Tag: UE

  • 31.01.2013

    31.01.2013


    Rapport – L’Ambassade des Etats-Unis à Bucarest apprécie le rapport de la Commission européenne sur les progrès de la justice en Roumanie et encourage les autorités de Bucarest à mettre en place toutes les recommandations. L’Ambassade des Etats-Unis partage les inquiétudes liées au non respect de certaines décisions prises dans le système judiciaire roumain.






    Conseil – Réunis ce jeudi à Bruxelles, dans le cadre du Conseil Affaires étrangères de l’UE, les ministres européens des Affaires étrangeres ont donné jeudi leur feu vert au lancement dune mission de lUE destinée à aider la Libye à mieux contrôler ses frontières, un enjeu jugé prioritaire dans le contexte tendu dans la région. Lobjectif de la mission européenne vise à former des personnels chargés du contrôle des frontières terrestres, maritimes et aériennes, et de renforcer les services généraux à Tripoli. A l’agenda de la réunion de Bruxelles figurent les évolutions en Syrie, Egypte, au Mali et en Somalie ainsi que la relation entre l’UE et les Etats-Unis. La Roumanie y est représentée par son chef de la diplomatie, Titus Corlatean. En marge du Conseil Affaires étrangères, il doit aussi participer à la rencontre du Groupe des amis de l’Ukraine.






    Energie – Le premier ministre roumain, Victor Ponta et la ministre roumaine de l’Environnement, Rovana Plumb, participent ce jeudi à Vienne, à une réunion consacrée à l’énergie. Une occasion pour le chef de l’exécutif de Bucarest de présenter la position de son cabinet à ce sujet, avec un accent particulier sur l’énergie verte. Pour sa part, la ministre roumaine de l’Environnement s’attardera sur le rôle des régions dans la mise en place de nouvelles solutions en matière d’énergie. Lors de ses entretiens mercredi avec le chancelier autrichien, Werner Faymann, le premier ministre roumain a affirmé vouloir garder vif l’intérêt des compagnies et des banques autrichiennes pour l’économie roumaine. Victor Ponta a également remercié Vienne pour son soutien à l’entrée de la Roumanie dans l’espace Schengen.






    Economie – Près de 90 mille sociétés enregistrées en Roumanie ont déclaré leur insolvabilité depuis le déclenchement de la crise en 2008, a fait savoir ce jeudi le l’Office national du Registre du Commerce. Selon lui, il s’agit de 9% des près d’un million de compagnies actives en Roumanie, à la fin 2012. Parmi les secteurs les plus touchés on retrouve le commerce, la distribution, les transports, le bâtiment et l’industrie de transformation. Par ailleurs, les sociétés nouvellement créées s’orientent notamment vers le commerce, l’agriculture, la sylviculture et la pêche, indiquent les données de l’Office national du Registre du Commerce.






    Enseignement — En Roumanie, la classe préparatoire demeure obligatoire à partir de l’âge de 6 ans et peut être organisée dans les écoles ou dans les maternelles. Le Ministère de l’Education de Bucarest a précisé que la décision sur l’établissement qui accueillera cette classe prendrait en compte le nombre de salles disponibles et l’option des parents. Seuls des instituteurs qualifiés pour le primaire pourront enseigner dans les classes préparatoires. Près de 200 mille enfants âgés de 6 ans devraient être inscrits cet automne dans les classes préparatoires. Les enfants qui vont à l’école maternelle qui auront déjà atteint l’âge de 7 ans, au mois de septembre, peuvent être inscrits directement à l’école; il s’agit d’une exception concernant seulement l’année 2013.






    Art – Les artistes visuels roumains Lia et Dan Perjovschi et un chef d’orchestre allemand sont les gagnants de la 5e édition du Prix « La princesse Margriet » accordé par la Fondation Culturelle européenne. Les époux Perjovschi ont été récompensés pour leur rôle actif dans la construction d’une communauté culturelle en Roumanie et pour la portée européenne de leur art. La cérémonie de remise des prix aura lieu le 19 mars, à Bruxelles, en présence de la princesse Margriet, des Pays Bas.

  • Marşarierul – o nouă viteză a integrării europene


    În urmă cu destui ani, integrarea europeană funcţiona atât de bine că fruntaşii ei se gândeau cum să ajungă şi mai departe pe acest drum, fără să îi mai aştepte pe ezitanţi, sceptici sau estici. A fost lansată ideea Europei cu mai multe viteze, în care codaşii nu mai sunt aşteptaţi — poate nici ajutaţi — iar cei care vor şi pot să adâncească procesul, să îl ducă pe noi culmi de cooperare, să nu fie limitaţi de mecanisme sau politici comunitare. În acest entuziasm integrator şi comunitar, s-a observat, dar cu titlu amuzament, că Uniunea Europeană nu are proceduri pentru situaţia în care cineva vrea să iasă pur şi simplu din această organizaţie. Desigur, cine şi-ar fi dorit aşa ceva, când participă la un proces ce constituie un model de succes de convieţuire şi dezvoltare?


