes. N’oublions pas non plus que cette autoroute va également contribuer à l’accroissement du potentiel touristique du Défilé du Danube et assurer la liaison avec la Serbie et la Bulgarie, mais aussi avec le Corridor IV paneuropéen. »Afin de stimuler de tels projets d’envergure, l’exécutif a simplifié jeudi, le paquet de lois visant les procédures d’attribution des marchés publics. Critique acerbe de la coalition gouvernementale PSD-ALDE, le président de droite Klaus Iohannis a de nouveau fustigé l’Exécutif justement au sujet des « autoroutes ». « Hormis les cartes en couleurs et les beaux projets, les citoyens oublient les résultats. Et les 15 kilomètres d’autoroute inaugurés ces derniers 18 mois sont ridiculement insuffisants et témoignent de l’incapacité des responsables de se mobiliser autour d’un objectif national essentiel, » a rappelé Klaus Iohannis. Sur cette toile de fond, certains commentateurs notent que de tels chantiers ne s’ouvrent pas du jour au lendemain et que les projets d’envergure réclament une collaboration renforcée entre tous les partis de la scène politique.

    Recommandations économiques de la Commission européenne

    La Commission européenne a demandé à la Roumanie de corriger d’urgence les dérapages budgétaires, sinon l’Exécutif communautaire intensifiera les procédures de suivi. Le rapport de la Commission identifie aussi des risques élevés de pauvreté et d’exclusion sociale en Roumanie, notamment dans les cas des familles ayant des enfants, des personnes handicapées, mais aussi au sein de la communauté rom et dans l’espace rural. Par ailleurs, l’Exécutif communautaire a publié un rapport de convergence pour l’année 2018 qui souligne le fait que la Roumanie ne remplit actuellement que deux des critère économiques sur les quatre nécessaires pour adopter la monnaie unique, l’euro. Ces mises en garde ne semblent pas inquiéter les membres du gouvernement. Le président du Sénat et de l’Alliance des libéraux et des démocrates, Calin Popescu Tariceanu, affirme que l’exécutif et la société dans son ensemble peuvent résoudre leurs problèmes sans autres conseils : « Quel est l’impact dans d’autres pays de ces rapports annuels que la Commission européenne élabore ? En Roumanie, lorsque la Commission publie son rapport, c’est comme si Dieu en personne descendait sur terre pour nous mettre, nous mortels, dans une situation sans autre issue que de respecter ses mots à la lettre près », a déclaré Calin Popescu Tariceanu. Par ailleurs, le président du PNL, d’opposition, Ludovic Orban, est d’avis que la coalition gouvernementale formée par le PSD et par l’ALDE n’a fait que transformer la Roumanie en une véritable brebis galeuse de l’Union européenne.

    Fonds européens pour la Roumanie

    La commissaire européenne à la Politique régionale, la Roumaine Corina Cretu, a fait une visite officielle en Roumanie. Elle ne cesse de faire l’aller-retour entre Bruxelles et Bucarest afin d’encourager les autorités roumaines à redoubler d’efforts pour accélérer l’absorption des fonds structurels et à réduire au maximum le risque de perdre l’argent européen. A Bacau, dans l’est de la Roumanie, Corina Cretu a rencontré les maires des 39 villes chefs-lieux de départements de Roumanie qui se voient octroyer directement des fonds structurels pour un développement urbain durable. L’occasion pour Corina Creţu de les appeler à avancer à Bruxelles des projets de qualité. Dans un communiqué rendu public la veille de sa visite à Bucarest, Corina Cretu a précisé que plus d’un milliard d’euros serait investi dans des projets de développement urbain en Roumanie. Bruxelles est prêt à appuyer les autorités roumaines dans leurs efforts de s’en servir au mieux et le plus vite possible.

    Entrée en vigueur du Règlement général sur la protection des données personnelles

    Les Européens, y compris les Roumains, ont reçu de bonnes nouvelles cette fin de semaine : ce 25 mai, un nouveau Règlement général sur la protection des données personnelles est entré en vigueur. Toutes les entreprises européennes devront respecter les mêmes normes – plus strictes – par le biais desquelles les citoyens auront plus de contrôle sur leurs propres données à caractère personnel. Pour leur part, les entreprises bénéficieront de conditions concurrentielles équitables. « Ce sont vos données, reprenez le contrôle » – tel est le principe sur lequel repose la nouvelle législation. Lorsque vous achetez des produits en ligne, le commerçant est obligé de collecter uniquement les données nécessaires en vue de mener à bien le contrat et de les effacer lorsqu’il n’en a plus besoin. Les entreprises qui transgressent le nouveau règlement se verront infliger des amendes allant jusqu’à 10 millions d’euros ou 2% du chiffre d’affaires annuel pour avoir enfreint la législation relative à la protection des données et respectivement jusqu’à 20 millions d’euros ou 4% du chiffre d’affaires annuel pour avoir enfreint les principes de base de la gestion des données.

  • A la Une de la presse roumaine 23.04.2018

    A la Une de la presse roumaine 23.04.2018

    Economie, politique nationale, politique internationale – on trouve un peu de tout dans la presse roumaine de ce lundi. Les spécialistes tirent la sonnette d’alarme : « la véritable crise économique commence ». Pour ce qui est de la politique, tous les journaux roumains parlent de la stratégie intitulée «La Roumanie 2040 », conçue par le Parti Social Démocrate et vivement contestée par l’opposition. Enfin, le nom d’Emmanuel Macron est présent sur les pages internationales des journaux roumains en ligne.

  • Nachrichten 19.10.2017

    Nachrichten 19.10.2017

    Der rumänische Staatpräsident, Klaus Iohannis, beteiligt sich am Donnerstag und Freitag an dem Treffen des Europäischen Rates in Brüssel. Besprochen werden Themen wie Migration, Sicherheit und Verteidigung, die Beziehungen zwischen der EU und der Türkei, und die Nordkorea-Krise. Ferner wird in der Formel EU27 zum Thema Brexit diskutiert – dabei werden die Fortschritte im Verhandlungsprozess untersucht. Laut einem Communique des Präsidialamtes wird Staatspräsident Klaus Iohannis unter anderen über die Monitorisierung der Migrantenflüsse im Mittelmeer sprechen. In Bezug auf Nordkorea wird Iohannis hervorheben, dass Rumänien die Anstrengungen der internationalen Gemeinschaft für eine friedliche Lösung der Krise unterstützt. Hauptzweck sei die komplette atomare Abrüstung der koreanischen Halbinsel.



