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  • Le budget d’Etat 2017

    Construit sur une prévision de croissance de 5,2% d’un PIB de 181 milliards d’euros, sur un déficit public inférieur à 3% et sur une hypothèse d’inflation moyenne annuelle de 1,4%, le budget d’Etat 2017, récemment adopté par le Parlement de Bucarest, suscite de vifs débats.

    Dans une interview à Radio Roumanie, l’analyste économique, Aurelian Dochia affirmait: « Dans ses prévisions, la Commission européenne table sur un taux de croissance de 4,4%. Un rythme alerte pour l’Europe, on est bien d’accord, mais qui se trouve pourtant en dessous des prévisions avancées par le gouvernement de Bucarest et des chiffres autour desquels se construit le budget voté par notre Parlement. Du coup, une question s’impose: comment la Roumanie pourra-t-elle clôturer l’année économique 2017, vu qu’un rythme de croissance inférieur à celui prévu par le gouvernement impliquera automatiquement des recettes budgétaires inférieures à celles attendues? Concrètement, à la fin de l’année, le pays pourrait afficher soit une hausse du déficit- aspect prévu déjà par Bruxelles, soit des économies sur les dépenses. Voilà. On risque donc, cette année aussi, de voir les investissements sacrifiés et encore, cela ne suffirait pas pour résoudre la situation. Je n’entrevois aucune solution pour réduire les dépenses sur les salaires, les retraites ou la sécu, ce qui fait que le taux de déficit dépasse le plus probablement les 3% d’ici la fin de l’année. »

    Des prévisions plutôt pessimistes que partage l’analyste économique Radu Sovianu. A son avis, le scénario de croissance économique sur lequel repose le budget est surréaliste : « Personnellement, j’ai eu la curiosité de jeter un coup d’œil sur les prévisions pour 2017 avancées par la Commission nationale chargée de la Prévision et, rien qu’à voir de quoi se nourrit cette croissance économique de 5,2% stipulée par le gouvernement, je me permets de la qualifier de beaucoup trop optimiste. Rien qu’un exemple: selon les prévisions de ladite commission, on s’attend à ce que la contribution de l’industrie à la croissance économique soit deux fois plus élevée en 2017 qu’en 2016. D’où cette idée? Qu’est-ce que l’industrie roumaine a-t-elle fait de notable pour que la production ait une contribution de 50% supérieure à celle de l’année précédente? »

    En réplique, le premier ministre Sorin Grindeanu affirme que son gouvernement s’attend à une relance des investissements: « Les prévisions de dépenses d’investissements se montent à 4,8% du PIB, soit 0,9 points de pourcentage de plus qu’en 2016. On a majoré les enveloppes budgétaires destinées à plusieurs ministères tels celui de la Défense, qui s’est vu alloué 2% du PIB ou encore celui de l’Education nationale – 2,2%, le Ministère de la Santé auquel on a accordé une majoration budgétaire de 18%, la Sécu qui a reçu de 10,3% de plus qu’en 2016, l’Agriculture qui s’est vu allouée une enveloppe de 83,2% supérieure à la précédente ou encore les Transports, 60,5% de plus qu’en 2016. »

    Le nouveau budget d’Etat prévoit également une majoration salariale de 15% dans le système sanitaire et dans l’éducation, une révision à la hausse du point retraite à partir du 1 juillet, la majoration du salaire minimum et du minimum retraite, la finalisation de 90 kilomètres d’autoroute, la fin des travaux de modernisation de 272 kilomètres de routes nationales, la signature de contrats pour la construction de 2500 maternelles et 2000 établissements scolaires.

    De l’avis du député social-démocrate, Leonardo Badea, les prévisions budgétaires témoigne d’une confiance accrue en l’économie roumaine. En plus, dit-il, les nouvelles mesures gouvernementales encourageront la consommation. D’ailleurs, l’actuelle construction budgétaire repose sur la majoration des revenus de la population, sur la hausse des investissements dans l’infrastructure et la baisse des taxes.

    Leonardo Badea: « Le budget, tel qu’il se présente actuellement, prône un virage vers la prospérité dans la vie des Roumains. Il est d’ailleurs le plus important indicateur de la justesse des politiques publiques assumées. Cette vision s’appuie sur des mécanismes fondés sur l’impact des majorations salariales sur la demande, à travers la consommation. Il faudrait que la Roumanie abandonne un modèle économique fondé principalement sur la main d’œuvre bon marché, pour adopter celui privilégiant la main d’œuvre qualifiée. »

    En réplique, le sénateur libéral Florin Câțu a annoncé que son parti a rejeté l’actuel projet de budget car il reposerait sur des chiffres faux: « Tel qu’il a été conçu par le Parti Social-Démocrate (PSD), l’actuel budget n’est pas capable d’assurer la croissance économique du pays. Il ne va pas offrir plus d’argent aux Roumains, il poussera le déficit budgétaire au-dessus de la barre fixée et ne permettra la moindre évolution économique du pays en fin d’année. Le PSD nous présente un budget susceptible de contenter la clientèle politique et de rassurer les non avisés. »

    A la fin, rappelons que selon les données de l’Institut national de la statistique, la croissance économique de la Roumanie a été de 4,8% du PIB, en 2016. (Trad. Ioana Stancescu)

  • Gespräch mit Tudor Aaron Istodor, „Shooting Star“-Preisträger bei Berlinale 2017

    Gespräch mit Tudor Aaron Istodor, „Shooting Star“-Preisträger bei Berlinale 2017

    Der rumänische Schauspieler Tudor Aaron Istodor ist einer der Gewinner der auf der Berlinale vergebenen Auszeichnungen Shooting Stars 2017“. Istodor könne sehr natürlich jedwede Rolle spielen, begründete die Jury auf der 67. Auflage der Internationalen Filmfestspiele Berlin die Preisverleihung. Schon während seiner Studienzeit hat der junge Schauspieler mit bekannten Regisseuren wie Lucian Pintilie, Radu Muntean und Paul Negoescu zusammengearbeitet. Zudem spielte er in drei Filmen von Fanny Ardant und im Film Fräulein Christina“ von Alexandru Maftei. Er spielte auch die Rolle von Edward II. in der BBC-Serie The Plantagenets“ und spielt öfters auf der Bühne des Theater-Cafés Godot und des Jüdischen Staatstheaters in Bukarest.



    Die Rolle im Film Fixeur“ von Adrian Sitaru brachte ihm die Shooting Stars“-Auszeichnung 2017. Die Premiere war Ende Januar. Der Film erzählt die Geschichte von Radu, Praktikant im Bukarester Büro der Nachrichtenagentur AFP. Dieser träumt davon, Journalist zu werden. Tudor Aaron Istodor sagte uns, was ihn dazu bewegt hat, die Rolle zu akzeptieren, und wie die Zusammenarbeit mit dem Regisseur Adrian Sitaru war:



    Das Drehbuch hat mir riesig gefallen. Alle Filme von Adrian Sitaru haben mir gefallen, deshalb wünschte ich mir, in einem seiner Filme zu spielen. Seine Filme sind voller Sensibilität, vielschichtig und lassen sich nicht gleich offenbaren. Auch alle Darsteller in den Filmen von Adrian Sitaru sind einzigartig. Wenn du einen solchen Film siehst, wünschst du dir, auch dort zu sein. Deshalb habe ich mich sehr gefreut, als ich zum Casting eingeladen wurde. Es ist ein sehr humaner Film, dessen Hauptgestalt ein Mittelmann ist, der die Treffen ausländischer Journalisten in seinem Land vermittelt. In diesem Fall handelt es sich um ein Team von französischen Journalisten, die ein Interview mit einer minderjährigen Prostituierten führen möchten. Die Zusammenarbeit mit Adrian Sitaru war fabelhaft. Er ist ein Regisseur, der die Darsteller liebt, ist offen gegenüber Improvisation, wei‎ß genau, was er sich wünscht; es ist eine Freude, mit ihm zu arbeiten.“




    Tudor Aaron Istodor meint, es sei gut, unterschiedliche Rollen in unterschiedlichen Stilen zu spielen. Er erzählte uns, wie er sich für seine Rolle im Film Fixeur“ vorbereitet hat:



    Er möchte Journalist werden, ist aber noch keiner. Er ist 30 Jahre alt, ist kein Junge mehr, aber auch noch kein gestandener Mann, er hat ein Alter erreicht, in dem man Fehler macht, aber auch das eigene Können beweisen möchte. Ich habe mit Hilfe des Ko-Drehbuchautors Adrian Silişteanu eine Recherche unternommen. Mit seiner Hilfe habe ich mehr über den Job der Hauptgestalt gelernt. Radu war für eine kurze Zeit Stringer. Darüber hinaus hat mich die menschliche Seite der Gestalt von Radu Pătru interessiert. Die zentrale Frage war, wie weit wir bereit sind, zu gehen, um unsere Ziele zu erreichen. Gewöhnlich handeln die gro‎ßartigen Filme und Texte vom Menschlichen und haben etwas Gemeinsames. Du kannst dich darin wiederfinden, dabei spielt dein Beruf oder die Kultur, aus der du stammst, keine Rolle.“




