Tag: Varujan Vosganian

  • 03.09.2013

    03.09.2013

    Enfants – La Chambre des députés du Parlement roumain a adopté mardi un projet de loi stipulant des mesures de protection des enfants dont les parents sont partis travailler à l’étranger. Initié par le gouvernement, cet acte réglementaire modifie ainsi une loi visant la défense des droits de l’enfant, entrée en vigueur en 2004. Aux termes de la nouvelle loi, les personnes en possession d’un contrat de travail longue durée doivent notifier leur départ et le nom de la personne en charge de leurs enfants aux autorités locales.



    Vote – Le Parlement de Bucarest a voté ce mardi les premiers projets de loi de la nouvelle session législative. Le président de la Chambre des députés, Valeriu Zgonea, a déclaré que d’importantes initiatives législatives seraient adoptées cet automne et que les débats qu’elles susciteraient auraient un fort impact médiatique. Les sénateurs et les députés de l’Union sociale libérale, qui représentent la majorité parlementaire, ont défini leurs priorités. Parmi elles, l’adoption de la nouvelle Constitution, la loi du référendum et la modification de la loi sur le re-découpage territorial par régions de développement. Les démocrates libéraux, de l’opposition, envisagent d’appuyer certaines mesures censées encourager les entrepreneurs et créer de nouveaux emplois.



    Retraite – La Chambre des députés du Parlement roumain a adopté mardi un projet de loi stipulant des mesures de protection des enfants dont les parents sont partis travailler à l’étranger. Initié par le gouvernement, cet acte réglementaire modifie ainsi une loi visant la défense des droits de l’enfant, entrée en vigueur en 2004. Aux termes de la nouvelle loi, les personnes en possession d’un contrat de travail longue durée doivent notifier leur départ et le nom de la personne en charge de leurs enfants aux autorités locales.



    Accusations – Les procureurs roumains ont sollicité le lancement de poursuites pénales à l’encontre de l’ex-ministre de l’économie, le démocrate-libéral Adriean Videanu et de l’actuel titulaire de ce portefeuille, Varujan Vosganian, membre du PNL, accusés de complot contre l’économie nationale. Les deux auraient autorisé la vente de gaz naturel à des prix préférentiels à un producteur roumain dengrais chimiques, Interagro, alors que ce groupe avait accumulé des dettes importantes envers la compagnie publique Romgaz pour le gaz déjà fourni. Le préjudice causé à l’Etat est estimé à 130 millions de dollars. Les deux ministres rejettent ces accusations.



    Justice – Alexandru Visinescu, 88 ans, ancien commandant du pénitencier de Râmnicu Sarat (dans l’est de la Roumanie) sous le régime communiste, a été mis en examen pour génocide. Il est le premier Roumain accusé de crimes contre l’humanité, après l’ancien dictateur communiste, Nicolae Ceausescu. Alexandru Visinescu est comparu ce mardi devant la Haute Cour de Cassation et de Justice pour fournir des déclarations dans le dossier ouvert suite à la plainte pénale déposée à son encontre par l’Institut roumain d’investigations des crimes du communisme pour «assassinats particulièrement graves ». Celui-ci dénonce Alexandru Visinescu comme tortionnaire, responsable de la mort de certains détenus politiques entre 1956-1963. Alexandru Visinescu compte parmi les 35 tortionnaires identifiés par l’Institut roumain d’investigations des crimes du communisme.



    Protestations – A Bucarest, de nouvelles protestations contre le projet de loi controversé portant sur l’exploitation aurifère de Rosia Montana. Le nouveau texte, renégocié, qui avait reçu, la semaine dernière, l’aval du gouvernement, devrait être soumis au Parlement. Le président de la République, Traian Basescu, s’est dit favorable à l’organisation d’une consultation populaire sur ce sujet le même jour que les élections européennes de 2014. Cette proposition a été agréée par le chef du cabinet, Victor Ponta.



    Festival – 3.000 artistes de l’étranger et 1.500 de Roumanie participent au festival international “George Enescu”. Lundi soir, au deuxième jour de ce prestigieux événement culturel, le pianiste d’origine roumaine Radu Lupu et l’orchestre Staatskapelle de Berlin, dirigé par Daniel Barenboim, ont été longuement applaudis. Du 1er au 28 septembre, à l’affiche du festival figurent plus de 150 événements accueillis aussi bien par la capitale, Bucarest que par d’autres grandes villes du pays. La Radio publique roumaine, partenaire du festival “George Enescu” dès sa première édition, en 1958, diffusera en direct 63 concerts, dont 59 vers les radios européennes partenaires.



    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Simona Halep, tête de série n 21 et 19e dans le circuit WTA, a raté la qualification pour les quarts de finale de l’US Open, dernier tournoi de Grand Chelem de l’année. Halep a été vaincue dans les huitièmes de finale (score 6-2, 7-6) par l’Italienne Flavia Pennetta, 83e mondiale. Simona Halep est actuellement au meilleur moment de sa carrière après avoir remporté, ces derniers mois, les tournois de New Haven (aux Etats-Unis) Nurnberg (en Allemagne), Hertogenbosch ( aux Pays-Bas) et Budapest (en Hongrie).




  • 26.08.2013

    26.08.2013

    Egypte – Le ministère roumain des affaires étrangères recommande à ses ressortissants d’éviter les déplacements en Egypte avant le rétablissement de la sécurité dans ce pays. Plusieurs régions d’Egypte sont toujours en état d’urgence, où le couvre-feu est également instauré. La situation demeure tendue dix jours après l’intervention de l’armée contre les manifestants islamistes qui réclamaient la réinstallation du président déchu Mohamed Morsi. Plus d’un millier de personnes ont péri dans les affrontements de ces derniers jours



    Transports – En Roumanie, la juriste Ramona Manescu, 41 ans, députée européenne depuis 2007, est la nouvelle ministre des Transports. Elle est membre du PNL depuis 1990. Les fonctions de ministre des Transports sont vacantes depuis juillet dernier, lorsque le libéral Relu Fenechiu a démissionné après avoir été condamné à une peine de prison ferme pour abus de fonctions. L’intérim a été assuré par le premier ministre social démocrate Victor Ponta.



    Visite – Le chef du cabinet de Bucarest, Victor Ponta, entame une visite de deux jours en République de Moldova, où il s’entretiendra avec son homologue moldave, Iurie Leanca. Il doit participer à l’inauguration des travaux du gazoduc Iasi — Ungheni et au Forum de l’Eurorégion Siret-Prut-Dniestr, événement auquel sera présent aussi le commissaire européen à l’énergie, Gunther Oettinger. Les ministres qui accompagnent Victor Ponta dans cette visite aborderont avec leurs homologues de Chisinau des sujets relevant des domaines de l’énergie, de l’éducation ou de la santé. Parmi eux, l’interconnexion des réseaux énergétiques des deux pays, les bourses d’études accordées par la Roumanie aux jeunes moldaves, la mise en place des services mobiles d’urgence en République de Moldova sur le modèle du SMURD roumain.



    Négociations – Le ministre roumain de l’Economie, Varujan Vosganian, fera, mardi, une visite officielle à Kiev, accompagné par une délégation gouvernementale. Le but de la visite, c’est la reprise des négociations avec la partie ukrainienne afin de récupérer les dépenses faites par la Roumanie lors de sa participation à la construction du Combinat minier d’amélioration des minerais acides de Krivoï Rog. Le montant est estimé à 1 milliard de dollars. La construction de l’usine de Krivoï Rog a commencé en 1983, du temps de l’Union soviétique, avec l’ancienne RDA, la Tchécoslovaquie, la Bulgarie et la Roumanie. En 1990, les travaux, réalisés à 70%, ont été arrêtés, et l’investissement est en conservation depuis 1998, dans l’attente de trouver une solution.



    Baccalauréat – En Roumanie, plus de 55 mille candidats à la deuxième session du baccalauréat ont passé ce lundi la première épreuve écrite de cet examen, celle de langue et de littérature roumaines. La session d’été du bac a été émaillée par un grave incident, à savoir la fraude découverte dans un lycée de Bucarest, dont la proviseure a d’ailleurs été arrêtée. Selon les données fournies par le Ministère de l’Education, le taux de réussite à la session juin-juillet du bac a été de 55%.



    Poésie – L’écrivain roumain Mircea Cartarescu est le gagnant du Grand prix de poésie au Festival littéraire international qui a ouvert ses portes lundi en Serbie, à Novi Sad. Selon les déclarations du directeur du festival, la distinction n’est pas attribuée seulement à un écrivain d’exception, mais aussi à une culture vitale, qui s’est réaffirmée en dépit de toutes les difficultés. La Roumanie est représentée au festival de Novi Sad par six poètes et une anthologie de poésie contemporaine.