    Rumäniens Staatschef Klaus Iohannis und Außenminister Teodor Melescanu haben erneut erklärt, Rumänien unterstütze die Souveränität und territoriale Integrität Spaniens. Im Kontext der Lage in Katalonien sei im verfassungsrechtlichen und völkerrechtlichen Rahmen vorzugehen. Die Erklärungen erfolgten bei dem Treffen mit dem spanischen Außenminister Alfonso Maria Dastis Quecedo. Der separatistische Präsident Kataloniens, Carles Puigdemont, informierte am Donnerstag die Regierung in Madrid, Katalonien habe ihre Unabhängigkeit nicht erklärt, könnte es aber tun, wenn die Behörden die von ihm sogenannten Repressionen, also die Suspendierung der Autonomie, fortsetzen. Madrid hat bekanntgegeben, es werde die Demarchen in diese Richtung weiterführen.



    Rumänien hat einige Fortschritte im Bereich Gesundheit gemacht, erklärte am Donnerstag in Bukarest der EU-Kommissar für Gesundheit und Lebensmittelsicherheit Vytenis Andriukaitis. Er fügte aber hinzu, das rumänische Gesundheitswesen habe große Finanzierungsprobleme. Die EU Fördermittel seien ein Schlüsselinstrument, das zur besseren Funktionierung des Systems beitragen könnte, so der EU-Vertreter. Ebenfalls am Donnerstag organisierten die Gewerkschaften vom Gesundheitswesen in Bukarest eine Großkundgebung und einen Protestmarsch gegen die geplanten Gesetzesänderungen im Gesundheitsbereich, die am 1. Januar 2018 in Kraft treten sollten. Laut den protestierenden Gewerkschaftlern würden die Gesetzesänderungen zu einer Senkung der Löhne führen. Die Proteste haben in der zweiten Septemberhälfte begonnen.



    Rumänien hat viel zu bieten in Bereichen wie Landwirtschaft, Technologie der Information, und industrielle Produktion, erklärte am Donnerstag in Bukarest der rumänische Ministerpräsident Mihai Tudose beim US-amerikanischen Event zur Handelsförderung Trade Winds. Der Premier sprach auch über das Wirtschaftswachstum Rumäniens, die Partnerschaft mit der EU und der NATO und die 20-jährige strategische Partnerschaft mit den USA. Seinerseits erklärte der US-Botschafter in Bukarest, Hans Klemm, Washington habe in der Region keinen besseren Partner als Rumänien, das amerikanische Investoren anziehen kann. Am Mittwoch hat in Bukarest das größte amerikanische Event zur Handelsförderung Trade Winds begonnen, das jedes Jahr vom Handelsministerium in Washington organisiert wird. Es sei die größte Regierungs-Handelsmission in der Geschichte Südosteuropas, hieß es in einer Pressemitteilung der US-Botschaft in Bukarest. Die Handelsmission Trade Winds 2017 wird in Zusammenarbeit mit der rumänischen Regierung organisiert. Am diesjährigen Event beteiligen sich mehr als 100 amerikanische und 50 rumänische Unternehmen. Drei Tage lang werden Konferenzen und Rundtischgespräche zu Geschäfts- und Handelsthemen, Treffen zwischen Unternehmen und Diskussionen mit US-Handelsbeauftragten aus über 25 europäischen Staaten stattfinden. Neben Rumänien wird Trade Winds 2017 auch in Bulgarien, Kroatien, Griechenland und Serbien veranstaltet.



    Der rumänische Minister für europäische Angelegenheiten, Victor Negrescu, beteiligt sich in Budapest an dem 6. Jahrestreffen der EU-Strategie für die Donauregion. Themen der Gespräche sind unter anderen die Energiesicherheit, die Entwicklung der regionalen Infrastrktur, die Konnektivität und die Zukunft der makroregionalen Projekte nach 2020. Die EU-Strategie für die Donauregion ist ein großangelegtes Projekt, das von Österreich und Rumänien initiiiert und im Jahr 2012 auf EU-Ebene gestartet wurde. Die EU-Strategie soll als EU-Instrument zur Förderung der Zusammenarbeit im Donauraum dienen.

  • Întrevederea ministrului pentru românii de pretutindeni, Andreea Păstîrnac, cu delegația OCDE

    Întrevederea ministrului pentru românii de pretutindeni, Andreea Păstîrnac, cu delegația OCDE

    Ministrul pentru românii de pretutindeni,
    Andreea Păstîrnac, a primit astăzi, 11 octombrie a.c., o delegație a
    Organizaţiei pentru Cooperare şi Dezvoltare Economică (OCDE), condusă de
    Jean-Christophe Dumont, șeful diviziei pentru Migrație Internațională.


    Având în vedere obiectivele Ministerului pentru
    Românii de Pretutindeni, Andreea Păstîrnac a exprimat susținerea
    Guvernului României privind rolul OCDE în identificarea ansamblului
    problematicilor referitoare la situația cetățenilor români aflați în afara granițelor
    țării.

    O prioritate pe agenda Ministerului pentru
    Românii de Pretutindeni o reprezintă cartografierea fenomenului de migrație a
    cetățenilor români, prin studii aprofundate, care să ne sprijine în vederea
    identificării de strategii menite să faciliteze reîntoarcerea în țară. În acest
    sens, MRP se află în permanent contact cu românii din comunitățile emergente
    pentru a se racorda la nevoile reale ale acestora. Totodată, colaborarea dintre
    Guvernul României și OCDE este alt pas care dovedește atenția administrației
    guvernamentale față de problematicile și preocupările diasporei românești, a
    subliniat ministrul pentru românii de pretutindeni.


    Luând în considerare importanța colectării de
    date suplimentare privind mobilitatea comunităților de cetățeni români în
    ultimii ani, România a încheiat în anul 2017 un acord cu OCDE privind
    realizarea unui studiu care vizează comunitățile românești din statele membre
    ale organizației.


    Studiul se realizează într-un interval de 18
    luni și va conține elemente structurale privind compoziția și distribuția
    comunităților românești.