    Weil seine Eltern berühmte Darsteller sind — Maia Morgenstern und Claudiu Istodor — dachte Tudor Aaron Istodor in seiner Kindheit nicht daran, auch Schauspieler zu werden. Im Gegenteil, er konnte es kaum erwarten, dass die Proben der Eltern, die er oft dabei begleitete, enden, um nach Hause zu gehen. Mit der Zeit sah er aber ein, dass er dafür geschaffen ist:



    Ich mag es, meine Eltern zu den Uraufführungen einzuladen. Die erste Aufführung hat immer etwas Magisches in sich, auch wenn es nicht die beste ist. Du bist dir nicht ganz sicher, möchtest etwas zeigen und brauchst eine positive Energie. Und meine Eltern bringen eine solche Energie zu meinen Aufführungen, sie sind gute Zuschauer. Und deshalb lade ich sie zu meinen Uraufführungen ein, um da zu sein und mir zu sagen, wie sie es finden — ich vertraue ihnen sehr. Ich bin aufgeregt und hoffe, mein ganzes Leben aufgeregt zu bleiben, nicht nur bei den Uraufführungen, sondern bei allen Aufführungen. Wenn du schon alles wei‎ßt und überhaupt nicht mehr unsicher bist, kannst du nichts Neues entdecken.“




    Tudor Aaron Istodor ist der siebte rumänische Darsteller, der die Shooting Star“-Auszeichnung bekommt. Die bisherigen rumänischen Schauspieler, die mit der Auszeichnung für Nachwuchstalente geehrt wurden, waren Cosmina Stratan (2014), Ada Condeescu (2013), Ana Ularu (2012), Dragoş Bucur (2010), Anamaria Marinca (2008) und Maria Popistaşu (2007).

  • „Ana mon Amour“: Neuer Film von Călin Peter Netzer bei der Berlinale 2017

    „Ana mon Amour“: Neuer Film von Călin Peter Netzer bei der Berlinale 2017

    2013 wurde der rumänische Regisseur Călin Peter Netzer für sein Familiendrama Mutter & Sohn“ mit dem Goldenen Bären ausgezeichnet. In seinem neuen Werk untersucht er die Dynamik der wichtigsten Beziehungen im Laufe eines Menschenlebens. Ana, mon amour“ ist die Analyse einer Liebesgeschichte, ein untypischer Einblick in die kritischsten und zärtlichsten Momente in der Entwicklung eines Liebespaares. Das Drehbuch dazu schrieben Călin Peter Netzer, Cezar Paul Bădescu und Iulia Lumânare, als Grundlage diente Cezar Paul Bădescus Roman Luminiţa, mon amour“. Es sei allerdings Netzers Film, der lediglich von meinem Roman ausgegangen ist“, betont Bădescu. Wir fragten den Schriftsteller nach seinem ersten Eindruck nach der Vorführung des Films.



    Es ist seltsam, denn obwohl ich wusste, was in dem Film passiert, war ich nach der ersten Vorführung völlig von der Rolle. Es ist ja auch ein Film, der sich in den Zuschauer hineinarbeitet. Der Zuschauer wird eingeladen, sich zu erforschen, das eigene Sein zu erkunden und sehr, sehr tief zu graben. Der Film erzählt eine völlig andere Geschichte als der Roman. Der Regisseur Călin Peter Netzer hat einen anderen Ansatz gewählt, er hat versucht, etwas anderes zu verfolgen als ich im Roman. In der Tat ist die Ausgangsbasis dieselbe. Kurz zusammengefasst, handelt es sich um eine Liebesgeschichte mit einer Zutat, die daraus einen Sonderfall macht: eine Nervenkrankheit. Und diese Erkrankung, auch wenn sie eine leichte Form annimmt, wirkt sich auf die Beziehung zwischen den beiden aus. Das ist nicht eine Verfilmung des Romans, das Drehbuch und der Film haben lediglich meinen Roman als Ausgangspunkt. Als wir das Drehbuch schrieben, hat Călin Peter Netzer einige Szenen aus meinem Buch ausgewählt und die haben wir dann in ein Drehbuch verwandelt. Schlie‎ßlich haben wir daraus Geschichten gewoben, die sich aber nicht im Buch wiederfinden und vor allen Dingen Călins Geschichten sind.“




    Diana Cavallioti ist dem breiten Publikum für ihre Rolle im zweiten Teil des Spielfilms Erinnerungen aus dem goldenen Zeitalter“ und den Auftritten in den TV-Serien Einen Schritt nach vorne“ und Eine verrückte Woche“ bekannt. Zum ersten Mal arbeitete sie mit Călin Peter Netzer zusammen. Im Interview mit Radio Rumänien berichtete sie über ihre Erfahrung.



    Es war eine erschütternde Erfahrung. Ja, die Dreharbeiten haben lange gedauert, auch die Proben waren relativ lang, etwa drei Monate, und sie waren so intensiv, dass es am Ende bei mir Spuren hinterlassen hat. Ein halbes Jahr war ich mit »Ana, mon amour« beschäftigt, von morgens bis abends, sieben Tage die Woche. Eine solche Rolle zu konstruieren, bedeutet, dich in recht schwierige Situationen zu versetzen. Und vor allem die Art und Weise, in der ich mit dem Regisseur des Films, Călin Peter Netzer, gearbeitet und all die Dinge, die ich im Vorfeld für den Film gemacht habe, etwa, dass ich zur Psychotherapie gegangen bin. Das waren Dinge, die einen völlig aus der letzten, winzig kleinen Komfortzone rei‎ßen. Und ich glaube, dass es diesem Film gelungen ist, unseren ganzen Komfort zu erschüttern. Und das ist auch gut so.“




    Neben den Hauptdarstellern Diana Cavallioti und Mircea Postelnicu spielen in Ana, mon amour“ auch Adrian Titieni, Vlad Ivanov, Carmen Tănase, Vasile Muraru, Tania Popa und Igor Caras Romanov mit. Für Mircea Postelnicu war es aber die erste Hauptrolle in einem Spielfilm, wie er selbst berichtet.



    Ich konnte aus dieser Erfahrung nur Positives mitnehmen, vor allem das von Călin angeschnittene Thema und seine Herangehensweise waren entscheidend. Auch für mich waren es glückliche Begegnungen, mit Călin, mit Iulia, mit Diana, und auch mit dem Thema an sich. Für mich hat der Film sehr viel bedeutet und ich habe gemerkt, dass er einige Ventile geöffnet hat, die bei mir seit Langem geschlossen waren, hier meine ich den psychoanalytischen Teil der Geschichte. Würde ich die Geschichte zusammenfassen, würde ich sagen, dass es um eine etwas ungesunde und gar kranke Beziehung geht, denn sie basiert vor allem auf Projektionen, Gedanken, die sowohl von Ana als auch von Toma genährt werden, und damit eine völlig ungesunde Grundlage für ihre Beziehung schaffen. Es handelt sich um eine Art Erkundungsreise der beiden Hauptfiguren, die auf der Suche nach einem Gleichgewicht und der Rückbesinnung auf die Grundlage der Beziehung und die Wahrheit dahinter sind. Und diese Geschichte wird allmählich zu deiner eigenen Erkundungsreise, einer Suche in dir selbst. Es geht um eine Suche und eine Reise, auf die die beiden Charaktere geschickt werden, und über Wege, die jeder finden muss, um zu Antworten und einem Gleichgewicht zu finden.“




    Ana, mon amour“ ist Călin Peter Netzers vierter Spielfilm. Davor führte er bei drei anderen erfolgreichen Filmen Regie: Maria“ (2003), beim namhaften Filmfestival in Locarno ausgezeichnet, Die Ehrenmedaille“ (2009), ein Film, der den Silver Alexander in Thessaloniki gewann und eben Mutter & Sohn“, der den Rekord als grö‎ßter Box-Office-Erfolg der letzten 15 Jahre brach. Ana, mon amour“ ist eine Produktion von Parada Film in Zusammenarbeit mit der Augenschein Filmproduktion (Deutschland) und Sophie Dulac Productions (Frankreich).

