Tag: taxe

  • 03.12.2014 (mise à jour)

    03.12.2014 (mise à jour)

    Budget — La partie roumaine ne formulera aucune proposition de majoration des taxes et impôts lors des discussions avec les grands bailleurs de fonds, a déclaré le ministre délégué au Budget du gouvernement roumain, Darius Vâlcov. Une mission commune d’experts du FMI et de la Commission Européenne se trouve à Bucarest jusqu’au 10 décembre pour des discussions avec les autorités roumaines au sujet du projet de la loi du budget 2015. Avant son élaboration, le gouvernement roumain a annoncé un dernier collectif budgétaire d’ici la fin de l’année.



    Economie — La Roumanie a enregistré une croissance économique de 1,8% au troisième trimestre de l’année en cours par rapport au trimestre précédent et une avancée du PIB de 2,8% sur les neuf premiers mois de l’année, selon les données préliminaires fournies ce mercredi par l’Institut national de la Statistique. Selon cette source, les contributions les plus importantes à la majoration du PIB sont dues à l’industrie – 30% du PIB et au secteur de la Communication et de l’Information – 5,2%. Par ailleurs, les intermédiations financières, les assurances et la diminution du volume des activités dans le secteur du bâtiment ont eu un impact négatif sur le PIB. Selon les données fournies à la mi-novembre par l’Institut national de la Statistique, l’économie roumaine a évité la récession technique, suite à une hausse de 0,5% du PIB.



    Corruption — Le député démocrate-libéral Cătălin Teodorescu fera l’objet de poursuites pénales sous contrôle judiciaire. La mesure du contrôle judiciaire a été imposée après que la Chambre des députés eut rejeté la demande formulée par la Direction nationale anticorruption de consentement à sa mise en détention provisoire. Par contre, les députés ont approuvé la demande similaire qui concerne un représentant de l’Union Démocratique des Magyars de Roumanie, à savoir Marko Attila. Les deux sont poursuivis dans une affaire relative au dédommagement accordé pour un terrain surévalué situé dans la capitale, Bucarest. Dans ce même dossier, l’ex procureure en chef de la Direction d’investigation du crime organisé et du terrorisme, Alina Bica, a été accusée et placée en détention provisoire. Le manque à gagner pour l’Etat roumain est estimé à plus de 60 millions d’euros.



    Classement – La Roumanie reste en 2014 aussi le pays européen le plus corrompu, selon le 20e rapport annuel de lONG Transparency International. Notre pays se situe 69ème dans le classement de 175 pays pris en compte, à égalité avec le Brésil, la Bulgarie, la Grèce, l’Italie et le Sénégal. Au niveau mondial, ce sont le Soudan, la Corée du Nord et la Somalie qui figurent en queue du classement, tandis qu’au pôle opposé se trouvent le Danemark, la Nouvelle Zélande et la Finlande. Malgré une croissance économique en flèche, la Turquie et la Chine sont confrontées, toutes les deux, à un niveau élevé de corruption, avertit Transparency International, qui insiste dans son rapport sur les difficultés auxquelles se heurtent les pays émergeants dans leur lutte contre le fléau de la corruption.



    Carburant – Selon une étude publiée par Bloomberg, la Roumanie pointe en tête de classement concernant le prix du carburant, classée 30e sur 61 pays à travers le monde. Elle est toutefois le onzième pays où lessence est la plus chère compte tenu du rapport entre le niveau de vie de ses habitants et les prix à la pompe. La Norvège est le pays en tête du classement, où lessence est la plus chère (2 euros le litre), tandis que le Venezuela est le pays où le carburant est meilleur marché, où le litre dessence ne coûterait quun centime deuro le litre. Des prix inférieurs à ceux pratiqués en Roumanie se trouvent en Bulgarie, Lituanie, Estonie et Hongrie.



    Coalition – Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, s’est entretenu mercredi à Bruxelles avec le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg. L’officiel roumain a déclaré que l’Alliance Nord-atlantique devait continuer à prêter attention à la sécurité dans la région de la Mer noire, y compris en poursuivant les exercices conjoints, l’échange d’informations et les évaluations. Bogdan Aurescu a également réitéré la disponibilité de Bucarest à accueillir sur le sol roumain des éléments otaniens de commandement et de contrôle. Le ministre roumain des affaires étrangères a également eu une entrevue avec son homologue français, Laurent Fabius. Les deux hommes ont décidé de la mise en place d’un mécanisme de consultations régulières entre les ministères qu’ils dirigent sur des questions européennes et de sécurité. Le ministre roumain des affaires étrangères, Bogdan Aurescu, a participé à Bruxelles à la première réunion de la coalition internationale de lutte contre l’organisation djihadiste Etat Islamique. La Roumanie s’est engagée à soutenir les efforts de la coalition notamment par des mesures d’aide humanitaire, sa participation ne comportant donc pas de volet militaire.



    Nucléaire — Le ministre roumain de l’environnement, Attila Korodi, a convoqué mercredi le Comité ministériel pour les situations d’urgence, afin d’examiner toutes les informations relatives à l’incident survenu à la centrale nucléaire de Zaporojie, dans le sud-est de l’Ukraine, à près de 500 km de la frontière avec la Roumanie. Cette centrale nucléaire, la plus grande d’Europe, avait subi une défaillance technique le 28 novembre dernier, mais il n’y a aucune menace démission de matières radioactives, selon le ministre ukrainien de lénergie, Volodymyr Demtchichine. La centrale devrait retrouver sa pleine puissance le vendredi 5 décembre. L’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire de France a lui aussi fait savoir que l’incident ne posait aucun danger pour la population ni pour l’environnement. L’Ukraine été le théâtre de la pire catastrophe nucléaire de lhistoire en 1986, lorsqu’une explosion à la centrale de Tchernobyl a relâché un nuage radioactif sur lEurope et lUkraine, la Russie et la Biélorussie.








  • 03.12.2014

    03.12.2014

    Budget — La partie roumaine ne formulera aucune proposition de majoration de taxes et d’impôts à loccasion des pourparlers avec les grands bailleurs de fonds, a déclaré le ministre délégué au Budget du gouvernement roumain, Darius Valcov. Une mission commune d’experts du FMI et de la Commission Européenne se trouve à Bucarest jusqu’au 10 décembre pour des discussions avec les autorités roumaines au sujet du projet de la loi du budget 2015. Avant son élaboration, le gouvernement roumain a annoncé un dernier collectif budgétaire d’ici la fin de l’année.