    În vremuri mai recente, conglomeratul european a cunoscut fenomene ce nu păreau posibile înainte de declanşarea americană a crizei, în 2008. Uniunea Europeană ar fi trebuit să fie ocolită de efectele evoluţiilor de dincolo de Atlantic dar, trăgând prea devreme o linie de bilanţ, a fost foarte afectată de criza ce s-a dovedit a fi mondială, până la urmă. Grecia a devenit un caz, un fenomen intern al Uniunii Europene ale cărui implicaţii continentale încă nu le observăm pe de-a întregul. Şi criza pe tărâm european nu se limitează la contemporana Eladă şi nici măcar la limesul mediteranean. Să se fii transformat criza americană din 2008 într-o complicaţie pur europeană, cu cauze şi efecte din UE? Altfel spus, termenul de negativă, care se aplică la creştere pentru a masca o scădere, poate fi alăturat şi integrării pentru a desemna posibilele intenţii de a nu mai participa la idealurile comunitare, un fel de dez-integrare. Marea Britanie s-a alăturat târziu Comunităţilor europene, şi asta după ce a încercat să construască o alternativă, Asociaţia Europeană a Liberului Schimb.


    În aceste zile se împlinesc chiar patru decenii de la aderarea la organizaţia europeană a trei ţări, Marea Britanie, Irlanda şi Danemarca, ce păreau hotărâte să se limiteze la liber schimb, fără interes pentru piaţa comună sau, Doamne fereşte, moneda comună. Când euro a devenit realitate, Danemarca şi Irlanda s-au alăturat acestei evoluţii excepţionale, în timp ce Marea Britanie şi-a continuat drumul aparte. Declaraţiile recente ale premierului guvernului Reginei şi a altor responsabili de la Londra nu ar trebui să uimească. Pe de o parte, este dreptul fiecărui stat membru să se exprime asupra oricărui aspect al vieţii comunitare, inclusiv să decidă separarea drumurilor, iar pe de altă parte, criza europeană şi efectele ei pare să dea dreptate Londrei în politica sa de opinie separată ori de câte ori are ocazia. Dacă ameninţarea cu referendumul britanic în problema apartenenţei la Uniunea Europeană este o idee populistă, veche şi neinspirată, în rest, orice măsură de maximizare a efectelor pozitive ale acestei apartenenţe merită o atenţie detaliată. Dintr-o dezbatere pe adevăruri rostite cu voce răspicată se câştigă mereu mai mult decât dintr-o atitudine inertă, de care oricum Marea Britanie nu a dat dovadă. Poate că asistăm la naşterea unei noi viteze a integrării europene, cea a marşarierului, a mersului înapoi, de întoarcere de pe drumuri care nu se dovedesc a fi cele mai bune opţiuni. Nu întotdeauna scepticismul înseamnă refuz sau negaţie, poate reprezenta şi dorinţa unei evoluţii altfel decât am fi crezut cu toţii că este bine.

  • La semaine du 14 au 20 janvier

    La semaine du 14 au 20 janvier


    Une délégation conjointe FMI-l’UE-Banque Mondiale se trouve à Bucarest pour une nouvelle mission d’évaluation


    Les experts du FMI, de l’UE et de la Banque Mondiale sont à Bucarest jusqu’au 29 janvier pour une nouvelle mission d’évaluation de l’accord préventif estimé à environ 5 milliards d’euros, conclu avec la Roumanie au printemps 2011. C’est la première visite en Roumanie des bailleurs de fonds après le scrutin législatif de décembre et la constitution du nouveau gouvernement de centre-droit dirigé par le premier ministre Victor Ponta. A l’agenda des réunions figurent les récentes évolutions de l’économie roumaine, le projet du budget 2013, les politiques monétaires menées par la Banque centrale et la manière dont le système bancaire peut résister aux éventuels chocs provenant de l’extérieur.


    Les négociations s’annoncent difficiles, étant donné que Bucarest se confronte à certains retards, notamment pour ce qui est de la privatisation de grandes entreprises d’Etat et la restructuration efficace des dépenses dans le secteur sanitaire. Les autorités roumaines souhaitent obtenir un délai de quelques mois afin de respecter les engagements assumés dans le cadre de cet accord. Les représentants du cabinet de Bucarest parleront aux bailleurs de fonds sur l’impact de certaines mesures comme la majoration du SMIC de 155 euros à 177 euros et la réduction de la TVA appliquée aux produits alimentaires de base.


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    Recommandations de la Banque Mondiale pour la Roumanie


    La Roumanie doit continuer les réformes structurelles, sans se hâter d’adopter l’euro avant de réaliser une convergence réelle avec les économies européennes. Cette recommandation vient de la part du directeur de la Banque Mondiale pour la Roumanie, François Rantrua, qui l’a émise au cours d’une conférence de presse donnée à Bucarest. Et M. Rantrua d’ajouter que la BM avait remarqué les bons résultats enregistrés dernièrement par la Roumanie dans la réduction du déficit budgétaire, le contrôle de l’inflation et l’augmentation de ses exportations ; le responsable de la BM a cependant attiré l’attention que la reprise économique a besoin d’investissements, notamment dans les transports et le secteur énergétique.


    La Roumanie doit relever d’autres défis aussi : rééquilibrer le budget de la Sécurité sociale, réformer le secteur des soins de santé, introduire l’efficience dans l’activité des entreprises à capital d’Etat, améliorer la collecte des recettes au budget de l’Etat, accroître le taux d’absorption des fonds européens.