    Ministerul pentru Românii de Pretutindeni,
    Ministerul Afacerilor Externe și autoritățile cu atribuții în domeniu au o
    colaborare constantă cu scopul de a identifica toate elementele de interes ale
    statului român în ceea ce privește cadrul și temele studiului despre
    comunitățile românești din străinătate.

  • Jurnal românesc – 24.08.2017

    Jurnal românesc – 24.08.2017

    La Bucureşti au
    fost aprobate axele strategice de acţiune ale Guvernului României în contextul
    procesului de retragere a Marii Britanii din UE, în cadrul unei noi reuniuni a
    Consiliului Interministerial pentru Brexit. Ministrul delegat pentru Afaceri
    Europene, Victor Negrescu, a declarat că prioritatea noastră este de a proteja
    drepturile cetăţenilor europeni şi români care trăiesc în Marea Britanie.
    Potrivit oficialului, se are în vedere organizarea, în perioada următoare, a
    unor evenimente publice, atât în ţară cât şi la Londra, cu sprijinul ambasadei,
    destinate informării comunităţii româneşti din Marea Britanie, cât şi
    consultării cu partenerii relevanţi din diverse domenii de activitate
    influenţate de procesul Brexit. La rândul său, viceprim-ministrul Ion-Marcel
    Ciolacu a relevat interesul României ca acest proces să fie gestionat de o
    manieră corectă şi transparentă, în conformitate cu prevederile Tratatelor UE.
    Trebuie să arătăm cetăţenilor români că beneficiază de tot sprijinul nostru,
    că statul român acţionează în vederea protejării şi garantării drepturilor
    acestora, a conchis vicepremierul.


    În atenţia românilor care vor să revină în
    ţară şi să dezvolte afaceri proprii, Ministerul pentru Românii de Pretutindeni
    (MRP) a iniţiat un proces de consultare cu reprezentanţii organizaţiilor şi
    asociaţiilor româneşti din diaspora, referitor la proiectul de Ordonanţă
    privind modificarea şi completarea Legii privind Codul Fiscal şi proiectul de
    Ordonanţă privind plata defalcată a TVA. Ministerul precizează, într-un
    comunicat, că are un dialog constant cu diaspora, realizând acţiuni de
    consultare periodică a acesteia pe teme de interes comun. Astfel, acesta va
    integra sugestiile şi propunerile primite din partea românilor din comunităţile
    emergente şi le va transmite către Ministerul pentru Mediul de Afaceri, Comerţ
    şi Antreprenoriat, iniţiatorul modificărilor legislative. O relaţie proactivă,
    corectă şi transparentă între MRP şi mediul asociativ, constituit din cetăţeni
    români care trăiesc în afara graniţelor ţării, şi participarea la acest proces
    a tuturor celor care vor să consolideze rolul şi locul diasporei româneşti, vor
    contribui la fundamentarea unor politici publice durabile şi credibile în acest
    domeniu – mai precizează ministerul în comunicat.


    Consulul general
    al României la Bonn s-a deplasat la spitalele unde sunt internaţi cetăţenii
    români răniţi în accidentul rutier din Germania. Potrivit unui comunicat primit
    de la Ministerul de Externe, reprezentaţii Ambasadei şi ai Consulatului menţin
    în permanenţă legătura cu familiile cetăţenilor români răniţi, oferind
    asistenţă consulară specifică în astfel de cazuri. De asemenea, reprezentanţele
    României gestionează cu prioritate cazul şi schimbă informaţii cu autorităţile
    locale şi cu reprezentanţii unităţilor medicale. Amintim că un autocar în care
    se aflau 42 de români, lucrători în agricultură, s-a răsturnat, miercuri, în
    nord-vestul Germaniei. Majoritatea au fost răniţi uşor.


    Angajatorii din
    Spaţiul Economic European oferă, prin intermediul reţelei EURES România, 910
    locuri de muncă vacante. Este vorba despre 350 de locuri de muncă în Marea
    Britanie şi 127 de locuri de muncă în Germania. În Cehia sunt disponibile 111
    locuri de muncă, în Polonia – 100, în
    Irlanda – 70, în Italia – 48, iar în Slovacia – 40 de locuri de muncă. Mai sunt
    locuri disponibile în Norvegia, Belgia, Spania, Olanda, Letonia şi
    Slovenia. Persoanele interesate să ocupe
    un loc de muncă pot viziona ofertele accesând www.eures.anofm.ro.

  • Die Woche 03.07.-07.07.2017 im Überblick

    Die Woche 03.07.-07.07.2017 im Überblick

    Landesverteidigungsrat beschließt Aufstockung des Auslandskontingents



    Der Oberste Landesverteidigungsrat ist zum ersten Mal nach Amtsantritt des neuen Regierungskabinetts von Sozialdemokrat Mihai Tudose zusammengekommen. Rumänien sei interessiert und bereit, an der Strategie der EU zu Verteidigung und Sicherheit teilzunehmen, so der anwesende Präsident Klaus Iohannis. Er stellte klar, dass es in einer ersten Phase um die Militärforschung gehe. Die Frage sei, wie man die europäische Rüstungsindustrie verbessern könnte und wie die jeweiligen nationalen Streitkräfte besser kooperieren können.


    Der Landesverteidigungsrat genehmigte auch die Anzahl der Soldaten und die Mittel, die das Innen- bzw. Verteidigungsministerium für Auslandseinsätze bereitstellen können, wie Staatschef Iohannis erklärte.



    Die bereitzustellenden Kräfte sind verstärkt worden – maximal 1.793 Personen, Soldaten und zivile Fachkräfte vom Verteidigungsministerium und noch einmal 971 Personen vom Innenministerium, die sich an Auslandseinsätzen beteiligen können. In Wirklichkeit ist heute die Zahl niedriger und sie wird auch 2018 wahrscheinlich unter diesem Niveau sein, aber wir sehen alle, dass sich die Lage von heute auf morgen verändern kann und wir wollten deshalb sicher gehen, dass wir Handlungsspielräume einbauen und falls nötig, für diese Einsätze mehr Leute einplanen können.



    Noch warten die Streitkräfte auf angemessene Ausrüstung. Der Ausstattungsplan für 2017–2026 wurde von der Tagesordnung genommen, weil er nicht die zwei Prozent vom BIP vorsah, auf die sich die Parteien als Mindestzuwendung für diesen Bereich über einen Zeitraum von mindestens zehn Jahren geeinigt hatten. Der Plan soll in einer späteren Sitzung verabschiedet werden. Die Absicht besteht laut Präsident Klaus Iohannis darin, nicht nur Panzer, Flugzeuge oder Munition zu kaufen, sondern auch für richtige Logistik zu sorgen.