    Economie — La Roumanie a enregistré une croissance économique de 1,8% au troisième trimestre de l”année en cours par rapport au trimestre précédent et une avancée du PIB de 2,8% sur les neuf premiers mois de l’année, selon les données préliminaires fournies ce mercredi par l’Institut national de la Statistique. Selon cette source, les contributions les plus importantes à la majoration du PIB sont dues à l’industrie – 30% du PIB et au secteur des Communications et de l’Information – 5,2%. Par ailleurs, les transactions financières, les assurances et la diminution du volume des activités dans le secteur du Bâtiment ont eu un impact négatif sur le PIB. Selon les données fournies à la mi-novembre par l’Institut national de la Statistique, l’économie roumaine a évité la récession technique, suite à une hausse du PIB de 0,5%.



    Corruption — Les députés roumains décident ce mercredi s’ils approuvent ou non la demande formulée par la Direction nationale anticorruption de consentement à la mise en détention provisoire de leurs collègues Catalin Teodorescu er Marko Attila. Les deux sont poursuivis dans le cadre d’une affaire de rétrocession illégale dans laquelle l’ex procureure en chef de la Direction d’investigation du crime organisé et du terrorisme, Alina Bica a été accusée et placée en détention provisoire. Selon les procureurs, le préjudice porté à l’Etat dans ce dossier a été de plus de 60 millions d’euros.



    Classement – La Roumanie reste en 2014 aussi le pays européen le plus corrompu, selon le 20e rapport annuel de lONG Transparency International. Notre pays se situe 69ème dans le classement de 175 pays pris en compte, à égalité avec le Brésil, la Bulgarie, la Grèce, l’Italie et le Sénégal. Au niveau mondial, c’est le Soudan, la Corée du Nord et la Somalie qui figurent en queue du classement, tandis qu’au pôle opposé se trouvent le Danemark, la Nouvelle Zélande et la Finlande. Malgré une croissance économique en flèche, la Turquie et la Chine se confrontent, les deux, à un niveau élevé de corruption, avertit Transparency International qui insiste dans son rapport sur les difficultés auxquelles se heurtent les pays émergeants dans leur lutte contre le fléau de la corruption.



    Carburant — Selon une étude publiée par Bloomberg, la Roumanie pointe en tête de classement concernant le prix du carburant, classée 30e sur 61 pays à travers le monde. Elle est toutefois le onzième pays où lessence est la plus chère compte tenu du rapport entre le niveau de vie de ses habitants et les prix à la pompe. La Norvège est le pays en tête du classement, où lessence est la plus chère (2 euro le litre), tandis que le Venezuela est le pays où le carburant est meilleur marché, où le litre dessence ne coûterait quun centime deuro le litre. Des prix inférieurs à ceux pratiqués en Roumanie se trouvent en Bulgarie, Lituanie, Estonie et Hongrie.



    Coalition — La coalition internationale contre le groupe Etat islamique se réunit aujourd’hui, en première, à Bruxelles. Les ministres des Affaires étrangères des pays membres de la coalition et le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, discutent ce mercredi de la stratégie politique et militaire, de la participation des combattants étrangers aux côtés des forces djihadistes de Syrie et Irak, tout comme de l’aide humanitaire destinée aux réfugiés. La Roumanie est représentée à Bruxelles par le chef de sa diplomatie, Bogdan Aurescu. Rappelons que Bucarest a rejoint la coalition internationale contre le groupe Etat islamique pour offrir du soutien humanitaire et logistique.



    Moldova – Les leaders des partis pro-européens du Parlement de la République de Moldova poursuivent leurs négociations en vue de former un nouvel exécutif. Au scrutin législatif de dimanche, les partis libéral démocrate, démocrate et libéral, membres de la coalition gouvernementale en place, ont obtenu ensemble 55 mandats de député sur les 101 que compte le Parlement de Chisinau. Le gouvernement moldave espère obtenir pour la République de Moldova le statut de candidat à l’UE en 2017 et celui de pays membre, en 2020. Les 46 autres mandats de parlementaire ont été remportés par les socialistes et communistes pro-russes. Les communistes exigent la renégociation des accords d’association et de libre échange avec l’UE, tandis que les socialistes souhaitent abandonner définitivement le trajet européen au profit de l’union douanière contrôlée par la Russie.



    Intempéries – En Roumanie, il continue à faire froid. Le ciel est variable sur le nord-est et le centre du pays et plutôt couvert sur le reste du territoire. Il pleut sur le sud-ouest et il neige à la montagne. La vitesse du vent devra atteindre les 70, voire 80 km/h, et monter jusqu’à 90 km/h en haute montagne. En raison des fortes rafales de vent, des dizaines de navires restent bloqués sur le Danube, tandis que les manœuvres sont suspendus dans le port de Midia. Les maxima du jour vont de moins 4 à 11 degrés.

  • Collectif budgétaire à Bucarest

    En même temps que les discutions avec la mission commune du FMI et de la Commission européenne sur le budget d’Etat 2015, le gouvernement de Bucarest annonce un troisième et dernier collectif budgétaire de l’année. Ce sera, se félicitent les membres de l’exécutif, une nouvelle rectification positive due à l’excédent budgétaire enregistré en fin d’année. Le cabinet veut couvrir des dettes envers divers fournisseurs, accumulées en tant qu’arriérés dans les budgets des hôpitaux ou des autorités locales.



    Ce collectif va également couvrir les dépenses aptes à payer les différences de salaire gagnées en justice par les différentes catégories d’employés de l’Etat après l’amputation de leurs rétributions de 25% en 2010 lorsque la Roumanie était affectée par la pointe de la crise économique. Parmi les bénéficiaires des montants supplémentaires il y a le Ministère de la Justice et le Parquet, l’agriculture, les transports et l’éducation. Un plus, également, pour l’Autorité Nationale pour la Restitution des Propriétés pour payer les dédommagements fixés par des titres exécutoires. En échange, on va diminuer les budgets des Ministères du Travail, du Développement et de la Santé.