  • Hörerpostsendung 12.2.2017

    Hörerpostsendung 12.2.2017

    Wie am letzten und vorletzten Sonntag angekündigt möchte ich heute die Zuschriften an die deutsche Redaktion anlässlich des Weltradiotags 2017 verlesen. Einige Beiträge habe ich aus Zeitgründen leicht kürzen müssen und ich bitte um Verständnis. Das diesjährige Motto des von der UNESCO ausgerufenen World Radio Day lautet Radio is You“ und folgende Gedanken sollten den Austausch der Radiomacher mit ihrer Hörerschaft anregen:



    Dieses Jahr konzentriert sich die UNESCO darauf, Radiosender in der ganzen Welt, egal ob Bürgerrundfunk, private Sender oder öffentlich-rechtliche Rundfunkstationen, zu ermutigen, sich mit den nötigen Mitteln zu rüsten, um die bestmöglichen Radiosender zu werden. Das hei‎ßt, sicherzustellen, dass es einen ständigen Dialog zwischen den Radiomachern, ihrer Hörerschaft und der Öffentlichkeit im Allgemeinen gibt. Wir möchten auch, dass die Radiosender die Bedingungen schaffen, die zu gro‎ßartigen Programmen führen — nebst Unterhaltung und Information müssen wir kreative Wege finden, um die Meinungsfreiheit zu fördern und uns mit den wichtigsten Fragen der Zeit in lokalen Gemeinschaften sowie auf der ganzen Welt auseinanderzusetzen.“



    Insgesamt sechs Beiträge erhielten wir, und beginnen möchte ich mit unserem jüngsten Hörer. Calvin Knott ist in Mittelfranken zu Hause, noch Schüler, ein leidenschaftlicher Elektronikbastler und DXer und ein eingefleischter Hörer unserer Programme. Folgendes schrieb er uns im Vorfeld des Weltradiotags:



    In der letzten Ausgabe des Funkbriefkastens wurde soeben der UNESCO-Weltradiotag 2017 angesprochen, und so schlecht finde ich die Frage nicht, auch wenn sie in Bezug zu RRI meinerseits nicht wirklich mit Verbesserungsvorschlägen zu beantworten ist, da — wie ich finde — RRI das bereits perfekt umsetzt! Programme wie der Funkbriefkasten oder der DX-Mailbag im englischsprachigen Programm perfektionieren das Ganze schon sehr! Auch, dass tatsächlich noch echte Hörerumfragen geführt werden, macht ein solches kommunikatives Prinzip der Meinungsfreiheit sehr gut vor. Ich denke, wohl kaum ein Rundfunksender in Deutschland hätte z.B. die Persönlichkeit des Jahres“-Umfrage nach der übertriebenen Trump-Hetze so ganz neutral ausgewertet. Ich schätze die neutrale Berichterstattung in Euren Sendungen sowieso, weswegen RRI mittlerweile so ziemlich zu meiner Hauptinformationsquelle geworden ist. Aber auch sonst bedeuten mir Eure Sendungen ziemlich viel und ich bin sehr froh, Euch weiterhin auf der Kurzwelle empfangen zu können. Ich kann also nur sagen: Vielen herzlichen Dank dafür!




    Auch Dir vielen herzlichen Dank für Deine Zeilen und für das Lob, lieber Calvin. Nur eine kleine Bemerkung: Trump-Bashing und Alarmismus haben wir in der Tat nicht betrieben und ich finde diese Art von Journalismus auch falsch. Aber kritisch muss man bleiben, zumal der mächtigste Mann der Welt nicht nur einmal gezeigt hat, wie egomanisch und unberechenbar er handeln kann. Dabei ist die Tatsache, dass dem US-Präsidenten der Atomkoffer zur Verfügung steht, Grund genug zur Sorge.



    Aus Deutschland geht es nun in die Schweiz zu unserem langjährigen Hörer Hans-Martin Friedrich. Herr Friedrich hat klare Vorstellungen, welche Aufgaben und Funktion Radiosender, insbesondere öffentlich-rechtliche Rundfunkanstalten, erfüllen sollen. Unter dem Motto Was Radio für mich bedeutet“ schickte er uns folgende Zeilen:



    Das Radio kann Distanzen mit Lichtgeschwindigkeit überwinden; schneller geht es nicht. Dadurch bietet sich au‎ßerdem die Möglichkeit, auch entfernte Gebiete eines Landes über die Ereignisse in den gro‎ßen Zentren ohne zeitliche Verzögerung zu informieren. Aber nicht nur das: Es ist auch für die Vermittlung von Kultur- und Bildungsgütern sehr gut geeignet, so dass auch die Bewohner ländlicher Gegenden eine Möglichkeit haben, durch das Radio an kulturellen Veranstaltungen, zu denen sie sonst wegen der gro‎ßen Entfernung keinen Zugang hätten, teilzunehmen, so dass das Gefälle zwischen Stadt und Land gemildert wird. Aber auch für die Bewohner von Städten ist es eine Möglichkeit, ein Konzert zu hören, das schon ausverkauft ist. Beim Radio gibt es keine überfüllten oder ausverkauften Säle, kein Gedränge auf dem Hin- und Rückweg, da die Kultur zu einem nach Hause kommt.



    Für jene, die im Ausland leben, ist es eine Möglichkeit, sich über die Ereignisse im Herkunftsland auf dem Laufenden zu halten und so die Verbindung nicht zu verlieren.



    Wir sollten daher dem Medium Radio Sorge tragen und es vor einer Kommerzialisierung und der Vereinnahmung durch Leute wie Berlusconi und andere Pressemagnaten schützen, indem wir Rahmenbedingungen schaffen, die dem entgegenwirken. In der Schweiz sind das öffentlich-rechtliche Radio und Fernsehen in regionalen Genossenschaften organisiert, wobei deren Genossenschafter ein Mitspracherecht haben, und von Zeit zu Zeit werden die Radiohörer auf diese Möglichkeit aufmerksam gemacht.




    Vielen Dank für Ihre Zeilen, lieber Herr Martin. Ich teile Ihre Sorge, gerade weil man in Zeiten der Fake News leider feststellen muss, dass das role model Berlusconi bei weitem nicht ausgedient hat. Ich könnte hier stundenlang darüber erzählen, wie politisch hörige TV-Sender und Nachrichtenportale durch Halbwahrheiten und Falschmeldungen die Gesellschaft hierzulande vergiften. Seriöse Medienmacher und kritische Medienkonsumenten sind hier mit einer ernsten Herausforderung konfrontiert.




    Aus der Schweiz geht es nun zurück nach Deutschland, und zwar nach Mannheim, wo unser Hörer Andreas Pawelczyk zu Hause ist. Herr Pawelczyk hegt ähnliche Gedanken wie sein Hörerkollege aus der Schweiz:



    Meiner Meinung nach sollten Radiosender, die auf Kurzwelle senden, auf keinen Fall Werbung für Unternehmen betreiben, weil man so von Werbegeldern abhängig wird und zudem die Glaubwürdigkeit des Radiosenders verloren geht. Des Weiteren sollten die Hörerecken erweitert werden, um mehr Hörer zu Wort kommen zu lassen. Dies schlie‎ßt auch ein, dass eventuell bei speziellen Sendungen Interviews mit Hörern eingeführt werden. Unbedingt muss man das ganze Spektrum der Meinungen zu Wort kommen lassen. Beim Schneiden von Hörerbeiträgen muss äu‎ßerst vorsichtig vorgegangen werden, damit sich nicht das Thema Zensur“ herumspricht und man auch nicht noch dadurch die Glaubwürdigkeit verliert. Man muss auch unbedingt regelmä‎ßig darauf hinweisen, dass es sich bei den Hörern um eine besondere Art von Wissensbürgern handelt. Auf alle Fälle muss auch das richtige Verhältnis zwischen Informationsbeschaffung von au‎ßen (Übernahme von Institutionen) und Selbstrecherche in den Redaktionen gefunden werden.



    Dem Boulevardniveau, also dem Sex and Crime“-Niveau müssen im Radio die Grenzen aufgezeigt werden. Zwar kann das Boulevardniveau die Zuhörerschaft steigern, aber leider auf Kosten des Niveaus. Es muss auch mehr Geld für Public Relations aufgegeben werden, um sich weiter mit Niveau bekannt zu halten. Inwieweit man dies kann, ist auch eine Kostensache.




    Vielen Dank für Ihre Zeilen, lieber Herr Pawelczyk. Nur ein paar Ergänzungen zu Ihren Gedanken: Wenn ein korrekter Journalist eine Audioaufzeichnung schneidet, dann tut er es, um die relevanten Stellen aus den Äu‎ßerungen einer Person zusammenzufassen. Und da muss man zwangsläufig eine Entscheidung treffen, was einem relevant oder weniger relevant erscheint. Diese Entscheidung ist nun mal subjektiv, Journalisten sind auch nur Menschen und können auch Fehler begehen. Bei aufrichtigen Journalisten hat das mit Zensur allerdings nichts zu tun. Sicherlich kann man mit geschicktem Zusammenschneiden jemanden in ein besseres oder schlechteres Licht rücken oder die Aussage sogar verzerren oder in ihr Gegenteil verwandeln. Insbesondere Politiker behaupten oft, sie seien aus dem Zusammenhang gerissen zitiert worden oder die Aufzeichnung sei eine Fälschung. Daher ist es wichtig, auch immer die gesamte Aufzeichnung aufzubewahren, um im Zweifelsfall festzustellen, ob und was jemand tatsächlich geäu‎ßert hat.




    Aus Mannheim geht es weiter nach Ottenau in Baden-Württemberg, wo unser Hörer Bernd Seiser zu Hause ist. Für ihn und seine Familie ist das Radiohören nicht nur ein Hobby, sondern bietet ihm auch die Gelegenheit, einen Verein zu leiten und sich mit anderen Hörern aus der ganzen Welt auszutauschen. Folgendes schrieb er uns:



    Ich kann dem Motto Das Radio bist du“ ebenfalls zustimmen. Die Hörerinnen und Hörer sind Teil eines jeden Radioprogramms, oft passiv als reine Zuhörer, manchmal aber auch als eine aktive Gruppe, die sich bei den entsprechenden Redaktionen mit Hörerbriefen und Empfangsberichten meldet. Einige bekamen (bzw. bekommen wie ich mit der RTI-Hörerklubecke und den RTI-DX-Tipps) sogar die Möglichkeit, eigene selber vorbereitete Programmbeiträge ausstrahlen zu lassen.