    Cinéma – La Roumanie participe jusqu’au 31 août au Festival du Film de Douarnenez en France avec une série de productions cinématographiques déjà primées lors de grandes compétitions. Parmi ces films, “La position de l’enfant”, du réalisateur Calin Peter Netzer, qui a remporté L’Ours d’or à la Berlinale de cette année. Ce même film est la proposition de la Roumanie aux Oscars 2014, dans la catégorie meilleur film en langue étrangère”. Un autre film roumain participant au festival de Douarnenez est “Au delà des collines”, de Cristian Mungiu, prix du meilleur scénario et de la meilleure interprétation féminine au festival de Cannes en 2012.

  • Est-il nécessaire de développer le programme nucléaire en Roumanie?

    Est-il nécessaire de développer le programme nucléaire en Roumanie?

    Le rapport annuel du Conseil Global de l’Energie éolienne concernant l’évolution de cette industrie place la Roumanie en 10e position parmi les marchés spécialisés de l’UE. La plupart des parcs éoliens se trouvent en Dobroudja, région dans le sud-est de la Roumanie, à des altitudes de 100 mètres environ où la vitesse moyenne du vent est de 7,2 m/seconde. La région est plate et faiblement peuplée et donc idéale pour la mise en place des parcs éoliens, peut-on lire dans le document, selon lequel cette industrie s’est beaucoup développée en Roumanie, ces trois dernières années. N’empêche, l’énergie éolienne ne représente que 5% de la production énergétique nationale. La Roumanie continue d’utiliser notamment des combustibles fossiles, 50%, de l’énergie hydroélectrique (25%) et de l’énergie nucléaire (20%).



    Bien qu’elle ne laissent pas de côté le développement des sources d’énergie alternative, les autorités de Bucarest concentrent leurs efforts sur le développement de l’énergie nucléaire. 440 réacteurs nucléaires sont recensés à travers le monde, 60 autres sont en train d’être construits et près de 80 devraient être érigés à l’avenir. Présent à un symposium sur ce thème, organisé à Bucarest par l’Agence Nucléaire pour les Déchets radioactifs, le ministre roumain de l’Economie, Varujan Vosganian, a expliqué pourquoi la Roumanie avait besoin d’élargir son programme nucléaire. Et ce bien que, à présent, la consommation énergétique soit en baisse au niveau national. Varujan Vosganian: « L’économie roumaine aura une évolution qui exigera une hausse de la consommation dans la période à venir, vu que le système énergétique doit tenir compte de la stratégie énergétique, de celle de ré industrialisation ainsi que de la stratégie visant la croissance de la compétitivité. Dans ce contexte, développer la production d’énergie électrique nucléaire serait une démarche appropriée».



    Pour ce faire, la Roumanie cherche à présent des investisseurs pour les réacteurs III et IV de la Centrale nucléaire de Cernavoda. Datant du début des années ’80, le plan initial de la centrale, la seule dans la région à utiliser la technologie canadienne du type CANDU, prévoyait la construction de 5 unités. A présent seules les unités I et II, datant de respectivement 1996 et 2007, sont en usage. Par ailleurs, Bucarest a renoncé à son intention de construire à l’avenir une nouvelle centrale nucléaire au centre du pays. De l’avis des experts, poursuivre le développement du programme visant la production d’énergie nucléaire est essentiel pour la Roumanie. Et ce parce que les centrales thermoélectriques actuelles, dont les coûts de production sont assez bas, ne pourront plus fonctionner en l’absence d’une retechnologisation majeure.



    Varujan Vosganian s’attarde sur le développement du programme de production de l’énergie atomique et électrique : « Bien qu’elle fasse partie de l’UE, la Roumanie doit se considérer, compte tenu du flux d’investissements, du commerce international et de la stratégie énergétique, partie intégrante du monde entier. Or, dans ce contexte, je dois préciser que les programmes nucléaires à caractère pacifique sont en plein essor. Donc pourquoi ne pas s’impliquer ? L’énergie nucléaire assure notre indépendance énergétique, il s’agit d’une énergie relativement bon marché. En plus, la Roumanie dispose de la main d’œuvre nécessaire, des technologies avancées ce qui nous permettraient de contrecarrer à moyen terme l’épuisement d’autres ressources. A l’heure où l’on parle, on n’a pas de dimension concrète vis-à-vis des perspectives du programmes nucléaire ».



    La question de l’énergie nucléaire est un thème constant de débat tant en Europe qu’ailleurs dans le monde, surtout depuis l’accident survenu à la centrale nucléaire de Fukushima, suite au tremblement de terre et du tsunami de 2011. Des pays tels comme l’Allemagne ou l’Italie souhaitent renoncer à ces centrales, alors que certains autres Etats européens continuent d’investir massivement dans ce secteur. Teodor Chirica, représentant du Forum Atomique Roumain : « La Finlande, la France et la Slovaquie ont mis en place des projets nucléaires. La Grande Bretagne reste un promoteur et innovateur en matière de recherche de nouveaux instruments de financement des projets nucléaires et des projets non carbone, en général. S’y ajoute la Pologne, qui nourrit de grosses ambitions dans le secteur du nucléaire pour des raisons relevant surtout de la sécurité énergétique. Dans le processus de développement du domaine, on constate les difficultés financières qui grèvent les grands projets énergétiques, nucléaires compris, difficultés accentuées par la crise financière mondiale ».



    De l’avis de Teodor Chirică, la Roumanie devrait se joindre aux 13 Etats de l’UE intéressés à poursuivre le développement des programmes de production d’énergie nucléaire et à établir des positions communes qui soient soumises par la suite aux autorités de Bruxelles. (trad. : Alexandra Pop, Ioana Stancescu)

  • Hörerpostsendung 11.08.2013

    Hörerpostsendung 11.08.2013

    Liebe Freunde, herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI. Aus Studio 18 in Bukarest begrü‎ßt Sie diesmal Alex Grigorescu. Bis zum 1. September, wenn mein Kollege Sorin Georgescu von seinem wohlverdienten Urlaub zurückkehrt, werden Sie jeden Sonntag eine andere Stimme als Rundfunk-Postbote hören.




    Gleich zum Anfang die Posteingangsliste.



    E-Mails landeten in unserer Inbox bis einschlie‎ßlich Samstag nachmittag von: Christoph Preutenborbeck aus Odenthal, Andreas Fessler — Dreden, Herbert Jörger – Bühl und von Bernd Seiser.


    Im Online-Formular hinterlie‎ßen Ihre Beobachtungen Reding Bernard aus Luxemburg, Georg Pleschberger — VILLACH, Österreich und Paul Gager — Deutschkreutz.



    Von Reding Bernard erhielten wir auch eine Nachricht mit der Auflösung unserer Hörerquizfragen.




    Vielen Dank für Ihre Zeilen, liebe Freunde, selbstverständlich erhalten Sie QSL-Karten für Ihre Empfangsberichte, auch wenn es bei uns erfahrungsgemä‎ß etwas länger mit der Zustellung dauern kann.



    Unsere Postanschrift lautet: Radio Rumänien International, General-Berthelot-Stra‎ße 60-64, PLZ 010171, Bukarest/Rumänien.



    Unsere Faxnummer ist: 0040-21-319-05-62



    Per E-Mail erreichen Sie uns blitzschnell — die Adresse unserer Mailbox ist: germ@rri.ro



    Auf unserer Homepage www.rri.ro können Sie den Funkbriefkasten bald nach der Erstausstrahlung nachlesen und natürlich auch die Audiodatei nachhören.




    Und jetzt einige Auszüge aus den Hörerbriefen. Das rumänische Königshaus scheint bei unseren Hörern in letzter Zeit Interesse zu wecken. Gleich zwei Hörer wollen mehr über die rumänische königliche Familie erfahren.



    Unser Hörer Herbert Jörger aus Bühl schreibt uns:




    Ich hätte von Ihnen gerne etwas über den ersten König Rumäniens erfahren. Ein Abbild von Carol I. soll vor Schlo‎ß Peles, dem “Neuschwanstein Rumäniens” stehen.“



    Auch Unser Hörerfreund Hans-Joachim Pellin aus Lübz interessiert sich für das rumänische Königshaus. Er schreibt:



    “Die Sendung fand ich, wie immer, sehr interessant, z.B. die Ordensverleihung an den rumänischen Rundfunk. Ich selber habe wenig Kenntnis über das rumänische Königshaus, vielleicht könnte es dazu mal einen längeren Beitrag oder Sendung geben, oder habt ihr dazu auch schriftliche Informationen? Wenn dies schon geschehen ist, habe ich die Sendung dann leider verpasst.”