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    Débats autour du financement du système roumain de santé


    Réformer le système national de santé est une priorité du gouvernement de Bucarest ; la preuve — le projet de budget pour 2013 prévoit une majoration de 30% des fonds alloués à ce secteur. Le ministre de tutelle, Eugen Nicolăescu, a annoncé plusieurs mesures en ce sens, dont la suspension des fonds de la CNAM pour les hôpitaux privés ou encore l’abandon de la gestion des établissements hospitaliers départementaux par les pouvoirs locaux.


    Le mécontentement exprimé par les directions des hôpitaux et par la population ont déterminé le ministre à faire d’autres précisions. Il a fait savoir qu’une décision serait prise au moment de l’approbation, par le gouvernement, du contrat-cadre sur 2013 destiné à ce secteur. Pour ce qui est de l’éventuel conflit d’intérêts qui pourrait frapper les médecins travaillant en même temps dans les secteurs public et privé, le ministre Eugen Nicolăescu a déclaré qu’aucune décision n’avait été prise.


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    La Roumanie réagit à la crise du Mali et à la prise d’otages en Algérie


    La communauté internationale connaît une nouvelle crise, cette fois-ci au Mali, pays confronté à une amplification des actions des groupes terroristes qui risquent de s’étendre et de déstabiliser toute la région. Une réunion extraordinaire provoquée par cette crise a eu lieu aussi à Bruxelles, où les ministres des Affaires étrangères de l’UE ont décidé de créer une mission de formation et de réorganisation de l’armée malienne, dont le mandat s’étendra sur 15 mois. La mission des 200 instructeurs militaires et 250 agents de sécurité sera de former les forces du gouvernement de Bamako pour lutter contre les groupes rebelles islamistes.


    Le ministre roumain des Affaires étrangères, Titus Corlăţean, a affirmé que la Roumanie pourrait participer à la mission militaire européenne au Mali. Le responsable roumain a fermement condamné les actions des groupes terroristes du Mali et a transmis un message soutenant la décision de la France d’intervenir avec des forces armées pour rétablir l’ordre.


    Par ailleurs, Bucarest a confirmé que la Roumanie figure parmi les pays dont les ressortissants ont été pris en otage en Algérie par un groupement affilié à Al-Qaïda en représailles à l’intervention aérienne et terrestre des militaires français contre les bastions islamistes du Mali. Le ministère roumain des Affaires étrangères a annoncé la constitution d’une cellule de crise chargée de la prise d’otages en Algérie. (aut. : Andreea Bojoi ; trad. : Ileana Taroi, Alex Diaconescu)

  • 25.01.2013

    25.01.2013


    Sommet – Le président de la Roumanie, Traian Băsescu, entame une visite en Amérique du Sud, la première en tant que chef de l’Etat. Jusqu’au 28 janvier, il prendra part aux travaux du sommet UE – Communauté des Etats latino-américains et Caraïbes (CELAC), organisé à Santiago du Chili. La réunion sera dominée par les relations économiques bilatérales, vu que l’UE est le plus grand investisseur dans la région. Le sommet UE — CELAC a lieu une fois tous les deux ans, alternativement en Europe et en Amérique latine et fait partie du mécanisme de dialogue et de coopération entre les plus de 60 pays des 2 régions partenaires. Le chef de l’Etat se rendra ensuite à Lima, pour y rencontrer son homologue péruvien, Ollanta Moises Humala Tasso. Le président Basescu, qui rentrera au pays le 30 janvier, sera accompagné par le ministre des Affaires étrangères, Titus Corlăţean.






    Intempéries – Sept comtés de l’est de la Roumanie sont placés en vigilance orange aux précipitations abondantes et au blizzard. Il neige abondamment, et les rafales de vent dépassent les 70 km-h. Pour 14 autres départements du nord, de l’est et du sud-est, une alerte jaune de mauvais temps est en vigueur. Dans l’est du pays, 11 routes nationales sont bloquées ou fermées en raison du blizzard qui sévir ces dernières heures. Dans le sud-est, 30 localités demeurent dépourvues d’électricité. Dans quelques-unes, les cours scolaires ont été suspendus. Sur le reste du territoire, le ciel est plutôt nuageux. Par endroits, des précipitations mixtes sont signalées sur l’ouest et des pluies sur le sud-est.






    Cinéma – Le long métrage « Au-delà des collines », du réalisateur roumain Cristian Mungiu, est le grand gagnant du gala Best Film Fest de Bucarest, où les meilleures productions cinématographiques roumaines de l’année dernière ont été primées. Cristian Mungiu a été désigné meilleur réalisateur, étant suivi, dans la même catégorie, par Radu Jude (pour son film « Tout le monde de notre famille ») et Tudor Giurgiu (« Des escargots et des hommes»). Ce dernier réalisateur s’est également vu accorder le prix pour le film susmentionné, le film roumain ayant le plus grand succès auprès du public. « Au-delà des collines » a reçu l’année dernière deux prix à Cannes, pour le scénario (signé Cristian Mungiu) et l’interprétation féminine (Cristina Flutur et Cosmina Stratan).