    Ich finde es deshalb besonders wichtig, dass sich die deutschsprachigen Kurzwellenredaktionen viel Zeit nehmen, um in ihren Programmen auf die Hörerpost einzugehen. Für viele unserer Hörerklubmitglieder im Allgemeinen, aber auch für mich und unsere Familie im Besonderen, ist es immer wieder sehr interessant und spannend, aus den Zuschriften anderer Hörerfreundinnen und Hörerfreunde, von unseren Hörerklubmitgliedern sowie von uns schon Bekannten oder auch neuen Radiohörern Aktuelles zu erfahren.



    Oft bietet Radio Rumänien International am Sonntag mit dem Funkbriefkasten oder auch mit der Bekanntgabe der Zuschriften zu einem Wettbewerb dazu Gelegenheit, die Meinung anderer Hörer zu erfahren, was sonst nicht möglich gewesen wäre. Deshalb vielen Dank an die deutsche Redaktion in Bukarest, die uns Kurzwellenfreunden diesen Kontakt und Austausch ermöglicht.




    Herzliche Glückwünsche und Grü‎ße zum Weltradiotag an Radio Rumänien International und auch an alle Zuhörerinnen und Zuhörer auf Euren Kurzwellen, besonders auch an unsere Hörerklubmitglieder vom Radio Taiwan International Hörerklub Ottenau!




    Vielen Dank und herzliche Grü‎ße zurück — viele Mitglieder des RTI-Hörerklubs sind zugleich auch Hörer unseres Senders. Wir bleiben in Baden-Württemberg, denn dort ist auch unser Hörer Herbert Jörger zu Hause. Er machte sich Gedanken über die Zukunft der analogen Ausstrahlungen:



    Das Radio ist das grö‎ßte Massenmedium mit der grö‎ßten Hörerschaft weltweit. Gab es früher die Mittelwelle, Langwelle und Kurzwelle, so hat sich dieses Medium in der westlichen Welt auf den Computer oder Handy und Table-PC verlegt. Durch die Digitalisierung des Rundfunks hat sich das Hörverhalten der Hörer verändert. Nur in den abgelegenen Gebieten sind die Menschen auf die Verbreitung der analogen Wellen angewiesen. Auch die Kurzwellenhörer weltweit können sich darauf freuen, dass einige Staaten noch analog ausstrahlen. Durch diese Ausstrahlung können Menschenleben bei Unglücksfällen rasch informiert werden. Viele Sendungen werden digital ausgestrahlt, die nur über das Digitalradio empfangbar sind, Menschen in der Dritten Welt können sich solche Apparate nicht leisten.



    Auch in Katastrophenfällen ist der Rundfunk eine wichtige Nachrichtenquelle. Milliarden Menschen haben keinen Zugang zum digitalen Rundfunkempfang. Nur durch einfache batteriebetriebene Koffergeräte ist der Zugang zur Au‎ßenwelt möglich. Das Radio erfüllt auch spezielle Informationen zur Gesundheitsvorsorge und dient auch als Plattform in der Alphabetisierungsarbeit.




    Vielen Dank für Ihren Beitrag, lieber Herr Jörger. Zum Schluss noch die Zeilen von Alexandru Buşneag, einem rumänischstämmigen Hörer, der ebenfalls in Deutschland lebt:



    Radio Rumänien International ist die Stimme Rumäniens in der Welt. Mit seinen Programmen in rumänischer Sprache, im aromunischen Dialekt und in zehn Fremdsprachen ist der Sender eine Informationsquelle über Rumänien und die Rumänen und ein Förderer der rumänischen Kultur und Musik.



    Durch seine Sendungen über Kurzwelle fördert Radio Rumänien die Völkerverständigung; den Auslandsrumänen bietet der Sender die Möglichkeit, die Verbindung zu ihrer Heimat aufrecht zu erhalten; für ausländische Hörer sind die Programme ein Fenster zu einem Land und einer Kultur, die oft kaum bekannt sind.



    Die Sendungen von RRI sind mannigfaltig und interessant und die Redakteure schaffen es, ihre Hörerschaft an den Sender zu binden. Das Motto des diesjährigen Welttags des Rundfunks lautet Radio is You!“ bzw. Das Radio bist du!“. Und tatsächlich SIND wir Hörer das Radio, denn wir sind diejenigen, die Tag für Tag den Nutzen aus der Arbeit der Journalisten von unserem Lieblingssender ziehen.



    Ich bin Radio Rumänien!,



    schreibt zum Schluss unser begeisterter Hörer Alexandru Buşneag. Liebe Freunde, Ihnen allen nochmals herzlichen Dank für die rege Beteiligung am Weltradiotag!




    Zeitlich habe ich heute schon leicht überzogen — zum Schluss geschwind noch die Postliste. Postbriefe erhielten wir von Peter Möller, Thomas Jeske, Matthias Martin, Reinhard Priese (alle aus Deutschland), Brian Webb (Neuseeland) und Paul Gager (aus Österreich). Dem zuletzt genannten Hörer danken wir für die Ausschnitte aus österreichischen Magazinen und für das kleine Präsent in Form eines Terminplaners in Taschenformat.



    E-Mails erhielten wir bis Freitagnachmittag von Burkhard Müller, Herbert Jörger, Johannes Wenzel, Bernd Seiser, Michael Lindner, Lutz Winkler, Alexandru Buşneag (der seinen Hörerkollegen Calvin Knott grü‎ßen lässt) und Andreas Pawelczyk (alle aus Deutschland) sowie von Hans-Martin Friedrich (aus der Schweiz).



    Das Internetformular nutzten Paul Gager (Österreich) sowie Hans Gosdschan und Reiner Schneider (beide aus Deutschland).




    Audiobeitrag hören:




  • Le budget 2017, en débat au Parlement

    Le budget 2017, en débat au Parlement

    Le projet de budget de l’Etat pour 2017 et celui des assurances sociales ont été adoptés dimanche par les commissions réunies du Parlement, en charge du budget et des finances. Les débats au sein de ces commissions n’ont pas apporté de modifications substantielles aux deux textes en comparaison avec la variante envoyée par le gouvernement. Adopté la semaine dernière par le cabinet et soumis au Parlement, le projet de budget pour l’année en cours repose sur une croissance économique de 5,2%, sur un déficit maximum de 3% et sur un taux d’inflation annuelle de 1, 4%. Le Législatif compte voter les deux documents dans les jours à venir.

    Voici ce que déclarait le ministre des Finances, Viorel Ştefan: « Nous espérons que la loi du budget sera prête mardi ou mercredi prochains, de sorte que les ordonnateurs à l’échelle nationale puissent approuver leurs propres budgets et que le pays retourne à la normale. D’autant que, avant que ladite loi ne soit rendue publique, tout le système public fonctionne avec des ressources financières représentant un douzième du budget de l’année dernière, ce qui, de toute évidence, ne suffit pas».

    Le ministre des Finances, Viorel Ştefan, a assuré que le projet législatif relatif au budget respectait les principales directions établies par le programme de gouvernance. Parmi elles, la majoration des pensions de retraite et des hausses salariales pour certaines catégories de personnels du secteur public, dont ceux de l’Education et la Santé. Le projet de budget de l’Etat pour 2017 prévoit également d’augmenter, à compter du 1er février, le salaire minimum sur l’ensemble de l’économie, ce qui le porterait à 1450 lei, soit 320 euros.

    Aux termes du projet législatif mentionné, l’Education, la Santé, les Transports et l’Agriculture se verront octroyer des enveloppes plus généreuses qu’en 2016 et le ministère de la Défense recevra 2% du PIB. En échange, les services de renseignement, l’administration présidentielle et les deux chambres du Parlement se verront réduire leurs budgets. (Trad. Mariana Tudose)

  • La Journée mondiale de la Radio 2017

    La Journée mondiale de la Radio 2017

    Le 13 février a été déclaré par l’UNESCO – Journée Mondiale de la Radio (World Radio Day – WRD), pour attirer l’attention sur l’importance extraordinaire de ce média, sans lequel bien des gens n’auraient pas accès à l’information. Cette année, le thème de la Journée Mondiale de la Radio est « La radio, c’est vous! », l’occasion de célébrer la radio et son impact sur notre vie!

    La radio c’est vous, chers amis, mais qu’est-ce qu’elle représente pour vous ? Quel est le rôle qu’elle joue dans votre vie ? Voici vos réponses !

    La toute première réponse nous est venue depuis l’Ile Maurice, dans un message signé par Anand Kapil Nunkoo : « J’aime beaucoup la radio depuis mon enfance à écouter la radio dans le monde entier en français et en langue anglaise à travers le monde avec mon récepteur radio. A travers la radio, j’ai connu beaucoup de choses en ondes courtes dans beaucoup des années, avec des informations, la culture, loisirs, la musique des différents pays est d’autres. J’ai reçu plusieurs Diplômes est Certificats de la station radio RRI, à travers des rapports d’écoute et des cartes Qsl. Actuellement, il y a beaucoup de changements à travers Internet, pour écouter la radio avec une bonne qualité de réception du signal. La Journée mondiale de la radio, c’est un grand événement pour moi pour, reconnaitre le passé avec des anciennes radios de la marque Murphy, Philips et d’autres avec une petite antenne sur le toit de la maison ».