    Lieber Herr Jörger, lieber Herr Pellin, wir berichten ab und zu Mal über die königliche Familie in unseren Sendungen. Über das rumänische Königshaus werden sie viele Informationen im Internet finden. Ich werde aber versuchen die Geschichte der rumänischen königlichen Familie kurz zusammenzufassen.




    Insgesamt hatte Rumänien vier Könige: Karl I, Ferdinand, Karl II und Michael. Der letzte rumänische König Michael lebt noch, jetzt wieder in Rumänien, nachdem er Jahrzehnte lang im Exil in der Schweiz gelebt hat.



    Karl I von Hohenzollern-Sigmaringen kam 1866 nach Rumänien und wurde Fürst. Die rumänische Regierung hatte zuvor beschlossen einen fremden Fürsten ins Land zu holen. 1869 heiratete Karl I die Prinzessin Elisabeth zu Wied. Damals stand Rumänien noch unter der Oberhoheit der Türken. Rumänien erklärte 1877 seine Unabhängigkeit, es folgte der Unabhängigkeitskrieg der 1878 gewonnen wurde. Drei Jahre später wurde dann Karl I von Hohenzollern-Sigmaringen König von Rumänien. Der König leitete in Rumänien in vielen Bereichen Reformen ein. So wurden die Staatsfinanzen, die Armee, das Schulsystem und die Hauptstadt Bukarest modernisiert. Die ersten Eisenbahnlinien wurden zu Zeiten von Karl I gebaut. Der erste rumänische König regierte bis zu seinem Tode 1914.



    Auf den Thron stieg dann Ferninand, sein Neffe. Karl I und seine Frau Elisabeth hatten zwar ein Kind, ein Mädchen, die Maria, sie starb aber leider als sie vier Jahre alt war. Elisabeth konnte keine weiteren Kinder bekommen. Deshalb adoptierte Karl I seinen Neffen Ferdinand. Dieser kam schon 1889 nach Rumänien und lebte hier. Seine Frau, die er 1893 heiratete war die englische Prinzessin Maria von Edinburgh, eine wunderschöne und sehr intelligente Frau. Sie war die Enkelin der Königin Victoria von England und des russischen Zaren Alexander II. Ferdinand musste im 1. Weltkrieg eine schwere Entscheidung treffen und zwar gegen Deutschand in den Krieg einzusteigen. Ziel war die Vereinigung Rumäniens mit Siebenbürgen. Rumänien bliebt bis 1916 neutral, im August folgte dann die Kriegserklärung an Österreich-Ungarn. Nach dem 1. Weltkrieg vereinigten sich Siebenbürgen, Bessarabien und das Buchenland mit Königreich Rumänien. 1922 wurde Ferdinand in Alba Iulia/Karlsburg zum König Grossrumäniens gekrönt. Der zweite rumänische König starb 1927. Er wurde 62 Jahre alt.



    Eigentlich hätte gleich sein Sohn Karl II auf den Thron steigen müssen. Das geschah jedoch zunächst nicht. Karl II ist vielleicht eine der interessantesten Figuren der europäischen Königshäuser. Er sorgte immer wieder für Skandale im rumänischen Königshaus, insbesondere wegen seiner vielen Liebesaffären. Während des 1. Weltkriegs liess er sich, zum Beispiel, in Odessa mit seiner damaligen Freundin Zizi Lambrino trauen, ohne dass die königliche Familie etwas davon mitbekam. Die Ehe wurde vom Obersten Gerichtshof annuliert, Karl II verzichtete jedoch auf den Thron und führte seine Beziehung zu Zizi Lambrino weiter. 1920 brachte sie einen Sohn, Carol Mircea, auf die Welt. Letztenendes wurde Karl II gewzungen die griechische Prinzessin Elena zu heiraten. Ihr Sohn Michael kam im Oktober 1921 auf die Welt. Karl II führte aber seinen für die königliche Familie skandalösen Lebensstil weiter, hatte viele Leibesaffären und wurde deshalb 1926 von der Thronfolge ausgeschlossen. 1928 liess sich seine Frau von ihm scheiden. Karl II ging zusammen mit seiner Fraundin Magda Lupescu nach Paris. Zwischen 1927 und 1930 übernahm sein kleiner Sohn Michael den Thron. Erst 1930 kam Karl II zurück und stieg auf den Thron, nachdem er versprach sich von Magda Lupescu zu trennen. Das geschah jedoch nie, die beiden blieben zusammen. Karl II regierte bis 1940. Er dankte ab, verliess das Land und starb 1953 in Portugal. Sein Sohn Michael bestieg im September 1940 den Thron.



    Der vierte rumänische König regierte bis am 30. Dezember 1947. Er wurde dann von den Kommunisten gezwungen abzudanken und das Land zusammen mit der Familie zu verlassen. Die Kommunisten hatten etwa 200 Stunden, die gegen die kommunistische Partei protestierte festgenommen. Man hat dem König gesagt, man würde diese erschiessen, sollte er auf den Thron nicht verzichten.




    Liebe Hörer, ich hoffe, dass sie jetzt einen besseren Überblick über die rumänische königliche Familie haben. In einer Umfrage, die vor wenigen Wochen durchgeführt wurde, hat sich ergeben, dass etwa 20 % der Rumänen dafür sein würden, dass Rumänien wieder ein Königreich wird. Wie gesagt, der König lebt zusammen mit seiner Frau Ana de Bourbon Parma wieder in Rumänien. Während des Kommunismus lebten sie in der Schweiz, in Versoix, am Genfer See.




    Unser langjähriger Hörerfreund Ralf Urbanczyk äusserte sich auch zu unserer Sendung. Hier ein Zitat aus seinem Brief:



    Interessant war der Bericht über die armenische Minderheit in Rumänien im Land-und-Leute-Programm. Die erwähnten architektonischen Zeugen der Vergangenheit, die Kirchen und Wohnviertel in Bukarest und Siebenbürgen klingen interessant und sind sicher eine Reise wert. Allerdings konnte dieses kurze Programm, kaum mehr als 5 Minuten, gerade zur aktuellen Situation der Armenier nur einen groben Überblick geben. Gibt es im heutigen Rumänien aktive Organisationen der Armenier, politischer oder kultureller Art? Erscheinen in Rumänien Druckerzeugnisse oder Minderheitenprogramme im Radio in armenischer Sprache? Gibt es Kindergärten oder Schulen, in welchen in armenischer Sprache unterrichtet wird?“




    Lieber Herr Urbanczyk, es freut uns, dass sie den Beitrag interessant gefunden haben.


    In Rumänien lebt heutzutage noch eine kleine armenische Gemeinde. Die zentrale Leitung der Gemeinde ist die Union der Armenier in Rumänien. Diese hat den Hauptsitz in Bukarest und dazu weitere 12 Filialen im Land, in den Städten Constanta, Bacau, Suceava, Botosani, Tulcea, Iasi, Focsani, Gherla, Cluj, Pitesti, Dumbraveni und Galati. Armenische Kirchen gibt es jedoch mehrere, nicht nur in diesen Städten. Die Gemeinde versucht aktiv zu bleiben. Vor kurzem fand sogar ein kleines Festival der armenischen Gemeinde dar, das den Namen Die armenische Strasse“ trug. Dieses fand wirklich auf der armenischen Strasse im ehemaligen armenischen Viertel statt. Da ist noch die imposante armenische Kirche zu sehen. Zudem hat hier die Union der Armenier und das armenische Kulturzentrum ihren Sitz. Die Union der Armenier besitzt auch eine Druckerei und einen Verlag, der viele Bücher über die Geschichte der Armenier in Rumänien und über Armenier allgemein veröffentlicht. Zudem veröffentlicht die armenische Gemeinde zwei Zeitschriften. Die Zeitschrift Ararat erscheint auf Rumänisch zwei Mal im Monat. Die zweite Zeitschrift Nor Ghiank erscheint monatlich und ist zweisprachig, Rumänisch und Armenisch. Armenische Schulen oder Kindergärten gibt es leider keine mehr. Nur in Bukarest, Gherla und auch Cluj gibt es Sonntagsschulen. Auf politischer Ebene sind die Armenier in Rumänien auch vertreten. Zwei bekannte rumänische Politiker sind Armenier. Der erste ist Varujan Vosganian, der Mitglied der liberalen Partei ist. Vosganian ist im Moment Rumäniens Wirtschaftsminister. Seit 1990 ist er Vorsitzender der Union der Armenier in Rumänien und seit 2005 Vizevorsitzender der Schriftstellerunion Rumäniens. Der zweite Politiker armenischer Herkunft der auf der rumänischen Politbühne aktiv ist, heisst Varujan Pambuccian. Seit 1996 ist er Abgeordneter im rumänischen Parlament seitens der Union der Armenier und leitet auch in der Abgeordnetenkammer die Gruppe der Minderheiten. Zudem ist er Vorsitzender des IT-Ausschusses der Abgeordnetenkammer. Es gibt in Rumänien auch weitere armenische Persönlichkeiten, die dem breiten Publikum bekannt sind, so der Jazz-Musiker Harry Tavitian.