    Le premier ministre Victor Ponta déclare être convaincu que les émissaires des créditeurs internationaux de la Roumanie, FMI et CE, seront d’accord avec ce collectif budgétaire : “Ils ont constaté à leur tour que, non seulement nous avons la croissance économique mais qu’après 11 mois, nous avons un déficit de seulement 0,2% du PIB et par ce rectificatif on va payer avec anticipation une bonne partie de ce que nous devions payer l’année prochaine car notre gestion est bonne et que nos rentrées accrues excèdent les dépenses diminuées”.



    Le président du Conseil Fiscal Ionut Dumitru accuse, en échange, les engagements à caractère électoral assumés par le premier ministre avant le scrutin présidentiel qu’il a perdu le mois dernier : “Si les taxes n’augmentent pas, il faut réduire davantage les dépenses. Côté dépenses, on peut sans doute faire des économies dans les circonstances où on discute d’une grande inefficacité mais pour faire ces économies, les réformes sont nécessaires, il faut donc fixer la priorité des investissements et allouer l’argent selon des critères de coût-bénéfice, fondamentaux économiquement. Ceci n’arrive pas. Sans réformes profondes dans les zones visées on ne peut pas faire des économies car elles ne viennent pas d’elles-mêmes. Il faut trouver des mesures touchant la racine des problèmes. »



    A leur tour, les milieux d’affaires accusent la structure budgétaire qu’ils qualifient de non-transparente. Le secrétaire général de l’Association des Hommes d’Affaires de Roumanie Cristian Pârvan se demande : “Quelles sont nos garanties que l’argent qu’on peut mobiliser en supplément du budget est utilisé aux dépenses intéressant la société, dans l’infrastructure, écoles, hôpitaux, etc. ? Nulle garantie !”



    Et Pârvan d’affirmer que la Roumanie n’a pas de ressources budgétaires suffisantes et qu’en 2015 beaucoup de projets devront être co-financés de fonds européens. (trad.: Costin Grigore)

  • Rezultate economice pozitive

    Rezultate economice pozitive

    Prin buget general consolidat se înţelege ansamblul bugetelor componente ale sistemului bugetar. Cât despre execuţia bugetară, aceasta reprezintă activitatea de încasare a veniturilor bugetare şi de efectuare a plăţii cheltuielilor aprobate prin buget. Odată cei doi termeni definiţi, Ministerul de Finanţe de la Bucureşti a anunţat, luni, că execuţia bugetului general consolidat al României s-a încheiat, la finele lunii septembrie, cu un excedent de 0,06% din Produsul intern brut.



    În contextul unei parităţi leu-euro de circa 4,5, veniturile, în valoare de 155,4 miliarde lei, reprezentând 23,5% din PIB, au fost cu 5,5% mai mari în termeni nominali faţă de aceeaşi perioadă a anului trecut. S-au înregistrat creşteri la încasările din contribuţiile de asigurări sociale, accize, impozite şi taxe pe proprietate şi pe utilizarea bunurilor, impozit pe profit sau TVA. Rezultatul a fost influenţat, de asemenea, de încasarea veniturilor din certificatele pentru emisii de gaze cu efect de seră emise de Ministerul Economiei, precum şi de tranşa a doua din impozitul pe construcţii speciale.



    Sumele primite de la Uniunea Europeană în contul plăţilor efectuate înregistrează în continuare un nivel relativ scăzut, reprezentând 0,8% din PIB, dar sunt, şi ele, cu 9,6% mai mari faţă de aceeaşi perioadă a lui 2013. În privinţa cheltuielilor, cuantificate la 155 miliarde lei, acestea s-au redus atât în termeni nominali, cu 0,3% faţă de aceeaşi perioadă a anului precedent, cât şi în termeni reali, fiind inferioare cu 1,3 puncte procentuale ca pondere în PIB. Au crescut cheltuielile de personal ca urmare a creşterii salariului minim brut la 850 lei, de la 1 ianuarie 2014, şi la 900 lei, de la 1 iulie 2014.



    S-a înregistrat, însă, reducerea cheltuielilor cu dobânzi, precum şi a celor cu bunuri şi servicii. Cheltuielile pentru investiţii, care includ cheltuielile de capital, precum şi cele aferente programelor de dezvoltare finanţate din surse interne şi externe, au fost de 16,5 miliarde lei, respectiv de 2,5% din PIB, faţă de 19,4 miliarde lei în aceeaşi perioadă a anului trecut.



    Într-un cuvânt, specialiştii văd în actualul context economico-financiar o situaţie favorabilă care va permite României să se încadreze în ţinta de deficit de 2,2% din PIB pe ansamblul lui 2014, aşa cum a fost convenit, în prealabil, cu Fondul Monetar Internaţional. Aceasta după ce România a încheiat 2013 cu un deficit al bugetului general consolidat de 2,5%. Autorităţile de la Bucureşti speră că prin menţinerea disciplinei fiscale, coroborată cu o ţintă de creştere economică de 5-6% pe an, România va putea, în timp, să recupereze decalajul ce o desparte de ţări dezvoltate ale Uniunii Europene.

  • Facilităţi pentru românii din străinătate

    Facilităţi pentru românii din străinătate

    Cabinetul de centru-stânga de la Bucureşti a decis că taxele consulare pentru întocmirea certificatelor de naştere ale copiilor născuţi din părinţi români în străinătate nu vor mai fi plătite dacă documentele se întocmesc în şase luni de la naştere. Vor fi gratuite şi documentele de călătorie pentru minorii români de până la 6 ani.



    Este salutar, dar nu suficient, a reacţionat, din opoziţie, vicepreşedintele Comisiei pentru comunităţile de români din afara graniţelor ţării de la Camera Deputaţilor, liberalul Mircea Dolha. El a declarat că aşteaptă acum reducerea tuturor taxelor consulare şi a amintit că guvernul a fost sensibilizat de problemele cu care se confruntă românii din afara ţării numai după ce un alt parlamentar, Aurelian Mihai, a intrat în greva foamei. Mircea Dolha a făcut un apel către premierul Victor Ponta şi ministrul delegat pentru românii de pretutindeni, Bogdan Stanoevici, să îşi ducă la îndeplinire promisiunile electorale făcute în privinţa reducerii taxelor consulare. Nivelul acestora este cu mult peste posibilităţile conaţionalilor care muncesc în afara ţării, a spus deputatul liberal.



