Tag: technologie

  • NATO: Gefährden Investitionskürzungen die Schlagfertigkeit der Allianz?

    NATO: Gefährden Investitionskürzungen die Schlagfertigkeit der Allianz?

    Die Parlamentarische Versammlung der NATO hat bei einer Sitzung in Bukarest unlängst einen interessanten Bericht vorgelegt. Berichterstatter war der US-Amerikaner Thomas Marino. In dem Dokument werden die östlichen Gro‎ßmächte Russland und China mit den NATO-Mitgliedsstaaten verglichen. Dabei wird vor dem gerade dahinschwindenden technologischen Fortschritt des Militärbündnisses gewarnt. In den Bereichen Wissenschaft und Technologie würden gro‎ße Veränderungen eintreten und aktuelle Tendenzen könnten das strategische Gleichgewicht beeinträchtigen: kurzfristig in Sachen Produktion und langfristig in Sachen künstliche Intelligenz. Laut Marino sei die NATO momentan nicht für die genannten Herausforderungen gewappnet.



    Ein Hauptgrund dafür seien die von so manchem Allianzmitglied gekürzten Investitionen in Bereichen wie der Forschung und Entwicklung in der Verteidigung. Im Gegenzug würden bei Russland und China die Zahlen Bände sprechen. Moskau hat die Forschungsausgaben des Militärs im Zeitraum 2012-2015 nahezu verdoppelt, während Peking bis 2022 mehr als Washington ausgeben wird. Die USA decken derzeit zwei Drittel der Gesamtausgaben der NATO.



    Doch warum sind diese Koordinaten wichtig? Eine mögliche Antwort könnte der Bericht des Politik-Ausschusses der Parlamentarischen Versammlung der NATO liefern. Darin wird erwähnt, dass Russland seine Militärkapazitäten an der Ostgrenze des Bündnisses stärkt und dabei Druck auf den gesamten euroatlantischen Raum ausübt. Rumäniens Delegationschef bei der Parlamentarischen Versammlung der NATO, Vergil Chitac, sprach im Interview mit Radio Rumänien über ein geostrategisches Gesamtbild der Region.



    Es ist wohl klar, dass nach der Krim-Annexion durch Russland 2014 unser geostrategischer Urlaub der letzten 25 Jahre nach dem Kalten Krieg bis heute ein Ende genommen hat. Russland ist heute ein Akteur, der — sagen wir mal — unzufrieden ist über seinen Stellenwert im Gefüge der Weltpolitik. Russland glaubt laut eigener These, dass Gro‎ßmächte in ihrem hegemonischen Einflussbereich ein Wort zu sagen haben müssen. Nach der Krim-Annexion hat es mehrere provokative Operationen gegen das Nordatlantische Bündnis gegeben — die Militarisierung der Krim ist eine Tatsache. Nach der Kaukasus-Übung 2016 sagte der russische Generalstabchef, General Gerassimow, und ich zitiere ungefähr aus meinem Gedächtnis, Folgendes: ‚Russland herrscht alleine über das gesamte Schwarzmeer-Becken und kann bei einer Mobilmachung im Starthafen jegliches Ziel in der Region zerstören.‘ Die Militarisierung der Krim hatte das folgende strategische Ziel: Der Militärkomplex und die Militärmacht der Krim sind eine Projektion der russischen Militärmacht östlich des Mittelmeers. Russland ist derzeit im Konfliktgebiet Syrien-Irak sehr aktiv und präsent. Doch über die Militarisierung der Krim hinaus, oder die Destabilisierung der Ukraine, die Provokationen durch Militärübungen — ist Russland auch auf dem Westbalkan aktiv. Moskau setzt alles daran, dass diese Länder nicht der EU beitreten. Es werden Darlehen geboten, Energieprojekte, antiwestliche Gefühle angefacht, vor allem in Serbien. Man darf diesen asymmetrischen Krieg nicht vergessen, die Propaganda, die Verbreitung von Falschnachrichten. Russland will hier nur die NATO untergraben und Europa teilen oder gar destrukturieren.“