    Rumänien wird Gastgeber des nächsten Gipfels der Drei-Meere-Initiative



    Rumänien wird 2018 den Gipfel der Drei-Meere-Initiative der 12 Länder ausrichten, die sich zwischen der Ostsee, der Adria und dem Schwarzen Meer befinden. Das verlautete am Donnerstag in Warschau, wo die diesjährige Ausgabe in Anwesenheit von 12 Staats-und Regierungschefs aus Zentral-und Osteuropa stattfand, darunter Präsident Klaus Iohannis. Sondergast des Gipfels war US-Präsident Donald Trump. Iohannis sagte, dass Rumänien weiterhin die transatlantische Beziehung fördere – sie sei vital als Rückgrat der westlichen Zivilisation. Dass US-Präsident Donald Trump in Warschau sei, belege das amerikanische Engagement für die Sicherheit und den Wohlstand des gesamten Europa. US-Präsident Trump verurteilte in einer Pressekonferenz mit Polens Präsident Andrzej Duda das destabilisierende Verhalten Russlands. Er drängte wiederum darauf, dass alle Länder der NATO zu ihren finanzielle Verpflichtungen stehen.



    Regierung plant umstrittene Umsatzsteuer für Unternehmen



    Die rumänischen Unternehmen sollen zukünftig anstelle der Profit-Steuer, Umsatzsteuer zahlen. Das sieht das neue Regierungsprogramm der Regierungskoalition gebildet aus der sozialdemokratischen Partei und der Allianz der Liberalen und Demokraten vor. Die Maßnahme soll am 1. Januar 2018 in Kraft treten. Großunternehmen sollen nicht mehr 16 % Profit-Steuer zahlen sollen, je nach Fall 1, 2 oder 3 % Umsatzsteuer. Finanzexperten meinten derweil, die Maßnahme würde negative Folgen haben. Zudem sind die Experten der Meinung, dass die Einführung unterschiedlicher Umsatz-Steuerquoten zu wettbewerblichen Unstimmigkeiten zwischen Ländern führen könnte. Und das werde sich im Preis des Endproduktes widerspiegeln. Brüssel könnte somit ein Vertragsverletzungs-Verfahren gegen Rumänien einleiten, so die Experten. Den meisten Unternehmen in Rumänien, insbesondere Unternehmen mit einem Umsatz von über 1 Million Euro, werde es schwer fallen die Umsatzsteuer zu zahlen. Das ist die Schlussfolgerung einer Analyse, die vom rumänischen Verband der Finanzanalysten durchgeführt wurde. Ministerpräsident Mihai Tudose wäre mit der Einführung der Umsatzsteuer einverstanden. Die Einführung sollte aber stufenweise und nur in manchen Bereichen erfolgen, verlautete aus Regierungskreisen. Laut diesen warte der Premier auf das Ergebniss der Simulationen, die vom Finanzministerium durchgeführt werden. Anschließend soll dieser eine Entscheidung treffen.


    Unterdessen ist der US-Botschafter in Rumänien, Hans Klemm, zu einem Gespräch mit dem Vorsitzenden der Abgeordnetenkammer und der stärksten Koalitionspartei PSD, Liviu Dragnea, zusammengekommen. Dabei erklärte Klemm, dass die rumänische Exekutive positive Signale an amerikanische und andere Fremdinvestoren senden sollte. Dragnea versicherte im Gegenzug, dass sich keine Änderung des Steuergesetzbuches negativ auf das Unternehmertum auswirken dürfte.

  • 21.04.2017

    21.04.2017

    Attentat – La Roumanie a rejoint la communauté internationale qui a condamné lattaque perpétrée jeudi en France. Notre pays est solidaire avec la France et se prononce pour une intervention beaucoup plus efficace contre les attentats. La France est en état durgence depuis 2015, suite aux attentats de janvier contre Charlie Hebdo et dune superette cacher, qui ont fait 16 morts ; le pays a été confrontée à une vague dattaques islamistes, dont la majorité commises par des jeunes nés en France et en Belgique.



    Stratégie – La Roumanie plaide pour une stratégie unitaire, cohérente et correcte dans le cadre des prochaines négociations sur la sortie du Royaume Uni de lUE, a déclaré la ministre déléguées aux Affaires Européennes Ana Birchall, qui a effectué une visite de travail en Autriche. Selon un communiqué de presse du Ministère roumain des AE, dans le cadre des rencontres avec des responsables autrichiens, Mme Birchall a également parlé du cadre financier pluriannuel, de la migration et du fonctionnement de lespace Schengen, de la stratégie de lUE pour la région du Danube, des Balkans et du Partenariat oriental ainsi que de la nécessité de consolider la coopération en vue de la présidence Autrichienne de lUnion en 2018, qui sera suivie par celle roumaine en 2019. Les responsables des deux pays ont également souligné que la Roumanie et lAutriche sopposaient à lidée dune UE à plusieurs vitesses. Le secrétaire général du ministre autrichien des Affaires Etrangères, Michael Linhart, a également souligné lappui que lAutriche accordera à ladhésion de la Roumanie à lespace Schengen de libre circulation européenne.



    Coopération – Les ministres des Affaires Etrangères de la Roumanie et de lAllemagne, Teodor Melescanu et Sigmar Gabriel ont rendu publique vendredi une déclaration commune, marquant les 25 années écoulées depuis la signature du traité damitié entre les deux pays. Dans ce document, les deux responsables affirment que la Roumanie et lAllemagne collaborent étroitement pour consolider les valeurs fondamentales de lUE, à savoir les droits humains, les libertés fondamentales, la démocratie et létat de droit. La déclaration souligne également lengagement des deux pays envers le projet européen, exprimé dans la déclaration de Rome du 25 mars 2017, un projet de la paix et de la liberté, ainsi que leur détermination à traiter dans lesprit de lunité les défis auxquels se confronte lUnion et qui mettent en danger la cohésion des Etats membres. Les chefs des deux diplomaties ont également évoqué la contribution des deux minorités allemande de Roumanie et roumaine dAllemagne au renforcement des relations bilatérales.