    Tot el a remarcat, acid, eforturile disperate – cum le califică – ale candidatului la funcţia de preşedinte Victor Ponta de a capta bunăvoinţa românilor care locuiesc în afara graniţelor ţării şi care, la fiecare scrutin, au acordat mereu, în majoritate covârşitoare, votul lor de încredere candidaţilor de Dreapta. Mircea Dolha apreciază că această atitudine nu poate şterge, însă, cu buretele ceea ce el consideră a fi dezinteresul manifestat până acum faţă de problemele Diasporei şi nici lipsa de iniţiativă a actualei Puteri, care nu ar fi făcut niciun demers pentru a sprijini introducerea votului prin corespondenţă şi ar fi organizat defectuos secţiile de vot din străinătate. Mircea Dolha subliniază, pe de altă parte, efortul constant pe care opoziţia creştin- liberală, pe care o reprezintă, l-ar fi depus pentru uşurarea vieţii românilor din afara graniţelor.



    Nici Puterea, nici Opoziţia de la Bucureşti nu scapă tentaţiei de a acumula capital de imagine din zona diasporei cu drept de vot.



    O altă măsură pe care opoziţia se va grăbi să o taxeze ca având conotaţii electorale este proiectata extindere a programului Prima Casă pentru românii care locuiesc şi muncesc legal în străinătate, decisă tot marţi. Executivul a precizat că extinderea programelor Prima Casă şi Prima Maşină pentru românii din afara graniţelor este menită a-i încuraja pe tineri să revină în patrie. În ce priveşte locuinţele, intenţia ar fi aceea de a stimula, pe lângă achiziţionarea unora deja existente, construirea de case, ceea ce ar putea resuscita un sector zdruncinat de criză.

  • Jurnal românesc – 25.09.2014

    Jurnal românesc – 25.09.2014

    Deputatul independent Aurelian Mihai a intrat, săptămâna trecută, în greva foamei, pe motiv că Guvernul nu acordă atenţie solicitărilor sale pentru diminuarea taxelor consulare. Grupul PSD din Camera Deputaţilor l-a asigurat, într-un comunicat, pe Aurelian Mihai de întregul sprijin în demersul său de a ajuta, prin activitatea legislativă, comunităţile de români din afara graniţelor României. Deputatul liberal Mircea Dolha, vicepreşedintele Comisiei pentru comunităţile de români din afara graniţelor ţării, a anunţat că mai mulţi deputaţi, printre care şi el, vor intra de săptămâna viitoare în greva foamei, dacă preşedintele Camerei Deputaţilor Valeriu Zgonea şi premierul Victor Ponta nu iau în considerare protestul lui Aurelian Mihai.



    Reducerea presiunii fiscale asupra cetăţenilor români din străinătate prin diminuarea tarifului consular, mai ales în contextul crizei financiare şi economice globale din ultimii ani, rămâne o preocupare prioritară a Ministerului Afacerilor Externe — subliniază acesta într-un comunicat. Diplomaţia de la Bucureşti precizează că nivelul actual al taxelor consulare a fost stabilit în 2008, dar o parte din acestea au fost majorate semnificativ în 2010 de guvernul din acea perioadă. Actualul executiv — spune MAE — nu a intervenit pentru creşterea taxelor, ci a făcut eforturi să identifice soluţii pentru scăderea unora din ele. În 2012 şi 2013, ministerul a iniţiat proiecte de act normativ care vizau diminuarea semnificativă a cuantumului anumitor taxe consulare, precum şi sistematizarea şi chiar extinderea categoriilor de servicii consulare prestate cu titlu gratuit. Proiectele nu au fost adoptate din cauza impactului bugetar. La ora actuală, Ministerul Afacerilor Externe a elaborat un nou proiect, care urmează procedurile interne de avizare şi, ulterior, va fi supus dezbaterii publice.



    Pensia de la stat şi cea de la fondurile private obligatorii (pilon II) vor asigura doar o treime din salariul mediu brut în 2032, când se va retrage din activitate generaţia decreţeilor“, adică circa jumătate de milion de persoane. Economiile făcute pe cont propriu din timpul vieţii active, prin pensii facultative, fonduri mutuale sau depozite la bancă, vor conta extrem de mult pentru un trai decent la bătrâneţe — susţine Marius Popescu, membru în consiliul de administraţie al ING Pensii, care administrează cel mai mare fond de pensii obligatorii. Peste 6,1 milioane de români au un cont de pensie privată obligatorie, însă doar 60% dintre aceştia au virat contribuţiile lună de lună.



    Participarea, miercuri, a ministrului de Externe, Titus Corlăţean, la summitul Consiliului de Securitate al ONU de la New York, a permis transmiterea unui semnal politic privind sprijinul ferm al Bucureştiului pentru consolidarea securităţii internaţionale prin acţiuni coordonate împotriva acestui tip de extremism — potrivit MAE român. A fost adoptată în unanimitate, cu această ocazie, o rezoluţie cu caracter obligatoriu pentru toate statele membre menită să stopeze fluxul de jihadişti străini în Siria şi Irak şi să contracareze ameninţarea pe care o reprezintă pentru ţările lor de origine. Textul impune ţărilor, sub pedeapsa sancţiunilor, să îi împiedice pe cetăţenii lor să se înroleze în organizaţii extremiste cum ar fi Statul Islamic.



    Institutul Aspen România, German Marshall Fund, Guvernul şi Banca Naţională a României organizează a 3-a ediţie a Bucharest Forum în 2-4 octombrie, la Palatul Parlamentului. Tema reuniunii este Deblocarea potenţialului Eurasiei. Decizii strategice pe Noul Drum al Mătăsii. Se va urmări găsirea de răspunsuri la întrebarea cum poate fi transformată România într-o Poartă a Europei pe ruta de comerţ şi investiţii între Europa şi Asia. La Bucharest Forum vor participa personalităţi importante din sfera politică şi economică, invitatul de onoare fiind Richard Quest, jurnalist la CNN Internaţional.

  • Le marché des médicaments

    Le marché des médicaments

    Selon les statistiques les plus récentes, les ventes de médicaments en Roumanie au prix de distribution ont baissé pendant le premier trimestre de l’année courante de 4% par rapport à la période similaire de l’année précédente se chiffrant à quelques 668,8 millions d’euros. Le directeur général de CEGEDIM Roumanie, Petru Cràciun, déclare que “l’évolution du premier trimestre a été une fois de plus en dessous des attentes sur la toile de fond d’un hiver plus chaud que de coutume ce qui a mena à la baisse du marché, tant au niveau du premier trimestre qu’au niveau des derniers 12 mois. Pour 2014, les prévisions continuent d’indiquer une légère baisse” – a poursuivi Petru Cràciun. Durant la période analysée les ventes à travers les pharmacies ont baissé de 3,9% jusqu’à 580,8 millions d’euros et à travers les hôpitaux de 4,9% jusqu’à un niveau de 88,2 millions d’euros.