    Die Sicherheit am Schwarzen Meer und die russische Bedrohung gehörten zu den am häufigsten erwähnten Themen in den Ansprachen der NATO-Sitzung in Bukarest. Generalsekretär Jens Stoltenberg dankte Rumänien für den Beitrag zur kollektiven Abwehr und erklärte dabei, dass die NATO ihre Versprechen einhält und sich den neuen Herausforderungen und Sicherheitslücken stellen möchte. Auf den russischen EDV-Krieg angesprochen, verwies Stoltenberg auf die Pressefreiheit, zu einem Zeitpunkt (wir zitieren) wo wir Ziel einiger Einmischungs- oder Desinformationsversuche von au‎ßen sind“.



    Man sei besorgt angesichts der gestärkten russischen Präsenz in den Grenzgebieten und der fehlenden Transparenz der Militärübungen in diesem Jahr, so der NATO-Generalsekretär. Das Militärbündnis wolle Russland aber nicht isolieren und strebe auch keinen neuen Kalten Krieg an, hie‎ß es noch. Auch Rumäniens Präsident Klaus Iohannis bezog sich auf die russische Bedrohung — er plädierte erneut zugunsten einer Festigung der Ostflanke der NATO. Gefestigt werden müsste auch die Nordatlantische Partnerschaft, aber auch jene der NATO mit der EU, vor dem Hintergrund des sich verschärfenden Sicherheitsumfeldes, so der rumänische Staatschef. Iohannis versicherte abschlie‎ßend, dass Rumänien nach wie vor ein vertrauenswürdiger Alliierter sein werde.

  • La radio, en pleine évolution numérique

    La radio, en pleine évolution numérique

    Cela fait déjà plus de dix ans que l’humanité assiste à un essor sans précédent des médias. Il suffit de penser à la télévision qui depuis quelques années déjà fait la promotion d’une nouvelle norme de qualité ou encore à Internet, considéré comme un outil d’information et de communication privilégié. Quant à la radio, malgré ses cent années d’existence, elle reste un moyen incontournable pour faire passer l’information véritable, tout en étant une source de sensibilisation et de divertissement de l’auditoire.

    Pourtant, à la différence d’autres secteurs, elle s’est mise plus difficilement au numérique. Par souci de gagner en qualité d’écoute et en simplicité d’utilisation, la radio a fini par élargir, elle aussi, ses moyens de diffusion. C’est ce qui explique sa présence sur Internet ou encore ses différents moyens de diffusion dont les plus importants sont: le DAB ou le Digital Audio Broadcasting qui a été lancé dans les années ’80 du XXe siècle afin de remplacer la radio analogique sur les ondes ultra-courtes; s’y ajoute le HD Radio – un système américain rétro-compatible avec les émissions actuelles en bande FM et le DRM qui est un standard mondial pour la diffusion numérique en ondes courtes, moyennes et longues, étant compatible avec les émissions en bande FM.

    Radio Roumanie Internationale figure parmi les premières stations à avoir adopté le système DRM. Présidente du Consortium DRM et ancienne journaliste d’expression roumaine à la BBC, Ruxandra Obreja passe en revue les principaux avantages et défis de ce type de diffusion: «Le DRM est un moyen censé effacer les perturbations sur les ondes courtes et moyennes afin d’offrir à notre ancien récepteur un standard de qualité proche de celui en bande FM. Il permet aussi de diffuser des contenus sonores ou textuels repris sur Internet, pour enrichir un contenu jusqu’alors audio. Pourquoi la Roumanie a-t-elle décidé d’adopter ce système? Et bien, il convient de préciser que les grands pays n’arrivent pas à mettre en place des milliers de petits émetteurs censés couvrir chaque localité. C’est pourquoi le DRM représente une solution. Or la Roumanie est un grand pays, le deuxième pays d’Europe de l’Est après la Pologne, ce qui fait que le seul moyen pour couvrir une étendue géographique aussi importante, en lui offrant un contenu numérique, de qualité, reste le DRM».