  • Des Roumains, victimes du terrorisme en Algérie

    Des Roumains, victimes du terrorisme en Algérie


    Les corps sans vie des deux Roumains morts pendant la crise des otages en Algérie ont été rapatriés à bord d’un avion militaire. Ils faisaient partie de ces dizaines de travailleurs étrangers tués sur un grand site d’exploitation du gaz naturel dans le sud-est de l’Algérie. Environ 700 salariés algériens et une centaine d’étrangers, dont trois Roumains, ont réussi à s’en sortir seuls ou sauvés par l’armée algérienne. A ce sujet, le président roumain Traian Băsescu a déclaré que le terrorisme se trouvait désormais à la frontière sud de l’UE, soulignant que les autorités roumaines ne pouvaient pas laisser passer les événements d’Algérie sans en fournir une réponse. Celle-ci sera livrée à coup sûr après l’évaluation de cette crise.


    Traian Băsescu: « Les événements dAlgérie ont confirmé une fois de plus que les groupes terroristes forts sont capables de tuer nos citoyens, ce qui nous amène à nous poser la question suivante : comment défendons-nous nos citoyens? Nous ne pouvons pas laisser derrière nous les événements dAlgérie sans nous poser cette question. Quand ils partent travailler avec nos compagnies en terre étrangère, ils sen vont avec le sentiment que leur Etat les défendra. »


    A son tour, le premier ministre Victor Ponta a affirmé navoir rien à reprocher à la cellule de crise constituée à Bucarest pour secourir les otages roumains dAlgérie. Il a évité de parler de la manière dont léchange dinformations avec la partie algérienne sétait déroulé. Victor Ponta : « Selon moi, la cellule de crise a fait son devoir. Pour le reste, ce qui sest passé sur place ne tient pas des autorités roumaines, ni de nos partenaires européens. Lintervention a appartenu aux autorités algériennes. »


    Après laudition du chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlăţean, par les commissions parlementaires de politique étrangère, leurs membres ont également estimé que la cellule de crise avait rempli sa mission. LeMAE de Bucarest a exprimé son mécontentement à l’égard du manque de coopération de la part dAlger dans la crise des otages. Le ministre Titus Corlăţean a précisé que Bucarest déplorait les défaillances dinformation au sujet du deuxième ressortissant roumain décédé à lhôpital. Lambassadeur algérien en Roumanie, Habib Hamraoui, a infirmé lerreur de communication de la part des autorités de son pays dans le cas des otages roumains : « Larmée a été obligée à intervenir au moment opportun pour libérer les personnes algériennes et étrangères, pour quil ny ait pas de précédent dans les négociations avec les terroristes. Je présente les condoléances et la position claire de lAlgérie. Pas de négociations avec les terroristes et une lutte implacable contre le terrorisme. »


    Lattaque terroriste contre le site algérien dexploitation du gaz a été revendiquée par un groupe lié à la nébuleuse Al-Qaïda, qui la présentée comme des représailles contre loffensive militaire française sur les bastions islamistes du Mali voisin.

  • 24.01.2013

    24.01.2013


    Union – Plusieurs manifestations culturelles, militaires et religieuses sont organisées ce jeudi en Roumanie pour marquer le 154e anniversaire de l’Union des principautés roumaines de Moldavie et de Valachie. Le 24 janvier 1859, une semaine après son élection à la tête de la Moldavie, Alexandru Ioan Cuza était proclamé prince régnant de Valachie et, par voie de conséquence, des Principautés Unies. Grâce aux réformes radicales, le règne de Cuza (1859-1866) allait jeter les fondements institutionnels de la Roumanie moderne.



    Budget – En Roumanie, les projets de loi du budget d’Etat et de la Sécurité sociale pour 2013, sont soumis ce jeudi aux débats du Parlement, après leur adoption mercredi par le gouvernement. Les députés et les sénateurs peuvent déposer des amendements à ces projets jusqu’à samedi. Lundi, le document sera envoyé aux commissions spécialisées, les débats au plénum des deux Chambres réunies étant prévu le 5 février. Le projet de budget est fondé sur une inflation annuelle moyenne de 4,3%, un taux de change moyen de 4,5 lei pour un euro et un déficit budgétaire de 2,1% du PIB.



    Privatisation – Le Conseil d’Administration des Usines chimiques Oltchim Râmnicu Vâlcea, dans le sud de la Roumanie, se prononce ce jeudi sur la proposition du Ministère de l’Economie de déclarer l’insolvabilité comme solution de redressement. Régler la situation des Usines Oltchim figure parmi les objectifs que la Roumanie doit remplir afin d’inspirer plus de confiance au FMI. La privatisation d’Oltchim a échoué après une tentative de vendre le paquet d’actions majoritaire à un homme d’affaires roumain controversé. Oltchim, une des usines chimiques les plus importantes en Europe de l’Est, a accumulé ces dernières années des pertes de quelques centaines de millions d’euros.



    Réunion – Le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlatean, participe vendredi à Santiago du Chili à la réunion ministérielle UE – La Communauté dÉtats latino-américains et des Caraïbes – (CELAC). Titus Corlatean doit prendre part samedi et dimanche, au 7e sommet UE — CELAC. Placée sous la devise «Œuvrer ensemble au développement et à la stabilité », la réunion de vendredi donne l’occasion aux participants de mettre au point le texte de la déclaration commune du sommet. Le document sera adopté par les chefs d’Etat et de gouvernement et définira un plan d’actions communes pour les deux prochaines années. Le ministre roumain des Affaires étrangères doit également prononcer une allocution et aura des entretiens avec ses homologues d’Amérique Latine et d’Europe.