    En ce qui concerne l’évolution du marché du domaine, nous avons appris les détails de Dan Zamfirescu, directeur exécutif de l’Association Roumaine des Producteurs Internationaux de Médicaments : “Il y a des compagnies qui re-organisent ou diminuent leur activité. Par ailleurs, le système de taxation de Roumanie au niveau du marché pharmaceutique a atteint un niveau difficilement supportable s’agissant de la taxe claw-back qui n’est en fait qu’un mécanisme de rajustement du budget de médicaments pour la Roumanie. Actuellement, cette taxe este parvenue à 20% et s’applique à la valeur remboursée des médicaments étant, donc, une taxe sur le chiffre d’affaires. Il y a beaucoup de producteurs de médicaments et, pratiquement, par cette taxe nous, les producteurs de médicaments, nous assurons actuellement l’accès à la médication gratuite pour deux sur dix patients roumains. Le prix des médicaments quoi sont délivrés par ordonnance médicale est établi en Roumanie par le Ministère de la Santé selon un algorithme fixant le prix au niveau minimum d’une corbeille de 12 pays de l’Union Européenne, les pays qui sont connus comme ayant les plus bas prix au médicaments. Dans ce contexte, nous avons, d’une part, les plus bas prix de l’Union Européenne et, d’autre part, un système de taxation qui pénalise l’industrie pharmaceutique”.



    Il y a, pourtant, des médicaments dont le prix est plus grand que dans d’autres pays européens. Dan Zamfirescu répond : “Les médicaments qui sont délivrés en base d’une ordonnance médicale sont contrôlés par l’Etat. Mais il y a les médicaments ainsi dits « over the counter » qui sont vendus sans ordonnance médicale pour lesquels le prix est libre, compte tenu de l’évolution du cours-taux de change leu-dollar ou euro, plus toute une série d’acteurs qui peuvent influencer ces facteurs tels une demande accrue du marché qui ne peut pas être assuré par le fournisseur — alors les prix augmentent. Il y a des catégories de médicaments, par exemple l’ibuprophène, l’aspirine, et autres pour lesquels le prix aurait pu augmenter ainsi que quelques types de médicaments dont le prix soit plus grand que dans d’autres pays de l’Union Européenne. Mais pour ces médicaments, leur prix plus grand est justifié par la liberté des prix pour cette catégorie de médicaments”.



    Mais combien grande est la consommation de médicaments en Roumanie, Dan Zamfirescu ? “Dans le paysage européen, la Roumanie et la Bulgarie sont les pays ayant la plus basse consommation de médicaments par habitant. Malheureusement, notre santé n’est pas meilleure que celle des autres Européens mais, au contraire, l’accès es beaucoup plus restrictif, d’une part, par le niveau bas des revenus en Roumanie et, par ailleurs, par le bas niveau des allocations budgétaires destinées aux médicaments. Ce qui est intéressant d’observer, c’est que, globalement, le marché des médicaments représente, grosso modo, un quart du total des dépenses du système sanitaire. Pendant de longues années nous avions l’habitude de dire que le système sanitaire est un trou noir et qu’il ne mérite pas davantage d’argent jusqu’à ce qu’il n’est pas restructuré, etc. Ce quart de marché représenté par le marché des médicaments a néanmoins connu une restructuration profonde et on en a éliminé la plupart des pertes du système, les prix se situant au plus bas niveau de l’Union Européenne. Ainsi, le gaspillage a été stoppé, il n’y a plus de croissance sans contrôle, justement à la suite des mesures qui ont été adoptées par les autorités ces dernières années, il s’agit, donc, d’un marché qui mérite davantage d’argent puisque les résultats seront visibles tout de suite”.



    La hiérarchie des 10 principales corporations du point de vue de la valeur des ventes ne s’est pas modifié ce dernier temps, le podium étant occupé par HOFFMAN, LAROCHE, suivies par SANOFI le producteur bucarestois ZENTIVA compris, et NOVARTIS. Le top des premiers dix joueurs du marché est complété par SERVIER, PFIZER, GLAXOSMITHKLINE , RANBAXY, qui détient la fabrique TERAPIA de Cluj, MERCK & CO, STRAZENEKA et KRKA. De l’échelon 11 à 20 font partie, par ordre décroissant JOHNSON & JOHNSON, ANTIBIOTICE IASI( à capital d’Etat), ABBVIE, TEVA, MENARINI, BRISTOL MYERS SQUIBB, ALVOGEN, ACTAVIS et ALLI LILLY. (trad.: Costin Grigore)

  • Mesures économiques du gouvernement de Bucarest

    Mesures économiques du gouvernement de Bucarest

    L’Exécutif de Bucarest envisage de réduire la TVA sur d’autres produits alimentaires après ceux de panification. Lors de la dernière réunion du cabinet, le premier ministre Victor Ponta a demandé au ministre de l’Agriculture, Daniel Constantin, d’examiner la mise en place de cette mesure, car, de l’avis des autorités, la diminution de la TVA sur le pain s’est avérée bénéfique d’un point de vue fiscal.



    Il y a un an, pour combattre l’évasion fiscale du secteur, le gouvernement roumain décidait de réduire cette taxe, de 24% à 9% pour le pain, la farine et le blé, l’impact négatif sur les recettes devant être contrecarré par la hausse des accises sur l’alcool et l’introduction d’accises sur les produits de luxe. Le chef du cabinet, Victor Ponta, estime qu’en plus de la baisse de la TVA sur les produits alimentaires, la Roumanie a besoin de dénicher de nouveaux marchés et sources d’investissements pour faire poursuivre la croissance de l’économie.