    Intempéries – En plein printemps, en Roumanie il neige, le vent fort produit des tempêtes de neige et les températures sont particulièrement basses pour cette période de lannée. Les tempêtes de neige ont obligé les autorités à fermer plusieurs routes nationales, dont la plupart en Moldavie, et dans le nord-est du pays, où le trafic est difficile aussi bien sur les routes départementales que sur celles communales. Des milliers de foyers de lEst du pays ont été plongés dans le noir, les trains prennent des retards considérables et les ports maritimes ont été fermés. Les météorologues annoncent une nuit hivernale avec des températures négatives. Ciel couvert aujourdhui avec des précipitations sur le centre, lest et le sud-est du pays. Des chutes de neige sont également signalées sur le nord-est et en montagne. Les températures maximales iront de 1 à 12 degrés. 7 degrés en ce moment à Bucarest, où le soleil nous fait, quand même, un petit coucou.

  • Die Woche 10.04.-14.04.2017 im Überblick

    Die Woche 10.04.-14.04.2017 im Überblick

    Im Skandal um die Privatrenten wurden harte Ma‎ßnahmen getroffen



    Die rumänische Finanzaufsichtsbehörde (ASF) hat am Donnerstag gegen die Rentenversicherungsgesellschaft NN eine Geldstrafe von umgerechnet rund 165 Tausend Euro verhängt — die bislang höchste seit Bestehen der Institution. Zudem soll der Geschäftsführerin die Zulassung entzogen werden. Grund war ein Rundschreiben des Unternehmens an die Versicherten, in dem es sich über eine mögliche Verstaatlichung des Vermögens der privat verwalteten Pflichtrenten in Rumänien besorgt erklärte. Finanzminister Viorel Stefan dementierte, doch die Affaire eskalierte zum Skandal: Das Parlament werde demnächst das Verfahren zur Entlassung des Chefs der Finanzaufsicht veranlassen — er würde eigentlich hinter dem Gerücht stecken, so Liviu Dragnea, Präsident der rumänischen Abgeordnetenkammer und der Regierungspartei PSD.




    Der ehemalige rumänische Abgeordnete Sebastian Ghiţă, nach dem international gefahndet wird, ist in Belgrad festgenommen worden



    Der international gesuchte rumänische Geschäftsmann und ehemalige Abgeordnete Sebastian Ghiţă ist in der Nacht von Donnerstag auf Freitag in Belgrad festgenommen worden. Dies geschah fast vier Monate nach seinem Verschwinden am 21. Dezember 2016. Die rumänische Polizei informierte, dass zum Zeitpunkt seiner Festnahme Sebastian Ghiţă falsche Papiere mit dem Zeichen eines europäischen Staates vorgelegt hatte. Die Polizei präzisiert, dass Ghiţă infolge komplexer Ermittlungen aufgespürt wurde und bedankt sich bei den Polizeikräften in Serbien, Bulgarien, Griechenland, der Türkei, Montenegro, Kroatien, Österreich, Italien und Frankreich sowie bei den internen Partnern für die Zusammenarbeit in diesem Fall. Die rumänischen Behörden werden die notwendigen Ma‎ßnahmen für die Auslieferung von Sebastian Ghiţă treffen. Am 10. Januar 2017 hatte das oberste Gericht auf seinen Namen einen europäischen Haftbefehl erlassen, da Sebastian Ghiţă, der unter Gerichtsaufsicht stand, aus Rumänien verschwunden war. Gegen Sebastian Ghiţă laufen zurzeit vier Strafverfahren wegen Korruption; in zwei Verfahren ist er angeklagt und in zwei weiteren Verfahren wird gegen ihn strafrechtlich ermittelt.




    Die Parlamentsdebatte über das Gesetz der einheitlichen Entlohnung von Staatsbediensteten wurde aufgeschoben



    Der Gesetzentwurf über die einheitliche Entlohnung von Staatsbediensteten bleibt noch eine Woche zur öffentlichen Debatte und wird an einem späteren Datum an das Parlament übermittelt. Das gab der Präsident der Abgeordnetenkammer und Vorsitzende der regierenden Sozialdemokratischen Partei, Liviu Dragnea, bekannt. Laut besagtem Gesetzentwurf werden die monatlichen Einkommen der Rumänen in den nächsten 5 Jahren durchschnittlich um 50% steigen. Insgesamt werden die Gehaltserhöhungen 32 Milliarden Lei (mehr als 7 Milliarden Euro) betragen. Ministerpräsident Sorin Grindeanu sagte, die Beratungen mit den Gewerkschaften und anderen Einrichtungen werden im Parlament fortgesetzt, um die Zeit bis zum Annehmen des Gesetzes zu kürzen. Das neue Gesetz über die einheitliche Entlohnung von Staatsbediensteten sollte am 1. Juli in Kraft treten und betrifft alle öffentlichen Einrichtungen mit Ausnahme der Nationalbank Rumäniens (BNR) und der rumänischen Finanzaufsichtsbehörde (ASF). Als erste werden Angestellte des Militärs und der Polizei mit dem Inkrafttreten des Gesetzes am 1. Juli höhere Gehälter bekommen. Für die restlichen Staatsbediensteten werden die Gehälter ab 1. Januar 2018 erhöht. Laut Gesetzesentwurf soll der rumänische Staatspräsident den höchsten Verdienst beziehen, und zwar den Gegenwert von 12 Mindestlöhnen. Es folgen die Vorsitzenden der zwei Parlamentskammern und der Präsident des Obersten Gerichts. Die Parlamentsabgeordneten, die Richter und die Staatsanwälte werden auch höhere Gehälter bekommen.