    Liebe Hörerfreunde, Alex Grigorescu sagt an dieser Stelle danke fürs Zuhören. Nächstes Wochenende wird Florin Lungu ihre Fragen im Funkbriefkasten beantworten.



    Audiobeitrag hören:



  • L’industrie sidérurgique

    L’industrie sidérurgique

    Après avoir annoncé, l’année dernière, avoir l‘intention de vendre les quatre combinats détenus en Roumanie à Bràila, Buzàu, Câmpia Turzii et Târgoviste, le géant russe MECHEL les a cédé à une petite société russe ayant trois employés pour le prix symbolique de 52 euro, avec l’objectif déclaré de sauver ce qui pouvait encore être sauvé, l’entrée en insolvence d’un grand nombre de ces combinats et la fermeture des sections étant les pas franchis ultérieurement.



    Pour ce qui est de l’ancien SIDEX de Galati, détenu actuellement par ARCELOR MITAL, il y a eu de nombreuses procédures de licenciements volontaires. Récemment, le magazine CAPITAL a dressé une analyse détaillée de l’évolution en matière de sidérurgie en Roumanie après 1989 et une première conclusion a été que, depuis, la production s’est pratiquement réduite à la moitié, des 7,1 millions des tonnes en 1991 aux 3,8 millions de tonnes en 2011. Les principaux combinats ont été privatisés et la crise internationale les a frappé de plein fouet, d’autant plus que, pendant les années d’avant la crise, ils étaient particulièrement profitables pour les investisseurs comme explique pour Radio Roumanie la journaliste Ileana Ilie du magazine CAPITAL : « Les sociétés sidérurgiques roumaines ont, à leur tour, bénéficié de cette conjoncture internationale favorable mais notre grand profit n’est pas venu de la hausse de la production mais de la vente des produits à des prix beaucoup plus élevés. Un exemple concret : des quelques 150 dollars par tonne en 2008 l’acier d’armature pour le béton est parvenu à un prix moyen de 640 dollars par tonne en 2009. La crise est venue, elle a frappé le matché immobilier et l’industrie auto, c’est à dire les piliers qui avaient entraîné la hausse de la demande d’acier en Roumanie et le prix de ces produits est, maintenant, à la moitié. »



    En Roumanie on parle de milliers sinon des dizaines de milliers de personnes liées à cette industrie. Il s’agit de capacités de production qui, pratiquement, s’arrêtent ou diminuent en grande partie leur production. Les agents économiques déplorent le fait que le prix de l’énergie est très élevé et ceci les empêche d’aller de l’avant et demandent l’aide de l’Etat. L’Etat, peut-il s’impliquer ? Ileana Ilie pense que: « L’Etat peut s’impliquer, vous avez vu ce que les Français ont fait avec ARCELOR MITAL pour ne pas mettre la clé à la porte d’un combinat avec 600 salariés. Mais après cette solution sonore du début de l’année, MECHEL qui est le deuxième groupe sidérurgique de Roumanie et qui a été vendu à une « société d’appartement » nous dit, quoi, c’est à dire, quelle est la suite. Est-ce que cette firme peut réussir à faire sortir de l’impasse quatre géants industriels ? Puisque nous parlons de quatre combinats, pour la plupart déjà en situation d’insolvence, de toute évidence l’Etat peut beaucoup faire pour sauver la situation, mais, quoi , exactement?»



    A son tour, la Commission européenne est intervenue pour que les grands joueurs du marché présents en Europe puissent ajourner leurs plans de restructuration, ce qui voudrait dire, à coup sur, licenciements et fermeture d’unités. On peut dire que la tactique des autorités est d’obtenir un délai prolongé ou attendre un redressement de l’économie internationale. Quelles sont le perspectives de l’industrie dans l’immédiat ? Ileana Ilie répond: « Si nous parlons du marché intérieur, la Roumanie a un bon potentiel de croissance car nous avons encore à faire pour atteindre les normes de l’Europe occidentale en matière d’infrastructure et d’autres secteurs stratégiques. En ce sens, donc, l’horizon demeure ensoleillé puisque nous sommes loin d’être au point où nous devions être. Mais quand, quoi et comment, ces questions n’ont pas encore de réponse. Une perspective optimiste vient, également des Etats Unis et de la Chine. Là, des signes montrent un certain redressement. Mais il faut faire preuve d’un optimisme prudent.»



    Le ministre roumain de l’Economie, Varujan Vosganian, lui aussi, a énuméré , récemment, les problèmes spécifiques de la Roumanie dans ce domaine: « La sidérurgie comporte des problèmes de règlements et des problèmes des marchés tiers. La Roumanie comporte , aussi, quelques problèmes supplémentaires rattachés soit de l’évasion qui vient à travers la Bulgarie avec des sociétés fantômes qui offrent l’acier béton à des prix moindres pur disparaître ensuite et ne payent plus la TVA, soit de ce marché particulièrement absorbant en matière de ferraille qui est la Turquie. Nous avons privatisé toute cette zone de collecte, je parle ici des anciennes bases de l’ex-Ministère de la Métallurgie qui sont transformées en REMAT et qui préfèrent travailler plutôt pour la Turquie qui paye en liquide que pour les Roumains. Un troisième problème est , effectivement, celui du courent électrique cher et le quatrième et celui rattaché à l’absorption du marché. Encore un problème : l’industrie roumaine, elle non plus, n’est préparée pour la libéralisation des prix. »



    Le ministre Varujan Vosganian a l’intention d’élaborer une stratégie de ré-industrialisation de la Roumanie à la suite du dialogue avec les représentants de toutes les branches économiques.



    Le retrait de l’Etat de l’économie à l’exception de certains domaines stratégiques, l’appui des secteurs industriels de pointe et la stimulation de l’industrie de transformation sont les principaux piliers sur lesquels reposera la ré-industrialisation du pays — précisait le ministre de l’économie, Varujan Vosganian, lors du lancement des débats menant à formuler la stratégie. Ce qui est plus, on a besoin d’une diplomatie économique agressive capable de promouvoir l’industrie roumaine à l’étranger, les parcs industriels compris et les incubateurs d’affaires déjà fonctionnels… (trad.: Costin Grigore)

  • Die Woche 22.07.-26.07.2013 im Überblick

    Die Woche 22.07.-26.07.2013 im Überblick

    DIE THEMEN:












    Rumäniens Ministerpräsident Victor Ponta zu Gesprächen in Madrid



    Rumäniens Premierminister Victor Ponta ist diese Woche in Madrid mit seinem spanischen Gegenüber Mariano Rajoy zu Gesprächen zusammengekommen. Auf der Agenda der Besprechungen standen hausptsächlich die Intensivierung der politischen Beziehungen, die spanischen Investionen in Rumänien sowie der Schutz und die Integration der rumänischen Gemeinschaft in Spanien. Rumänien und Spanien haben viele gemeinsame Projekte und wollen weitere Partnerschaften entwickeln, erklärte Rumäniens Ministerpräsident Victor Ponta nach dem Treffen in Madrid mit Mariano Rajoy. Ponta und Rajoi haben au‎ßerdem in der spanischen Hauptstadt eine strategische Partnerschaft erörtert. Angesichts der rumänischen Gemeinschaft in Spanien erklärte Premierminister Victor Ponta, dass Rumänien die volle Unterstützung der spanischen Regierung für die in Spanien lebenden und arbeitstätigen rumänischen Bürger und ihre Familien bekommen habe. Zudem habe es in Spanien bislang nie eine Diskriminierungspolitik gegen rumänische Bürger gegeben, wie es in anderen Ländern der Fall gewesen sei, so Victor Ponta anschlie‎ßend.



    Ministerpräsident Victor Ponta ist in Madrid auch vom spanischen König Juan Carlos empfangen worden. Auf der Agenda des Spanienbesuches standen zudem Gespräche mit Vertertern der rumänischen Gemeinschaft in Madrid. Ponta kam au‎ßerdem mit dem Chef der Regionalexekutive der Gemeinde Madrid, Ignacio González zusammen, der beim Treffen mit dem rumänischen Ministerpräsidenten den wesentlichen Beitrag der rumänischen Arbeitnehmer zur Bewältigung der aktuellen Wirtschaftskrise in Spanien betonte.