    Récemment rentré d’une visite à Pékin, où il a rencontré les représentants des compagnies chinoises intéressées à investir en Roumanie, il a affirmé que l’Etat allait compléter ses revenus budgétaires et l’argent communautaire par les projets énergétiques et d’infrastructure financés par la Chine et qui se chiffrent à plus de 6 milliard d’euros. Victor Ponta : « Il est important d’avoir des investissements, de créer de nouveaux emplois et d’acquérir notre indépendance énergétique, d’autant plus que la Roumanie estime nécessaire et soutient la mise an place de nouvelles sanctions économiques contre la Fédération de Russie. Cela revient à dire qu’il faut trouver de nouveaux débouchés et investissements pour les producteurs et l’économie roumaine dans son ensemble. »



    Le chef de l’Exécutif roumain a également fait savoir que la taxe sur les constructions spéciales serait ramenée de 1,5 % à 1%, l’argent ainsi collecté devant revenir aux autorités locales et non pas au budget public comme c’était le cas jusqu’ici. Victor Ponta : «Les localités auront ainsi davantage de chances de développement. Et je pense aux écoles, aux hôpitaux municipaux, aux routes. »



    La taxe sur les constructions spéciales concerne les seules personnes morales. Elle s’applique à des constructions jusqu’ici exemptées d’impôt, tels que poteaux électriques, rampes, plates-formes en béton autres que les espaces de production ou les immeubles de bureaux. L’introduction de la taxe et l’augmentation des accises sur les carburants ont représenté les principaux arguments avancés par les autorités roumaines lors des négociations avec le FMI et la Commission européenne afin que les institutions internationales acceptent la majoration des dépenses budgétaires pour l’année en cours. (trad.: Mariana Tudose)

  • Măsuri economice ale Guvernului României

    Măsuri economice ale Guvernului României

    În România, Executivul se gândeşte să reducă Taxa pe Valoare Adăugată şi pentru alte produse alimentare, după cele de panificaţie.



    În ultima şedinţă de Guvern, premierul Victor Ponta i-a cerut ministrului Agriculturii, Daniel Constantin, să analizeze următoarea ţintă de reducere a TVA la alimente, în condiţiile în care, susţin autorităţile, la pâine această măsură s-a dovedit a fi una benefică din punct de vedere fiscal.



    În urmă cu un an, pentru a combate evaziunea fiscală din sector, Guvernul a decis să scadă această taxă de la 24% la 9% pentru pâine, făină şi grâu, impactul negativ al măsurii asupra încasărilor fiind compensat prin creşterea accizelor la alcool şi introducerea de accize la bunuri de lux.



    Pe lângă scăderea TVA la produsele alimentare, Victor Ponta consideră că România are nevoie de găsirea unor noi pieţe de desfacere şi surse de investiţii pentru a continua creşterea economică.



    Recent întors dintr-o vizită la Beijing unde s-a întâlnit cu reprezentanţii companiilor chineze interesate să investească în România, el a spus că statul îşi va completa veniturile bugetare şi ceea ce primeşte din fonduri europene cu proiectele în energie şi infrastructură, finanţate de China, în valoare de peste 6 miliarde de euro. Victor Ponta: Dacă noi reuşim să avem investiţii, să creăm locuri de muncă şi să fim independenţi energetic, e un lucru important, cu atât mai mult cu cât România susţine şi crede că sunt necesare noi sancţiuni economice împotriva Federaţiei Ruse. Asta înseamnă că pentru toţi producătorii români, pentru economia românească, trebuie să găsim noi pieţe de desfacere, trebuie să găsim noi investiţii.



    Şeful Executivului a mai anunţat că taxa pe construcţiile speciale va fi redusă de la 1,5 la 1%, iar toate veniturile colectate vor rămâne la autorităţile locale şi nu vor mai merge la bugetul de stat. Victor Ponta: “În acest fel, localităţile au şanse mai mari de dezvoltare. Este vorba despre şcoli, despre spitalele pe care le au municipiile, despre drumuri.”



    Taxa pe construcţii speciale, denumită generic “taxa pe stâlp” de către mediul de afaceri, vizează numai persoanele juridice. Aceasta se aplică pentru construcţiile care nu intrau în sfera de impozitare, cum ar fi stâlpi, rampe, platforme betonate, altele decât imobilele de producţie sau birouri, care erau deja impozitate.



    Introducerea taxei şi creşterea accizelor la carburanţi au reprezentat principalele argumente ale autorităţilor române în negocierile cu FMI şi CE pentru ca instituţiile internaţionale să accepte creşterea cheltuielilor bugetare pentru acest an.

  • Obţinerea autorizaţiilor de muncă

    Obţinerea autorizaţiilor de muncă

    Conform unei hotărâri de guvern, pe parcursul întregului an 2014, Inspectoratul General pentru Imigrări din cadrul Ministerului român al Afacerilor Interne va elibera cel mult 5.500 de autorizaţii de muncă cetăţenilor străini care îndeplinesc condiţiile şi doresc să se încadreze sau să presteze muncă în România.



    Autorizaţia de muncă este documentul oficial care dă dreptul cetăţenilor unor state din afara Uniunii Europene şi Spaţiului Economic European să desfăşoare activităţi lucrative în ţara noastră. Solicitarea pentru eliberarea unei astfel de autorizaţii şi actele necesare sunt înaintate Inspectoratului General pentru Imigrări de către angajator, persoană fizică sau juridică.



    Să notăm că numărul de autorizaţii de muncă emise în România pentru lucrătorii străini s-a redus de peste 8,3 ori, în perioada 2009 – 2013, de la circa 15.000, în 2009, când economia ţării cunoştea un avans fără precedent, la aproximativ 1.900, în 2013, potrivit datelor statistice ale Inspectoratului General pentru Imigrări.



    În ultimii doi ani, cei mai mulţi lucrători străini au venit din Turcia, China, Filipine, Serbia, Sri Lanka, Republica Moldova, Coreea de Sud, Statele Unite ale Americii şi Siria. În privinţa calificărilor solicitate pe piaţa muncii din România în 2013 pe primul loc s-au situat fotbaliştii profesionişti, în număr de 140, urmaţi de guvernante, 99, apoi de curăţătorese, ingineri proiectanţi de sisteme şi calculatoare şi sudori.



    Autorizaţia de muncă este necesară pentru obţinerea vizei de lungă şedere pentru angajare în muncă. Autorizaţia poate fi eliberată şi cetăţenilor străini care provin din state cu care România are încheiate acorduri de desfiinţare a vizelor sau pentru care România a renunţat unilateral la obligativitatea vizelor, dar şi celor care beneficiază de drept de şedere temporară pentru reîntregirea familiei. Autorizaţia de muncă se mai acordă persoanelor care beneficiază de drept de şedere temporară în scop de studii şi solicită încadrarea pe baza unui contract individual de muncă cu timp parţial, respectiv cu program de cel mult 4 ore pe zi.