    Informatique – Les autorités judiciaires américaines ont inculpé un Roumain, un Russe et un Letton pour avoir infecté plus d’un million d’ordinateurs à travers le monde, dont certains appartenant à la NASA. Selon l’accusation, les prévenus utilisaient des virus pour entrer dans des comptes en banque en ligne. Les dégâts provoqués aux Etats–Unis et en Europe se montent, selon les premières informations, à des dizaines de millions de dollars.

  • A la Une de la presse roumaine du 22.01.2013

    A la Une de la presse roumaine du 22.01.2013


    La place de la Roumanie en Europe et dans le monde, de même que l’approche du pays en matière de politique extérieure intéresse notamment la presse écrite bucarestoise du jour. JURNALUL NATIONAL analyse la rencontre lundi du président roumain, Traian Basescu, avec les ambassadeurs en poste à Bucarest. L’occasion d’évoquer une fois de plus le dossier sans solution depuis deux ans — « l’accès (de la Roumanie) à l’espace Schengen, bloqué pour des raisons politiques », selon le journal qui cite le chef de l’Etat. Ce dernier a d’ailleurs « appelé les Européens à revenir à une approche technique du dossier ». Bucarest espère que la demande d’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l’espace sans passeport soit examinée par le Conseil Justice et Affaire intérieures de l’UE, en mars prochain. Si l’organisme donne son feu vert, « les frontières maritimes et aériennes feront partie de Schengen à compter du dernier dimanche du mois de mars, tandis que les frontières terrestres y seront intégrées vers la fin de l’année », lit-on encore dans JURNALUL NATIONAL.


    ADEVARUL regarde, lui, un peu plus loin que l’Europe et s’interroge « ce que l’armée roumaine fait au Mali ». Le journal publie un entretien avec le colonel de réserve Ion Petrescu, militaire qui a fait ses preuves dans de nombreuses missions internationales, dont en Afghanistan. L’homme estime que « la Roumanie a ‘le devoir moral’ de participer aux opérations, prouvant sa solidarité avec les autres Etats membres de l’UE et de l’OTAN ». Il exclut pourtant que « les militaires roumains participent directement aux combats et affirme que la Roumanie y dépêchera vraisemblablement des spécialistes qui aident à la formation » des militaires maliens.


    L’encre ne cesse de couler également à propos de la crise des otages d’In Amenas, lors de laquelle une quarantaine de ressortissants étrangers ont perdu la vie, dont deux Roumains. ROMANIA LIBERA voudrait savoir « qui est le coupable pour l’échec du sauvetage des deux otages roumains » et témoigne d’un « échange de répliques sans ménagements » entre Bucarest et Alger. Le ministère roumain des Affaires étrangères avait mis en cause ses homologues algériens pour leur « mauvaise communication ». « Il n’y a pas eu d’erreur de communication de la part de l’Algérie. (…) Notre position est claire — pas de négociations avec les terroristes. Nous n’avons rien à nous reprocher », a réagi l’ambassadeur algérien Habib Hamraoui.


    Au-delà des controverses, « le massacre du désert », comme l’appelle ADEVARUL, met sur la table de nouvelles cartes que devra gérer la diplomatie roumaine. Dans son éditorial, ADEVARUL estime que le ministère spécialisé devra s’adapter à une nouvelle donne, « l’émigration des Roumains, devenue un phénomène de masse depuis 10 ou 15 ans ». Alors que, selon les estimations, un « dixième de la population vit au-delà des frontières du pays », la diplomatie devra apprendre à les approcher d’une manière efficace et concrète et laisser de côté les discours « lacrymogènes-patriotiques ». « Nous vivons dans un monde où, si au cœur du Sahara quelque chose se passe mal, il est très possible que des Roumains aient besoin de l’assistance de Bucarest », conclut ADEVARUL.

  • Eveniment Top – 19.01.2013

    Unâ delegaţii deadun ali FMI, UE şi BM easti Bucureşti tu unâ nauâ misiuni di evaluari





    Experţâl’ii FMI, UE şi ali Bancâ Mondialâ s-aflâ Bucuresti, pânâ pi 29 di Yinaru, tu unâ nauâ misiuni di evaluari a acordului di turlii preventivâ di vârâ 5 miliardi di euro, faptu achicâseari cu România tu primuvearea al 2011. Easti prota vizitâ a finanţatorilor internaţionali dupu alidzerli leghislativi dit andreu şi adrarea a năului guvernu di ţentru stânga cumânadisit di premierlu Victor Ponta. Va s-hibâ fapti isapi evoluţiili di tora ayoniea ali icunumii româneascâ, proiectul di buget pi 2013, politiţli monetari promovati di Banca Naţionalâ şi turlia tu cari sistemlu bancar easti îndreptu s-facâ faţâ a niscântor şocuri externi. “Pâzâripserli s-spun greali avânda tu videari că Bucureştiul ari îndauâ restanti, armâneri nâpoi, maxus mutrinda privatizarea a mărilor companii di stat, eficientizarea a hărgilor ditru sectorlu sanitar, plata a arieratelor. Autorităţili române vor un chiro di îndoi meşi ti tin’isearea a angajamentilor luati tu cadrul a acordului. Reprezentanţâl’ii a executivlui va s-zburascâ cu finanţatorl’ii internaţionali di oportunitatea şi impactul a niscântor meatri pi cari guvernul şi-anunţâ intenţia s-li bagâ tu practico, cum suntu crişterea a salariului minim pi icunumii di la 700 di lei (155 euro) la 800 di lei (177 euro) icâ n’icşurarea TVA la produsili agroalimentari di bazâ.