    Aude Claude, auditrice et surtout internaute, a tenu absolument à participer à cette Journée Mondiale de la Radio, journée qu’elle trouve « féerique à sa façon ». Pour Aude Claude la radio reflète la réalité d’une manière accessible, correcte et surtout objective.

    Aude Claude : « Quel serait le rôle de la radio pour moi? Par quel bout commencer ? Peut- être par dire qu’un être bien informé en vaut deux ? Oui, c’est ça. Décidément ça. La radio est pour moi une lecture sonore des faits, événements, situations, états d’esprit…car moi, j’ai besoin de voir par la voix de la radio, à savoir de comprendre…Voir et comprendre donc. Lorsqu’elle exprime les événements sociaux, la radio est pour moi l’écho d’une réalité … des plus réelles QUI SOIENT. . Celle que j’aimerais avoir de façon permanente à côté de moi, à même de désamorcer les conflits. (…) Culturellement et …passionnément. La radio enrichit par sa force de conviction quant aux événements. Prenons la capitale roumaine, à envier par les temps qui courent, de par sa passion sociale…. Bucarest de l’hiver blanc 2017, véritable foire de cette passion sociale, des derniers jours… or Paris, si dramatique du 2015. A chaque fois, la radio nous a présenté les faits de façon à les comprendre, à comprendre l’essence des choses, par une expression objective que je vois comme une qualité CAPITALE. Car qui a su garder son esprit objectif de nos jours ? C’est LA RADIO. C’est que la radio induit de l’objectivité, a portée de notre compréhension…. Grâce à la radio, à la façon dont elle présente les choses, on peut mieux appréhender les événements, les phénomènes et la marche des choses, de la société, ce qui représente en fait l’essence de notre vie. Qui a gardé cette fonction complexe, ces nuances descriptives des faits? Ah oui, c’est la radio…Encore une fois elle… En fait, la radio pourrait être prise pour le plus grand pouvoir mondial /global, si l’on tient compte de sa capacité de faire la synthèse de ce qui est le plus important…et de savoir la transmettre… Rôle modérateur, formateur… pour ceux qui prêtent leur oreille à attentivement l’écouter. Rôle de défi….vers d’autres horizons culturels or autres…. Voilà ce que la radio représente pour moi ».




    Elargir les horizons, nous faire voyager à travers le monde, nous tenir informés à tout moment, la radio nous accompagne depuis un siècle, mais elle doit aussi tenir le pas avec la nouvelle ère dans laquelle nous sommes entrés : celle du numérique, nous attire l’attention Christian Ghibaudo, de Nice, France.

    Christian Ghibaudo : « La radio a toujours de l’importance depuis mon enfance, même si nous avions la télévision depuis plusieurs années, c’est la radio qui a bercé mon enfance. A cette époque, la télévision en France, n’émettait qu’à partir de la fin d’après-midi. Donc c’était la radio qui nous accompagnait le matin avant de partir au travail ou à l’école. On était réveillé au son de Radio Monte Carlo et Radio Andorre, deux stations très populaires dans le sud de la France. Stations qui ont disparu depuis, quelle nostalgie. Très tôt j’ai été intéressé par les radios internationales comme Radio Roumanie Internationale. Ces stations qui émettaient (certaines comme RRI émettent encore) sur les ondes courtes, ont divers objectifs. Les « grandes » comme la VOA (Voice of America), la BBC etc., ont pour mission d’informer le monde, surtout ceux qui vivent dans des pays ou la liberté de la presse est réduite. D’autres comme RRI, ont maintenant comme mission d’informer l’étranger de la vie sous toutes ses formes en Roumanie. RRI accomplit bien sa mission, comme on a pu le constater ces jours ci avec la crise politique dans tout le pays. Sur les ondes, mais aussi avec les réseaux sociaux, les auditeurs ont été régulièrement tenus au courant. L’Internet et les réseaux sociaux, c’est maintenant un nouveau moyen d’écouter la radio, les générations les moins jeunes devront s’habituer, mais c’est une bonne chose, plus de facilités pour écouter c’est là le progrès. Alors en 2017, une fois encore on peut dire « Longue vie à la Radio et Vive la Radio ! ».

    Pour les personnes qui n’ont pas d’accès à la télévision ou à Internet, quelle que soit la raison, c’est la radio qui reste la seule source d’information. Pour ces personnes la radio est vitale. C’est le cas de notre cher ami René Aulnette de France qui a souhaité nous transmettre ces mots :

    On aurait pensé que l’on avait tout dit sur la radio. Eh bien en parcourant vos emails, on se rend compte que c’est un sujet inépuisable. Par exemple, pour notre auditeur algérien Naghmouchi Nouari la radio c’est : « … la Paix, l’écoute, la communication, le savoir-faire, connaître de culture des pays, avoir une idée sur le tourisme et la vie du pays, écouter de musique etc… la Radio est un moyen de passer le temps, d’avoir des connaissances avec des auditeurs, avoir des nouvelles du pays etc….. ».

    La radio nous accompagne en permanence. Que ce soit dans la voiture, dans le bus, dans les galeries marchandes, même dans les ascenseurs, nous écoutons la radio tous les jours. C’est valable pour nous aussi en tant que journalistes, c’est valable pour vous nos auditeurs fidèles, et c’est surtout valable pour notre ami Paul Jamet de France.

    Paul Jamet : « Depuis plus de 60 ans, la radio fait partie de mon quotidien. Elle m’accompagne au fil des heures, au fil des jours, pour m’informer, me divertir, m’évader vers d’autres pays plus ou moins lointains. Ainsi, j’ai connu les postes à lampes avec leur oeil magique, puis les premiers récepteurs portatifs à transistors. J’ai écouté des stations en ondes longues, en ondes moyennes puis à partir des années 70 via les ondes courtes. En France, la FM s’est véritablement imposée dès le début des années 80 avec la libéralisation de la bande FM. Parallèlement, la diffusion par satellite a vu le jour, essentiellement sur le continent nord-américain. Avec l’arrivée d’Internet des milliers de stations de radio sont maintenant à portée de clic ! Plus récemment encore, la téléphonie en 4G est devenue une sérieuse alternative pour l’écoute de la radio, en particulier auprès des plus jeunes. La RNT – Radio Numérique Terrestre – peine, du moins en France, à percer alors que l’on cesse la diffusion sur OM voire OL et que l’abandon de la FM se profile. L’Inde mise sur le DRM et la Roumanie diffuse en DRM pour l’international offrant ainsi un excellent confort d’écoute.Bref, on le voit, bien qu’ayant plus de 100 ans, la Radio reste un média plein de vitalité qui s’adapte à l’évolution des technologies et des pratiques d’écoute de son auditoire. De plus, il me semble que la Radio a parfaitement réussi sa convergence avec le web, ce qui lui permet d’enrichir son offre avec des compléments, des podcats, des archives. J’adore la Radio toujours présente quand j’en ai besoin. Une telle fidélité mérite bien quelques compliments. Merci à toutes celles et à tous ceux qui ont fait de la Radio une telle ouverture sur le monde. Qu’elle soit locale, régionale, nationale ou internationale la radio s’adresse à tous. Contrairement à la télévision, elle laisse une large place à l’imaginaire. A partir des sons qui nous parviennent, il appartient à chacun de se construire une représentation du monde. Qu’il est bon de rêver, de voyager, de s’évader en écoutant la radio. Vive la Radio ! »

    Pour Maguy Roy de France, membre du Radio DX Club d’Auvergne, la radio a de multiples facettes: LA RADIO est avant tout un moyen d’information qu’elle soit locale, régionale, nationale, internationale, dans des domaines très variés : politiques, économiques, sociétaux, culturels….. LA RADIO est aussi un moyen de communication, de partages d’idées grâce à des écoutes, des forums, des débats, la diffusion de messages d’urgence ou personnels. LA RADIO est un moyen de s’évader du quotidien, de rêver lors d’émissions en tous genres : histoire, civilisations, musique, gastronomie….. LA RADIO est un moyen de rompre la solitude, l’isolement, l’individualisme par l’échange, en créant des liens par delà les distances, le temps, les âges, en tous points du monde. LA RADIO nous ouvre à l’autre, nous ouvre au monde grâce à la découverte d’autres cultures qui relativisent la primauté et le bien-fondé de notre pensée , de notre façon de vivre . LA RADIO nous accompagne quotidiennement, du matin au soir, alors que nous vaquons à nos occupations. Qui ne possède pas LA RADIO dans sa maison, sa voiture, son ordinateur, sa tablette voire son téléphone ? LA RADIO représente peut-être l’ancêtre des médias modernes, mais elle demeure incontournable !Alors, bon vent à LA RADIO !

    Nous avons gardé pour la bonne bouche le message de Philippe Marsan de France, pour lequel la radio rime avec magie, avec fascination et surtout avec amitié.