    IWF-Mission erneut in Bukarest



    Die Vertreter des IWF, der EU-Kommission und der Weltbank haben diese Woche ihren Arbeitsbesuch in Bukarest fortgesetzt. Am Mittwoch fanden Gespräche mit Vertretern des Wirtschafts- und Finanzministeriums statt. Wirtschaftsminister Varujan Vosganian erklärte am Ende der Gespräche, dass sämtliche staatliche Unternehmen bis Jahresende privatisiert werden sollen. Ausgenommen seien davon nur Unternehmen, die für die nationale Sicherheit Rumäniens wichtig sind, so Vosganian. Hauptziel der Verhandlungen der rumänischen Behörden mit den internationalen Geldgebern ist die Gewährleistung eines neuen Darlehens vorbeugender Art. Das letzte Darlehensabkommen dieser Art war Ende Juni abgelaufen.




    Regierung bespricht Privatisierung der Güterbahn CFR Marfă“



    Die Delegation der internationalen Geldgeber hat auch mit den Mitgliedern des Regierungskabinetts diskutiert, kurz nachdem Ministerpräsident Victor Ponta angekündigt hatte, dass die Privatisierung der staatlichen Eisenbahngesellschaft für Gütertransporte (CFR Marfă) genehmigt wurde. Im Juni war das Unternehmen Grup Feroviar Român (GFR), das grö‎ßte Privatunternehmen für Eisenbahn-Gütertransporte in Rumänien, zum Gewinner der öffentlichen Ausschreibung zur Privatiserung von CFR Marfă erklärt worden. Besagtes Unternehmen hat 202 Mio. Euro für die Übernahme eines Aktienpakets von 51% angeboten und sich zu Investitionen in Höhe von etwa 200 Mio. Euro verpflichtet.



    Die Privatisierung von CFR Marfă könnte aber annuliert werden, wenn sie nicht vom Obersten Verteidigungsrat (CSAT) bewilligt wird, erklärte indessen der rumänische Ministerprasident Victor Ponta. Sollte der Oberste Verteidigungsrat die Privatisierung nicht bewilligen, so gebe es auch einen Plan B, nämlich ein privates Management einzuführen, die Umstrukturierung des Unternehmens und der Versuch, die Gesellschaft CFR-Marfă wieder in die Profitzahlen von 2008 zu bringen. Der Oberste Verteidigungsrate müsste erst im September tagen, der Sprecher des Gremiuns verlautbarte allerdings, dass der Oberste Verteidigungsrat nicht befugt sei, Privatisierungen zu bewilligen. Währenddessen klagen die Gewerkschaften gegen die Passivität der Behörden, wenn es darum geht, die Gesellschaft CFR-Marfă und die dazugehörenden Arbeitsplätze zu retten, und drohen mit einem Generalstreik.




    Britischer Think Tank: optimistische Wirtschaftsprognose mit Vorbehalt für Rumänien



    Rumänien könnte in diesem Jahr ein Wirtschaftswachstum von 2,4% erreichen. Grund zum Optimismus geben zum einen die landwirtschaftlichen Ernten und zum anderen der Anstieg der Ausfuhren in Nicht-EU-Länder, gab der britische Think Tank Economist Intelligence Unit“ bekannt. Mehr noch: Die Aussichten auf das Jahr 2014 seien sogar noch besser. In einer Analyse schätzt die britische Denkfabrik, die järhliche Wachstumsrate werde in der Zeitspanne 2014 – 2017 weiter steigen, ohne aber die 4%-Hürde zu übersteigen.



    Gute Nachrichten auch für die Industrie: Die Produktion soll 2013 um 3,6% wachsen. Die Briten weisen aber darauf hin, dass die Prognosen bei einem Schock aus dem Ausland oder einer tiefen Rezession nicht mehr zutreffen würden. Die Briten führen weiter an, die Inflationsrate werde gegen Jahresende bei 3,4% liegen. Zum Vergleich — im Mai 2013 belief sich diese auf 5,3%.



    In diesem Sinne hat auch die Zentralbank Rumäniens die voraussichtliche Inflationsrate für das Jahr 2013 von 3,5% auf 3,2% revidiert. In deren Analyse gingen unter anderem die jährlichen Preisanstiege für Verwaltung, Elektrizität und Gas, der gebremste Anstieg der Exporte in EU-Länder ein sowie die sinkenden Erdölpreise, auf Grund des weltweiten Rückgangs der Nachfrage.



    Andererseits stünden die Zeichen für mehr ausländische Investitionen bis Ende 2017 schlecht, schätzt die Economist Intellingence Unit. Nur wenn die Aufnahmefähigkeit der EU-Fonds verbessert wird, könnten weitere Infrastrukturinvestionen getätigt werden, was letztendlich langfristig auch die Exporte fördern würde. Für die Zeitspanne 2014-2020, sind Rumänien von der EU 22 Mrd. Euro zugeteilt worden. Dies bedeutet um 2 Mrd. Euro mehr als in der Zeitspanne 2007-2013. Die Analysten glauben, Rumänien könnte in den kommenden Jahren das Geld aus diesen Fonds besser verwerten, dies hänge jedoch stark von der Verwaltungskapazität und von den Kofinanzierungsmöglichkeiten der Regierung ab.

  • 15.07.2013

    15.07.2013

    FMI – En visite en Roumanie, la directrice générale du FMI, Christine Lagarde, a eu lundi une entrevue avec le premier ministre roumain, Victor Ponta. Il s’agit de la première visite en Roumanie de Mme Lagarde depuis sa prise de fonctions en juillet 2011. Au cours de cette visite de deux jours, la directrice générale du FMI aura des entretiens avec des responsables de Bucarest et avec des représentants du secteur privé, de la société civile et du milieu académique qui porteront sur les perspectives économiques du pays. La visite de Christine Lagarde sera suivie par une mission du FMI qui se rendra à Bucarest, le 17 juillet, pour des discussions avec les autorités roumaines sur un nouveau crédit de précaution. La Roumanie vient de clore avec succès le deuxième accord de type préventif d’un montant de 3 milliards et demi d’euros.



    Transports – Le premier-ministre roumain, Victor Ponta, assure à compter de ce lundi l’intérim à la tête du ministère des transports, après la démission du titulaire de ce portefeuille, le libéral Relu Fenechiu. Ce dernier a été condamné vendredi, pour complicité d’abus de fonction, à cinq ans de prison ferme, obligé au paiement de dommages et intérêts et privé de certains droits pour une période de trois ans. Selon le réquisitoire, des compagnies de Relu Fenechiu ont vendu entre 2002 et 2005 des transformateurs et commutateurs électriques usagés à une entreprise dEtat au prix de produits neufs.



    Médiation – Le Ministère roumain des Affaires Etrangères organise à Bucarest ces lundi et mardi une conférence internationale sur la médiation au sein de l’OSCE. A cette occasion, le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlatean, a mis en évidence le soutien ferme accordé par la Roumanie aux efforts censés prévenir et résoudre les conflits dans cet espace. La conférence réunit des responsables de l’OSCE, de l’UE et de l’ONU, des représentants des Etats actifs dans le domaine de la médiation et du milieu académique.



    Coopération – Le ministre de l’économie, Varujan Vosganian, se trouve à la tête d’une délégation et d’une mission économique qui effectuent une visite au Mexique pour promouvoir l’industrie navale roumaine. Varujan Vosganian doit rencontrer son homologue mexicain, Ildefonso Guajardo Villarreal et le ministre des relations étrangères, José Antonio Meade Kuribreńa. Les deux parties souhaitent renforcer les relations politiques et diplomatiques bilatérales au sein du partenariat stratégique UE — Mexique. En 2012, les échanges commerciaux roumano-mexicains se sont montés à 270 millions de dollars, soit le niveau le plus élevé de cette dernière décennie. La mission économique roumaine se rendra jeudi et vendredi au Panama.



    Ciel – Des inspecteurs militaires de Roumanie et des Etats-Unis ont commencé ce lundi des vols d’observation au-dessus de la Russie et du Belarus, dans le cadre du Traité international Ciel ouvert. En vigueur depuis le 1er janvier 2002, le document a jusqu’ici été signé par 34 Etats, y compris par les Etats-Unis et la Russie. Il vise à augmenter la confiance et la sécurité par la mise en place d’un programme de vols de surveillance non armés sur la totalité du territoire des pays signataires. Ce programme entend promouvoir ainsi l’ouverture et la transparence entre les nations grâce à un concept d’observation mutuelle. La Roumanie, qui a ratifié ce document en 1994, est activement impliquée dans la mise en œuvre de celui-ci.