    Der Entwurf über das Impfgesetz in Rumänien ist veröffentlicht worden



    In Rumänien hat das Gesundheitsministerium am Dienstag den Entwurf für ein Impfgesetz vorgestellt. Laut Gesetzentwurf sollen Eltern bei der Schulanmeldung ihrer Kinder einen Attest über die verbindlichen Impfungen vorlegen. Schulen müssen ihrerseits vom jeweiligen Familienarzt des Kindes einen Impfpass beantragen und ungeimpfte Kinder im Seuchenfall bis auf weiteres vom Unterricht ausschlie‎ßen. Seuchenfälle werden vom Gesundheitsamt bestätigt. In jedem Landeskreis soll ein Impfausschuss ungeimpfte Kinder registrieren, die Eltern beraten und einen Plan zur Nachimpfung vereinbaren. Bemerkt der Ausschuss bei Kindern unter drei Jahren, dass die Pflichtimpfungen nicht stattgefunden haben, sind die zuständigen Behörden einzuschalten. Die Vernachlässigung der Impfpflicht bei solchen Kleinkindern soll als Misshandlung durch die Eltern gelten. Um den Anteil geimpfter Personen an der Gesamtbevölkerung zu erhöhen, müssen allerdings auch die Behörden eine nahtlose Versorgung mit allen Impfstoffen sicherstellen — und wer unbegründet Versorgungsengpässe schafft, sollte bestraft werden. Wichtig ist auch, dass zum Thema umfassend aufgeklärt wird. Die Politik empfand Handlungsbedarf, umso mehr seit letzten Herbst über 4000 Fälle von Masern gemeldet wurden — und mehr als 20 Menschen an der Krankheit starben. Um die Verbreitung der Krankheit zu stoppen, setzen die Behörden die Impfung der Kinder zwischen 9 Monaten und 9 Jahren fort.




    Die Regierung hat die Strategie zur Dezentralisierung Rumäniens angenommen



    Die rumänische Regierung hat am Mittwoch eine Dezentralisierungsstrategie unter dem Zeichen der Subsidiarität verabschiedet. In den nächsten drei Monaten werden alle Ministerien Impaktanalysen über die Dezentralisierungsstrategie durchführen und in höchstens sieben Monaten werden die sektoriellen Gesetze zur praktischen Umsetzung der Dezentralisierung angenommen, präzisierte die Vizepremierministerin Sevil Shhaideh. Dezentralisiert werden Bereiche wie Landwirtschaft, Kultur, Tourismus, Umwelt, Gesundheit, Bildung und au‎ßerschulische Aktivitäten, Jugend und Sport. Das allgemeine Strategieziel ist die Übertragung neuer Kompetenzen mit Ausnahme der Prüf- und Kontrollbefugnisse auf die Kommunal- und Regionalbehörden wie Bürgermeisterämter, Lokal- und Kreisräte.

  • Nachrichten 12.04.2017

    Nachrichten 12.04.2017

    Die rumänische Regierung hat am Mittwoch die Dezentralisierungsstrategie verabschiedet. Bei der Sitzung der Exekutive erklärte Ministerpräsident Sorin Grindeanu, dass alle Ziele, die der Lokaverwaltung zugeteilt werden können, den Lokalbehörden übertragen werden sollen. Es handele sich um ein extrem wichtiges Projekt, das mit der Einwilliguing des Justizministeriums verwirklicht wird, so Ministerpräsident Grindeanu. Die ins Dezentralisierungsprozess einbezogenen Bereiche sind: Landwirtschaft, Kultur, Tourismus, Umwelt, Gesundheit, Bildung und au‎ßerschulische Aktivitäten, Jugend und Sport. Das allgemeine Strategieziel ist die Übertragung neuer Kompetenzen mit Au‎ßnahme der Prüf- und Kontrollbefugnisse auf die Lokalbehörden, wie Bürgermeisterämter, Lokal- und Kreisräte.



    Der schwerkranke, aber sich in stabilem Zustand befindliche König Mihai I. von Rumänien wird wärend des Osterfestes bei seiner Privatresidentz in der Schweiz bleiben. Prinzessin Margareta, die Inhaberin der königlichen Krone und deren Ehemann, Prinz Radu werden der Ostermesse in der Metropolitankrche in Cluj/Klausenburg (in der Mitte Rumäniens) beiwohnen. Laut dem Pressebüro des rumänischen ex-Souveräns, wird Prinzessin Maria, die jüngste der 5 Töchter des Königs, der Ostermesse in der erzbischöflichen Kathedrale in Râmnicu Vâlcea (im Süden des Landes) beiwohnen. Dieses Jahr feiern die in Rumänien mehrheitlichen Orthodoxen, die Katholiken und die Protestanten das Osterfest am selben Tag, dem 16. April.



    Der russische Präsident Wladimir Putin ist am Mittwoch zu einem Gespräch mit US-Au‎ßenminister Rex Tillerson zusammengekommen. Putin habe Tillerson am Nachmittag gemeinsam mit dessen Amtskollegen Sergej Lawrow empfangen, sagte Kremlsprecher Dmitri Peskow den russischen Nachrichtenagenturen. Zuvor hatte Putin in einem Interview gesagt, seit dem Amtsantritt von US-Präsident Donald Trump habe sich das Verhältnis beider Länder “verschlechtert”. Vor dem Treffen mit Putin beriet der US-Au‎ßenminister bei seinem ersten offiziellen Besuch mehrere Stunden mit Lawrow. Dieser sagte, es sei “fundamental wichtig”, weitere “widerrechtliche” US-Angriffe in Syrien zu unterbinden. Die USA hatten in der Nacht zum Freitag als Vergeltung für den mutma‎ßlichen Giftgasangriff in Chan Scheichun mit dutzenden Toten einen syrischen Luftwaffenstützpunkt angegriffen. (AFP)



    In Rumänien ist die jährliche Inflationsrate im März dieses Jahres auf 0,2% geblieben. Dies ist der erste hintereinanderfolgende Monat, in dem positive Werte verzeichnet werden, nachdem 19 Monate lang negative Werte der Inflationsrate verzeichnet wurden, verlautet aus den Angaben des Nationalen Statistikamtes, die von dem Finanzblatt zitiert werden. In Februar betrug die Inflationsrate auch 0,2%, nachdem sie im Januar 0,05% betragen hatte. Der März 2017 ist der dritte Monat, der die Auswirkung der Reduzierung der allgemeinen MwSt. von 24% auf 20% ab dem 1. Januar 2016, beinhaltet. Ab dem 1. Januar 2017 wurde die allgemeine MwSt.-Quote von 20% auf 19% reduziert, die zusätzliche Kraftstoffsteuer von 7 Eurocent pro Liter wurde gestrichen, was den Preis um etwa 40 Bani (9 Cent) pro Liter Benzin und Diesel verringert hat. Ende 2016 betrug die Inflationsrate –0,5%. Dieses war das zweite Jahr hintereinander, in dem eine negative Jahresinflation verzeichnet wurde.