    Recomandări ali Bancâ Mondialâ ti Românii





    România lipseşti s-ducâ ninti reformili structurali şi s-nu ayuniseascâ s-treacâ la moneda euro, pânâ nu agiundzi la unâ convergenţâ dealihea cu icunumiili europeani. Recomandarea fu faptâ di directorlu ti Romania ali Bancâ Mondialâ, Francois Rantrua, la unâ conferinţâ pi temi icunumiţi îndreaptâ Bucureşti. El dzâsi că BM alâvdă rezultatili buni ali Românii tu aţel dit soni chiro mutrinda n’icşurarea a defiţitului bugetar, controlul ali inflaţii şi lişoara crişteari a exporturior, ama trapsi atentia că ti unâ crişteari icunumicâ lipsescu investitiili, maxus tu transporturi şi energhii. Alti provocări ti România sunt stabilizarea disnău a bughetului a asigurărilor soţiali, reforma a sectorlui di sânâtati, eficientizarea a activităţlor a întreprindirilor cu capital di stat, adrarea cama bunâ a adunarâl’ei di pâradz la bughetlu di stat, ama şi criştearea ali ratâ di luari a fondurilor europeani.



    Moaubeţ mutrinda finanţarea a sistemului di sânâtati dit Românii



    Reformarea a sistemlui di sânâtati dit Românii easti şi ti guvernul di tora un prot lucru ti mutreari, dovadâ că tu proeictul di bughet pi 2013 aestâ domeni ari pruvidzutâ unâ crişteari a fondurilor di pâradz di vârâ 30 di proţenti. Ministrul di resortu, Eugen Nicolăescu, hâbârisi îndauâ meatri, cum suntu dânâsearea ali finanţari di la stat ti spitalili privati şi scuaterea a spitalilor giudeţeani dit cumândisearea a autorităţilor locali. Reacţia di nimulţan’isiri a reprezentanţâlor a spitalilor şi a pacienţilor lu adrarâ pi ministrul s-toarnâ cu năi precizări. El spusi câ reprezentanţâl’ii a Ministerului şi aţei a spitalilor privati va s-ahurheascâ moaubeţli stâmâna yinitoari şi că unâ apofasi mutrinda limitarea a finanţârl’ei a lor va s-hibâ luatâ maşi unâoarâ cu apruchiearea tu guvernu a contractului-cadru pi 2013. Nicolaescu ninga dzâsi că nu fu luatâ unâ apofasi niţi tu ţi mutreaşti yeaţârl’ii ţi lucreadzâ tu sistemlu public, ama niţi şi tu aţel privat, dupu ţi MS avea câftatâ ca dubla calitati di angajat a personalului medical s-hibâ faptâ isapi ahât dit perspectiva a unâ niachicâseari di interes, cât şi ti furn’iea câ s-racoleadzâ pacienţâl’ii ditru serviţiili publiţi tu ufilisirea a unităţilor privati.



    România reactioneadzâ la criza dit Mali şi a ostaticilor xen’i dit Algeria viţinâ



    Comunitatea internaţionalâ s-alumtâ cu unâ nauâ crizâ, tu Mali, ahurhitâ di unâ adrari cama mari a actiun’ilor a grupărilor teroristă tu aestâ vâsâlii vest-africanâ, crizâ ţi s-poati s-extindâ şi s-destabilizeadzâ reghiunea. Unâ andamusi extraordinarâ determinatâ di aestâ crizâ avu loc Bruxelles, iu capii a diplomaţiilor a vâsâliilor UE apruchiarâ unâ misiuni ti adrarea şi îndridzearea a armatâl’ei dit Mali, faptâ dit 200 di instructori militari şi 250 di aghenţâ di securitati, misiuni cu un mandat di 15 meşi. Şeflu ali diplomaţii di Bucuresti, Titus Corlăţean, dzâsi că România s-poati s-l’ia parti la aestâ misiuni. El nu apruchie ici acţiun’ili a grupărilor teroristi dit Mali şi pitricu un zbor di îndrupari a apofasâl’ei ali Franţâ ta s-intervinâ militar ti dânâsirea a lor şi bâgarea disnău ali ordini. Pi di altă parti, Bucurestiul confirmă câ România s-aflâ prin vâsâliili cu cetăţen’i luaţ ostatici tu Algeria viţinâ di unâ grupari afiliatâ la Al-Qaida ca represalii la intervenţia aerianâ şi terestrâ a militarilor francezi contra a bastioanilor islamisti dit Mali. MAE hâbârisi adrarea ali unâ celulâ di crizâ tu ţi mutreaşti aesti arâchiri.