    Comment fait-on pour assurer un bon passage de l’analogique au numérique? A l’heure où l’on parle, seule la Norvège s’est donné comme délai 2017 pour éteindre sa radio analogique. Les autres pays prennent leur temps avant de basculer au tout-numérique. Ruxandra Obreja: «Il y en a qui se sont fixé comme objectif 2022 ou encore 2027. Il y en a qui envisagent un passage rapide et d’autres qui préfèrent une transition plus lente. Quelle que soit la situation, une chose est sûre et certaine: nous avons déjà un écosystème numérique. Du coup, il deviendra de plus en plus coûteux de préserver de petites oasis analogiques dans un contexte mondial numérique. Un émetteur est capable de couvrir tout un pays. Or, à l’heure où l’on parle, on est tous d’accord que la transmission terrestre reste le meilleur moyen de faire parvenir l’information auprès de tous les citoyens. Bien que le nombre de récepteurs DAB en Europe se monte à plusieurs millions, les pays du Vieux continent sont différents et chacun a sa propre vitesse de passage à ce nouveau système. En plus, le DAB s’avère efficace dans les grandes villes plutôt que dans les petites localités de province. Disons que même si à Varsovie il marche parfaitement, il suffit de se déplacer dans un village polonais ou dans une petite ville dotée de seulement deux stations locales de radio pour qu’il ne fonctionne plus.»

    Parmi les inconvénients de la radio en DRM, le plus important reste le coût élevé des récepteurs. Alors que le prix d’un récepteur DAB se monte à 20 euros, celui d’un poste de radio en DRM est 4, 5 fois plus élevé. Une des raisons serait la complexité de ces appareils. Ruxandra Obreja: « Les récepteurs DRM ont succédé à ceux en système DAB. Ils offrent une vision différente, puisqu’ils sont dotés de tous les standards. Il ne faut pas changer de récepteur à chaque fois que l’on change de standard. C’est pourquoi, nous, on a choisi cette solution. En plus, on vient de lancer sur le marché un nouveau modèle de récepteur DRM moins cher, qui ressemble à une tablette, permettant d’écouter aussi bien la radio analogique que numérique, quel que soit le standard».

    Pour promouvoir les postes de radio numérique, de plus en plus de constructeurs automobiles ont décidé d’équiper leurs modèles haut de gamme de récepteurs DAB. Quant au système DRM, il vient de faire son entrée sur le marché automobile. Ruxandra Obreja: «Les constructeurs automobiles font installer dans leurs voitures des autoradios compatibles avec le système en place dans le pays respectif. Si la Roumanie transmet en DRM, les voitures qui lui sont destinées seront équipées de récepteurs DRM. Plus intéressant encore est le fait que las de faire leur choix entre DRM et DAB, les grands producteurs automobiles ont fini par installer les deux».

    A l’heure où l’on parle, la radio numérique terrestre est fortement concurrencée par Internet accessible sur les ordinateurs, les tablettes ou encore les portables de dernière génération. Pourtant, Internet a ses propres limites d’ordre technologique, affirme Ruxandra Obreja, à la tête du Consortium DRM: « Internet permet un flux d’informations entre vous et moi. Donc, pour un bon fonctionnement, il faut assurer de nombreux flux de ce genre. Or, cette bande qui nous soutient tous est une ressource limitée qui s’épuise vite. Prenons un exemple: le programme radiophonique le plus prisé en Grande Bretagne est celui diffusé entre 6 et 8 heures du matin. On a fait un calcul pour voir ce qui se passerait si le même nombre d’auditeurs écoutait l’émission sur Internet. Hé bien, le réseau britannique serait en panne au bout de quelques minutes. D’ailleurs, l’écoute de la radio en ligne représente seulement 10% de l’écoute de la radio en général».

    L’évolution des technologies numériques peut toujours nous surprendre. Même si le rythme est plutôt lent, le passage de la radio au tout-numérique est une réalité sûre et certaine partout dans le monde.