  • Retrospectiva săptămânii 20-26.11.2016

    Retrospectiva săptămânii 20-26.11.2016

    Executivul
    român aprobă o nouă rectificare
    bugetară.


    Guvernul a adoptat cea de-a doua
    rectificare bugetară din acest an. Potrivit ministrului de Finanţe, Anca Dragu,
    aceasta este una pozitiva şi reflectă modul eficient în care au
    fost gestionaţi banii publici, dar şi creşterea economică. Rectificarea a vizat, în
    principal, sănătatea, investiţiile, plăţile directe în agricultură şi
    susţinerea unor proiecte şi politici în domeniul educaţiei şi asistenţei
    sociale, finanţate prin administraţia publică locală. Rectificarea a avut în
    vedere redistribuirea unor fonduri care nu mai pot fi cheltuite până la
    sfârşitul anului 2016, pentru asigurarea finanţării unor programe în derulare.
    În plus, s-a urmărit păstrarea echilibrului macroeconomic şi a ţintei de
    deficit bugetar sub 3% din PIB.



    Foşti miniştri şi foşti
    directori ai celebrei companii Microsoft România,
    anchetaţi de DNA.


    Trei foşti miniştri sunt
    urmariţi penal în aşa numitul dosar Microsoft 2. Cu un prejudiciu de 67 de
    milioane de dolari, acesta vizează închirierea de licenţe pentru şcoli începând
    cu 2004. Dan Nica, fost ministru al comunicaţiilor şi tehnologiei
    informaţiei (2000-2004), Silvia Adriana Ţicău, pe rând, secretar de stat şi
    ministru al comunicaţiilor şi tehnologiei informaţiei (2003-2004) şi Alexandru
    Athanasiu, ministru al educaţiei şi cercetării (2003-2005), sunt anchetaţi
    pentru abuz în serviciu. Toţi trei sunt acuzaţi în legătură cu iniţierea,
    aprobarea sau susţinerea unor proiecte de hotărâri de guvern prin care s-a
    aprobat încheierea cu firma Fujitsu Siemens, deţinută de omul de afaceri
    Claudiu Florică, a contractului de închiriere de licenţe Microsoft, fără a
    exista un necesar fundamentat. În acelaşi dosar, sunt anchetaţi şi doi foşti directori ai
    Companiei Microsoft România, precum şi Claudiu Florică. Potrivit procurorilor, Fujitsu
    Siemens a cumpărat închirierea licenţelelor de la Microsoft şi a vândut-o apoi
    Guvernului, la preţ supraevaluat. Diferenţa de preţ a fost împărţirtă între cei
    implicaţi în această afacere extrem de profitabilă. Tot în acest caz, DNA a
    solicitat începerea urmăririi penale şi în cazul deputatului Eugen Bejinariu,
    fost secretar general al Guvernului în perioada 2003-2004, actual parlamentar,
    pe care îl acuză de abuz în
    serviciu în formă continuată.



    Prognoză economică
    îmbunătăţită a Bancii Mondiale privind economia românească.


    Banca Mondială
    şi-a îmbunătățit estimările privind avansul economiei româneşti în 2016, până
    la 5,1%, de la 4% cât estima în luna iunie. Instituţia financiară atrage, însă,
    atenţia că saltul înregistrat de economia românească în acest an va fi urmat în
    2017 de o încetinire a creşterii la 3,8%, pentru ca în 2018 avansul să se
    reducă la 3,4%. Deficitul bugetului consolidat ar urma să se adâncească,
    apropiindu-se de 3% din PIB atât în 2016 cât şi în 2017, de la 1,5% din PIB în
    2015, ceea ce va duce la o mărire a datoriei publice. Guvernul Romaniei va
    trebui să ţină sub control presiunile actuale pe cheltuieli şi să
    îmbunătăţească eficienţa colectării taxelor pentru a evita intrarea în
    procedura de deficit excesiv. Şi FMI a estimat recent că România va înregistra
    în acest an cea mai mare creştere economică din Europa, de 5%, urmată de
    Irlanda (4,9%). La începutul lunii noiembrie, Comisia Europeană a revizuit în
    creştere cu un punct procentual, la 5,2%, estimările referitoare la creşterea
    economiei româneşti în acest an.



    Şeful diplomaţiei române în
    vizită oficială în Italia.


    Ministrul român
    de Externe, Lazăr Comănescu, a discutat, la Roma, cu omologul italian Paolo
    Gentiloni despre relaţiile bilaterale, dar şi despre viitorul Europei după Brexit, migraţie, situaţia din
    Republica Moldova după alegerile prezidenţiale sau relaţiile cu Federaţia Rusă.Cei doi
    demnitari au evidenţiat relaţia privilegiată dintre România şi Italia, bazată
    pe un Parteneriat strategic consolidat, precum şi necesitatea unei cooperări
    aprofundate care să contribuie la consolidarea, în continuare, a proiectului
    european. Atât Lazăr Comănescu, cât şi Paolo Gentiloni au vorbit despre
    comunitatea românească din Italia, foarte bine integrată, şi despre cea
    italiană de afaceri, deosebit de activă, din România.Peste 25.000 de firme italiene sunt prezente în România, a
    precizat Paolo Gentiloni.



    Legea industriei naţionale de apărare promulgată în România.


    Preşedintele
    României, Klaus Iohannis, a promulgat Legea privind industria naţională de
    apărare. Actul normativ fusese adoptat, luna trecută, de Senat, în calitate de
    cameră decizională. Legea reglementează organizarea sectorului pe domenii de
    activitate strategice, restructurarea şi regruparea de capacităţi, stimularea
    investiţiilor, creşterea competitivităţii şi diversificarea produselor
    specifice domeniului, precum şi participarea la activităţile industriei
    europene de apărare. Cheltuielile de apărare ale României au crescut cu
    jumătate de miliard de dolari în 2016 prin comparaţie cu 2009. Cu 1,48 % din
    PIB alocat Apărării, România se situează pe locul al treilea în topul
    cheltuielilor destinate echipării forţelor militare dintre statele membre NATO.
    În urma consultărilor politice, Klaus Iohannis a obţinut un acord în virtutea căruia
    Apărării i se va aloca din 2017 minim 2% din PIB. În prezent, numai
    cinci ţări membre UE respectă acest obiectiv NATO.