    Armâneaşti: Cristina Mina


  • A la Une de la presse roumaine du 18.01.2013

    A la Une de la presse roumaine du 18.01.2013


    Le ministre roumain de la Santé a suscité un tollé voici quelques jours, quand il a annoncé son intention de couper les fonds de la Caisse nationale d’assurances maladie qui étaient jusqu’ici alloués aux hôpitaux privés. Depuis, journalistes et analystes ne cessent de débattre ce problème. Le ministre « Nicolăescu a changé d’avis : les hôpitaux privés continueront d’être financés », annonce Adevărul, mais le financement se fera différemment à partir du 1er mars. Jurnalul naţional fait valoir le droit de celui qui paye de choisir où il veut se faire soigner — à l’Etat ou au privé. Evenimentul zilei signale, lui, une « Directive européenne qui arrête « la nationalisation de la Santé ». Selon cette directive, tout Roumain assuré aura le droit, à partir d’octobre prochain, de se faire soigner dans un hôpital de l’Union européenne, qu’il soit privé ou d’Etat. Et le remboursement se fera conformément aux grilles de Roumanie. Dans ce cas, les hôpitaux privés de Roumanie auxquels les fonds seraient coupés seraient sujets à discrimination.


    C’est l’hiver, une saison où différentes maladies sévissent, donc il s’agit de protéger son immunité. Elle figure bien dans les pages des grands quotidiens bucarestois, mais c’est l’immunité parlementaire. România liberă a appris « comment les parlementaires veulent protéger leur immunité ». Non, il ne s’agit pas de se faire vacciner contre la grippe. Selon une nouvelle initiative législative, « s’ils veulent demander à retenir, arrêter ou perquisitionner un parlementaire, les procureurs devraient montrer aux élus tant le fondement légal et les raisons concrètes que les preuves sur lesquelles leur demande repose. » Cela s’ils souhaitent que les parlementaires votent en faveur de la levée de l’immunité parlementaire d’un collègue. Evenimentul zilei conclut que les élus « souhaitent se tenir le plus à l’écart possible de la justice. Par les modifications proposées, «le Parlement devient une cour de justice », lit-on dans Adevărul. Oui, renchérit Evenimentul zilei, « mais sans passer par des études de spécialité ».


    Procureur ou juge à la tête du Conseil supérieur de la magistrature ? C’est, en Roumanie, le sujet d’une vive polémique après qu’une femme procureur ait accédé pour la première fois à la tête du Conseil, suite à un vote démocratique. Ceci a créé un « scandale national », comme l’appelle Jurnalul naţional. « Un pays dépourvu de procureurs est un pays de hors-la-loi », rétorque România liberă dans son édito. « L’institution du Procureur est soumise ces jours-ci à une attaque concertée de la part des institutions politiques et des médias favorables au Pouvoir en place laquelle, si elle aura du succès, soumettra la justice pénale aux intérêts des groupes criminels, habillés (ou pas) dans des vêtements politiques ». Jurnalul naţional trouve à redire que Oana Schmidt Hăineală ait visité Bruxelles tout de suite après sa nomination. Et aussi qu’elle y a rencontré un personnage dont elle n’aurait même connu pas le nom ni les fonctions. « Jusqu’à quelle bassesse la lutte pour le CSM descendra-t-elle ? » se demande România liberă dans un autre article. Seul l’avenir nous le dira.

  • Europa, în continuare sub semnul sărăciei


    “Toate progresele făcute în materie de şomaj au dispărut odată cu criza economică” – se arată într-un raport recent prezentat de comisarul pentru muncă şi afaceri sociale László Andor. Documentul relevă că 2012 a fost un an foarte dificil pentru Europa, nivelul şomajului atingând cote nemaiîntâlnite în ultimii aproape 20 de ani, iar situaţia socială fiind în continuă degradare. Statisticile arată că aproape 19 milioane de persoane nu au un loc de muncă în zona euro. Veniturile familiilor au scăzut şi, în aceste condiţii, riscul de sărăcie şi de excluziune socială a crescut în mod constant. Cele mai afectate categorii sociale sunt tinerii, femeile şomere şi mamele singure. Dacă înainte de criză, şomajul în UE era de 7,1%, în prezent acesta are o medie de aproximativ 11%, existând diferenţe mari între statele zonei euro din nord şi cele din sud.




    Analistul economic Constantin Rudniţchi: În ultimii patru ani, deci din 2008 încoace, în Europa s-au pierdut aproximativ cinci milioane de locuri de muncă – este o cifră care arată situaţia foarte complicată care este pe această piaţă. Multe ţări din Europa îşi propun să găsească soluţii de scădere a sarcinii fiscale pentru un loc de muncă – spre exemplu, în Europa, pe medie, sarcina fiscală asupra unui loc de muncă este undeva la 40% din totalul venitului care este încasat de un salariat, în Statele Unite este de 30%, iar în Japonia şi Canada undeva spre o zonă de tot la acelaşi nivel, de 30%. Aşadar, toate ţările europene, inclusiv România, îşi propun să-şi scadă sarcina fiscală pe un loc de muncă. Din păcate însă, foarte puţine state au reuşit acest lucru.”