  • Rumänische Forschung sorgt für Interesse bei der Weltausstellung in Astana

    Rumänische Forschung sorgt für Interesse bei der Weltausstellung in Astana

    Ende der letzten Woche feierte man auf Rumänisch bei der Weltausstellung in der kasachischen Hauptstadt Astana. Der Freitag war bei der internationalen Ausstellung ‚Expo 2017 Astana Future Energy Rumäien gewidmet; an den Veranstaltungen am rumänischen Pavillon beteiligten sich zahlreiche Gäste, Würdenträger und Besucher. Die Feierlichkeiten begannen mit dem Hissen der rumänischen Flagge und mit dem Spielen der Nationalhymne Rumäniens; danach gab es eine Volksmusik- und Tanzaufführung mit Mitgliedern der rumänischen Gemeinde aus der kasachischen Ortschaft Karaganda und ein Konzert des bekannten rumanischen Panflötenspielers Gheorghe Zamfir. Dazu die Direktorin des rumänischen Kulturinstituts, Liliana Ţuroiu:



    Ich bin sehr zufrieden mit den Kulturveranstaltungen am rumänischen Pavillion, und ich möchte eins hervorheben: Der moderne Kulturbegriff bezieht sich heutzutage nicht nur auf das künstlerische Schaffen oder auf die Geisteswissenschaften, sondern erstreckt sich auch über andere Bereiche, wie neue Technologien oder Naturwissenschaft. Die neuen Technologien ändern nicht nur unsere Gegenwart, sondern auch unsere Zukunft.



    Das Zentralelement des rumänischen Pavillons auf der internationalen Ausstellung ‚Expo 2017 Astana Future Energy ist das Projekt des leistungsstärksten Laser der Welt (kurz ELI), der im südrumänischen Măgurele bei Bukarest gebaut werden soll. Mit Hilfe von fünf Tabletcomputern, die am Laser-Modell angeschlossen wurden, konnte man den physischen Prozeß eines Laserstrahls simulieren. Viele Besucher waren von der modernen Technologie fasziniert; sie wollten das Lasermodell sehen und fragten auch nach Details über das Funktionieren des geplanten Lasers. Letzte Woche trafen sich auf der Weltausstellung in Astana Treffen rumänische Forscher mit ausländischen Fachleuten im Laserbereich; dabei diskutierten die Experten über eine zukünftige Zusammenarbeit im Rahmen des Laserprojekts in Măgurele. Der Direktor des Instituts für Nuklearphysik und Ingenieurwesen, Nicolae Zamfir:



    Der Hochleistungslaser ELI ist nicht nur ein rumänisches, sondern ein internationales Projekt. Daran werden sich Forscher aus der ganzen Welt beteiligen – das hoffen wir. Auf diese Weise wird die finanzielle Anstrengung Rumäniens die erwarteten Resultate erzielen.“



    Die Weltausstellung in Astana könnte ein erster Schritt zum Anziehen von Investitionen sein, die sich langfristig als profitabel erweisen könnten, meinte auch der Kommissar des rumänischen Pavillons, Mihai Dediu:



    “Die Weltausstellung in Astana ist keine Handelsmesse, aber ich bin fest davon überzeugt, dass wir Verträge abschließen werden, die sehr viel für die rumänischen Wirtschaft bedeuten.“



    Schließlich ist der rumänische Außenminister Teodor Melescanu der Meinung, die Präsenz Rumäniens in Astana bestätige das Potential unseres Landes im Energie-Bereich:



    Wir können Projekte präsentieren, die den aktuellen Stand übersteigen – und ich meine damit den Hochleistungslaser in Măgurele. Das ist wahrscheinlich der revolutionärste Vorschlag auf der ‚Expo 2017 Astana Future Energy.



    Die Weltausstellung in der kasachischen Hauptstadt wurde am 10. Juni eröffnet. Bis zum 10. September können die interessierten Besucher das Modell des geplanten Hochleistungslasers am rumänischen Pavillon besichtigen.

  • Les relations roumano-françaises sont examinées à Bucarest

    Les relations roumano-françaises sont examinées à Bucarest

    En 2008, le président français de l’époque, Nicolas Sarkozy, se rendait en visite de travail à Bucarest où il signait avec son homologue Traian Basescu un Partenariat stratégique entre la France et la Roumanie, le premier document de ce genre que Paris concluait avec un pays du sud-est de l’Europe. Puisque ce Partenariat est resté lettre morte pendant un moment, il a fallu aux deux parties signataires de faire preuve de volonté politique pour raviver une coopération historique excellente.