  • Plan global de cooperare şi securitate

    Plan global de cooperare şi securitate

    Cu un rol diminuat, ca prezenţă şi influenţă, pe scena internaţională, mai ales după ce a dat piept cu criza economico-financiară, Uniunea Europeană lasă impresia că încearcă să se adapteze vremurilor, inclusiv în plan militar. După ce acum doua luni şi-a creat, ca succesoare a FRONTEX, o agenţie cu prerogative extinse în privinţa controlului frontierelor sale externe, Uniunea a mai făcut un pas în această direcţie, odată cu adoptarea Strategiei globale pentru securitate şi apărare. O iniţiativă mai veche, pe care miniştrii europeni de externe şi ai apărării, reuniţi, luni, la Bruxelles, au adus-o la stadiul de proiect funcţional.



    Cu detalii, corespondenta Radio România în capitala Belgiei, Claudia Marcu: “Ambiţios, concret, pragmatic, substanţial, pregătit în timp record, cu implicarea totală a celor 28 de state membre – aşa a fost caracterizat Planul de implementare a Strategiei globale a Uniunii Europene de către Federica Mogherini. Înaltul reprezentant pentru politica externă şi de securitate a UE a ţinut să precizeze, în primul rând, faptul că acest plan nu înseamnă crearea unei armate a Uniunii Europene, nici apariţia unei noi reşedinţe pentru Uniune şi nici dublarea Alianţei Nord-Atlantice. Planul de implementare înseamnă folosirea tuturor instrumentelor pe care Uniunea le are la dispoziţie şi identifică trei sarcini principale pentru Europa – a explicat Federica Mogherini: răspunsul la crizele şi conflictele externe, colaborarea cu partenerii pentru dezvoltarea capabilităţilor lor de securitate şi apărare şi protejarea Uniunii şi a cetăţenilor săi”.



    Proiectul, aşadar, nu pune în pericol contribuţia asumată a statelor europene la NATO, ci este complementar cu acţiunile prezente şi obiectivele Alianţei Nord-Atlantice. Pe de altă parte, Strategia poate fi considerată un răspuns firesc al Uniunii, într-un context internaţional imprevizibil, în care componenta geopolitică are un rol major.



    Politica externă agresivă a Rusiei, aplicată inclusiv în plan militar, odată cu anexarea peninsulei ucrainene Crimeea şi a implicării active în conflictul secesionist din estul Ucrainei, instabilitatea din nordul Africii, ca o consecinţă a Primăverii Arabe, tensiunile crescânde din relaţia cu Turcia şi, peste toate, insecuritatea semănată de activitatea teroristă fac ca Uniunea să se simtă stânjenită. În plus, nu puţini sunt analiştii de politică externă care cred că puterea economică a Europei trebuie însoţită de un potenţial militar pe măsură, chiar daca acest lucru este în răspăr cu paradigma conturată după cel de-al Doilea Război Mondial.

  • Regierung verabschiedet Strategie zur Entwicklung des öffentlichen Dienstes

    Regierung verabschiedet Strategie zur Entwicklung des öffentlichen Dienstes

    Die rumänische Regierung hat am Mittwoch weitreichende Maßnahmen zum Bürokratieabbau angekündigt. Das Bukarester Kabinett verabschiedete hierfür eine Strategie zur Entwicklung des öffentlichen Dienstes für den Zeitraum 2016-2020. Die Strategie zielt auf die Steigerung der Arbeitsleistung im öffentlichen System und eine bessere Wahrnehmung der öffentlichen Verwaltung durch die Bürger ab. Die Strategie richtet sich sowohl an die zentrale als auch an die lokale Verwaltung. Zu deren Zielen gehört auch die Stärkung der Behörden im Kampf gegen Korruption. Der Vizepremier Vasile Dâncu gab bekannt, dass demnächst einige Verordnungen verabschiedet werden sollen, die das bürokratische Verfahren in der lokalen Verwaltung vereinfachen werden.



    Das Bukarester Kabinett will zudem überflüssige Regelungen streichen, denn so entstehe der Eindruck, dass Beamte in der öffentlichen Verwaltung für Geschenke offen sind. Derzeit gilt der rumänische Staat als “bürokratisiert“. Selbst wenn das Bukarest Kabinett bislang wirksame Maßnahmen zum Bürokratieabbau getroffen hat, scheinen sie bislang ihr Ziel nicht völlig erreicht zu haben. Laut dem Vizepremier Dâncu, sei die Umsetzung der Strategie zur Entwicklung des öffentlichen Dienstes ausschlaggebend für die Modernisierung des rumänischen Staates: “Wir sind davon ausgegangen, dass der rumänische Staat immer wieder mit Krisen konfrontiert wird, meistens im Bilungs-und im Gesudheitswesen. Es handelt sich hauptsächlich um Krisen, die die Beziehung mit dem Bürger direkt betreffen. Eine Modernisierung des rumänischen Staates scheint zu diesem Zeitpunkt entscheidend, denn nur so können die Behörden das Vertrauen der Bürger zurückgewinnen. Auf dem Spiel steht sogar die rumänische Demokratie. Die Demokratie ist in Gefahr, wenn der Bürger das Vertrauen in seinen Staat und in Institutionen verliert.



    Die Strategie sieht vorerst keinen Stellenabbau vor, die Maßnahme sei dennoch nicht ausgeschlossen, sollte sie sich später als notwendig erweisen. Das Bukarester Kabinett will ohnehin Fehler der Vergangengeit nicht wiederholen, als Sparmaßnahmen auf die falsche Art umgesetzt wurden und infolgedessen zu Fehlfunktionen im System führten. Bezüglich der Vergütung im öffentlichen Dienst, sieht die neues Strategie die leistungsorientierte Bezahlung und die Umschulung öffentlicher Beamten vor. Das Kabinett von Dacian Cioloş schließt ferner nicht aus, eine landesweite Prüfung für die Aufnahme in öffentliche Einrichtungen einzuführen.



    In Bezug auf Integrität, Vorbeugung und Vermeidung der Korruption im öffentlichen Dienst, versucht die Bukarester Regierung mit der neuen Strategie bis spätestens 2020 die Zahl der Interresenkonflikte und der integritätsbezogenen Probleme um mindestens 30% zu senken. Dafür will das Kabinett von Dacian Cioloş die Informationen von öffentlichem Interesse, besonders in Bereichen wie die öffentichen Investitionen und das öffentliche Vergabewesen transparent machen.