    Una din cinci gospodării din Bulgaria, Cipru, Grecia, Ungaria, Letonia şi România au probleme, în condiţiile în care datele arată că veniturile au scăzut considerabil în aproape jumătate din statele membre ale Uniunii Europene. Există însă şi ţări, precum cele nordice, Germania, Polonia sau Franţa, în care veniturile au înregistrat creşteri — toate acestea fiind state cu sisteme de asistenţă socială puternice şi pieţe ale forţei de muncă mai rezistente. Criza economică, responsabilă de eliminarea ajutoarelor sociale pentru milioane de persoane, contribuie la adâncirea diferenţei între statele bogate şi cele sărace ale Uniunii Europene. “Majoritatea sistemelor de ajutoare sociale şi-au pierdut capacitatea de a proteja bugetele familiale de efectele crizei”, aminteşte Laszlo Andor, potrivit căruia o îmbunătăţire a sistemelor de beneficii sociale “poate creşte rezistenţa în faţa şocului economic şi facilita o ieşire mai rapidă din criză”. Pentru o ieşire mai rapidă din criză îşi continuă eforturile şi decidenţii europeni, crearea unei uniuni monetare mai eficiente numărându-se între măsurile de soluţionare.




    Recent, însă, premierul britanic David Cameron a avertizat că va bloca modificarea tratatului Uniunii Europene pentru crearea acestei uniuni dacă partenerii comunitari nu acceptă şi schimbările cerute de Marea Britanie pentru un parteneriat mai lejer al ţării cu UE. “Ce se întâmplă acum în Europa este o schimbare majoră. Ţările din zona euro trebuie să se schimbe pentru ca moneda să funcţioneze. Trebuie să se integreze mai mult. Nu există în lume o uniune monetară care să nu aibă o uniune bancară sau fiscală. Această schimbare implică o modificare a naturii organizaţiei, astfel că suntem îndreptăţiţi să cerem unele schimbări şi pentru noi”, a spus Cameron. Marea Britanie poate respinge prin veto modificările necesare pentru supravegherea bancară şi a deficitelor, pentru că orice schimbare în tratat necesită sprijinul tuturor membrilor UE. Surse europene au declarat, pe de altă parte, că nu este sigur că va fi necesară modificarea tratatului, dar chiar şi aşa, dacă Marea Britanie se va opune, există soluţia acordurilor interguvernamentale. Disensiunile de acest gen readuc în actualitate discuţii vechi. Din nou, Constantin Rudniţchi: Există în rândul europenilor o dilemă care planează în acest an, şi anume mai multă sau mai puţină Europă? Cam aşa se vorbeşte, să spunem, în cancelariile europene şi nu numai, uneori chiar şi în rândul cetăţenilor simpli pentru că Europa vrând-nevrând se află la o răscruce. În mod normal, valorile şi logica constituirii UE este cea a integrării UE mai puternice, deci mai multă Europă, adică o piaţă unică, pentru că vorbim, iată, despre situaţia din Marea Britanie, deci, piaţă unică însemnând o liberă circulaţie a bunurilor şi serviciilor, a capitalului şi a forţei de muncă, dar în acelaşi timp, criza a făcut ca o serie întreagă de state sau chiar de regiuni să aibă şi, hai să spunem, opinii divergente vizavi de ideea de mai multă Europă şi sunt o serie întreagă de amendamente. Cel mai celebru este acest adult teribil al UE numit Marea Britanie care desigur nu face parte nici din Pactul Fiscal, care are o serie întreagă de observaţii la toate sau mă rog, la iniţiativele Europei legate de integrarea mai puternică.”

  • 14.01.2013

    14.01.2013


    FMI – Une délégation du FMI et de l’UE viendra en Roumanie le 15 janvier pour une mission d’évaluation de 2 semaines — c’est le premier test pour le gouvernement de Victor Ponta (de centre-gauche). Les dernières évolutions économiques, le projet de loi du budget pour 2013, des progrès dans le domaine des réformes structurelles et des politiques monétaires figurent à l’agenda. La Roumanie a conclu au printemps 2009 un accord avec le FMI et l’UE, concernant un crédit de 20 millions d’euros, s’engageant à mettre en œuvre des mesures dures d’austérité. 2 années plus tard, Bucarest a signé un nouvel accord de type préventif pour un crédit mixte de 5 millions d’euros environ. Récemment, le premier ministre Victor Ponta a annoncé avoir en vue la conclusion d’un nouvel accord.


    PE – Le Parlement Européen a repris aujourd’hui son activité à Strasbourg, se réunissant en une session plénière dominée par les priorités et le programme de la présidence irlandaise. Les discussions porteront également sur des sujets visant le système financier — bancaire et les dettes des Etats membres. Par ailleurs, les euro parlementaires sont invités à élaborer un rapport d’évaluation des résultats de la présidence chypriote de l’UE qui vient de prendre fin. Les eurodéputés examineront aussi des aspects portant sur le renforcement des échanges commerciaux entre l’UE et les Etats-Unis.


    Météo – Le temps se réchauffe en Roumanie, notamment dans l’ouest du territoire et à la montagne. Le ciel demeure couvert sur le sud et l’est du pays et des pluies sont attendues dans le sud, le sud-ouest et le nord du pays. Les maxima du jour vont de –5 à 8 degrés