    Cetăţenii străini titulari ai dreptului de şedere permanentă pe teritoriul României pot fi încadraţi fără a fi necesară autorizaţia. De aceeaşi prevedere beneficiază şi cetăţenii străini care desfăşoară activităţi didactice sau ştiinţifice cu caracter temporar în instituţii de profil acreditate din România, pe baza unor acorduri bilaterale, dar şi cetăţenii străini care urmează să desfăşoare pe teritoriul României activităţi temporare solicitate de ministere sau alte instituţii publice.



    Pentru eliberarea unei autorizaţii de muncă trebuie achitată de către angajator o taxă de 200 de euro. Iar taxa pentru autorizaţiile de muncă pentru studenţi şi lucrătorii sezonieri este de 50 de euro.



    Inspectoratul General pentru Imigrări soluţionează cererile pentru eliberarea autorizaţiei de muncă în termen de 30 de zile de la data înregistrării acestora. În cazurile în care sunt necesare verificări suplimentare, termenul poate fi prelungit cu cel mult 15 zile.

  • A la Une de la presse roumaine 26.08.2014

    A la Une de la presse roumaine 26.08.2014

    Dernière ligne droite avant le sommet de lOTAN, qui sera accueilli par le Pays de Galles, les 4 et 5 septembre. Loccasion pour les journalistes roumains danalyser les enjeux de cette réunion tant attendue sur la toile de fond du conflit dans lest de lUkraine, de même que la position de la Roumanie dans ce tableau. Dans le reste de lactualité, à noter les difficultés du processus de libéralisation du marché roumain du gaz naturel ainsi quune nouvelle taxe et hausses de prix…


  • Informaţii pentru cetăţenii statelor UE

    Informaţii pentru cetăţenii statelor UE

    Potrivit cadrului legal, cetăţenii statelor Uniunii Europene, ai Spaţiului Economic European (Islanda, Liechtenstein şi Norvegia) şi ai Confederaţiei Elveţiene pot intra pe teritoriul României dacă prezintă documentul naţional de identitate, paşaportul sau un alt document eliberat pentru cetăţenii europeni, fără ca Poliţia română de Frontieră să aplice ştampila de intrare. În ceea ce priveşte rezidenţa în România, cetăţenii Uniunii Europene, precum şi membrii de familie care îi însoţesc, beneficiază de acest drept timp de cel mult 3 luni de la data intrării în ţară.



    Pentru obţinerea dreptului de rezidenţă pe o perioadă care depăşeşte 3 luni, cetăţenii europeni vor trebui să se înregistreze la structurile teritoriale ale Inspectoratului General pentru Imigrări, instituţie din subordinea Ministerului Afacerilor Interne. Ei vor primi un certificat de înregistrare, o carte de rezidenţă pentru membrii lor de familie sau o carte de rezidenţă permanentă atât pentru cetăţenii Uniunii, cât şi pentru membrii lor de familie.



    Certificatul de înregistrare va fi emis chiar în ziua depunerii cererii şi este valabil pentru o perioadă de până la 5 ani. Cartea de rezidenţă va fi emisă în cel mult 90 de zile de la data depunerii cererii, iar valabilitatea acesteia este de până la 5 ani de la data emiterii, dar nu mai mare decât perioada de rezidenţă a cetăţeanului Uniunii Europene al cărui membru de familie este solicitantul. Rezidenţa mai mare de 3 luni se acordă persoanelor care desfăşoară activităţi economice în România sau deţin mijloace de întreţinere şi asigurare de sănătate recunoscută în sistemul asigurărilor sociale din România, pentru respectivele persoane şi ceilalţi membri ai familiei.



    Vor mai putea beneficia de acest drept persoanele care se angajează pentru muncă în România, cele care sunt înscrise la o instituţie de învăţământ acreditată, cele care practică activităţi de voluntariat sau religioase. În ceea ce priveşte dreptul la rezidenţă permanentă, acesta se acordă cetăţenilor Uniunii Europene care au o rezidenţă continuă şi legală în România de cel puţin 5 ani, precum şi persoanelor care nu au cetăţenia Uniunii dar care au o rezidenţă continuă, de cel puţin 5 ani, în calitate de membri de familie ai unui cetăţean al Uniunii rezident sau rezident permanent în ţara noastră.



    Valabilitatea cărţii de rezidenţă permanentă este de 10 ani de la data emiterii, cu excepţia celor care sunt eliberate persoanelor cu vârsta de până la 14 ani, documente a căror valabilitate este de 5 ani de la data emiterii. Dreptul de rezidenţă permanentă poate fi pierdut în cazul unei absenţe de pe teritoriul României pentru o perioadă mai mare de 2 ani consecutivi.



    Taxele sunt de 7 lei noi (cca. 1,6 euro) reprezentând contravaloarea cărţii de rezidenţă, 5 lei (puţin peste 1 euro) — taxa extrajudiciară de timbru pentru eliberarea cărţii de rezidenţă şi 2 lei (aproape 50 de eurocenţi) taxa extrajudiciară de timbru pentru eliberarea unui certificat de înregistrare. Cetăţenii statelor Uniunii Europene pot beneficia de măsuri de protecţie socială din partea statului, în aceleaşi condiţii ca şi cetăţenii români. Totodată, nu au nevoie de permise pentru a munci în România.

  • 05.08.2014

    05.08.2014

    Partenariat – La Commission européenne a validé lAccord de Partenariat 2014-2020 avec la Roumanie, a fait savoir ce mardi le Ministère des Fonds européens dans un communiqué. Le document présente les manières dinvestir et dutiliser les fonds européens structurels dans les années à venir. Cest au printemps 2013 que Bucarest avait démarré les négociations en marge de cet accord. A lhorizon 2020, la Roumanie bénéficie denviron 43 milliards deuros de la part de lUE, dont plus de 22 milliards sont destinés à la politique de cohésion.