    Les assez récentes visites, à Paris, du chef de l’Etat roumain Klaus Iohannis et du premier ministre Dacian Ciolos ont ramené au premier plan le besoin de remettre sur de nouvelles bases le Partenariat stratégique. Huit années après la visite de son prédécesseur Nicolas Sarkozy, l’actuel chef de l’Elysée, François Hollande, effectue une visite d’Etat en Roumanie.

    A l’agenda, des pourparlers avec son homologue roumain Klaus Iohannis et avec le premier ministre Dacian Ciolos ; une visite au Centre de recherche de Magurele (dans la banlieue, de Bucarest) ; la participation à un forum économique dans la capitale roumaine ; et l’inauguration d’une fabrique d’hélicoptères Airbus à Ghimbav, près de Brasov, au centre de la Roumanie. Bucarest mise sur un renforcement des relations économiques bilatérales, Paris étant son quatrième partenaire commercial et cinquième investisseur. Le fait que la Roumanie est un des pays européens avec une forte croissance économique représente un bon potentiel d’investissement pour les PME françaises, par exemple, dans le secteur agro-industriel ou de l’énergie, mais aussi dans des secteurs de pointe, tels la construction du plus grand laser d’Europe, à Magurele.

    Les deux pays souhaitent aussi encourager la présence roumaine en France, notamment dans des domaines où la Roumanie est en train de gagner du poids. Le Partenariat stratégique roumano-français, affirmait le président Klaus Iohannis, à l’issue des pourparlers avec le président Hollande, est une priorité de premier rang pour la Roumanie et confirme la relation bilatérale privilégiée qui continuera à se consolider. A son tour, le président François Hollande a déclaré que la Roumanie voulait se développer, s’ouvrir vers l’Union européenne.

    Parlant de cette visite d’Etat française à Bucarest, le journal Les Echos remarquait le fait que Bucarest est l’allié le plus fidèle de Paris à l’Est de notre continent. Il était donc naturel qu’à l’approche du sommet européen de Bratislava, François Hollande cherche en Roumanie du soutien à son plan de renforcement de l’UE, après la décision du Royaume Uni de quitter le club communautaire. A la différence d’autres pays est-européens, écrit Les Echos, la Roumanie reste fidèle à l’esprit européen et aux engagements assumés. (Ileana Taroi)

  • Technologie française pour l’agriculture roumaine

    Technologie française pour l’agriculture roumaine

    Le très grand potentiel agricole de la Roumanie n’a plus besoin d’être souligné; c’était, auparavant, le grenier de l’Europe. Malheureusement, ce potentiel est loin d’être fructifié à 100%. Pour les agriculteurs, c’est la saison des travaux. Avec l’aide de la technologie, les cultures en serres et tunnels peuvent s’avérer de nouveau un pari gagnant pour ce pays.



  • Le Delta du Danube – application pour dispositifs mobiles

    Le Delta du Danube – application pour dispositifs mobiles

    Parmi toutes les destinations touristiques figurant sur la carte de la Roumanie, le delta du Danube est une des plus séduisantes — et des plus dangereuses pour quiconque voudrait s’y aventurer sans guide. Une application pour dispositifs mobiles offre dorénavant aux touristes un véritable manuel numérique du delta, qui livre à présent tous ses secrets en format électronique.



    Le manuel numérique du touriste arrivé dans le delta du Danube est une application informatique pour les dispositifs mobiles avec des informations utiles sur cette Réserve de la biosphère et permettant de se repérer sur le terrain en utilisant un tel dispositif.