    Philippe Marsan : « Pour moi, c’est de la magie, la magie des Ondes qui se propagent dans l’espace au grès des vents et qui viennent nous réconforter, nous réchauffer le cœur. A la fin du 19e siècle, ce n’est pas si loin, on ne transmettait que quelques signaux en Morse, étonnant car il n’y avait pas de fil électrique, c’était la TSF. Puis, dans les années vingt arrivèrent les paroles, la musique, les émissions… Cela fait presque cent ans. Lorsque j’écoute un programme de RRI en ondes courtes, c’est toujours pour moi étonnant. Le fait de se caler sur la fréquence souvent au moyen d’une aiguille, rechercher, fouiller le cadran, et soudain comme par enchantement, c’est la voix venue de Bucarest. Formidable ! C’est toujours comme si cela était la première fois, nouveau, fascinant !Ce qui est important pour les stations internationales, c’est aussi de recevoir le courrier des auditeurs. Ainsi se créent des liens entre la station et celle ou celui qui écoute. On peut poser des questions concernant le pays, les habitants, la culture, la géographie, l’histoire. Grâce à Internet, suite à la réception des ondes, en complémentarité peut se créer ainsi une interactivité entre la rédaction, le service et les auditeurs. Merci à vous chers Amis du service français.La radio chez soi, la radio pour soi, ou en famille pourquoi pas, le mystère des Ondes devenu réalité, un lien entre les continents, la joie d’entendre des voix venues d’ailleurs en Amies. Alors, en ce début de siècle, que vive la Radio…. ».

    Chers amis, merci pour vos messages si chaleureux et si intéressants, qui nous ont aidés à marquer une fois de plus la Journée mondiale de la Radio. Permettez-nous de terminer par une expression qui apparaît dans la plupart de vos messages : « Vive la radio ! »

  • Hörerpostsendung 29.1.2017

    Hörerpostsendung 29.1.2017

    Herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI!



    Zu Beginn habe ich eine Ankündigung. Auch dieses Jahr wird der von der UNESCO ausgerufene Weltradiotag am 13. Februar begangen. Das Thema des diesjährigen World Radio Day lautet — etwas vage — Radio is You!“ (Das Radio bist du!“) und wird auf der Homepage des Events mit folgenden Worten beschrieben (ich übersetze aus dem Englischen):



    Dieses Jahr konzentriert sich die UNESCO darauf, Radiosender von der ganzen Welt, egal ob Bürgerrundfunk, private Sender oder öffentlich-rechtliche Rundfunkstationen, zu ermutigen, sich mit den nötigen Mitteln zu rüsten, um die bestmöglichen Radiosender zu werden. Das hei‎ßt, sicherzustellen, dass es einen ständigen Dialog zwischen den Radiomachern, ihrer Hörerschaft und der Öffentlichkeit im Allgemeinen gibt. Wir möchten auch, dass die Radiosender die Bedingungen schaffen, die zu gro‎ßartigen Programmen führen — nebst Unterhaltung und Information müssen wir kreative Wege finden, um die Meinungsfreiheit zu fördern und uns mit den wichtigsten Fragen der Zeit in lokalen Gemeinschaften sowie auf der ganzen Welt auseinanderzusetzen.“



    Jetzt sind Sie gefragt, liebe Freunde, uns zu sagen, wie dieses Ziel zu erreichen ist. Was sollten Sender besser tun, um den Dialog mit der Hörerschaft und generell in der Gesellschaft zu stärken und die Meinungsfreiheit zu sichern? Wie setzt man sich am besten mit Fragen auseinander, die die Gemeinschaften, aber auch die gesamte Welt bewegen?



    Auf diese und ähnliche Fragen können Sie uns Ihre Gedanken in schriftlicher Form oder in Audioformat zuschicken. Am 13. Februar wird dann ein Beitrag von der Zentralredaktion mit Zuschriften aus aller Welt gesendet. Gerne verlese ich aber die Beiträge in deutscher Sprache auch einen Tag davor, also im Funkbriefkasten am 12. Februar. Falls Sie also mitmachen möchten, bitte sich Sie, die Beiträge bis spätestens Donnerstag, den 9. Februar 2017, einzuschicken, damit wir sie auch für die Zentralredaktion rechtzeitig übersetzen können.



    Der World Radio Day hat auch einen Jingle in englischer, französischer, spanischer, russischer, chinesischer und arabischer Sprache und so klingt die englischsprachige Variante: Jingle 1 Eng Mix.



    Und jetzt zu Hörerzuschriften. Friedrich Albert ist in der österreichischen Hauptstadt Wien zu Hause und folgende Zeilen schickte er uns per E-Mail:



    Schönes Programm, immer mit der Vorstellung einer Region, besonders für mich wertvoll, viele Erinnerungen kommen wieder. Ich bin mit einem Bus als Lenker oft in Rumänien gewesen. Das war Ende der 70er Jahre bis gegen Ende der 80er Jahre.



    Auch die Vorstellung besonderer Persönlichkeiten wie jetzt gerade über einen Erfinder. Im Moment wird ein Bericht über die Hausangestellten in der Pflegebranche gebracht.



    Damit Sie einen Eindruck der Qualität des Signals haben, ein Mitschnitt.



    Vielleicht gibt es in Zukunft einen Beitrag über die Oldtimer-Szene in Rumänien. Für mich als Liebhaber sehr interessant.




    Vielen Dank für Ihr Feedback, lieber Herr Albert, und es freut uns, dass Ihnen unser Programm gefällt. Die Oldtimer sind eher ein Nischengeschäft in Rumänien, die Szene ist kaum vergleichbar mit jener in westeuropäischen Ländern. Es gibt zwar den sogenannten Rumänischen Retromobil Club — den Landesverband der Eigentümer und Restauratoren von historischen Wagen, der bereits im Frühjahr 1998 gegründet wurde. 21 Oldtimer-Begeisterte veranstalteten damals in Bukarest ein Treffen und beschlossen dabei die Gründung des Verbandes. Dieser sollte wie andere ähnliche Gruppierungen aus traditionsreichen Ländern in diesem Bereich agieren. Das erste wichtige Ereignis im Leben des Rumänischen Retromobil Clubs war die Einrichtung des eigenen Stands im Rahmen der Bukarester Automesse 1998. Der Club zählt ungefähr 500 Mitglieder, die über 700 Oldtimer haben. Über 10% dieser Wagen wurden vor 1944 gebaut. Doch der Markt für Oldtimer bleibt winzig klein in Rumänien, selbst im Vergleich zum Nachbarland Ungarn oder Polen. Der Club hat unter der Adresse retromobil.ro auch eine Webseite und ist auch bei Facebook zu finden.




    Andreas Pawelczyk aus Mannheim gefiel unser Geschichtsmagazin über die deutsche Besatzung in Bukarest während des Ersten Weltkriegs. Folgende Zeilen schickte er uns per E-Mail:



    Habe da von Ihnen einen sehr interessanten Bericht in “Pro Memoria” hören können. Da kam Deutschland nicht gerade gut davon. Warum? Bekanntlich gab es eine Zeit innerhalb des 1. Weltkrieges, in der Bukarest von Deutschland besetzt war. Ab Ende 1916 wurde die Militärverwaltung eingeführt. Diese dauerte angeblich 707 Tage. Die Bevölkerung fühlte sich damals von Deutschland beraubt, denn man war gezwungen, gro‎ße Zuckermengen und Bettwäsche zu spenden. Einen weiteren deutschen Diebstahl gab es in der Landwirtschaft und in der Ölförderung. Angeblich waren die Stra‎ßen in Bukarest noch nie so gut gefegt, aber darauf konnte man wohl verzichten.



    Andere Besatzungsmächte wie Bulgarien und Österreich-Ungarn haben sich jedenfalls nach Meinung der Historiker nicht so benommen. Nun vielleicht kann Deutschland da noch einiges in Zukunft wieder gut machen!




    Vielen Dank für das Feedback, lieber Herr Pawelczyk. Im Beitrag ging es allerdings nicht um Wiedergutmachung — schlie‎ßlich sind seit dem Ersten Weltkrieg fast hundert Jahre vergangen. Au‎ßerdem hatten sich nicht wenige Rumänen mit der Besatzung irgendwie arrangiert, selbst in der Politik gab es eine germanophile Partie und schlie‎ßlich hatte Rumänien damals einen deutschstämmigen König. Für viel mehr Unmut bei der rumänischen Zivilbevölkerung sorgten allerdings die Truppen des zaristischen Russlands. Zwar unterstützten sie zunächst Rumänien als Verbündete an der Ostfront, doch nach der bolschewistischen Revolution in Russland stürzte alles ins Chaos und die Ostfront wurde zu einer Katastrophe. Und russische Soldaten sorgten mit ihrer Trinksucht nicht selten für Ärger bei der rumänischen Bevölkerung. Über die zwiespältige Rolle der russischen Streitkräfte in Rumänien während des Ersten Weltkriegs haben wir ebenfalls in Pro Memoria“ in der folgenden Woche berichtet.




    Von Mannheim geht es weiter nach Pyrbaum in der Oberpfalz, wo unser Hörer Dieter Feltes zu Hause ist. Folgende Zeilen schickte er uns über E-Mail:



    Sehr geehrte Damen und Herren!





    Ich hoffe, dass Sie von der deutschen Redaktion alle gut ins neue Jahr gekommen sind. Haben Sie im Funkhaus gewisse Feierlichkeiten zum Jahresausklang gehabt? Oder eine Weihnachtsfeier?



    Vom Empfang her habe ich auch im neuen Jahr keine Probleme, wobei ich sagen muss, dass die Frühsendung ein besseres Signal hat. Aber ich wollte einmal wieder die Nachmittagsendung hören.