    Taux — Le Conseil d’administration de la Banque centrale roumaine a abaissé le taux directeur annuel de 3,5% à 3,25%. La Banque nationale a également décidé de maintenir à 12% le taux des réserves minimales obligatoires appliquées aux passifs en lei et à 16% le taux des réserves en devises, apprend-on par un communiqué de linstitution. La Banque centrale recommande également aux banques commerciales de ne pas diminuer les taux dintérêt pour les économies de la population, dune part, et de reprendre les activités de prêt, de lautre. A noter aussi que le taux dinflation a chuté, en juin 2014, jusquà 0,66% depuis la valeur de 0,94%, en mai, atteignant ainsi un minimum historique.



    Procès – Le procès en appel visant la privatisation de lInstitut de recherches alimentaires se poursuit à la Cour dappel de Bucarest. Les procureurs demandent des peines plus dures pour toutes les personnes inculpées, dont lhomme daffaires Dan Voiculescu, président dhonneur du Parti conservateur, membre de la coalition au pouvoir. Les magistrats avaient rejeté deux requêtes de récusation des juges formulées par les avocats, de même quune demande visant à auditionner comme témoins le président roumain, Traian Basescu, ainsi que les anciens ministres de lagriculture, Ilie Sârbu et Dacian Ciolos. En septembre dernier, le Tribunal de Bucarest avait condamné Dan Voiculescu à cinq ans de prison ferme dans cette affaire, dont le préjudice estimé se chiffre à quelque 60 millions deuros.



    Restrictions – Moscou a accusé la République de Moldova de ne pas avoir respecté les restrictions imposées aux exportations de fruits et de légumes vers la Russie, en livrant des produits ayant de faux documents. Selon les responsables russes, Chisinau aurait envoyé la marchandise avec des papiers justificatifs signés avant le 21 juillet, date à laquelle la Fédération avait interdit les importations de fruits et de légumes moldaves, en invoquant une violation des normes phytosanitaires, dont la contamination des produits avec des insectes nuisibles. Le deux juillet, Moscou avait également imposé des restrictions aux importations de viande transformée en République de Moldova, décision survenue le jour de la signature de lAccord dassociation à lUE. La situation difficile déterminée par les restrictions imposées par la Russie a amené les autorités moldaves à chercher des nouveaux marchés pour leurs légumes et fruits, notamment dans lUE.

  • A la Une de la presse roumaine 05.08.2014

    A la Une de la presse roumaine 05.08.2014

    Les quotidiens roumains évoquent un scandale de naturalisation roumano-moldave et annoncent également la fin des taxes douanières sur les fruits et légumes de la République de Moldova. Et puis, la Banque centrale de Bucarest nous encourage à dépenser plutôt qu’à épargner.


  • Jurnal românesc – 04.08.2014

    Jurnal românesc – 04.08.2014

    Scăderea taxelor consulare şi înfiinţarea unor infochioşcuri de unde românii aflaţi în străinătate să işi ia informaţiile de care au nevoie sunt priorităţi pe agenda ministrului delegat pentru românii de pretutindeni, Bogdan Stanoevici. Intr-un interviu pentru Radio Romania, Stanoevici a vorbit şi despre crearea unui fond de ajutoare a românilor de peste graniţe aflaţi în situaţii disperate. El i-a îndemnat pe concetăţenii din afara ţării să se gândească la ideea de a da câte un euro pe an în vederea înfiinţării unui fond de rezervă controlat de stat. Banii ar urma să fie folosiţi pentru repatrierea decedaţilor sau pentru situaţii de urgenţă.



    Româna este limba de origine cea mai întâlnită printre străinii rezidenţi în Italia, ea fiind indicată drept limbă maternă de 800 de mii de persoane ( aproape 22% din populaţia străină), scrie publicaţia din peninsulă Gazeta Românească. Pe locurile următoare se află araba, albaneza şi spaniola. Datele au fost publicate de Institutul Italian de Statistica, într-un raport privind diversitatea lingvistică a cetăţenilor străini.



    Ministerul de Externe de la Bucureşti a ridicat alerta de călătorie în Libia la nivel maxim, având în vedere evoluţia îngrijorătoare a situaţiei de securitate din această ţară. MAE recomandă ferm cetăţenilor români să evite orice fel de călătorie în Libia, iar celor care se află încă pe teritoriul libian să părăsească imediat acest stat. Ministerul informează, că pentru moment, Ambasada României de la Tripoli rămâne operaţională şi acordă asistenţă şi protecţie consulară cetăţenilor români aflaţi încă pe teritoriul Libiei.



    Tinerii întreprinzători au înfiinţat în primele şase luni ale anului 3.200 de firme (SRL-D) cu facilităţi de la stat, astfel că, de la lansarea programului, în 2011, numărul acestora se apropie de 14.300, potrivit Oficiul Naţional al Registrului Comerţului ( ONRC). Cele mai multe firme au fost înfiinţate în judeţul Cluj (1.925 SRL-D), Bucureştiul fiind pe locul doi cu 1.555 de firme. Potrivit datelor ONRC, noile afaceri au vizat domeniul întreţinerii şi reparării autovehiculelor,. cel al lucrărilor de construcţii a clădirilor rezidenţiale şi nerezidenţiale, restaurante şi transporturi rutiere de mărfuri.



    Obligaţiunile guvernamentale ale României sunt incluse, de la 1 august, în indicele global al celei mai mari bănci de investiţii din lume, JP Morgan. Potrivit unei analize făcute de Reuters, România este, după Polonia, al doilea stat din Estul emergent al UE inclus într-o categorie aparte, din care mai fac alte 12 ţări, între care Turcia, Brazilia şi Rusia. Experţii susţin că decizia JP Morgan ar putea ajuta România să-şi menţină costurile de împrumut la un nivel minim şi, de asemenea, să fie benefică pentru economia naţională, pe termen lung. Potrivit Reuters, în ultimele săptămâni, după ce JP Morgan a făcut publică decizia sa, cererea pentru obligaţiunile guvernamentale ale Romaniei a crescut, iar moneda nationala, leul, s-a intărit simţitor.



    Banca Naţională a României vrea să renoveze un conac din comuna Păuşeşti-Măglaşi, judeţul Vâlcea, care a aparţinut lui Mihail Oromolu, guvernator al Băncii centrale în perioada interbelică(1915-1916). Potrivit BNR,valoarea proiectului, care vizează consolidarea, refuncţionalizarea şi amenajarea Conacului, este estimată la circa 2,3 milioane euro. Lucrările vor fi contractate prin licitaţie restrânsă.Constructorii interesaţi de acest proiect pot depune ofertele sau cererile de participare până la 8 septembrie