    A quoi doit-on s’attendre en ouvrant l’application? Cristian Dinu, co-fondateur de la campagne Read Forward et un des créateurs du projet, explique:« En ouvrant l’application, les visiteurs découvrent un ample menu, comportant des images et des titres pour les zones importantes de l’application. Il s’agit de plusieurs sections que nous avons disposées dans l’ordre le plus pertinent pour les utilisateurs : itinéraire des bateaux, itinéraires de randonnées pédestres, trajets pour les randonnées en bateau ou à pied, la carte du Delta, ainsi que des sections contenant des informations touristiques sur le Delta. L’idée appartient aux membres l’Administration de la Réserve de la biosphère le delta du Danube. Ils ont vu des applications similaires dans d’autres pays et ont décidé que le delta du Danube devait en avoir une lui aussi. Nous sommes fiers d’avoir la plus belle application, du moins pour ce qui est de la partie consacrée au Danube ».



    Parmi les renseignements disponibles dans le Manuel Numérique du Touriste vous trouverez donc : la carte du delta, les trajets touristiques autorisés, dont, 15 trajets en bateau et 9 — terrestres, des informations sur les zones strictement protégées, ainsi que d’amples données sur la culture et l’histoire de la zone, des conseils de voyage, règles de visitation et photos.



    Il y a également une section «Urgences», contenant des informations utiles pour les touristes qui s’égarent des trajets traditionnels ou qui ont besoin d’aide. Cristian Dinu : « Le delta est un territoire très intéressant et très divers, où l’on peut se perdre facilement. Il faut s’y rendre en compagnie d’un guide. Il y a plein d’attractions, de nombreuses excursions possibles. Mais comme c’est une zone protégée, il y a beaucoup d’endroits interdits aux visiteurs afin de préserver la biodiversité. Nous avons donc mis en évidence tous ces trajets. Pratiquement, c’est comme si on avait sur soi un guide de plusieurs centaines de pages, mais que l’on portait dans sa poche, sur son portable ou sur sa tablette. Ce qui est beaucoup plus confortable. En plus, il est possible d’accéder à toutes les informations de l’application sans transfert de données, donc sans avoir besoin d’une connexion téléphonique, ni de réseau wi-fi. Une fois l’application téléchargée, l’information est stockée sur le portable, étant accessible à tout moment. C’est un aspect très important pour les touristes étrangers : vu que les tarifs de roaming sont assez élevés, les informations sont d’autant plus importantes pour eux. C’est pourquoi l’ensemble de la carte du delta du Danube est accessible partout hors ligne. En plus, tout y est localisé».



    Les touristes ont donc le choix entre un guide local et cette application. Cette dernière est-elle le meilleur choix ? Cristian Dinu répond : «Cette application est un guide local, mais elle a nombre d’avantages supplémentaires. Parmi eux : la localisation — c’est l’aspect le plus important à mon avis. Lorsque l’on regarde la carte du delta ou d’un certain trajet, notre présence est signalée par un point bleu, à précision de quelques mètres. Par exemple, si on est canot sur un canal, on peut voir si on se trouve sur le côté droit ou gauche. Cela permet d’organiser beaucoup mieux ses trajets. S’y ajoute la fonction d’aide d’urgence. Là, il ne s’agit pas forcément de soins médicaux d’urgence. Par exemple, au cas où on s’est égaré, on peut voir ses coordonnées à précision d’un demi-mètre, les envoyer à son hôte, à l’hôtel ou aux autorités locales et quelqu’un viendra vous chercher».



    L’application que nous vous avons présentée est disponible sur les systèmes d’exploitation IOS et Android. Les deux variantes sont faciles à télécharger des magasins officiels d’Apple et Google. Il faut tout simplement y rechercher les mots «Danube Delta». L’application est disponible en roumain et en anglais. Une fois téléchargée, aucune autre opération n’est plus nécessaire, on peut changer la langue d’utilisation à l’intérieur de l’application.



    Cristian Dinu raconte comment tout a démarré : «Avant de créer l’application, nous sommes partis à la découverte du delta sans aucun préparatif préalable. Nous avons voulu voir quelle était la situation sur le terrain, apprendre des choses à notre propre compte, des choses qui autrement n’auraient pas pu figurer dans l’application. Par exemple : le besoin d’un système de localisation pour les situations d’urgence. Nous avons constaté qu’il y a des zones ou des situations où l’on est complètement perdu sans l’aide d’un habitant de l’endroit. Cette première expérience nous a beaucoup aidés en ce sens. Puis, une fois l’application terminée, nous l’avons testée à Tulcea. Et ça marchait. Nous sommes revenus sur les mêmes lieux par la suite, pour constater à notre grande joie que les gens se servaient de notre application. Seul problème : elle ne les aidait pas à attraper du poisson».