    Cagnotte – La plus grande cagnotte de l’histoire de la loterie roumaine, de 48,95 millions de lei, soit l’équivalent de plus de 11 millions d’euros, a trouvé preneur.

  • 09.07.2013

    09.07.2013

    Accord – Les autorités roumaines sont ouvertes à l’approfondissement de la coopération avec la Russie, a déclaré, mardi, à Moscou, le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlatean, à l’issue de l’entretien avec son homologue russe, Sergueï Lavrov. L’officiel roumain, qui a adressé au chef de la diplomatie russe l’invitation d’effectuer une visite à Bucarest, a souligné que le potentiel de coopération au niveau du dialogue bilatéral n’avait pas été entièrement valorisé, mais qu’il existait de bonnes perspectives en ce sens. Précisant que la Russie considère la Roumanie comme un partenaire important dans l’Europe du sud-est, Sergueï Lavrov a affirmé que son pays est intéressé par le développement stable et prédictible des relations bilatérales.


    Notons aussi qu’à l’occasion de cette visite, les deux ministres ont signé mardi un accord sur le financement d’un centre russe de science et de culture à Bucarest et d’un Institut culturel roumain à Moscou. Les deux responsables ont également approuvé le programme de coopération dans le domaine de la culture, de l’enseignement, des médias, du sport, de la jeunesse et du tourisme, ainsi qu’un plan de consultations entre les ministères des affaires Etrangères des deux pays, pour la période 2013 — 2014.



    CorruptionEn Roumanie, la santé, la justice, la police et l’éducation sont les domaines les plus touchés par la corruption. Une personne interrogée sur sept déclare avoir payé des pots-de vin dans le système sanitaire, cette dernière année, apprend-on grâce au Baromètre global de la corruption, rendu public mardi par Transparency International. Pour ce qui est de la perception du phénomène, la Roumanie se classe 6e parmi les membres de l’UE, soit en dessus de la moyenne européenne. A l’échelle globale, plus de la moitié des répondants considère que la corruption s’est accentuée au cours des deux dernières années. L’enquête, réalisée auprès de 114.000 personnes dans 107 pays, montre également une crise de confiance vis-à-vis de la classe politique. Dans 51 pays, les partis politiques sont considérés comme l’institution la plus corrompue et 55% des personnes interrogées pensent que l’action du gouvernement obéit à des intérêts particuliers.



    Finances – Une mission conjointe du FMI et de la Commission européenne est attendue à Bucarest le 17 juillet pour des discussions avec les autorités roumaines jusqu’à la fin du mois, a fait savoir le Ministère des finances publiques. Par ailleurs, le ministre délégué chargé du budget, Liviu Voinea, a participé ce mardi, à Bruxelles, à la réunion extraordinaire du Comité économique et financier, organisée avant la réunion d’Ecofin. L’officiel roumain a précisé que tous les Etats de l’UE ont accueilli favorablement la sollicitation de la Roumanie relative à un nouvel accord de type préventif avec le FMI. La semaine dernière, le premier ministre roumain Victor Ponta avait fait connaître l’intention de son cabinet de démarrer en juillet les négociations avec cette institution financière internationale, afin de conclure un nouvel accord pour une période de 2 ans.



    Coopération – Le ministre roumain de l’économie, Varujan Vosganian, s’est entretenu, ce mardi, à Erevan, avec le président de l’Arménie, Serzh Sargsyan et son premier ministre, Tigran Sarksian. Les discussions ont été ciblées sur les perspectives et le renforcement de la coopération économique bilatérale, dans plusieurs domaines: commerce, industrie, PMEs, tourisme, développement régional et administration publique, transports, agriculture, protection de l’environnement. L’officiel roumain a pris part aux travaux de la 4e session de la Commission mixte intergouvernementale roumano-arménienne de coopération économique. Varujan Vosganian participera mercredi à Erevan, au Forum d’affaires Arménie-Roumanie.



    Exercice – Du 8 au 20 juillet, la frégate roumaine Marasesti participe à l’exercice international Sea Breeze 13 qui se déroule en Mer Noire dans les eaux territoriales de l’Ukraine et dans le port d’Odessa. Les manœuvres conjointes visent à développer la coopération et à améliorer l’interopérabilité entre les armées de l’OTAN et celles de pays partenaires. Les militaires de plusieurs pays : Azerbaïdjan, Bulgarie, Canada, Géorgie, Allemagne, Italie, Roumanie, Etats-Unis, Turquie et Ukraine dérouleront des exercices de recherche et de sauvetage en mer, de surveillance du trafic des navires commerciaux ainsi que des tirs d’artillerie.


  • Plusieurs responsables roumains ont participé en Autriche à une série de rencontres économiques


    Une délégation roumaine dirigée par le ministre de l’Economie, Varujan Vosganian a participé en Autriche à une série de rencontres économiques. La délégation roumaine comptait parmi ses membres le président de la Chambre des députés Valeriu Zgonea, mais aussi le ministre chargé de l’énergie, Constantin Nita. Le moment le plus important de cette visite a été le colloque « Romania », organisé ce lundi à Vienne par la Chambre économique fédérale d’Autriche.



    Lors de cette réunion consacrée à notre pays, les responsables roumains ont rencontré les représentants de plus de 200 sociétés, notamment de PMEs autrichiennes intéressées à investir en Roumanie. Sur cette toile de fond, le président de la Chambre des Députés de Bucarest a évoqué les bonnes relations économiques roumano-autrichiennes, notamment dans les domaines bancaire et énergétique. « Nous sommes contents du fait qu’un tiers des investissements autrichiens en Europe Centrale et du sud-est ont été réalisées en Roumanie et que, malgré le contexte économique international, l’Autriche demeure un des principaux investisseurs et partenaires commerciaux de notre pays » a précisé Valeriu Zgonea.



    Les investissements autrichiens faits en Roumanie après 1990 ont dépassé les 4,6 milliards d’euros — a précisé le responsable roumain. Le président de la Chambre des Députés a également souligné le rôle que les groupes bancaires autrichiens ont joué dans l’économie roumaine. Au cours de sa visite en Autriche, le ministre roumain de l’Economie, Varujan Vosganian a rencontré son homologue autrichien Reinhold Mitterlehner, d’importants hommes d’affaires et représentants de compagnies roumaines.



    A l’heure actuelle, plus de 150 sociétés à capital roumain sont enregistrées en Autriche notamment dans les domaines du commerce, du tourisme et du consulting. Même si 2012 a été une année électorale en Roumanie, marquée par des troubles sociaux et politiques, plusieurs entreprises, dont certaines autrichiennes, ont continué d’investir en Roumanie dans l’agroalimentaire, la métallurgie, les industries chimique et pharmaceutique, les transports, les télécoms et le consulting. Rappelons aussi qu’un tiers des actifs du secteur bancaire roumain est détenu par des banques autrichiennes.




    Par ailleurs OMV Petrom, la plus importante compagnie roumaine du domaine énergétique, dont le chiffre d’affaires s’est élevé à 5,3 milliards d’euros en 2012, est également détenue par une société autrichienne. Selon les chiffres officiels, l’année dernière les échanges commerciaux roumano-autrichiens ont dépassé les 3,3 milliards d’euros…(trad. : Alex Diaconescu)


  • Despre economia românească

    O delegaţie din România condusă de ministrul Economiei, Varujan Vosganian, a participat, în Austria, la o serie de intalniri pe teme economice. Din delegatie au făcut parte şi preşedintele Camerei Deputaţilor, Valeriu Zgonea, dar şi ministrul delegat pentru Energie, Constantin Niţă.



    Cel mai important moment a fost forumul România, organizat, luni, la Viena, de Camera Economică Federală a Austriei. În cadrul reuniunii dedicate ţării noastre, oficialii români s-au întâlnit cu reprezentanţii a peste 200 de de firme, în principal întreprinderi mici şi mijlocii austriece interesate să investească în România. În acest context, preşedintele Camerei Deputaţilor a evidenţiat nivelul ridicat al relaţiilor economice dintre România şi Austria, în special în domeniile bancar şi energetic. Ne bucură faptul că aproximativ o treime din investiţiile austriece în Europa Centrală şi de Sud-Est s-au realizat în România şi, în pofida contextului economic internaţional, Austria a rămas unul dintre principalii investitori şi parteneri comerciali ai ţării noastre, a punctat Valeriu Zgonea. El a adăugat că investiţiile austriece în România, după 1990, au depăşit 4,6 miliarde de euro. Preşedintele Camerei Deputaţilor a subliniat, totodată, rolul grupurilor bancare austriece în economia România şi şi-a exprimat speranţa că acestea vor continua să promoveze ţara noastră ca o destinaţie de afaceri în rândul marilor investitori internaţionali.