    Sie berichteten in Ihrer Sendung über das Skigebiet in Straja, Siebenbürgen. War recht interessant. Vor einigen Jahrzehnten konnte ich das Skigebiet in Poiana Braşov kennenlernen. Der dortige Aufenthalt hat mir sehr gut gefallen. In einem Hotel hatte ich sogar die Möglichkeit, das Hallenbad zu benutzen. Dabei muss ich sagen, dass ich gerne schwimme. Schnee war zu diesem Zeitpunkt keiner vorhanden, dafür machten wir schöne Ausflüge in der näheren und weiteren Umgebung.




    Vielen Dank für Ihre Zeilen, lieber Herr Feltes. Eine offizielle Feier zu Weihnachten oder Neujahr gibt seit langer Zeit nicht mehr im Funkhaus — dazu fehlt dem Sender das nötige Geld. Und nach der Abschaffung der Rundfunkgebühr und der damit einhergehenden Kappung der einzigen budgetunabhängigen Einnahmequelle wird vieles ungewiss, befürchten wir.




    Ein weiterer Hörer, Klaus Albert aus Karlsruhe, meldete sich im Internetformular:



    Sehr geehrte Damen und Herren!



    Als ich heute, den 17.1.2017, meinen Weltempfänger eingeschaltet habe und ich Ihre Sendung gut mitverfolgen konnte, war ich von der Empfangsmöglichkeit Ihres Senders angenehm überrascht. Vielleicht ist es Ihnen möglich, mir für diesen Empfangsbericht eine QSL-Karte sowie ihr Programmheft zu schicken. Auch würde ich mich freuen, wenn Sie mir einen Stationswimpel beilegen würden.




    Vielen Dank für Ihr Feedback. Wie Sie vorhin hören konnten, werden wir dieses Jahr eine Etatkürzung in Kauf nehmen müssen. Wir hoffen, zumindest QSL-Karten noch verschicken zu können, Wimpel werden allerdings schon seit Jahren nicht mehr hergestellt.




    Werner Hoffmann ist in Güstrow, Mecklenburg-Vorpommern, zu Hause und berichtete uns in seiner E-Mail über einen Ausflug nach Berlin:



    Liebes Team von Radio Rumänien International!


    Unter dem Funkturm in Berlin findet vom 20. bis 29. Januar 2017 die 82. Internationale Grüne Woche statt. Es ist die wichtigste Messe auf dem Gebiet der internationalen

    Ernährungswirtschaft, Landwirtschaft und Gartenbau. Rund 400 000 Besucher werden in diesen Tagen erwartet. Ich lie‎ß es mir nicht nehmen und besuchte natürlich die

    Präsentationen Ihres Landes in der Länderhalle 18. Ich konnte viele nette Gespräche mit Ihren Landsleuten und Ausstellern führen und so mancher bot mir etwas zum Verkosten an. Da konnte ich nicht NEIN sagen. Es war ein schöner Nachmittag am

    rumänischen Messestand. Wenn Sie meine Fotos veröffentlichen möchten, bin ich damit

    einverstanden.




    Vielen Dank für Ihre Zeilen, lieber Herr Hoffmann. Ihre Fotos habe ich auf unserem Facebook-Auftritt veröffentlicht und Sie als Urheber erwähnt — nochmals herzlichen Dank dafür!




    Zeit für die Posteingangsliste. Postbriefe lasse ich mir nächste Woche wieder zukommen. E-Mails erhielten wir bis Freitagabend von Klaus Nindel, Werner Hoffman, Heinrich Eusterbrock, Petra Kugler und Herbert Jörger. Das Internet-Formular scheint niemand genutzt zu haben oder es hat wieder einmal nicht funktioniert.



    Das war’s für heute in der Hörerpostsendung von RRI. Sorin Georgescu dankt Ihnen fürs Zuhören und wünscht noch ein angenehmes Restwochenende.




    Audiobeitrag hören:




  • Jurnal românesc – 23.01.2017

    Jurnal românesc – 23.01.2017

    Aproximativ 30.000 de persoane au ieşit, duminică, pe străzile din
    Bucureşti pentru a protesta faţă de intenţia Guvernului de a impune ordonanţe de
    urgenţă privind graţierea şi modificarea Codului Penal. La protest s-a alăturat şi
    preşedintele Klaus Iohannis. Manifestaţia de duminică a fost una din cele mai
    mari din Capitală din ultimii zece ani. Proteste au avut loc, însă, în aproape
    toate marile oraşe din ţară, cu o prezenţă masivă în Cluj, Iaşi, Timişoara şi
    Braşov. Potrivit presei de la Bucureşti, proteste anti-amnistie şi graţiere au
    avut loc, de asemenea, în mari oraşe europene, la Paris, Londra, Oslo,
    Copenhaga şi Milano.




    Proiectul de buget al României pe 2017 a fost publicat pe site-ul Ministerului Finanţelor
    Publice. Conform Raportului privind situaţia macroeconomică pe anul 2017 şi
    proiecţia acesteia pe anii 2018-2020, bugetul este configurat pe o creştere
    economică de 5,2% în acest an şi de peste 5% pe întreg orizontul 2018-2020, iar
    deficitul bugetar este estimat la 2,96% din PIB. Pentru proiectul de buget pe
    2017 au fost luaţi în considerare următorii indicatori macroeconomici: o
    inflaţie medie anuală de 1,4%, un câştig mediu salarial net de 2.274 lei şi un
    curs mediu al euro de 4,46 lei. La finalul anului 2017, se aşteaptă o majorare
    a numărului de salariaţi de 4,3%. Proiectul de buget pe 2017 are următoarele
    direcţii majore de acţiune: creşterea veniturilor populaţiei, investiţii
    sporite şi reducerea taxelor. La capitolul Investiţii, alocarea bugetară prevede
    fonduri în infrastructură, sănătate, educaţie, agricultură şi creşterea
    absorbţiei fondurilor europene, prin finanţarea unor proiecte prioritare.




    România face parte din grupul celor şase state care vor deţine, pe
    parcursul anului 2017, preşedinţia Conferinţei pentru Dezarmare de la Geneva şi
    îşi exercită mandatul în perioada 23 ianuarie – 19 februarie. Potrivit
    Ministerului de Externe, preluarea preşedintei acestei Conferinţe reprezintă o
    nouă oportunitate pentru România de a reitera sprijinul politic ferm pentru
    acest for multilateral de negociere în domeniul dezarmării şi pentru eforturile
    de revitalizare a activităţilor sale, prin adoptarea cât mai curând posibil,
    prin consens, a unui program de lucru. Activitatea de fond a Conferinţei pentru
    Dezarmare a rămas blocată, în ultimii ani, din cauza imposibilităţii adoptării
    programului de lucru. Conferinţa pentru Dezarmare este forumul consacrat pentru
    realizarea de progrese pe temele de interes larg în domeniul dezarmării
    nucleare şi neproliferării. În prezent, Conferinţa are în atenţie următoarele
    teme: dezarmarea nucleară, prevenirea cursei înarmărilor în spaţiul
    extra-atmosferic, garanţiile negative de securitate şi transparenţa în domeniul
    armamentelor.

  • Défis de l’an 2017

    Défis de l’an 2017

    Pour une analyse des défis qui se posent devant cette année 2017, nous avons invité au micro Iulian Chifu, directeur du centre de prévention des conflits. Par ordre chronologique, le premier événement notable est le début du mandat de l’administration Donald Trump, à Washington. Le nouveau chef de la Maison Blanche a fait savoir entre autres son intention de retirer les Etats-Unis du Partenariat transpacifique. Il a également promis de réviser et remplacer le système de santé Obamacare et d’annuler les politiques en matière d’énergie propre mises en place par l’Administration Barack Obama. Compte tenu de son comportement, le 45e président des Etats-Unis ne tardera pas à se faire remarquer par des actions spécifiques, note le journal Financial Times. Selon cette publication, la première rencontre de Donald Trump avec le président russe, Vladimir Poutine sera suivie attentivement, d’autant que les services secrets américains soupçonnent ce dernier d’avoir contribué à la victoire d’ailleurs inattendue du candidat républicain.

    Quant au mandat de Donald Trump, Iulian Chifu estime que : C’est un fait très important, car il s’agit de l’administration américaine. D’autre part, il faut préciser clairement que les administrations ne modifient pas de manière substantielle la politique extérieure de sécurité et de défense d’un pays. Elle ne fait que changer l’ordre des priorités et peut-être nuancer l’approche de certaines choses, puisque la base de données du système administratif dans son ensemble reste la même. Nous allons voir quelle sera la part de continuité ou au contraire de nouveauté dans les démarches de l’administration Trump .