    Voilà donc, tout ce que vous souhaitez savoir sur le delta du Danube pour le visiter est à retrouver en roumain et en anglais dans l’application « Danube Delta ». Le téléchargement est gratuit. Alors, rendez-vous au delta du Danube ! Bon voyage ! (Trad. Dominique, Valentina Beleavski)


  • Nachrichten 06.04.2014

    Nachrichten 06.04.2014

    Genf: Ein schweizeriches Unternehmen hat den gro‎ßen Preis der Genfer Erfindermesse für eine von rumänischen Forschern erschaffene Technologie erhalten. Laut einer Pressemitteilung des Bukarester Bildungsministeriums, sei die Technologie OnAirCamera im “Osteuropäsichen Zentrum für Fachübergreifende-Anwendbare Forschung”, geleitet vom rumänischen Forscher Mircea Tudor erschaffen worden. Tudor ist Gewinner der 2009 und 2013 Genfer Messe für Erfindungen. Die Technologie richtet sich an Smartphone-Nutzer und besteht aus einem Videokamerasystem, das die Bewegungen des Nutzers in verschiedenen Umgebungen folgen, erkennen, anordnen und sie schnell in einem individuell gestalteten Film zusammenbauen kann.





    Der Film wird dem Nutzer augenblicklich gesendet. Die rumänischen Forscher und Erfinder wurden zudem auf der weltweit grö‎ßten Fachmesse mit 17 Sonderpreisen, 18 Gold-, 8 Silber- und 4 Bronzemedaillen ausgezeichnet. Alle 30 Projekte, die Rumänien auf der Internationalen Messe für Erfindungen präsentierte, wurden mit Preisen geehrt. 726 Erfindungen aus 45 Ländern wurden insgesamt auf der Genfer Messe gezeigt.






    Bukarest: In Bukarest und sechzig Städten in Rumänien und Ausland finden Proteste gegen die Förderung von Schiefergas durch Fracking statt. Laut einer Pressemitteilung von Umweltschutz-Nichtregierungsorganisationen, fordern die Protestler vom Parlament und der Exekutive, die Anwendung der Fracking-Technologie bei Förderung vom Schiefergas gesetzlich zu verbieten und die Regierungsbeschlüsse über die Zulassung von Fracking bei Schiefergas-Gewinnung aufzuheben. In den letzten Monaten kam es im Osten des Landes, wo der amerikanische Energieriese Chevron die Erlaubnis zur Erkundung von Schiefergasvorkommen von den rumänischen Behörden bekommen hatte, zu gewaltsamen Ausschreitungen zwischen der Gendarmerie und Umweltaktivisten.





    Gegner der umstrittenen Fracking-Technologie warnen vor unvermeidlichen Gefahren. Die giftigen Stöffe könnten Boden und Grundwasser kontaminieren und das Verfahren könnte Erdbeben verursachen. Die Bukarester Behörden vertreten hingegen die Ansicht dass die Schiefergasgewinnung zur Energieunabhängigkeit Rumäniens erheblich beitragen könnte und sprechen von mutma‎ßlichen Gruppeninteressen, die hinter den Protesten stecken würden.






    Bukarest: Am 6. April wird in Rumänien das NATO-Jubiläum gefeiert. In allen rumänischen Ortschaften wo es Militärstützpunkte gibt, werden aus diesem feierlichen Anlass Veranstaltungen organisiert. Beim Bukarester Verteidigungsministerium findet der Tag der Offenen Tür statt. Das NATO-Jubiläum wird in Rumänien seit 2005 im ersten Aprilsonntag gefeiert. Die Nordatlantische Vertragsorganisation wurde vor 65 Jahren gegründet. Rumänien ist NATO-Mitglied seit 2004.