    În cadrul vizitei din Austria, ministrul român al Economiei, Varujan Vosganian, s-a întâlnit cu omologul austriac Reinhold Mitterlehner, cu importanţi oameni de afaceri, dar şi cu reprezentanţi ai unor companii româneşti.



    În prezent, în Austria sunt înregistrate peste 150 de firme cu participare românească în domenii precum comerţul, turismul şi consultanţa. Cu toate ca 2012 a fost, pentru Romania, un an electoral, cu “turbulenţe” sociale şi politice, unele companii internaţionale de prestigiu, printre care şi austriece, şi-au continuat investiţiile în România în domeniul agro-alimentar, metalurgie, industria chimică, uşoară, farmaceutică, transporturi, telecomunicaţii, construcţii de maşini, consultanţă-marketing. Nici sistemul bancar românesc nu a fost ocolit, circa o treime din activele acestui sector fiind deţinută de către bănci austriece. În plus, cea mai mare companie românească, OMV Petrom, din domeniul energetic, cu afaceri de aproape 5,3 miliarde de euro la nivel de grup anul trecut, are acţionar majoritar de origine austriacă.



    Conform datelor oficiale, la sfârşitul anului trecut, valoarea schimburilor comerciale româno-austriece a depăşit 3,3 miliarde de euro.

  • Este necesară extinderea programului nuclear în România?

    Este necesară extinderea programului nuclear în România?

    Raportul anual al Consiliului Global al Energiei Eoliene privind evoluţia acestei industrii plasează România pe poziţia a 10-a în rândul pieţelor de profil din UE. Majoritatea parcurilor eoliene sunt localizate în Dobrogea, unde, la altitudini de circa 100 de metri, viteza medie a vântului este de 7,2 m/s. Regiunea este plată şi slab populată, fiind ideală pentru dezvoltarea de parcuri eoliene, arată documentul, care menţionează că acest tip de industrie s-a dezvoltat foarte mult în România în ultimii trei ani.



    Cu toate acestea, energia eoliană nu reprezintă decât 5 procente din producţia energetică naţională. România continuă să folosească în mod predominant combustibili fosili (50%), hidroenergie (25%) şi energie nucleară (20%). Deşi nu neglijează dezvoltarea surselor alternative de energie, parte din eforturile responsabililor de la Bucureşti se îndreaptă către sporirea energiei nucleare. În lume, există 440 de reactoare nucleare, alte 60 sunt în diverse stadii de construcţie, iar în jur de 80 ar urma să fie construite în viitor.



    Prezent la un simpozion de specialitate organizat la Bucureşti de Agenţia Nucleară şi pentru Deşeuri Radioactive, ministrul Economiei, Varujan Vosganian, a explicat motivele pentru care, în opinia sa, România are nevoie de extinderea programului nuclear. Aceasta chiar dacă, momentan, consumul energetic este în scădere la nivel naţional. Varujan Vosganian: Economia românească va avea o evoluţie care va necesita o creştere a consumului în perioada următoare, pentru că sistemul energetic trebuie să se coroboreze în strategia energetică cu strategia de reindustrializare a ţării, cu strategia privind creşterea competitivităţii şi, în acest context, cred că locul unei sporiri a producţiei de energie electrică în baza nucleară este adecvat.”



    Pentru a produce mai multă energie nucleară, România caută investitori pentru reactoarele III şi IV de la Cernavodă. Datând de la începutul anilor ’80, planul iniţial al acestei centrale, singura din zonă care utilizează tehnologia canadiană de tip CANDU, prevedea construcţia a cinci unităţi. În prezent, funcţionează unităţile I şi II, din 1996, respectiv 2007. Bucureştiul nu a renunţat, pe de altă parte, la intenţia de a construi în viitor o nouă centrală nucleară în centrul ţării.



    Experţii spun că dezvoltarea în continuare a programului de producere a energiei nucleare este esenţială pentru România. Un motiv ar fi acela că actualele termocentrale, care produc cu costuri relativ mici, deoarece investiţia iniţială a fost deja amortizată, nu vor mai putea continua, totuşi, fără retehnologizări majore. Din nou, Varujan Vosganian despre extinderea de către România a programului de producere a energiei atomo-electrice: Noi suntem parte a UE, trebuie însă să învăţăm atât din perspectiva fluxului investiţional, din perspectiva comerţului internaţional şi din perspectiva strategiei energetice, să ne socotim în acelaşi timp şi parte a lumii întregi şi în acest context, trebuie să vă spun că programele nucleare, în scopuri paşnice, sunt în continuă expansiune. De ce n-am face asta? Energia nucleară ne asigură independenţă energetică, este o energie curată, este o energie relativ ieftină, avem resursa umană necesară, dispunem de tehnologii avansate şi, în acelaşi timp, asta ar putea, pe un termen mediu, să contracareze epuizarea unor alte resurse. În clipa de faţă, nu avem o dimensiune certă cu privire la perspectivele programului nuclear.”



    Problematica energiei nucleare este o temă constantă de dezbatere, atât în Europa, cât şi în restul lumii, în special după accidentul de la Centrala Atomo-Electrică niponă de la Fukushima, survenit în urma cutremurului şi tsunamiului din 2011. Ţări precum Germania sau Italia doresc să renunţe la centralele nucleare, în timp ce alte state europene continuă să investească masiv în acest domeniu.



    Teodor Chirica, reprezentant al Forumului Atomic Român: Finlanda, Franţa şi Slovacia au proiecte nucleare în implementare. Marea Britanie rămâne un promotor, dar şi un inovator, în domeniul găsirii de noi instrumente de finanţare a proiectelor nucleare şi în general, a proiectelor non-carbon, la care se adaugă Polonia, cu mari ambiţii în dezvoltarea domeniului nuclear, din raţiuni de securitate energetică, în primul rând. În procesul de dezvoltare a energeticii nucleare, se pot semnala barierele financiare care afectează marile proiecte energetice, printre care şi cele nucleare, accentuate de criza financiară mondială.”



    În opinia lui Teodor Chirică, România ar trebui să se alăture celorlalte 13 state din UE interesate să dezvolte în continuare programe de producere a energiei nucleare şi să formuleze poziţii comune care să fie prezentate apoi autorităţilor de la Bruxelles.

  • Eveniment Top – 09.03.2013

    Intrarea ali Românii tu spatilu di libirâ urdinari – Schengen – amânatâ nica unâ oarâ



    Intrarea ali Românii şi ali Vâryârii tu spaţiul Schengen fu disnău amânatâ. La Consiliul di Goustiţii şi Afaceri Interni, di gioi, di Bruxelles, minişţrâl’ii europen’i di Interni s-achicâsirâ ca aestâ temâ s-hibâ zburâtâ pânâ tu inşita a anlui, ta s-aflâ unâ soluţii ti aderarea tu dauâ etapi. Niscânti vâsâlii condiţionarâ apruchiearea lor di yinitorlu raportu pi giustiţii ali Comisii Europeani, cari va s-hibâ îngrâpsit tu Andreu. Hiindalui la Consiliul JAI, ministrul di Interni, Radu Stroe, dzâsi că Bucureştiul îndreadzi unâ alâxeari di strategii şi, deadun cu Vâryâria, va s-ahurheascâ tu chirolu ţi va s-yinâ unâ ofensivâ prit cari va s-adarâ moaubeţ directi cu vâsâliili ţi îndrupăscu apruchiearea lor, ama maxus cu aţeali cari nica nu vor s-da cali la intrarea tu spaţiul di libirâ urdinari – Ghermănia, Olanda şi Finlanda.



    Deputaţâl’ii român’i nu paruchiarâ prota moţiuni simplâ ali opoziţii dit leghislatura di tora



    Guvernul cumândisit di Victor Ponta s-alumtă cu prota moţiuni simplâ dit legislatura di tora, bâgatâ di opoziţia democrat-liberală, pi tema a catandisâl’ei a combinatlui Oltchim Râmnicu – Vâlcea. Deputaţl’ii nu apruchiarâ, marţâ, moţiunea cari giudicâ Executivlu ti catandisea a combinatului, unlu dit nai ma mărli dit Europa di Est. Aţei ţi îngrâpsirâ motiunea câftau demisia minişţrâlor di Finanţi, Daniel Chiţoiu şi aţilui di Icunumii, Varujan Vosganian, a curi lâ aduţi câbati di intrarea ali Oltchim tu insolvenţâ, ama şi că proceslu di privatizari şeadi, nu s-duţi câtâ iuva.. Combinatlu ari niscânti borgi di suti di milioani di euro. Guvernul câtâpâţi, tu toamna ţi tricu, s-vindâ pachetlu majoritar di acţiun’i, ama privatizarea nu amintă. Puterea dzâţi că griutăţli di la Oltchim vinirâ unâoarâ cu lipsa di responsabilitati a guvernilor di ma ninti.