    Les intentions de Trump de restaurer les relations avec la Russie vont mettre au jour les faiblesses des alliés européens des Etats-Unis. Ces alliés se retrouveraient dans l’impossibilité de se défendre tout seuls si Washington manquait à ses engagements en matière de sécurité ». C’et ce qu’écrivait dans un éditorial du « Washington Post » Judy Dempsey, chercheur au sein de l’organisation Carnegie Europe de Bruxelles et journaliste spécialiste de politique étrangère. Même si plus d’une administration américaine avait recommandé à l’Europe de majorer ses budgets de la Défense, écrit Judy Dempsey, les leaders de l’UE ont pris peu de mesures en ce sens. Les attentats terroristes de ces derniers temps en témoignent largement. L’activation par la première ministre britannique Theresa May de l’article 50 du Traité de l’UE, qui devrait avoir lieu en mars prochain au plus tard, est un autre événement majeur. Suite au Brexit décidé par les Britanniques, l’UE se verra privée d’un de ses membres dont l’expérience est très vaste dans les domaines de la défense et de la sécurité.

    En plus, c’est une situation qui du fait de son caractère inédit soulève des points d’interrogation, précise l’analyste Iulian Chifu : Le Brexit représente un gros problème pour l’UE, d’autant que l’on n’a pas vraiment une idée claire de ce qu’il supposera. C’est pour la première fois qu’un Etat membre sort de l’Union et il paraît que cette expérience ne sera pas forcément la plus favorable. Il suffit de penser aux prémisses du Brexit et à la délocalisation de nombre d’industries, qui vont quitter l’espace européen. Par ailleurs, la négociation envisagée par les eurosceptiques et par ceux qui ont généré le Brexit semble être une utopie. En clair, ils pensent qu’il leur serait possible de rester sur le marché unique et de bénéficier de tous les avantages qui en découlent, dont la libre circulation des biens et des services, tout en entravant l’accès des travailleurs étrangers au marché britannique de l’emploi. A mon avis, le Brexit est un point d’interrogation, car il représente une expérience nouvelle. Reste à voir comment elle sera vécue par le Royaume – Uni pas dans l’immédiat mais durant les négociations et surtout au moment de la séparation effective de l’UE.

    2017 est pour la France une année électorale, les Français devant élire un nouveau président. Alors que le président en exercice, François Hollande, a fait savoir qu’il ne briguerait pas de second nouveau mandat, les enquêtes d’opinion donnent largement favorite Marine Le Pen, la chef de file de l’extrême droite française. Iulian Chifu : La situation est inédite. Le parti socialiste, avec son candidat Emmanuel Valls, ancien premier ministre, occupe la quatrième place dans les préférences des électeurs, tandis que le mouvement politique nouveau de centre-droit, lancé par Emmanuel Macron semble avoir de grandes chances de qualification au second tour, devançant même le parti de Marine Le Pen. Enfin, le candidat de la droite, François Fillon, est crédité du plus grand nombre d’intentions de vote dans les conditions où il partage nombre de points communs avec Marine Le Pen. Il s’agit d’éléments relevant plutôt de l’extrême droite. Ils ne vont pas jusqu’ à prôner la sortie de l’UE, ce dont Le Pen se fait un titre de gloire, mais concernent ont trait par exemple à la libre circulation et aux relations avec la Fédération de Russie.

    Sur la liste des événements importants qui auront lieu en 2017 figurent aussi les élections en Allemagne, la situation en Syrie et l’implication de Moscou dans ce conflit ou encore le prochain sommet de l’OTAN qui se tiendra à Bruxelles, au lendemain d’une réunion des ministres de la Défense. (Corina Cristea)

  • 2017 wird für Europa ein schwieriges Jahr

    2017 wird für Europa ein schwieriges Jahr

    Der Vorsitzender der Europäischen Kommission Jean-Claude Juncker erklärte, das Resultat der Volksbefragung in Italien sei eine Enttäuschung aber keine Katastrophe. Rund 60% der Italiener haben die von dem Ministerpräsidenten Matteo Renzi vorgeschlagenen Reformen abgelehnt. Die Abstimmung wurde als ein euro-skeptischer Ausdruck interpretiert. Jean-Claude Juncker erklärte sich in einem Interview im niederländischen öffentlichen Fernsehen besorgt. Die Zahl derjeneigen, die der europäischen Integration den Rücken drehen, weise einen steigenden Trend auf, sagte Juncker und fügte hinzu, populistische Ideen seien gefährlich. Jean-Claude Juncker dazu:



    “Manchmal werden die richtigen Fragen gestellt, ich höre aber keine korrekt formulierte Antwort. Wir erleben gefährliche Zeiten. Man soll nicht glauben, dass, wenn wir, die Pro-Europäer, nicht immer die passenden Lösungen haben, dann finden diejenigen, die gegen uns sind, die notwendigen Lösungen .



    Juncker hat zugegeben, es seien Kollegen in der Europäischen Kommission, die der Meinung sind, dass die Union als Projekt ein Misserfolg sein werde. Er sei aber fest überzeugt, der europäische Geist werde siegen.



    “Die Menschen werden sich Rechenschaft geben, dass es besser ist, vereint zu bleiben, als die tragischen Erfahrungen dieses Kontinentes zu wiederholen.



    2017 wird für die EU ein kompliziertes Jahr sein. Die Freude, die die Präsidentschaftswahl in Össterreich, wo die pro-europäische Strömung Europas extreme Rechte besiegt, herrvorgerufen hat, könnte ganz schnell wegen dem Referendum in Italien vorübergehen. Die Tasache, dass der italienische Premier Matteo Renzi besiegt wurde, ist ein Pluspunkt für die extremistischen und euroskeptischen Bewegungen.



    2017 finden in mehreren europäischen Staaten Präsidentschafts- und Parlamentswahlen statt. Das Wahljahr 2017 kommt mit riesigen Spieleinsätzen: Präsidentschaftswahlen in Frankreich, Parlamentswahlen in Deutschland und den Niederlanden und vielleicht auch in Italien. Matteo Renzi war der letzte unter den Premierministern der großen EU-Staaten, der noch über die Zukunft der EU sprach, so Politkommentatoren. Bundeskanzlerin Angela Merkel kämpft für ein viertes Mandat und muss hart für die notwendige Unterstützung arbeiten. Der Rückzug von Francois Hollande aus dem künftigen Wahlkampf in Frankreich, lässt in dem proeuropäischen Lager einen freien Platz. Der Eintritt des Premierministers Manuel Valls ist keine Garantie für den Vorsprung gegenüber der Partei Front National und der Vorsitzende Marine Le Pen, behaupten Politkommentatoren. Auch in Großbritannien könnten vorverlegte Wahlen stattfinden, wenn Theresa May mehr parlamentarische Unterstützung in Sache Brexit wünscht. Was die Beziehung mit den Vereinigten Staaten anbelangt, stelle der überraschende Sieg von Donald Trump ein Risiko für die Beziehungen zwischen den USA und der EU dar, meint Jean-Claude Juncker, der den künftigen US-Präsidenten bezüglich der EU und ihren Mechanismen als einen Ignoranten betrachtet.

  • Prognoze BNR privind inflaţia

    Prognoze BNR privind inflaţia

    Banca Naţională a României a revizuit în scădere prognoza de inflaţie atât pentru 2016, cât şi pentru 2017. Guvernatorul Băncii Centrale, Mugur Isărescu, a anunţat, joi, că indicele preţurilor de consum urmează să rămână în teritoriu negativ până la sfârşitul acestui an. El a menţionat că inflaţia anuală ar urma ca, în 2017, să reintre în intervalul de variaţie ţintit de către BNR, dar fără a depăşi 2,5%, iar în 2018 va ajunge în partea superioară a acestui interval.



    Mugur Isărescu a explicat: “Pe plan intern riscurile se conturează în sfera politicii fiscale şi de venituri, în contextul anului electoral şi al absenţei acordurilor cu instituţiile financiare internaţionale, precum şi ale efectelor adverse, gen rate de modificări ale legislaţiei în domeniul financiar. Contextul extern este marcat de incertitudini ridicate, legate de creşterea economică globală şi de redresarea economică a zonei euro, amplificate de rezultatul referendumului din Marea Britanie, de tensiunile geopolitice şi de dificultăţile din sistemul bancar european.”



    Amintim că, în ultimul raport trimestrial asupra inflaţiei, publicat în luna mai, BNR estima un nivel al acesteia de 0,6% pentru finalul lui 2016 şi de 2,7% pentru 2017. Guvernatorul BNR, Mugur Isărescu, a explicat că scenariul de bază relevă o traiectorie proiectată a ratei anuale a inflaţiei semnificativ mai joasă decât cea previzionată anterior, în contextul persistenţei la nivel global şi regional a unui nivel scăzut al inflaţiei. Acesta este de natură să afecteze comportamentul inflaţiei de bază, dinamica preţurilor volatile, dar şi cea a preţurilor administrate”, a spus Isărescu.



    El a mai spus că noua prognoză păstrează profilul ascendent, în condiţiile presiunilor inflaţioniste exercitate de excedentul de cerere agregată şi de costurile unitare cu forţa de muncă. In iunie, rata anuală a inflaţiei a urcat până la -0,7%, de la -3,5% în luna mai.



    Evoluţia a fost generată de eliminarea efectului scăderii TVA la alimente, din iunie 2015, din indicele anual, în condiţiile în care preţurile au scăzut în iunie faţă de luna anterioară, ca urmare a ieftinirii alimentelor. Potrivit BNR, menţinerea ratei anuale a inflaţiei în teritoriul negativ se datorează exclusiv efectului indus de reducerea cotei standard a TVA de la 24% la 20%, începând cu 1 ianuarie 2016.