    Caplu ali diplomaţii di Ungaria – tu vizitâ Bucureşti



    Ministrul ungar di Externi, János Martonyi, adră, luni ţi marţâ, unâ vizitâ oficialâ tu Românii, cu furn’iea a yurtusearâl’ei a 10 an’i di la simnarea ali declaraţii mutrinda parteneriatlu strategic întrâ dauli vâsâlii. Tu minduita al Martony, niţi un dintrâ dauli stati nu vor s-aspargâ parteneriatlu strategic chiola suntu nisâcnti tensiun’i ma n’iţ icâ ma mări intrâ Bucureşti şi Budapesta. Titus Corlăţean spusi: Tu minduita a noastâ, parteneriatlu strategic întrâ România şi Ungaria easti împrustarea naturalâ a ligâturâl’ei di bunâ viţinâtati şi di achicâseari întrâ dauli vâsâlii..” Corlăţean şi Martony evaluarâ stadiul a Parteneriatlui, zburârâ ti îndauâ turlii di avansare, di crişteari a proiectilor ţi li au deadun, inclusiv aţilor ţi mutrescu afirearea a minorităţlor naţionali dit dauli stati. Caplu ali diplomaţii dit Românii dzâsi câ asumarea ali identitati ali unâ minoritati naţionalâ nu lipseaşti s-calcâ nomlu a statlui iu bâneadzâ. Ligâturli româno-ungari furâ tensionati ti furn’iea că Budapesta şi-arătă a autorităţlor locali dit aţeali trei giudeţi ali Românii iu ma multu bâneadzâ maghiari. Aesti treili vor s-lâ si da cali s-aspindzurâ hlambura aşi-dzâslui Ţinut Secuiescu” pi instituţiili publice, lucru cari, prit nom, nu easti apruchiat.



    Leghislaţia mutrinda retrocederea a casilor luati zorlea di regimlu comunistu — disnău tu moaubetea a autorităţilor di Românii



    Guvernul di Bucureşti analizeadzâ un nău proiectu di nom ţi mutreaşti darea nâpoi a casilor nationalizati di regimlu comunistu, unâ lucru ţi easti ca un schin di ma ghini di 20 di an’i. România ari chiro pânâ pi 12 di Apriiur s-tin’iseascâ câftarea ali Curti Europeani ti Îndrepturili a Omului ta s-îndreagţ aestâ problemâ. CEDO “s-alumtâ” cu mutli plângeri a aţilor ţi s-ved ca hiindalor fârâ îndrepturi. CEDO dzâsi că, tu lipsa ali unui nom cari s-îndreagâ aestâ catandisi, va giudicâ un dupu alantu, tuti cazurili şi va s-stuhinâ statlu român s-da despâgubiri multu mări. Pânâ tora, statlu român deadi despăgubiri di 5 miliardi di euro şi lipseaşti s-mai da nica 16 miliardi. Premierlu Victor Ponta hâbârisi că va ca executivlu s-şi tin’iseascâ borgea ţi u ari tu Parlament pi yinitorlu proiectu di nom şi s-îndreagâ aestâ problemâ. Victor Ponta: “Voi s-încl’idem pi 19 di Marţu aestu capitol dit isturia ali Românii şi am nâdia că va s-adrăm aestu lucru cât s-poati di ghini. Easti prota oarâ cându ufilisescu aesti instrumentu di turlii constituţionalâ. Şi niţi nu voi sâ-l mai ufilisescu tu chirolu ţi va s-yinâ. Sâştiâ că voi s-hibâ unâ apofasi asumatâ di tuti forţili di turlii politica — ţi au borgi.”Uidisit cu năulu proiectu, proprietarl’ii di ma ninti a casilor luati zorlea di regimlu comunistu cari nu pot s-hibâ despăgubiţ tu naturâ, va s-l’ia puncti cu pâhâ di un leu, raportat la valoarea a casâl’ei, cu cari va s-patâ s-ancupârâ, prit licitaţii, casi şi terenuri agricoli scoasi la vindeari di stat.



    Steaua amintă Bucuresti mecilu cu campioana ali Europi la fotbal, Chelsea Londra



    Steaua Bucureşti, goala echipâ româneascâ di fotbal ţi easti tu primvearea a competiţiilor continentali, hârsi nica unâ oarâ inimli a fan’ilor a ei şi nu maşi. Stelisţâl’ii amintarâ, gioi, pi teren propriu, cu scorlu di 1-0, tu pota etapâ a optimilor di finala a Ligâl’ei Europa. Multu cânâscuta echipâ englezâ “Chelsea” easti pi prtlu loc tu clasamentul mondial a cluburilor, pi meslu Şcurtu. Returlu va s-gioacâ pi 14 di Marţu, Londra.





    Armâneaşti: Cristina Mina

  • La privatisation de grandes compagnies roumaines

    La privatisation de grandes compagnies roumaines


    Les représentants du FMI et les responsables des ministères de l’Economie, des Transports et de l’Energie ont parlé à Bucarest au sujet de la réforme des entreprises à capital d’Etat, et des délais enregistrés dans le respect des engagements assumés par la Roumanie. Sur la liste des entreprises que Bucarest doit privatiser figurent, entre autres, les usines chimiques Oltchim Râmnicu Vâlcea, la compagnie de fret ferroviaire CFR Marfa, la société de transport du gaz Transgaz, et la compagnie aérienne nationale Tarom.






    Après la réunion avec les bailleurs de fonds, le ministre roumain des transports, Relu Fenechiu a déclaré que la privatisation de CFR Marfa est désormais la priorité de son ministère. Selon lui, en raison de la situation économique de la compagnie, aucun redressement n’est possible sans une infusion de capital privé. Pour ce qui est de la compagnie aérienne Tarom, l’Etat envisage de vendre un paquet minoritaire de 20% des actions. Pour les deux entreprises, la date butoir est dans six mois. Relu Fenechiu a également précisé que toutes les compagnies subordonnées à son ministère seront dirigées par des managers professionnels d’ici 90 jours.






    Le ministère de l’Economie a également établi de nouvelles dates butoir pour mener à bien les engagements assumés face aux bailleurs de fonds. Le ministre de l’Economie, Varujan Vosganian précise sur les négociations avec les représentants des institutions financières internationales : « Nous avons déjà présenté notre point de vue devant la Commission Européenne, le FMI et la Banque Mondiale et ceux-ci ont estimé que notre formule était correcte » .






    Côté énergie, le ministre délégué, Constantin Nita a indiqué : « Avant la fin avril, nous devons vendre en bourse les paquets minoritaires d’actions des sociétés Transgaz et NuclearElectrica. Pour les autres compagnies, le délai s’étend jusqu’au 2e semestre 2013, voire début du 1er semestre 2014. La sélection des managers privés commencera avec les sociétés Transgaz, Nuclearelectrica et Romgaz » .






    Selon le même Constantin Nita, à partir du 1er février, les compagnies qui exploitent les ressources minérales, mais aussi les distributeurs et les transporteurs de gaz et d’électricité payeront des taxes supplémentaires. Le responsable roumain a assuré que l’introduction des nouvelles taxes n’allait pas influencer les coûts des compagnies, mais uniquement leurs profits et que les effets ne se retrouveraient pas sur les factures des consommateurs. Constantin Nita : « Il s’agit d’une conséquence à court terme. En effet, tout le monde devrait supporter les efforts que mène le pays pour sortir de la crise. Les compagnies qui ont payé des redevances très réduites et qui ont fait ainsi des profits immenses devraient participer à cet effort collectif de la société. Le décret gouvernemental demande clairement que ces taxes ne se retrouvent pas dans le prix payé par le consommateur final mais dans le profit » .






    Par ailleurs, aux termes d’un ordre de l’Autorité nationale de régulation dans le domaine de l’énergie, les producteurs de gaz naturel seront obligés à vendre par des appels d’offre 45% des quantités extraites cette année. A l’heure actuelle, le gaz provenant de la production interne est vendu à un prix recommandé par le Régulateur national et qui est chiffré à un tiers du prix du gaz importé. (trad.: Alex Diaconescu)